Comment l'ours est devenu un symbole de la Russie et pourquoi les ours sont les plus meilleures mamans dans le monde animal.
Premier Baïkal
Les armoiries, l'hymne, le drapeau de n'importe quel pays caractérisent avant tout sa spiritualité et fondations politiques, traditions, caractéristiques caractère national. Mais en Russie, il existe un symbole folklorique aussi intéressant que l'ours, qui a longtemps été considéré comme le propriétaire reconnu de la forêt, qui n'a pas d'égal en force. C'est lui qui était pour les Russes l'incarnation du courage, de l'intelligence, de la dextérité ... De plus, les Jeux Olympiques-80 à Moscou sont restés dans les mémoires de tous comme un ourson, souriant avec bonhomie du ciel de Moscou à la clôture des vacances . L'ours est aussi un symbole du principal parti russe " Russie unie". Ce n'est donc pas un hasard si l'image d'un ours dans le monde est l'image de la Russie.
Mais passons de l'ours abstrait à une conversation sur un ours concret, le nôtre, de la région du Baïkal, qui se sent comme le propriétaire de ces lieux. Cependant, je voudrais parler en même temps non pas du seigneur de la taïga lui-même, mais de sa femme et de ses descendants-oursons.
La plupart des ours bruns vivent dans des zones spécialement protégées du lac Baïkal.
L'ours dans les contes de fées russes est respectueusement appelé mère ours, Avdotya Toptygina, Akulina, Matrena Mikhailovna, Aksinya.
sibérien ours brun atteint 2,5 mètres de long et jusqu'à 1,5 mètre de haut au garrot. Le poids moyen des mâles est d'environ 350 à 400 kg, et ils sont environ une fois et demie plus gros que les femelles, qui gagnent jusqu'à 250 kg à l'âge adulte.
Les oursons nouveau-nés et leur première maison
Un ourson naît dans une tanière aménagée sous de grosses pierres, dans des crevasses, dans des affleurements de racines, parfois dans des grottes ou de grands terriers. En fait, le «lieu de couchage» dans la tanière n'est pas très grand, vous ne pouvez pas vraiment vous allonger, mais l'ourse aborde son agencement de manière très responsable. L'habitation d'hiver est tapissée de mousse, de feuilles sèches, de branches de conifères. En règle générale, l'ourse se couche dans la tanière à la veille de fortes chutes de neige. Son hibernation n'est pas une anabiose, mais un rêve ; cependant, les processus métaboliques ralentissent fortement, la respiration est moins fréquente (environ une fois toutes les 4 minutes), mais température normale corps et la capacité de restaurer instantanément les actions actives. Comme le précisent plusieurs experts, un ours dérangé dans la tanière, même s'il y a des bébés, s'enfuit et ne revient presque jamais. Ils croient que instinct maternel elle ne se développe qu'au fur et à mesure de l'éducation des oursons.
Un ours ne donne pas naissance chaque année, en règle générale, en janvier, en moyenne - 1 à 2 oursons, mais les employés des zones spécialement protégées du Baïkal notent qu'il y a des cas où 3 oursons apparaissent dans une tanière.
Les nouveau-nés sont minuscules (environ 500 grammes), aveugles, sourds, édentés, pratiquement nus.
petite taille repaires et faible poids à la naissance s'expliquent par les dures lois de la nature. La taille limitée de la première maison d'ours permet à l'ours de mieux réchauffer la progéniture. L'indice d'un tel poids corporel, plus proche du poids d'un chiot de chien, est lié au fait que, ne mangeant que des réserves de graisse «graisses», l'ourse ne serait pas en mesure de nourrir des oursons plus gros. Et de telles miettes, même pendant l'accouchement, ne dérangent pas particulièrement l'ourse, bien qu'un certain nombre de chercheurs affirment que pendant l'accouchement, elle se réveille, lèche les bébés et entre à nouveau en hibernation. Les oursons "s'enfouissent" immédiatement dans la fourrure épaisse de la mère, trouvent l'un des 6 mamelons et commencent à téter très fort. lait gras, qui est nourri jusqu'à 4 mois. Et tandis que leur occupation principale est de manger et de dormir. Pendant ce temps, les conduits auditifs s'ouvrent (après environ 2 semaines) et après environ un mois, les oursons commencent à voir.
Au printemps, au moment de quitter la tanière, le poids des oursons augmente de 4 à 5 fois, ils sont envahis de poils et peuvent se déplacer activement.
Quoi et comment un ours enseigne-t-il à sa progéniture
Il s'avère que les scientifiques ont construit une "échelle" de responsabilité des êtres vivants dans l'élevage de leur progéniture, et selon une gradation similaire, les ours occupent la troisième place après les humains et les primates en termes de prise en charge de leurs petits. Il s'avère que l'ourse aborde la procréation sur la base, en fait, de «concepts humains»: prêter attention non pas au nombre d'enfants, mais à la qualité de leur protection, de leur formation et de leur adaptation à la vie. Et les ours sont des mères très attentionnées.
