La république, étant une ancienne forme d'organisation sociale, est actuellement la plus répandue et la plus demandée dans le monde en tant que méthode de gouvernement réglementée par la majorité de ses citoyens.

Selon les principes républicains de gouvernement, les citoyens de l'État exercent leurs droits et libertés politiques en élisant régulièrement leurs représentants (députés, président) aux plus hautes autorités et en contrôlant ainsi leur composition.

Ainsi, dans un État-république, les pouvoirs des autorités suprêmes (parlement et président) devraient être fondés sur la confiance populaire. Le peuple détermine qui doit occuper une place dans la structure du pouvoir de l'État qui représente ses intérêts.

République- C'est une forme de gouvernement, qui est basée sur le principe électoral. La plus haute autorité sous une forme de gouvernement républicain, par opposition à monarchique, par la volonté du peuple ou de l'institution (parlement) qui le représente.

* Est une forme de gouvernement dans laquelle le droit à vie au pouvoir suprême est hérité par une seule personne (monarque).

Histoire de l'origine de la république

La république est apparue dans l'antiquité comme une opposition à la monarchie. Elle a ouvert un nouveau mode de gouvernement - sur une base démocratique. Les citoyens à part entière de la politique ont eu la possibilité de gouverner l'ancienne cité-État en participant à une réunion ou à un conseil.

Étymologiquement, « république » renvoie au latin res - business et publicus - public, national, qui, en combinaison, se traduit par « public, business's people ».

Signes d'une république moderne

Depuis l'Antiquité, le monde se développe et la république, sans perdre ses principes démocratiques fondamentaux, a acquis de nouvelles caractéristiques. Parmi les principales caractéristiques de la république figurent :

La présence d'un chef (président) ou d'un organe collégial (parlement) représentant l'État et exerçant les fonctions de pouvoir législatif et/ou exécutif.
Sélectivité du chef de l'Etat et des autorités suprêmes pour une durée déterminée.
Soumission du chef de l'Etat à la Constitution.
Responsabilité mutuelle de l'individu et de l'Etat devant la loi.
Le principe de la séparation des pouvoirs en trois branches (dans la plupart des républiques).

Variétés de la république

Les républiques, selon qui a plus de pouvoirs pour gouverner l'État, le président ou le parlement, ainsi que sur le mécanisme d'exercice du pouvoir, sont divisées en :

présidentielle, dans laquelle le parlement est subordonné au président, qui forme et administre le gouvernement ;
parlementaire, dans lequel le parlement nomme le président, convoque le gouvernement et le contrôle ;
mixte, où les pouvoirs présidentiel et parlementaire s'équilibrent ou se combattent : le gouvernement est formé par eux conjointement et est responsable devant tous les deux ; en même temps, qui détient le vrai pouvoir, le premier ministre ou le président qui dirige le parlement, dépend du nombre de voix qu'ils reçoivent.

Du point de vue de la structure de l'État et de l'intégrité territoriale de la république, il y a :

Unitaire - États territorialement uniformes, tels que l'Italie, la France, le Japon, la Pologne.
Fédérative - constituée de parties (sujets de la fédération) qui partagent le pouvoir avec le centre gouvernemental (président et / ou parlement). Ces républiques comprennent : la Russie, les États-Unis, l'Allemagne.
Union - membres de grandes associations d'État avec une forme de gouvernement républicaine ou monarchique (URSS, République islamique).

Les républiques dans le monde moderne

Les républiques parlementaires ont d'abord émergé à la suite des révolutions bourgeoises en Hollande, en Angleterre et en France et se sont répandues dans toute l'Europe moderne et dans le monde. Aujourd'hui les républiques parlementaires sont : l'Autriche, la Grèce, l'Irlande, l'Inde, le Portugal, l'Allemagne. Tous ces pays sont représentés par le Premier ministre, qui dirige le gouvernement et la majorité parlementaire.

Les États-Unis sont considérés comme la première république présidentielle, dans laquelle le président s'est opposé au parlement, qui est devenu un moyen efficace de gouverner la confédération. Désormais, les républiques présidentielles sont : la Russie, le Mexique, l'Argentine, le Brésil, etc.

Dans le monde moderne, il y a aussi :

les républiques super-présidentielles, avec un pouvoir unifié en la personne du président, soutenu par l'armée (Syrie, pays d'Amérique latine) ;
républiques militaro-présidentielles dirigées par un conseil militaire révolutionnaire;
républiques présidentielles-monocratiques, à mandat présidentiel illimité (Irak, Tunisie, Guinée).

1) consensus 2) autorité 3) souveraineté 4) neutralité
А.2 Préciser une action qui n'est pas une forme de participation des citoyens à la vie politique 1) un appel écrit à l'administration locale 2) l'élection des députés au corps législatif 3) la participation à l'organisation d'un parti politique 4) la participation à les activités d'un syndicat
A.3 L'État lituanien a un système unifié de pouvoir législatif, exécutif et judiciaire, ainsi qu'un système financier unifié et une Constitution. L'État de Lituanie est divisé en États qui n'ont pas d'indépendance. Quelle est la forme de la structure étato-territoriale de l'État de Lituanie ? 1) confédération 2) État unitaire 3) État fédéral 4) monarchie
A.4 Dans l'état de T., les citoyens n'ont pas le droit de faire des choix politiques, ainsi que le pluralisme politique, idéologique et économique dans le pays. Les citoyens ne peuvent pas influencer le gouvernement, qui exerce un contrôle total sur toutes les sphères de la société. Quel régime politique existe dans l'état de T. ? 1) démocratique 2) autoritaire 3) totalitaire 4) tyrannique
A.5 Partie "S." défend les idées de l'État de droit, de la démocratie, des droits de l'homme. C'est un parti 1) conservateur 2) démocrate 3) anarchiste 4) fasciste
A.6 Les jugements suivants sur la souveraineté de l'État sont-ils corrects ? A. La souveraineté de l'État n'est pas la caractéristique principale de l'État. B. Il n'y a vraiment pas de souveraineté d'État illimitée et cela ne peut pas être. 1) seul A est vrai 2) seul B3 est vrai) les deux affirmations sont vraies 4) les deux affirmations sont incorrectes
A.7 Les jugements suivants concernant le référendum sont-ils corrects ? R. Un référendum est une forme de démocratie directe qui permet aux citoyens de prendre la décision finale sur une question soumise au vote. Les questions concernant les problèmes les plus importants de la vie politique sont soumises à un référendum national 1) seul A est vrai 2) seul B3 est vrai) les deux affirmations sont vraies 4) les deux affirmations sont incorrectes
A.8 Laquelle des dispositions suivantes ne s'applique pas aux droits de l'homme ? 1) le droit de propriété 2) le droit à la liberté de création 3) le droit d'avoir des amis 4) le droit à l'honneur et à la dignité
A.9 Les objectifs des sanctions pénales sont (sont) 1) le rétablissement de la justice 2) la correction de la personne condamnée 3) la prévention de nouveaux délits 4) tout ce qui précède
A.10 La valeur la plus élevée de la Fédération de Russie selon la Constitution de la Fédération de Russie est (sont) 1) une personne, ses droits et libertés 2) la terre et les autres ressources naturelles 3) le principe de séparation des pouvoirs 4) la citoyenneté de La fédération Russe
A.11 Les principales fonctions du Président de la Fédération de Russie comprennent 1) la nomination du Procureur général de la Fédération de Russie 2) la nomination du Président du Conseil de la Fédération 3) la nomination du Président de la Douma d'État 4) la nomination du président du gouvernement de la Fédération de Russie avec le consentement de la Douma d'État
A.12 Après avoir été libéré après avoir purgé sa peine, le citoyen B. rencontre un groupe de mineurs et décide de les habituer au roman d'une nouvelle vie. Selon son plan, les mineurs sont entrés dans la chaumière du citoyen P. et ont emporté les bijoux, un magnétoscope et la monnaie qui lui appartenaient. Cet acte du citoyen B. est 1) un accident malheureux 2) un crime 3) un délit 4) n'a rien à voir avec des délits
A.13 Les jugements suivants concernant l'état de droit sont-ils vrais ? A. Les normes du droit déterminent les limites généralement contraignantes du comportement possible ou approprié des personnes dans la société. Les normes du droit sont garanties par l'utilisation de la coercition de l'État 1) seul A est vrai 2) seul B est vrai 3) les deux jugements sont corrects 4) les deux jugements sont incorrects

