Le secret des pyramides égyptiennes Il est généralement admis que la construction des pyramides égyptiennes a été réalisée par des dizaines de milliers de personnes qui ont travaillé dans des carrières, déplacé des blocs de pierre géants jusqu'au chantier de construction, les ont traînés sur les échafaudages, les ont installés et fixés. . Mais

et, ayant accepté les lois et les règlements de Pythagore, comme s'il s'agissait d'institutions divines, ils ne les transgressèrent jamais. Toute la communauté était à l'unanimité, observant une piété proche de la béatitude. Ils rendirent la propriété commune et après cela ils classèrent Pythagore parmi les dieux, comme une sorte de démon bon et humain, certains l'appelant pythique, d'autres - Apollon d'Hyperboréen, d'autres - Péan, quatrième - l'un des démons habitant la Lune, ...

d'autres - l'un des dieux de l'Olympe, disant qu'il est apparu sous forme humaine pour le bien et la correction de la nature humaine, afin de lui donner un élan salvateur vers le bonheur et la sagesse, et qu'il n'y avait pas de meilleur cadeau des dieux que celui révélé en la personne de Pythagore, il n’y en aura jamais.

...Ils acceptèrent en toute confiance ce qu'il leur disait sur les dieux, les démons et les héros, sur l'espace et les divers mouvements des planètes et des étoiles, sur leurs oppositions, éclipses, écarts par rapport au mouvement correct, excentricités et épicycles ,

...sur tous les phénomènes de l'univers sur terre et au ciel,

...sur le caractère secret et évident de ce qui existe entre la terre et le ciel, offrant une interprétation correcte et raisonnable, commode à l'écoute, qui n'interfère en rien ni avec l'émergence des images visuelles ni avec ce qui est perçu dans le processus de réflexion ,...

... au contraire, les leçons, les principes théoriques et toute la science dans son ensemble semblaient apparaître visiblement devant l'âme et avaient un effet nettoyant si l'esprit était surchargé par d'autres activités. Cette connaissance a été transmise aux Hellènes par Pythagore afin qu’ils puissent comprendre les origines et les causes de toutes les choses réellement existantes.

(32) La structure civile de la communauté était la meilleure, l'unanimité et le principe « les amis ont tout en commun » étaient observés, le service des dieux et la vénération des morts, l'obéissance aux lois et à l'éducation, le silence et l'amour des autres êtres vivants. , l'abstinence d'en manger, la prudence et le discernement, la piété et autres vertus, en un mot, Pythagore a rendu tout cela désirable et digne de poursuite pour ceux qui avaient soif d'apprendre.

Ainsi, compte tenu de tout ce qui vient d’être discuté, les disciples vénéraient à juste titre Pythagore.

Ceci est une brève description de la première partie de la vie de l'étonnant Pythagore.

De la richesse des connaissances des anciens Égyptiens, que Pythagore nous a léguées à travers les Hellènes, mon attention a été attirée sur le « Sacré Tétractys » . Considérons les principales dispositions concernant le Sacré Tétractys .

La connaissance sur Tétractys revenir à l'ancienne tradition égyptienne. Grâce aux prêtres égyptiens, ils sont devenus connus du grand professeur et scientifique de l'Antiquité - Pythagore.

"Féon de Smyrne a affirmé que dix points, ou Tétractys Pythagore (fig. 1) était un symbole d'une grande importance, car il révélait à un esprit vif le secret de la nature universelle. Les Pythagoriciens se sont engagés par le serment suivant :

«Je jure par Celui qui a donné nos âmes Tétractys Qui a des origines et des racines dans la nature vivante et éternelle. »

De plus, il s'est avéré que la connaissance de Tétractys sont également connus dans la tradition kabbalistique - l'ancienne science fermée des sages juifs. Dans les ouvrages du site dans la section « Judaïsme », par exemple, la Matrice de l'Univers, la base sacrée de la science de la Kabbale et les Quatre Mondes de la Kabbale correspondent à l'espace de Mula Purusha et Mula Prakriti dans la matrice de l'Univers, nous avons déjà évoqué cette question.

Dans le Dictionnaire Théosophique de H. P. Blavatsky, j'ai trouvé des déclarations sur la Tétractys Sacrée :

« Les Quatre Sacrés, par lesquels juraient les Pythagoriciens ; c'était leur serment le plus contraignant. Il a une signification très mystique et variée, étant la même que Tétragramme- nom de Dieu à quatre lettres.

Ce sont quatre lettres en hébreu - "Youd, Heh, Vau, Heh", ou en anglais - IHVH. La véritable prononciation ancienne est maintenant perdue. Les Juifs sincères considéraient ce nom trop sacré pour être prononcé et, lors de la lecture de textes sacrés, ils le remplaçaient par son nom. Adonaï , ce qui signifie Seigneur...

Riz. 1. L'image montre " Tétractys Pythagore" Il s'agit d'un triangle dans lequel dix points sont inscrits dans un certain ordre. Ces points sont situés sur quatre niveaux horizontaux, en commençant par un - au premier niveau et en terminant par quatre - au quatrième niveau. Théon de Smyrne affirmait que les dix pointes, ou Tétractie de Pythagore, étaient un symbole d'une grande importance car elles révélaient à l'esprit vif le secret de la nature universelle.

Les chrétiens appellent communément IHVH Jéhovah, et de nombreux biblistes modernes écrivent ce nom ainsi : Yahvé .

Donc, Tétragramme tout d’abord, c’est Un sous quatre aspects différents ; alors c'est le nombre fondamental quatre (Tétrade ) , contenant décennie , ou 10, est le nombre de perfection. Et enfin, ça veut dire primaire triade (ou triangle), fusionné dans la monade divine.

Kircher, un érudit kabbaliste jésuite, dans son ouvrage... présente le Nom Ineffable IHVH comme l'une des formules kabbalistiques des 72 noms - sous la forme du nom pythagoricien. Tétrades.

M. I. Meyer décrit cela comme le montre la figure 2.

La figure 2 montre la disposition des lettres du Saint Nom de Dieu en niveaux horizontaux Tétractys. Puisqu’on sait que chaque lettre hébraïque a un numéro correspondant, il est possible d’additionner les valeurs numériques de chaque lettre dans un mot donné. Ce processus d'addition est appelé gématrie . Dans ce cas, ce sont les lettres incluses dans le Nom Sacré de Dieu :

M. I. Meyer mentionne également que « le sacré Tétrade Il s’avère que les Pythagoriciens étaient connus des anciens Chinois. » Le dernier fait m'a également semblé très intéressant. Il s’est avéré que c’était effectivement le cas. Dans les articles du site par exemple, - Le mystère de la localisation de la Grande Limite et de la Monade des sages chinois dans la matrice de l'Univers, La découverte du secret des premiers ancêtres des Chinois Fu Xi et Nuwa dans la matrice de l'Univers, la confirmation de la véracité de la mention de M. I. Meyer est fournie.

Riz. 2. L'image montre Tétractys Pythagore, selon les niveaux desquels sont écrites les lettres du Nom Sacré de Dieu. Puisqu’on sait que chaque lettre hébraïque a un numéro correspondant, il est possible d’additionner les valeurs numériques de chaque lettre dans un mot donné. Ce processus d'addition est appelé gématrie. Dans ce cas, ce sont les lettres incluses dans le Nom Sacré de Dieu. Avec cette disposition des lettres du Nom par niveau, sont affichées les sommes partielles et la somme totale des valeurs numériques des lettres hébraïques, donnant la formule kabbalistique des 72 Noms de Dieu. M. I. Meyer mentionne également que « le sacré Tétrade Il s’avère que les Pythagoriciens étaient connus des anciens Chinois. »

Considérant Tétractys dans les figures 1 et 2, où au lieu de points dans la Tétractie pythagoricienne sont écrites les lettres qui composent le saint Nom de Dieu, je suis arrivé à la conclusion suivante. Si les anciens sages soulignaient l'extrême importance Tétractys , alors peut-être tout seul Tétractys et y a-t-il une clé du monde que nous recherchons ?

Ensuite, j'ai décidé de continuer les côtés du triangle plus bas et j'ai dessiné de nouveaux niveaux horizontaux - 5, 6, 7, etc. Par analogie, j'ai placé des points à ces niveaux, par exemple au 5ème niveau - 5 points, au 6ème niveau - 6 points, etc. Le résultat est une grande matrice triangulaire.

Il est possible, je l'ai admis, que la grande matrice soit une projection sur le plan du monde que nous recherchons.

J'ai commencé à appeler chacun de ces points - position , et la ligne horizontale sur laquelle ils se trouvaient – niveau ou niveau " Divin Univers».

C'est ainsi que j'ai obtenu une matrice « pyramidale » à plusieurs niveaux. En mathématiques, cela s'appelle - matrice triangulaire .

La deuxième question qui s’est posée était la suivante : qu’est-ce qui se trouve au-dessus du coin aigu supérieur de la matrice ?