La période de sortie de la tanière est différente pour les ourses et les ourses. En règle générale, les ourses sortent dans les airs après hibernation plus tard, lorsque de nombreuses parcelles d'herbe dégelées apparaissent dans la forêt. De plus, à l'âge de 3 mois, les oursons ont déjà toutes les dents de lait et peuvent manger des légumes verts et des insectes.
De plus, le comportement d'un ours et d'une ourse est également différent. S'il, après avoir quitté la tanière, s'occupe de se procurer de la nourriture uniquement pour lui-même afin de prendre du poids le plus tôt possible, alors la femelle, quelle que soit sa faim, donne la nourriture qu'elle trouve aux petits. De plus, si le mâle a très faim, il peut essayer de manger les bébés, ce qui est catégoriquement réprimé par l'ourse, qui non seulement cache activement les petits, mais chasse également l'ours de manière désintéressée.
Le père-ours ne prend aucune part à l'éducation de la progéniture.
Sortir avec sa mère Grand monde”, les oursons sous sa supervision comprennent les bases de la vie dans la nature. C'est elle qui donne aux enfants les premières leçons de ce qu'on appelle " comportement social". À l'âge de 4 mois, les oursons recherchent déjà de la nourriture dans la forêt avec leur mère, en faisant attention à tout ce qui peut être nourri. Dans le jeu, les oursons développent les compétences de base nécessaires à la vie d'ours adulte et, tout d'abord, à la chasse. Le reste du temps, ils dorment.
Les enfants jouent très activement - ils courent, poussent, se battent, "mettent leur nez" partout, s'intéressent vivement aux autres, grimpent aux arbres. Tout le monde note l'incroyable endurance de la mère, qui endure lorsque les oursons grimpent sur elle, mordent, lui tirent la queue et les pattes. Mais si elle s'emporte... Fidget peut recevoir une gifle puissante et entendre un grognement de colère.
Et la tâche principale d'une ourse au cours de la première année de la vie de sa progéniture est de lui apprendre à chercher de la nourriture, à nager, à grimper aux arbres et, surtout, à chasser.
Rechercher de la nourriture et des "nounous" d'ours
Les oursons de la dernière portée sont appelés lonchaks (de l'année), mais souvent les oursons de la portée précédente restent avec leur mère - des éleveuses qui aident la mère à s'occuper des plus jeunes. Dites, ils sont appelés ainsi parce qu'ils s'occupent de, "nourrissent" leurs frères et sœurs. Ce sont une sorte de nounous, inculquant en pratique aux enfants le principe du "faites comme moi".
Bien que les ours soient carnivores, ils sont omnivores. Naturellement, les oursons, avec l'aide de leurs mères et de leurs nounous, doivent acquérir des connaissances sur ce qui peut être utilisé comme nourriture et comment. Par conséquent, ils recherchent des plantes qui portent des fruits, cueillent des baies avec plaisir et ne refuseront pas de «manger» un champignon. Une variété d'insectes sont également consommés - par exemple, dans une fourmilière, un ourson apprendra à manger non seulement des fourmis adultes, mais également leurs larves.
Une leçon importante est l'extraction d'une noix. Seuls les petits jeunes ours peuvent grimper aux arbres, car en raison de la structure particulière des griffes et des pattes, les adultes perdent cette capacité. En conséquence, l'intérêt principal est le lutin de cèdre, le cône-padanka et la proie des casse-noix, dont les réserves, cachées dans les visons dans la mousse, sont enseignées pour ruiner les oursons.
Un endroit spécial pour obtenir de la nourriture est le Baïkal, au bord duquel une famille d'ours descend régulièrement. Les lieux des roqueries côtières de phoques sont d'un grand intérêt. L'un des plus célèbres se trouve près du cap Sagan-Maryan, mais il n'est pas accessible depuis le rivage à cause des falaises côtières. Les anciens locaux disent qu'elle porte avec ses petits année actuelle et ils se débrouillent avec les nageurs, c'est-à-dire que la mère inculque des compétences pratiques d'une manière extrêmement spécifique pour obtenir de la nourriture.
Le Baïkal est également une source assez riche d'aliments protéinés facilement accessibles: caviar de gobies du Baïkal, qui sont collés autour des pierres côtières, et les cadavres d'un insecte d'un jour "Baïkal caddisfly", qui meurt après l'émergence, recouvrant l'eau à proximité la côte.
La capacité de pêcher sur le lac Baïkal et les rivières qui s'y jettent est également "formée" par l'ourse et les pestuns.
Selon les observations, même la famille des ours se déplace dans un certain ordre - la mère est devant, puis les petits et les toiletteurs complètent la chaîne.
Et voici un moment extrêmement intéressant. L'un des experts de la vie des ours affirme que la "nounou" est une femelle que l'ours lui laisse comme future mère. D'autres, au contraire, insistent sur le fait que l'éleveur est exclusivement un ours mâle. La question est ambiguë et de nombreux experts nient généralement la présence de pestons dans la famille des ours.