Formes de la structure étatique

Forme (structure) de l'État
Planifier.
1. Forme de l'État

2. Formes de gouvernement

2.1 Monarchie
2.2 République
3. Formes de gouvernement

3.1 Unitaire
3.2 Fédéré
3.3 Confédéré
4. Formes de régime politique

4.1 Despotique
4.2 Totalitaire
4.3 Fasciste
4.4 Autoritaire
4.5 Démocratique

5. Raisons et caractéristiques des changements dans les formes de l'État
et régime politique
Formulaire d'état
La typologie des États est étroitement liée au concept de la forme de l'État. Les caractéristiques de chaque type spécifique d'État sont établies sur la base d'une analyse de sa structure organisationnelle, des modalités d'exercice du pouvoir de l'État.
Il n'y a pas de corrélation claire entre le type et la forme de l'État. D'une part, dans les limites de l'État de même type, diverses formes d'organisation et d'activité du pouvoir d'État peuvent être trouvées, et d'autre part, des États de différents types peuvent être dénoncés sous la même forme. L'originalité de la forme spécifique de l'État de toute période historique est déterminée principalement par le degré de maturité de la société et de la vie de l'État, les tâches et les objectifs que l'État se fixe. Autrement dit, la catégorie de la forme de l'État dépend directement de son contenu et est déterminée par lui.
Le niveau culturel du peuple, ses traditions historiques, la nature des visions du monde religieuses, les caractéristiques nationales, les conditions de vie naturelles et d'autres facteurs ont un impact sérieux sur la forme de l'État. Les spécificités de la forme de l'État sont également déterminées par la nature des relations entre l'État et ses organes avec les organisations non étatiques (partis, syndicats, mouvements sociaux, Église et autres organisations).
LA FORME DE L'ÉTAT est une structure de l'État dans laquelle se manifestent ses principales caractéristiques et qui, dans un complexe, dans le système, l'organisation du pouvoir de l'État, les méthodes, techniques et modalités d'exercice du pouvoir de l'État, l'organisation territoriale de l'État population.
La théorie nationale de l'État et du droit a toujours identifié trois blocs principaux et interdépendants dans la forme de l'État : la forme du gouvernement, la forme de la structure nationale-étatique et administrative-territoriale, et le régime politique.
Dans le même temps, la forme de gouvernement répond à la question de savoir qui et comment règne, exerce le pouvoir de l'État dans une société organisée par l'État, comment les structures de pouvoir de l'État y sont agencées, organisées et fonctionnent.
La forme du dispositif révèle les modalités d'unification de la population dans un certain territoire, le lien de cette population à travers diverses formations territoriales et politiques avec l'État dans son ensemble, et le régime politique caractérise la manière d'exercer le pouvoir de l'État dans une société particulière. , à l'aide desquelles l'État remplit sa mission sociale.
Dans différents pays, les formes étatiques ont leurs propres caractéristiques, des traits caractéristiques qui, au fur et à mesure que le développement social progresse, se remplissent de nouveaux contenus, s'enrichissant d'interconnexions et d'interactions. En même temps, la forme des États existants, notamment modernes, a des traits communs, ce qui permet de définir chaque élément de la forme de l'État.
Même Platon et Aristote ont tenté d'expliquer la variété des formes d'organisation et l'exercice du pouvoir d'État dans le monde antique. Ainsi, Aristote a identifié plusieurs formes de gouvernement : république, monarchie, despotisme, en prenant comme base de classification les modalités de formation des organes de l'État.
Pendant des siècles, Augustin, Hobbes, Montesquieu, Locke, Rousseau, Radichtchev et d'autres ont tenté de généraliser et de systématiser les connaissances sur les formes de gouvernement, les raisons de leur émergence et de leur développement.
La théorie marxiste déterminait la forme du gouvernement en fonction du type d'État, de la structure de classe, de la base économique, etc. Dans le même temps, des facteurs qui influencent activement la forme de gouvernement, tels que les traditions historiques, la psychologie nationale, la conscience religieuse, etc., sont restés en dehors du champ de l'étude.
2. Forme de gouvernement

La forme de gouvernement est la structure des organes les plus élevés du pouvoir de l'État, l'ordre de leur formation et la répartition des compétences entre eux.
La forme de gouvernement permet de comprendre :
- comment sont créées les plus hautes instances de l'Etat et quelles sont leurs
structure;
- comment se construisent les relations entre les instances supérieures et les autres instances étatiques ;
- comment sont les relations entre l'Etat suprême
les autorités de l'Etat et la population du pays ;
- dans quelle mesure l'organisation des plus hautes instances de l'Etat
permet de garantir les droits et libertés d'un citoyen.
Selon les caractéristiques indiquées, les formes de gouvernement se subdivisent en :
- monarchique (individuelle, héréditaire)
- républicain (collégial, électif)
2.1 Monarchie
La monarchie est une forme de gouvernement dans laquelle le pouvoir suprême est exercé individuellement et est transmis, en règle générale, par héritage. Il est apparu pour la première fois dans les premières sociétés de classe, dans lesquelles le pouvoir de l'État était saisi par des chefs militaires, des chefs de famille tentaculaire ou des communautés voisines, des chefs de temples, etc.
La forme monarchique de gouvernement a ses origines dans cette organisation de la société plutôt simple et socialement pas trop fragmentée, qui est apparue 4 à 3 000 ans avant notre ère. Dans ces sociétés, la monarchie assurait effectivement les quelques fonctions générales sociales et de classe du gouvernement (organiser le travail en commun, mener les guerres et la défense, lever des impôts, créer des caisses d'assurance, etc.)
Les principales caractéristiques de la forme monarchique classique de gouvernement sont :
- l'existence d'un chef d'Etat unique, usant de son pouvoir à vie (roi, roi, empereur, shah) ;
- l'ordre héréditaire de succession du pouvoir suprême ;
- représentation de l'état du monarque à sa discrétion
friction;
- l'irresponsabilité juridique du monarque.
La monarchie a émergé dans une société esclavagiste. Sous la féodalité, il est devenu la principale forme de gouvernement. Dans la société bourgeoise, cependant, seules les caractéristiques traditionnelles, mais surtout formelles, du gouvernement monarchique ont été préservées.
À son tour, la monarchie est divisée en:
- absolutiste
- limité
- constitutionnel
Une monarchie absolue est une forme de gouvernement dans laquelle le pouvoir suprême de l'État par la loi est entièrement détenu par une personne.
Selon la formule du Règlement militaire Petrovsky - "un monarque autocratique qui ne devrait donner de réponse à personne dans le monde au sujet de ses affaires". La principale caractéristique d'une monarchie absolue est l'absence de tout organe étatique limitant la compétence du monarque.
L'émergence de l'absolutisme est associée au processus d'émergence des relations bourgeoises et au processus naissant de décomposition du féodalisme et des anciens domaines féodaux. Les caractéristiques les plus importantes d'une monarchie absolue comprennent la liquidation ou le déclin complet des institutions successorales représentatives, le pouvoir juridiquement illimité du monarque, la présence d'une armée permanente, d'une police et d'un appareil bureaucratique développé dans sa subordination et son commandement directs.
Le pouvoir au centre et dans les localités n'appartient pas aux grands seigneurs féodaux, mais à des fonctionnaires qui peuvent être nommés et révoqués par le monarque.
L'ingérence de l'État dans la vie privée à l'ère de l'absolutisme prend des formes plus civilisées, reçoit une confirmation juridique, même si elle a toujours une orientation obligatoire. Dans l'histoire, ces pays étaient la Russie XVII-IX et la France avant la révolution de 1789.
Avec le développement des relations bourgeoises, la monarchie absolutiste dans certains pays évolue vers une monarchie constitutionnelle, s'adaptant aux intérêts de la nouvelle classe dirigeante - la bourgeoisie.
Monarchie limitée - représente une forme de monarchie dans laquelle le monarque, étant légalement et effectivement indépendant du parlement (une institution représentative du "tiers état" émergent et renforcé) dans la branche exécutive, est néanmoins obligé de compter avec ses activités. C'était la monarchie en Russie après 1905.

