Signes d'une attitude de consommateur envers une femme. Les attitudes des consommateurs comme une maladie de notre temps

Probablement, il est difficile de trouver une personne qui n'a jamais été confrontée à des manifestations d'attitude de consommation dans sa vie: quelqu'un a connu tous ses « charmes » sur la compétence personnelle, devenant une victime de l'acheteur, une personne facilement traçable de l'extérieur. Mais admettre que vous êtes vous-même un acheteur est beaucoup plus difficile.

Habituellement, ceux qui les entourent en sont informés, fatigués du fait qu'ils essaient constamment de les utiliser.

Pour comprendre pourquoi votre conjoint est tellement exaspéré par le rôle d'un "soutien de famille" indestructible, pourquoi la femme est offensée par le manque d'attention et de respect de votre part, croyant que vous la traitez "comme une chose", et pour quelle raison généralement un enfant bien élevé, je n'ai pas appris les mots de gratitude, vous devez bien comprendre le problème.

Que signifie l'attitude du consommateur ?

La société moderne est souvent accusée d'adhérer au culte de la consommation : le niveau accru de bien-être social se manifeste souvent extérieurement uniquement comme la satisfaction des besoins des consommateurs.

Nous commençons à collectionner les choses, car nous pouvons nous le permettre, et si un article devient inutilisable, sans hésitation, nous le jetons et obtenons le plus récent - encore une fois, car nous pouvons nous le permettre !

On a beaucoup parlé des aspects négatifs de ce phénomène, mais tout n'est pas si effrayant tant qu'il s'agit d'objets inanimés, qui, peu importe à quoi vous ressemblez, sont faits pour être utilisés. Des inquiétudes bien plus importantes sont suscitées par l'application de la même règle vis-à-vis des personnes : les victimes de cette approche, déterminant la nature de leurs sentiments, disent souvent qu'elles se sentent comme une chose.

La personne-acheteur utilise l'autre personne comme source, ne se souciant pas de ses sentiments et n'étant pas zélée pour donner quelque chose à la place. Si la victime se rend compte qu'il y a quelque part un piège et ne peut pas continuer ainsi, elle essaiera, dans la mesure du possible, de rompre le lien avec l'acheteur dès que possible.

Mais, malheureusement, il n'est pas toujours possible d'évaluer la situation avec un esprit ouvert, et il n'est pas rare qu'une personne vive toute sa vie aux côtés de l'acheteur - souffrant, tourmentant, mais "continuant à manger un cactus" comme une souris d'une blague notoire. Parfois indignée à voix haute, parfois silencieusement inquiétante (et alors l'absence de plaintes de sa part sera l'argument principal de l'acheteur s'il veut justifier son comportement aux yeux des autres).

Attitude du consommateur envers un homme

Dans une société patriarcale, la fonction de chef de famille est généralement attribuée à l'homme, tandis que la femme est soumise à ses décisions. Il semblerait qu'un homme bénéficie d'une situation extrêmement privilégiée, mais il y a aussi un inconvénient à la médaille : de tels rôles sociaux effacent progressivement les traits de personnalité de l'épouse et du conjoint, les amenant dans le cadre clair des normes patriarcales.

C'est dans des familles similaires que les deux côtés souffrent plus souvent que tout le monde, et le malheur du conjoint réside généralement dans le fait qu'il est perçu principalement comme une source de revenus, de commodité et de bien-être familial, et non comme une personne vivante avec ses propres émotions, besoins et désirs. Malheureusement, l'amour dans de tels mariages est soit initialement absent, soit s'estompe rapidement dans le 2ème plan et s'estompe lentement.

A un certain stade, le conjoint commence à comprendre que son rôle dans la famille se réduit de préférence à un soutien physique.

C'est bien quand un homme a la chance d'offrir à sa femme un cadeau précieux ou de payer des vacances en famille, mais c'est mal si :

en retour il ne reçoit absolument rien et jamais ;
tous les cadeaux et surprises sont pris pour acquis ;
la réaction d'une femme à l'absence d'une autre présentation coûteuse s'exprime par le ressentiment, l'irritation, l'incompréhension ;
la communication avec un conjoint est réduite à des reproches et à des exigences unilatérales («il faut», «c'est votre devoir», «l'homme paie pour tout», etc.).

Dans cette situation, le conjoint doit réaliser s'il est prêt à endurer une telle attitude envers lui-même toute sa vie.

Malheureusement, il est difficile de rééduquer un adulte, et si un certain scénario a été mis dans la tête d'une femme depuis l'enfance, dans lequel il y a une place pour le consumérisme, mais il n'y a pas de place pour le respect mutuel, le soutien, la sympathie et la responsabilité individuelle, il est peu probable qu'il soit possible de changer son approche de la question à l'aide de conversations, de demandes ou de querelles.

Cependant, une telle vision du rôle masculin dans les relations est parfois développée chez une femme plus étroitement liée au mariage, du fait que le conjoint est le premier à la traiter comme une consommatrice - prive le droit d'un vote consultatif lors de la prise de décisions importantes et exige l'accomplissement inconditionnel de fonctions « normalement féminines » (élever des enfants, travailler autour de la maison, etc.), les obligeant ainsi à se traiter de la même manière.

Attitude des consommateurs envers les femmes

De nombreux maris ne remarquent même pas à quel point ils traitent leur mari comme un consommateur, créant des données dans la famille qui sont plus caractéristiques des relations d'esclaves que des relations amoureuses. Ces hommes ne se soucient certainement pas du bien-être de la femme ou de sa relation avec les autres, ils ne se soucient pas d'aider son mari à résoudre les problèmes et les problèmes quotidiens. L'essentiel est qu'il y ait de l'ordre à la maison, que la nourriture soit préparée et que les enfants soient élevés, et tout cela devrait se dérouler aussi probablement que possible sans la participation des hommes.

Leurs femmes peuvent se plaindre énormément sur les forums, auprès de leurs amis autour d'une tasse de thé ou dans un cabinet de psychologue du détachement, de l'indifférence et de l'incompréhension de leurs maris, mais des conversations avec le "coupable de la fête", comme d'habitude , n'apporte pas de résultat positif. Si un homme voit dans une femme non pas une figure avec ses propres convictions, habitudes et désirs, mais une esclave qui doit mettre sa vie pour satisfaire ses caprices, il peut être très difficile d'obtenir une attitude adéquate et le respect de soi.

Et au loin, un tel arrangement n'est pas toujours dû au rang social ou au salaire élevé d'un homme (bien que ces facteurs, inconditionnellement, affectent souvent l'équilibre intra-familial) : cas où un conjoint qui gagne un ordre de ampleur inférieure à celle de sa femme et a beaucoup de temps libre a encore du mal à se déplacer sur elle tous les services de la maison, se trouvent tout le temps. Très souvent, les bases d'une telle attitude sont posées dès la petite enfance, car tous les parents ne sont pas en mesure de se rendre compte à temps qu'ils élèvent un acheteur.

Que faire si l'enfant montre une attitude de consommateur envers les gens?

Pourquoi un enfant devient-il client ?

En grande partie à cause des parents, qui choisissent de voir leur bébé plus obéissant que proactif. En conséquence, l'infantilisme inculqué dans l'enfance persiste pendant de longues années. Si votre fils ou votre fille d'un an traite ses parents (et tout adulte avec qui il entre en contact) comme une source d'avantages, il ne sert à rien de blâmer l'enfant - étant à un stade précoce de formation, il ne comprendre d'où et à quel prix ils proviennent de ces prestations.

Mais si une telle situation se répète à un âge plus conscient - la maternelle, l'école ou même l'âge adulte - c'est faux.

Par conséquent, il convient dès le plus jeune âge de laisser aux enfants la possibilité de prendre des décisions indépendantes (même à ce niveau minimal, accessible et inoffensif à leur âge) et de leur donner la possibilité d'aider leurs parents afin que l'échange d'avantages est à double sens. Ainsi, vous pourrez inculquer à votre fils ou à votre fille des valeurs plus fondamentales que des valeurs de consommation - ils pourront apprécier l'importance de l'entraide et de la compassion, apprendre à faire preuve de respect et de gratitude.

Quant à certaines responsabilités, elles sont déterminées par les circonstances: dès le plus jeune âge, il peut être possible de soutenir les parents autour de la maison, à l'adolescence - un travail à temps partiel (afin d'avoir de l'argent de poche gagné de sa propre main). C'est le seul moyen de surmonter l'égocentrisme inhérent en partie à l'enfant tout entier.

Il est très facile de gâter les enfants, ils ont tendance à prendre le thé comme une évidence. Et si, pour une raison quelconque, les parents se sentent coupables (par exemple, ils craignent qu'à cause de leur travail, ils consacrent trop peu de temps à l'enfant en pleine croissance) et essaient régulièrement d'"acheter" des cadeaux, l'enfant formera rapidement une perception correspondante de la famille en tant que groupe d'adultes obligés de lui plaire est invariable chez chacun, malgré les exigences personnelles et les circonstances extérieures.

Le problème de l'attitude des consommateurs envers la vie

Grandissant avec l'idée que chacun doit être considéré avant tout comme une source de bénédictions pour la vie, l'enfant-acheteur connaît des accrocs importants dans sa vie d'adulte lorsqu'il communique avec des amis, des parents et des collègues. C'est ainsi que surgissent des femmes qui ne regarderont même pas un homme s'il ne commence pas à les remplir de cadeaux coûteux ou ne prouve pas son haut rang social, et des hommes qui assignent aux femmes le rôle de domestiques.