Et j’ai commencé à chercher des réponses et des indices dans les trésors de connaissances des anciens Égyptiens. En fait, la question pourrait être formulée ainsi. Je dois trouver chez les anciens Egyptiens une mention de deux mondes, dont l'un s'appellerait inférieur le monde, et l'autre - haut . La figure 3 montre une représentation graphique de ma question.

Riz. 3. La figure montre un modèle graphique de deux parties du monde que nous recherchons. Le cercle en pointillés avec un point d'interrogation marque le lieu de transition entre les mondes supérieur et inférieur, dont le type nous était inconnu.

La réponse ne s’est pas fait attendre. On sait que dans les temps anciens, le territoire de l'Égypte était divisé en deux parties : Haute et Basse Egypte . Le principal territoire de résidence des Égyptiens était les terres fertiles situées le long de la côte du Nil, qui coulait du sud au nord à travers tout le pays. Toutes les terres fertiles le long du grand Nil, depuis sa source jusqu'au delta où le Nil se jette dans la mer Méditerranée, étaient divisées en deux territoires.

Le premier, qui partait de la deuxième cataracte du Nil et était situé au sud, plus près du centre du continent africain, et se terminait approximativement au milieu de la longueur du Nil, s'appelait - Haute Egypte (SupérieurEgypte).

La seconde, au nord depuis la partie médiane du Nil jusqu'à la côte méditerranéenne s'appelait - Basse Egypte (InférieurEgypte). Cette division territoriale est représentée sur la carte de l'Egypte (figure 4), que je cite du livre d'E. Moret, Rois et Dieux d'Egypte.

À première vue, il semble que cette division du territoire le long du Nil n’ait rien de spécial. Cependant, tout n'est pas si simple ici.

Le fait est que, selon notre hypothèse de travail, les prêtres devaient laisser dans la vie existentielle des Égyptiens des concepts supports qui indiqueraient des passages vers un monde inconnu de nous.. L'un des concepts de soutien les plus importants aurait dû être la division du territoire de l'Égypte, à savoir en deux parties , en particulier, en Haute et Basse Egypte, ce qui fut fait par les Egyptiens.

Le fait historique ci-dessus de diviser le territoire égyptien en deux parties pourrait être considéré comme une indication de la bonne direction de notre recherche. Dans ce cas, il a été possible de conclure que le monde qui nous est inconnu est en réalité divisé en deux parties.

Ces parties pourraient également être appelées - Supérieur Et Inférieur Egypte, même si ce monde ne s'appelait pas du tout Egypte, mais avait son propre nom qui nous est encore inconnu.

Riz. 4. La carte de l'Égypte montre sa division territoriale en Supérieur (SupérieurEgypte) Et Basse Egypte (InférieurEgypte). La carte est tirée du livre d'E. Moret, Rois et Dieux d'Egypte.

Il fallait maintenant découvrir quel type de transition s'effectue entre les mondes. On pourrait supposer que le point de passage ressemble également à la célèbre « étoile de David ». Mais nous devions trouver une description ou un type de transition spécifiquement dans les artefacts égyptiens anciens, et j'ai commencé à chercher une réponse à cette question et j'ai trouvé un tel artefact.

COMMENTAIRE 2 :

Bog Ptah de l'ancienne Memphis révèle le secret du lieu de transition entre les mondes supérieur et inférieur

Je ne suis allé en Egypte qu'une seule fois. La décision de partir en Egypte s'est faite simplement et rapidement. Depuis l'avion, j'ai vu la terre désertique et la mer magnifique éclairée par la lumière du soleil. L’air était chaud mais agréablement sec. Il y avait une sensation de confort. L'hôtel Conrad International à Hurghada et les guides de la compagnie nous ont accueillis avec le sourire et nous ont entourés de soins. Je n'ai jamais rien vu de mieux que la Mer Rouge. Tout était propice à un séjour agréable. S'ensuivirent des voyages remplis d'impressions intéressantes.

Riz. 5. La figure montre une figurine du dieu Ptah du livre de W. Budge "La Momie" avec le symbole de la vie - ankh(ankh) et le bâton de force et de puissance - toi(nous). Ankh Et Était situé au milieu du corps de la figurine. Devant la base de la figurine se trouve un escalier à quatre marches. Les vêtements de Ptah cachent presque tout son corps. Ptah (Ptah), « découvreur ", - "probablement le dieu le plus ancien de tous les dieux d'Egypte. Un temple lui fut dédié à Memphis, où il était vénéré depuis la Première Dynastie. On disait de lui qu'il était le père des dieux qui sortaient de ses yeux et des gens qui sortaient de sa bouche. . Il était représenté comme une momie. Il détient un symbole de pouvoir sceptre (plié en trois parties), reliant en soi – le sceptre lui-même toi , « forcer ", symbole ankh , « vie ", et le symbole tet , « durabilité " Les figurines en bronze et en faïence de ce dieu sont assez courantes et se ressemblent par leur apparence et leur fabrication. Porté sur la nuque menat . La signification de ce symbole n'est pas claire.

Et puis un jour, j’ai visité l’une des boutiques de l’hôtel. Il y avait beaucoup de choses nécessaires et inutiles pour les vacanciers, et soudain mon regard s'est arrêté sur un livre posé sur une étagère parmi des cartes postales lumineuses. Elle était la seule. Je l'ai pris dans mes mains. Il était clair qu’il était dans le magasin depuis longtemps. Sur sa couverture était écrit : La Momie, un manuel d'archéologie funéraire égyptienne. Auteur E.A. Wallis Budge, Dover Publications, INC., New York. Comme j’étais alors en train de déchiffrer des textes bibliques, je restai pensif pendant un certain temps. Le propriétaire du magasin était d’un calme absolu, mais il était clair qu’il attendait ma décision. J'ai payé, j'ai pris le livre et je suis parti et je n'ai même pas imaginé qu'ici avait eu lieu ma véritable rencontre avec Wallis Budge et l'Egypte ancienne. Je sais qu'il n'y a pas de coïncidences dans la vie. Ce livre m'attendait. Si je n'avais pas acheté ce livre à ce moment-là, je pense que le lecteur n'aurait pas vu, par exemple, l'article qu'il lit actuellement, et toutes les découvertes étonnantes que l'on peut désormais lire sur la page du site n'auraient pas eu lieu. Plus tard, lors d'un salon du livre à Moscou, je suis tombé sur ce livre de W. Budge, traduit de l'anglais par Mme S.V. Arkhipova, publié par la maison d'édition Aletheya en 2001.

C'est vers ce livre d'U. Bazhda que je me suis tourné avec une question sur la nature de la transition entre les mondes supérieur et inférieur. En tournant à plusieurs reprises les pages du livre, j'ai vu à la page 358 un dessin de Ptah-Tatenen et je me suis rendu compte que la réponse à ma question était juste devant moi dans ce dessin ! En analysant les anciens dessins égyptiens des dieux, j'ai réalisé que presque tous ne sont pas des descriptions réalistes de leur corps et de leur apparence. Ces dessins ressemblent symboliquement à " hiéroglyphes généralisés» décrire la structure et le caractère des forces divines qui sont identifiées avec Dans le nom et position dans " matrice "de chaque dieu spécifique.

En raison de son lien avec la résurrection et l'autre monde, on l'appelait Ptah-Sokar-Osiris . Il était représenté comme un garçon petit et trapu, les genoux pliés et les mains posées sur ses hanches. Parfois, il marche sur un crocodile, à sa droite se trouve Isis, à sa gauche se trouve Nephthys, et derrière lui se trouve un faucon à tête d'homme, symbolisant l'âme, sur chaque épaule se trouve un faucon, sur sa tête se trouve un scarabée , un attribut de Khepri, le dieu qui s'est moi-même donné naissance".

Voici une autre description de Ptah tirée du livre Mythes des peuples du monde :

"Depuis " Papyrusa Ani »:

« Salutations à toi, ô toi qui es venu en tant que Khepera, Khepera, créateur des dieux.

Tu te lèves et brilles et tu rends ta mère lumineuse Pois chiches(c'est-à-dire dans le ciel, - W.Budge).

Vous êtes le roi couronné des dieux. Ta mère Pois chiches vous rend hommage des deux mains.

Le pays de Manu (c'est-à-dire le pays où le soleil se couche - W.Budge) vous accepte avec joie, ainsi que la déesse Maât(la déesse de la loi, de l'ordre, de la régularité, etc. veille à ce que le soleil se lève chaque jour à un certain endroit et à une certaine heure avec une précision absolue et une régularité infaillible) vous embrasse matin et soir.

Salutations, tous les dieux du Temple de l'Âme, pesant le ciel et la terre sur des balances, apportant une nourriture divine en abondance !

