Les antipyrétiques pour enfants sont prescrits par un pédiatre. Mais il existe des situations d'urgence pour la fièvre dans lesquelles l'enfant doit recevoir des médicaments immédiatement. Ensuite, les parents prennent leurs responsabilités et utilisent des médicaments antipyrétiques. Que peut-on donner aux nourrissons ? Comment faire baisser la température chez les enfants plus âgés ? Quels sont les médicaments les plus sûrs ?
Au cours des nombreux millénaires d'existence humaine sur terre, la culture humaine a accumulé de riches connaissances dans le domaine des caractéristiques des relations entre les membres de la société. Comme l'a dit l'un des sages orientaux : « Mieux vaut mourir de faim que manger ce qui est horrible », il vaut mieux être seul que de fréquenter des êtres indignes.
Qui a dit ces mots ?
Les mots « Mieux vaut mourir de faim que manger ce qui est horrible », « Mieux vaut être seul que parmi des gens inégaux avec vous » appartiennent à la plume du célèbre poète oriental Omar Khayyam.
Il était originaire de Perse, a vécu il y a environ mille ans, s'est glorifié comme un célèbre mathématicien et astronome. Tout au long de sa vie, Omar Khayyam a écrit de courts quatrains appelés rubai.
Dans ces vers, il a exprimé sa philosophie de la vie. En tant que poète de culture musulmane, il ne partageait pas certaines des dispositions doctrinales de cette religion : il était sceptique quant au plan divin d'Allah, se livrait au pessimisme, voyant devant lui des exemples d'injustice et de vice.
La philosophie d'un poète oriental
En termes de position de vie, il est très probablement proche des figures de la Renaissance, qui se sont également efforcées toute leur vie de prouver le droit d'une personne à construire indépendamment son propre destin et à changer le monde qui l'entoure.
En fait, les poèmes d'Omar Khayyam ont reçu une sorte de « renaissance » dans le monde occidental, lorsqu'un des poètes occidentaux a commencé à les traduire en anglais au XIXe siècle. Grâce à l'intérêt pour la personnalité du lointain auteur persan, ses réalisations mathématiques et astronomiques ont été redécouvertes, de sorte qu'aujourd'hui le nom de cet homme est connu de tout amateur de littérature instruit.
« Il vaut mieux mourir de faim que de manger ce qui est horrible » : est-ce mieux, s'avère-t-il, seul ? Que signifie cette phrase?
Le petit Rubai d'O. Khayyam, qui indique qu'il faut bien choisir son cercle d'amis, fait l'objet de polémiques depuis longtemps. Après tout, une personne est un être social, elle vit en communication avec les siens, par conséquent, la solitude lui est souvent insupportable.
Pourquoi le poète de l'Antiquité offre-t-il la solitude comme un îlot salvateur de paix pour chacun de nous ?
Nous allons essayer de répondre à cette question.
A noter que ce poème (en tant qu'œuvre d'un vrai philosophe) contient un dilemme logique : « être avec n'importe qui » ou « être seul » (on citera le dernier vers du poème : « Mieux vaut être seul qu'avec n'importe qui »).
Bien sûr, l'alternative est digne : que de communiquer avec ceux qui ne vous comprendront et ne vous apprécieront jamais, ne vaut-il pas mieux être dans le silence et la réflexion ? Après tout, cette option sera la meilleure pour tout le monde, n'est-ce pas ?
Parfois, O. Khayyam est accusé d'arrogance excessive, car sa phrase : « Mieux vaut mourir de faim que manger, peu importe » ne rend personne meilleur. Quoi? Le poète nous exhorte-t-il à nous abstenir de nourriture ?
Non, il nous apprend très probablement à être sélectifs dans la nourriture (ce qui est en général très pertinent pour nous, les gens du 21e siècle). Mieux vaut mourir de faim que de manger des aliments OGM, mieux vaut s'abstenir de nourriture que de manger McDonald's.
Dans la nourriture et dans le choix des amis, vous devez faire la fine bouche, alors les maladies graves ne vous attendront pas et les gens qui sont à côté de vous ne trahiront pas dans les moments difficiles.
Le poète a raison après tout. Et c'est une sagesse qui vient du fond des siècles.
Quelle est la pertinence de la sagesse orientale aujourd'hui ?
Et les aphorismes sont toujours pertinents - à la fois il y a 1000 ans et aujourd'hui, à l'ère de la technologie informatique. Une personne reste une personne, donc les rubis tranquilles d'O. Khayyam trouveront toujours leurs lecteurs. Et à notre époque, où les déclarations courtes sont bien mieux perçues que les œuvres en plusieurs volumes de Tolstoï et Dostoïevski, encore plus.
Par conséquent, lisez le poète persan immortel et profitez de ses œuvres ! Et surtout, cherchez un cercle de vrais amis qui vous comprendraient et vous apprécieraient !
Boire du vin est un péché ?! Réfléchissez, prenez votre temps !
Vous-même ne péchez évidemment pas contre la vie.
Envoyer en enfer à cause du vin et des femmes ?
Alors au paradis, probablement, pas une âme.
* * *
Si un moulin, un bain, un palais luxueux
Reçoit en cadeau un imbécile et un scélérat,
Et le digne va en esclavage à cause du pain -
Je me fiche de ta justice, créateur !
* * *
Je ne suis pas venu à la mosquée pour une parole juste,
Sans chercher à rejoindre les bases, je suis venu,
La dernière fois que j'ai enlevé un tapis de prière
Il s'est usé jusqu'aux trous - je suis venu pour un nouveau.
* * *
« Nous devons vivre, nous dit-on, dans le jeûne et le travail.
Comme tu vis - et tu ressusciteras - oui ! "
Je suis inséparable avec un ami et un verre de vin, -
Se réveiller comme ça au Jugement dernier.
* * *
« L'enfer et le paradis sont au paradis », disent les bigots.
En me regardant, j'étais convaincu du mensonge :
L'enfer et le ciel ne sont pas des cercles dans le palais de l'univers,
L'enfer et le paradis sont les deux moitiés de l'âme.
