Char moyen allemand Tiger Panzerkampfwagen IV. Historique et description détaillée

Examen du réservoir de guide vidéo Pz.Kpfw. IV World of Tanks

Pz.Kpfw. Char IV, qui est un représentant dans le jeu et est au 5ème niveau de développement. Pour Pz.Kpfw. Le guide IV n'est pas la principale instruction clé d'utilisation, le guide sert à fournir des informations de base et de petites recommandations, sinon vous devez agir sur la base de la situation actuelle. Ce modèle a une très bonne réputation auprès des joueurs et possède de vrais prototypes. Ce char a participé à la Seconde Guerre mondiale et a montré un assez bon potentiel de combat. Quant au jeu, pour son plein pompage vous ne devriez avoir aucun problème et après quelques batailles il sera possible de continuer le développement, qui est présenté par VK 36.01 H. ...

Pour Pz.Kpfw. L'examen IV est à titre informatif et vous permet de faire ressortir les forces et les faiblesses de cette machine. La technique a une excellente capacité de cross-country et un armement, a des erreurs en termes de réservation. Pour son potentiel de tir, ce véhicule utilise un canon de 75 mm avec un taux de pénétration de 110 mm et des dégâts de 110 HP. La cadence de tir dans cette situation atteint 15 coups par minute.

La vitesse maximale est de 48 km / h, la masse atteint 28 tonnes et le moteur a une puissance de 440 ch. Il convient de garder à l'esprit que la vue a une limite de 350 mètres.

Le blindage du char est :

Corps: front - 80 mm, côtés - 30, karma - 20 mm.
Tour : front - 50, côté latéral - 30 mm, arrière de la tour - 30 mm.

Sans modules supplémentaires, le matériel militaire sera simplement une cible facile, qui sera détruite en quelques coups :

Rammer - améliore le rechargement des armes à feu ;
Optique éclairée - permet à l'indicateur de vue de mieux balayer le terrain;
Ventilation améliorée - améliore les performances des compétences de l'équipage.

trousse de réparation;
extincteur d'incendie;
trousse de premiers secours.

Équipage.

N'oubliez pas l'équipage, qui est pratiquement le système de propulsion d'un véhicule de combat.

Commandant : Eagle Eye, Confrérie de guerre, Réparation
Mécanicien de conducteur : réparation, bb, bon fonctionnement ;
Artilleur : rotation de la tourelle en douceur, bb, réparation ;
Opérateur radio : réparation, bb, interception radio ;
Chargeur : réparation, bb, désespéré.

Pz.Kpfw. IV World of Tanks

Points faibles

Mais qu'en est-il des faiblesses du Pz.Kpfw 4, il est plutôt faible à cet égard. Ses projections sont très faciles à pénétrer avec une arme moyenne de niveaux similaires. Sur la base des indicateurs de blindage, la tour devrait être la priorité pour l'attaque, car elle a l'indicateur de blindage le plus bas. Mais compte tenu de la projection frontale de la coque, vous pouvez tirer en toute sécurité sur des panneaux rectangulaires, plus précisément aux endroits où se trouvent les masques de mitrailleuses. Quant aux autres projections, elles passent assez facilement et se permettent presque toujours de rater des dégâts critiques.

Comparaison de technique.

Mais en termes de comparaison de potentiel de combat, notre monstre d'acier allemand était sur la deuxième ligne du classement, avec son frère Pz.Kpfw. III/IV. La position de leader appartient, la troisième ligne est allée à l'américain et à M7. Mais le chinois ferme la cote.

Pz.Kpfw. IV quelle arme mettre

Tactiques de combat.

Mais comme cela arrive souvent, les indicateurs techniques sont loin d'être les principaux déterminants de l'application tactique de la technologie. Pz.Kpfw. IV est idéal pour introduire le tir de sniper et soutenir les alliés. N'essayez jamais de faire des miracles sur ce char, ils ne fonctionneront toujours pas, il est préférable de jouer prudemment en utilisant la planification. En aidant vos alliés, vous assurerez non seulement la victoire de l'équipe, mais aussi gagnerez beaucoup d'argent.

La décision de développer un char moyen (également appelé char de soutien d'artillerie) avec un canon court a été prise en janvier 1934. L'année suivante, les sociétés Krupp-Gruzon, MAN et Rheinmetall-Borzig ont présenté leurs prototypes pour les tests. Le CSKA a aimé le projet Krupp. Les machines de la modification A ont été produites au cours de la 37e année, la modification B (les soi-disant lots d'installation) en 1938. Au cours de l'année suivante, 134 chars de la modification S ont été construits.