Riz. 7. La figure montre le principe de construction d'une pyramide matrices en utilisant une figure géométrique simple répétée plusieurs fois : un carré. J'ai appelé les intersections de lignes verticales et horizontales, qui sont représentées en cercles - postes(position - position, lieu). Les lignes pointillées verticales coupent les carrés en deux. Les lignes horizontales définissaient les niveaux de la matrice. Les intersections des lignes verticales et horizontales sont représentées par des cercles sur la figure. Cette désignation était graphiquement pratique et, en outre, correspondait à un symbole similaire - un cercle, qui désignait le hiéroglyphe égyptien - Ar ( Ar). Selon le sens de la traduction de ce hiéroglyphe comme particule de discours - quand si un tel symbole était également bien adapté pour marquer les intersections de lignes verticales et horizontales dans une pyramide. matrice . Nous avons une certaine définition - Si ou Quand les lignes se croisent, alors le lieu d'intersection est indiqué par le hiéroglyphe Ar ( Ar) (cercle). Un rectangle sombre d’une superficie égale à un demi-carré montre de la même manière les zones de terres fertiles le long des rives du Nil que les Égyptiens ont reçues du pharaon. Hérodote a écrit : « Les prêtres égyptiens m'ont dit que le roi partageait le pays entre tous les Égyptiens, donnant à chacun un terrain rectangulaire égal. À partir de là, il créa un revenu pour lui-même en ordonnant que l'impôt soit payé annuellement. Si la rivière prenait quelque chose sur un terrain, le propriétaire venait voir le roi et rapportait ce qui s'était passé. Le roi envoya des gens chargés d'inspecter la parcelle et de mesurer à quel point elle était devenue plus petite, afin que le propriétaire paie un impôt proportionnel à l'impôt établi sur la superficie restante. Il me semble que c’est ainsi qu’a été inventée la géométrie, qui a été transférée de l’Égypte à l’Hellade. » Il est significatif de noter que dans le cas de la configuration des parcelles de terres fertiles, nous avons probablement un exemple de l'action consciente des prêtres, qui ont réalisé la structure sociale et économique de la société par analogie avec les principes de construction" monde invisible » , dont ils connaissaient et gardaient le secret de l'existence.

Une autre confirmation de l'exactitude de notre approche de la construction de la matrice pyramidale de l'Univers est l'image d'une figurine en bronze d'un dirigeant (gestionnaire) de Haute-Égypte, illustrée à la figure 8.

Riz. 8. Photographie d'une figurine en bronze avec incrustations d'argent montrant les yeux d'un souverain de Haute-Égypte du début de la 26e dynastie (664-610 avant JC), British Museum, de T.G.H. James. Dans sa main gauche, le souverain tient un symbole - cube – « cellule volumétrique matrice de l'Univers "ou la matrice pyramidale de l'Univers. Dans la main droite du souverain, il y a probablement un chapelet. Par analogie, dans le cas de la construction d'une matrice pyramidale tridimensionnelle, et non plate comme sur la figure 7, de l'Univers, sa cellule élémentaire sera une figure géométrique - cube. Dans ce cas, le symbole est « cube"dans la main du souverain reçoit sa justification sémantique, comme indication de la signification de ce symbole et de son lien avec la matrice de l'Univers. Dans nos études ultérieures, nous considérerons principalement la version planaire, plutôt que volumétrique, de la matrice de l’Univers. Il convient de noter que les années de datation du souverain de Haute-Égypte coïncident exactement avec la période du règne du pharaon - Psammétique Ier (664-610 avant JC), le deuxième pharaon de la XXVIe dynastie. . Une description des actes et du règne de ce pharaon est donnée en annexe 1.

Quelques mots sur le matrice. Il ne s’agit pas simplement d’un dessin géométrique représenté sur papier. En fait, selon cette loi, le champ des énergies divines qui créent et soutiennent l'Univers est construit. Par conséquent, nous avons probablement le droit d’appeler notre matrice le reflet de ces énergies ou simplement « matrice énergétique de l'Univers" Je continuerai à utiliser ce terme pour désigner ou décrire la matrice. Je constate aussi que l'on considère actuellement une matrice triangulaire sur un plan, et le réel " matrice énergétique de l'Univers"représente deux pyramides quadrangulaires volumétriques se faisant face avec des sommets pointus, qui se chevauchent en conséquence.

Revenons à la figure 6 – le dieu Ptah. Il était logique de supposer que du point de vue des baguettes toi sur l'image 6 Un au point où ils se rejoignent entre les mains de Ptah, exactement quatre niveaux horizontaux sont posés dans matrice. Dans ce cas, les baguettes depuis leur base jusqu'aux têtes de baguettes détermineront la position Tétractys dans la matrice. De plus, ce Tetractys sera tourné avec son toit pointu vers le bas. Puis une autre Tetractys, avec son sommet pointé vers le haut, sera située dans la zone allant de l'oreille du dieu Ptah jusqu'à ses coudes. Ensuite, j’ai placé le dessin de Ptah dans la matrice que j’avais construite et, en changeant la taille du dessin, j’ai rempli les conditions dont nous avons discuté ci-dessus. Le résultat de l'analyse graphique est présenté à la figure 9.

Riz. 9. La figure montre le résultat d’une combinaison graphique du dessin égyptien du dieu Ptah avec « matrice énergétique de l'univers". L'image ci-dessus montre l'écriture hiéroglyphique « Nom" Dieu Ptah. Au milieu, on voit comment le dessin du corps de Ptah se situe dans la matrice. A droite et à gauche, des dessins similaires montrent séparément les positions des deux Tétractys dans le dessin du corps de Ptah. Ci-dessous sur la photo UN Et DANS la position de deux Tetractys dans la matrice est également affichée, chacune comprenant dix positions matricielles. La couronne (Atef) sur la tête de Ptah atteint le 8ème niveau dans le monde supérieur de la matrice de l'Univers, et les jambes du dieu se situent au 10ème niveau dans le monde inférieur de la matrice. Top 4ème positions (4ème niveau " haut"matrice) Les Tetractys, tournés avec leur sommet vers le bas, sont situés respectivement aux endroits suivants de l'image - les deux plus à l'extérieur sur les têtes du bâton toi, l’une des deux positions médianes tombe sur l’arrière de la tête du dessin de Ptah, et la seconde sur l’œil de Ptah.

En examinant la combinaison du dessin du dieu Ptah avec la matrice que j'ai obtenue, j'ai observé l'étonnante proportionnalité du dessin commun. Il est devenu évident que le dessin de Ptah était bien réalisé d’après le dessin géométrique de la matrice de l’Univers. Après cela, la matrice fut retirée du dessin du dieu. Ainsi, le dessin de Dieu est devenu la clé de " monde invisible" Cela semblait vrai. Mais pour moi, tant dans ce cas qu'à l'avenir, il restait totalement incompréhensible comment les dessinateurs égyptiens étaient parvenus à obtenir une ressemblance presque exacte en modifiant l'échelle des dessins. Il semblait qu'ils avaient à leur disposition des appareils semblables à ceux que nous connaissons aujourd'hui, des projecteurs ?! Après tout, tous les dessins que je présente dans mon travail ont été réalisés à l’aide d’un ordinateur. Et même l'ordinateur a commis des erreurs lors du transfert ou de la mise à l'échelle des dessins. Je n'ai toujours pas de réponse à cette question.

De l'analyse de la figure 9, deux conséquences intéressantes ont suivi, qui sont représentées graphiquement dans la figure 10. De la figure, il est clairement visible que le lieu de transition entre les mondes supérieur et inférieur est décrit par deux symboles sacrés principaux - deux Tétractys et le "Étoile de David".

Riz. dix. La figure montre deux symboles sacrés qui décrivent la zone de transition entre les mondes « supérieur » et « inférieur » de la matrice de l'Univers (entre la « Haute » et la « Basse » Égypte). A gauche sur la photo UN- deux Tetractys sont représentés, et à droite sur la figure DANS, la célèbre « étoile de David », qui comprend 12 positions, 6 de chaque haut Et bas matrice de l'Univers. Puisque nous considérons les principes de construction de l'univers divin, ces deux symboles Tétractys et « l'Étoile de David » dans leur signification sacrée peuvent être compris comme international symboles. Ces symboles sacrés sont " clés "au lieu de transition entre" Supérieur" Et " Nijni"la paix dans l'Univers en" matrice énergétique de l'Univers ».

Riz. onze. Photographie originale du haut du bâton d'un prêtre égyptien Était, dont nous avons parlé plus haut provenant de la collection égyptienne du British Museum - http://thepyramids.org/ar_540_001_british_museum.htm et plus loin - une tête d'animal stylisée - http://thepyramids.org/ar_541_047_british_museum_ancient_egypt.htm (partie supérieure de le personnel Était).

Ainsi, le dessin égyptien du dieu Ptah a révélé le secret du lieu de transition entre la « Haute » et la « Basse » Egypte et, par conséquent, entre les mondes « Supérieur » et « Inférieur » de la matrice de l'Univers.