* * *
Ne supplie pas pour l'amour, sans espoir d'aimer
Ne pataugez pas sous la fenêtre de votre bien-aimé, en deuil.
Comme les derviches mendiants, soyez indépendants -
Peut-être qu'alors ils t'aimeront.
* * *
N'enviez pas quelqu'un qui est fort et riche.
L'aube est toujours suivie du coucher du soleil.
Avec cette vie, courte, égale à un soupir,
Traitez comme cela vous est donné pour une location.
* * *
Parfois quelqu'un jette fièrement son regard : « C'est moi !
Décorez ses récompenses avec de l'or : "C'est moi !"
Mais seules ses affaires iront bien,
Soudain la mort surgit d'une embuscade : « C'est moi !
* * *
Oh âme ! Tu m'as transformé en serviteur.
Je ressens ton oppression à chaque pas.
Pourquoi suis-je né, si dans le monde
Vous ne pouvez rien changer de toute façon ?
* * *
De tout ce qu'Allah m'a donné de choisir,
J'ai choisi du pain rassis et un sous-sol minable
Pour sauver son âme, il mourut de faim et souffrit, -
Devenu mendiant, il devint plus riche qu'un homme riche.
* * *
Que l'amour et le vin soient avec moi !
Quoi qu'il arrive : folie, honte - tout de même !
Ce qui est destiné sera inévitablement,
Mais pas plus que ce qui est destiné à être.
* * *
J'ai compté beaucoup de sectes dans l'Islam. De tout
Je me suis choisi une secte des plaisirs amoureux.
Tu es mon Dieu! Donne-moi la joie du paradis.
Se fondre avec Dieu, flamboyant d'amour, n'est pas un péché !
* * *
La vie sous ce ciel est une suite de tourments,
A-t-elle pitié de nous ? Jamais.
O enfant à naître ! Quand parlerait de notre tourment
Vous saviez si vous ne viendriez pas ici.
* * *
Si Dieu ne m'entend pas là-haut -
Je tournerai mes prières vers Satan.
Si mes désirs ne plaisent pas à Dieu -
Alors le diable m'inspire le désir !
* * *
J'ai versé du vin jeune dans une cruche,
Il m'a laissé échapper des secrets quand il était ivre :
"J'étais shah et je tenais une coupe en or,
Et maintenant je suis devenu une cruche et je vaux un sou."
* * *
Dans ce monde fantomatique de perte et d'ombre,
Avec quoi vous comparer - j'ai pensé pendant plusieurs jours.
Et j'ai décidé que ton visage du soleil est plus brillant,
Que ton beau camp est plus mince qu'un cyprès.
* * *
Mon idole, le potier t'a façonné,
Que devant toi la lune a honte de son sortilège.
Laissez les autres se décorer pour les vacances,
Vous - vous avez un cadeau pour décorer des vacances.
* * *
Le monde n'a pas de commencement, pas de fin,
Nous serons partis pour toujours - ni noms ni acceptations.
Ce monde était avant nous et restera pour toujours,
Après nous, il durera encore mille ans.
* * *
J'ai demandé au bol en y pressant mes lèvres :
"Où me mènent les jours et les nuits ?"
Sans lever les lèvres, la coupe me répondit :
« Ah, vous ne reviendrez jamais dans ce monde. Buvez ! »
* * *
Je ne bois qu'avec des amis - gardez à l'esprit
Boire du vin m'est écrit dans ma famille.
Le Seigneur lui-même a écrit, et a donc abandonné
Je ne peux pas. Car ceux-ci le laisseront tomber.
* * *
Le mendiant se croit chah, ayant bu du vin.
Le renard devient un lion s'il est ivre.
La vieillesse ivre est aussi insouciante que la jeunesse,
La jeunesse intoxiquée, comme la vieillesse, est intelligente.
* * *
Tu me fais honte devant tout le monde ;
Je suis athée, je suis un ivrogne, presque un voleur !
Je suis prêt à être d'accord avec vos propos.
Mais êtes-vous digne de porter un jugement ?
* * *
Un Taureau est suspendu haut dans le ciel
L'autre soutient les cendres avec son faîte.
Et entre les deux mollets, - regarde, -
Quelle multitude d'ânes Allah fait paître !
* * *
Je t'apprendrai à plaire à tout le monde
Sourires étalés à gauche et à droite
Louez les juifs, les musulmans et les chrétiens -
Et vous gagnerez de la gloire pour vous-même.
* * *
Dieu donne, Dieu prend - c'est toute l'histoire pour vous,
Qu'est-ce que quoi - reste un mystère pour nous.
Combien vivre, combien boire - ils mesurent à l'œil nu,
Et même alors, ils s'efforcent de sous-remplir à chaque fois.
* * *
Le destin est impitoyable, nos plans se ruinent.
L'heure viendra - et le corps quittera l'âme,
Prenez votre temps, asseyez-vous sur l'herbe, sous laquelle
Bientôt, vous vous allongerez, pas pressé.
* * *
L'océan de gouttes est grand.
Le continent est composé de grains de poussière.
Vos allées et venues n'ont pas d'importance.
Juste une mouche a volé à travers la fenêtre pendant un instant.
* * *
Le monde est gouverné par la violence, la colère et la vengeance
Quoi d'autre est plus fiable sur terre?
Où sont les gens heureux dans le monde aigri ?
S'il y en a, il est facile de les compter sur les doigts.
* * *
Hélas, peu de jours nous ont été donnés pour être ici,
Les vivre sans amour et sans vin est un péché.
Ne pensez pas, ce monde est vieux ou jeune :
Si nous sommes destinés à partir, n'en est-il pas de même pour nous ?
* * *
Pas de ma vie, pas de ma mort
Le monde n'est pas devenu plus riche et ne deviendra pas plus pauvre.
Je vais m'attarder un peu dans ce monastère
Et je partirai sans rien savoir d'elle.
