La valeur des représentants de la famille des crucifères dans la nature et pour les humains.
Parmi les représentants de la famille, il y a des plantes potagères. Le plus important d'entre eux est le chou. Une tête de chou est en fait un bourgeon géant qui a une tige raccourcie - une tige et un grand nombre de feuilles qui sont pliées vers l'intérieur en raison de la croissance plus forte de leur face inférieure. Une souche plantée l'année suivante peut développer une inflorescence. En plus du chou, on cultive du chou-fleur, du chou de Bruxelles, du chou-rave, etc.. D'autres plantes potagères : navet, rutabaga, radis et radis. Les racines de raifort sont utilisées comme assaisonnement. La moutarde appartient aux plantes oléagineuses. L'huile est obtenue à partir de ses graines. Ce qui reste après avoir pressé l'huile est broyé en poudre, à partir de laquelle la moutarde de table est obtenue, et des plâtres de moutarde sont également préparés. Les plantes médicinales se trouvent parmi les plantes crucifères, par exemple la bourse à pasteur.
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Classer: 6
Objectif didactique de la leçon : créer des conditions pour comprendre et comprendre un bloc d'un nouveau sujet, des informations pédagogiques, une application dans des situations éducatives familières et nouvelles, vérifier le niveau d'assimilation d'un système de connaissances et de compétences.
Objectifs de contenu:
- objectif pédagogique- poursuivre les travaux sur la formation de concepts systématiques : classe, famille, genre, espèce ; formuler les connaissances des élèves sur les caractéristiques des plantes crucifères.
- Éducatif- améliorer les compétences des élèves pour classer les plantes, comparer, tirer des conclusions appropriées, compétences de travail avec des objets naturels.
- Éducatif- promouvoir la formation du respect des étudiants pour les plantes.
Formulaire de cours - leçon - un voyage avec des éléments d'un jeu de rôle.
Type de cours - combiné.
Equipement : tables "Famille des crucifères", herbiers de plantes de la famille des crucifères, maquette d'une fleur de chou, collections et mannequins de fruits (collection de cabosses et gousses diverses).
Mots et concepts clés : classe des dicotylédones, famille des crucifères ; représentants de plantes de la famille des crucifères; l'utilisation des plantes de la famille dans diverses branches de l'activité humaine : alimentation, fourrage, miel, oléagineux, plantes médicinales, plantes ornementales de la famille des crucifères. Double périanthe, calice, formule florale, gousse de fruit ou gousse.
- Par source de connaissances: verbal, visuel, pratique.
- Selon la nature de l'activité de l'étudiant: partiellement consultable.
- Selon la nature de l'enseignant: problématique.
- Formes d'organisation de l'activité cognitive: frontal, individuel, collectif.
Pendant les cours
1. Moment organisationnel.
Accueille les élèves, détermine leur état de préparation pour la leçon. Informe que nous continuons à étudier les familles de plantes de la classe des dicotylédones.
Quelles familles de plantes de la classe des dicotylédones avons-nous rencontrées ? Les gars répondent.
Aujourd'hui, nous allons faire connaissance avec une autre famille de plantes, dont les représentants sont d'une grande importance pratique dans la vie de chacun de nous ? Quelle est cette famille ?
Je propose de deviner les énigmes suivantes (un groupe d'enfants les a préparés pour la leçon à l'avance)
Dans le jardin derrière la grange
La tige est devenue une boule (chou rave)
La fille a le visage blanc,
Le soleil ne supporte pas
Il demande un parapluie (chou-fleur)
Sur les épaules d'Ignashka
Quarante-trois chemises -
Tout en tissu blanchi,
Et en plus - une veste verte (Développement du chou. Tête de chou)
Il y avait un enfant - ne savait pas les couches,
Et est devenu un vieil homme -
Cent couches sur lui. (tete de chou)
5. D'innombrables vêtements et tous sans attaches (chou)
6. Remarque. Une partie de la danse (navet)
La première syllabe est le chant de la chute printanière,
La seconde est les lèvres.
Tout est une plante, dont
Perplexe:
"Il y avait un enfant - ne connaissait pas les couches,
Star a commencé - a commencé à emmailloter "(chou).
Les étudiants répondent qu'aujourd'hui nous allons étudier la famille à laquelle appartient la plante - le chou. Cette famille est crucifère. Ainsi, les élèves formulent le but de la leçon.
Comment cette tâche sera-t-elle résolue dans la leçon: à l'aide de quelles méthodes, formulaires? Ce sera une leçon voyage à travers la famille des crucifères.
Aujourd'hui nous voyageons au pays des plantes crucifères. J'espère que nous allons révéler de nombreux secrets. Ceux qui veulent tester leur force se sont déjà rassemblés sur place. Voici notre plan de voyage.
Vérification de l'état de préparation du détachement à voyager au point de contrôle.
- Arrêtez-vous à la gare "Définitive"
- Arrêtez-vous à la gare "Musée"
- Arrêtez-vous à la gare "Cognitif"
- Achèvement du voyage douane.
Eh bien, êtes-vous en route ?
Point de contrôle.
Les gars se voient proposer des tâches sur des cartes de test (par options) Annexe 1
Option numéro 1.
Tâche numéro 1.
Indiquez les numéros sous lesquels sont indiqués les signes des plantes de la famille des papillons:
1. Fruit-pod ou pod.
2. La corolle d'une fleur se compose de quatre pétales.
3. Le fruit est un haricot
4. Des nodules se forment sur les racines, dans lesquelles vivent des bactéries qui absorbent l'azote de l'air
5. Une fleur a un pistil et six étamines
6. Une fleur a un pistil et dix étamines
7. Il y a beaucoup d'étamines dans une fleur
8. La corolle d'une fleur se compose de cinq pétales inégaux, repliés comme des ailes de papillon dressées.
Tâche numéro 2
Le jeu "Troisième supplémentaire"
1. Soja, haricots, tomates.
2. Poivron, aubergine, cacahuètes
3. Pommes de terre, jusquiame noire, chou.
Option numéro 2
Tâche numéro 1
Choisissez les signes de plantes de la famille des solanacées :
1. Appuyez sur racine
2. Feuilles à nervation maillée
3. Il y a six étamines et un pistil dans une fleur
4. Le calice se compose de cinq pétales fusionnés.
5. La corolle se compose de cinq pétales fusionnés.
6. Fruit - gousse ou gousse
7. Pdlod - baie ou boîte
8. Le sac du berger
9. Morelle noire
10. Pomme de terre
Tâche numéro 2
Le jeu "Troisième supplémentaire"
1. Soja, haricots, tomates
2. Poivron, aubergine, cacahuètes
3. Pommes de terre, roses, chou.
Après avoir terminé les tâches de test, nous vérifions comme suit : cartes surprises, ouvrez le bas de la carte et trouvez les réponses aux tâches qui s'y trouvent. Maîtrise de soi.
Les critères d'évaluation sont indiqués sur la carte.
Alors, les gars, il s'est avéré que dans chaque version, le chou s'est avéré être une plante supplémentaire.