Le poids au combat des chars est de 18,4 à 19 tonnes, l'épaisseur du blindage peut atteindre 30 millimètres, la vitesse maximale sur autoroute est de 40 km / h et la portée de croisière est de 200 kilomètres. Un canon de 75 mm L/24 (calibre 24) et une mitrailleuse coaxiale ont été installés dans la tourelle. Un autre était situé à droite dans la feuille frontale de la coque dans une monture à boule. De par sa conception et sa configuration, le char reproduisait essentiellement le Pz Kpfw III moyen.

Pz.Kpfw.IV Ausf.B ou Ausf.C dans les exercices. novembre 1943

Chars moyens allemands PzKpfw IV Ausf H lors d'un exercice d'interaction avec l'équipage. Allemagne, juin 1944

Au 1er septembre 1939, la Wehrmacht disposait de 211 chars Pz Kpfw IV. Le char s'est montré excellent pendant la campagne de Pologne, et avec le char moyen Pz Kpfw III, il a été approuvé comme char principal. Sa production en série débute en octobre de la même année. Déjà dans la 40e année, 278 unités ont été produites. modifications D et E.

Au moment de l'invasion française, il y avait environ 280 chars Pz Kpfw IV dans les divisions blindées allemandes au moment de l'invasion française sur le théâtre occidental. Le fonctionnement en conditions de combat a montré que la protection blindée était insuffisante. En conséquence, l'épaisseur des feuilles de la partie frontale a été portée à 60 mm, les côtés - jusqu'à 40 mm, la tour - jusqu'à 50 mm. En conséquence, le poids de combat des modifications E et F produites en 40-41 est passé à 22 tonnes. Pour maintenir la pression spécifique dans des limites acceptables, la largeur des pistes a été légèrement augmentée - jusqu'à 400 millimètres au lieu de 380.

Les "fours" allemands ont perdu des combats avec des chars KB et T-34 de fabrication soviétique en raison de caractéristiques d'armes inadéquates. À partir du printemps 1942, des canons à canon long de 75 mm (L/43) commencèrent à être installés sur le Pz Kpfw IV. La vitesse initiale du projectile sous-calibré était de 920 mètres par seconde. C'est ainsi qu'est apparu le Sd Kfz 161/1 (modification F2), qui a même dépassé le T-34-76 en armement. La modification G a été produite en 1942-1943, H - à partir du 43e et J - à partir du 44 juin (toutes les modifications ont été codées comme Sd Kfz 161/2). Les deux dernières modifications se sont avérées les plus parfaites. L'épaisseur des plaques de blindage frontal a été portée à 80 millimètres. La puissance du canon augmente : la longueur du canon est de 48 calibres. Le poids est passé à 25 000 kg. Ausf J dans une station-service pourrait se déplacer le long de l'autoroute sur une distance allant jusqu'à 320 kilomètres. Depuis 1943, sur tous les chars, des écrans de 5 mm sont devenus obligatoires, qui protégeaient les flancs et la tourelle de l'arrière et du côté des balles des fusils antichars et des obus cumulatifs.

Pz.Kpfw.IV Ausf.E. Yougoslavie, 1941

Pz.Kpfw.IV Ausf.F. Finlande, 1941

La coque soudée du char était de conception simple, même si elle ne différait pas par une pente rationnelle des plaques de blindage. Un grand nombre de trappes facilitait l'accès à divers mécanismes et assemblages, mais réduisait en même temps la résistance de la coque. Des cloisons divisent l'espace intérieur en trois compartiments. Le compartiment de contrôle occupait le compartiment avant, qui abritait les boîtes de vitesses : embarquées et générales. Le même compartiment abritait le conducteur et l'opérateur radio, tous deux disposant de leurs propres dispositifs d'observation. La tour aux multiples facettes et le compartiment du milieu ont été affectés au compartiment de combat. L'armement principal, le râtelier de munitions et le reste de l'équipage : chargeur, mitrailleur et commandant s'y trouvaient. La ventilation a amélioré l'exécution des trappes sur les côtés de la tourelle, mais elles ont réduit la résistance du char.

La coupole du commandant avait cinq instruments de visualisation avec des volets blindés. Il y avait aussi des fentes d'observation dans les trappes latérales de la tourelle et des deux côtés du masque du canon. Le tireur avait une lunette de visée. La tourelle était tournée manuellement ou à l'aide d'un moteur électrique, la visée verticale du canon n'était effectuée que manuellement. La charge de munitions comprenait des grenades fumigènes et hautement explosives, des obus cumulatifs, sous-calibrés et perforants.

Le compartiment moteur (à l'arrière de la coque) abritait un moteur à carburateur 12 cylindres refroidi à l'eau. Le châssis se composait de huit roues caoutchoutées de petit diamètre, qui étaient imbriquées en deux. Les ressorts à lames étaient des éléments de suspension élastiques.