Photo : Sergejs Rahunoks / Rusmediabank.ru
Tout le monde connaît les lignes polies d'Omar Khayyam : « Pour vivre sa vie à bon escient, il faut en savoir beaucoup, rappelez-vous d'abord deux règles importantes : il vaut mieux mourir de faim que de manger n'importe quoi, et il vaut mieux être seul qu'avec n'importe qui. Les gens en font le slogan de leur vie. Mais est-ce que cela fait le bonheur, telle est la question...
À mon avis, la déclaration est controversée. Je ne veux pas discuter avec le grand sage oriental, mais simplement regarder cette déclaration du point de vue de la réalité d'aujourd'hui. C'est merveilleux d'être un idéaliste, d'attendre un grand amour, dans lequel tout ira bien, de ne manger que des produits sains et de haute qualité, mais tout le monde ne peut d'ailleurs pas se le permettre. Avouons-le.
Il me semble qu'il est nécessaire d'écrire une réfutation ruby de cette vérité éculée, qui est adoptée par ceux qui ne veulent pas travailler sur les relations et vivre dans un monde idéal fictif. Et il en souffre d'ailleurs, car ce monde, inventé par Khayyam et présenté comme la vérité ultime, n'est pas du tout semblable à ce qui nous entoure réellement.
Et qu'est-ce que c'est vraiment ?
Quand je lis ce rubaiyat d'Omar Khayyam, je le présente. Et je comprends qu'il a probablement écrit lui-même ces lignes dans un moment de déception et de douleur, à partir d'une compréhension amère de l'impossibilité de changer le monde et de le rendre parfait. Peut-être même par colère et impuissance à réaliser leurs rêves irréalistes. Mais au final, nous avons obtenu la formule parfaite, dont beaucoup de gens ont fait le principe de leur vie.D'ailleurs, « le roi des philosophes d'Orient et d'Occident » est né dans la famille d'un artisan et ne passera jamais par la bouffe, et mangera, comme tous les autres artisans, « tout ce qui est horrible », c'est-à-dire ce qui obtiendrait s'il n'avait pas été invité au palais Sultan Malik Shah comme une approximation. Le sultan confia à un astronome la construction du plus grand observatoire du monde et lui permit d'étudier les mathématiques et la poésie. Des conditions fabuleusement parfaites ! Pourquoi ne pas trouver la formule parfaite pour une vie sage.
Mais Khayyam était « l'homme le plus savant du siècle », « le plus sage des sages »… Mais peut-on s'en vanter ? La plupart d'entre nous sont le même artisan qui fabrique des tentes et qui n'a pas tous les jours du caviar à tartiner sur du pain et du beurre. Affrontez-le enfin et arrêtez de vous mesurer à l'aune idéale d'un sage oriental.
Qu'avons-nous vraiment ?
Des foules de personnalités complètement imparfaites, inconfortables, désagréables, étrangères et douteuses.
Aliments de mauvaise qualité : génétiquement modifiés, nitrates, artificiels, substituts, périmés, empoisonnés.
Écologie dégoûtante.
Relations difficiles avec les gens (presque tout le monde, même les meilleurs, à première vue).
Imperfection du monde, des gens, de soi.
Lutte pour la survie au sens propre et figuré du terme, qui n'ajoute pas d'empathie aux gens.
La course à l'argent, au statut, au prestige, à la renommée est une éternelle compétition et un conflit d'intérêts.
Soit dit en passant, le sultan a proposé à Omar Khayyam de devenir le souverain de sa ville natale de Nishapur. Mais le sage clairvoyant, sachant pertinemment qu'il aurait à gérer les problèmes urbains quotidiens et leurs solutions, avec des gens simples et imparfaits, différents de ses riches et puissants mécènes, refusa cette offre. Qui sait comment la vie d'un sage aurait tourné s'il n'avait pas eu la chance d'être ami avec les puissants de ce monde et était resté un poète parmi les artisans ordinaires.
Catégorique et maximalisme ou tolérance et tolérance ?
Encore plus difficile qu'avec la qualité de la nourriture, la situation est avec les gens qui nous entourent. Avec ceux que nous ne choisissons pas (nos proches) et avec ceux avec qui nous relions nos vies, les appelant une fois bien-aimés. Malheureusement, l'humanité n'a pas grand-chose à se vanter dans le domaine de l'amélioration. Bien sûr, nous sommes déjà un peu plus cultivés que les Néandertaliens, mais il y a assez de sauvagerie dans notre vie. Et au niveau du ménage le plus courant. Nous-mêmes pouvons facilement être attribués à ceux qu'Omar Khayyam appelle « n'importe qui » dans son poème.Les personnes idéales n'existent pas et c'est formidable, à mon avis. Chaque personne qui nous entoure, au moins un jour, tombera dans la catégorie inutile, gênant, inconfortable pour quelqu'un. Pourquoi ne vivrions-nous pas maintenant ? Isoler les uns des autres et attendre des partenaires parfaits et des relations parfaites ? Le même sage oriental, déjà dans un autre poème, affirme à nouveau de manière maximaliste : "Celui qui vit avec une mésange dans les mains ne trouvera certainement pas son oiseau de feu." Merci, grand-père Khayyam. Imprimé! "Certainement pas trouvé ?!" Tire la langue, mon vieux ! Tu nous as coupé toutes les ailes.
En suivant ce conseil, vous pourrez chasser toute votre vie la grue mythique sans vous rendre compte que la mésange qu'on vous proposait de tenir dans vos mains et qui paraissait grise et insignifiante était notre vraie grue. Des fois ça arrive!
Ou peut-être ne devrions-nous pas courir après les grues, mais l'amour. Pour la chaleur et l'harmonie, pour les personnes à qui nous pourrions donner une partie de notre âme et les aider à devenir heureux. Que ces seins, de l'avis de quelqu'un, ne semblent pas si brillants, influents et grands, mais ce seront des personnes proches de nous.
L'amour et l'amitié n'est pas une recherche de personnes agréables, c'est une intimité dans laquelle tout peut être : joie et bonheur, moments agréables et pas très agréables, paroles et actes gentils et pas trop gentils.