Ours et homme dans les aires protégées de la région du Baïkal
Il y a beaucoup d'ours dans la zone protégée de la région du Baïkal en raison de l'approvisionnement alimentaire unique. Par conséquent, il est extrêmement probable de rencontrer une personne qui doit toujours se rappeler qu'un ours est bête sauvage. Une rencontre avec une ourse marchant avec sa progéniture est particulièrement dangereuse.
La meilleure option- rester hors de leur vue. Sentant l'approche du danger, l'ourse se précipite hardiment vers, protégeant ses enfants. Et puis même un homme armé a peu de chances de faire face à une bête en colère. La mère du pied bot court très vite - à une vitesse de 55 km par heure; une autre chose est qu'elle ne courra pas très longtemps.
Très souvent, les touristes provoquent eux-mêmes la bête, pensant pour une raison quelconque que des ours presque entraînés vivent dans des zones protégées et que vous pouvez jouer avec des oursons, comme avec des chatons. De plus, les incendies fréquents dans zones forestières Baïkal conduit les animaux vers les campings des touristes. Le plus souvent, cela se produit sur la péninsule de Svyatoy Nos. Souvent, les visiteurs ne recyclent pas déchets alimentaires, et parfois ils «nourrissent» spécialement les ours, profitant du fait que les oursons sont très curieux. Une telle « gentillesse » peut ne pas aboutir à quelque chose de bon.
Un caractère quelque peu différent est la connaissance de la famille des ours avec résidents locaux- résidents permanents zone protégée. Selon les histoires des anciens du village de Davsha (un village du district Severo-Baikalsky de Bouriatie sur le territoire Réserve de Bargouzinsky), une mère ourse avec trois oursons y est constamment apparue pendant plusieurs années. Les enfants étaient coquins, ont escaladé les clôtures pour le poisson et autres délices. Et l'ours se leva pattes postérieures, suspendu au-dessus de la clôture et, se balançant, s'occupait des enfants. Plus tard, leur propre ours « local », un ours Davshi, a commencé à y apparaître. Il a erré dans la rue la nuit, s'endormant parfois sous un porche, n'a pas montré d'agressivité, a marché le long de la côte, a pâturé dans une clairière devant le village, a marché le long des sentiers et a regardé dans les jardins pendant la journée. Les habitants du village pensent que cet ours est issu de la compagnie de ces trois oursons qui sont apparus ici avec leur mère.
En conclusion de l'histoire, nous rappelons que les oursons "marchent" avec leur mère jusqu'à l'âge de 3 ans, après quoi elle les envoie dans une vie complètement indépendante.
À propos de nos petits frères
Réponses aux pages 16 - 17
Constantin Ushinsky
chat voyou
Il était une fois un chat, une chèvre et un bélier dans la même cour. Ils vivaient ensemble : une botte de foin et cela en deux ; et si la fourche est sur le côté, alors un chat Vaska. C'est un tel voleur et un voleur: là où quelque chose se trouve mal, il regarde là-bas. Voici venir un ronronnement de chat, un front gris ; va pleurer si plaintivement.
Ils demandent à un chat chèvre et à un bélier :
- Chat-chat, pubis gris ! Pourquoi pleures-tu en sautant sur trois pattes ?
Vasya leur répond :
Comment ne pas pleurer ! Une femme m'a battu, battu; elle s'est arraché les oreilles, s'est cassé les jambes et m'a même tendu un nœud coulant.
« Et pourquoi de tels ennuis vous sont-ils arrivés ? - demande à la chèvre et au bélier.
— Eh-eh ! Pour lécher accidentellement de la crème sure !
- Servez le voleur et la farine, - dit la chèvre, - ne volez pas la crème sure!
Le chat pleure encore
- La femme m'a battu, battu moi; battre - elle a dit: mon gendre viendra me voir, où vais-je trouver de la crème sure? Involontairement, une chèvre et un bélier devront être abattus.
Une chèvre et un bélier ont rugi ici:
- Oh, espèce de chat gris, ton front stupide ! Pourquoi nous as-tu ruiné ?
Ils ont commencé à juger et à décider comment ils pourraient surmonter le grand malheur - et ils ont décidé sur-le-champ : tous les trois devaient s'enfuir. Ils se sont mis en attente, car l'hôtesse n'a pas fermé la porte et est partie.
II
Un chat, une chèvre et un bélier coururent longtemps à travers les vallons, les montagnes, les sables meubles ; a atterri et a décidé de passer la nuit sur un pré fauché; et sur ce pré il y a des meules de foin qui sont des villes.
La nuit était sombre, froide : où prendre le feu ? Et le chat ronronnant avait déjà sorti l'écorce de bouleau, enroulé les cornes autour de la chèvre et lui avait ordonné de se heurter au front du bélier. Une chèvre et un bélier se heurtèrent, des étincelles tombèrent de leurs yeux : l'écorce du bouleau flamboya.