Il est pratiquement irréaliste de changer la figure formée (les exceptions les plus rares ne font que confirmer la règle générale), donc, dès l'enfance, il faut apprendre aux enfants à dépasser les valeurs de consommation.

La plupart des hommes veulent « avoir » une femme sans trop d'efforts de leur part. Ils veulent profiter de tout ce que la beauté donne, sans les chagrins que la bataille apporte. Dans cette jouissance d'une femme à ses dépens réside la nature vicieuse de la pornographie. La pornographie est le désir d'un homme d'être dynamisé par une femme ; il les usages elle se sente comme un homme. C'est une force imaginaire, comme je l'ai dit, car elle dépend de sources extérieures, au lieu de venir du plus profond du cœur. Et c'est le comble de l'égoïsme. Un tel homme n'offre rien, mais prend tout. L'histoire de Juda et Tamar nous parle de ce type d'homme. Si vous ne saviez pas que cette histoire est racontée dans la Bible, vous pourriez penser que je l'ai tirée d'une série télévisée.

Judas était le quatrième fils de Jacob. Vous devez vous souvenir de lui comme de l'homme qui a eu l'idée de vendre son frère Joseph en esclavage. Judas lui-même avait trois fils. Lorsque le fils aîné a grandi, Juda lui a trouvé une femme nommée Tamar. Pour des raisons qui ne nous ont pas été entièrement révélées, leur mariage a été de courte durée. « Er, le premier-né de Juda, déplaît aux yeux de l'Éternel, et l'Éternel le tua » (Gen. 38 : 7). Juda a donné à Tamar son deuxième fils comme mari, comme l'exigent la loi et les coutumes de l'époque. Onan a été obligé d'accoucher et d'élever des enfants qui porteraient le nom de son frère, mais il a refusé de le faire. C'était un homme fier et égoïste qui a mis le Seigneur en colère, alors « Il l'a tué aussi » (Gen. 38 :10). Vous comprenez probablement déjà l'idée générale : lorsqu'un homme se comporte comme un égoïste et qu'une femme souffre, Dieu se met en colère.

Judas a encore un fils - Shelah. Ce garçon était son dernier fils, donc Juda n'avait aucun désir de le donner à Tamar. Alors il lui a menti et l'a renvoyée chez elle, disant que quand Shéla serait assez vieux, il la lui donnerait comme mari. Il ne l'a pas fait. Ce qui a suivi est difficile à croire, surtout si vous pensez que Tamar était une femme vertueuse. Elle se déguisa en prostituée et s'assit au bord de la route par laquelle Judas devait passer. Il couchait avec elle (l'utilisait) mais ne pouvait pas payer ses services. Tamar a pris son sceau, sa fronde et sa canne en garantie. Après un certain temps, il s'est avéré que Tamar était enceinte ; Judas, en apprenant cela, était rempli d'une juste colère. Il insiste pour qu'elle soit brûlée, tandis que Tamar présente des preuves contre lui. "... Découvrez à qui appartient le sceau, la fronde et la canne." Judas a été condamné. Il n'a pas seulement appris à connaître ses affaires - il a réalisé ce qu'il faisait tout ce temps. "... Elle a plus raison que moi, parce que je ne l'ai pas donnée à Shéléa, mon fils" (Gen. 38 : 25-26).

Ce récit édifiant nous montre ce qui se passe lorsqu'un homme refuse égoïstement d'exercer son pouvoir pour une femme. Mais nous voyons des choses comme ça tout le temps. Les belles femmes sont constamment soumises à ce genre de violence. Ils sont atteints, mais pas comme il se doit ; elles sont désirées, mais le sentiment est superficiel. Ils apprennent à offrir leur corps, mais n'essaient jamais d'offrir leur âme. La plupart des hommes, comme vous pouvez le voir, se marient pour se sentir en sécurité ; ils choisissent une femme à côté de laquelle ils se sentent comme de vrais hommes et qui ne les oblige pas à se comporter d'une manière digne d'un vrai homme. Un jeune homme qui suscite mon admiration est aux prises avec ses sentiments pour deux femmes : il sort avec l'une en ce moment, et avec l'autre il n'a pas pu obtenir la réciprocité il y a plusieurs années. Rachel, la femme avec qui il sort, exige beaucoup de lui ; franchement, il sent qu'il ne peut pas lui donner ce qu'elle demande. Julia, une femme dont il n'a pas pu obtenir la réciprocité, lui semble un couple plus convenable ; dans son imagination, il lui semble plus parfait. La vie à côté de Rachel n'est pas calme ; la vie à côté de Julia semble promettre la paix et la tranquillité. "Tu veux vivre aux Bahamas, dis-je. Et Rachel est comme l'océan Atlantique pour toi. Laquelle a besoin d'un vrai homme ?" En changeant étonnamment le script, Dieu fait que nos plans pour notre propre sécurité se retournent contre nous et nous demande de faire preuve de courage.

Pourquoi les hommes n'offrent-ils pas à leurs femmes ce qu'elles ont ? Parce qu'ils sentent que ce ne sera pas suffisant. Après la chute, une sorte de vide s'est formé dans l'âme d'Eve, et peu importe combien vous lui donnez, vous ne pouvez pas combler ce vide. Beaucoup d'hommes trébuchent là-dessus. Soit ils refusent de donner à une femme ce qu'ils peuvent, soit ils donnent et donnent et se sentent toujours comme des échecs, car elle a encore besoin de plus. "Voici trois insatiables", prévient Agur, le fils de Iakeev, "et quatre qui ne diront pas : 'Assez ! Proverbes 30 : 15-16). N'espérez même pas combler le vide d'Ève. Elle a besoin de Dieu plus que vous n'en avez besoin, tout comme vous avez besoin de lui plus que d'elle.

Alors, que devrais-tu faire? Offrez-lui ce que vous avez. « J'ai peur que ça ne marche pas », m'a dit un patient quand je lui ai conseillé de se rapprocher à nouveau de sa femme. "Elle a cessé de croire que je pouvais lui donner quelque chose", a-t-il admis, "et c'est bien." "Non, non," dis-je, "c'est affreux!" Il se dirigeait vers l'ouest pour rencontrer tous ses proches, et je lui ai suggéré d'emmener sa femme avec lui et de transformer ce voyage en vacances pour eux deux. "Tu dois faire le premier pas vers elle." « Et si je ne peux pas le faire ? » - Il a demandé. Tant d'hommes se posent la même question. Qu'est-ce qui ne fonctionnera pas ? Elle ne t'appréciera pas en tant qu'homme ? Ne peux-tu pas ressusciter ses sentiments ? Comprenez-vous maintenant que vous ne pouvez pas venir avec votre question à Eve ? Peu importe à quel point vous êtes courageux, vous ne pourrez pas la satisfaire. Si vous vous attendez à ce qu'elle apprécie votre force, vous obtiendrez inévitablement deux points. Mais vous ne l'aimez pas du tout car elle vous donnera des notes élevées. Vous l'aimez parce que vous avez été créé pour cela, c'est ce que font les vrais hommes.

Eve pour Adam

Mon amie Jen a dit que si une femme vit selon sa nature, elle deviendra "courageuse, vulnérable et elle aura mauvaise réputation". C'est le grand cri des « femmes ecclésiastiques » que nous prenons comme modèle de la féminité chrétienne. Ces femmes occupées, fatiguées et inflexibles ont réduit la vie de leur cœur à quelques désirs et prétendent qu'elles vont très bien. Comparez-les avec des femmes dont les noms sont inscrits dans la généalogie de Jésus-Christ. Dans une liste de presque tous les hommes, Matthieu en mentionne quatre : Tamar, Rahab, Ruth et la "femme d'Urie" (voir : Matthieu 1 : 3, 5-6). Le fait que Bethsabée ait été incluse dans cette liste, mais que son nom n'ait pas été nommé, suggère que Dieu était mécontent d'elle, mais qu'il appréciait hautement les trois femmes pour lesquelles il a fait une agréable exception en plaçant leurs noms sur la liste des hommes. Tamar, Rahab et Ruth... Cette liste nous donnera une nouvelle compréhension de la "compréhension biblique de la féminité".

Nous connaissons déjà Tamar. Dans l'épître aux Hébreux (ch. 11) Rahab est appelé « témoigné dans la foi » pour avoir commis une haute trahison. C'est vrai, elle abritait les espions qui venaient faire la reconnaissance à Jéricho avant de prendre la ville. Je n'ai jamais entendu parler de Tamar ou Rahab dans un groupe d'étude biblique pour femmes. Et Ruth ? Elle est souvent utilisée comme exemple dans de telles classes, mais elle n'est pas présentée comme le Seigneur nous l'a montré. Le livre de Ruth se concentre sur une question : comment une femme vertueuse aide-t-elle son mari à être un vrai homme ? Et la réponse est : elle le séduit. Elle utilise tous ses charmes féminins pour l'inciter à se comporter comme un homme. Comme vous vous en souvenez, Ruth était la belle-fille de Naomi la Juive. Toutes deux avaient perdu leur mari et se trouvaient dans une situation très déplorable ; ils n'avaient pas d'hommes pour s'occuper d'eux, ils sont pratiquement devenus des mendiants et, à bien d'autres égards, leur situation était très vulnérable. Cela a commencé à s'améliorer lorsque Ruth a été remarquée par un riche célibataire nommé Boaz. Nous savons que Boaz était un homme vertueux. Il offrit à Ruth sa protection et de la nourriture. Mais Boaz ne lui a pas donné ce dont elle avait vraiment besoin : une alliance.