Une photographie d'un masque de prêtre doré du British Museum a été utilisée pour créer l'économiseur d'écran.

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©Arushanov Sergueï Zarmailovitch 2010

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Annexe 1:

Vladimir Andrienko, (avec la participation de Dmitry Nekrylov, étudiant diplômé de l'Université nationale Drahomanov de Kiev) - http://zhurnal.lib.ru/a/andrienko_w/vsefaraonuegipta.shtml - Période du Bas Royaume, XXVIe dynastie :

Psammétichus Ier, (664-610 avant JC), deuxième pharaon de la XXVIe dynastie

L’objectif principal de ce grand pharaon était de restaurer un gouvernement ordonné et centralisé et de restaurer le système d’irrigation négligé qui constituait la base de la prospérité de l’Égypte.

De plus, Psammétique Ier a vu les grandes routes commerciales qui traversaient d’un bout à l’autre le vaste empire assyrien et il a compris la grande importance économique du commerce extérieur pour la nation. Ce commerce pourrait être soumis à des droits de douane, ce qui rapporterait d'énormes revenus au trésor. Par conséquent, il rétablit les relations antérieures avec la Syrie, les galères phéniciennes apparurent en grand nombre à l'embouchure du Nil.

Psammétique recruta des Grecs dans les rangs de l'armée égyptienne et attira les commerçants grecs vers les transactions commerciales. Les colonies grecques et les colonies artisanales dotées de comptoirs commerciaux se sont rapidement répandues le long des rives de la mer Méditerranée. Psammétique fut probablement le premier dirigeant égyptien à sympathiser avec l'émergence des colonies grecques en Égypte. Et pendant son règne, le pays commença à abonder en commerçants grecs, surtout dans la partie nord.

Avec le renforcement du pouvoir central en Égypte, la croissance économique et sociale a commencé. La politique étrangère des grandes puissances a également été relancée.

Durant cette période, des conflits éclatèrent en Assyrie, et cette puissance n'avait pas de temps à consacrer à l'Égypte. Immédiatement après la mort d'Ashurbanyapal en 627 avant JC. Un soulèvement éclata à Babylone. De plus, les habitants de la ville ont appelé à l'aide le prince chaldéen Nabuapluutsur. Nouveau roi d'Assyrie Ashuratelilani 9626-621. BC) a fait la guerre aux Chaldéens. Les provinces occidentales se séparèrent de l'Assyrie. Le pharaon Psammétique Ier captura Ashdod et le roi juif Josias captura le nord de la Palestine. Fin 626 av. Nabopolassar fut proclamé roi de Babylonie. Il fit alliance avec le roi des Médies et des Arabes. Ils se précipitèrent sur l'Assyrie de trois côtés.

De l'époque de Psammétique Ier, tout un stock de légendes populaires grecques nous est parvenu, qui éclairent cette période, puisque les sources locales ont presque complètement péri du fait qu'elles étaient situées dans le Delta non protégé.

Psammétichus Ier sortit l'Égypte d'un état de faiblesse et de déclin et lorsqu'il mourut après un long règne, il laissa l'État dans un état de prospérité si paisible que le pays n'avait pas connu depuis la mort de Ramsès III, c'est-à-dire depuis 500 ans.

Annexe 2:

Musée du Caire. Adresse de l'exposition : - http://thepyramids.org/articles_cairo_museum.htm

Dictionnaire de l'Antiquité, traduction de l'allemand, SP « Vneshsigma », M., 1992, p. 222. " HIÉROGLYPHES(Grec hiéros - sacré et coupé au glyp-hein), écriture illustrée égyptienne ancienne, utilisée dès le début du 3ème millénaire avant JC. e. jusqu'à environ 200 après JC. Initialement, chaque image correspondait à un mot spécifique ; plus tard, des signes syllabiques et consonantiques se sont également développés ; les voyelles n'étaient pas exprimées. Pour un usage quotidien, l'écriture simplifiée est née des hiéroglyphes, hiératique (Grec hiératikos sacerdotal, qui était principalement utilisé pour les textes religieux) et italique populaire (Grec - personnes – utilisé pour les textes profanes). A l'époque hellénistique, grâce à la combinaison de certains signes démotiques avec des lettres grecques, le écriture copte, du nom des Coptes d'Égypte. La signification des hiéroglyphes n'était pas connue depuis longtemps et ce n'est qu'en 1822 que J. F. Champollion réussit à les déchiffrer à l'aide de Rosette pierre Les hiéroglyphes ont également été utilisés du 2e au 1er. mille avant JC parmi les Hittites et environ. Crète".

Iamblique de Chalcis, Vie de Pythagore, traduction du grec ancien et commentaires de V.B. Chernigovsky, M., Maison d'édition ALETEIA. 1997

Pythagoras – Pythie Et Sang, ou Horus, Horus, qui, comme nous le savons, était le Grand Dieu de l'Egypte ancienne. ( Note éd.).

CambyseII, fils de Cyrus II, fut un roi perse de 529 à 522 av. La conquête de l'Égypte par Cambyse eut lieu entre 525 et 524 av.

Ici, les magiciens sont le nom des anciens prêtres héréditaires de Perse et de Médie. Initialement, jusqu'au 7ème siècle avant JC, ce nom était porté par la tribu Lydienne orientale, à partir de laquelle émergea plus tard une classe particulière de prédicateurs et de prêtres de la religion zoroastrienne. À l'époque de Jamblique, les prêtres de toutes les religions d'origine iranienne étaient également appelés magiciens - ( Note modifier.).

Colonies grecques sur les côtes de Sicile et du sud de l'Italie, notamment autour de Tarente. — Note éd.

Dans la philosophie grecque, un démon était une créature située dans la hiérarchie mondiale entre les dieux et les hommes et réalisant leur connexion - Note éd.

Dans la mythologie grecque, Apollon est l'inspirateur de la poésie et de la musique, de la médecine et de la législation, il se manifeste dans la science par l'art de la divination, dans l'art par l'harmonie, en politique par la justice, en éthique par la purification de l'âme. Dans l’une de ses incarnations, Apollon est le dieu de la lumière du soleil, créant l’ordre et l’harmonie. Le mythe du retour périodique (voir Losev A.F. Mythologie des Grecs et des Romains) était associé à Apollon, selon lequel Apollon vient en Grèce chaque printemps et retourne au pays des Hyperboréens à l'automne. Ce pays est dédié à Apollon, ses descendants y règnent et un peuple ancien y vit, appelés prêtres et serviteurs d'Apollon et parmi lesquels il aime par-dessus tout rester. Apollon d'Hyperboréen, vénéré dans ce pays, était à l'origine le dieu de la récolte, de la récolte et du soleil, qui acquit plus tard des traits héroïques. — Note éd.

Poison- selon Homère (Iliade, paragraphe V, 401) - guérisseur des dieux. Plus tard, il fut identifié à Apollon et à Asclépios. Dans certains cas, Paean est l’un des surnoms d’Apollon, associé à son don de guérison. — Note éd.

Excentricité (orbite) - un élément caractérisant la forme de l'orbite. Selon l'ampleur de l'excentricité, l'orbite peut avoir la forme d'une ellipse, d'une parabole ou d'une hyperbole. Épicycle- cercle auxiliaire : (si) la planète se déplace uniformément le long de l'épicycle, tandis que son centre se déplace le long d'un autre cercle avec un centre dans la Terre - (le long) du soi-disant déférent.

Une exposition encyclopédique de la philosophie symbolique maçonnique, hermétique, kabbalistique et rosicrucienne ; Interprétation des enseignements secrets cachés derrière les rituels, allégories et mystères de tous les temps. Viril P. Hall. Maison d'édition "SPICS", Saint-Pétersbourg, 1994, p. 229-232.

E.P. Blavatsky, Dictionnaire Théosophique, Maison d'édition "Sphère" de la Société Théosophique Russe, Moscou, 1994, p. 394

TÉTRA… , TETER... (du grec - tétra...), souvent un mot composé signifiant quatre. Par exemple, Tétraèdre(du grec tétra… Et hédra- face) est l'un des cinq types de polyèdres réguliers. C'est une pyramide triangulaire avec 4 faces (triangulaires), 6 arêtes, 4 sommets (3 arêtes convergent dans chacune).

DÉCA... (du grec déca- dix), préfixe pour désigner les noms multiples de un, égal à 10 unités originales. Par exemple, 1 dal (décilitre) = 10 litres.

E. More, Rois et Dieux d'Egypte, 2e édition « ALETHEYA », M., 2001, p. 8.

E.A. Wallis Budge, The Mummy, Handbook of Egypt Funerary Archaeology, deuxième édition, révisée et considérablement augmentée, Dover Publications, INC., New York.

E.F.U. Budge, Momie, matériaux de recherches archéologiques sur les tombes égyptiennes, "Aletheia", M., 2001.