- D'accord, - dit le chat gris, - maintenant échauffons-nous ! - Oui, sans réfléchir à deux fois, il a allumé toute une meule de foin.
Avant qu'ils aient eu le temps de se réchauffer suffisamment, un invité non invité s'est plaint à eux - un petit homme gris, Mikhailo Potapych Toptygin.
« Laissez-moi entrer, dit-il, mes frères, pour me réchauffer et me reposer ; quelque chose ne fonctionne pas pour moi.
- Bienvenue, petit homme ! - dit le chat. - D'où partez-vous ?
- Je suis allé chez l'apiculteur, - dit l'ours, - pour visiter les abeilles, mais je me suis battu avec les paysans, c'est pourquoi j'ai fait semblant d'être malade.
III
Alors ils commencèrent tous à passer la nuit ensemble : une chèvre et un bélier près du feu, un ronron grimpa sur une meule de foin et un ours blotti sous une meule de foin.
L'ours s'endormit ; le bouc et le bélier somnolent ; on ronronne ne dort pas et voit tout. Et il voit : sept loups gris arrivent, un est blanc et droit vers le feu.
- Fu-fu ! Quel peuple ! - Il parle Loup blanc chèvre et bélier. Essayons la force.
Une chèvre et un bélier bêlaient ici de peur ; et le chat - un front gris a conduit le discours suivant:
- Oh, loup blanc, le prince au-dessus des loups ! N'irritez pas notre aîné : lui, Dieu ait pitié, est en colère ! Comment cela diverge - personne ne fera bien! Al tu ne vois pas sa barbe : en elle est toute la force ; il bat tous les animaux avec une barbe, n'enlève la peau qu'avec ses cornes. Il vaut mieux monter et demander avec honneur : on veut jouer avec ton petit frère, qui dort sous une meule de foin.
Les loups sur ce bouc se sont inclinés; entouré Misha et, eh bien, pour flirter. Ici, Misha a attaché, attaché, et combien assez pour chaque patte pour un loup, alors ils ont chanté Lazare. Les loups sont sortis de sous la botte de foin à peine vivants et, la queue entre les pattes, - Que Dieu vous bénisse !
La chèvre et le bélier, tandis que l'ours s'occupait des loups, ont ramassé le ronronnement sur son dos et se sont dépêchés de rentrer à la maison ! "Cela suffit, disent-ils, - sans moyen de traîner, nous ne ferons pas encore un tel malheur."
Le vieil homme et la vieille femme étaient heureux, avec joie, que le bouc avec le bélier soit revenu à la maison ; et le chat ronronnant a été arraché pour ruse.
1. Quel est le nom du chat dans le conte de fées ? Écris le.
Un coquin, un chat-ronron, un front gris, un chat-chat, un pubis gris.
2. Comment pouvez-vous le dire différemment ? Écris le.
Juge et juge - raison.
Chante Lazare - se plaindre, pleurer.
Voyou - tricheur, trompeur.
3. Résolvez l'énigme ⇒ et devinez. Écrivez la réponse.
Il dort dans une tanière ⇒
l'hiver
Sous le grand ⇒
pin,
Et quand il vient ⇒
Le printemps,
Se réveille du sommeil. (Ours)
4. Qui est venu rendre visite au chat, au bouc et au bélier ? Notez le "prénom", le "patronyme" et le "nom" de l'invité.
Mikhailo Potapych Toptygin.
5. Faites un plan pour un conte de fées (écrivez-le ou dessinez-le). Préparez un récit.
1. Le chat, la chèvre et le bélier s'échappent.
2. Invité, Mikhailo Potapych Toptygin.
3. Massacre d'un ours avec des loups.
6*. Complète la phrase avec des mots du texte. Comment avez-vous réagi au retour du bouc, du bélier et du chat ? Mettre l'accent sur.
L'ours est un animal très célèbre. Son image nous accompagne depuis petite enfance sous la forme d'un jouet en peluche et le héros de nombreux contes populaires, dessins animés, proverbes. Il est très populaire dans la culture slave.
Malgré son apparente maladresse, il est très fort, court assez vite, grimpe habilement aux arbres et attrape des poissons dans les réservoirs. C'est un omnivore qui se nourrit de fruits, de baies, d'insectes, de rongeurs et même de charognes. Mais il est précisément connu pour sa dépendance au miel, ce qui explique en partie pourquoi l'ours était appelé un ours. Beaucoup pensent que ce propriétaire de la forêt a reçu son nom parce qu'il mange du miel. Qu'on le veuille ou non, regardons l'article sur l'origine du nom de l'ours.