Pz.Kpfw.IV Ausf.F2. France, juillet 1942

Pz.Kpfw.IV Ausf.H avec jupes latérales et revêtement en zimmerite. URSS, juillet 1944

Le char moyen Pz Kpfw IV s'est imposé comme un véhicule fiable et facile à contrôler. Cependant, sa capacité de cross-country, en particulier dans les chars lourdement lestés des dernières éditions, était plutôt médiocre. En termes de protection blindée et d'armement, il surpassait tous ceux similaires produits dans les pays occidentaux, à l'exception de quelques modifications des "Comets" britanniques et des M4 américains.

Caractéristiques techniques du char moyen Pz Kpfw IV (Ausf D / Ausf F2 / Ausf J) :
Année de sortie - 1939/1942/1944 ;
Poids de combat - 20 000 kg / 23 000 kg / 25 000 kg;
Équipage - 5 personnes ;
Longueur du corps - 5920 mm / 5930 mm / 5930 mm ;
Longueur avec canon vers l'avant - 5920 mm / 6630 mm / 7020 mm ;
Largeur - 2840 mm/2840 mm/2880 mm;
Hauteur - 2680 mm;
RÉSERVATION:
Épaisseur des plaques de blindage (angle d'inclinaison par rapport à la verticale) :
Partie frontale du corps - 30 mm (12 degrés) / 50 mm (12 degrés) / 80 mm (15 degrés);
Côtés de coque - 20 mm / 30 mm / 30 mm ;
La partie frontale de la tour - 30 mm (10 degrés) / 50 mm (11 degrés) / 50 mm (10 degrés);
Fond et toit du boîtier - 10 et 12 mm / 10 et 12 mm / 10 et 16 mm ;
ARME:
Marque de pistolet - KwK37 / KwK40 / KwK40;
Calibre - 75 mm
Longueur du fût - 24 cl. / 43 cl. / 48 cl.;
Munitions - 80 coups / 87 coups / 87 coups ;
Le nombre de mitrailleuses - 2;
Calibre des mitrailleuses - 7,92 mm;
Munitions - 2700 cartouches / 3000 cartouches / 3150 cartouches
MOBILITÉ:
Type et marque de moteur - Maybach HL120TRM ;
Puissance du moteur - 300 ch s. / 300 l. s. / 272 l. Avec.;
La vitesse maximale sur autoroute est de 40 km/h/40 km/h/38 km/h ;
Capacité de carburant - 470 l / 470 l / 680 l;
Croisière sur autoroute - 200 km / 200 km / 320 km ;
Pression au sol moyenne - 0,75 kg / cm2 / 0,84 kg / cm2 ; 0,89 kg / cm2.

En embuscade

Fantassins allemands au char PzKpfw IV. Zone de Viazma. octobre 1941

6-04-2015, 15:06

Bonne journée à tous! L'équipe ACES.GG est avec vous, et aujourd'hui nous allons parler du char moyen allemand de rang 5 Pz.Kpfw. IV Ausf. H. Considérez ses forces et ses faiblesses, analysez les caractéristiques de performance, ainsi que les méthodes et tactiques d'utilisation de cette machine au combat.

Char moyen allemand de rang 5 Pz.Kpfw. IV Ausf. H peut être ouvert avec le Pz.Kpfw. IV Ausf. D pour 12 800 points d'expérience, ainsi qu'avec l'aide d'un char léger du quatrième niveau Pz. 38 nA, mais déjà pour 15 000 points d'expérience. Il coûtera 373 000 crédits au moment de l'achat.

Analysons les caractéristiques de performance du Pz.Kpfw. IV ausf. H

Pz. IV H a un HP moyen à son niveau, qui est de 480. Bien sûr, ce n'est pas beaucoup, mais si vous ne les gaspillez pas en vain, c'est largement suffisant. La dynamique du réservoir est acceptable, elle ne provoque pas beaucoup d'inconfort. Le char gagne assez bien ses 40 km/h. Si nous parlons de réservation, alors le réservoir n'est pas le meilleur, surtout à l'arrière et sur les côtés. Mais un char peut facilement être touché, s'il est utilisé correctement, par des véhicules de son propre rang et inférieur. De plus, la voiture a une visibilité acceptable à son niveau, qui est de 350 mètres.

Pz.Kpfw. IV ausf. H

Parlons maintenant des canons, le char en a trois au choix.

Le premier est le 7,5 cm Kw.K. 40L / 43. Il nous est remis dans la configuration de stock de la cuve au moment de l'achat. Cette arme n'a pas d'avantages particuliers, mis à part sa cadence de tir. Mais nous devrons jouer avec lui jusqu'à ce que nous ouvrions l'une des armes suivantes.