Avec tout le respect que je dois à la maison d'édition Aletheia, j'ai été contrarié par la façon dont la source originale a été réduite, le format du livre a été réduit et les sections sont apparues dans une mise en page différente. Pour cette raison, une partie du matériel essentiel a été perdue pour le lecteur et l'accent a été déplacé. Profitant de cette occasion, je souhaite à la maison d'édition « Aletheia », si possible, de corriger ces défauts dans la prochaine édition du livre de W. Budge « La Momie ». Cependant, malgré toutes les lacunes, je suis sincèrement reconnaissant envers la maison d'édition Aletheya, qui publie depuis de nombreuses années des livres sur la culture et la religion égyptiennes anciennes pour les lecteurs russes.

Mythes des peuples du monde, encyclopédie, tome 2 (k-ya), M., Encyclopédie soviétique, 1992, p. 345-346.

Wallis Budge, Religion égyptienne, magie égyptienne, « Nouvelle Acropole », M., 1996, p. 352.

TATUNEN(Tatenen, Tanen) - « La Terre Montante », le dieu de la terre vénéré à Memphis, qui a créé le monde, les dieux et les hommes à partir du chaos primitif. Peut-être que dans l'hymne l'épithète Tatenen signifie « colline primordiale » comme principe du début de la création du monde ; il est généralement associé au nom d'Atoum (Temu) et de Ra.

Tous les symboles et statues ne sont pas du tout lus de cette façon. Les symboles sont dessinés selon les lois de l’espace, tout comme les statues. Ce sont les lois selon lesquelles ces gens vivaient. Ils vivaient sans guerres, sans esclaves, sans maladies, mesuraient entre 10 et 12 mètres et aimaient construire des pyramides. Maintenant, les gens n’ont plus la moindre idée de ces lois, alors ils meurent. Les symboles sont l'alphabet des lois de l'espace.

A propos de Pythagore et de ses études en Egypte - .... (Ce n'est pas correct). Il était le fils du dieu de la lumière Apollon et était considéré par ses contemporains comme le fils de Dieu et un prophète.
Et à propos de ses études en Egypte et ainsi de suite... - ce sont des post-scriptums ultérieurs, essayant d'expliquer ses révélations divines - avec des explications rationnelles et de gonfler les misérables connaissances des barbares.

Ce que Pythagore a découvert – ni les Égyptiens, ni les barbares plus arriérés que sont les Babyloniens et les Perses – n’avaient jamais rêvé. Ils étaient trop noirs et tachés pour ça.

Seuls les Enfants de la Lumière (c'est-à-dire la race Blanche) et personne d'autre ne sont capables de découvertes telles que celles de Pythagore.

• Cher, « Quelqu'un » sous le « surnom » est Sybil. Les prophétesses étaient appelées Sibylles - « SIBILLA, SIBILLA, Sibylla, Σίβυλλα. Ce nom était porté par des femmes divinement inspirées - des prophétesses appartenant à des époques et à des peuples différents. Les nouvelles des anciens concernant leur nombre, leur nom, leur patrie sont incertaines et diffèrent les unes des autres. Platon ne connaît qu'une seule Sibylle, Aristote, Aristophane en mentionne plusieurs ; au temps de Varro, 10 Sibylles furent distinguées"... . Nous avons supprimé les mots grossiers de votre critique, car l'impolitesse, le ton impudent et arrogant dans la conversation ne contribuent pas à la connaissance de la Vérité. De plus, une personne qui se permet de faire cela ne se respecte ni elle-même ni son interlocuteur.
  Essayez d'être plus bienveillant - cela changera votre vie pour le mieux. Soyez un « enfant » de Lumière.
  D'ailleurs, concernant la connaissance des « barbares arriérés », lisez par exemple notre ouvrage, section « Religions africaines » - Secrets des symboles des chamanes dans la matrice de l'Univers. Deuxième partie. Dogon, et les Secrets des symboles des chamanes du monde dans la matrice de l'Univers. Partie trois. Vaudou. Peut-être que vous changerez d'avis sur cette question.

Mieux vaut tard...
Beaucoup d'informations sur le système. Je ne suis pas encore entré dans la matrice, mais historiquement, vous pouvez lire et lire sur l'ésotérisme. Le style et la forme de présentation sont bien plus accessibles que ceux de H. P. Blavatsky.
Merci!

C'était très intéressant de voir comment la tétractys et l'étoile de David étaient représentées dans le dessin du dieu Ptah. Je vous remercie sincèrement pour les informations utiles présentées de manière accessible. Je vous souhaite santé et prospérité !

Merci à l'auteur pour les informations utiles dans la vie. J'ai lu que dans l'Égypte ancienne, il existait des écoles dans lesquelles les prêtres enseignaient des techniques de maîtrise dépassant les capacités du corps.
Existe-t-il des sources documentaires accessibles au public ?
Merci d'avance

La magie peut-elle être considérée comme une science ? Depuis l'avènement de la magie, il y a toujours eu des escrocs et des charlatans qui réalisaient habilement toutes sortes de « miracles » moyennant des frais appropriés. Et la curiosité des niais crédules les a encouragés à poursuivre leurs recherches. De plus, la science officielle a tendance à nier et à ridiculiser le savoir secret des prêtres, ainsi que tout ce qui ne peut être touché et examiné au microscope. Et pourtant, les prédictions se réalisent et la magie perdure, puisque l'intérêt pour elle ne s'est pas estompé à ce jour.

Quand et comment la magie est-elle apparue ? Il n'y a pas de consensus sur le calendrier - il est évident que ce domaine de connaissance s'est développé simultanément avec l'humanité. Et les formules et rituels magiques ont été inventés conformément aux lois de la nature - après tout, l'occultisme est essentiellement la même physique, mais il n'est pas si facile d'expliquer comment fonctionne la magie. On peut dire que le rituel est un outil auxiliaire qui sert à régler la volonté du magicien et à concentrer son attention.

Qu’est-ce qui entre dans la définition de la magie ou des sciences occultes ? Actuellement, la frontière entre les sciences secrètes et la médecine dite « alternative », etc. assez vague. Si absolument des actions contraires aux idées des autorités laïques et ecclésiales étaient envisagées, alors de nos jours ce qu'on appelle. La « bioénergie » est pratiquement assimilée à la science officielle. Et avant, peut-être, ils auraient pu être brûlés vifs...

Aujourd’hui, la magie peut être appelée non seulement la connaissance secrète des prêtres, mais également toutes les actions et rituels occultes dont le but est d’influencer la santé, le psychisme, l’attitude, etc. d’une personne. L'émergence de la magie et son développement ont donné lieu à de nombreuses conspirations de réussite, de rituels, de divination et bien plus encore. Cela inclut également l'astrologie (après tout, parfois les prédictions se réalisent), la chiromancie, la numérologie, la médiumnité et les capacités surnaturelles humaines - télépathie, télékinésie et autres.

Connaissance secrète des prêtres

Contrairement à la croyance populaire, un magicien (ou une sorcière) n'est pas naissent, mais deviennent. Bien sûr, il existe des personnes qui ont naturellement certaines capacités en matière d’hypnose. Enseigner les sciences occultes est un travail sérieux qui prendra beaucoup de temps.

Il ne faut pas s'attendre à des progrès rapides ni à des miracles surnaturels : ceux qui rêvent d'acquérir le savoir secret des prêtres, leur permettant de secouer les montagnes et de refouler les rivières, n'obtiendront jamais rien. Ceux qui sont déterminés à devenir magiciens et qui n'ont pas peur des difficultés devraient le faire en premier. Depuis l'émergence de la magie, les pratiques n'ont cessé de s'améliorer, et les gardiens du savoir secret des prêtres ont perdu leur monopole...

Le mystique et occultiste français Gérard Encausse, mieux connu sous le nom de Dr Papus, a conseillé de développer vos sens. Pour accomplir des rituels magiques, le sorcier a besoin d'un contrôle total sur sa volonté, et pour y parvenir, il doit étudier son corps. Vous pouvez commencer petit – avec le processus de manger. De nos jours, peu de gens prêtent attention à ce qu’ils mangent. Vous devez être conscient non seulement du goût des aliments, mais aussi de la sensation de satiété et de toutes vos réactions émotionnelles. Un avantage considérable viendra de l'élimination de l'alcool et du tabac de l'alimentation, qui nuisent non seulement au corps physique mais aussi au corps astral, empêchant ainsi l'accomplissement d'actions magiques. Bien entendu, ce n’est pas une connaissance secrète des prêtres, mais une condition très importante pour pratiquer la magie.

Vous devez constamment développer la concentration et sa forme particulière. La concentration ne doit pas prendre d'énergie et vous fatiguer - le magicien doit être à la fois détendu et concentré pendant l'exécution du rituel. La concentration se développe grâce à des exercices de méditation. Vous devez prendre une position confortable, fermer les yeux et surveiller toutes les pensées qui apparaissent dans votre esprit.