Versions de l'origine du nom
Pourquoi un ours s'appelle-t-il un ours ? Il existe plusieurs options pour expliquer le nom. Et certains d'entre eux indiquent la composition évidente du mot. Sa première partie - "chérie" - ne nécessite pas de déchiffrement, et la seconde - "après tout" - vient du mot "savoir", c'est-à-dire "savoir". Cette combinaison se retrouve dans différentes nations et dans diverses variantes. Par exemple, chez les Ukrainiens, ils ont un ours appelé "Wedmid".
Pendant longtemps, les gens ont cru qu'un ours dans la forêt suit toujours la trace d'une personne. Les gens de la forêt trouvent très souvent des creux avec du miel d'abeilles sauvages, ces découvertes sont généralement accidentelles, alors les gens les laissent pour revenir demain avec les bons outils. Mais, revenant le lendemain, ils ne trouvent plus rien, puisque l'ours qui les suivait a immédiatement ruiné la ruche et mangé du miel. D'où le nom vient, qu'il s'agit d'une bête qui sait où se trouve le miel.
Selon la deuxième version, "ours" est une déformation du nom antérieur de l'animal - "blaireau de miel". Il s'appelait ainsi pour ne pas prononcer son vrai surnom, qui pour beaucoup de gens était un tabou et n'était même pas autorisé à être mentionné. Par exemple, les Slaves croyaient que les animaux, s'ils étaient appelés par leur nom, entendraient et seraient sûrs de venir, c'est pourquoi il était interdit de prononcer à haute voix les noms des animaux dangereux. À cause de cela, d'ailleurs, de nombreux animaux ont perdu leurs noms d'origine, et maintenant nous ne les connaissons que ceux qui étaient des substituts aux vrais.
Il existe une hypothèse selon laquelle le ancien nom ours - "orctos", qui a été emprunté aux Grecs. Mais à quel point cette version est vraie, nous ne pourrons probablement pas le savoir.
À langues étrangères on l'appelle "bar" ou "ber", et en russe l'habitation de l'animal s'appelle un repaire, un repaire de ber. Apparemment, c'est ainsi que l'appelaient nos ancêtres, mais dans discours familier utilisé le mot de substitution "ours". À cause de la superstition, même maintenant dans la forêt, les chasseurs ne prononcent pas son nom, mais l'appellent le propriétaire de la forêt.
A la recherche de la vérité, pourquoi l'ours s'appelait un ours
Le mot lui-même est apparu en Russie vers le 11ème siècle, mais en fait c'est l'un des nombreux surnoms du pied bot. De nombreux peuples qui vivent dans les habitats de ce prédateur le traitent avec beaucoup de respect, parfois même comme une divinité. L'interdiction de nommer cet animal à haute voix a eu lieu dans la tradition védique et a été transmise de génération en génération, donc "ours" a beaucoup de mots de substitution.
Par exemple, dans le dictionnaire de Dahl, il y en a 37: un cracker, un forestier, un chiropraticien, un hirsute, Toptygin, un ours à pied bot, un mikush, Potapych et bien d'autres. Il est intéressant de noter que les gens appelaient l'ours la mère, l'utérus, ou ils l'appelaient les noms humains Aksinya, Matrena.
Les linguistes essaient toujours de comprendre le vrai nom de l'ours. Ils se tournent vers le latin et le sanskrit. Ainsi, en sanskrit, l'ours s'appelait "bhruka", où "bhr" signifie "gronder ou grogner". Dans les langues étrangères, le nom n'a pas beaucoup changé et la racine « ber » a été conservée. Il convient de noter qu'en russe, certains chercheurs envisagent le lien du mot "repaire" avec le pro-allemand "bero", qui signifie "marron".
À la suite de ses recherches, le scientifique Afanasiev A.N. est arrivé à la conclusion que le nom de cet animal est associé à l'attitude à son égard. Par exemple, en latin, il y a le mot "ursus", à partir duquel le français "ours" a été formé, et l'italien "orso", et en vieux russe, il y a "urs". Toutes ces racines signifient "capacités destructrices".
De nombreux linguistes sont sûrs que le nom le plus ancien de l'ours était "rus", qui est apparu lorsque les syllabes "urs" ont été réarrangées et remplacées, c'est-à-dire qu'il a été modifié en "rus", un tel phénomène peut être observé même à un étape ultérieure dans le développement de la langue, par exemple, ours - sorcière. De "rus" est venu le nom du pays - la Russie, dans lequel l'ours était vénéré. Mais tout cela n'est qu'une hypothèse, une parmi tant d'autres.
symbole national
L'ours dans notre pays, surtout en Sibérie, est plus qu'un animal, c'est un symbole national. Les anciennes tribus qui vivaient en Sibérie l'appelaient le Grand Kam. En coréen, d'ailleurs, l'ours s'appelle "kom". De la langue Tungus, "kam" est traduit par "chaman" ou "esprit", et chez les Ainu, on pense qu'un chasseur se cache sous la peau d'un ours.