Problème : pourquoi les choux et les navets appartiennent-ils à la famille des crucifères ? Quelles sont leurs caractéristiques communes ?
Ici, les gars jouent travaux de laboratoire - "Plantes de la famille des crucifères".
(chaque élève reçoit une carte d'instructions) Annexe 2
Objectifs : apprendre à identifier les signes de la famille par l'aspect de la plante et la structure de ses fleurs et fruits ; continuer à former l'habileté de travailler avec des objets naturels, l'habileté d'effectuer un dessin biologique.
Matériel : spécimens d'herbier de radis sauvage, bourse à pasteur, colza commun, une collection de fruits.
Le progrès
1. Avant de commencer le travail, il faut rappeler aux élèves les règles de sécurité.
2. Considérez un spécimen d'herbier d'une plante. Déterminez les signes extérieurs des organes végétatifs de la plante.
3. Déterminer le type de système racinaire (tige ou fibreux). Quelle classe cela indique-t-il ?
4. Examinez la tige. Déterminer le type de tige (herbacée ou ligneuse), déterminer la nature de sa croissance (dressée, frisée, rampante).
5. Déterminer les caractéristiques des feuilles : la nervation, la nature du limbe foliaire (simple ou complexe, entier ou dentelé, type d'arrangement foliaire.
6. Considérez l'inflorescence et déterminez à quel type elle appartient.
7. Dessinez une copie d'herbier de la plante, signez son nom et indiquez ses principales caractéristiques.
8. Dessinez la structure d'une fleur, indiquez ses parties principales.
9. Faites une formule de fleur, notez-la dans un cahier
10. Considérez la structure du fruit, comparez-la avec les fruits de la collection et déterminez le type de fruit.
11. Dessinez et étiquetez le fœtus.
Résumez les résultats obtenus et, sur la base de ceux-ci, tirez une conclusion sur la plante appartenant à la famille des crucifères.
Les gars font ce qui suit conclusions :
la famille comprend environ 3200 espèces végétales ;
Fleurs à pétales cruciformes, calice de 4 sépales, corolle de 4 pétales, à 6 étamines (2 courtes et 4 longues) et 1 pistil ;
Formule de fleur crucifère Ch4L4T4 + 2P1;
Inflorescence - brosse;
Les fruits sont des gousses ou des gousses;
Le système racinaire est essentiel.
C'est vrai, les gars, d'après ces caractéristiques, on attribue ces plantes à cette famille.
Mais quelle est la variété des plantes de la famille des crucifères, apprendrons-nous au prochain arrêt.
Prochain arrêt - Gare du musée.
Objectif : initier les élèves à la variété des plantes crucifères.
Déterminer quel est le rôle des plantes crucifères dans la vie et l'activité économique de l'homme. (Les gars ont préparé des messages sur les plantes crucifères à la maison). Présentation
Et notre voyage continue et le prochain arrêt" définir"
Ici s'effectue travaux pratiques sur l'identification des plantes crucifères par fiches d'identification.Annexe 3
Avant de commencer les travaux pratiques, l'enseignant explique aux enfants les règles d'identification des plantes à l'aide de cartes d'identification utilisant un déterminant.
Objectif: former la capacité de reconnaître les plantes avec des cartes d'identification, donner une description systématique complète de la plante, continuer à former la compétence de travailler avec des objets naturels.
Matériel: herbiers de plantes de la famille des crucifères (radis sauvage, bourse à pasteur, champ yarutka), identification scolaire des plantes supérieures et fiches d'identification, loupes.
Le progrès:
Rappeler aux élèves les règles de sécurité avant de commencer le travail.
1. Considérez l'herbier de plantes crucifères.
2. Déterminez la couleur de la corolle, le type de fruit, la forme du limbe.
3. En suivant les instructions sur la carte d'identification, déterminez de quel type de plante il s'agit.
4. À l'aide du déterminant de l'école, établissez à quel ordre, classe, département appartient cette plante.
5. Faites une conclusion dans laquelle donner une description systématique complète de cette plante. Spécifiez la séquence des étapes de détermination d'une usine. Enregistrez les données obtenues dans un cahier.
Notre voyage touche à sa fin et le prochain arrêt "Douane". Les gars sont invités à accomplir les tâches suivantes afin de consolider les connaissances et les compétences. Annexe 4
Option numéro 1.
Notez les signes de crucifères :
1. Il y a beaucoup d'étamines.
2. La corolle se compose de cinq pétales
3. Le calice se compose de quatre sépales
4. Gousse de fruit
5. Le fruit est une drupe
6. La corolle se compose de quatre pétales.
7. Six étamines : quatre longues et deux courtes
8. Le calice se compose de cinq sépales.
Option numéro 2.
Choisissez les bonnes déclarations :
1. Les plantes crucifères comprennent à la fois les plantes herbacées et les arbustes et arbres
2. Toutes les plantes crucifères ont des feuilles simples.
3. Fruits crucifères - gousses et gousses
4. Toutes les plantes crucifères sont bisannuelles.
5. Les feuilles des crucifères ont une nervation parallèle.
6. Toutes les fleurs crucifères ont une formule florale - Ch4, L4, T4 + 2, P1.
Le contrôle de la mise en œuvre de la tâche doit être effectué comme suit : l'échange des tâches et la notation. Les notes de chacun sont accompagnées de commentaires.
Résumant. Attire l'attention des élèves pour atteindre l'objectif de la leçon.
Réflexion.
- Qu'as-tu appris en classe aujourd'hui ?
- L'objectif de la leçon a-t-il été atteint ?
- Ces connaissances vous seront-elles utiles dans la vie ?
- Avez-vous aimé la leçon ou pas. Si oui, alors quoi ?
Passons au matériel qui sera couvert dans la prochaine leçon.
Tâche créative. Dessinez ou moulez à partir de pâte à modeler divers types de fruits de plantes de la famille des crucifères: une gousse sans rétrécissements, une gousse avec rétrécissements, des gousses de formes diverses, donnez des exemples de plantes caractérisées par de tels fruits.
Tâche pour les étudiants intéressés par la biologie par choix :
Écrivez les formules florales des plantes d'intérieur qui fleurissent actuellement dans la salle de biologie et dans votre maison.
Ou, faites un jeu de mots croisés, cinquain pour le mot chou.
Carte d'identification pour l'identification des plantes crucifères.
1. Gousse de fruit (longue) :::::::::::::::::::::::2
0. Gousse de fruit (longueur inférieure ou égale à la largeur) : : : : : : : 5
2. Fruits avec constrictions (en forme de perles). Les fleurs sont jaunes. Les tiges et les feuilles ont des poils raides clairsemés.
Radis sauvage.
0. Fruits sans constriction ::::.. 3
3. Le nez de la gousse est xiphoïde. Pédicelles dans les fruits, fortement déviés de la tige. Les feuilles sont pennées.
Blanc moutarde
0. Gousses à nez rond ::::::::::::::::::::::4
4. Gousses de 1 à 1,5 cm, pressées contre la tige.Tige avec des branches évasées sur les côtés. Les feuilles supérieures sont en forme de flèche
Marcheur médicinal.