Le deuxième canon, le 7,5 cm Kw.K. 40L / 48. Il peut être considéré comme le meilleur pour ce char, bien sûr, si vous n'êtes pas un fan des mines terrestres. Ce canon a une pénétration de blindage acceptable pour son rang. Pas le meilleur, mais toujours une bonne précision, ainsi qu'une bonne cadence de tir. Les dégâts moyens par tir sont de 110 unités, ce qui n'est pas de trop, mais je répète que pour son niveau c'est un indicateur parfaitement acceptable.

Et le troisième canon, le 10,5 cm Kw.K. L/28. Le principal avantage de cette arme réside dans ses obus cumulatifs. La pénétration est de 104 mm, ce qui n'est pas suffisant pour anéantir la plupart des adversaires auxquels le Pz.Kpfw sera confronté. IV Ausf. H. N'oubliez pas non plus les mines terrestres, avec leur aide, nous pourrons détruire des cibles faiblement blindées d'un seul coup. N'oubliez pas que cette arme a une très mauvaise précision, il est donc conseillé d'être toujours réduite jusqu'au bout.

Équipement sur le Pz.Kpfw. IV ausf. H

Standard pour moi et standard pour de nombreux chars moyens

pilonneuse de calibre moyen, ventilation améliorée et commandes de visée renforcées.

Compétences et compétences du Pz.Kpfw. IV ausf. H

Un choix standard et bon serait :

Commandant - Sixième sens, réparation, fraternité de combat.
Gunner - Réparation, virage en douceur de la tour Battle Brotherhood.
Chauffeur mécanicien - Réparation, douceur de roulement, fraternité de combat.
Opérateur radio - Réparation, Interception radio, Combat Brotherhood.
Chargeur - Réparation, porte-munitions de proximité, Combat Brotherhood.

Mon choix:

Le choix de l'équipement Pz.Kpfw. IV ausf. H

Il existe une autre norme ici, à savoir : une petite trousse de réparation, une petite trousse de premiers soins et un extincteur portatif. Je vous conseille d'utiliser des consommables premium, qui sont assez chers, mais peuvent augmenter considérablement la capacité de survie de votre véhicule au combat. Alors n'hésitez pas à mettre sur votre citerne une grosse trousse de réparation, une grosse trousse de premiers soins et un extincteur automatique. Vous pouvez également mettre une barre de chocolat à la place d'un extincteur automatique.

Tactiques et style de jeu Pz.Kpfw. IV ausf. H

La tactique de jouer le Pz. IV H dépend des niveaux de chars avec lesquels vous devez vous battre.

Pz.Kpfw. IV ausf. H en haut

Sur le Pz. IV H en haut est préférable en début de combat pour prendre une bonne position à moyenne ou longue distance, et tirer sur les ennemis pris dans la lumière. Vous pouvez également participer à un rush, si celui-ci est prévu. L'essentiel est de prendre en compte qu'il doit y avoir des alliés à côté de vous qui peuvent vous couvrir, ainsi que des abris pour lesquels vous pourrez partir après le tir afin de vous ressourcer. Grâce à la cadence de tir du canon de 7,5 cm, vous pouvez très bien infliger des dégâts à l'ennemi, et avec le canon de 10,5 cm, il sera possible de détruire des chars légèrement blindés d'un seul coup. L'essentiel avec tout cela est d'essayer de ne pas se substituer aux tirs ennemis.

Pz.Kpfw. IV ausf. H contre sixième niveaux

Dans les combats contre les sixièmes niveaux, vous pouvez également agir de manière agressive ou passive. Avec un style de jeu agressif, vous pouvez soutenir la ruée alliée, tirer sur les ennemis dans le dos des alliés, ou simplement vous concentrer sur la mise en évidence des chars ennemis pour les véhicules alliés. Et avec un style passif, vous devrez prendre une place dans les buissons et tirer des dégâts sur les ennemis pris dans la lumière. Plus important encore, nous devrons éviter les véhicules avec des dégâts moyens élevés par tir, tels que le KV-2, le KV-85 avec un canon de 122 mm, etc. Après tout, s'ils ne nous tuent pas d'un seul coup, ils nous paralyseront jusqu'à la fin de la bataille.