Il n’est pas nécessaire de céder à l’envie de commencer à réfléchir à n’importe quel sujet. Les pensées doivent aller et venir sans laisser de trace dans l’esprit. Le but de l’exercice est d’essayer de réaliser une pause mentale (un état d’absence totale de pensées). Au fil du temps, cet exercice portera ses fruits : vous pourrez éliminer toute pensée indésirable avec une simple volonté.

Ne prêtez pas trop attention aux attributs : même les actions magiques les plus complexes ne nécessiteront pas de nombreux outils. Et le sang sacrificiel d'une chèvre ou une coupe du fémur d'une vierge ne peut être trouvé que dans les films d'horreur, et non dans la pratique réelle. Bien que certains livres (par exemple les grimoires français) mentionnent des attributs encore plus sombres.

Pratiques occultes des peuples du monde

Il est intéressant de noter que chaque peuple ayant jamais existé sur terre avait ses propres pratiques occultes. On peut rappeler de nombreuses confirmations de ce fait - danses extatiques des derviches, runiques scandinaves, slaves, pratiques mystérieuses des fakirs indiens, connaissance secrète des prêtres de l'Egypte ancienne et méditation, si populaire parmi les peuples orientaux. De tout temps, les gens ont eu tendance à chercher un moyen de résoudre leurs problèmes en utilisant des méthodes occultes. L'homme a toujours lutté pour le pouvoir, voulait connaître son avenir, car certaines prédictions se réalisent... À propos, il convient de noter qu'un occultiste développé qui possède est indifférent au pouvoir, et une personne égoïste qui décide de subjuguer le monde, avec l'aide de la sorcellerie, n'est pas en mesure de réussir.

Au début du Moyen Âge, les prêtres jouissaient d’une énorme autorité ; ils partageaient le pouvoir avec les dirigeants des différents États. À cette époque, il était rare qu'un commandant mène ses troupes à l'offensive sans consulter un astrologue personnel ; personne ne doutait que les prédictions se réaliseraient.

Les prêtres servaient d'intermédiaires entre les dieux et l'humanité. Ils étaient également chargés de protéger la population contre les machinations des forces démoniaques, ainsi que de veiller au bien-être matériel des habitants de l'État. Divers cadeaux étaient apportés aux prêtres et ceux-ci devaient à leur tour guérir les gens, protéger les cultures et le bétail et, bien sûr, accomplir des rituels destinés à apaiser les dieux. Le savoir secret des prêtres était censé servir le peuple.

Pour simplifier la tâche des magiciens et des prêtres, divers systèmes de divination ont été développés. L’une des plus célèbres était celle composée de 78 plaques (22 arcanes majeurs et 56 arcanes mineurs). Avec l'aide des cartes de Tarot, vous pouvez obtenir une réponse précise - les prédictions se réalisent presque toujours. Au cours de son existence, ce système de divination a changé d'apparence à plusieurs reprises. Il existe aujourd'hui plusieurs jeux de cartes de Tarot - les jeux de Lenormand, Aleister Crowley, Papus et autres. Mais la source originale est considérée comme le Tarot égyptien.

Il y en a un lié à la création de ce deck. Selon elle, les prêtres égyptiens auraient décidé de créer ce système et d'y enfermer symboliquement toutes leurs connaissances occultes afin de les transmettre à leurs descendants. Le jeu a été créé et les prêtres ont commencé à réfléchir à qui confier son stockage. Certains voulaient remettre les cartes de la vertu et confier le jeu à une personne pour qui l'intérêt personnel et les désirs terrestres sont étrangers. D'autres leur ont objecté qu'il était pratiquement impossible de trouver une telle personne et que s'il mourait, les connaissances seraient perdues. Ensuite, il a été décidé de confier le jeu de Tarot au vice. C'est ainsi qu'apparaissent les cartes à jouer. Il convient de noter que les prédictions se réalisent - le jeu a survécu jusqu'à ce jour.

Lever le voile du futur...

On ne peut pas dire que la vie des prédicteurs médiévaux ait été calme et mesurée. D’une part, ils étaient vénérés et partageaient pratiquement le pouvoir avec les dirigeants des États, et d’autre part, nombre d’entre eux étaient victimes de leur « échec ». A tout moment, le souverain pourrait avoir l'idée de savoir si les prédictions se réalisent ou non, de se renseigner, par exemple, si l'astrologue connaît l'heure de sa mort. Et s'il appelait l'heure, il risquait de perdre la vie plus tôt que prévu, car en l'exécutant, le dirigeant pourrait prouver l'incohérence du prédicteur.

Cependant, il était également impossible de ne pas répondre à cette question: le diseur de bonne aventure serait reconnu comme un charlatan et pour cela il serait exécuté. Un astrologue s'est sorti d'une situation difficile d'une manière très originale - il a dit au dirigeant que leurs horoscopes étaient très similaires et, par conséquent, le dirigeant ne survivrait au diseur de bonne aventure que de 10 minutes. Le dirigeant n'a pas pris de risques, car parfois les prédictions se réalisent...

Personne n'aime les mauvaises nouvelles - il arrive que même les messagers qui les apportaient soient tués sur le coup. Depuis l’avènement de la magie et de l’astrologie, les diseurs de bonne aventure sont obligés de dire ce que le souverain voulait entendre. Et si leurs prédictions ne se réalisaient pas (par exemple, les troupes perdaient la bataille ou les récoltes étaient mauvaises), l'astrologue risquait des représailles.

Cependant, les astrologues ne se sont pas toujours révélés insolvables et leurs prédictions se sont réalisées assez souvent. Ainsi, selon l'auteur du livre «Ivan le Terrible», Valishevsky, Bogdan Belsky, le favori de Grozny, a demandé aux astrologues de prédire le jour de la mort du tsar. Le jour était prédit et Belsky a averti les astrologues que s'ils commettaient une erreur, ils seraient exécutés - brûlés vifs. Ce jour-là, Grozny se sentit mieux et Belsky rappela sa menace aux astrologues. Les devins lui dirent calmement que la journée n'était pas encore terminée. L'histoire a confirmé la véracité de la prédiction : ce jour-là (18 mars), le tsar est mort lors d'une partie d'échecs avec Boris Godounov.

Arushanov S.Z.

Les secrets de la palette Narmer dans la matrice de l'Univers

Dans cet article, nous examinerons l’antiquité égyptienne aux « cheveux gris » et examinerons en détail l’artefact ancien le plus intéressant – la palette avec l’image du pharaon Narmer.
Voici ce que dit le Dr Ian Shaw à propos de cet artefact :
« En 1898, les égyptologues britanniques James Cubell et Frederick Greene ont découvert des dalles de pierre ressemblant à de l'ardoise gris verdâtre dans les ruines d'un ancien palais de l'ancienne ville de Hiérakonpolis en Haute-Égypte. Cette découverte n’a pas fait autant de sensation que la découverte du tombeau de Toutankhamon survenue 24 ans plus tard, mais les scientifiques ont immédiatement compris l’importance de ce petit objet.
Comme la pierre de Rosette, cette tuile – la palette de Narmer – pourrait avoir des conséquences extrêmement importantes pour l'étude de l'Égypte ancienne. Au cours des 100 prochaines années, le contenu de la palette sera interprété par les égyptologues cherchant des réponses à de nombreuses questions : depuis les origines politiques et le contexte de l'État égyptien jusqu'à la nature de l'art et de l'écriture égyptiens.

Matériel de Wikipédia - l'encyclopédie gratuite :

Description

La hauteur de la palette est de 64 cm, la largeur est de 42 cm. C'est une exposition du Musée du Caire.
Sur le recto de la palette, Narmer est représenté dans la couronne blanche de Haute-Égypte, frappant avec une masse un habitant de la partie nord-ouest du Delta (« région du Harpoon ») et rapportant la capture de 6 000 prisonniers.
Au revers, il apparaît dans la couronne rouge de Basse-Egypte, marchant solennellement, entouré de sa suite, vers les cadavres sans tête de ses ennemis. Les images de Narmer portant des couronnes blanches et rouges sont destinées à symboliser l'unification de l'Égypte.

COMMENTAIRE 1 :

Riz. 1. Image de la « première » face de la palette Narmer. Datation – Égypte prédynastique ou dynastique précoce.
Lieu de stockage : Musée égyptien du Caire. CG14716/JE32169. Matériau – Aleurite. Dimensions – Hauteur : 63cm.
La palette a été trouvée à Hiéraconpolis par les archéologues James Quibell et Frederick Greene au cours de la saison 1897/1898.

...
Description:
En haut de la palette se trouvent deux têtes avec des cornes et des oreilles.
Entre eux se trouve le hiéroglyphe égyptien - "Refrain - Poisson-chat féroce" ou simplement " Khor Som».
Ci-dessous, les lignes du hiéroglyphe sont représentées de gauche à droite - " porteur de sandales de prêtre"avec un récipient d'eau dans la main droite. Sur sa poitrine il y a un spécifique " symbole", suspendu à une sangle.
Les sandales sont attachées à la main gauche. Les jambes reposent sur un rebord horizontal.