0. Gousses de 2 à 4 cm, déviées de la tige. Les feuilles sont lancéolées.
Jeltushnik levkoy.
5. Cosses triangulaires. Les fleurs sont blanches, petites et les feuilles basilaires sont pennatipartites, groupées.
Sac de berger.
0.Gousse ovale ::::::::::::::::::::::::6
6. Gousses aux ailes membraneuses formant une encoche au sommet du fruit
Champ de Yarutka
0. Gousses sans ailes :::::::::::::::::::::::7
7. La plante est vert grisâtre à partir de petits poils qui recouvrent la tige et les feuilles
Hoquet gris-vert
0 La tige est fortement ramifiée, au moment où le fruit mûrit, elle est nue en dessous, sans feuilles. Gousses de forme ovale avec une encoche au sommet. 0
Punaise des mauvaises herbes.
Chou, radis, moutarde, bourse-à-pasteur... Selon vous, quel est le point commun entre toutes ces plantes ? La bonne réponse est que la structure et les caractéristiques générales présentées dans notre article sont répandues dans la nature et cultivées comme plantes cultivées. Quelles sont les caractéristiques de ces plantes ? Découvrons-le ensemble.
caractéristiques générales
La famille des crucifères ou choux appartient à la classe des dicotylédones. Ils sont caractérisés par une paire de cotylédons dans l'embryon de la graine. Le chou tire son nom du représentant le plus courant. Rouge et blanc, chou-fleur, chou-rave, Pékin, Savoie, chou-fleur, chou de Bruxelles - il existe plus de trente variétés de chou au total. Traduit du celtique "casquette" se traduit par "tête". En effet, la forme de cette partie du corps ressemble beaucoup à une pousse raccourcie et épaissie de cette plante - une tête de chou.
À de rares exceptions près, tous les choux sont des plantes herbacées à feuilles crucifères simples. Ils sont disposés en alternance sur la tige. Les feuilles situées à la base de la pousse forment une rosette basale.
Crucifère : formule florale
Les représentants de la famille des choux portent un autre nom. Ils l'ont acquis en raison de la structure de la fleur. Ils sont aussi appelés crucifère. Diagramme et la formule de la fleur, qui a la forme Ch4L4T2 + 4P1, contient toutes les informations nécessaires sur sa structure. Les chiffres de cette formule indiquent le nombre d'éléments et les majuscules sont les premières du nom de certaines parties.
organe génital
Ainsi, la formule d'une fleur de la famille des crucifères commence par la désignation Ch4. Cela signifie que les plantes de cette famille ont 4 sépales. Ils sont verts, situés à la base du réceptacle en travers. Les pétales sont attachés de la même manière. La structure de la jante dans la formule est notée L4. Quatre pétales libres sont disposés en croix, définissant le deuxième nom de la famille. La corolle peut être jaune, rose, violette ou blanche. Les plantes vénéneuses ont des pétales particulièrement brillants. Leur exemple typique est la giroflée. Il se distingue facilement par ses fleurs jaune vif. Son jus contient des glycosides. Ces substances toxiques affectent négativement l'activité du muscle cardiaque.
À partir de la formule florale des plantes crucifères, il devient immédiatement clair que ces structures sont bisexuées. Cela signifie qu'ils contiennent à la fois des pistils et des étamines. Ce sont les parties principales de toute fleur.
T2 + 4 - cela signifie qu'il y a six étamines au total. Deux d'entre eux sont courts et quatre sont longs. Le pilon est toujours un (P1). En règle générale, les fleurs de chou sont petites. Ils sont collectés dans des brosses, qui terminent toutes les branches ou une tige principale. Les fruits crucifères se développent à partir de telles inflorescences - gousses ou gousses. Ces deux espèces sont sèches et ouvertes. Ils s'ouvrent en haut et en bas de la couture de haut en bas. Les graines sont situées sur une cloison à l'intérieur du fruit. La gousse diffère en ce qu'elle est beaucoup plus courte et plus large que la gousse. et former un autre type de fruit - une noix.
Conditions de pollinisation et de formation des graines
La formule crucifère indique que ces plantes sont capables d'autopollinisation. Il se produit dans une seule fleur. Il est également possible d'effectuer une pollinisation croisée à l'aide du vent ou d'insectes. Ces derniers sont les transporteurs de pollen les plus efficaces. Ce sont des abeilles mellifères et sauvages, des bourdons, des mouches, des papillons, des soirées. Les insectes sont attirés par la couleur vive des inflorescences et l'odeur caractéristique des plantes mellifères.
La diversité
En plus des cultures maraîchères bien connues, qui comprennent le chou, le radis, le navet, le raifort, les gens cultivent également des oléagineux. Les plus courants sont la moutarde et le colza. Parmi les crucifères, dont la formule florale détermine le nom de cette famille, des espèces de mauvaises herbes sont également connues. C'est un hoquet, sac de berger, yarutka. Parmi les espèces mellifères, la caméline, le colza et le colza sont largement connus.
Importance économique
L'homme a depuis longtemps appris à utiliser les différentes parties de ces plantes. Le crucifère le plus célèbre avec des feuilles précieuses, bien sûr, est le chou. La vitamine C n'y est pas détruite même lorsqu'elle est stockée fraîche et salée pendant une longue période. Par conséquent, l'utilisation systématique du chou contribue à augmenter l'immunité. Mais la moutarde ne se consomme pas seulement comme condiment. La poudre est obtenue à partir de ses grains, qui sont utilisés à l'extérieur pour les rhumes des poumons et des voies respiratoires supérieures.
Connaissant la formule de la famille des crucifères, elles sont faciles à distinguer parmi les autres plantes. Des inflorescences lumineuses aux corolles cruciformes bien marquées se détachent sur le fond vert général. Cela les rend visibles pour les abeilles. Comme ces cultures fleurissent déjà en mai, les apiculteurs reçoivent ce miel en premier.
Le radis est célèbre pour ses plantes-racines. Les huiles essentielles et les composés soufrés leur confèrent leur amertume et leur piquant caractéristiques. Ces substances améliorent les processus de digestion, augmentent l'appétit. Le jus de radis est utilisé pour traiter les rhumes, l'inflammation et le foie et la vésicule biliaire. Les feuilles sont utilisées non seulement dans le chou, mais aussi dans le raifort. Ils sont ajoutés aux légumes salés, comme assaisonnement pour les plats épicés et à base de viande.
Ainsi, les crucifères, dont la formule florale est Ch4L4T2 + 4P1, se caractérisent par la présence de quatre pétales et sépales libres. Ils sont disposés en croix. Cela détermine le nom de la famille. Parmi les représentants des crucifères, ou choux, les espèces végétales, oléagineuses, décoratives, mellifères, fourragères et adventices sont largement connues.
La famille des crucifères comprend environ 4 000 espèces. la famille autrement crucifère appelé une famille choux. Parmi eux, il y a à la fois des annuelles, des bisannuelles et des vivaces. Ce sont surtout des herbes. Les plants de choux appartiennent à la classe des plantes dicotylédones.