Pz.Kpfw. IV ausf. H contre septième niveaux

Contre les septièmes niveaux en première ligne, nous n'aurons rien à faire, il vaudra donc mieux agir à cause du dos des alliés de deuxième ou troisième ligne. Nous pourrons donc infliger des dégâts aux ennemis, sans les recevoir nous-mêmes, car de nombreux chars du septième niveau nous tueront en un ou deux coups. Eh bien, si ce genre de gameplay ne vous convient pas, vous pouvez essayer d'avancer prudemment vers le destin, qui décidera si vous allez vous plier ou simplement fusionner. Mais sérieusement, sur la première ligne, nous devrons agir très prudemment, car dans ce cas, nous deviendrons simplement un frag léger. Par conséquent, cette tactique est extrêmement risquée, mais si elle est effectuée correctement, elle peut porter ses fruits.

Eh bien, la chose la plus importante dans toute bataille devra être capable d'analyser correctement la carte, les files d'attente et la patrouille de vos alliés. Sur la base de l'analyse, il vaut déjà la peine de choisir la tactique et la direction dans laquelle vous agirez. N'oubliez pas non plus de regarder la mini-carte, de sorte que si quelque chose se produit en temps opportun, déplacez-vous dans une direction ou une autre où notre aide sera nécessaire.

Résultat

Pz. Le IV H est un char moyen typique à son rang, qui est assez bien équilibré et offre une tonne de plaisir à jouer. Le char a un assez bon potentiel, grâce auquel il sera possible d'influencer l'issue de la bataille. Aussi Pz. IV H, comme beaucoup de voitures du cinquième niveau, est assez capable de cultiver des crédits et d'apporter beaucoup de plaisir à son propriétaire en y jouant.

6-04-2015, 15:06

Analysons les caractéristiques de performance du Pz.Kpfw. IV ausf. H

Pz.Kpfw. IV ausf. H

Parlons maintenant des canons, le char en a trois au choix.

Équipement sur le Pz.Kpfw. IV ausf. H

Standard pour moi et standard pour de nombreux chars moyens

pilonneuse de calibre moyen, ventilation améliorée et commandes de visée renforcées.

Compétences et compétences du Pz.Kpfw. IV ausf. H

Un choix standard et bon serait :

Mon choix:

Le choix de l'équipement Pz.Kpfw. IV ausf. H

Tactiques et style de jeu Pz.Kpfw. IV ausf. H

La tactique de jouer le Pz. IV H dépend des niveaux de chars avec lesquels vous devez vous battre.

Pz.Kpfw. IV ausf. H en haut

Pz.Kpfw. IV ausf. H contre sixième niveaux

Pz.Kpfw. IV ausf. H contre septième niveaux

Résultat

". Un char lourd doté d'un blindage puissant et d'un canon mortel de 88 mm, ce char se distinguait par une beauté parfaite et véritablement gothique. Cependant, le rôle le plus important dans l'histoire de la Seconde Guerre mondiale a été joué par un véhicule complètement différent - Panzerkampfwagen IV (ou PzKpfw IV, ainsi que Pz.IV). Dans l'historiographie russe, il est généralement appelé T IV.

Le Panzerkampfwagen IV est le char allemand le plus massif de la Seconde Guerre mondiale. Le chemin de combat de ce véhicule a commencé en 1938 en Tchécoslovaquie, suivi par la Pologne, la France, les Balkans et la Scandinavie. En 1941, c'est le char PzKpfw IV qui est le seul digne adversaire des T-34 et KV soviétiques. Un paradoxe : bien que le T IV ait été nettement inférieur au « Tiger » en termes de caractéristiques principales, ce véhicule particulier peut être qualifié de symbole de blitzkrieg ; les principales victoires des armes allemandes lui sont associées.

La biographie de cet engin ne peut qu'être enviée : ce char a combattu dans les sables africains, dans les neiges de Stalingrad, s'apprêtant à débarquer en Angleterre. Le développement actif du char moyen T IV a commencé immédiatement après l'arrivée au pouvoir des nazis, et le T IV a mené sa dernière bataille en 1967 dans le cadre de l'armée syrienne, repoussant les attaques des chars israéliens dans les hauteurs néerlandaises.

Un peu d'histoire

Après la fin de la Première Guerre mondiale, les Alliés ont tout fait pour que l'Allemagne ne redevienne plus jamais une puissance militaire puissante. Il lui était interdit non seulement d'avoir des chars, mais même de travailler dans ce domaine.

Cependant, ces restrictions ne pouvaient empêcher l'armée allemande de travailler sur les aspects théoriques de l'utilisation des forces blindées. Le concept de blitzkrieg, développé par Alfred von Schlieffen au début du 20ème siècle, a été affiné et complété par un certain nombre d'officiers allemands talentueux. Les chars n'y ont pas seulement trouvé leur place, ils sont devenus l'un de ses principaux éléments.