Alors qu'est-ce que Ruth a fait ? C'était comme ça : pour récolter une bonne récolte, les gens travaillaient dès l'aube jusqu'à tard dans la nuit ; quand ils ont fini leur travail, ils ont organisé une fête à ce sujet. Ruth à ce moment-là a oint son corps d'encens, a mis une robe magnifique et a commencé à attendre le bon moment. Un tel moment arriva tard dans la nuit, alors que Boaz s'était déjà un peu régalé avec un verre : « Boaz mangea et but, et réjouit son cœur... » (Ruth 3 : 7). L'expression « acclamé le cœur » est utilisée ici pour les lecteurs conservateurs. En fait, il était ivre, et la preuve en fut ce qu'il fit après cela : il s'endormit inconscient. "... Et il alla se coucher à côté de la pile" (Ruth 3:7). Ce qui s'est passé ensuite ne peut être qualifié que de scandaleux ; dans le même verset, nous lisons : « Et elle [Ruth] vint doucement, s'ouvrit à ses pieds et se coucha.

Le comportement de Ruth décrit dans ce passage n'est en aucun cas « discret » ou « décent ». C'est une pure tentation - mais le Seigneur la considère digne d'être imitée, car l'histoire de Ruth est mise en évidence dans un livre séparé, inclus dans la Bible, et son nom est inscrit dans la généalogie de Jésus-Christ. Bien sûr, il y aura des gens qui essaieront de vous dire qu'il était assez courant pour une belle femme "de cette époque" de s'approcher d'un homme seul (qui était ivre) au milieu de la nuit et de ramper sous sa couverture . Ces mêmes personnes vous diront que le Cantique des Cantiques n'est rien de plus qu'« une métaphore théologique nous montrant la relation entre le Christ et son Épouse ». Demandez-leur comment il faut comprendre de tels versets : « Ce camp est comme un palmier, et tes seins sont comme des grappes de raisin. 8-9). Nous analysons la Bible, n'est-ce pas ?

Non, je ne pense pas que Ruth et Boaz ont fait l'amour cette nuit-là ; Je ne pense pas qu'ils se comportaient de manière inappropriée. Mais je ne pense pas qu'ils aient eu un dîner amical ce soir-là non plus. Je veux vous dire que l'église paralyse les femmes lorsqu'elle leur dit que leur beauté est vaine et que leur féminité se manifeste le mieux lorsqu'elles « servent les autres ». Une femme démontre ses meilleures qualités lorsqu'elle se comporte comme une femme. Pour que Boaz passe à l'action, il fallait le pousser légèrement, et Ruth avait plusieurs options. Elle pouvait le taquiner : « Vous continuez à travailler et à travailler. Pourquoi ne vous arrêtez-vous pas et ne vous montrez-vous pas comme un vrai homme ? » Elle pouvait lui demander en larmes : "Boaz, pah-a-a-luista, n'hésite pas, épouse-moi." Elle pouvait douter de sa masculinité : « Je pensais que tu étais un vrai homme, je suppose que j'avais tort. Mais pour que Boaz se montre comme un vrai homme, elle a agi comme une vraie femme. Elle est apparue devant lui, inspirée, incitée à l'action... séduite. Femmes, demandez à vos hommes ce qu'ils préfèrent.

C'est une bataille

Vous battrez-vous pour elle ? C'est la question que Jésus m'a posée il y a de nombreuses années, à la veille de notre dixième anniversaire de mariage avec Stacy, tout comme je me demandais ce qui est arrivé à la femme que j'ai épousée. "Tu attends ton heure, John,- il a dit. - Vous devez décider de quelque chose." Je savais ce qu'Il voulait dire : arrêtez d'être un gentil garçon et comportez-vous comme un guerrier. Sois un homme. J'ai offert des fleurs à Stacey, je l'ai emmenée au restaurant ; J'ai essayé de raviver les sentiments fanés dans mon cœur. Mais je savais que quelque chose de plus était exigé de moi. Cette nuit-là, avant d'aller au lit, j'ai prié pour Stacy d'une manière que je n'avais jamais priée auparavant. Publiquement, devant tous les hôtes célestes, j'ai déclaré que je me battrais pour elle contre les forces des ténèbres qui l'attaquent. Pour être honnête, je ne comprenais pas très bien ce que je faisais, je voulais juste accepter le défi du dragon. L'enfer est tombé sur nous. Cette nuit-là a commencé la bataille spirituelle sur laquelle Stacey et moi avions tant lu. Sais tu ce qu'il s'est passé? Stacey a retrouvé la liberté. Dès que j'ai commencé à me battre vraiment pour ma femme, la tour de sa dépression s'est effondrée.

Il est nécessaire non seulement de résister une fois à la bataille, mais d'aller se battre encore et encore. C'est cette vérité qui nous déconcerte. Certains hommes sont prêts à se battre une fois, une autre, peut-être même une troisième. En fait, un guerrier doit être constamment prêt au combat. Oswald Chambers nous demande : « Le Seigneur a sacrifié la vie de son Fils pour que le monde soit sauvé, mais êtes-vous prêt à sacrifier la vôtre ? Daniel mène une bataille très difficile pour sa femme, et la fin de cette bataille n'est pas encore en vue. Depuis plusieurs années maintenant, il n'a pratiquement pas progressé, ses espoirs s'amenuisent. Hier soir, alors que nous étions assis avec lui dans un café, il avait les larmes aux yeux, et voici ce qu'il a dit : "Je ne peux pas bouger. Près de cet obstacle, je suis destiné à mourir." Il est arrivé au point où tôt ou tard nous devrions tous être, quand il n'est plus question de victoire ou de défaite. Sa femme peut ou non réagir à ses actions. Ce n'est plus la chose la plus importante. La question est : quel genre d'homme veux-tu être ? Maxime ? Wallace ? Ou Judas ? En 1940, un jeune pilote de l'armée de l'air britannique, à la veille de son dernier vol, écrivait les lignes suivantes : « Le monde est si grand et si vieux que l'existence d'une personne ne peut être confirmée que s'il sacrifie sa vie.

Aujourd'hui, Stacey et moi avons assisté au mariage de nos amis. Ce mariage était le meilleur auquel nous ayons assisté - magnifique, romantique et pieux. Le marié était jeune, fort et courageux ; la mariée était d'une beauté séduisante. Ce sont ces circonstances qui ont été si douloureuses pour moi. Comme ce serait formidable de tout recommencer, de tout faire correctement, d'épouser un jeune homme, sachant ce que je sais maintenant. J'aurais pu aimer Stacey plus, avec plus de dévouement, avec plus d'altruisme ; et elle pourrait m'aimer plus, plus tendrement, plus chaud. Pendant ces dix-huit années, chaque leçon que nous avons apprise nous a été donnée avec beaucoup de difficulté. Toutes les connaissances que je partage avec vous sur ces pages ont été chèrement payées. Le week-end dernier, ma relation avec Stacey était en danger et une étincelle a jailli entre nous. Satan a profité de l'occasion et a réussi à transformer cette étincelle en flamme, bien que ma femme et moi ne nous soyons pas dit un mot. Et aujourd'hui, au moment où nous sommes arrivés au banquet, je n'avais plus envie de danser avec elle. Je ne voulais même pas être dans la même pièce qu'elle. Il semblait que notre mariage ne nous apportait que douleur et déception.

Ce n'est que plus tard que j'ai compris comment Stacey percevait tout ce qui nous arrivait, et c'est ce que chacun de nous ressentait. Stacy : "Il est déçu de moi. Et ce n'est pas surprenant. Il suffit de regarder toutes ces belles femmes. Je me sens grosse et effrayante." JE SUIS: "Je suis tellement fatigué de me battre pour notre mariage. J'aimerais pouvoir recommencer. Ce ne serait pas si difficile. Il y a d'autres options. Regardez toutes ces belles femmes." Ces pensées revinrent et revinrent comme des vagues venant en sens inverse. J'étais assis à table avec des amis et j'ai soudain senti que j'étouffais; Je devais sortir de là, respirer de l'air frais. Pour être honnête, quand j'ai quitté le banquet, je n'avais absolument aucune intention d'y retourner. Cette soirée aurait pu se terminer pour moi soit au bar, soit à la maison devant la télé. Mais heureusement, j'ai trouvé une petite bibliothèque à côté de la salle de banquet ; Seul, dans ce refuge, j'ai lutté avec tous mes sentiments, qui m'ont tourmenté, m'a-t-il semblé, pendant environ une heure. (Peut-être pas plus de vingt minutes.) J'ai attrapé le livre, mais je ne pouvais pas lire, j'ai essayé de prier, mais je ne voulais pas prier. Enfin, quelques mots ont commencé à naître dans mon cœur :

Jésus viens me sauver. Je sais ce qui se passe ; sachez que c'est l'attaque de Satan. Mais en ce moment mes sentiments me semblent si sincères. Jésus, libère-moi. Ne laissez pas ce ruisseau m'emporter. Parle-moi, sauve mon cœur avant que je fasse quelque chose de stupide. Purifie mon âme, Seigneur.

Lentement, d'une manière incompréhensible, la vague s'est calmée. La passion s'est calmée. La clarté des pensées est revenue. L'étincelle est redevenue une étincelle. « Jésus, tu connais la douleur et la déception qui tourmentent mon cœur. Que dois-je faire ?(Le bar ne m'attirait plus, mais j'avais quand même prévu de rentrer chez moi et de passer le reste de la soirée dans ma chambre.) "Je veux que tu reviennes et que tu demandes à ta femme de danser." Je savais qu'il avait raison ; Je savais que quelque part dans mon cœur je voulais ça. Mais ce désir semblait encore si faible. J'ai hésité quelques minutes de plus, espérant qu'Il me proposerait de faire autre chose. Il était silencieux, mais l'attaque du diable s'est arrêtée et il ne restait que des charbons du feu. Je savais à nouveau quel genre d'homme je voulais être.