Avant la propagation du christianisme, tous les peuples védiques célébraient la journée dédiée au Grand Kam. C'est la fête du printemps, quand il se réveille après l'hibernation et quitte la tanière. Afin de l'apaiser, on lui apporta des crêpes. C'est de là que vient le dicton "la première crêpe de Kamu", mais avec le temps, il a pris un sens différent.
La journée de Kamov, bien qu'elle soit païenne, est devenue le prototype de la fête chrétienne - Maslenitsa.
Pour les Slaves de l'Est, la fête "réveil de l'ours" est également caractéristique, elle a été célébrée le 24 mars. Ils le célébraient par des danses en manteau de peau ou de mouton.
Comment s'appelait l'ours en Russie ?
Depuis des temps immémoriaux, un ours en Russie avait de nombreux noms: ber, bersek, maître, rykar, Mikhail Potapych, ours, sorcière, Kam. Et sur beaucoup de vieux Cartes européennes Partie nord La Russie s'appelle la Biarme. "Biar" - ours, "ma" - terre, donc, Biarmia - Terre de l'ours.
L'ours était un symbole de force, il était l'animal totem de nombreuses tribus slaves, était le héros de nombreux contes de fées et épopées folkloriques. Son image se retrouve sur de nombreuses armoiries des anciennes villes russes.
Les anthropologues pensent que le culte de l'ours s'est propagé de l'Oural à l'Elbe. Dans la culture nord-européenne, c'est lui qui est le roi des bêtes.
Son nom s'appelle les enfants, par exemple Michael. Dans les temps anciens, les enfants étaient également nommés Medved (d'où l'origine du nom Medvedev).
noms d'ours polaires
Qu'est-ce qu'on appelle ours polaire dans le nord? La population locale l'appelait très nom inhabituel- soupir. En Tchoukotka, il était courant de l'appeler Umka, et le célèbre dessin animé a des racines assez ethnographiques.
Au lieu d'une conclusion
Alors pourquoi l'ours est-il appelé ours ? Il existe un grand nombre de noms pour cet animal étonnant et majestueux, qui était très vénéré dans l'Antiquité. Tribus slaves, et qui reste encore le symbole de la nation. L'ours sait où est le miel. C'est avec cette voie de la douceur et de la dent sucrée que cet animal est associé à nous tous depuis l'enfance.
Lorsqu'on leur demande depuis combien de temps les contes populaires sont apparus, les folkloristes ne donnent pas de réponse exacte et soutiennent que l'historicisme du folklore n'est pas égal à un reflet direct de l'histoire. Néanmoins, les historiens et les folkloristes sont capables, par un certain nombre de signes, de déterminer approximativement le moment de l'apparition de certaines intrigues de contes de fées.
Morozko et Baba Yaga
Ces personnages sont venus dans le folklore russe presque depuis les temps primitifs. Les experts voient des signes à Baba Yaga ancienne déesse, dans lequel les traits de la maîtresse du royaume des morts et de la maîtresse des animaux sont combinés. Elle a une jambe en os. Pour de nombreux peuples indo-européens, une telle boiterie est un signe d'appartenance à la fois à ce monde et à l'autre monde. L'image de Baba Yaga est caractérisée par le dualisme - elle peut être à la fois une sorcière maléfique et une bonne aide, ce qui reflète également des idées anciennes sur les esprits de la nature.
La visite d'un jeune héros (belle-fille, Ivanouchka, etc.) à la sorcière est interprétée par les folkloristes comme des échos ancien rite l'initiation, le passage de l'enfance à l'âge adulte. Baba Yaga met le héros sur une pelle et menace de l'envoyer au four pour le manger plus tard. Selon les idées de nombreux peuples, l'initiation est la mort d'un enfant qui doit renaître en adulte. L'intrigue sur Morozko est interprétée par des folkloristes, dont S. Agranovich, comme une version «glaciale» de la mort «ardente» d'un adolescent dans un four. Un père emmène tour à tour ses filles forêt d'hiver et le laisse là toute la nuit sans feu. La tâche de la jeune fille est d'endurer l'épreuve du froid et de survivre dans la forêt. Celle qui réussit reçoit une dot, c'est-à-dire la possibilité de se marier lorsqu'elle devient adulte. L'autre, qui s'avère moins résistante, ne reçoit pas de dot. Dans la version la plus archaïque du conte, la sœur maléfique meurt dans la forêt.
Parcelles liées à l'ours
Parmi les histoires les plus courantes associées à un ours, il y a un conte de fées sur une fille qui s'est retrouvée dans la tanière d'un ours, mais a réussi à déjouer la bête, le forçant à se ramener chez elle ("Masha et l'ours"). La deuxième histoire bien connue est "L'ours est un faux pied". L'ours, à bien des égards, peut être interprété comme une ancienne bête totem des Slaves. Cela est attesté au moins par le fait que nos ancêtres, même dans les temps anciens, se méfiaient d'appeler un ours par son vrai nom, recourant à l'allégorie: «le miel sait». Le vrai nom de cette bête s'apparente probablement au "rem" allemand, d'où le repaire - "le repaire du rem". L'intrigue d'une fille qui s'est retrouvée dans un repaire peut être considérée comme un écho des plus anciens sacrifices au propriétaire de la forêt.