La famille des crucifères comprend de nombreuses plantes cultivées d'une grande importance agricole. Ce sont le chou, la moutarde des champs, le levkoy, le radis de jardin, le radis, le navet, le rutabaga, etc.
Les représentants de la famille des crucifères sont pollinisés par les insectes. Par conséquent, ils ont des inflorescences odorantes brillantes. Ce sont des plantes mellifères.
Une autre valeur importante du chou - dans de nombreuses espèces, les graines contiennent une grande quantité d'huiles végétales (moutarde, colza), qu'une personne utilise pour se nourrir et à d'autres fins.
Caractéristiques de la famille des crucifères
Le nom de la famille est associé aux caractéristiques structurelles de la fleur. Ses quatre pétales sont disposés en croix. Chez les crucifères, non seulement la corolle est constituée de quatre pétales. Il en est de même du calice, qui a quatre sépales. Il y a un pistil et six étamines, dont deux courtes et quatre longues.
Habituellement, de petites fleurs crucifères sont recueillies dans une inflorescence en grappe.
Les fruits sont des gousses ou gousses dites (gousses courtes).
La disposition des feuilles est alterne ou en rosette basale.
Système racinaire de type tige. Un certain nombre de représentants crucifères forment des racines.
plantes crucifères sauvages
De nombreuses plantes crucifères sauvages sont également des mauvaises herbes dans les champs agricoles, c'est-à-dire qu'elles sont des mauvaises herbes.
radis sauvage Il a une tige dressée, couverte de poils à la base. La disposition des feuilles est alternée. Les fleurs sont généralement jaunes, relativement grandes, rassemblées en grappe. La floraison en masse est observée en juin, mais le radis sauvage peut également fleurir en automne. Les gousses ont des constrictions transversales. Le long de ces constrictions, les gousses, lorsqu'elles sont mûres, se brisent en fragments séparés contenant chacun une graine.
À colza commun les fleurs sont plus petites que celles du radis sauvage. Le fruit du colza a la structure habituelle des gousses : les graines poussent sur la cloison entre les valves. Le colza commun fleurit principalement en mai. Pendant l'été, elle parvient à former des fruits et des graines qui germent à l'automne de la même année. Dans ce cas, une plante avec une tige courte et une rosette de feuilles est formée. Et au printemps de l'année prochaine, de longues pousses ordinaires se développent.
À sac de berger les fleurs sont petites et blanches. Les gousses ressemblent à des sacs triangulaires. En un été, plusieurs générations de bourses à pasteur sont remplacées, car elles fleurissent rapidement et portent des fruits. C'est une plante répandue sans prétention.
Crucifère cultivé
La plante crucifère la plus célèbre d'importance agricole est choux. L'homme cultive cette plante depuis l'Antiquité. Actuellement, il existe de nombreuses variétés de choux (blanc, chou-fleur, chou-rave, choux de Bruxelles, etc.).
Les variétés cultivées de chou proviennent du chou sauvage, qui ne forme pas de têtes.
Le chou blanc est une plante bisannuelle. La tête de chou se forme au cours de la première année de vie. Si vous voulez obtenir des graines, ils déterrent toute la plante et la replantent au printemps prochain. Des tiges avec des feuilles et des fleurs se développent à partir de ses bourgeons axillaires et apicaux. Les fleurs ont une teinte jaunâtre, recueillies au pinceau.
Kachan, qui a formé des pousses et des inflorescences
La moutarde, le radis, le navet, le radis, le colza, le navet, le raifort, la caméline, etc. sont aussi des crucifères de culture.
Les crucifères sont si proches des câpres qu'il n'est pas toujours facile de tracer une ligne entre elles. Certains genres, comme le genre dipterygion(Dipterygium), certains botanistes l'incluent dans la famille des câpres, et d'autres dans la famille des crucifères. La famille contient jusqu'à 380 genres et environ 3200 espèces. Ils sont très inégalement répartis dans le monde. Principalement concentré dans la zone tempérée de l'hémisphère nord, principalement dans l'Ancien Monde. Sous les tropiques, elles sont représentées par des genres uniques confinés aux zones montagneuses ; on les y trouve aussi comme introductions et comme adventices. Un petit nombre de crucifères, poussant dans l'hémisphère sud, a un confinement local étroit.
Répartition et habitats
Les Brassicas s'adaptent avec succès à une grande variété d'habitats. Certains d'entre eux sont confinés aux conditions extrêmes des hautes terres, atteignant les limites de la végétation (4500-5700 m au-dessus du niveau de la mer), où, avec les lichens, ils sont les pionniers du couvert végétal ; d'autres poussent le long des côtes maritimes ; certains dans leur distribution se déplacent loin vers le nord et sont caractéristiques des régions arctiques ; d'autres sont des habitants des déserts, des semi-déserts et des steppes. Les brassicacées sont également largement représentées dans les forêts, parmi la végétation des steppes, dans les endroits humides et même dans l'eau, mais les plantes des habitats arides et secs prédominent définitivement parmi elles. Cependant, malgré une telle grande plasticité d'adaptation aux conditions environnementales, il existe une variété relativement faible de formes de vie. La plupart des crucifères sont des herbes annuelles ou vivaces, il y a aussi des semi-arbustes, dans lesquels la partie inférieure de la tige est ligneuse. Les arbustes sont représentés par des espèces uniques, à prédominance africaine et macaronésienne, comme, par exemple, arbuste katran(Crambe fruticosa) sur l'île de Madère, atteignant une hauteur de 2 m, espèce du genre synapidendron(Sinapidendron, Macaronésie), gris héliophile(Heliophila glauca - Cap) ou Foleyola Billot(Foleyola billotii - Sahara), atteignant une hauteur allant jusqu'à 1,5-2 m. Des espèces telles que héliophile escalade(H. scandens), et des espèces du genre sud-américain kremolobus(Cremolobus) s'approchent habituellement des lianes. De nombreuses espèces alpines sont en forme de coussin pour aider à retenir la chaleur.
Structure et apparence
Les feuilles des crucifères sont alternes, les inférieures formant souvent une rosette basale. Certaines espèces présentent de l'hétérophylle. Par exemple, à insecte-insecte à feuilles percées(Lepidium perfoliatum) les feuilles de la rosette sont disséquées en lobes linéaires étroits, tandis que les feuilles de la tige sont entières, rondes et recouvrent la tige. Parmi les plantes crucifères, on trouve des plantes à la fois complètement nues et pubescentes avec des poils simples ou fourchus ou ramifiés en étoile. Les poils étoilés à faisceaux multiples ressemblent souvent à des écailles. Les poils glandulaires et les poils dits malpighiens sont également impliqués dans la pubescence - prostrés, bifides, attachés au milieu. Les crucifères se caractérisent par des inflorescences apicales racémeuses ou corymbeuses, le plus souvent (ou à de rares exceptions) sans feuilles, parfois très courtes, presque capitées, ou au contraire allongées, en forme d'épi.