Je suis retourné dans la salle de banquet et j'ai demandé à Stacy de danser ; les deux heures suivantes que nous avons passées pendant ces vacances ont été les plus belles depuis longtemps. J'ai failli perdre cette bataille contre le malin ; mais cela ne s'est pas produit, et maintenant je vais partager cette histoire avec des amis pendant très longtemps.

Conclusion

Stacey m'a offert de nombreux cadeaux merveilleux au fil des ans, mais je n'oublierai jamais celui qu'elle m'a offert à Noël dernier. Nous avions déjà ouvert tous les cadeaux quand Stacey s'est soudainement glissée hors de la pièce en disant : « Fermez les yeux… J'ai une surprise pour vous. Après des bruissements et des chuchotements prolongés avec ses fils, elle m'a dit que je pouvais ouvrir les yeux. Une longue boîte rectangulaire gisait sur le sol devant moi. « Ouvrez-le », a déclaré Stacey. J'ai retiré le ruban et soulevé le couvercle. La boîte contenait une véritable vieille épée large, une épée écossaise, exactement la même que celle de William Wallace. Je cherchais une telle épée depuis des mois maintenant, mais Stacey ne le savait pas. Ce n'était pas sur la liste des cadeaux que je voulais pour Noël. Elle l'a acheté, obéissant au mouvement de son cœur, essayant ainsi de me remercier du fait que je me bats pour elle.

Voici ce qui était écrit sur la carte :

Ce cadeau est pour un homme au cœur courageux qui se bat pour le cœur de tant de gens... et surtout le mien. Grâce à vous, j'ai retrouvé une liberté dont je ne pouvais même pas rêver. Joyeux Noël à toi.

VIVEZ L'AVENTURE

Affaiblir le souffle du froid;
De la glace de la souffrance des âges
Libérés, ils se mirent en mouvement.
Et le craquement bruyant des banquises flottantes
Nous promet une émeute d'eaux de source.
Loué soit le Créateur, notre époque est telle
Ce mal sous de nombreux déguisements
Chaque instant nous rattrape
Jusqu'à ce que nous nous engagions
Cet envol grandiose de l'âme
Ce qu'aucune comparaison ne peut être trouvée.*

Christophe Fry

Le Seigneur vous appelle à un endroit où étancher la soif du monde vous apportera de la joie.

Frédéric Buchner

Une rivière serpente dans le sud de l'Oregon, provenant de la chaîne de montagnes des Cascades et se jetant vers la côte. Cette rivière de mon enfance qui s'est frayée un chemin dans les gorges profondes de ma mémoire. Quand j'étais petit garçon, j'ai passé de nombreuses journées d'été sur la rivière Rog, à pêcher, nager et cueillir des baies; même si la plupart du temps j'allais à la pêche. J'aime le nom donné à cette rivière par les chasseurs français - "Coquine". Ce nom était une sorte de bénédiction pour mes aventures - j'étais un farceur sur la rivière Rog. **

* Traduit par N. Bobrova.
** Le nom anglais de la rivière Rogue est traduit par « vilain, vilain ». - Noter. par.

Quelque part entre le cottage de Morrison et Foster Bank, une falaise surplombe cette rivière. À ce stade, le canyon se rétrécit, la rivière devient plus profonde et plus calme avant de se jeter dans la mer. Les hautes pentes de la falaise surplombent des deux côtés de la rivière, et du côté nord - qui ne peut être atteint que par bateau - la falaise s'appelle Jumping. Toute la famille aime vraiment sauter dans l'eau depuis des falaises abruptes, surtout quand le temps est sec et chaud, et le saut promet d'être assez long pour vous couper le souffle, quand, après avoir passé une couche d'eau chaude, vous plongez dans un endroit où il fait sombre et froid, donc il fait froid que, essoufflé, vous tenterez de ressortir au plus vite vers le soleil. Jumping Cliff s'élève au-dessus de la rivière à environ la hauteur d'une maison à deux étages; il est suffisamment haut pour que vous puissiez compter jusqu'à cinq avant de toucher l'eau (en sautant d'une tour dans votre piscine locale, vous pouvez à peine compter jusqu'à deux). Étonnamment, les rochers semblent être deux fois plus hauts lorsque nous regardons en bas avant de sauter et chaque cellule de notre corps dit : "N'y pense même pas."

Par conséquent, vous ne réfléchissez pas, mais vous vous forcez à gravir la pente raide et à profiter de la chute libre, qui dure si longtemps qu'il vous semble que pendant ce temps vous pourriez vous lire "Notre Père". Lorsque vous plongez dans l'eau froide, tous vos sens sont exacerbés, et lorsque vous faites surface, votre famille vous accueille joyeusement, et quelque chose en vous est également heureux, car Tu l'as fait. Ce jour-là, nous avons tous sauté : d'abord moi, puis Stacy, Blaine, Sam et même Luke. Et un type en bonne santé et maladroit qui était sur le point de descendre, voyant de quelle hauteur il devrait voler ; mais il a quand même sauté, car, après avoir regardé le saut de Luke, il ne pouvait pas vivre, sachant qu'il était lâche, qu'il ne pouvait pas faire ce que le garçon de six ans avait décidé de faire. Après le premier saut, vous devez sauter à nouveau - en partie parce que vous ne croyez pas que vous l'avez fait, et en partie parce que la peur cède la place au plaisir. Nous nous sommes baignés au soleil, puis ... nous nous sommes précipités à nouveau.

C'est comme ça que j'aimerais vivre toute ma vie. Je voudrais aimer encore plus passionnément, sans attendre d'être aimé en retour. Je voudrais me lancer tête baissée dans un travail créatif digne de Dieu. Je voudrais participer à la bataille de Bannockburn, marcher sur l'eau après Pierre, qui a répondu à l'appel de Jésus, prier pour l'accomplissement du vrai désirs votre cœur. Comme l'a dit le poète George Chapman,

Donne-moi l'esprit qui est sur la mer orageuse de cette vie
Aime les vents forts pour souffler ses voiles.
Même si son pont craque et que les mâts fléchissent.
Et son navire tangue si fort d'un côté
Que vous puissiez ramasser de l'eau et voir comment la quille coupe l'air.

La vie n'est pas une tâche à résoudre, c'est une aventure à vivre. C'est son essence, et il en a toujours été ainsi depuis le début des temps, lorsque le Seigneur a écrit un scénario passionnant pour ce drame et a dit qu'il était bien. Dieu a arrangé le monde de telle manière qu'il ne s'ouvre à nous que lorsque risque devient le leitmotiv de notre vie, et cela, à son tour, n'arrive que lorsque nous vivons par la foi. Un homme ne sera pas heureux tant que son travail, son amour et sa vie spirituelle ne seront pas une aventure pour lui.

Bonne question

Il y a plusieurs années, je feuilletais l'introduction d'un livre et je suis soudainement tombé sur une proposition qui a changé ma vie. Dieu nous approche d'une manière très individuelle et parle à nos cœurs d'une manière très spéciale pour tout le monde - non seulement avec l'aide de la Bible, il utilise toute la création pour cela. Il parle à Stacy à travers des films. Avec Craig à travers le rock and roll (pas plus tard qu'hier, il m'a appelé et m'a dit que la chanson "Running Through the Jungle" l'avait inspiré à lire la Bible). La parole de Dieu me vient de différentes manières - lorsque je regarde le lever du soleil, que je discute avec des amis, que je regarde des films, que j'écoute de la musique, que je me détends dans la nature ou que je lis des livres. Mais c'est surtout drôle avec les livres. En déambulant dans une brocante, je peux soudain « entendre » comment l'un des mille volumes semble me dire : « Prends-moi », comme l'écrivait Augustin dans sa « Confession » : péagejambe- Prends-le et lis-le. En tant que pêcheur qualifié, Dieu jette une canne dans l'eau où nage la truite. Dans l'introduction d'un livre que j'ai emprunté ce jour-là, l'auteur (Jill Bailey) a partagé quelques conseils de son guide spirituel aux lecteurs :

Ne demandez pas ce dont le monde a besoin. Demandez-vous ce qui vous ramène à la vie et faites-le, car le monde a besoin de personnes qui renaissent.

Cette phrase m'intéressait tellement que j'étais engourdi d'étonnement. Soudain, j'ai réalisé à quel point toute ma vie avait été dégoûtante jusqu'à ce point ; J'ai réalisé que je vivais d'un scénario écrit pour moi par quelqu'un d'autre. Toute ma vie, j'ai demandé au monde de me dire quoi faire. Ceci est fondamentalement différent de demander des conseils ou des conseils ; en fait, je voulais me libérer de mes responsabilités, et surtout de la nécessité de prendre des risques. Je voulais que quelqu'un d'autre me dise comment je devrais être. Dieu merci, cela n'était pas destiné à se réaliser. Je ne pouvais pas vivre longtemps selon le script qui m'a été remis. Il ne m'allait pas comme Saul était son arme. Le monde des poseurs n'a rien d'autre à vous offrir que de devenir vous-même poseur. Comme l'a dit Buchner, nous risquons constamment de devenir non pas des acteurs du drame de nos vies, mais des créatures expérimentales, « aller là où le monde nous dirige, suivre le courant avec tout ce qui se passe autour, essayer de suivre le rythme le plus fort." Après avoir lu les conseils donnés par Bailey, j'ai su que Dieu me parlait. C'était une invitation à quitter le pays d'Ur. J'ai posé le livre sans même regarder la page suivante et j'ai quitté le magasin pour partir à la recherche d'une vie digne d'être vécue.