L'histoire d'un vieil homme et d'une vieille femme est dépourvue de fin heureuse - c'est l'un des contes de fées russes les plus terribles avec lesquels notre peuple s'est fait peur les nuits sombres. Ancêtres slaves. Le vieil homme gardait le jardin et s'ingéniait à couper l'ours, qui avait pris l'habitude de voler un navet, une patte qu'il rapportait à la maison. La vieille femme commença à faire bouillir la patte de l'animal dans un chaudron. Et l'ours se fit une patte avec du chanvre et se rendit à la maison des vieillards. Il chante une chanson terrible sur une vieille femme qui "s'assoit sur sa peau, file sa laine, fait cuire sa viande". Le vieil homme se précipite pour fermer la porte, mais il est trop tard - l'ours est sur le seuil ! Les folkloristes y voient le motif d'insulter l'animal totem et de punir un tel sacrilège. Totémisme, sacrifices, tout cela nous ramène aux temps communaux primitifs.
Motif de combat de serpent
Contes de fées, dont l'intrigue principale est le motif d'une bataille avec un serpent ou un autre monstre, notre folklore en sait beaucoup. Ces histoires aussi origine ancienne. Le linguiste Toporov élève le motif du combat de serpents, qui est dans les contes de nombreux peuples, au mythe principal qui s'est développé à cette époque où les Indo-Européens étaient encore un seul peuple. Le mythe raconte la lutte entre le héros Thunderer et le serpent chtonien. Étant donné que la division des Indo-Européens en peuples séparés a commencé vers le 3ème millénaire avant JC, nous pouvons dater les origines des contes des combattants de serpents à peu près à cette époque.
Cependant, une autre théorie rapporte leur intrigue à une époque plus proche, à l'époque des premiers affrontements entre les proto-slaves et les nomades des steppes. L'académicien Rybakov date cet événement aux environs des IIIe-IIe siècles av. Les affrontements avec les Cimmériens, les Sarmates, les Alans, puis avec les Pechenegs et les Polovtsy ont donné lieu à des histoires de batailles avec un serpent (parfois l'ennemi s'appelle Miracle Yudo). Dans le même temps, la datation est simplifiée par le fait que parfois le vainqueur du monstre n'est pas un guerrier, mais un merveilleux forgeron. L'apparition de la forge était considérée par nos ancêtres comme une sorte de sorcellerie, et les forgerons eux-mêmes étaient considérés comme de puissants sorciers. Ces idées se réfèrent à l'aube du développement de la métallurgie chez nos ancêtres, c'est-à-dire à peu près à la même époque. Le forgeron vainc le serpent, lui jette un joug et laboure les sillons, qui s'appelleront plus tard "Serpent Shafts". Ils peuvent être vus en Ukraine même maintenant. Si la théorie est correcte selon laquelle ces remparts sont associés au nom de l'empereur romain Trajan (un autre nom pour eux est "les remparts de Trajan"), alors cela parle des III-II siècles avant JC.
Le rôle des animaux dans l'art populaire russe est extrêmement vaste et varié. Presque tous les contes de fées présentent une sorte d'animal. Parmi eux, on peut distinguer un renard, un ours, un loup, un lièvre, un hérisson, une pie et d'autres. Avec l'aide de ces personnages brillants bien connus, les adultes racontent à leurs enfants ce qui est bien et ce qui est mal. Les premiers contes de fées de l'histoire sont apparus bien avant l'invention des livres et de l'écriture et se sont transmis de bouche en bouche, de génération en génération. C'est pourquoi on les appelle folkloriques. Considérons les animaux les plus populaires apparaissant dans les contes de fées et comparons à quel point leurs caractéristiques "fabuleuses" coïncident avec leur description dans vrai vie.
"Fox-sister", "Fox-beauty in conversation", "Lisa Patrikeevna", Lisafya, Fox-gossip - c'est ainsi que le renard est affectueusement appelé en russe contes populaires. Cette triche rouge est définitivement un personnage préféré de tous les temps. Et invariablement, elle est rusée, intelligente, vive d'esprit, prudente, vindicative et insidieuse. Ainsi, elle seule était capable de déjouer et de manger le pauvre Kolobok, de conduire le loup stupide, dont la queue était gelée jusqu'au trou, et même de tromper le paysan en faisant semblant d'être mort. L'idée principale de ces contes de fées est de dire aux enfants que ce qui compte dans la vie n'est pas la force, mais la ruse. Malgré cela, le renard est toujours un personnage négatif. Dans certains contes de fées, de paisibles petits animaux affectés par cette triche rouge doivent travailler dur pour déjouer et donner une leçon au renard.