Riz. 1. Plantes de l'ordre des crucifères
Chou de Kerguelen (Pringlea antiscorbutica) : 1 - vue générale de la plante avec fruits ; 2 - fleur. Caulanthus inflatus (Caulanthus inflatus): 3 - vue générale de la plante avec des fruits. Geococcus minuscule (Geococcus pusillus): 4 - vue générale d'une plante aux fruits souterrains
L'Américain a une apparence inhabituelle Caulanthus gonflé(Caulanthus inflatus, Fig. 1), dont l'axe de l'inflorescence est fortement épaissi et fusiforme et les fleurs assises dessus, puis les fruits, donnent l'impression de cauliflores. Les fleurs sont généralement dépourvues de bractées et de bractées, pas grandes, souvent très petites, discrètes, mais beaucoup aussi joliment colorées, donnant à la plante un grand effet décoratif. Dans leur structure, ils sont extrêmement uniformes. Les sépales, disposés en deux cercles (2 chacun), peuvent être sacculaires à la base, et dans de tels cas le nectar coule dans ces réceptacles. Il y a aussi 4 pétales, libres, disposés en croix (d'où le nom crucifère). La couleur des pétales est dominée par le jaune et le blanc, mais les plantes à fleurs violettes, rosées, voire violettes ne sont pas rares non plus. Les pétales sont généralement plus larges dans la partie supérieure. Elles sont le plus souvent entières ou échancrées, mais chez les crucifères il existe aussi des espèces à lobes (genre nord-américain warea- Warea), disséqué penné et même frangé de ciliés (en mexicain ornithocarpes- Ornithocagra, par exemple) avec des pétales.
Étamines généralement au nombre de 6, disposées en 2 cercles. Parmi ceux-ci, 2 latéraux (cercle extérieur) sont courts, 4 médians sont plus longs. Parfois, les médianes poussent ensemble dans deux de leurs fils. Dans de rares cas, toutes les étamines ont la même longueur ou 3 longueurs différentes. Leur nombre peut parfois être réduit à 4 et même à 2, ou, comme dans Marcheur(Macropodium), atteint 10. Dans un certain nombre d'espèces, les étamines sont équipées d'appendices, ou leurs filaments se développent sous la forme de dents et d'ailes. Gynécée de 2 carpelles. Un faux septum est formé le long de la couture de la fusion des carpelles, divisant l'ovaire en 2 nids. Habituellement, l'ovaire est sessile, mais chez certaines espèces, il repose sur un gynophore assez long (semblable aux câpres). Les caractéristiques structurelles des ovules jouent un rôle important dans la taxonomie des plantes crucifères. Les cotylédons sont généralement plats, mais ils peuvent aussi être pliés dans le sens de la longueur, comme un chou, moins souvent pliés en travers, comme un chou. héliophiles(Heliophila), ou tordu en spirale ( sverbiga- Bunyas). Selon l'emplacement de la racine de l'embryon par rapport aux cotylédons, ils sont marginaux et dorsaux.
Riz. 2. Diverses formes de fruits chez les crucifères
1 - muricaria prostrée (Muricaria prostrata); 2 - tizanocarpus à pattes arquées (Thysanocagrus curvipes); 3 - jolie herbe ailée (Acthionema pulchellum); 4 - Herbe ailée d'Arabie (A. arabicum); 5 - pastel à bec d'oiseau (Isatis ornithorhynchus); 6 - géant à gros fruits (Megacagraea gigantea); 7 - énarthrocarpe incurvé (Enarthrocagrus arcuatus); 8 - vésicule à bulles (Coluteocagrus vesicaria); 9 - Pastel de Besser (Isatis besseri); 10 - Fruit fort syrien (Euclidium syriacum); 11 - campagnol à feuilles percées (Myagrum perfiliatum); 12 - ptérygoïde plié (Acthionima diastrophis); 13 - pugionium cornu (Pugionium cornatum); 14 - tauscheria velue (Tauscheria lasiocagra); 15 - Fruit laineux du Léman (Lachnoloma lehmannii); 16 - Le double de Fedchenko (Didymophysa fedtschenkoana); 17 - tétrakmidion Boukhara (Tetracmidion bucharicum); 18 - tétrakmidion d'ancrage (T. glochidiatum); 19 - Pamir tétra (Tetracme pamirica); 20 - tétrakm courbé (T. recurvata)
Si la structure de tous les autres organes des crucifères est plutôt uniforme, on ne peut pas en dire autant de leurs fruits, dont les caractéristiques structurelles sont les plus largement utilisées dans la taxonomie de la famille (Fig. 2). Les fruits allongés, dont la longueur dépasse largement la largeur, sont appelés gousses, tandis que les plus courts sont appelés gousses. Les deux peuvent être deux portes déroulantes ou non ouvertes. Lors de l'ouverture des fruits, après la chute des valves, un cadre reste sur les tiges (comme dans certaines câpres), resserré par un faux septum. Très populaires, par exemple, sont les espèces lunaire(Lunaria), dont les cadres de grosses gousses ovales sont très décoratifs. Dans les gousses qui ne s'ouvrent pas, les valves sont souvent fortement compactées et les gousses prennent la forme d'une noix. Les fruits à deux chaînons sont particulièrement intéressants, consistant en un segment supérieur toujours non ouvrant et un segment inférieur ouvrant ou non ouvrant. Dans certains cas, le segment supérieur est sans pépins, dans d'autres le segment inférieur, dans la plupart des cas, les deux segments contiennent des graines. Parmi les fruits à deux chaînons, on distingue également les gousses ou gousses. Les fruits crucifères varient également considérablement en taille, en forme de valves et en diverses excroissances.
Méthodes de pollinisation des fleurs
Les Brassicas sont adaptés à la fois à la pollinisation croisée et à l'autopollinisation. Les principaux pollinisateurs sont les mouches, les abeilles, les bourdons ; certains types, par exemple levkoy(Matthiola) ou soirée(Hesperis), pollinisé la nuit par des papillons. Les abeilles sont attirées par l'odeur des espèces mellifères, ainsi que par les fleurs les plus colorées. Les espèces dont les fleurs sont petites, discrètes, sont principalement visitées par les mouches. L'attraction des insectes est également obtenue par des contrastes de couleurs, apparaissant parfois au cours du processus de floraison et de fructification. Ainsi, chez certaines espèces à petites fleurs discrètes, par exemple, mouches à pierre(Erophila), les petits pétales blancs des fleurs inférieures de l'inflorescence qui commencent à porter des fruits ne tombent pas, mais doublent de taille et se pressent contre les fruits immatures qui ont une teinte violette. Cela crée, pour ainsi dire, un halo autour des fleurs qui commencent à fleurir. Dans un autre cas, par exemple, champ yarutki(Thlaspi arvense), dans lequel les fleurs sont également petites, blanches, dans les fleurs fanées, les sépales deviennent jaunes. Espèce Femmes ibériques(Iberis) est fournie par des pétales externes beaucoup plus grands des fleurs marginales de l'inflorescence, comme de nombreux parapluies. Chez certaines espèces marcheur(Sisymbre), betterave(Alysse) les dents(Dentaria) cet effet est obtenu en raison du fait que les pétales de fleurs avec des fruits déjà mis ne tombent pas, ils commencent à grossir, attirant ainsi les insectes vers le reste des fleurs en fleurs.