J'ai postulé pour être admis à l'école doctorale et j'ai été accepté. Les études n'ont pas seulement contribué à l'évolution de ma carrière ; grâce aux changements qui se sont produits en moi dans le processus d'apprentissage, je suis devenu écrivain, psychologue et conférencier. Toute la trajectoire de ma vie a changé, et avec elle la vie de nombreuses autres personnes. Mais j'ai failli abandonner cette voie. Vous voyez, quand j'ai postulé, je n'avais pas un centime pour payer mes études. J'étais marié, j'avais trois enfants et j'ai dû payer des intérêts sur une hypothèque; pendant cette période de la vie, la plupart des hommes abandonnent complètement leurs rêves. Le risque leur paraît trop grand. De plus, à ce moment-là, j'ai reçu un appel d'une entreprise de Washington DC et m'a proposé un emploi qui promettait des revenus incroyables. Je me retrouverais dans une entreprise prestigieuse, évoluerais dans des cercles très influents et gagnerais beaucoup d'argent. De cette façon, le Seigneur a encore compliqué la situation en testant ma détermination. Un chemin a conduit à mon rêve, la réalisation de désirs pour lesquels je ne pouvais pas payer, et un avenir complètement incertain ; l'autre - au succès, à une progression de carrière confiante et à la perte complète de mon âme.

Ce week-end, je suis allé à la montagne pour mettre de l'ordre dans mes pensées. La vie semble plus compréhensible lorsque vous êtes seul au bord d'un lac de montagne avec une canne à pêche à la main. Lorsque j'ai gravi le Holly Cross Wilderness, il m'a semblé que je m'étais libéré de ma fausse image et de l'influence de ce monde. Le deuxième jour, le Seigneur me dit : « John, tu peux accepter cette offre si tu veux. Ce n'est pas un péché. Mais ce travail va te tuer, et tu le sais. Il avait raison; prendre ce travail signifiait accepter de vivre selon ma fausse image. " Si tu veux Me suivre,- Il a continué, - vous devez choisir un chemin différent." Je savais parfaitement de quoi Il parlait - "un autre chemin" menait à l'inconnu, à de nouvelles opportunités et perspectives. La semaine suivante, étonnamment, il y a eu trois autres appels. Le premier venait de cette entreprise de Washington ; Je leur ai dit que je ne convenais pas pour le poste et qu'ils devraient chercher quelqu'un d'autre. Quand j'ai raccroché, mon faux moi a crié : "Que faites-vous?!" Le lendemain, il y a eu un autre appel ; c'était ma femme. Elle a dit qu'ils ont appelé de l'école doctorale et m'ont demandé quand je paierais les premiers frais de scolarité. Le troisième jour, j'ai reçu un appel d'un vieil ami à moi qui priait pour moi et pour ma décision. "Nous pensons que vous devriez aller étudier", a-t-il dit, "et nous voulons payer vos études."

De deux routes à un carrefour dans la forêt
J'ai choisi le plus intact
Et après ça, tout a changé.

Qu'est-ce que tu attends?

Où serions-nous aujourd'hui si Abraham, après avoir écouté l'offre que Dieu lui a faite, pesait soigneusement le pour et le contre, et décidait qu'il serait mieux s'il restait à Ur, en gardant son assurance maladie, pendant trois semaines de congés payés et épargne-retraite ? Que se serait-il passé si Moïse avait obéi au conseil de sa mère de « ne jamais jouer avec des allumettes » et s'était comporté avec prudence et discrétion, évitant les buissons ardents ? Nous n'aurions pas eu l'évangile si Paul avait conclu que la vie du pharisien n'est peut-être pas l'incarnation de tous les rêves masculins, mais au moins elle est prévisible et certainement plus stable que celle qui l'attend s'il suit d'une voix qui J'ai entendu en allant à Damas. Après tout, les gens entendent souvent toutes sortes de voix, et qui sait si Dieu leur parle ou leur semble. Où serions-nous si Jésus-Christ n'était pas passionné, débridé et romantique ? Pensez au fait que nous n'existerions pas du tout si le Seigneur n'avait pas pris un risque énorme en créant l'homme.

La plupart des hommes dépensent leur énergie pour courir le moins de risques possible, pour les minimiser. Leurs enfants entendent « non » beaucoup plus souvent que « oui » ; leurs employés se sentent pieds et poings liés, tout comme leurs épouses. S'ils parviennent à sécuriser leur vie, à ne pas prendre de risques, ils se tissent un cocon et en même temps se demandent pourquoi ils n'ont rien à respirer. Si cela ne fonctionne pas, ils maudissent Dieu, redoublent d'efforts et subissent une pression accrue. Si vous regardez de plus près la fausse image qu'une personne essaie de créer, vous verrez qu'elle comporte toujours deux composantes : le désir d'augmenter sa compétence dans un domaine et le rejet de tout ce qui ne peut être contrôlé. Comme l'a dit David White, "Le coût de notre capacité de survie vient de la somme de toutes nos peurs."

Dans la Genèse, nous lisons que pour avoir tué son frère, le Seigneur a condamné Caïn à la vie d'un exilé et d'un vagabond ; après avoir lu cinq autres versets bibliques, nous apprenons que Caïn a construit la ville (voir : Gen. 4:12, 17). Le refus de croire en Dieu et le désir de tout garder sous votre contrôle sont en chaque homme. White discute de la contradiction entre le désir de pouvoir du faux soi au dessus ce qui se passe, pour contrôler tous les événements et leurs conséquences et le désir de l'âme de prendre le pouvoir grâce à Qu'est-ce qui se passe peu importe ce qui va se passer exactement. " Vous sacrifiez littéralement votre âme et votre vraie force alors que vous vous efforcez de tout contrôler, comme ce gars dans la parabole de Jésus nous l'a dit. Il décida qu'il ferait face aux difficultés de la vie, se débarrasserait de tous les problèmes en construisant de grands greniers, mais il mourut la nuit même (voir : Luc 12 : 16-20). « ... À quoi sert un homme s'il gagne le monde entier, mais endommage son âme ? » (Marc 8:36). Au fait, vous pouvez perdre votre âme bien avant de mourir.

Le biologiste canadien Farley Mowat avait un rêve : étudier la vie des loups dans leur habitat naturel, à l'état sauvage en Alaska. Le livre "Le loup qui ne pleure pas" est basé sur les impressions de son expédition de recherche. Mowat est devenu le prototype du protagoniste du livre, le professeur Tyler, un rat de bibliothèque qui avait très peu de compréhension de la vie lors de l'expédition. Tyler engage une pilote expérimentée d'Alaska, Rosie Little, pour l'emmener avec son équipement dans la vallée de Blackstone en plein hiver. Alors qu'ils volent dans un petit avion monomoteur sur l'un des terrains les plus beaux, les plus accidentés et les plus dangereux de la planète, Little interroge Tyler sur le but secret de son expédition :

Peu: Dis-moi, Tyler... qu'y a-t-il de si spécial dans cette Blackstone Valley ? Qu'est-ce qu'il y a ? Manganèse? (Silence.) Eh bien, certainement pas du pétrole. Peut-être de l'or ?
Tyler: Dur à dire.
Peu: Tu es un homme intelligent, Tyler... garde tes plans pour toi. Nous sommes tous des chercheurs d'or ici, n'est-ce pas, Tyler ? Nous sommes tous en train de creuser quelque chose... en regardant dans le sol...
(Après une pause.) Je vais te dire un secret, Tyler. L'or n'est pas dans le sol. Il n'y a pas d'or ici. L'or véritable est bien au sud, il trône dans son salon, contemple un tiroir et meurt d'ennui. Mourir d'ennui, Tyler.

Soudain, le moteur de l'avion émet plusieurs toux, puis il y a un crépitement, une respiration sifflante... et il se fige. On n'entend que le vent battre les ailes de l'avion.

Peu: (Avec un gémissement.) Oh, mon Dieu.
Tyler: Que s'est-il passé?
Peu: Prenez la barre.

Little remet le volant d'un avion à Tyler (qui n'a jamais piloté d'avion de sa vie) et commence nerveusement à chercher quelque chose dans une vieille boîte à outils entre les sièges. Incapable de trouver ce qu'il cherchait, Little commence à paniquer. En criant, il jette le contenu de la boîte sur le sol. Puis, tout aussi soudainement, il se calme, se frotte le visage avec ses mains.

Tyler: (Toujours paniqué et essayant de piloter l'avion.) Que s'est-il passé ?
Peu: Ennuyeux, Tyler. Ennuyeux... c'est ce qui s'est passé. Qu'est-ce qui peut battre l'ennui, Tyler ? Aventure. AVENTURE Tyler !

Sur ce, Little ouvre la porte de l'avion et disparaît pratiquement derrière, frappant quelque chose - peut-être un tuyau de carburant gelé. Le moteur redémarre juste au moment où ils ont failli s'écraser sur le flanc de la montagne. Little attrape le volant et dirige l'avion fortement vers le haut, atteignant presque le sommet de la montagne, puis vers le bas vers la magnifique vallée.