La monarchie constitutionnelle est une forme de gouvernement dans laquelle le pouvoir du monarque est considérablement limité par l'organe représentatif. Habituellement, cette limitation est déterminée par la constitution, approuvée par le parlement. Le monarque n'a pas le droit de changer la constitution.
En tant que forme de gouvernement, la monarchie constitutionnelle émerge lors de la formation de la société bourgeoise. Formellement, il n'a pas perdu de son importance dans nombre de pays européens et asiatiques à ce jour (Angleterre, Danemark, Espagne, Norvège, Suède, etc.).
La monarchie constitutionnelle se caractérise par les principales caractéristiques suivantes :
- le gouvernement est formé de représentants d'un (des) parti(s) déterminé(s) ayant obtenu la majorité des voix aux élections législatives ;
- le chef du parti ayant le plus grand nombre de sièges parlementaires devient le chef de l'Etat ;
- dans les domaines législatif, exécutif et judiciaire
le pouvoir du monarque est pratiquement absent, il est symbolique ;
- les actes législatifs sont adoptés par le parlement et formellement signés par le monarque ;
- le gouvernement, selon la constitution, est responsable non pas devant le monarque, mais devant le parlement.
Des exemples d'une telle monarchie sont la Grande-Bretagne, la Belgique, le Danemark, etc.
Il s'agit d'une brève description des principales variétés de la forme monarchique de gouvernement.
La monarchie en tant que forme de gouvernement est un conglomérat complexe de pouvoir, les fondements juridiques de son organisation et de sa mise en œuvre, l'état socio-psychologique de la société. Comme le montre l'histoire moderne, la monarchie n'a pas encore survécu à sa forme de gouvernement, mais, sous certaines conditions, a des perspectives historiques suffisantes. Un exemple est le discours sans cesse croissant dans la Russie moderne sur la restauration de la monarchie.
2.2 République
La république est une forme de gouvernement dans laquelle le pouvoir suprême est exercé par des organes élus, élus par la population pour une durée déterminée.
Les facteurs géographiques, les traditions historiques, la psychologie nationale, ainsi que la corrélation des forces de classe dans certains États ont conduit à l'émergence d'une autre forme de gouvernement - républicain. Par exemple, les anciennes formes de gouvernement républicaines grecques sont nées du développement interne des classes sociales de la société antique, de la position insulaire de nombreuses politiques grecques antiques, du rôle du commerce maritime dans la vie économique de la Grèce antique, de la victoire du demos et ses fonctions en tant que propriétaire collectif d'esclaves.
Les caractéristiques communes d'une forme de gouvernement républicain sont :
- l'existence d'un chef unique et collégial
États;
- élection pour un certain mandat du chef de l'Etat et des autres organes suprêmes du pouvoir de l'Etat ;
- l'exercice du pouvoir de l'Etat non pas selon sa propre volonté, mais au nom du peuple ;
- la responsabilité juridique du chef de l'Etat dans les cas prévus par la loi ;
- l'obligation des décisions du pouvoir suprême de l'Etat.
La forme républicaine de gouvernement a finalement été formée dans l'État athénien. Au fur et à mesure que la vie sociale se développait, elle changeait, acquérait de nouvelles caractéristiques et était de plus en plus chargée de contenu démocratique. Le régime républicain repose sur le principe de la division d'un seul pouvoir étatique en plusieurs pouvoirs : législatif, exécutif et judiciaire. Pour la première fois l'idée de séparation des pouvoirs est développée par Montesquieu (XVIIIe siècle) dans son ouvrage "De l'esprit des lois".
Divers organes de l'État remplissent différentes fonctions de gouvernance de l'État : les parlements (assemblées nationales, assemblées nationales, dumas, etc.) votent les lois, le gouvernement et ses organes - mettent en œuvre ces lois, organisent leur application, le pouvoir judiciaire - contrôle l'application des lois et traduire en justice les contrevenants à ces lois.
Toute cette idée a créé un système de « contrôles et contrepoids » qui a assuré le pouvoir du peuple, en restreignant les tentatives de l'une des branches du gouvernement de devenir un dictateur individuel ou collectif.
Il existe plusieurs grands types de gouvernement républicain. À leur tour, ils sont divisés selon la forme de gouvernement en:
- parlementaire
- présidentielle
Une république parlementaire est un type de forme moderne de gouvernement, dans laquelle le parlement a le rôle suprême dans l'organisation de la vie de l'État.
Dans une telle république, le gouvernement est formé par voie parlementaire parmi les députés appartenant aux partis qui ont la majorité des voix au parlement. Le gouvernement est collectivement responsable devant le Parlement de ses activités. Il reste au pouvoir tant qu'ils ont la majorité au parlement. En cas de perte de confiance, la majorité des parlementaires, le gouvernement soit démissionne, soit, par l'intermédiaire du chef de l'Etat, obtient la dissolution du parlement et la convocation d'élections législatives anticipées.
En règle générale, le chef de l'État dans ces républiques est élu par le parlement ou par un collège parlementaire spécialement formé. La nomination du chef de l'État par le parlement est la principale forme de contrôle parlementaire sur l'exécutif. La procédure d'élection d'un chef d'État dans les républiques parlementaires modernes n'est pas la même. En Italie, par exemple, le président de la république est élu par les membres des deux chambres lors de leur réunion commune, mais en même temps, trois députés de chaque région, élus par le conseil régional, participent aux élections. Dans les États fédéraux, la participation du parlement à l'élection du chef de l'État est également partagée avec les représentants des membres de la fédération. Ainsi, en Allemagne, le président est élu par l'assemblée fédérale, composée d'un membre du Bundestag, et du même nombre de personnes élues par les Landings des Länder au scrutin proportionnel. L'élection du chef de l'État dans une république parlementaire peut également se dérouler au suffrage universel, ce qui est typique de l'Autriche, où le président est élu pour un mandat de six ans.
Le chef de l'État dans une république parlementaire a des pouvoirs : promulgue les lois, prend des décrets, nomme le chef du gouvernement, est le commandant suprême des forces armées, etc.
Le chef du gouvernement (premier ministre, président du conseil des ministres, chancelier) est généralement nommé par le président. Il forme le gouvernement qu'il dirige, qui exerce le pouvoir exécutif suprême et est responsable de ses activités devant le parlement. La caractéristique la plus essentielle d'une république parlementaire est qu'un gouvernement n'est compétent pour gouverner l'État que s'il bénéficie de la confiance du parlement.
La fonction principale du parlement est de légiférer et de contrôler le pouvoir exécutif. Le parlement dispose d'importants pouvoirs financiers, puisqu'il élabore et adopte le budget de l'État, détermine les perspectives de développement du développement socio-économique du pays et décide des principales questions de politique étrangère, y compris la politique de défense. La forme parlementaire du gouvernement républicain est une telle structure des plus hautes instances du pouvoir de l'État, qui assure réellement la démocratie de la vie publique, la liberté de l'individu, crée des conditions équitables pour la société humaine, fondées sur les principes de la légalité juridique. Les républiques parlementaires comprennent l'Allemagne, l'Italie (selon la constitution de 1947), l'Autriche, la Suisse, l'Islande, l'Irlande, l'Inde, etc.
Une république présidentielle est l'une des variétés de la forme moderne de gouvernement, qui, avec le parlementarisme, combine les pouvoirs du chef de l'État et du chef du gouvernement entre les mains du président.
Les traits les plus caractéristiques d'une république présidentielle :
- mode extra-parlementaire d'élection du président et de formation du gouvernement ;
- la responsabilité du gouvernement devant le président, et non devant le parlement ;
- des pouvoirs du chef de l'Etat plus étendus que dans une république parlementaire.
Les républiques présidentielles classiques sont les États-Unis
États non indigènes d'Amérique. Conformément à la Constitution américaine, qui repose sur le principe de séparation des pouvoirs, il est clairement défini que le pouvoir législatif appartient au parlement, le pouvoir exécutif appartient au président et le pouvoir judiciaire appartient à la Cour suprême. Le président des États-Unis est élu par la population du pays au scrutin indirect (élections) - par l'intermédiaire du collège électoral. Le nombre d'électeurs doit correspondre au nombre de représentants de chaque Etat au parlement (congrès). Le gouvernement est formé par le président qui a remporté les élections, à partir de personnes appartenant à son parti.
La forme présidentielle de gouvernement dans différents pays a ses propres caractéristiques. En France, le président est élu au suffrage universel. Le candidat qui obtient le nombre absolu de voix est considéré comme élu. La même procédure pour élire le président a été établie en Russie en 1991.
Il est caractéristique de toutes les républiques présidentielles, malgré leur diversité, que le président soit cumule les pouvoirs du chef de l'État et du chef du gouvernement et participe à la formation d'un cabinet ou d'un conseil des ministres (France, Inde). Le président est également doté d'autres pouvoirs importants : en règle générale, il a le droit de dissoudre le parlement, est le commandant suprême en chef, déclare l'état d'urgence, approuve les lois en les signant, représente souvent au gouvernement et nomme les membres. de la Cour suprême.
Dans les pays civilisés, une république présidentielle se distingue par un pouvoir exécutif fort, avec lequel, selon le principe de séparation des pouvoirs, les pouvoirs législatif et judiciaire fonctionnent normalement. Un mécanisme de fonctionnement efficace des coûts et des équilibres existant dans les républiques présidentielles modernes contribue à la possibilité d'un fonctionnement harmonieux des autorités, évite l'arbitraire de la part de l'exécutif.
Les « républiques super-présidentielles » sont courantes dans les pays d'Amérique latine. Cette forme de gouvernement est pratiquement indépendante, mal contrôlée par les autorités législatives et judiciaires. C'est un conglomérat spécial de forme traditionnelle avec un gouvernement semi-dictatorial.
Dans la société civilisée moderne, il n'y a pas de différences fondamentales entre les formes. Ils sont réunis par des buts et des objectifs communs.
3. Forme de gouvernement
La forme de la structure de l'État est la structure nationale et administrative-territoriale de l'État, qui révèle la nature, la relation entre ses parties constitutives, entre les organes du gouvernement central et local, les autorités.
Contrairement aux formes de gouvernement, l'organisation de l'État est considérée du point de vue de la répartition du pouvoir et de la souveraineté de l'État au centre et dans les localités, leur division entre les parties constitutives de l'État.
La forme de gouvernement montre :
- de quelles parties se compose la structure interne de l'État ;
- quel est le statut juridique de ces parties et quelles sont les relations de ces organes ;
- comment se tissent les relations entre l'administration centrale et les collectivités territoriales ;
- sous quelle forme s'expriment les intérêts de chaque nation vivant sur ce territoire.

Selon la forme de la structure de l'État, tous les États peuvent être divisés en trois groupes principaux :
- unitaire ;
- fédéral;
- confédéré.
3.1 État unitaire

Un État unitaire est une formation étatique unique et intégrale, constituée d'unités administratives-territoriales subordonnées aux autorités centrales et ne présentant aucun signe d'indépendance de l'État.

L'état unitaire se caractérise par les caractéristiques suivantes :
mi:
- une structure unitaire présuppose un organe unique, commun à tout le pays, suprême exécutif, représentatif et judiciaire et judiciaire, qui exercent la direction suprême des organes concernés ;
- sur le territoire d'un Etat unitaire il y a une constitution, un système de législation unique, une citoyenneté ;
- les parties constitutives d'un Etat unitaire (régions, départements, départements, provinces, départements) n'ont pas de souveraineté étatique ;
- un Etat unitaire, sur le territoire duquel vivent de petites nationalités, laisse largement place à l'autonomie nationale et législative ;
- toutes les relations extérieures interétatiques sont assurées par des organes centraux qui représentent officiellement le pays sur la scène internationale ;
- dispose de forces armées unifiées, dont la direction est assurée par les organes centraux du pouvoir de l'État.
Les différences dans le degré et les formes de contrôle du gouvernement central sur les organes de l'administration locale nous permettent de parler d'États unitaires centralisés et décentralisés, mais ces différences concernent une sphère de gouvernement relativement étroite.
Les États unitaires comprennent des États comme la France, la Turquie, le Japon et la Finlande.
3.2 Fédération
Fédération - est une association volontaire d'entités étatiques auparavant indépendantes en un seul État fédéré.
La structure de l'État fédéral n'est pas homogène. Dans différents pays, il a ses propres caractéristiques uniques, qui sont déterminées par les conditions historiques de la formation d'une fédération particulière et, surtout, par la composition nationale de la population du pays, l'originalité du mode de vie et de la culture des peuples qui composent l'État-union.

En même temps, on peut distinguer les traits les plus généraux qui caractérisent la plupart des États fédéraux.

1. Le territoire de la fédération se compose des territoires de ses sujets individuels : états, cantons, terres, républiques, etc.
2. Dans un État fédéré, le pouvoir exécutif, législatif et judiciaire suprême appartient aux organes de l'État fédéral.
3. Les sujets de la fédération ont le droit d'adopter leur propre constitution, ont leurs propres organes suprêmes exécutifs, législatifs et judiciaires
4. Dans la majorité de la fédération, il y a la citoyenneté fédérale et la citoyenneté des unités fédérales.
5. Dans la structure de l'État fédéral, le parlement a une chambre qui représente les intérêts des membres de la fédération.
6. La principale activité nationale de politique étrangère dans les fédérations est exercée par les organes fédéraux fédéraux. Ils représentent officiellement la fédération dans les relations interétatiques (USA, Brésil, Inde, Allemagne…).
Les fédérations sont construites sur une base territoriale et ethnique, qui détermine en grande partie la nature, le contenu, la structure de la structure étatique.
La fédération territoriale se caractérise par une limitation importante de la souveraineté étatique des sujets de la fédération. Les fédérations nationales se caractérisent par une structure étatique plus complexe. La principale différence entre une fédération territoriale et une fédération nationale réside dans les divers degrés de souveraineté de leurs sujets. L'autorité centrale dans les fédérations territoriales a la suprématie sur les plus hautes instances étatiques des membres de la fédération. L'État-nation est limité par la souveraineté des formations étatiques nationales.
3.3 Confédération