La pollinisation croisée chez les plantes crucifères est assurée par leur dichogamie inhérente. La plupart d'entre eux sont caractérisés par la protogynie, la protandrie est extrêmement rare. Dans les cas où la pollinisation croisée ne peut pas se produire pour une raison quelconque (fortes pluies, chaleur intense, manque de pollinisateurs), les crucifères pollinisent en raison de leur capacité à s'autopolliniser (autogamie). Le mécanisme de la pollinisation combinée peut être observé, par exemple, dans moutarde des champs(Sinapis arvensis) ou noyau de prairie(Cardamine pratense). Au début de la floraison, les anthères des longues étamines se tournent vers l'extérieur, de sorte que leur pollen ne tombe pas sur le stigmate de sa fleur, mais peut coller aux côtés des insectes pollinisateurs qui pénètrent profondément dans la fleur jusqu'à la base de les étamines pour le nectar. Cependant, si le stigmate n'a pas été pollinisé par du pollen étranger, à la fin de la floraison, il est pollinisé par de courtes étamines, qui pendant ce temps atteignent le même niveau avec lui. Par mauvais temps, lorsqu'il n'y a pas d'insectes, les anthères des longues étamines ne se détournent pas et pollinisent le stigmate de leur fleur. Parmi les plantes crucifères, il existe également de telles plantes dans lesquelles, au début de la floraison, les étamines s'écartent complètement vers l'extérieur, puis remontent, rapprochent les anthères du stigmate et le pollinisent. À cresson(Lépidium sativum), ail pétiole(Alliaria petiolata), bruyère alpine(Braya alpina) au début de la floraison, toutes les étamines sont plus courtes que le stigmate, puis 4 d'entre elles s'allongent et entrent en contact avec les anthères du stigmate. Cependant, une seule étamine vide le pollen sur son stigmate, le reste des anthères s'ouvrent plus tard, économisant le pollen pour la pollinisation croisée.
Des exemples peuvent également être donnés où l'autopollinisation prédomine chez certaines espèces du même genre et la pollinisation croisée chez d'autres. Alors, yaroutka alpine(Thlaspi alpina) est toujours capable d'autopollinisation, puisque vers la fin de la floraison, les étamines se plient sur le stigmate. Et vice versa, Yarutka de montagne(T. montana) est principalement à pollinisation croisée, car chez la plupart des plantes, les étamines sont plus courtes que le stigmate. On trouve exceptionnellement des plantes à pollinisation croisée dans Rezuhi Constanta(Arabis constancii) : leurs stigmates sont exposés dès le bourgeon avant même l'éclosion de la fleur et plus tard, lorsque les étamines atteignent son niveau, elle s'en détourne pour ne pas être pollinisée par leur pollen. Chez ces plantes, la possibilité d'autopollinisation est également exclue par l'incompatibilité biochimique du pollen et la surface de la stigmatisation - son propre pollen ne germe pas.
Parmi les plantes crucifères, il existe également des plantes purement autogames. Il s'agit notamment d'espèces du genre australien jamais visitées par les insectes. sténopétale(Stenopetalum), qui forment parfois même des fleurs cléistogames. Cela peut être considéré comme une adaptation aux conditions difficiles de l'ouest et du sud de l'Australie, qui ne favorisent pas toujours la pollinisation. Dans une autre usine australienne - géocoque minuscule(Geococcus pusillus, Fig. 1) - toutes les fleurs sont cléistogames. Grâce à de longs pédicelles pointant vers le bas, ils s'enfouissent dans le sol et y portent des fruits (géocarpe). La cléistogamie partielle est caractéristique du Brésilien noyau mariel(Cardamine chenopodiifolium), dans laquelle, en plus des fleurs normales de l'inflorescence apicale, des fleurs cléistogames se forment à la base de la tige, qui s'enfouissent également dans le sol. Dans de rares cas, avec une humidité excessive, des inondations, la cléistogamie se manifeste chez certaines espèces. punaise de lit(Lépidium) bouclier d'eau(Subularia aquatica), avec une sécheresse accrue - moutarde des champs.
Comme phénomène tout à fait exceptionnel pour les crucifères, on peut considérer l'anémophilie, qui s'observe habituellement au niveau de l'apétal chou kerguelen, ou Pringles(Pringlea antiscorbutica, Fig. 1). La pollinisation éolienne réussie de cette espèce insulaire subantarctique est facilitée par de longues étamines dépassant de la fleur, de longues papilles filiformes sur le stigmate et une inflorescence dense en forme d'épi.
Fruits et graines
Les crucifères s'adaptent assez différemment à la distribution des fruits et des graines. Beaucoup d'entre eux sont des anémochores. Il s'agit principalement d'espèces à fruits gonflés ailés ou en forme de bulles, de nombreuses espèces à petites graines légères facilement emportées par le vent, ou à graines garnies d'une aile. Parfois, les segments supérieurs des fruits à deux chaînons tombent avec l'une des valves du segment inférieur ou avec une partie du septum, ce qui augmente également le vent.
Parmi les crucifères, il existe également un certain nombre d'espèces qui ont des excroissances en forme de crochet sur les fruits. De ce fait, ils s'accrochent aux poils des animaux et sont portés par eux. Parmi les espèces zoochoriques, la myrmécochorique est très curieuse. boursouflure(Lepidium vesicarium), dont les plantes sont souvent disposées concentriquement autour de fourmilières, comme on peut le voir dans la plaine d'Ararat en Arménie. Dans certains cas, les graines sont dispersées en raison des "efforts" de la plante elle-même. Oui, à noyau sensible(Cardamine impatiens) et noyau rugueux(C. hirsuta) les gousses s'ouvrent avec une telle force que les graines s'envolent sur une distance considérable. Un autre type de noyau est assez inhabituel, dans lequel, en plus des gousses, des oignons bruns se forment à l'aisselle des feuilles qui, en tombant, germent. Largement connu comme un tumbleweed est le soi-disant rose jériochon, ou anastatique(Anastatica hiérochimtica). Cette petite plante annuelle, originaire des régions désertiques d'Asie occidentale et d'Afrique du Nord, mûrit ses fruits à temps pour la saison sèche.
À ce moment, ses nombreuses branches sont étroitement comprimées et des gousses plates arrondies restent à l'intérieur de la masse. Ayant pris une forme sphérique, la tige séchée est souvent arrachée par le vent de la racine et se retourne. Avec l'arrivée de la pluie, les branches mouillées se redressent à nouveau, ce qui rappelle une rose en fleurs. C'est alors, avec une humidité abondante, que les gousses s'ouvrent (hygrochasia) et dispersent les graines. L'hygrochasia est généralement inhérente à la plupart des fruits crucifères avec des fruits difficiles à ouvrir. Les graines de fruits qui ne s'ouvrent pas, protégées des conditions défavorables par un étui dense, ne germent qu'après avoir pourri. Pour de nombreuses espèces adaptées aux conditions sèches, le mucilage du tégument (myxospermie) est caractéristique. Les plus petites particules de sol adhèrent au mucus, qui fixe les graines et les protège de la dérive vers des conditions environnementales inhabituelles.