L'amour n'est pas un beau conte de fées idéal qui n'apporte que de la joie et de la légèreté, c'est la vie elle-même avec toutes ses difficultés, ses contradictions, ses erreurs et ses doutes. L'amour n'est jamais parfait, mais s'il est dans votre cœur, même les plus grandes difficultés sont surmontables.
L'amour nous donne confiance en nous-mêmes et en les gens, aussi imparfaits soient-ils. D'ailleurs, parfois nous aimons encore plus ceux qui sont loin d'être idéaux. Nous n'aimons pas parce qu'ils volent comme des grues. Et tout simplement parce qu'ils sont dans le monde. Parfois, il est difficile d'expliquer pourquoi nous les aimons. Mais c'est la seule chose qui nous rend vraiment sage et heureux.
Pauvre homme, pensait-il que tout le monde prendrait soudainement ses rubis en service au sens littéral et justifierait son incapacité à communiquer avec les gens et à être tolérant et tolérant envers eux ? Je demanderais à Khayyam : « Et si mon bien-aimé faisait quelque chose de désagréable pour moi, se comportait comme « n'importe qui », offensait, faisait l'imbécile, les toilettes aspergent… Jetez-le hors de votre vie et mourrez de faim seul à nouveau ?"
Je me demande ce que le vieil homme répondrait...
Il vaut mieux mourir de faim que de manger à peu près n'importe quoi ;
Il vaut mieux être seul qu'avec n'importe qui !
Nous avons lu les poèmes d'Omar Khayyam, sans se douter que cet homme étonnant était aux origines de l'algèbre, a développé l'astronomie et sa sœur, l'astrologie. Sa grande découverte fut l'astrologie nutritionnelle : il fut le premier à compiler un livre de cuisine pour les signes du zodiaque et inventa de nombreuses recettes étonnantes.
Enfant unique de la famille d'un riche artisan, Omar, dont le nom se traduit par « vie », était la raison d'être de ses parents. Sa vie jusqu'à l'âge de vingt ans fut libre et agréable. Dans la madrasah, il a été formé par les meilleurs professeurs - mathématiciens, philosophes, médecins, astronomes et astrologues, il aimait étudier les sciences, écrivait les premiers poèmes encore ineptes et, comme tous les poètes, négligeait la prose de la vie. Si à la maison il avait parfois l'occasion de jeter un coup d'œil dans la cuisine, ce n'était que pour recevoir une délicieuse gâterie de sa mère. Mais, comme on dit, toutes les bonnes choses ont une fin tôt ou tard. Après la mort de ses parents, Khayyam a dû fuir Nishapur, laissant la fortune assez importante de son père à piller...
Le sac à bandoulière en toile du fugitif ne contenait que quelques-uns des livres les plus précieux et une petite quantité de nourriture. Il a pris la route, ne comptant que sur sa force et son endurance. Lorsque les jambes battues ont supplié de s'arrêter et que ma tête tournait à cause de la chaleur, une maison isolée au bord de la route est apparue au loin. Sur son seuil était assis un vieil homme qui rappelait fortement à Omar son père. "Entrez, vagabond", dit le vieil homme, n'attendant ni participation ni refus.
- Avez-vous de l'eau, père ? - Omar s'assit à côté de lui sur le seuil.
- J'ai tout. Mais il n'y a pas de force pour supporter sa pauvre vie, - dit lentement le vieil homme.
Omar a soigneusement examiné l'interlocuteur et s'est rendu compte qu'il mourait d'épuisement. Le jeune homme a attrapé le vieil homme sous ses aisselles, l'a porté dans la maison et l'a étendu sur le canapé. J'ai couru jusqu'au fossé d'irrigation, j'ai apporté de l'eau, j'ai donné à boire à l'aîné, puis je suis allé à la cuisine... Et puis pour la première fois, il a regretté de ne pas savoir comment cuisiner !
Mais il n'y avait rien à faire - la peur que le vieil homme ne meure d'épuisement sous ses yeux l'obligeait à agir sans tarder. Omar trouva un gros morceau de bœuf dans le garde-manger et le coupa, heureux que les lanières soient fines. Il alluma un feu et mit un lourd chaudron en cuivre à chauffer. Se souvenant que dans la maison parentale la viande était servie avec des légumes, il se rendit au jardin.
Omar ressentit soudain une étrange inspiration - comme s'il savait toujours ce qu'il devait faire, n'oubliant qu'un peu. De retour à la cuisine, il s'est déjà mis au travail avec confiance ... Il a rappelé les enseignements d'Ibn Sina, qui a fait valoir qu'un mélange d'ail, de vin et de sauce de soja redonne rapidement des forces perdues à une personne, il s'est rendu compte que la viande est un produit nutritif , vieilli dans ce mélange cicatrisant, il s'avérera encore plus savoureux et sain et deviendra un véritable médicament pour un vieil homme émacié. Bientôt le bœuf était prêt...
Saler, goûter un morceau de viande avec une pincée de garniture de légumes, Omar lui-même a été étonné de voir à quel point cela s'est avéré délicieux ! Avec un sourire fier, il mit la viande et les légumes dans un petit bol et l'apporta au vieil homme. Il a goûté :
- Oh-oh-oh, fils ! Oui, tu as un vrai don ! - et, secouant sa tête grise, regarda le jeune homme d'un air significatif.
"C'est ma première cuisine", Omar baissa les yeux. — Eh bien, j'ai vu une ou deux fois comment ma mère et les bonnes s'affairent avec la viande… Mais j'ai bien aimé cette leçon !
Le vieil homme avidement, sans laisser tomber une bouchée, a mangé la friandise. Omar a également vidé son bol en un rien de temps, pliant ses paumes, avec une courte prière remercié Allah pour l'abri et le pain quotidien, et s'est tourné vers le propriétaire :
- J'ai étudié beaucoup de traités médicaux à la madrasah. Et l'idée m'est souvent venue que la nourriture est le meilleur remède contre toutes les maladies. Le grand Ibn Sina n'a pas eu le temps de donner à cette science un développement digne, mais il me semble que je peux continuer et achever le travail qu'il avait commencé...