Vient ensuite le pharaon dans « blanc» couronne de Haute Egypte avec la main droite levée, tenant la masse par son milieu. Des décorations pendent à la ceinture du pharaon - ornements et derrière " queue de cheval" ou " queue faite de fils" Les doigts de la main gauche du pharaon sont serrés en un poing, et le poing est simplement posé sur la tête de la personne agenouillée devant lui.
Ci-dessous, sur la figure 2, ce fragment sera représenté sous forme agrandie.

Horizontalement derrière la tête d'une personne agenouillée se trouve un rectangle rempli de lignes d'ondes verticales - un hiéroglyphe SH – plan d'eau, « lac", et au-dessus ce n'est pas un harpon, comme on dit, mais, très probablement, un bâton avec un crochet " extension du bras", qui dans les temps anciens était utilisé par les lanceurs de javelot pour le faire voler sur une plus longue distance.
Au-dessus de la tête d'un homme agenouillé se trouve un hiéroglyphe UA ou SEN, c'est-à-dire le concept " lieu, territoire».
Sur le côté gauche du hiéroglyphe se trouve la tête d'un homme barbu.
Sur le hiéroglyphe " grandir» six tiges de papyrus avec coiffes. La patte gauche de l'oiseau est située sur trois chapeaux. Horus, Chœur" La patte droite de l'oiseau tient une corde torsadée (symbole d'influence ou de contrôle). L'autre extrémité de la corde entre ou sort du nez de la tête d'une personne barbue (le hiéroglyphe AU ou SEN).

Les pieds du pharaon reposent sur un rebord horizontal. Sous la saillie se trouve le hiéroglyphe « ville-fort" et deux personnes dans des poses caractéristiques regardant le hiéroglyphe " ville fortifiée».

Riz. 2. Fragment agrandi de la figure 1,
qui montre la main gauche du pharaon, serrée en un poing, et posée sur la tête d'un homme agenouillé devant lui dans la pose de " consentement ou soumission».
Quelques " projection"En haut, derrière la main gauche du pharaon, se trouve l'extérieur du poing du pharaon. Par conséquent, la nature de la scène représentée sur la palette n’est pas celle du meurtre d’un prisonnier, mais, très probablement, une forme de « dévouement"Homme agenouillé.

Ceci est confirmé par le fait que le pharaon tient la masse dans sa main droite par le milieu, et non par l'extrémité du manche. Le poing de la main gauche du pharaon repose sur la tête de l'homme agenouillé, au lieu de la frapper. Après un coup violent à la tête, une personne tombait tout simplement inconsciente.
Les chevaliers du Moyen Âge agissaient de la même manière lorsqu’ils étaient faits chevaliers. demandeur" À une certaine époque, il existait une coutume selon laquelle, après que «l'aspirant» avait prononcé le serment, le dédicant le frappait à l'arrière de la tête avec la partie plate de l'épée, mais certains «aspirants» perdaient connaissance et étaient blessés. Pour cette raison, ils abandonnèrent les coups et commencèrent à placer l’épée sur l’épaule.

« L'avers représente des lions au long cou entrelacés (« faucilles »), tenus en laisse par deux hommes barbus. L'image de paires d'animaux « apprivoisés » disposées symétriquement a très probablement été empruntée à l'iconographie du début du développement de la Mésopotamie, peut-être à l'iconographie d'Elam. Ces images pourraient avoir une signification bien précise et symboliser l’unification forcée des deux parties du pays. C’est l’un des thèmes principaux de l’art et de la littérature égyptiennes tout au long du règne des pharaons.

Le cercle formé par les cols entrelacés des faucilles encadre astucieusement un petit évidement, ou plaque, pour frotter les peintures pour la peinture décorative des yeux (à l'origine, de telles palettes servaient précisément à cet effet). Mais on ne sait pas vraiment si un objet cérémoniel aussi important que la palette Narmer a jamais été utilisé à cette fin. Il est probable que la signification de ces objets rituels dépassait l'usage pratique précédemment défini, puisqu'ils servaient d'offrandes dans le temple de Hiérakonpolis.
Sur une autre tablette cérémoniale d'un type similaire, l'indentation circulaire produit un effet indésirable. Cela interrompt l'image plate - comparez, par exemple, la "Palette des Deux Chiens", également trouvée par Cubell et Green à Hiéraconpolis, dans laquelle encore une fois deux lions au long cou peuvent être vus sur l'avers au premier plan, mais la dépression est simplement situé entre les cous, plutôt que créé par eux (ou une « palette papillon » avec un renfoncement qui interrompt l'image d'une file de prisonniers).

Dans le registre supérieur du recto de la palette, au-dessus des serpopards, l'artiste a représenté la figure marchante d'un homme barbu - le souverain de l'Égypte ancienne ; à en juger par les hiéroglyphes dans le cadre serekh(serekh) situé entre les têtes de taureau en haut des deux côtés de la palette se trouve un homme nommé Narmer. Il est représenté dans ce qu'on appelle " couronne rouge", apparu pour la première fois sur un tesson de poterie datant de la période Naqada I (4000 - 3500), et était considéré comme un symbole de pouvoir sur la Basse-Égypte (on ne sait cependant pas quand cette version a été développée : pendant la période Naqada I ou Narmer période). Il tient un bâton et un fléau dans ses mains, il est vêtu d'une tunique nouée sur son épaule gauche et une queue de taureau pend à sa ceinture.

Le pharaon participe à la procession avec six autres personnes, parmi lesquelles se détachent deux personnages, de la moitié de sa taille ; sur la palette, ils sont représentés devant et derrière le pharaon, mais en réalité ils ont peut-être marché de chaque côté de lui. Les deux hommes sont rasés de près, ils occupent visiblement une position sociale élevée et sont de hauts fonctionnaires. Celui représenté à gauche est sans doute le porteur des souliers royaux ; dans une main il porte une paire de sandales et dans l'autre un petit vase. Autour de son cou se trouve un ornement de poitrine ou peut-être un sceau royal. Un seul hiéroglyphe dans un cadre carré placé au-dessus de sa tête peut représenter un radeau de roseaux (dans ce contexte, sa signification n'est pas claire). Phonétiquement, cela peut être lu comme " base de données» .

On y trouve également deux autres signes devant, probablement une rosace superposée et un " Hum», qui eut plus tard diverses significations, dont « serviteur ». La figure du fonctionnaire de droite est légèrement plus grande. Il est représenté portant une perruque et une robe en peau de léopard ; des instruments d'écriture pendent à son cou. Les deux hiéroglyphes au dessus de sa tête disent " tt», est probablement une première version du mot « vizir » [chati].

Le pharaon et ces deux fonctionnaires, accompagnés de quatre porteurs, personnages plus petits (tous sauf un, sont représentés avec une barbe), inspectent apparemment les corps sans tête de dix ennemis, la tête entre les jambes, situés sur le côté droit de la palette ; Vraisemblablement, ils sont morts au combat ou ont été rituellement exécutés.
Les quatre étendards sont surmontés de symboles ou totems connus des périodes ultérieures - deux faucons, un chacal (peut-être Dieu Upuaut) et un étrange objet sphérique, - " SSD", ou le placenta royal. Ces normes, prises ensemble, forment un groupe qui sera plus tard appelé « disciples du dieu Horus» (ou « les dieux qui suivirent Horus ») et était associée à la célébration de l’anniversaire du pharaon ou à son enterrement.
Au-dessus des corps sans tête se trouvent quatre signes ou images symboliques :
porte, faucon, bateau avec proue et poupe Et faucon tenant un harpon».

Riz. 7. Fragment d'une palette représentant dix corps humains sans tête.
Des têtes coupées reposent entre leurs jambes. Les mains sont liées aux coudes.

Il existe de légères différences dans le positionnement des pièces dans [les deux images] par rapport à l'image originale sur la palette Narmer.

Riz. onze. La figure montre les couronnes du pharaon séquentiellement de gauche à droite -
"couronne blanche" du pharaon de Haute Egypte, "couronne rouge" du pharaon de Basse Egypte
et la couronne unie du souverain - le pharaon de la Haute et de la Basse-Égypte.
Les dessins originaux sont issus de l'ouvrage Historia de EGIPTO.

Riz. 12. La figure montre des images agrandies de deux hiéroglyphes
« Chœur – Poisson-chat féroce" ou simplement " Khor Som"entre des têtes avec des cornes et des oreilles.
À gauche se trouve un hiéroglyphe sur la « première » face de la palette, qui représente le pharaon portant la couronne « blanche » de Haute-Égypte.
À droite se trouve la « deuxième » face (revers) de la palette, qui représente le pharaon dans la couronne « rouge » de Basse-Égypte.
Comme on peut le voir sur la figure, bien qu'ils soient extérieurement similaires, les hiéroglyphes sont formellement différents.