Une confédération est une union juridique temporaire d'États souverains créée pour assurer leurs intérêts communs.
Dans une structure confédérale, les États - membres de la confédération - conservent leurs droits souverains, tant dans les affaires intérieures qu'extérieures.
Contrairement à une structure fédérale, une confédération se caractérise par les caractéristiques suivantes :
- la confédération n'a pas ses propres organes généraux législatifs, exécutifs et judiciaires, contrairement à la fédération ;
- la structure confédérale ne dispose pas d'une armée unifiée, d'un régime fiscal unifié, d'un budget de l'Etat unifié ;
- conserve la citoyenneté des États qui sont dans une union temporaire ;
- les Etats peuvent s'accorder sur un système monétaire unique, sur des règles douanières uniformes, sur une politique de crédit interétatique pour la durée de l'union.
En règle générale, les États confédéraux ne sont pas durables, soit ils se désintègrent, soit se transforment en fédération : la Confédération allemande (1815-1867), l'Union suisse (1815-1848) et les États-Unis, lorsque la confédération a été légiférée en 1781.
La pratique historique connaît d'autres associations organisationnelles d'États : les pays du Commonwealth britannique, la CEI, la CEE. De telles républiques ne forment pas de nouveaux États, mais unissent seulement des États indépendants. En même temps, dans ce genre de Commonwealth, des organes supranationaux peuvent être créés, un budget peut être formé, des actes normatifs contraignants pour les membres de la communauté peuvent être adoptés, etc. Par exemple, les pays de la CEE créent non seulement un espace économique commun, jusqu'au passage à une unité monétaire commune, mais aussi, à terme, une citoyenneté commune. C'est peut-être une nécessité objective, car à l'avenir la rivalité économique exigera la mise en commun de toutes les ressources pour survivre dans la compétition pour les matières premières, pour les marchés de vente.
L'avenir de la CEI n'est pas clair. Déjà deux membres de la coopération, la Biélorussie et la Russie, placent la création d'un État unique comme la perspective la plus proche. Il est difficile de prédire comment l'avenir de la CEI va changer en relation avec ces événements. Cependant, il est clair que les intérêts géopolitiques de la Russie nécessitent la création sur le territoire de l'ex-URSS (et plus tôt de l'Empire russe) d'une éventuelle unification étroite d'États souverains.
1. Formes de régime étatique
Formes de régime d'État - représentent un ensemble de méthodes et de méthodes d'exercice du pouvoir par l'État.
Le régime étatique est la composante la plus importante du régime politique existant dans la société. Le régime politique est un concept plus large, puisqu'il englobe non seulement les modes de gouvernement de l'État, mais aussi les modes d'activité caractéristiques des organisations politiques non étatiques (partis, mouvements, clubs, syndicats).
Les régimes étatiques peuvent être démocratiques et antidémocratiques (totalitaires, autoritaires, racistes). par conséquent, le critère principal pour classer les États sur cette base est la démocratisme des formes et des méthodes d'exercice du pouvoir de l'État. Pour les États esclavagistes, le despotisme et la démocratie sont caractéristiques ; pour le féodalisme - et le pouvoir illimité du seigneur féodal, du monarque et de l'assemblée nationale ; pour un État moderne - à la fois le totalitarisme et la démocratie légale.
Formes démocratiques idéales de gouvernement
en réalité il n'existe pas. Dans un État particulier, il existe des méthodes de gouvernement officiel qui sont différentes dans leur contenu. Néanmoins, on peut dégager les caractéristiques les plus générales inhérentes à l'un ou l'autre type de régime étatique.
4.1 Régimes antidémocratiques

Les régimes antidémocratiques se caractérisent par les caractéristiques suivantes :
- détermine la nature du pouvoir de l'État - c'est la relation entre l'État et l'individu ;
- le régime antidémocratique se caractérise par un contrôle complet (total) de l'État dans tous les domaines
vie publique : économie, politique, idéologie, structure sociale, culturelle et nationale ;
- il se caractérise par la qualité d'État de toutes les organisations publiques (syndicats, jeunesse, sports, etc.) ;
- une personne dans un Etat antidémocratique est en réalité privée de tout droit subjectif, bien que formellement ils puissent être proclamés même dans les constitutions ;
- la primauté de l'État sur la loi des actes réels, qui est une conséquence de l'arbitraire, de la violation de la légalité, de l'élimination des principes juridiques dans la vie publique ;
- une militarisation globale de la vie publique ;
- ignorer les intérêts des entités étatiques, en particulier les minorités nationales ;
- ne prend pas en compte les particularités des croyances religieuses de la population.
Un régime antidémocratique peut être établi sous des formes de gouvernement à la fois monarchiques et républicaines, cependant, étant un déni des principes du parlementarisme, il n'est pas compatible avec la monarchie parlementaire et la république. Conduisant à une forte centralisation du pouvoir d'État, le régime autoritaire est en désaccord avec le fédéralisme bourgeois.
4.2 Régime démocratique
Un régime démocratique prend forme dans les États de droit. Ils se caractérisent par les modalités d'existence du pouvoir, qui assurent réellement le libre épanouissement de l'individu, la protection effective de ses droits et intérêts.

Concrètement, le régime du pouvoir démocratique s'exprime ainsi :
- le régime représente la liberté de l'individu dans la vie économique
la sphère, qui est la base du bien-être matériel de la société ;
- garantie réelle des droits et libertés des citoyens, de leur
la possibilité d'exprimer leur propre opinion sur la politique de l'État, de participer activement aux organisations culturelles, scientifiques et autres organisations publiques ;
- crée un système efficace d'impact direct
la population du pays sur la nature du pouvoir de l'État ;
- dans un Etat démocratique, la personne est protégée contre
l'arbitraire, l'anarchie, puisque ses droits sont sous la protection constante de la justice ;
- le pouvoir assure également les intérêts
majorité et minorité;
- le principe de base de la démocratie
l'État, c'est le pluralisme ;
- le régime étatique repose sur des lois qui
reflètent les besoins objectifs du développement de l'individu et de la société.

L'histoire connaît diverses formes de régimes démocratiques. Le plus répandu à l'heure actuelle est le régime de démocratie parlementaire, basé sur le transfert de pouvoir au parlement. Il existe également un régime démocratique libéral.
5. Raisons et caractéristiques des changements dans les formes d'État et de régime politique

Les formes politiques des États modernes ont évolué au cours de plusieurs siècles. Ces formes étaient finalement déterminées par la structure économique de la société, sa base. Les traditions historiques (la préservation de la monarchie en Grande-Bretagne, en Suède, au Japon et dans d'autres pays), les conditions de formation de l'État (la forme fédérale de l'État des États-Unis, la Suisse), ainsi que les particularités de la modernité développement politique interne de ce pays et sa position internationale, ont une grande influence sur la forme de l'Etat.
La variété des formes d'État s'est encore accrue du fait de l'effondrement du système colonial, lorsque nombre de jeunes États souverains sont apparus sur la carte politique du monde. Les vicissitudes de la lutte politique conduisent dans de nombreux pays libérés à de fréquentes modifications des formes étatiques.
Le concept de type historique est associé à l'établissement d'une dépendance naturelle de l'essence de classe de l'État et du droit vis-à-vis des relations économiques qui dominent dans une société de classe à un certain stade de son développement. Car en fin de compte, les exigences du développement économique obligent les États à abandonner les régimes non démocratiques, des formes de gouvernement dépassées, des formes d'État inadéquates au niveau de développement économique. Un exemple illustratif en est l'effondrement « instantané » du point de vue historique, l'effondrement de l'Union soviétique.
Bibliographie
1) Khropanyuk. V.N. "Théorie de l'État et du droit" Moscou 1993.
2) "Théorie générale du droit" Manuel Moscou 1993.
3) "Droit étatique des pays bourgeois et libérés"
Manuel Moscou 1988.
4) "Théorie générale du droit et de l'État" Manuel Moscou 1994.

Il existe plusieurs formes principales de gouvernement dans le monde moderne qui ont évolué historiquement. Cet article se concentrera sur un système politique tel qu'une république parlementaire. Vous pouvez également trouver des exemples de pays dans cet article.

Ce que c'est?

Une république parlementaire (vous trouverez des exemples de la forme de gouvernement ci-dessous) est un type de structure étatique dans laquelle tout le pouvoir appartient à un organe législatif spécial - le parlement. Il s'appelle différemment selon les pays : le Bundestag en Allemagne, le Landtag en Autriche, le Seimas en Pologne, etc.

La forme de gouvernement « république parlementaire » se distingue avant tout par le fait que c'est le parlement qui forme le gouvernement, qui lui rend pleinement compte, et élit également le président du pays (dans la plupart des cas). Comment tout cela se passe-t-il en pratique ? Après les élections populaires parlementaires, les partis vainqueurs forment une majorité de coalition, sur la base de laquelle un nouveau gouvernement est formé. De plus, chacun des partis reçoit le nombre de "portefeuilles" en fonction de son poids dans cette coalition. C'est ainsi que, en quelques phrases, on peut décrire le fonctionnement d'une telle entité comme une république parlementaire.

Des exemples de pays - républiques parlementaires « propres » - peuvent être cités comme suit : ce sont l'Allemagne, l'Autriche, l'Irlande, l'Inde (ce sont les exemples les plus classiques). Depuis 1976, le Portugal s'est ajouté à leur nombre, et depuis 1990 - l'État africain du Cap-Vert.

Ne confondez pas des concepts tels qu'une monarchie parlementaire et une république parlementaire, bien qu'ils soient similaires à bien des égards. La principale similitude réside dans le fait que là et là-bas, le parlement est l'autorité dominante et que le président (ou le monarque) n'exerce que des fonctions représentatives, c'est-à-dire qu'il n'est qu'une sorte de symbole du pays. Mais la principale différence entre ces formes de gouvernement est que dans une république parlementaire, le président est réélu à chaque fois par le parlement, et dans une monarchie, ce poste est hérité.

parlementaire, mixte

Il existe aujourd'hui trois types de républiques. Selon la taille et l'étendue des pouvoirs - le président - il existe des républiques présidentielles et parlementaires. Les États-Unis sont toujours appelés un exemple classique de république présidentielle, les exemples traditionnels de république parlementaire sont l'Allemagne, l'Italie, la République tchèque et d'autres.