Rosie Little était peut-être folle, mais c'était un génie. Il connaissait le secret de l'âme masculine et le remède à la maladie qui le tourmentait. Trop d'hommes ont abandonné leurs rêves parce qu'ils ne voulaient pas prendre de risques, ou avaient peur de ne pas résister à l'épreuve, ou parce que personne ne leur disait que les désirs qui sont cachés au fond de leur âme, bon. Mais l'âme d'un homme, que Little appelle de l'or véritable, n'a pas été créée pour garder les choses sous contrôle ; il est fait pour l'aventure. Nous gardons de vagues souvenirs que lorsque le Seigneur a installé l'homme sur terre, il lui a confié une mission incroyable - il a donné à l'homme la permission d'explorer, de construire, de conquérir et de prendre soin de tout ce qu'il a créé. C'était une feuille blanche à remplir, une toile à peindre. Alors, très chers, Dieu n'a pas retiré sa permission. Nous l'avons toujours, et le monde s'attend à ce qu'un homme l'utilise.

Si vous aviez la permission de faire ce que vous vouliez, que feriez-vous ? Ne demande pas comment, ce faisant, vous tuerez votre désir. Comment- c'est la mauvaise question, la question d'une personne sans foi. Cela signifie ce qui suit : " Jusqu'à ce que je voie clairement mon chemin, je n'y croirai pas, je n'oserai pas le suivre. " Lorsque l'ange a dit à Zacharie que sa femme dans sa vieillesse lui donnerait un fils nommé Jean, Zacharie a demandé comment cela était possible, et pour cela il a été rendu muet. Question comment est sous la juridiction de Dieu. Il te demande : Quoi? Qu'est-ce qui est gravé dans ton cœur ? Qu'est-ce qui vous ramène à la vie ? Si vous pouviez faire ce que vous avez toujours voulu, ce serait quoi ? Vous voyez, la vocation d'un homme est gravée dans son cœur, et il ne peut découvrir ce que c'est que lorsqu'il cesse de contenir ses désirs les plus profonds. Pour paraphraser Bailey, je dirai : ne vous demandez pas ce dont le monde a besoin, demandez-vous ce qui vous ramène à la vie, car le monde a besoin Hommes, qui renaissaient à la vie.

Un restaurant. L'image est illustrative.

Dans la vie de certains couples, il arrive parfois un moment où un homme ne voit que du "bortsch" dans une femme et une femme dans un homme - seulement un "portefeuille". Cette attitude les uns envers les autres s'appelle le consumérisme. Nous vous dirons comment remarquer que la sincérité et la chaleur ont disparu d'une relation et comment les rendre.

Les relations de consommation deviennent lorsqu'un partenaire ne voit dans l'autre qu'une fonction capable de satisfaire certains de ses besoins.

Par exemple, une femme n'a besoin d'un homme que pour apporter de l'argent dans la maison, pour pouvoir réparer un robinet cassé ou pour détourner l'attention des pensées d'amour non partagé pour une autre. Et un homme a besoin d'une femme exceptionnelle pour qu'il y ait du confort à la maison, ou pour qu'il puisse sortir avec elle et tous ses amis sont aveuglés par sa beauté et envieux.

« En général, dans un sens global, le consumérisme n'est pas si mal. Le type de relation "compensation" s'est formé il y a des siècles, lorsque les fonctions de mari et de femme étaient fermement établies, - explique la psychologue Elena Lavrova. - Par conséquent, les femmes physiquement fortes ont été prises comme épouses afin qu'elles puissent donner naissance à une progéniture en bonne santé et bien travailler dans les champs. Dans une certaine mesure, cette fonctionnalité est importante et nécessaire."

En effet, si nous ne nous aimons tous que pour une âme frémissante et que personne ne fait rien, cela ne mènera pas au bien. "Mais si un être cher se transforme en fonction, alors la relation cesse d'être chaleureuse, sincère, harmonieuse et heureuse", conclut Elena Lavrova.

Pour éviter que cela ne se produise, nous vous dirons comment vous pouvez reconnaître que les partenaires se traitent mutuellement en tant que consommateur.

Signe 1 : échangez "vous - moi, je - vous"

"Je vais chercher l'enfant à la maternelle et tu sors les poubelles", "Tu peux aller dans un bar avec des amis, mais seulement si je suis dans un café avec des amis", "Achète-toi ce droïde, mais alors j'irai au spa toute la journée." ...

Dans la version masculine : « Je suis prêt à me suicider pendant des jours au travail et à faire carrière si vous prenez bien soin des enfants et maintenez l'ordre à la maison », « Je t'achèterai une voiture si tu as un enfant » , " Ne partons en vacances en mer que si on maigrit ".

Bien sûr, il est très utile d'avoir un accord sur la répartition des responsabilités des partenaires dans la famille.

"Mais si la liste imaginaire de ce qu'un mari ou une femme doit faire l'emporte sur la relation humaine habituelle entre eux, cela indique que l'autre personne est perçue exclusivement comme une fonction", explique Elena Lavrova.

Signe 2 : « vous devez / vous devez » exiger

Chaque personne a une idée du partenaire idéal. Par exemple, une femme est une femme qui cuisine, nettoie, a l'air bien, est douce, douce ou, au contraire, est une carriériste déterminée. Un homme est quelqu'un qui se soucie, fort, confiant, ou, au contraire, sensuel, attentionné.

Et chacun s'attend à ce que ces idées coïncident avec la réalité. Mais personne n'est obligé de correspondre aux idéaux des autres. "Dès que l'exigence" vous devez "apparaître, cela signifie qu'une personne ne peut pas être acceptée telle qu'elle est, mais est perçue comme une chose avec une certaine fonctionnalité qui doit fonctionner correctement", explique Elena Lavrova.

Si une femme est allergique à la poussière et ne peut pas faire le ménage, mais propose d'embaucher une femme de ménage avec son argent durement gagné, et que le mari s'y oppose catégoriquement, cela indique son attitude de consommateur.

Signe 3 : insatisfaction

Et, comme tout consommateur insatisfait de la qualité du produit acheté, une personne est prête à faire des réclamations : « Vous êtes une femme, pourquoi êtes-vous si grossière / bâclée / peu professionnelle ?

Il est clair qu'il n'y a pas de limite à la perfection, et ce n'est pas mal si un partenaire aide à se développer. Mais, vous devez en convenir, une personne aimante qui a peur de blesser un être cher choisira des formulations complètement différentes afin de souligner les lacunes et d'exprimer ses souhaits.

Signe 4 : négation des intérêts d'autrui

Un marqueur typique des attitudes des consommateurs au stade où la relation commence tout juste est la phrase "Je m'intéresse à toi et je t'aime bien, mais je ne suis pas prêt pour une relation sérieuse." Ou "Tu es si merveilleux, mais je viens de traverser un divorce difficile, donc je ne suis pas encore capable de sentiments profonds."

Beaucoup de femmes adhèrent à cela. Ils pensent que je serai si bon, flexible, qu'il changera probablement d'avis avec le temps. « Il y a un sens derrière cette phrase : donne-moi plus », est sûre Elena Lavrova.

Lorsque les personnes les plus proches et les plus importantes commencent à agacer, ... cela signifie que dans votre esprit, elles deviennent progressivement des choses conçues pour satisfaire vos désirs. Ils n'ont pas leurs propres désirs, aspirations d'idées. Leur mission est de vous apporter du confort. C'est ce qu'on appelle "l'amour du consommateur"...

Pour mieux comprendre ce qu'est "Consumer Love", regardons une vidéo incroyable. Après l'avoir regardé, vous comprendrez immédiatement ce que " l'amour du consommateur"Dans la vie de tous les jours.

Veuillez noter que cette vidéo montre la première étape de l'amour du consommateur - c'est lorsque les désirs et les aspirations des deux coïncident. La deuxième étape, c'est quand le moment est venu et qu'on vous demande de l'aide, mais cela ne faisait pas partie de vos plans...

Deux sortes d'amour du consommateur

Comme il s'avère l'amour du consommateur peut être conscient et inconscient.

Si le premier est clair. puis sur le second - pas tout à fait. Et cela se produit maintenant tout le temps : les jeunes commencent des relations étroites comme ça. Eh bien, parce que ce sont des sensations incroyablement étonnantes et que vous voulez les essayer le plus tôt possible, en oubliant complètement qu'une relation intime est une responsabilité pour une autre. De plus, de sorte que bien souvent, vous devez vous oublier complètement, vous soucier complètement de l'autre. Ça c'est le véritable amour.

Et toute relation étroite est un moyen facile et incroyablement fiable de devenir très attaché les uns aux autres. Dans le même temps, les jeunes ne prêtent pas beaucoup d'attention au fait que les relations étroites, qui ne sont pas initialement construites sur des bases sérieuses avec une perspective d'avenir, sont définitivement temporaires. Cela signifie qu'après un certain temps, en règle générale, 1,5 à 2 ans, vous devrez retirer les sentiments attachés profondément pénétrés dans le cœur, ce qui est très douloureux et triste. Et la fille sera encore plus importante - en règle générale, elle a besoin d'au moins 2-3 ans pour oublier l'amant passé ... Mais pourra-t-elle jamais l'oublier du tout? Cette question est particulièrement aiguë s'il s'agit du soi-disant premier amour ...

"Tout passe...
mais tout n'est pas oublié"
V.E. Mikhaltsev

Et c'est la chose la plus triste - ce n'est pas seulement le problème de la fille elle-même, mais aussi le prochain gars avec qui elle rencontrera et leur future famille. Pourra-t-elle l'aimer si fort et si fermement ?.. Et à qui pensera-t-elle dans les moments les plus intimes de la communication ? Ne se souviendra-t-il pas du passé ? .. Et s'il en est ainsi, le sera-t-il ? ...

Alors, cela vaut-il la peine de gâcher votre futur bonheur familial à cause d'une attraction passagère ? ..