Malgré les restrictions imposées à l'Allemagne par le traité de Versailles, les travaux pratiques sur la création de nouveaux modèles de chars se sont poursuivis. Des travaux étaient également en cours sur la structure organisationnelle des unités de chars. Tout cela s'est déroulé dans une atmosphère de strict secret. Après l'arrivée au pouvoir des nationalistes, l'Allemagne a abandonné les interdictions et a rapidement commencé à créer une nouvelle armée.

Les premiers chars allemands mis en production en série étaient les véhicules légers Pz.Kpfw.I et Pz.Kpfw.II. L'unité était en fait un véhicule d'entraînement, tandis que le Pz.Kpfw.II était destiné à la reconnaissance et était armé d'un canon de 20 mm. Le Pz.Kpfw.III était déjà considéré comme un char moyen, il était armé d'un canon de 37 mm et de trois mitrailleuses.

La décision de développer un nouveau char (Panzerkampfwagen IV) armé d'un canon à canon court de 75 mm fut prise en 1934. La tâche principale du véhicule devait être le soutien direct des unités d'infanterie, ce char était censé supprimer les points de tir ennemis (principalement l'artillerie antichar). En termes de conception et d'agencement, le nouveau véhicule reproduisait largement le PzIII.

En janvier 1934, trois sociétés reçoivent les termes de référence pour le développement du char : AG Krupp, MAN et Rheinmetall. A cette époque, l'Allemagne essayait encore de ne pas faire la publicité des travaux sur les types d'armes interdits par les accords de Versailles. Par conséquent, le véhicule a été nommé Bataillonsführerwagen ou B.W., qui se traduit par « voiture de commandant de bataillon ».

Le meilleur était le projet développé par AG Krupp - VK 2001 (K). Les militaires n'aimaient pas sa suspension à ressort, ils ont exigé de la remplacer par une barre de torsion plus avancée, qui offre au char une conduite plus douce. Cependant, les concepteurs ont réussi à insister sur leur propre. L'armée allemande avait grand besoin d'un char, et cela pouvait prendre beaucoup de temps pour développer une nouvelle suspension, il fut décidé de laisser la suspension inchangée, seulement pour la modifier sérieusement.

Production et modifications de réservoirs

En 1936, la production en série de nouvelles machines a commencé. La première modification du char était le Panzerkampfwagen IV Ausf. R. Les premiers échantillons de ce char avaient un blindage pare-balles (15-20 mm) et une faible protection des dispositifs de surveillance. Le Panzerkampfwagen IV Ausf. A peut être appelé pré-production. Après la sortie de plusieurs dizaines de PzKpfw IV Ausf. A, AG Krupp a immédiatement reçu une commande pour la production d'un Panzerkampfwagen IV Ausf amélioré. V.

Le modèle B avait une coque de forme différente, il n'avait pas de mitrailleuse bien sûr, les dispositifs d'observation ont été améliorés (notamment la coupole du commandant). Le blindage frontal du char a été porté à 30 mm. PzKpfw IV Ausf. B a reçu un moteur plus puissant, une nouvelle boîte de vitesses et sa charge de munitions a été réduite. La masse du char est passée à 17,7 tonnes, tandis que sa vitesse, grâce à la nouvelle centrale électrique, est passée à 40 km/h. Au total, 42 chars Ausf sont sortis de la chaîne de montage. V.

La première modification du T IV, que l'on peut qualifier de véritable masse, était le Panzerkampfwagen IV Ausf. C. Elle est apparue en 1938. Extérieurement, cette voiture était légèrement différente du modèle précédent, un nouveau moteur y a été installé et quelques modifications plus mineures ont été apportées. Au total, environ 140 unités Ausf ont été fabriquées. AVEC.

En 1939, la production du modèle de char suivant commença : Pz.Kpfw.IV Ausf. RÉ. Sa principale différence était l'apparence du masque extérieur de la tour. Dans cette modification, l'épaisseur du blindage latéral a été augmentée (20 mm) et plusieurs autres améliorations ont également été apportées. Panzerkampfwagen IV Ausf. D est le dernier modèle de char du temps de paix, avant le début de la guerre les Allemands ont réussi à fabriquer 45 chars Ausf.D.

Au 1er septembre 1939, l'armée allemande possédait 211 unités du char T-IV de diverses modifications. Ces véhicules ont bien fonctionné pendant la campagne de Pologne et sont devenus les principaux chars de l'armée allemande. L'expérience au combat a montré que le point faible du T-IV était son blindage. Les canons antichars polonais ont facilement pénétré à la fois le blindage des chars légers et des "fours" plus lourds.