En outre, le troisième type de république se distingue - la soi-disant république mixte. Dans de tels États, les deux sont dotés à peu près des mêmes pouvoirs et se contrôlent mutuellement. Les exemples les plus frappants de ces pays sont la France et la Roumanie.

Principales caractéristiques d'une république parlementaire

Tous les États d'une république parlementaire ont des caractéristiques similaires, qui doivent être énumérées :

le pouvoir exécutif appartient entièrement au chef du gouvernement, ce peut être le premier ministre ou le chancelier ;
le président n'est pas élu par le peuple, mais par le parlement (ou un collège spécial) ;
le chef du gouvernement est nommé par le président, bien que la candidature soit désignée parmi les chefs de la coalition formée à la majorité ;
toute responsabilité pour les actions du gouvernement est assumée par son chef;
tous les actes du président ne sont valables que s'ils sont signés par le premier ministre ou le ministre compétent.

Républiques parlementaires : liste des pays

La prévalence de cette forme de gouvernement dans le monde est assez importante. Il existe aujourd'hui une trentaine de républiques parlementaires, alors qu'il est à noter qu'il n'y a pas de chiffre unique en la matière. Le fait est que certains pays sont très difficiles à classer dans un type ou un autre. Des exemples de république parlementaire sont présentés ci-dessous (ils sont répartis par parties du monde) :

en Europe - Autriche, Albanie, Grèce, Bulgarie, Italie, Estonie, Irlande, Islande, Allemagne, Pologne, Portugal, Malte, Lituanie, Lettonie, Serbie, République tchèque, Croatie, Hongrie, Finlande, Slovénie et Slovaquie ;
en Asie - Turquie, Israël, Népal, Singapour, Inde, Bangladesh, Irak ;
en Afrique - Éthiopie ;
en Amérique - Dominique;
en Océanie - Vanuatu.

Comme on le voit, les républiques parlementaires, dont la liste comprend plus de 30 pays, prédominent dans la région européenne. Une autre caractéristique qui attire immédiatement l'attention est que la plupart des pays énumérés (tout d'abord, si nous parlons de l'Europe) appartiennent à des États prospères économiquement développés avec un niveau élevé de développement démocratique.

Si l'on prend en compte le classement des pays du monde en termes de démocratie (par l'Economist Intelligence Unit), on constate que sur 25 États qui se sont vu attribuer le statut le plus élevé de « démocratie à part entière », 21 sont républiques parlementaires et monarchies. En outre, ces pays sont leaders dans la notation du FMI en termes de volumes de pays. Ainsi, nous pouvons affirmer avec certitude que la forme de gouvernement la plus efficace et la plus réussie (à ce stade) sont précisément les républiques parlementaires.

La liste des pays ci-dessus peut également être tracée sous la forme de la carte suivante, sur laquelle les républiques parlementaires sont marquées en orange :

« Avantages » et « contre » de cette forme de gouvernement

Les principaux avantages de ce système politique sont les suivants :

le régime parlementaire assure l'unité des pouvoirs législatif et exécutif du gouvernement ;
toutes les initiatives gouvernementales, en règle générale, reçoivent le plein soutien du parlement, ce qui garantit le fonctionnement stable de l'ensemble du système de gouvernement;
ce système de gestion permet pleinement de respecter le principe de la représentation populaire au pouvoir.

Cependant, les républiques parlementaires ont aussi leurs propres défauts, qui tiennent en partie aux mérites de ce système politique. Il s'agit tout d'abord de l'instabilité des alliances de coalition, qui conduit souvent à des crises politiques (des exemples frappants sont l'Ukraine ou l'Italie). Aussi, très souvent, le gouvernement de coalition doit abandonner des actions bénéfiques pour le pays afin d'adhérer à la ligne idéologique de l'accord de coalition.

Un autre inconvénient important des républiques parlementaires est le danger d'usurpation du pouvoir dans l'État par le gouvernement, lorsque le parlement, en fait, se transforme en une « machine à affranchir » ordinaire pour les lois.

République fédérale d'Autriche

Le parlement autrichien s'appelle le Landtag et ses membres sont élus pour un mandat de quatre ans. Le parlement central du pays - l'Assemblée fédérale d'Autriche - se compose de deux chambres : le Nationalrat (183 députés) et le Bundesrat (62 députés). De plus, chacun des neuf Länder autrichiens possède son propre Landtag.

Seuls 700 partis environ sont enregistrés en Autriche, mais à l'heure actuelle, seuls cinq d'entre eux sont représentés au parlement autrichien.

République Fédérale d'Allemagne

Le parlement allemand est également élu pour un mandat de quatre ans. Il se compose de deux chambres : le Bundestag, qui compte 622 membres, et le Bundesrat (69 membres). Les députés du Bundesrat sont des représentants des 16 états du pays. Chacun des états fédéraux a de 3 à 6 représentants au parlement d'état (selon la taille de l'état particulier).

Le parlement allemand élit un chancelier fédéral, qui dirige le pouvoir exécutif et, en fait, est la personne principale de l'État. Depuis 2005, Angela Merkel est en Allemagne - la première femme à occuper le poste de chancelière fédérale dans toute l'histoire du pays.

République de Pologne

Le parlement polonais s'appelle le Sejm, il est aussi bicaméral. se compose de deux parties : la Diète elle-même, qui se compose de 460 députés, et le Sénat, qui se compose de 100 députés. Le Seimas est élu au scrutin proportionnel, selon la méthode Ondta. Dans le même temps, seuls les candidats ayant obtenu au moins 5 % des suffrages au scrutin national peuvent obtenir un siège d'adjoint au Seimas (à l'exception de représentants des partis des minorités ethniques).

République de l'Inde

L'Inde est aussi une république parlementaire dans laquelle tout le pouvoir appartient au parlement et au gouvernement qu'il forme. comprend la Chambre du peuple et le Conseil des États - l'organe qui exprime les intérêts des États individuels.

A la Chambre du peuple (Lok Sabha), les députés sont élus au suffrage populaire universel. Le nombre total (maximum selon la Constitution de l'Inde) de membres de la Chambre du peuple est de 552 personnes. La durée d'une convocation de la Chambre est de 5 ans. Cependant, la Lok Sabha peut être dissoute par le président du pays plus tôt que prévu et, dans certaines situations, la législation indienne prévoit également la prolongation d'un an du mandat de la chambre. La Chambre du peuple de l'Inde est dirigée par le président qui, après avoir été élu à ce poste, est obligé de quitter son parti.

Le Conseil des États (Rajya Sabha) est formé par des élections indirectes et comprend 245 membres. Tous les deux ans, la composition de la Rajya Sabha est mise à jour par un tiers.

Enfin...

Vous avez maintenant une idée de ce qu'est une république parlementaire. Des exemples de pays sont également donnés par nous dans cet article d'information: ce sont l'Autriche, l'Allemagne, l'Italie, la Pologne, l'Inde, Singapour, la République tchèque et d'autres pays (au total - environ 30 États). En conclusion, nous pouvons dire que ce système politique de gouvernement a à la fois ses avantages et ses inconvénients. Cependant, aujourd'hui, une république parlementaire est la forme de gouvernement la plus optimale et la plus efficace au monde.

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Perm 2012

Table des matières
Partie 1.
Section 1. Objet, tâches et méthodes de la science politique …………………… 3
Section 2. Histoire des doctrines politiques
Quelle contribution N. Machiavelli a-t-il apporté à la pensée politique ? ................ 5
Section 3. Régime politique
Le concept de l'essence du pouvoir politique …………………………… ... 7
Section 4. Le système politique de la société moderne.
Décrire les caractéristiques générales et les fonctions de l'État ………………… 12
Partie 2.
Décrivez trois formes correctes et trois formes incorrectes de gouvernement. Pourquoi la démocratie dégénère-t-elle en ochlocratie et non en tyrannie ? Pouvez-vous donner des exemples historiques d'une telle transformation ? ................. ................................ ........ .............................. ............ ..........14
Décrivez en détail la structure de l'État de type républicain. Quelle est la fonction du parlement ici ? ..................................................... .. ..17
3. Quel est le mécanisme de la campagne électorale ? ....................................... 23
Développer les concepts de base …………………………………… ...… 28
4. Faire une présentation écrite sur le thème « Les élections, leur nature et leurs fonctions politiques » ……………………………………………………… .. .30
5. Analyser le vote et les élections en tant que mécanisme de participation des citoyens à la vie politique de la société …………………………………………………………………………………………… …………………………………………… ..33
Liste de la littérature utilisée ………………………………… 37