Riz. 3. Crucifère (lat. Crucifères)
Moutarde de mer (Cakile maritime) : 1 - vue générale de la plante ; 2 - fruits. Moutarde lancette (Cakile lanceolata): 3 - branche avec fruits
L'hétérocarpie dans ses manifestations les plus diverses est l'une des caractéristiques de nombreuses plantes crucifères, qui augmente considérablement leurs capacités d'adaptation. Dans certains cas, les parties du fœtus diffèrent (hétéroarthrocarpie), comme on l'observe chez de nombreuses espèces à fruits à deux membres, dans d'autres cas, les fruits sont entièrement. L'hétérocarpe fournit des méthodes de distribution combinées, ainsi qu'une conservation plus fiable des graines et la possibilité de leur germination dans des conditions changeantes. L'un des exemples d'anthropo-, hydro- et anémochorie combinées peut être les caractéristiques de la distribution des fruits à deux membres moutarde de mer(Cakile maritima) habitant les côtes de la mer (Fig. 3). Les deux parties du fruit contiennent chacune une graine. Les segments supérieurs, grâce à un tissu spongieux très développé, recouvert à l'extérieur d'une épaisse couche coriace, tiennent bien sur l'eau et sont portés par les courants marins. Les segments inférieurs restent sur les tiges qui, après séchage, se détachent de la racine et sont roulées par le vent.
Étant donné que la moutarde de mer pousse souvent près des ports, le dessus de ses fruits se retrouve souvent sur les navires avec la cargaison et est transporté sur de longues distances. C'est ainsi que la moutarde "indigène" de la mer Méditerranée est aujourd'hui largement répandue hors de l'Ancien Monde et naturalisée avec succès en Amérique et en Australie, où elle a pénétré avec les premiers colons. Ceci, sans aucun doute, a été facilité par sa grande vitalité, comme en témoigne l'une des curieuses expériences de la nature. En novembre 1963, une nouvelle île s'est formée dans l'océan Atlantique, à 20 milles au sud de l'Islande, à la suite de l'éruption d'un volcan sous-marin. La première plante vasculaire de cette île était la moutarde de mer, qui y a été découverte déjà en juillet 1965. Les fruits sont également distribués par les courants marins. katrans de la mer(Crambe maritime).
Non moins intéressante est la manifestation de l'hétérocarpie dans bicarpe saillant(Diptychocagrus strictus). Cette petite annuelle, confinée aux habitats désertiques, développe trois types de gousses sur une même plante : les supérieures, plates, s'ouvrant facilement par deux valves, puis difficiles à ouvrir, mûrissant beaucoup plus tard, et enfin, les gousses les plus basses, non ouvrantes, aux gousses fortement épaissies. vannes et cloison. Les graines ailées des gousses supérieures sont dispersées par le vent ; les gousses difficiles à ouvrir restent longtemps sur la tige et se couchent avec elle; les gousses non ouvertes tombent autour de la plante mère et leurs graines ne germent que lors de fortes pluies, lorsque les tissus denses environnants pourrissent, tandis que les graines non protégées des gousses supérieures meurent. Parmi les plantes dicarpes, on trouve parfois des spécimens avec uniquement des gousses ouvrantes ou uniquement non ouvrantes, ce qui suscite souvent des curiosités scientifiques lorsqu'ils sont attribués à d'autres genres.
L'hétérocarpie est également bien exprimée chez deux espèces tige ailée(Aethionema): oui étamine ailée(A. heterocagra) les gousses supérieures ne s'ouvrent pas, uniloculaires, avec des valves scellées, les autres s'ouvrent sur deux nids ; à étamine charnue de l'aile(A. carneum), au contraire, seules les gousses les plus basses qui ne s'ouvrent pas. Habitant du désert de sable sablonneux serponosique(Spirorhyncus sabulosus) à la base des pousses a des fruits en forme de fuseau qui, en tombant, s'enfouissent dans le sable. Les gousses supérieures incurvées sont facilement arrachées par le vent, s'emboîtent les unes dans les autres et roulent en boules. Similaire est observé dans les pastels Boissier(Isatis boissieri), dont les gousses supérieures ailées sont emportées par le vent, les inférieures sans ailes tombent autour de la plante. Non moins intéressante chez les crucifères est une autre variété d'hétérocarpie - amphicarpe, observée au Brésil noyau mariel(Cardamine chenopodiifolia) et heterocarpus fernandez(Heterocagus fernandezianus) originaire des îles Juan Fernandez. Chez ces espèces, parallèlement aux gousses ouvrantes habituelles de l'inflorescence apicale, se développent des fleurs cléistogames basales qui, s'enfouissant dans le sol, forment de nombreuses gousses non ouvrantes à une seule graine (géocarpe). Dans le même temps, les inflorescences aériennes des années défavorables n'atteignent souvent pas la fructification, tandis que les fruits souterrains mûrissent toujours.
Bases de la taxonomie des crucifères
De nombreuses tentatives pour construire un système familial crucifère n'ont pas conduit à la création d'un système généralement accepté. Les systèmes modernes sont orientés vers l'élargissement des tribus. Les genres crucifères les plus primitifs sont inclus dans la tribu télipode(Thélypodies). Dans beaucoup d'entre eux, les fruits reposent sur le gynophore et les étamines sont longues, dépassant de la fleur, ce qui amène la crucifère à la câpre. Stanley(Stanleya), qui a les traits les plus primitifs, son apparence est liée à l'ancêtre présumé du crucifère. Les télipodes sont répartis principalement dans la partie Pacifique de l'Amérique du Nord, en particulier dans les Rocheuses. Seul marcheur(Macropodium), poussant à Sakhaline et dans le sud de la Sibérie, est le seul représentant de la tribu en dehors du continent américain. Deux autres petites tribus de crucifères sont confinées au continent américain, principalement dans la région pacifique de l'Amérique du Sud et de l'Amérique centrale - schizopétale(Schizopetaleae) aux pétales pennés ou frangés caractéristiques et à front crème(Cremolobeae) avec des fruits doubles largement ou à plusieurs reprises ailés.
La tribu centrale la plus étendue gouliavnikovs(Sisymbriae), couvrant la principale composition générique et spécifique de la famille. Pour les gulyavnikovs, une forte variation de la forme des fruits est caractéristique, dont le plan général de la structure est réduit à des gousses et gousses ouvrantes et non ouvrantes, à la fois avec une cloison large et étroite. Le principal centre de diversité morphologique de cette tribu est la région floristique irano-touranienne, où il existe environ 80 genres endémiques. Étant répandus dans la zone tempérée de l'hémisphère nord, les promeneurs sont représentés par un certain nombre d'endémiques, ainsi que par des genres cosmopolites, en Amérique, en Afrique, en Australie et en Nouvelle-Zélande. La prochaine plus grande tribu - choux(Brassiceae), dont les représentants diffèrent nettement des autres fruits crucifères et des cotylédons pliés longitudinalement. Le principal centre de distribution de cette tribu est situé dans les régions arides de la Méditerranée et les zones désertiques adjacentes d'Afrique et d'Asie du sud-ouest. Les brassicacées peuvent également être trouvées sur différents continents, mais ce sont principalement des plantes cultivées ou des mauvaises herbes.