COMMENTAIRE 2 :

Poursuivons nos recherches en utilisant la matrice de l'Univers.
Le premier objet d’étude sera masse, qui est tenu dans la main droite du pharaon portant la couronne « blanche » de Haute Egypte.

Riz. 13. L'image montre une masse de la main du pharaon de Haute-Égypte sur le « premier » côté de la palette,
qui est combinée avec la pyramide du Monde Inférieur de la matrice de l'Univers.
Dans la partie médiane de la masse, sont visibles les doigts de la main droite du pharaon.
La clé pour tout combiner " Masses"La matrice de l'Univers était sa partie principale.
Lorsque sa partie tête s'alignait avec le lieu de transition entre les mondes Supérieur et Inférieur de la matrice de l'Univers, le manche de la masse s'alignait avec le 17ème niveau du monde Inférieur de la matrice. UN– deux Tétractys Sacrées. DANS– la partie tête de la masse, combinée au lieu de transition entre les mondes Supérieur et Inférieur de la matrice de l'Univers. AVEC– un modèle de la partie tête de la masse au point de transition entre les mondes supérieur et inférieur de la matrice de l'Univers.
La masse peut être retournée, puis la base du manche de la masse s'alignera avec le 17ème niveau du Monde Supérieur de la matrice de l'Univers. Ainsi, les formes et les tailles originales de la masse sur la palette se sont révélées être exactement conformes aux espaces correspondants de la matrice de l'Univers. Cette signification sacrée du symbole du pouvoir du pharaon - la « Masse » - devient claire lorsque la masse est combinée avec la matrice de l'Univers.

Nous avons parlé des espaces de la matrice de l'Univers depuis le 17ème niveau du Monde Supérieur de la matrice jusqu'au 17ème niveau de la matrice du Monde Inférieur de l'Univers dans notre travail sur le site dans la rubrique « Articles de l'auteur » lorsque combiné avec la matrice de l'ancien hiéroglyphe égyptien Khor-Den-Serekh - Hiéroglyphe Khor Den et le mystère de l'origine de la Haute et de la Basse Egypte.

A gauche de l'image du bas (en dessous du niveau 20), les numéros des Nomes de Basse Egypte sont indiqués dans des cercles et les hiéroglyphes correspondant à ces Nomes sont représentés. On voit bien que 10 corps aux têtes coupées sont tombés dans la région des deux premiers Nomes de Basse Egypte. Premier hiéroglyphe Aneb hesp(Aneb Hesp) – signifie "bâtiment, zone", et deuxieme - Khépesh(Khepesh) – "victime".

Ainsi, la région du nom Brahma de la figure 14 et la région des corps aux têtes coupées sont occupées par des hiéroglyphes, qui peuvent être traduits par - "MAISON OU QUARTIER DE LA VICTIME".
De plus, comme nous l'avons noté ci-dessus, (Description de la figure 6 - « mais ce hiéroglyphe doit être lu de droite à gauche et vers le bas. Donc, formellement, notre ordre de listage des figures sur cet horizon devrait également être de droite à gauche.") ce secteur doit être lu de droite à gauche.
Les Serpopards - animaux mythiques au long cou et le Taureau à l'entrée du fort, tombaient dans la région des 3ème et 4ème Nomes de Basse-Egypte. En général, les deux faces de la palette et les dessins qui y figurent correspondent bien à la matrice de l’Univers. Les détails individuels de la combinaison des dessins avec la matrice de l'Univers sont clairement visibles sur la figure.

Ci-dessous, nous présentons exactement la même figure 17 que la figure 16, où les palettes sont combinées avec la matrice de l'Univers, mais au lieu de dessins de la palette, des photographies sont combinées avec des images originales gravées sur pierre.
Peut-être que la qualité de la perception diminue quelque peu, mais un tel dessin est tout simplement nécessaire.

Riz. 17. Ce chiffre est tout à fait similaire au précédent chiffre 16,
mais ici des photographies avec des images originales gravées sur la pierre se conjuguent avec la matrice de l'Univers.

Riz. 18. À gauche sur la figure se trouve une carte géographique du Nil et de son delta avec une partie des Nomes de Haute-Égypte (représentés en chiffres rouges) et des Nomes de Basse-Égypte (représentés en chiffres verts).
La figure 16 est représentée à droite à échelle réduite. Les quatre Nomes de Haute Egypte et les quatre Nomes de Basse Egypte sont mis en évidence par des flèches inclinées au-dessus et en dessous de la carte géographique.
Les flèches en arc indiquent l'emplacement sur la carte de la zone "Maisons du sacrifice"(1er et 2e Nome de Basse-Egypte), où la palette représente dix corps aux têtes coupées.
DANS 3ème Nome de Basse Egypte Si vous le souhaitez, vous pouvez rechercher les restes de Serpopards - animaux mythiques au long cou, et dans 4ème Nom une ville où un taureau à cornes a envahi une palette ?!

Ainsi, en combinant les résultats de nos études sur la palette dans la matrice de l'Univers et la carte géographique des Nomes, nous avons probablement établi les lieux où se sont déroulés les événements représentés sur la palette, sur la terre d'Egypte et dans le matrice de l'Univers.

Regardons maintenant le chiffre "porteur" de sandales, qui se tient derrière le pharaon, comme dans « d'abord" et " deuxième» côté de la palette Narmer. En apparence, c'est un prêtre. Sur sa poitrine se trouve un signe spécifique suspendu à une sangle et dans sa main se trouve un récipient contenant de l'eau.

À l’aide de la matrice de l’Univers, nous explorons à la fois le signe et le vaisseau. Les prêtres ne faisaient ni ne portaient simplement rien.

Riz. 19. L'image montre :
A – Reconstruction dans la matrice de l'Univers d'un signe spécifique sur la poitrine du prêtre – le « porteur de sandales ».
Le signe ou symbole occupait l'espace de la Tétractys supérieure ou le sommet de la pyramide du Monde Supérieur de la matrice de l'Univers, inversé avec sa pointe vers le bas (du 4ème au 1er niveau du Monde Supérieur de la matrice).
B – Reconstruction d'un vaisseau d'eau dans la matrice de l'Univers.
Le vaisseau est situé, comme on peut le voir sur la figure, dans le Monde Inférieur de la matrice de l'Univers du 1er au 6ème niveau inclus.
C est le résultat de la combinaison du symbole sur la poitrine du prêtre et du récipient d'eau dans la matrice de l'Univers.

Ainsi, on voit clairement que les prêtres fabriquaient tous les « symboles » selon les lois de la matrice de l’Univers. Ils montraient donc des « symboles » à l'extérieur, et leur signification sacrée n'est devenue claire qu'après avoir combiné ces « symboles » avec la matrice de l'Univers, ce que nous faisons maintenant.
C'est ainsi que la connaissance des lois de la matrice de l'Univers ou Connaissance des anciens sur le monde invisible.

Riz. 20. La figure montre séparément, de droite à gauche :
Un prêtre. B – Symbole de poitrine. C – récipient pour l'eau.

C'est ici que nous terminerons notre article.

Cependant, notons l'essentiel. Quelle que soit l'époque historique, par exemple les symboles de l'Égypte ancienne que nous considérons, ils ont tous été créés, comme les hiéroglyphes, sur la base d'une base sacrée - la matrice de l'Univers.

En annexe 1, nous donnerons une description de l'habitat du poisson-chat tirée de l'encyclopédie gratuite Wikipédia.
Les poissons-chats n'ont pas nagé dans le Nil et il semble qu'ils ne l'aient jamais fait !? Le poisson-chat est particulièrement connu en Rus' !
Et l'ornement sur la ceinture du pharaon avec la couronne de Haute-Égypte sur la figure 3 est très similaire aux dessins slaves - les ornements. Eh bien, ce n'est pas l'essentiel. L'essentiel est que le poisson-chat n'a pas nagé dans le Nil.
Alors qui est Khor Narmer – « Le poisson-chat maléfique » ?!

[...]
© Arushanov Sergueï Zarmailovitch 2012

voir : http://xoomer.virgilio.it/francescoraf/hesyra/narmer.html
http://xoomer.virgilio.it/francescoraf/hesyra/palettes/narmerp.htm

Ian Shaw est maître de conférences en archéologie égyptienne à l'Université de Liverpool. Étudie la technologie, l'innovation, les armes et la vie sociale de l'Égypte ancienne. Depuis 1985, il a creusé diverses mines de minerai égyptiennes antiques à Hatnoub, Wadi el-Hudi, Wadi Maghar, Gebel el-Asr et ailleurs.

Malédiction des Pharaons. Secrets de l'Egypte ancienne Reutov Sergueï

Connaissance secrète des prêtres égyptiens. "Livre des morts"