- Qu'Allah te porte chance, mon fils !
Quelques mois plus tard, Khayyam quitta la maison hospitalière au bord de la route, laissant le vieil homme étonnamment plus fort et rajeuni en bonne santé, et continua son chemin. Après s'être installé à Ispahan, il poursuit ses études de mathématiques, écrit ses premières côtelettes, et en même temps apprend avec enthousiasme à cuisiner, collectionne et améliore de vieilles recettes !
Des rumeurs sur Omar Khayyam, un homme qui sait cuisiner des plats incroyables, se sont répandues dans tout Ispahan. Une fois, le grand sultan Malikshah lui-même a envoyé son vizir au poète avec une proposition - devenir un nadim de la cour.
Au cours des dix années suivantes, il organisa des réceptions somptueuses, divers divertissements pour le souverain, inventa de toutes nouvelles recettes étonnantes et développa des tables nutritionnelles astrologiques, dans lesquelles il décrivait en détail quelle nourriture devait être consommée par les représentants de divers signes du zodiaque. (Ce travail lui a valu une renommée mondiale - même aujourd'hui, les astrologues de nombreux pays de l'Est utilisent ses tables !)
Après la mort du souverain, Omar Khayyam a quitté le palais et s'est rendu à Boukhara, où jusqu'au dernier jour il a été engagé dans la construction d'un observatoire, observant les luminaires, affinant ses calculs dans la nouvelle science qu'il a créée - l'astrologie nutritionnelle. Il est mort à un âge avancé avec un sourire heureux sur les lèvres, composant des commentaires sur les régimes thérapeutiques...
Boeuf Hayama
- filet de boeuf 450 g
- huile de tournesol 4 c. l.
- radis 10 pcs.
- concombre 1 pièce
- ail 4 gousses
- sauce soja noire 8 cuillères à soupe l.
- xérès sec 4 c. l.
- sucre cristallisé 4 cuillères à café
- racine de gingembre râpé 1 cuillère à café
- sel au goût
Eplucher l'ail, passer au presse, saler légèrement. Dans un bol, mélanger l'ail écrasé, la sauce soja et le xérès. Verser le sucre cristallisé dans le mélange. Battre jusqu'à ce que le sucre soit complètement dissous. Lavez la viande, séchez-la, coupez-la en fines lanières. Verser sur la marinade cuite et laisser reposer 12 heures. Faites chauffer l'huile dans une poêle et ajoutez la viande. Faites frire à feu vif, en remuant constamment, pendant 5 à 7 minutes. Couper le concombre frais en fines lanières. Mélangez les concombres avec les radis, salez, saupoudrez de gingembre et servez comme garniture pour la viande.
L'image du grand poète de l'Orient, Omar Khayyam, est couverte de légendes, et sa biographie est pleine de secrets et de mystères. L'Orient ancien connaissait Omar Khayyam principalement comme un scientifique exceptionnel : mathématicien, physicien, astronome, philosophe. Dans le monde moderne, Omar Khayyam est mieux connu comme poète, créateur de quatrains philosophiques et lyriques originaux - sage, plein d'humour, de ruse et d'insolence du Rubai.
Le rubai est l'un des genres les plus complexes de la poésie tadjiko-persane. Le volume de Rubai est de quatre vers, dont trois (rarement quatre) riment entre eux. Khayyam est le maître consommé de ce genre. Ses rubai étonnent par la précision de l'observation et la profondeur de la compréhension du monde et de l'âme humaine, la luminosité des images et la grâce du rythme.
Vivant dans l'est religieux, Omar Khayyam pense à Dieu, mais rejette résolument tous les dogmes de l'église. Son ironie et sa libre pensée se reflétaient dans le rubis. Il a été soutenu par de nombreux poètes de son temps, mais par crainte d'être persécuté pour libre-pensée et blasphème, ils ont également attribué leurs œuvres à Khayyam.
Omar Khayyam est un humaniste, pour lui l'homme et son monde spirituel sont avant tout. Il apprécie le plaisir et la joie de vivre, le plaisir de chaque minute. Et son style de présentation a permis d'exprimer ce qui ne pouvait pas être dit à haute voix en texte clair.
15 citations profondes et inégalées d'Omar Khayyam sur l'homme, le bonheur et l'amour :
- Être belle ne veut pas dire naître,
Après tout, nous pouvons apprendre la beauté.
Quand un homme est beau dans l'âme -
Quels looks peuvent lui correspondre ? - L'âme inférieure de l'homme, le nez supérieur vers le haut.
Il atteint avec son nez où son âme n'a pas grandi. - Celui qui est battu par la vie obtiendra plus.
Celui qui a mangé une bouchée de sel au-dessus valorise le miel.
Celui qui verse des larmes rit sincèrement.
Celui qui est mort, il sait qu'il vit ! - Deux personnes regardaient par une fenêtre. On a vu de la pluie et de la boue.
L'autre est feuillage ligaturé vert, printemps et ciel bleu.
Deux personnes regardaient par une fenêtre. - Nous sommes une source de plaisir - et une mine de chagrin.
Nous sommes un dépôt d'ordures - et une source pure.
Une personne, comme dans un miroir, le monde a plusieurs visages.
Il est insignifiant - et il est immensément grand ! - Combien de fois, en faisant des erreurs dans la vie, nous perdons ceux que nous apprécions.
En essayant de plaire à des étrangers, nous fuyons parfois nos voisins.
Nous exaltons ceux qui ne sont pas dignes de nous, mais nous trahissons les plus fidèles.
Qui nous aime tant, nous offensons et nous attendons nous-mêmes des excuses.
- Nous n'entrerons jamais dans ce monde pour toujours,
nous ne rencontrerons jamais d'amis à table.
Capturez chaque instant de vol -
vous ne le guetterez jamais. - N'envie pas celui qui est fort et riche,
l'aube est toujours suivie du coucher du soleil.
Avec cette vie, courte, égale au souffle,
Traitez comme cela vous est donné pour une location. - Je pense qu'il vaut mieux être seul
Que de donner la chaleur de l'âme à "quelqu'un".