Probablement, il est difficile de trouver une personne qui n'a jamais été confrontée à des manifestations d'attitude de consommation dans sa vie: quelqu'un a vécu tous ses « charmes » lors d'une expérience personnelle, devenant victime d'un consommateur, quelqu'un juste regardé de côté. Mais admettre que vous êtes vous-même un consommateur est beaucoup plus difficile.

Ceci est généralement rapporté par d'autres qui en ont assez d'essayer constamment de les utiliser.

Pour comprendre pourquoi votre mari est tellement exaspéré par le rôle de l'éternel « soutien de famille », pourquoi la femme s'offusque du manque d'attention et de respect de votre part, croyant que vous la traitez « comme une chose », et pour quelle raison, en général, est un enfant bien élevé, je n'ai pas appris les mots de gratitude, vous devez bien comprendre le problème.

Que signifie l'attitude du consommateur ?

La société moderne est souvent accusée d'adhérer au culte de la consommation : l'augmentation du niveau de bien-être social se manifeste souvent à l'extérieur uniquement comme la satisfaction des besoins des consommateurs.

Nous commençons à collectionner des choses parce que nous pouvons nous le permettre, et si un article tombe en panne, sans hésitation, nous le jetons et en achetons un nouveau - encore une fois, parce que nous pouvons nous le permettre !

On a beaucoup parlé des aspects négatifs de ce phénomène, mais tout n'est pas si effrayant tant qu'il s'agit d'objets inanimés, qui, quoi qu'on en dise, ont été créés pour être utilisés. Une préoccupation beaucoup plus sérieuse est l'utilisation du même principe par rapport aux personnes : les victimes de cette approche, déterminant la nature de leurs sentiments, disent souvent qu'elles se sentent comme une chose.

Un consommateur humain utilise une autre personne comme ressource, ne se souciant pas de ses sentiments et n'essayant pas de donner quelque chose en retour. Si la victime se rend compte qu'il y a quelque part un piège et ne peut pas continuer ainsi, elle essaiera de rompre le lien avec le consommateur dès que possible.

Mais, malheureusement, il n'est pas toujours possible d'évaluer objectivement la situation, et il n'est pas rare qu'une personne vive toute sa vie aux côtés du consommateur - souffrant, souffrant, mais « continuant à manger un cactus », comme un souris d'une anecdote notoire. Tantôt indignée à voix haute, tantôt silencieusement inquiétante (et alors l'absence d'allégations de sa part sera l'argument principal du consommateur s'il veut justifier son comportement aux yeux des autres).

Attitude du consommateur envers un homme

Dans une société patriarcale, la fonction de chef de famille est traditionnellement attribuée à l'homme, tandis que la femme est soumise à ses décisions. Il semblerait qu'un homme obtienne une position très privilégiée, mais il y a aussi un inconvénient à la médaille : de tels rôles sociaux effacent progressivement les traits de personnalité de la femme et du mari, les amenant dans un cadre clair de normes patriarcales.

C'est dans ces familles que les deux côtés souffrent le plus souvent, et le drame d'un mari réside généralement dans le fait qu'il est perçu principalement comme une source de revenus, de confort quotidien et de bien-être familial, et non comme une personne vivante avec son propres émotions, besoins et désirs. Malheureusement, l'amour dans de tels mariages est soit initialement absent, soit passe rapidement à l'arrière-plan et s'efface progressivement.

A un certain stade, le mari commence à comprendre que son rôle dans la famille se réduit principalement à un soutien matériel.

C'est bien quand un homme a la possibilité d'offrir à sa femme un cadeau cher ou de payer des vacances en famille, mais ce n'est pas normal si :

en retour il ne reçoit absolument rien et jamais ;
tous les cadeaux et surprises sont pris pour acquis ;
la réaction d'une femme à l'absence d'un autre cadeau coûteux s'exprime par le ressentiment, l'irritation, l'incompréhension ;
la communication avec son mari se réduit à des reproches et à des exigences unilatérales (« il le faut », « c'est ton devoir », « l'homme paie pour tout », etc.).

Dans cette situation, le mari doit comprendre s'il est prêt à endurer une telle attitude envers lui-même toute sa vie.

Malheureusement, il est difficile de rééduquer un adulte, et si un certain scénario a été mis dans la tête d'une femme depuis l'enfance, dans lequel il y a une place pour le consumérisme, mais il n'y a pas de place pour le respect mutuel, le soutien, la sympathie et la responsabilité personnelle, il est peu probable qu'il soit possible de changer son approche de la question à l'aide de conversations, de demandes ou de querelles.

Cependant, une telle vision du rôle masculin dans les relations est parfois développée par une femme déjà mariée, puisque son mari est le premier à la traiter comme un consommateur - prive le droit d'avoir une voix consultative dans la prise de décisions importantes et exige l'accomplissement inconditionnel de fonctions « typiquement féminines » (élever des enfants, tâches ménagères, etc.), les obligeant ainsi à se traiter de la même manière.

Beaucoup de maris ne se rendent même pas compte à quel point ils traitent leur épouse comme une consommatrice, créant des conditions dans la famille qui sont plus caractéristiques des relations esclavagistes que des relations amoureuses. Ces hommes ne se soucient absolument pas de l'humeur de la femme ou de sa relation avec les autres, ils ne cherchent pas à aider leur femme à résoudre les problèmes et les problèmes quotidiens. L'essentiel est qu'il y ait de l'ordre à la maison, que la nourriture soit préparée et que les enfants soient élevés, et tout cela devrait se produire, si possible, sans la participation des hommes.

Leurs épouses peuvent sans cesse se plaindre sur les forums, auprès de leurs amis autour d'une tasse de thé ou dans le cabinet du psychologue de leur détachement, de leur indifférence et de leur incompréhension de la part de leur conjoint, mais des conversations avec le « héros de l'occasion » lui-même, comme une règle, n'apportez pas de résultat positif. Si un homme voit dans une femme non pas une personne avec ses propres convictions, habitudes et désirs, mais une esclave qui doit mettre sa vie pour satisfaire ses caprices, il peut être très difficile d'obtenir une attitude adéquate et le respect de soi.

Et cet état de fait n'est pas toujours dû au statut social ou au salaire élevé d'un homme (bien que ces facteurs, bien sûr, affectent souvent l'équilibre intrafamilial) : cas où un mari, qui gagne un ordre de grandeur inférieur à son épouse et a beaucoup plus de temps libre, cherche toujours à déplacer toutes les tâches ménagères sur elle, elles sont remplies tout le temps. Bien souvent, les bases d'une telle attitude sont posées dès la petite enfance, car tous les parents ne sont pas capables de comprendre à temps qu'ils élèvent un consommateur.

Que faire si l'enfant montre une attitude de consommateur envers les gens?

Pourquoi un enfant devient-il un consommateur ?

En grande partie à cause des parents, qui préfèrent voir leur bébé plus obéissant que proactif. En conséquence, l'infantilisme inculqué dans l'enfance persiste pendant de nombreuses années. Si votre fils ou votre fille, à l'âge d'un an, traite ses parents (et tous les adultes avec qui il entre en contact) comme une source d'avantages, il ne sert à rien de blâmer l'enfant - étant à un stade précoce de développement, il ne réaliser d'où et à quel prix ils proviennent de ces avantages.

Mais si cette situation se répète à un âge plus conscient - maternelle, scolaire ou même adulte - ce n'est pas normal.

Il est donc conseillé dès le plus jeune âge de laisser aux enfants un espace de décision autonome (même au niveau minimum accessible et sécurisant à leur âge) et de leur donner la possibilité d'aider les parents afin que l'échange des bénéfices se fasse dans les deux sens. Ainsi, vous pouvez inculquer à votre fils ou à votre fille des valeurs plus importantes que les valeurs de consommation - ils pourront apprécier l'importance de l'entraide et de la compassion, apprendre à faire preuve de respect et de gratitude.

Quant aux responsabilités spécifiques, elles sont déterminées par les circonstances: dès le plus jeune âge, il peut être possible d'aider les parents à la maison, à l'adolescence - un travail à temps partiel (afin de gagner de l'argent de poche de sa propre main). C'est le seul moyen de surmonter l'égocentrisme caractéristique dans une certaine mesure de chaque enfant.

Il est très facile de gâter les enfants, car ils ont tendance à prendre pour acquis toute manifestation d'attention et de soins. Et si, pour une raison quelconque, les parents se sentent coupables (par exemple, ils craignent qu'à cause du travail, ils consacrent trop peu de temps à l'enfant qui grandit) et essaient régulièrement d'"acheter" des cadeaux, l'enfant se formera rapidement une perception appropriée de la famille comme un groupe d'adultes obligés de lui plaire toujours et en tout, indépendamment de ses propres besoins et des circonstances extérieures.

Le problème de l'attitude des consommateurs envers la vie

Grandissant avec l'idée que toute personne doit être considérée avant tout comme une source de bienfaits pour la vie, l'enfant consommateur éprouve de sérieux problèmes dans sa vie d'adulte lorsqu'il communique avec ses amis, ses proches et ses collègues. C'est ainsi qu'apparaissent les femmes qui ne regarderont même pas un homme s'il ne commence pas à les remplir de cadeaux coûteux ou à prouver son statut social élevé, et des hommes qui assignent aux femmes le rôle de domestiques.

Il est presque impossible de changer la personnalité formée (de rares exceptions ne font que confirmer la règle générale), il faut donc apprendre aux enfants dès l'enfance à dépasser les valeurs de consommation.

Attitude des consommateurs

Il y a souvent des situations où une personne est confrontée à une attitude de consommateur, mais ce que cela signifie - voyons plus loin.