Compte tenu de l'expérience acquise dans les premières années de la guerre, une nouvelle modification du véhicule a été développée - Panzerkampfwagen IV Ausf. E. Sur ce modèle, le blindage frontal était renforcé avec des plaques articulées d'une épaisseur de 30 mm et le blindage latéral - 20 mm. Le char a reçu une nouvelle coupole de commandant, la forme de la tourelle a été modifiée. Des modifications mineures ont été apportées au châssis du char, la conception des trappes et des dispositifs d'observation a été améliorée. Le poids du véhicule est passé à 21 tonnes.

L'installation d'écrans blindés à charnières était irrationnelle et ne pouvait être considérée que comme une mesure forcée et un moyen d'améliorer la protection des premiers modèles T-IV. Par conséquent, la création d'une nouvelle modification, dont la conception tiendrait compte de tous les commentaires, n'était qu'une question de temps.

En 1941, la production du Panzerkampfwagen IV Ausf.F a commencé, dans laquelle les écrans à charnière ont été remplacés par un blindage intégral. Le blindage frontal avait 50 mm d'épaisseur et les côtés 30 mm d'épaisseur. À la suite de ces changements, le poids du véhicule est passé à 22,3 tonnes, ce qui a entraîné une augmentation significative de la charge spécifique au sol.

Pour éliminer ce problème, les concepteurs ont dû augmenter la largeur des chenilles et apporter des modifications au châssis du char.

Initialement, le T-IV n'était pas adapté pour détruire les véhicules blindés ennemis, le "four" était considéré comme un char d'appui-feu d'infanterie. Cependant, les munitions du char comprenaient des obus perforants, ce qui lui permettait de lutter contre les véhicules blindés ennemis équipés d'un blindage pare-balles.

Cependant, les premières rencontres de chars allemands avec le T-34 et le KV, qui disposaient d'un puissant blindage anti-canon, ont plongé les pétroliers allemands dans le choc. Le Quartet s'est avéré absolument inefficace contre les géants blindés soviétiques. La première sonnette d'alarme, qui montra la futilité d'utiliser le T-IV contre des chars lourds puissants, fut les affrontements avec le char britannique Matilda en 1940-41.

Même alors, il est devenu clair qu'une arme différente devrait être installée sur le PzKpfw IV, qui serait plus adaptée à la destruction de chars.

Au début, l'idée est née d'installer un canon de 50 mm d'une longueur de calibre 42 sur le T-IV, mais l'expérience des premières batailles sur le front de l'Est a montré que ce canon était nettement inférieur au 76-mm soviétique. , qui a été installé sur le KV et le T-34. La supériorité totale des véhicules blindés soviétiques sur les chars de la Wehrmacht était une découverte très désagréable pour les soldats et les officiers allemands.

Déjà en novembre 1941, les travaux ont commencé sur la création d'un nouveau canon de 75 mm pour le T-IV. Les véhicules équipés du nouveau canon ont reçu l'abréviation Panzerkampfwagen IV Ausf.F2. Cependant, la protection blindée de ces véhicules était encore inférieure à celle des chars soviétiques.

C'est ce problème que les concepteurs allemands voulaient résoudre, ayant développé une nouvelle modification du char à la fin de 1942 : le Pz.Kpfw.IV Ausf.G. Dans la partie frontale de ce char, des écrans de blindage supplémentaires d'une épaisseur de 30 mm ont été installés. Certains de ces véhicules étaient équipés d'un canon de 75 mm d'une longueur de 48 calibres.

Le modèle le plus populaire du T-IV était l'Ausf.H, pour la première fois il est sorti de la chaîne de montage au printemps 1943. Cette modification ne différait pratiquement pas du Pz.Kpfw.IV Ausf.G. Une nouvelle transmission a été installée dessus et le toit de la tour a été épaissi.

Description de la conception Pz.VI

Le char T-IV est fabriqué selon le schéma classique, avec le placement de la centrale électrique à l'arrière de la coque et le compartiment de contrôle à l'avant.

La coque du char est soudée, l'inclinaison des plaques de blindage est moins rationnelle que celle du T-34, mais elle offre plus d'espace intérieur pour le véhicule. Le réservoir avait trois compartiments, séparés par des cloisons : un compartiment de contrôle, un compartiment de combat et un compartiment de puissance.

Dans le compartiment de contrôle, il y avait une place pour un chauffeur-mécanicien et un opérateur radio-tireur. Il contenait également la transmission, les instruments et les commandes, un talkie-walkie et une mitrailleuse de cours (pas sur tous les modèles).

Dans le compartiment de combat, situé au centre du char, il y avait trois membres d'équipage : le commandant, le tireur et le chargeur. Un canon et une mitrailleuse, des dispositifs d'observation et de visée, ainsi que des munitions ont été installés dans la tour. La coupole du commandant offrait une excellente visibilité à l'équipage. La tour était entraînée en rotation par un entraînement électrique. Le tireur avait une lunette de visée.