Offrir un cadeau inestimable à n'importe qui,
Ayant rencontré un être cher, vous ne pourrez plus aimer. - N'est-il pas ridicule d'économiser un centime pendant un siècle,
Si vous ne pouvez pas acheter la vie éternelle de toute façon ?
Cette vie t'a été donnée, mon cher, pour un moment -
Essayez de ne pas perdre votre temps. - Se donner ne veut pas dire vendre.
Et dormir à côté ne veut pas dire dormir.
Ne pas se venger ne veut pas dire tout pardonner.
Ne pas être proche ne veut pas dire ne pas aimer.
- Vous pouvez séduire un homme qui a une femme, vous pouvez séduire un homme qui a une maîtresse, mais vous ne pouvez pas séduire un homme qui a une femme aimée.
- Pour vivre sagement, il faut en savoir beaucoup,
N'oubliez pas deux règles importantes pour commencer :
Tu préfères mourir de faim que de manger n'importe quoi
Et il vaut mieux être seul qu'avec n'importe qui. - Ne fais pas le mal - il reviendra comme un boomerang,
Ne crachez pas dans le puits - vous boirez de l'eau,
N'insulte pas quelqu'un en dessous du rang
Et soudain, vous devez demander quelque chose.
Ne trahissez pas vos amis, vous ne pouvez pas les remplacer,
Et ne perdez pas vos proches - vous ne reviendrez pas,
Ne vous mentez pas - vous vérifierez avec le temps
Que tu te trahis avec ce mensonge. - La fleur cueillie doit être présentée, le poème commencé doit être achevé et la femme bien-aimée doit être heureuse, sinon vous n'auriez pas dû entreprendre quelque chose que vous ne pouvez pas vous permettre.
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L'image du grand poète de l'Orient, Omar Khayyam, est couverte de légendes, et sa biographie est pleine de secrets et de mystères. L'Orient ancien connaissait Omar Khayyam principalement comme un scientifique exceptionnel : mathématicien, physicien, astronome, philosophe. Dans le monde moderne, Omar Khayyam est mieux connu comme poète, créateur de quatrains philosophiques et lyriques originaux - sage, plein d'humour, de ruse et d'insolence du Rubai.
Le rubai est l'un des genres les plus complexes de la poésie tadjiko-persane. Le volume de Rubai est de quatre vers, dont trois (rarement quatre) riment entre eux. Khayyam est le maître consommé de ce genre. Ses rubai étonnent par la précision de l'observation et la profondeur de la compréhension du monde et de l'âme humaine, la luminosité des images et la grâce du rythme.
Vivant dans l'est religieux, Omar Khayyam pense à Dieu, mais rejette résolument tous les dogmes de l'église. Son ironie et sa libre pensée se reflétaient dans le rubis. Il a été soutenu par de nombreux poètes de son temps, mais par crainte d'être persécuté pour libre-pensée et blasphème, ils ont également attribué leurs œuvres à Khayyam.
Omar Khayyam est un humaniste, pour lui l'homme et son monde spirituel sont avant tout. Il apprécie le plaisir et la joie de vivre, le plaisir de chaque minute. Et son style de présentation a permis d'exprimer ce qui ne pouvait pas être dit à haute voix en texte clair.
L'image du grand poète de l'Orient, Omar Khayyam, est couverte de légendes, et sa biographie est pleine de secrets et de mystères. L'Orient ancien connaissait Omar Khayyam principalement comme un scientifique exceptionnel : mathématicien, physicien, astronome, philosophe. Dans le monde moderne, Omar Khayyam est mieux connu comme poète, créateur des quatrains philosophiques et lyriques originaux - sage, plein d'humour, de ruse et d'insolence du Rubai.
Le rubai est l'un des genres les plus complexes de la poésie tadjiko-persane. Le volume de Rubai est de quatre vers, dont trois (rarement quatre) riment entre eux. Khayyam est le maître consommé de ce genre. Ses rubai étonnent par la précision de l'observation et la profondeur de la compréhension du monde et de l'âme humaine, la luminosité des images et la grâce du rythme.
Vivant dans l'est religieux, Omar Khayyam pense à Dieu, mais rejette résolument tous les dogmes de l'église. Son ironie et sa libre pensée se reflétaient dans le rubis. Il a été soutenu par de nombreux poètes de son temps, mais par crainte d'être persécuté pour libre-pensée et blasphème, ils ont également attribué leurs œuvres à Khayyam.
Omar Khayyam est un humaniste, pour lui l'homme et son monde spirituel sont avant tout. Il apprécie le plaisir et la joie de vivre, le plaisir de chaque minute. Et son style de présentation a permis d'exprimer ce qui ne pouvait pas être dit à haute voix en texte clair.
15 citations profondes et inégalées d'Omar Khayyam sur l'homme, le bonheur et l'amour :
- Être belle ne veut pas dire naître,
Après tout, nous pouvons apprendre la beauté.
Quand un homme est beau dans l'âme -
Quels looks peuvent lui correspondre ?
- L'âme inférieure de l'homme, le nez supérieur vers le haut.
Il atteint avec son nez où son âme n'a pas grandi.
- Celui qui est battu par la vie obtiendra plus.
Celui qui a mangé une bouchée de sel au-dessus valorise le miel.
Celui qui verse des larmes rit sincèrement.
Celui qui est mort, il sait qu'il vit !
- Deux personnes regardaient par une fenêtre. On a vu de la pluie et de la boue.
L'autre est feuillage ligaturé vert, printemps et ciel bleu.
Deux personnes regardaient par une fenêtre.
- Nous sommes une source de plaisir - et une mine de chagrin.
Nous sommes un dépôt d'ordures - et une source pure.
Une personne, comme dans un miroir, le monde a plusieurs visages.
Il est insignifiant - et il est immensément grand !
- Combien de fois, en faisant des erreurs dans la vie, nous perdons ceux que nous apprécions.
En essayant de plaire à des étrangers, nous fuyons parfois nos voisins.