Le reste des tribus crucifères est géographiquement extrêmement isolé et beaucoup plus pauvre en composition. L'un des crucifères inhabituels est le seul représentant de la tribu pringle(Pringleae) - Chou de Kerguelen, qui a également des étamines proéminentes et une inflorescence longue et dense en forme d'épi. Le chou de Kerguelen, ainsi nommé en raison de ses grandes feuilles basales charnues aux propriétés antiscorbutiques, pousse exclusivement sur les îles subantarctiques de Kerguelen et Crozet, situées au sud de l'océan Indien. Les deux tribus suivantes sont connues du Cap. L'un d'eux - hamirique(Chamireae) - représentée par une seule espèce - Hamira biloba(Chamira circaeoides) avec de grands cotylédons, qui ne tombent pas après la germination des graines, poussent fortement et dépassent de manière significative la taille des feuilles de la tige. Deuxième tribu sud-africaine - héliophile(Héliophilae) avec des cotylédons à double pli croisé que l'on ne trouve pas chez les autres membres de la famille. Parmi les héliophiles, les espèces à tiges arborescentes présentent un intérêt particulier. Il y a aussi une tribu purement australienne parmi les crucifères - mur-pétale(Stenopetaleae), le principal trait distinctif du seul genre dont est sténopétale(Stenopétalon) - sont des pétales filiformes-linéaires, très longs, plusieurs fois plus gros que des sépales étroitement comprimés.
L'importance économique des crucifères
L'importance économique des plantes crucifères ne peut guère être surestimée. Les cultures maraîchères, oléagineuses, fourragères et mellifères sont parmi les plus connues, mais le rôle principal revient bien sûr au chou dans toute sa variété de variétés. Le chou était cultivé à l'époque préhistorique et les premières informations à son sujet remontent au néolithique. De nombreux chercheurs, à commencer par C. Darwin, pensent que toutes les formes cultivées de chou existant actuellement proviennent d'une forme sauvage chou de jardin(Brassica oleracea), autres - considérées comme une espèce indépendante chou forestier(Brassica sylvestris), d'autres encore les associent à un certain nombre d'espèces méditerranéennes. Pas une seule plante depuis plusieurs millénaires n'a fourni à l'homme un matériel de sélection aussi vaste que le chou. Le plus populaire est le chou potager, dont de nombreuses formes et variétés sont cultivées sur tous les continents.
Parmi celles-ci, le chou est la principale plante alimentaire dans les pays des latitudes tempérées. Les qualités gustatives des variétés telles que le chou-rave, le chou-fleur et ses variétés de brocoli sont indéniables. De nombreuses variétés locales sont particulièrement préférées par la population de certains pays. Ainsi, l'une des plus anciennes plantes cultivées cultivées en Chine et au Japon sont chou chinois(B. chinensis) et choux(B.pekinensis). Comme plantes potagères parmi les plantes crucifères, diverses variétés de radis et un radis(Raphanus sativus), comme les épices piquantes - Raifort(Armoracia rusticana) et moutarde(Brassica juncea). L'une des cultures horticoles cultivées est le cresson, qui est cultivé à grande échelle dans le Caucase. Un certain nombre de plantes crucifères sauvages sont également utilisées en salade, comme, par exemple, cuillère(Cochléaire), Indau(Eruca sativa), colza(Barbarea vulgaris), cresson(Nasturtium officinale) et bien d'autres, et sac de berger(Capsella bursa-pastoris) est cultivée comme légume en Chine depuis plus de 100 ans.
Jeunes pousses et pétioles katrans de la mer, ou algue(Crambe maritima), souvent utilisée comme asperge, et en Asie centrale à partir des racines Katran Kochi(C. kotschyana) fabriquent de la farine à partir de laquelle sont cuits des gâteaux. D'une grande importance économique sont un certain nombre d'oléagineux cultivés: râpé(Brassica napus var. napus), moutarde Sarepta, moutarde noire(Brassica nigra) moutarde blanche(Sinapis alba), cameline(salive de caméline), Katran abyssin(Crambe abyssinica). Parmi celles-ci, sous les latitudes tempérées, la plante oléagineuse la plus productive est le colza, dont les graines contiennent jusqu'à 50 % d'huile. Il a une application purement technique - il est utilisé pour durcir les aciers, après un traitement spécial, il se vulcanise bien, formant une masse caoutchouteuse (factis), qui est utilisée pour ramollir les caoutchoucs durs et fabriquer des gommes à crayons. L'huile de moutarde Sarepta a des applications alimentaires, principalement dans les industries de la confiserie et de la boulangerie et dans la fabrication de margarine et d'aliments en conserve, et la poudre (gâteau) est la moutarde de table.
La caméline est la seule plante cultivée parmi les crucifères qui produit une huile semi-séchante. Il est utilisé dans la savonnerie, pour la fabrication d'huile siccative et comme lubrifiant pour les tracteurs. Aux États-Unis, en tant que graine grasse oléagineuse, une plante à haut rendement Lékerella Fendler(Lesquerella fendleri), dont les graines ne s'effritent pas et peuvent être récoltées par une moissonneuse-batteuse. Il est recommandé dans les zones sèches même à la place du blé. La plupart des graines oléagineuses sont en même temps d'excellentes plantes mellifères. On trouve également de nombreuses plantes mellifères et oléagineuses parmi les crucifères sauvages. Des plantes fourragères précieuses telles que Suédois(Brassica napus var. napobrassica), navet et navet(Brassica rapa), appartiennent également à la famille des crucifères. De plus, le chou fourrager, le colza et le pain d'abeille (un hybride de colza et de chou fourrager) sont semés comme fourrage vert.
En raison de la teneur élevée en vitamines, en particulier en vitamine C, de nombreuses plantes crucifères sont largement utilisées en médecine traditionnelle. Dans certains types d'herbe jaunisse(Erysimum) contient de l'érysimilactone, qui est utilisée dans les préparations cardiaques. La bourse à pasteur, l'une des plantes les plus populaires de la médecine tibétaine et chinoise, a un fort effet hémostatique. des feuilles pastels de teinturier(Isatis tinctoria) reçoivent un colorant indigo. Diverses variétés sont largement connues dans la floriculture crucifère levkoy(Matthiola incana), ainsi que certaines espèces betterave bord de mer(Alyssurn), utilisé dans la conception de plates-bandes et comme plantes de bordure. De nombreuses espèces sauvages sont également très décoratives, ce qui mérite une attention particulière. Dans le même temps, parmi les crucifères, il existe des mauvaises herbes malveillantes qui nécessitent un régime de contrôle spécial.