Partie 1.
Section 1. Sujet, tâches et méthodes de la science politique.
Qu'est-ce qui est inclus dans le concept d'institution politique?
La sphère du politique est un espace social formé par un ensemble d'actions organisées et de relations entre les personnes. Les institutions politiques sont l'une des formes d'une telle organisation. L'institut politique comprend :
certains groupes de personnes habilités par la société à exercer des fonctions socialement et politiquement importantes ;
des organisations pour que les personnes remplissent certaines fonctions ;
un ensemble de moyens matériels et autres d'activité qui permettent à des organisations ou à des groupes de personnes de mener des actions politiques établies ;
un ensemble de rôles et de normes politiques dont la mise en œuvre
est essentiel pour certains groupes sociaux et la société en
la totalité.
Les institutions politiques des temps modernes sont comprises comme un ensemble d'institutions, d'organisations avec une certaine structure et subordination, reproduites au fil du temps par un ensemble de normes et de règles qui régissent les relations politiques, à la fois entre les organisations et entre les personnes. Ainsi, les institutions politiques sont « une intégrité trinitaire – organisation, normes, relations ».
Éléments des institutions politiques : buts, fonctions et rôles,
résultant de buts, de moyens, d'institutions, de sanctions. Objectifs
les institutions politiques sont les questions qui composent le champ de leurs activités. Il peut s'agir d'un contrôle sur le public et
vie politique, le développement de méthodes de rétention, de capture et de
renforcer le pouvoir, façonner la conscience politique des citoyens, leur
choix politique. Les fonds des institutions politiques sont
formes matérielles, idéales et symboliques de gouvernement qui ont
signification sociale et politique.
Les institutions politiques se subdivisent en institutions de pouvoir et en institutions de participation. Les premiers comprennent les institutions qui exercent le pouvoir de l'État à divers niveaux hiérarchiques, les seconds comprennent les institutions de participation, les structures de la société civile. L'ensemble des institutions politiques constitue le système politique de la société, qui est une certaine intégrité, interaction organique des sujets de la politique, d'autres éléments de la réalité politique.
Une autre institution politique importante est la société civile, au sein de laquelle s'exercent les activités des institutions politiques non étatiques. L'État et la société civile en tant qu'institutions politiques se sont formés en Europe et aux États-Unis autour de la période du New Age sous l'influence des changements de modernisation en cours. C'est à partir de cette époque que s'est formée la principale institution de pouvoir dans la société, qui avait le monopole de la violence coercitive sur un certain territoire - l'État. En même temps, sous l'influence de ce processus, une sorte d'antithèse État-société civile se forme.
Le professeur de droit français Maurice Oriou, l'un des fondateurs de la théorie de l'institutionnalisme, considérait la société comme un ensemble d'un grand nombre d'institutions. Il croyait que les mécanismes sociaux sont des organisations, ou des institutions qui incluent des personnes, ainsi qu'une idée, un idéal, un principe qui sert comme une sorte de creuset qui extrait l'énergie de ces individus. Si d'abord l'un ou l'autre cercle de personnes, réunies pour des actions communes, forme une organisation, alors à partir du moment où les individus qui la composent sont pénétrés de la conscience de leur unité, elle apparaît déjà comme une institution. L'avocat français considérait l'idée directrice comme la marque de fabrique de l'institut.
M.Oriu a identifié deux types d'institutions : les entreprises (État, syndicats, sociétés commerciales, associations, église) et la propriété (normes juridiques). Les deux types ont été caractérisés par lui comme une sorte de modèle idéal de relations sociales. La différence entre eux a été vue dans le fait que les premiers sont intégrés dans des collectifs sociaux, tandis que les seconds n'ont pas leur propre organisation et peuvent être appliqués dans le cadre de toutes les associations.
L'attention principale dans la théorie de M. Oriu a été accordée aux institutions corporatives. En tant qu'entités autonomes, elles ont des caractéristiques communes, à savoir : une certaine idée directrice, l'organisation du pouvoir et un ensemble de normes qui règlent l'ordre interne. Les concepts de pouvoir, de gestion et de droit dans sa doctrine ont été étendus à toutes les institutions corporatives. Ainsi, les formations sociales étaient assimilées les unes aux autres et dépeintes comme des phénomènes du même ordre.
Les institutions politiques changent avec le changement
structures publiques auxquelles ils sont associés par des
des relations. Les institutions politiques sont imprégnées de politiques
valeurs (un type de valeurs sociales qui ne sont pas reconnues comme distinctes
personnes, mais en grands groupes, des communautés entières). Objectif
la base des valeurs politiques est les besoins généraux de la vie
et les intérêts à long terme de grands groupes sociaux et d'individus.
Les valeurs politiques sont majoritairement subjectives ; par conséquent, des formes de leur objectivation sont nécessaires. L'une des formes
les symboles politiques servent à objectiver les valeurs.
Section 2. Histoire des doctrines politiques.
Quelle contribution N. Machiavelli a-t-il apporté à la pensée politique ?
Pendant la Renaissance en Europe occidentale, l'italien Niccolo Machiavelli (1469-1527) a joué un rôle important dans le développement de la pensée politique.
Les vues philosophiques et juridiques de Nicolo Machiavelli appartiennent à la période de la Renaissance. A la Renaissance, la pensée juridique fait un grand pas en avant, elle s'affranchit des éléments de la compréhension scolastique de l'univers. La pensée juridique de la Renaissance est basée sur des principes complètement nouveaux : le rejet de la scolastique et la compréhension de l'homme comme un être naturel-social, et non un être divin.
Le philosophe et juriste italien Nicolo Machiavelli a grandement contribué au développement de la pensée juridique à la Renaissance. Le développement de la pensée juridique à la Renaissance a reçu une grande impulsion en Italie. La formation d'une nouvelle vision de l'État et du droit a lieu dans une période difficile pour l'Italie.
Le nom de Nicolo Machiavelli est connu de beaucoup, même ceux qui ne connaissent pas ses enseignements s'exclameront - c'est le fondateur des principes du "machiavélisme", en un mot, ses idées sont connues de beaucoup. L'image d'un Machiavel vivant en tant que personne est préservée et est moins connue que l'image de ses vues et idées juridiques. Les œuvres remarquables suivantes ont été écrites de la main de Nicolo Machiavelli : 1) Le Souverain (1513) ; 2) "Discours sur la première décennie de Titus Tite-Live" (1519); 3) "Histoire de Florence" (première édition 1532); 4) "Sur l'art de la guerre." Nicolo Machiavelli était un contemporain de personnalités aussi célèbres que : Michel-Ange, Léonard de Vinci, Raphaël, Laurent le Magnifique, Laurent Médicis, Savonarole.
Nicola Machiavelli s'est révélé très doué dans de nombreux domaines : il a apporté des contributions importantes aux sciences philosophiques, politiques, historiques et juridiques.

Section 3. Régime politique.
Le concept de l'essence du pouvoir politique.
Le pouvoir est compris comme la capacité et la capacité d'exercer sa volonté, d'exercer une influence décisive sur les activités, le comportement des personnes à l'aide de l'autorité, de la loi et de la violence. Le concept de pouvoir est au cœur de la science politique. Tout pouvoir est le droit et la capacité de disposer, de commander, de gouverner. L'expression concentrée du pouvoir est la relation de domination et de subordination, toute forme d'interaction entre les sujets des relations de pouvoir.
Le pouvoir représente l'activité organisée de personnes visant à concilier des intérêts individuels ou de groupe conflictuels et la volonté par leur subordination à une volonté sociale ou de groupe unique formée. Sans pouvoir sous une forme ou une autre de sa manifestation - un chef de tribu sur les autres membres de la tribu, un prophète sur les adeptes de ses enseignements, les dirigeants d'organisations publiques sur les membres ordinaires, l'État et ses organes sur les citoyens, etc. - aucune des communautés ne pouvait exister. Le terme « pouvoir » a de nombreuses significations différentes. Dans un cas, il peut désigner un individu investi du pouvoir, dans l'autre - une autorité, dans le troisième - le droit et la capacité de disposer, restreindre la liberté en imposant une volonté ou une force qui assure la subordination des activités des personnes subordonnées , etc.
Dans un sens général, le pouvoir est compris comme une forme de relations sociales caractérisée par la capacité d'influencer la nature et la direction des activités et le comportement des personnes, des groupes sociaux et des classes à travers des mécanismes juridiques économiques, idéologiques et organisés, ainsi que par l'autorité , tradition, violence.

La puissance est :

le système des autorités ;

Le pouvoir se développe et existe dans divers domaines de la vie humaine, se manifeste sous diverses formes. Elle est classée selon les sources de subordination ou le rapport de l'objet social au sujet (force, coercition, motivation, persuasion, manipulation, autorité, coopération).
Selon les sources, de nombreux auteurs distinguent des types de pouvoir comme coercitif, gratifiant, normatif, de référence, expert, informationnel, etc.
Par la nature de leur application, les autorités se distinguent comme démocratiques, autoritaires, totalitaires, despotiques, bureaucratiques, etc.
Selon l'objet du pouvoir, on peut distinguer ses variétés telles que personnelle, partisane, publique, etc. Le pouvoir peut être individuel et collectif, explicite et implicite.
Par son volume, il agit comme une famille, nationale, internationale, etc.
Selon la sphère de manifestation, le pouvoir est divisé en politique et apolitique (autorité morale, domination économique ou informationnelle, violence physique, etc.)
Les principaux types de puissance :