Nous exaltons ceux qui ne sont pas dignes de nous, mais nous trahissons les plus fidèles.
Qui nous aime tant, nous offensons et nous attendons nous-mêmes des excuses.
- Nous n'entrerons jamais dans ce monde pour toujours,
nous ne rencontrerons jamais d'amis à table.
Capturez chaque instant de vol -
vous ne le guetterez jamais.
- N'envie pas celui qui est fort et riche,
l'aube est toujours suivie du coucher du soleil.
Avec cette vie, courte, égale au souffle,
Traitez comme cela vous est donné pour une location.
- Je pense qu'il vaut mieux être seul
Que de donner la chaleur de l'âme à "quelqu'un".
Offrir un cadeau inestimable à n'importe qui,
Ayant rencontré un être cher, vous ne pourrez plus aimer.
- N'est-il pas ridicule d'économiser un centime pendant un siècle,
Si vous ne pouvez pas acheter la vie éternelle de toute façon ?
Cette vie t'a été donnée, mon cher, pour un moment -
Essayez de ne pas perdre votre temps.
- Se donner ne veut pas dire vendre.
Et dormir à côté ne veut pas dire dormir.
Ne pas se venger ne veut pas dire tout pardonner.
Ne pas être proche ne veut pas dire ne pas aimer.
- Vous pouvez séduire un homme qui a une femme, vous pouvez séduire un homme qui a une maîtresse, mais vous ne pouvez pas séduire un homme qui a une femme aimée.
- Pour vivre sagement, il faut en savoir beaucoup,
N'oubliez pas deux règles importantes pour commencer :
Tu préfères mourir de faim que de manger n'importe quoi
Et il vaut mieux être seul qu'avec n'importe qui.
- Ne fais pas le mal - il reviendra comme un boomerang,
Ne crachez pas dans le puits - vous boirez de l'eau,
N'insulte pas quelqu'un en dessous du rang
Et soudain, vous devez demander quelque chose.
Ne trahissez pas vos amis, vous ne pouvez pas les remplacer,
Et ne perdez pas vos proches - vous ne reviendrez pas,
Ne vous mentez pas - vous vérifierez avec le temps
Que tu te trahis avec ce mensonge.
La fleur cueillie doit être présentée, le poème commencé doit être achevé et la femme bien-aimée doit être heureuse, sinon vous n'auriez pas dû entreprendre quelque chose que vous ne pouvez pas vous permettre.
Les personnes qui croient que la solitude = le malheur, et essaient donc de renouer avec toutes leurs connaissances "solitaires", méritent une zadolbashka séparée, mais maintenant nous ne parlerons pas d'elles, mais seulement de ceux avec qui elles essaient de me réunir.
Oui, A., je suis également confus par notre différence de hauteur. Merci beaucoup pour les compliments comme "Eh bien, non # $ je suis moi-même, tu es en bonne santé!", Parce que la hauteur de 170 centimètres est incroyablement bien pour une fille, et le fait que tu sois une coupe plus courte que moi est aussi mon problème, malgré le fait que je suis même venu en chaussons de ballet juste au cas où.
Oui, V., ce sont des tatouages. Oui, il y a encore sous les vêtements. Et les piercings aussi. Je suis très heureux que vous considériez cela comme une "abomination" et qu'une fille, à votre avis, doive et doive avoir une peau propre. Le rouge à lèvres rouge est-il le lot des prostituées ? Une théorie très intéressante sur l'influence du maquillage sur la profession. Voulez-vous épouser une vierge? Euh, je voudrais aussi une jeunesse pure et immaculée, mais où puis-je trouver ça ?
Non, M., je ne plaisante pas, et ce n'est pas du sarcasme. Je trouve vraiment votre travail à l'usine très intéressant. Vous êtes probablement très économe, vous pouvez accrocher une étagère et réparer une voiture. Contrairement à tous ces « pédés maigres en chemises » que choisissent les filles, et les gars normaux souffrent seuls. Eh bien, comme seul, en compagnie de la vodka et de la mère bien-aimée. Après tout, l'intégralité du salaire revient au premier, et le second est responsable de tout, puisqu'il ne prend pas la main et ne conduit pas son fils au poste de directeur de Gazprom.
D'accord, d'accord, K., après la dixième description de tes plaisirs au lit avec ton ex, j'ai réalisé que j'avais une bête, un mâle et un macho. C'est dommage, je ne suis pas le directeur d'un studio porno, peut-être que dans ce cas nous aurions eu un deuxième "rendez-vous".
R., je vous suis très reconnaissante d'être une féministe si progressiste, vous ne payez pas pour une fille et ne tenez même pas la porte, eh bien, en tant que femme forte et indépendante, je ne veux pas dépenser mon argent sur de la bière bon marché et des billets pour un autre chef-d'œuvre du cinéma russe. Qu'est-ce que je google ? Taux moyens de prostituées dans la ville. Puisque vous me demandez d'avoir des relations sexuelles au premier rendez-vous parce que vous avez quand même payé pour le film, je veux calculer combien de semaines il nous faudra encore pour y aller.
Oui, S., qui m'a semblé être un type intelligent et intelligent dans ma correspondance, je vous propose sérieusement de passer votre premier rendez-vous chez moi. Oui, oui, tout comme dans "les films américains stupides, eh bien, où est-ce qu'un mec invite une nana, la prépare à dévorer, et puis vin-film-dominos, gee-gee-gee." Bien que, vous savez, j'ai déjà changé d'avis.
Les gars, comprenez, la solitude n'est pas une malédiction, pas un cauchemar et pas une horreur, dont vous devez de toute urgence sauver. Je suis une femme adulte, belle et intelligente. Oui, je ne veux pas vous offenser, alors j'accepte tous ces "rendez-vous" juste par politesse. Au contraire, elle a accepté, parce que vous et vos candidats m'avez déjà dérangé. Rencontrez ces "hommes de rêves" vous-même et laissez-moi tranquille.