Par exemple, il y a ce type de personnes lorsqu'elles ne rappellent l'existence de la soi-disant amitié que lorsqu'elle est bénéfique. C'est-à-dire que l'attitude du consommateur est une sorte d'« utilisation » d'une autre personne à des fins égoïstes.

Aujourd'hui, nous devons très souvent faire face aux attitudes des consommateurs envers les gens. Mais le plus souvent, il arrive qu'une sorte d'incohérence se produise précisément entre un homme et une femme.

Certaines femmes se demandent souvent pourquoi certaines sont plus chanceuses que leur mérite. Non, ils n'ont rien fait de spécial. La raison réside dans leurs hommes. A la manière dont un homme traite sa femme, on peut distinguer trois types de relations :

Connaisseur... Un homme prend soin de sa bien-aimée. La traite avec affection. Il est très important pour un tel homme que sa femme soit à 100%, il n'a donc rien contre le fait que sa bien-aimée recherche la perfection. Non, cela ne veut pas dire qu'une femme s'assoit forcément sur le cou d'un homme, elle peut aussi être indépendante de lui. Un tel homme perçoit sa "reine" comme un tableau coûteux, l'admire et l'admire.
Encore une fois, cela ne veut pas dire que cette femme n'aime personne d'autre qu'elle-même et ne perd pas de temps à faire le ménage. Non, elle ne se concentre tout simplement pas sur les problèmes domestiques et domestiques. Et son partenaire ne fait pas partie de ceux qui vont lui imposer un tas de responsabilités. Lui-même peut très bien faire face à beaucoup de choses.
Démocrate... Un tel homme respecte les goûts et les préférences de sa femme, même s'il n'est pas toujours d'accord avec eux. Il ne la réveillera pas tôt le matin le week-end pour qu'elle puisse lui préparer le petit-déjeuner, mais attendra patiemment qu'elle se réveille. Il peut lui-même faire frire des œufs, faire des sandwichs - il est prêt à surprendre sa bien-aimée.
Peut-être qu'il ne louera pas sa femme sur un piédestal et ne s'allongera pas à ses pieds, mais si elle décide soudainement qu'elle a besoin d'un nouveau pull, elle l'achètera très probablement.

Dans une telle relation, les deux partenaires prennent soin l'un de l'autre et ne transfèrent pas les responsabilités. C'est juste que tout le monde fait le travail qu'il fait bien.

Un tel homme comprend qu'une femme est aussi un homme et doit être respectée. Beaucoup de femmes se soucient de savoir pourquoi les hommes sont si différents ? Il n'y a rien à deviner ici : l'éducation de la mère est en cause. Comme une mère élève son fils, il traitera les femmes.
Propriétaire d'esclave... Un tel homme a une attitude de consommation envers sa femme, il la considère comme sa servante. Il ne se soucie que de l'ordre de la maison, de la nourriture dans la cuisine et des vêtements repassés. Cet homme ne se soucie pas de l'apparence de sa femme ou de ce qu'elle porte. Il est plus inquiet qu'il n'y ait pas de poussière sur le placard, mais le fait que sa femme marche dans une robe de chambre qui fuit est bien ! Sa femme ne se soucie pas non plus de son apparence, et tout cela du fait qu'elle n'a tout simplement pas assez de temps pour elle-même. C'est-à-dire que "l'homme-esclave-propriétaire" ne voit pas de femme dans sa partenaire, il voit en elle un esclave, accomplissant tous ses caprices.

Malheureusement, de nombreuses femmes dans le monde moderne ont une attitude consumériste envers les hommes. Certains ne le cachent même pas et déclarent qu'ils ne construiront pas de relation avec un homme qui n'a pas d'appartement dans le centre et une voiture chère.

Il convient de noter qu'une telle attitude envers un homme n'apportera rien de bon. Les gens sont heureux quand ils rendent les autres heureux. Si vous donnez de l'amour, de la tendresse, du soutien, vous en devenez plus heureux. Si une femme exige constamment quelque chose d'un homme, elle sera un jour épuisée mentalement et donc malheureuse.

Attitude des consommateurs envers les femmes

Les hommes tombent essentiellement amoureux non pas des femmes en tant que telles, mais de leur apparence. Quelqu'un au corps maigre, quelqu'un au corps pompé, quelqu'un au corps magnifique, tout est bouclé par les goûts. mais c'est toujours CORPS, VISAGE. mais PAS une ÂME. Ce sont les phrases des amoureux des crumpets "J'adore quand j'ai quelque chose à attraper", des amoureux du slim "J'aime un petit cul serré". mais ces "je l'aurais poussé, je l'aurais inséré". etc. ... En général, c'est dommage. Personne ne parle jamais des traits de caractère, du monde intérieur. Seulement sur l'apparence. Je suis déjà désagréable de capter les regards des hommes sur moi-même, car, en me regardant, ils ne pensent pas à ce qu'il y a derrière mon âme, à comment je vis, à ce que je ressens, mais à mes fesses et mes seins. Naïf, bien sûr, mais bon sang, c'est scandaleux.

Sur le NW dans la section, je cherche 80% du premier mot fille, le second - mince)

Uh-huh, plein de tels

Je suis mince, mais comme il cherche une silhouette, il ne pense qu'au sexe. peut-être plus tard il tombera amoureux, mais pourquoi perdre du temps avec ça

La beauté n'est agréable qu'au début, mais le contenu tient déjà depuis longtemps 🙂

Les hommes tombent essentiellement amoureux non pas des femmes en tant que telles, mais de leur apparence.

Pas correctement. Les hommes tombent amoureux des femmes en tant que telles. De celui qui a à la fois la beauté, le cerveau et l'âme en place (pas à son avis, mais dans le sien) - presque personne ne veut partir. Mais pour les femmes - à en juger par le forum - un homme en tant que tel est un ajout insignifiant à son entourage 🙂

OxyUhgu, plein de tels

pas de photo - libre, à qui putain ton âme s'est rendue, puisque tu es aussi terrible qu'une guerre atomique. Ventre - allez nafik, j'aime la forme. Lunettes? Acné. pfff garçon quel âge as-tu, tu marches toujours comme Harry Potter. etc

les femmes n'ont pas d'ÂME comme dans d'autres domaines et cerveaux.

les femmes ont une âme, même s'il n'y a pas de cerveau, alors il y a une âme. c'est juste que tout le monde est différent aussi

non, je ne dis pas qu'ils apprécieraient l'âme à première vue - c'est impossible, je parle de ce qu'ils recherchent, de ce qu'ils pensent en regardant une femme. tout le monde regarde et pense "oui oups charnu, je soufflerais", mais j'aimerais penser "je me demande si elle travaille, quels livres elle lit" =)))

Reflétons les demandes des femmes :

AnastasiaOksi Uh-huh, plein de tels

Alors les hommes tombent amoureux des femmes en tant que telles 🙂

Tout d'abord - un riche et moscovite, ensuite - sans mauvaises habitudes (mais au diable, s'il est riche et moscovite), beau (même si ***, s'il est riche et moscovite et sans mauvaises habitudes) , visant une relation sérieuse (bien que les femmes se foutent déjà de ce qu'il vise s'il est un beau Moscovite riche sans mauvaises habitudes)

"Vdul" - ce seul objectif, "celui avec qui je veux passer ma vie" - est complètement différent. Pour la seconde, les livres qu'elle lit seront importants. À cette fin, le COMPLEXE de qualités est important - à la fois "vdul" et "livres".

Les gens reconnaissent l'âme déjà au cours de l'action. Et comment peut-il être apprécié ou connu ? Peut-être que vous aimez l'approche de la vie, le caractère, l'attitude envers vous-même, certaines petites choses chez une personne, même purement quotidiennes, mais tout cela est connu lorsque les gens sont DÉJÀ en couple ou sont prêts à s'y engager.

Oxy Anastasia

le fait est donc que tout le monde cherche une silhouette et un visage. sz est généralement un désastre, pas un mot sur le personnage, l'essentiel est qu'elle soit mignonne. Et le plus triste, c'est qu'ils ne regardent plus l'âme derrière leur apparence, tournez-les comme vous voulez. C'est dommage à la fois pour les femmes et pour ces hommes unicellulaires.

donc avec eux il faut la même chose))

changez simplement votre attitude envers eux, arrêtez d'être blanc et duveteux

Eh bien, cela s'appelle déjà une faux sur une pierre. si on descend aussi à ce niveau, alors kapets chatons, comme on dit)

qu'est-ce que la tresse a à voir avec ça ?))

ils nous choisissent juste pour notre apparence, alors ne vous perdez pas

et il vous serait plus agréable si notre critère était « un terme de 17 cm ». biceps à partir de 53x cm

Mais comme le montre la REALITE, les femmes n'ont pas besoin d'un homme en tant que tel 🙂 Du moins pour longtemps

Eh bien, si le complexe est important, alors pourquoi la première pensée n'est pas sur les livres, mais sur vdul ? il s'avère que la priorité souffle tout de même.

Eh bien, sans "souffler", c'est difficile 🙂 Contrairement aux femmes, un homme ne pourra tout simplement pas physiquement s'allonger calmement en regardant les fissures du plafond. "Vdul" est une condition nécessaire, mais pas suffisante

tu me parles ici d'hommes mythiques. l'essentiel tombe amoureux de l'apparence, c'est le PRINCIPAL, et puis c'est déjà ainsi, une application agréable (monde intérieur, intérêts)

Non, si à part l'apparence il n'y a rien, alors tout se limitera à "souffler". Tomber amoureux sera quand il n'y aura pas que l'apparence