Le pouvoir politique occupe une place particulière dans cette hiérarchie. Elle se caractérise par la capacité réelle du sujet à accomplir sa volonté, exprimée en politique. Le concept de « pouvoir politique » est plus large que le concept de « pouvoir d'État ». L'activité politique s'exerce non seulement au sein de l'État, mais aussi dans le cadre de partis, de syndicats, d'organisations publiques internationales, de relations ethno-nationales, etc.
Le pouvoir politique est l'une des catégories fondamentales de la science politique. Il permet de comprendre l'essence de la sphère politique de la société.
Le pouvoir politique est un système de relations socio-politiques institutionnellement fixées, formé sur la base de la domination réelle d'un groupe particulier dans l'utilisation des prérogatives de l'État pour la répartition des diverses ressources publiques, en tenant compte de leurs intérêts. Le pouvoir politique se caractérise par la capacité réelle du sujet à accomplir sa volonté, exprimée en politique.
La catégorie « pouvoir politique » comprend toutes les composantes de la catégorie « pouvoir », mais elle a aussi ses propres particularités :
1) la suprématie, l'obligation de ses décisions pour l'ensemble de la société et, par conséquent, pour tous les autres types de pouvoir. Elle peut limiter les formes de pouvoir économiques, sociales et autres, les mettre dans un certain cadre ;
2) l'universalité, c'est-à-dire la publicité. Cela signifie que le pouvoir politique opère sur la base du droit et s'étend à l'ensemble de la société. Elle résout le problème du consentement, étant donné que la société est divisée par des intérêts différents ;
3) la légalité de l'usage de la force et d'autres moyens de pouvoir dans le pays ;
4) la monocentricité, c'est-à-dire l'existence d'un centre de décision national. Cependant, le pouvoir politique est exercé non seulement par le système des organes de l'État, mais aussi par des sujets tels que les partis politiques et les associations publiques. Ils concentrent les droits et la volonté des personnes dotées du pouvoir ;
5) la maniabilité, c'est-à-dire l'utilisation d'un large éventail de moyens pour conquérir, conserver et exercer le pouvoir, mobiliser la société pour atteindre tous les objectifs.
Sur la base des caractéristiques énumérées, la définition suivante du pouvoir politique peut être donnée :
Le pouvoir politique est un certain type de relations sociales qui s'établissent entre de grands groupes sociaux, entre l'État et la société, entre les autorités de l'État, les partis politiques et les associations publiques qui utilisent des institutions et des ressources politiques pour guider les processus politiques et la vie publique afin de créer un certain type de gouvernement et un certain régime politique. Le pouvoir politique commence là où la capacité d'influence s'étend aux larges masses, à des millions de personnes, y compris l'État.
Actuellement, il existe plusieurs concepts qui interprètent le concept de pouvoir politique. Le concept relativiste (de l'anglais relation - relation) considère le pouvoir politique comme une relation dans laquelle le sujet du pouvoir a une influence décisive sur l'objet. Le sujet et l'objet peuvent être : des individus, des groupes, des couches de population, des associations publiques, des partis politiques, l'État. Ce concept comprend une série de méthodes et de moyens d'influencer la société afin d'atteindre la stabilité. Parmi eux figurent la stimulation de l'activité de travail active, le respect des normes de comportement social, la réconciliation avec l'opposition en divisant les "zones d'influence".
Le concept behavioriste (de l'anglais bihavior - behavior) vient aussi de l'interprétation du pouvoir politique comme une relation entre des personnes, dans laquelle certains gouvernent, commandent, dominent, tandis que d'autres obéissent et exécutent les décisions des premiers. Mais les représentants de ce concept accordent une attention particulière aux motifs du comportement des gens dans la lutte pour le pouvoir. Ils croient que le désir de pouvoir est inhérent à la nature des individus qui ont « l'énergie politique », c'est-à-dire la capacité de gouverner. De plus, le désir de pouvoir peut être dû aux avantages et privilèges que reçoivent les personnes au pouvoir. Un autre motif de la lutte pour le pouvoir est le désir des individus de s'affirmer, de pallier leurs insuffisances.
Le concept systémique considère le pouvoir comme le noyau du système politique de la société, avec lequel tous les autres éléments sont directement ou indirectement liés. Selon les représentants de ce concept, les tâches du pouvoir politique sont :
1) la régulation des relations entre les personnes et la société dans son ensemble, y compris les institutions étatiques et politiques ;
2) la résolution des contradictions qui surgissent constamment entre le besoin d'ordre dans la société et la diversité des intérêts des membres de la société ;
3) la création d'un système politique équilibré et stable de la société.
Ainsi, toutes les conceptions du pouvoir politique soulignent son importance en tant que régulateur de la vie publique. Elle permet d'organiser la production sociale, ce qui est impossible sans la subordination de tous les participants à une seule volonté ; veille à la mise en œuvre des intérêts communs des différents groupes sociaux ; maintient l'intégrité et la stabilité relative de la société.
Section 4. Le système politique de la société moderne.
Décrire les caractéristiques générales et les fonctions de l'État.
Le terme « état » est généralement utilisé de deux manières. Au sens large, l'État est compris comme une communauté de personnes, représentée et organisée par une autorité suprême et vivant sur un certain territoire.
Dans la science moderne, l'État au sens étroit est compris comme une organisation, un système d'institutions qui ont le pouvoir suprême sur un certain territoire.
Signes d'état :

Le GOSUDARSVTO est une organisation politique unique de la société, qui étend son pouvoir à l'ensemble de la population sur le territoire du pays, émet des décrets juridiquement contraignants, dispose d'un appareil spécial de gouvernement et de coercition et détient la souveraineté.
Fonctions de l'Etat :
- ce sont les principales orientations de ses activités, exprimant l'essence et le but de l'État dans la société.
Par zones de distribution :
1. internes, qui s'exercent à l'intérieur du pays et sont associés à l'exercice du pouvoir politique ;
2. externes, qui sont associés aux relations de cet État avec d'autres pays.
Fonctions internes :
- économique - la formation du budget de l'État et le contrôle de ses dépenses; détermination des programmes généraux de développement économique du pays, etc.;
- social - la fourniture d'une assistance sociale aux membres de la société qui en ont besoin, l'allocation des fonds nécessaires aux soins de santé, à l'éducation, aux loisirs, aux communications, etc.
- le contrôle financier - l'identification et la comptabilisation des revenus des producteurs dont une partie est reversée au budget de l'Etat à la rencontre du social et du grand public. Besoins;
- la protection de l'ordre public - assurer l'application exacte et complète des prescriptions législatives par tous les acteurs des relations publiques ;
- écologique - un système de mesures étatiques visant à préserver, restaurer et améliorer les conditions naturelles de la vie humaine.
Les principales fonctions extérieures de l'État :
- la coopération économique, politique, scientifique et technique, environnementale, militaire et culturelle avec d'autres Etats ;
- défense du pays contre les agressions extérieures, protection des frontières étatiques.
Partie 2.

Formes de gouvernement :

Qui et dans quel intérêt gère société et état	dans l'intérêt de la société dans son ensemble, le bien commun des administrés Formes de mise en œuvre (correctes) le pouvoir de l'État)	dans des intérêts personnels égoïstes et exclusivement les bénéfices des gouvernants (Formes "irrégulières", "déformées" l'exercice du pouvoir d'État)
Une personne	La monarchie est la règle d'un, la personne la plus préparée ; le pouvoir suprême (en règle générale) est exercé par lui à vie et est transféré par voie de succession	La tyrannie est le règne d'un dirigeant égoïste qui utilise activement la politique de terreur contre la société et ses opposants politiques, dépassant le niveau de brutalité existant dans la société.
Groupe de personnes	L'aristocratie est le règne des représentants les meilleurs, les plus formés et les plus compétents de la noblesse du clan, qui agissent en tant que gardiens des traditions nationales et culturelles de la société et de l'État.	L'oligarchie est une règle explicite ou cachée d'un groupe fermé de personnes riches et influentes (on les distingue: oligarchies financières, bureaucratiques, partisanes).
Couche sociale	Démocratie (policy) - la règle du demos (citoyens à part entière de la société), la classe moyenne (les gens du milieu (selon Aristote)), participant activement au gouvernement et à la société. Un attribut invariable de la démocratie est le système de recensement et la procédure d'obtention de la citoyenneté, la plénitude des droits politiques.	L'ochlocratie est le règne d'une foule (importante en pourcentage d'une partie de la société), tombant constamment sous l'influence de démagogues populistes et d'oligarques qui manipulent leur esprit à travers les médias.

Pourquoi la démocratie dégénère-t-elle en ochlocratie et non en tyrannie ?
Dans une société démocratique libérale, le pouvoir devrait appartenir à ceux qui réussissent à le prendre par la libre concurrence électorale : la vraie démocratie et le vrai libéralisme présupposent un pouvoir fort. Même Socrate a dit que l'État ne devrait pas être gouverné par les masses, mais par des personnes aimables et bien informées. Sinon, comme Aristote l'a soutenu à juste titre, la démocratie peut dégénérer en ochlocratie (le règne de la foule), au mépris des lois, lorsque toutes sortes de démagogues et de flatteurs règnent au nom du peuple. Mais les deux conceptions de la démocratie - comme règne du peuple et comme règne de la majorité - ne coïncident pas. La majorité peut se tromper et agir sous l'emprise des émotions, du moment, à l'encontre ou pour le bien de ses propres intérêts et au détriment de l'avenir du pays.
Pouvez-vous donner des exemples historiques d'une telle transformation ?
Un tel exemple d'obscurcissement populaire est fourni par la démocratie athénienne - l'exécution de dix stratèges les plus talentueux ou l'exécution du grand Socrate. L'essence de la démocratie ne réside pas dans l'arbitraire, mais dans le droit du peuple d'établir une législation raisonnable par l'intermédiaire de ses élus, à laquelle le peuple lui-même doit obéir.