La centrale électrique était située à l'arrière du réservoir. Le T-IV était équipé d'un moteur à carburateur 12 cylindres refroidi à l'eau de divers modèles, développé par la société Maybach.

Le Quartet disposait d'un grand nombre de trappes, ce qui facilitait la vie de l'équipage et du personnel technique, mais réduisait la sécurité du véhicule.

Suspension - ressort, châssis composé de 8 roues caoutchoutées et de 4 rouleaux porteurs et d'une roue motrice.

Utilisation au combat

La première campagne sérieuse à laquelle participa le Pz.IV fut la guerre contre la Pologne. Les premières modifications du char avaient un blindage faible et devinrent une proie facile pour les artilleurs polonais. Au cours de ce conflit, les Allemands ont perdu 76 unités Pz.IV, dont 19 irrévocables.

Dans les hostilités contre la France, les adversaires des « fours » n'étaient pas seulement des canons antichars, mais aussi des chars. Le Somua S35 français et le "Matilda" anglais se sont avérés dignes.

Dans l'armée allemande, la classification des chars était basée sur le calibre du canon, de sorte que le Pz.IV était considéré comme un char lourd. Cependant, avec le déclenchement de la guerre sur le front de l'Est, les Allemands ont vu ce qu'était un véritable char lourd. L'URSS avait un avantage écrasant en nombre de véhicules de combat : au début de la guerre, il y avait plus de 500 chars KV dans les quartiers ouest. Le canon Pz.IV à canon court ne pouvait infliger aucun mal à ces géants, même à courte distance.

Il est à noter que le commandement allemand tire très vite des conclusions et commence à modifier les « fours ». Déjà au début de 1942, des modifications du Pz.IV avec un long canon ont commencé à apparaître sur le front de l'Est. La protection du blindage du véhicule a également été augmentée. Tout cela a permis aux pétroliers allemands de combattre le T-34 et le KV à armes égales. Compte tenu de la meilleure ergonomie des véhicules allemands et d'excellentes vues, le Pz.IV est devenu un rival très dangereux.

Après l'installation d'un canon long (calibre 48) sur le T-IV, ses caractéristiques de combat ont encore augmenté. Après cela, le char allemand pouvait frapper à la fois les véhicules soviétiques et américains sans entrer à la portée de leurs canons.

Il convient de noter la rapidité avec laquelle les modifications ont été apportées à la conception Pz.IV. Si nous prenons le "trente-quatre" soviétique, nombre de ses défauts ont été révélés au stade des tests en usine. Il a fallu aux dirigeants de l'URSS plusieurs années de guerre et d'énormes pertes pour commencer à moderniser le T-34.

Le char allemand T-IV peut être qualifié de véhicule très équilibré et polyvalent. Dans les véhicules lourds allemands ultérieurs, il y a une nette tendance à la sécurité. Le Quatuor peut être qualifié de machine unique au regard de la réserve de modernisation qui lui est inhérente.

Cela ne veut pas dire que le Pz.IV était le char parfait. Il présentait des inconvénients, dont les principaux étaient une puissance moteur insuffisante et une suspension obsolète. La centrale électrique ne correspondait clairement pas à la masse des modèles ultérieurs. L'utilisation d'une suspension à ressorts à lames rigides a réduit la maniabilité du véhicule et ses capacités de cross-country. L'installation d'un long canon a considérablement augmenté les caractéristiques de combat du char, mais cela a créé une charge supplémentaire sur les rouleaux avant du char, ce qui a entraîné son basculement important du véhicule.

Equiper le Pz.IV d'écrans anti-cumul n'était pas non plus une très bonne décision. Les munitions cumulées étaient rarement utilisées, les écrans ne faisaient qu'augmenter le poids du véhicule, ses dimensions et aggraver la visibilité de l'équipage. C'était aussi une idée très coûteuse de peindre des réservoirs avec de la zimmerite - une peinture antimagnétique spéciale contre les mines magnétiques.

Cependant, la plus grosse bévue des dirigeants allemands, de nombreux historiens considèrent le début de la production des chars lourds "Panther" et "Tiger". Pendant presque toute la guerre, l'Allemagne était limitée dans ses ressources. Le Tigre était un très bon char : puissant, confortable, avec une arme mortelle. Mais aussi très cher. De plus, "Tiger" et "Panther" ont réussi à se débarrasser de nombreuses maladies "de l'enfance" inhérentes à toute nouvelle technologie jusqu'à la fin de la guerre.

On pense que si les ressources consacrées à la production de "Panthers" étaient utilisées pour produire des "quatres" supplémentaires, cela créerait beaucoup plus de problèmes pour les pays de la coalition anti-Hitler.