D'une part, je dis toujours qu'il vaut la peine de nouer une relation uniquement avec une telle personne avec qui vous êtes à l'aise. Si, dans une relation, vous devez endurer, éduquer, plier, manipuler, tout cela suggère que ces relations sont toxiques et que leurs participants sont des personnes profondément névrosées. Mais d'un autre côté, il y a un revers à la médaille, quand tous les gars ne sont pas assez bien pour une fille et qu'elle rompt à plusieurs reprises les relations au tout début, car elle est sûre qu'elle trouvera quelqu'un de mieux. Voyons quel est le problème ici.
Bien sûr, tout le monde veut ne pas boire, fumer et toujours offrir des fleurs pour être décent, riche, prometteur, charmant, avec un sens de l'humour, attentionné, courageux... Et qui dirait qu'il vaut mieux être en bonne santé et riche que pauvre et malade. Mais tout cela est "de la tête". Ceci est un calcul.
Le problème est que personne n'a jamais aimé quelqu'un pour un mérite particulier. Personne ne vous dira : « J'aime mon mari parce qu'il ne boit pas et ne fume pas. Ou : "Je suis tombé amoureux de Vasya quand j'ai découvert quel était son salaire." Pour la dignité, vous pouvez respecter, vous pouvez admirer, mais pas aimer.
Néanmoins, beaucoup de filles préfèrent construire des relations sur la base du calcul, car elles sont déçues par l'amour. Eh bien, ils n'ont pas rencontré leur amour. Et ils ont décidé qu'il n'y avait pas d'amour. Parce que ça fait déjà 20 ans, mais Herman est toujours parti. Et ils disent: "Rencontrez un bon gars et nous serons heureux." Mais si vous parlez cœur à cœur avec une telle fille, il s'avère qu'il y avait de l'amour dans sa vie. Eh bien, il n'arrive pas que pendant 25-30 ans une personne n'ait jamais été amoureuse. Quelque chose a mal tourné : il l'a quittée, il ne voulait pas se marier, l'a maltraitée, autre chose. C'est particulièrement traumatisant s'il y a eu plusieurs histoires de ce genre. Une attitude douloureuse se forme : l'amour est souffrance, je ne veux pas souffrir, ce qui veut dire que je n'ai pas besoin d'amour.
L'amour normal et sain, pour ainsi dire, deviendra possible dès qu'une fille se rendra compte de son problème: pour une raison quelconque, elle choisit encore et encore les mauvais gars. Elle n'a pas confiance en elle, elle a grandi dans une famille toxique, elle a des complexes - il peut y avoir un million de raisons. Mais vous devez vous débrouiller avec vous-même. Une fille sûre d'elle, consciente de ses besoins, respectant ses propres limites et celles des autres, attirera certainement une personne ayant une image similaire du monde et elles s'aimeront certainement. C'est ainsi que fonctionne la vie : le semblable attire le semblable. Et si les agresseurs vous « clouent » encore et encore, cela signifie que vous en avez besoin pour une raison quelconque, vous les attirez. Peut-être que vous avez eu un père agressif, peut-être qu'il a battu votre mère, et ce modèle familial douloureux est ancré dans le subconscient. Si vous tombez sur des huards indifférents et incapables d'empathie, peut-être que dans votre enfance, l'amour a été remplacé par des provisions : bien nourris, en bonne santé, il y a des jouets - au revoir, de quoi d'autre avez-vous besoin. Après avoir réglé ce problème (peut-être - seule, peut-être - avec l'aide d'un psychologue), la fille changera sa vie et découvrira qu'il y a beaucoup de gars sympas avec qui elle peut nouer des relations saines. Et vous n'avez pas à traverser sans fin ou à craindre de rester seul.
C'est-à-dire que le problème même de « passer au travers » ou « épouser le premier venu » disparaîtra dès que « le mariage de raison vaut mieux que l'amour » et « je dois me marier à tout prix et le plus tôt possible » aura disparu .
J'en dirai plus : les mariages de complaisance sont massivement voués à la désintégration, s'il ne s'agit pas d'un mariage fictif par accord des deux parties. Dans un autre cas, il sera physiquement désagréable pour l'un des partenaires de partager le lit avec une personne mal-aimée, sa voix, son odeur vont irriter, les querelles vont forcément partir, mais vous ne voulez pas vous réconcilier non plus... Par conséquent, tout d'abord, vous devez « réparer » votre capacité à aimer et à être aimé, et deuxièmement, arrêter de considérer tous les hommes comme des maris potentiels, pour commencer simplement à vivre.
Parlons maintenant des "difficiles". Celui-ci est bon pour tout le monde, mais rapporte peu. Et celle là-bas est riche, mais les femmes changent comme des gants. Et celui-ci semble être loyal et dévoué, mais vit avec sa mère. Nous cherchons plus loin. Qu'est-ce qu'il y a derrière ça ? Peur. Peur des relations en tant que telles. Car il n'y a pas d'idéal. Il s'agit d'une image collective avec laquelle vous êtes isolé de la vie réelle. Cela survient parce que les gens ne sont pas sûrs d'être eux-mêmes capables de construire une relation normale avec une personne vivante.
Comment tracer la frontière entre la pathologie et la norme ? C'est simple. Vos sentiments doivent correspondre à vos pensées. Une fois que cela s'est produit - bingo, vous atteignez le top dix. C'est-à-dire que dans une relation, vous devriez être à l'aise à tous les niveaux, de l'émotionnel au physique et au raisonnable. Lorsque vous êtes attiré par une personne, mais que vous êtes conscient qu'elle vous convient objectivement. Que ce n'est pas seulement "je ne peux pas vivre sans lui", mais "je veux vivre avec cet homme sérieux, fiable, décent et responsable, pour qui je suis très attiré".
Le rencontrerez-vous ? Si vous avez lu attentivement le cinquième paragraphe, assurez-vous.
Nous obtenons tous ce que nous méritons en amour. Et notre partenaire est toujours notre reflet. Comme Little Raccoon avait peur de celui qui était assis dans l'étang. Alors n'attrapez pas de bâton. Le sourire.
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