Mais le renard est-il vraiment si rusé et intelligent ? Le zoologiste allemand Alfred Brehm, dans son livre Animal Life, soutient que la ruse du renard dans les contes de fées russes est grandement exagérée, mais que l'esprit du loup, au contraire, est sous-estimé. Sinon, vrai Renard rougeà bien des égards semblable au "fabuleux": cheveux roux, belle queue duveteuse, un renard chasse souvent un lièvre ou visite des poulaillers à proximité.
"Ours maladroit", "Mikhail Potapych" ou simplement Mishka dans sa popularité, n'est pas à la traîne du Renard. Ce personnage est souvent présenté dans le conte comme paresseux, gros et maladroit. Grand et maladroit, il est lent, stupide et dangereux. Souvent, il menace les faibles de sa force, mais à la fin il perd toujours, car ce n'est pas la force qui compte, mais la vitesse, la dextérité et l'intelligence - c'est le sens des contes de fées impliquant Mishka. Les contes de fées les plus populaires sont "Trois ours", "Masha et l'ours", "Tops and Roots". Cependant, dans la vraie vie, l'ours brun n'est pas aussi lent qu'on pourrait le penser. Il peut courir très vite et, en plus, il n'est pas particulièrement stupide. Sinon, son image "fabuleuse" y est pour beaucoup. caractéristiques communes: il est vraiment grand, dangereux et un peu pied bot : en marchant, ses chaussettes regardent un peu vers l'intérieur, et ses talons regardent vers l'extérieur.
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"Running Bunny", "Cowardly Bunny" ou "Slanting" est également un héros très courant des contes de fées russes. Le sien caractéristique principale- lâcheté. Dans certains contes de fées, le lièvre est présenté comme un héros lâche, mais en même temps vantard, arrogant et stupide, et dans certains - au contraire, comme un animal forestier modérément prudent et intelligent.
Par exemple, dans le conte "Lièvre-Sauteur" ou "La peur a de grands yeux", la lâcheté du Lièvre est ridiculisée, idée principale ces contes - vous devez toujours être courageux. En même temps, dans le conte de fées "La hutte de Zayushkina", le lapin apparaît devant nous comme un personnage positif qui a besoin de soutien et de protection.
Dans la vraie vie, le lièvre, à l'image de son personnage "de conte de fées", est aux longues oreilles, rapide, agile, prudent et attentif. En raison de la position particulière des yeux, le lièvre peut regarder non seulement vers l'avant, mais aussi vers l'arrière. Pendant qu'il poursuit, le lièvre peut « plisser les yeux » pour calculer la distance jusqu'à son poursuivant. Pour cette capacité, le lièvre a été surnommé Oblique. Ennemi principal un lièvre, comme dans les contes de fées, est un renard.
"Le loup gris - avec ses dents", "Loup-loup - de sous le buisson", "Loup-fou" est présenté dans la plupart des cas comme un personnage négatif, stupide, en colère, affamé et dangereux. Mais, dans la plupart des cas, il est tellement stupide qu'à la fin, il ne lui reste plus rien. Par exemple, "L'histoire du renard et du loup" ou "Le loup et les sept enfants". Dans ces contes de fées, le loup est l'incarnation du mal, et le message principal pour les enfants est que le bien triomphe toujours du mal. Cependant, dans certains contes de fées, le loup nous apparaît comme un sage et vrai ami une personne toujours prête à aider, un exemple en est le conte de fées "Ivan Tsarevich, l'oiseau de feu et le loup gris".
Dans la vraie vie, le loup peut en effet être extrêmement dangereux. Souvent, il a faim et erre dans la forêt à la recherche de nourriture. Mais son intelligence est grossièrement sous-estimée. Le loup est un animal intelligent et organisé, en Meute de loups il y a une structure et une discipline claires. Les loups créent des couples incroyablement forts, leurs unions sont fortes et les loups eux-mêmes sont une véritable personnification de la loyauté et de l'amour les uns pour les autres. Un loup apprivoisé peut en effet devenir un ami fidèle et dévoué pour une personne.
Prickly Hedgehog - est apparu depuis longtemps sous la forme d'un vieil homme gentil, vif d'esprit, sage dans la vie. Malgré sa petite taille et ses petites jambes, il sort toujours vainqueur grâce à son esprit et sa ruse extraordinaires. Ainsi, par exemple, dans le conte de fées "Le lièvre et le hérisson", le hérisson a déjoué et tué le pauvre lièvre, avec qui ils auraient fait une course, et dans le conte de fées "La baguette magique", le hérisson a enseigné le lièvre diverses astuces de la vie, expliquant ce qu'il faut d'abord pour survivre, pensez simplement avec votre tête.
Dans la vraie vie, le Hérisson ne se distingue pas par un esprit exceptionnel, mais il n'est pas non plus stupide. En cas de danger, le hérisson se recroqueville en boule épineuse, ce qui le rend inaccessible aux prédateurs, comme le disent les contes de fées.