Forme républicaine de gouvernement (république) - (du lat. "Respublica" - affaires publiques) - une forme de gouvernement dans laquelle les plus hautes autorités sont élues ou nommées pour une certaine période et fonctionnent sur la base de la délimitation des domaines de compétence (activité ).
La république est une forme de gouvernement historiquement établie dans laquelle le pouvoir suprême de l'État est exercé par des organes électifs, juridiquement responsables et urgents dans le cadre et sur la base de la conscience juridique républicaine et de la pensée juridique républicaine du peuple.
La république est une forme de gouvernement assez ancienne. On le trouve dans les États esclavagistes (Athènes, Sparte, Rome) et féodaux (Venise, Gênes, Novgorod, Pskov, etc.), mais c'est à l'époque nouvelle qu'il était le plus répandu. Dans les États modernes, cette forme de gouvernement est prédominante.
Les principales caractéristiques et classifications de la forme républicaine de gouvernement.
Les principales caractéristiques suivantes sont inhérentes à la forme républicaine de gouvernement :
1) le pouvoir d'État le plus élevé de la république appartient toujours aux organes élus.
2) le chef de l'État est soit une personne élue, soit un organe élu. Le monarque, en tant que tel, est absent.
3) les organes électifs auxquels appartient le pouvoir suprême de l'État, y compris le chef de l'État, sont élus pour une durée déterminée et sont remplaçables. Le chef d'État à vie, que l'on trouve dans les républiques individuelles, n'est généralement pas caractéristique de la forme républicaine de gouvernement et y introduit des éléments de la monarchie.
4) les organes élus, auxquels appartient le pouvoir suprême de l'État, exercent le pouvoir non pas à leur propre discrétion, mais dans l'intérêt de la population du pays ou de tout groupe social.
5) la forme républicaine de gouvernement implique la responsabilité des organes élus exerçant le pouvoir le plus élevé dans l'État envers leurs électeurs.
Sous la forme républicaine de gouvernement, les gens ont le droit officiel de passer d'un stade social à un autre et même de passer d'une strate à une autre. Mais l'autorisation officielle et les possibilités réelles, malheureusement, sont des concepts différents, souvent incompatibles.
Les républiques sont :
- parlementaire,
- présidentiel,
- mixte,
- Soviétique.
Dans une république parlementaire, les principaux pouvoirs sont entre les mains du parlement. Avec cette forme de gouvernement, le gouvernement est formé des députés des partis ayant la majorité des voix, en cas de perte de confiance de la majorité du parlement, le gouvernement soit démissionne soit obtient par l'intermédiaire du chef de l'Etat la dissolution du parlement et la nomination de nouvelles élections.
Les pouvoirs du parlement comprennent le contrôle du gouvernement. Il a le pouvoir financier, puisqu'il élabore et approuve le budget de l'État, le cours de la politique intérieure, étrangère et de défense de l'État.
Le président de ces républiques est élu par le parlement. Dans ces pays, on parle d'un président "faible". Les orientations générales de l'activité que la constitution donne au président d'une république parlementaire sont exécutées, en règle générale, par le gouvernement.
Sous la forme de gouvernement parlementaire, le président promulgue les lois, publie des décrets, des récompenses, est le commandant en chef des forces armées, a le droit d'amnistier les condamnés.
Dans une république présidentielle, le président est au centre du gouvernement. Il est chef de l'État et chef du gouvernement. Dans une république présidentielle, le pouvoir exécutif est entre les mains du président et le pouvoir législatif est entre les mains du parlement.
Dans une république présidentielle, le chef de l'État est élu par la population du pays. Le gouvernement est formé par le président, qui est légalement, et en fait, comme mentionné ci-dessus, est le chef du gouvernement. Le gouvernement n'est responsable que devant le président.
Dans une république présidentielle, le président n'a pas le droit de dissoudre le parlement, et le parlement n'a pas le droit d'exprimer sa défiance envers le gouvernement, mais peut destituer le président par mise en accusation.
Des tentatives de destitution ont été faites dans les années 90, lorsque le pouvoir était entre les mains d'Eltsine. Plusieurs tentatives infructueuses n'ont mené nulle part. Ils ont dit qu'Eltsine n'avait délibérément pas permis au moins une amélioration minimale de la condition matérielle du pays.
Pour ces raisons et bien d'autres, ils voulaient retirer Eltsine de la présidence. Et ce n'est qu'en 2000, à la veille du Nouvel An, qu'il a prononcé le discours suivant : « Ce jour est venu. Chers amis, mes très chers, aujourd'hui, je m'adresse à vous pour la dernière fois avec les vœux du Nouvel An. Mais ce n'est pas tout : aujourd'hui, je m'adresse à vous pour la dernière fois en tant que président de la Russie. J'ai pris ma décision en y réfléchissant longuement et douloureusement. Aujourd'hui, au dernier jour du siècle sortant, je prends ma retraite."
Ils distinguent également les républiques mixtes - une forme de gouvernement située entre les républiques présidentielles et parlementaires.
Le parlement d'une telle république a le droit de voter contre le gouvernement formé par le président. D'autre part, le président a le droit de dissoudre le parlement et de convoquer des élections anticipées.
Ainsi, comme dans les pays parlementaires, dans une république mixte, le gouvernement ne peut fonctionner que s'il est soutenu par la majorité parlementaire. Mais si dans les pays parlementaires le président ne nomme que formellement le gouvernement, alors dans une république mixte le président élu par le peuple a le droit de former son gouvernement, quelle que soit la majorité parlementaire existante, d'entrer en conflit avec le parlement et de demander sa dissolution.
La République soviétique est un type particulier de forme républicaine de gouvernement, dont la base est constituée d'organes représentatifs spéciaux - les Soviets. La République soviétique se caractérise par la souveraineté des soviets, les organes représentatifs du pouvoir d'État.
Selon la loi fondamentale, les Soviétiques ont les pleins pouvoirs, ils représentent la base politique de l'État soviétique, tous les autres organes sont responsables et contrôlés par les Soviétiques.
- La République soviétique ne reconnaît pas le principe de séparation des pouvoirs ;
- Les fonctions du parlement sont exercées soit par les soviets eux-mêmes, soit par leurs chambres ;
- Les fonctions du chef de l'Etat sont exercées par les présidents collégiaux - Présidiums des Soviets ;
- Les députés sont responsables devant la population et peuvent être révoqués par elle en cas d'abus de confiance ;
- Il n'y a pas de distinction entre les organes de l'Etat et les organes de l'autonomie locale ;
- Les non-partis sont également admis dans les soviets.
Parmi les formes de gouvernement ci-dessus, il est très difficile de choisir la meilleure et de souligner sans équivoque sa supériorité. Chacun a ses propres avantages et inconvénients. De plus, une même caractéristique ne peut être appréciée sans ambiguïté, puisque pour l'un il sera positif et pour l'autre négatif. Tout dépend des qualités personnelles d'une personne, de sa vision du monde et de son credo de vie. Une forme de gouvernement monarchique convient mieux à une personne obéissante, elle exécutera les décrets du monarque et ne sera pas tenue de montrer sa volonté et son esprit.
Une personne ayant des qualités de leader va « dépérir » sous cette forme de gouvernement, et s'il peut trouver un soutien plus ou moins digne des mêmes leaders, il sortira contre l'ordre actuel et luttera pour l'adoption d'un ordre démocratique, où il peut se rendre compte de ses qualités, ou, mieux encore, prendre les commandes vous-même.
Dans la forme républicaine de gouvernement, les citoyens du pays ont plus de liberté que sous une monarchie.
Le pouvoir ne passe pas par héritage, mais est élu par le peuple, du moins c'est ce que dit la constitution.
Mais quelle que soit la forme de gouvernement en vigueur dans le pays, une personne qui se retrouve au pouvoir ne peut souvent pas renoncer à la richesse et au luxe, et lorsqu'une personne a la possibilité de bien s'habiller, de manger délicieusement et richement, de se détendre dans des stations balnéaires chères, de profiter de tout les privilèges - immunité parlementaire etc. - une personne oublie et cesse de penser que quelqu'un peut souffrir de la faim, geler dans des maisons froides et mal chauffées, vivre dans des maisons de Khrouchtchev qui existent encore aujourd'hui, mourir de maladies, faute d'argent pour un traitement coûteux. Les gens qui vivent dans le luxe ne peuvent pas vraiment comprendre cela, car eux-mêmes n'ont jamais vécu une telle chose et ils oppriment de plus en plus les gens qui souffrent déjà. Et aujourd'hui, sous une forme de gouvernement républicain, sous une démocratie, la direction du pays vit en quelque sorte séparément du peuple, dans une sorte de monde riche qui lui est propre.
Il me semble que nous ne pouvons pas parvenir à un état de droit, non seulement à cause de problèmes politiques et économiques, mais aussi à cause du facteur humain - cupidité, cupidité, désir de gloire, de pouvoir et de richesse encore plus grands.
Si chacun accomplissait ses devoirs honnêtement, consciencieusement, le niveau politique et économique du pays augmenterait, et cela ne s'applique pas seulement aux responsables politiques. Maintenant, beaucoup essaient de gagner de l'argent par tous les moyens, guidés par la règle: "Pour atteindre l'objectif, tous les moyens sont bons". Vous pouvez bien sûr dire qu'un tel comportement est exigé par l'ère capitaliste, c'est bien sûr le cas, mais dans tous les cas, vous ne pouvez pas perdre votre visage humain et vous devez prendre soin non seulement de vous, mais aussi de le monde qui vous entoure.
Si vous idéalisez chaque forme de gouvernement et en excluez les lacunes qu'une personne y apporte, telles que : la corruption, la tromperie, le détournement d'État. Le budget, à mon avis, la forme de gouvernement la plus optimale est une république présidentielle.
D'une part, le peuple a le droit de choisir son propre chef d'État.
D'un autre côté, le président sait qu'il est la principale personne de l'État et qu'il est responsable des événements qui se déroulent dans le pays, alors que dans une forme de gouvernement parlementaire, la responsabilité principale incombe au parlement, et lorsque le la responsabilité incombe à un groupe de personnes, il est très difficile de trouver « le coupable » Événements négatifs.
Troisièmement, le président, s'il est le chef de l'État, devrait avoir plus de pouvoir que les autres, sinon pourquoi en a-t-il besoin alors ? Avoir le droit de récompenser les succès ou de gracier les condamnés ? Le président doit contrôler ce qui se passe, influencer les décisions prises, avoir le droit de dissoudre le gouvernement, etc. sinon, son rôle dans l'État est si insignifiant que la question se pose d'elle-même qu'il était possible de se passer de lui.
Quatrièmement, le président est le commandant en chef des forces armées. Il doit mener une politique étrangère compétente et savoir quand il est possible de régler le problème pacifiquement, et quand ouvrir une guerre ou même utiliser la « valise noire ».
Cinquièmement, si le parlement décide de destituer le président avec l'aide de la destitution, le chef de l'État peut se tourner vers le peuple pour obtenir de l'aide et recevoir soit un soutien, soit un refus d'aider, ainsi, des décisions importantes de l'État ont lieu non seulement dans les cercles dirigeants. , mais aussi en tenant compte de l'opinion de la population.
La fonction principale du parlement est de légiférer et de contrôler le pouvoir exécutif. Le parlement dispose d'importants pouvoirs financiers, puisqu'il élabore et adopte le budget de l'État, détermine les perspectives de développement du développement socio-économique du pays et décide des principales questions de politique étrangère, y compris la politique de défense. La forme parlementaire du gouvernement républicain est une telle structure des plus hautes instances du pouvoir de l'État, qui assure réellement la démocratie de la vie publique, la liberté de l'individu, crée des conditions équitables pour la société humaine, fondées sur les principes de la légalité juridique. Les républiques parlementaires comprennent l'Allemagne, l'Italie (selon la constitution de 1947), l'Autriche, la Suisse, l'Islande, l'Irlande, l'Inde, etc.

Campagne électorale - un système d'événements de campagne menés par les partis politiques et les candidats indépendants afin de s'assurer le maximum de soutien des électeurs lors des prochaines élections. Divers groupes de groupes de soutien, d'organisations publiques, d'organisations de masse, etc. participent aux campagnes électorales.
Les principales formes (méthodes) de campagne pendant une campagne électorale sont :

Les lois électorales modernes, en règle générale, réglementent de manière très détaillée la conduite d'une campagne électorale.
Premièrement, le calendrier (et parfois le territoire) de la campagne électorale est établi avec précision, généralement la campagne électorale commence officiellement à partir du moment où les élections sont annoncées et programmées, ou l'enregistrement d'un candidat (liste de parti) et se termine un ou deux jours avant le début du vote.
Deuxièmement, une procédure est en cours d'élaboration pour fournir aux candidats et aux partis des médias d'État pour la campagne électorale.
Troisièmement, les conditions et la procédure de financement de la campagne électorale sont déterminées.
Pour mener une campagne électorale, un quartier général spécial est créé, qui comprend des professionnels :

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