Alexey smirnov vice-président d'ojsc lukoil. Collecteur sous pression

), prêtre, martyr

Son prochain lieu de service était dans l'église de la Dormition de la Très Sainte Théotokos dans le village de Kosino, district d'Ukhtomsky, région de Moscou (maintenant partie de Moscou). Cet ancien village « a longtemps été célèbre pour son excellent emplacement et ses trois lacs. Les sanctuaires situés ici - les icônes miraculeuses de la Mère de Dieu de Kosinskaya (Modène) et de St. mois d'été sur toutes les routes de Kosino, au moins jusqu'à cent mille pèlerins passeront et passeront "", - a écrit à ce sujet un témoin oculaire qui a vécu dans la première moitié du XIXe siècle.

Il a été arrêté le 23 janvier de l'année. Accusé de "participation à un groupe contre-révolutionnaire" dans l'affaire collective "Vozdvizhensky et autres. Moscou. 1938". Administration de quartier Le NKVD ne s'en soucia pas particulièrement : les prêtres de toutes les églises le long de Moscou-Kazan furent arrêtés. chemin de fer; ils ont été accusés du fait que parmi la population de la région d'Ukhtomsk ils « ont mené une agitation contre-révolutionnaire, prêché parmi la population la foi en Dieu, le système monarchique, appelé à s'opposer à la politique du parti et du gouvernement soviétique, créant le mécontentement parmi la population et préparer l'avènement d'un nouveau gouvernement capitaliste", c'est-à-dire .e. dans un crime en vertu de l'art. 58 - 10 h.2 du Code pénal de la RSFSR. Extrait de l'acte d'accusation : « Smirnov regroupe autour de lui les pèlerins venant de toutes les parties de l'Union, organise la guérison avec les saints fous qui se cachent dans les forêts près de Kosino.

Oui, je connais bien le doyen Vozdvizhensky et j'ai souvent visité son appartement », a répondu le prêtre.

L'enquête a établi que vous étiez membre du groupe contre-révolutionnaire dirigé par Vozdvizhensky. L'admets-tu ?

Non, je le nie. Je n'étais pas membre du groupe contre-révolutionnaire.

L'enquête sait que vous, en tant que membre d'un groupe contre-révolutionnaire, avez mené des activités contre-révolutionnaires. L'admets-tu ?

Non, je le nie.

L'enquête a également établi que vous exprimiez des sentiments terroristes envers les communistes. L'admets-tu ?

Non, je le nie et ne me reconnais pas coupable d'activité contre-révolutionnaire.

Le père Alexy ayant refusé de témoigner, il a été confronté au prêtre Sergiy Sakharov, qui a confirmé le témoignage requis par les enquêteurs. Mais le père Alexy les a tous rejetés en disant : « Je nie le témoignage de Sakharov, car je n'ai pas mené d'activités contre-révolutionnaires.

Condamné par une troïka du NKVD dans la région de Moscou le 15 mars de l'année, condamné à mort. Il a accepté la mort d'un martyr le 22 mars au terrain d'entraînement de Butovo, où il a été enterré.

Compté parmi les Saints Nouveaux Martyrs de Russie par décision du Saint-Synode du 6 octobre pour la vénération générale de l'église.

Après l'arrestation du P. Alexia et avec lui, ainsi que deux vieilles femmes bien nourries, des parents sont allés pétitionner la veuve de Maxim Gorky, Maria Fedorovna Andreeva, qui était alors directrice de la Maison des scientifiques. Elle a promis de le découvrir. Après un certain temps, les vieilles femmes revinrent d'exil, mais elles étaient complètement malades. À propos à propos. Alexia a été informée qu'il avait été abattu...

Matériaux utilisés

BASE DE DONNÉES : NOUVEAUX MARTIÉS ET CONFESSEURS DE L'ÉGLISE ORTHODOXE RUSSE DU XX SIECLE Institut théologique orthodoxe Saint-Tikhon :
Damaskin (Orlovsky), abbé, Livres et discours de Hegumen Damaskin (Orlovsky). Biographies des saints de l'Église orthodoxe russe du XXe siècle:

Bien que le vol Moscou - Londres ait été retardé de deux heures et demie, Valentin Buyanovsky a quitté l'avion de bonne humeur. En avril 2016, le temps s'est éclairci dans la capitale britannique, et le copropriétaire du groupe Polyplastic s'attendait à un merveilleux week-end en famille. Après avoir reçu la valise, Buyanovsky a quitté la zone des arrivées et s'est dirigé vers le deuxième étage de l'aéroport d'Heathrow, où le chauffeur l'attendait. A l'ascenseur, une agréable voix féminine l'interpella. En se retournant, l'homme d'affaires vit une blonde bien coiffée, elle lui tendit une enveloppe. Il contenait une assignation à comparaître devant la Haute Cour de Londres, la jeune fille était huissier de justice. Buyanovskiy a donc rencontré par contumace de nouveaux partenaires commerciaux - la société A1, la division d'investissement du groupe Alfa. Production tuyaux en plastique s'est avéré être un morceau savoureux pour les requins du capitalisme russe.

Des peignes aux tuyaux

Le 19 août 1991, les Moscovites ont entendu le rugissement des véhicules blindés dans les rues et ont vu l'émission télévisée du Lac des cygnes. Pour Miron Gorilovsky, diplômé de l'Institut des technologies de chimie fine de Moscou (MITHT), ce jour a été rappelé non seulement par la conférence de presse du Comité d'urgence de l'État, mais également par la réception d'un certificat d'enregistrement pour Polyplastic. Cette firme, organisée par trois amis du MITHT, avait déjà un bureau non loin de la Maison Blanche, et des chimistes donnaient du thé en thermos à ses défenseurs pendant les jours troubles du mois d'août.

La démocratie a gagné et Gorilovsky, après avoir loué un atelier et du matériel, a mis en place la production de cintres en plastique, de décapants anti-mouches et de peignes. Ensuite, les partenaires ont transformé des matières premières polymères dans des usines pétrochimiques l'ex-URSS, et les composites résultants ont été fournis à AvtoVAZ et GAZ pour la production de pièces de rechange. Les usines automobiles fonctionnaient sur la base du troc, de sorte que les propriétaires de Polyplastic ont même dû ouvrir leur propre concession automobile et vendre plus de 10 000 gazelles et voitures Zhiguli.

En 1995, Buyanovsky est devenu directeur financier chez Polyplastic, il est devenu copropriétaire. À cette époque, la société avait atteint un chiffre d'affaires annuel de 5 à 8 millions de dollars et avait lancé sa propre production à la périphérie de Moscou à Ochakovo. L'usine de tuyaux Gaztrubplast était située à proximité, son propriétaire allait émigrer en Israël et proposa à Gorilovsky de racheter la production pour 500 000 $. L'entreprise semblait prometteuse - Gaztrubplast avait des accords avec Mosgaz sur la fourniture de tuyaux en plastique pour la rénovation du Moscou gazoduc. Gorilovsky a convenu d'un plan de versement et a conclu un accord. Et il a pris la bonne décision. Le marché des canalisations du pays s'est avéré illimité : le degré d'usure des canalisations des services publics a atteint 70 %. En 1998, Gaztrubplast fournissait chaque année à Mosgaz environ 150 km de canalisations. Aux rangs des clients se sont joints d'autres compagnies gazières régionales et même Gazprom, qui avait besoin de tuyaux pour le programme de gazéification.

La crise de 1998 a fait le jeu de Polyplastic, puisqu'après la dévaluation du rouble, les importations de tuyaux en polymère se sont effondrées. Dans le même temps, en cas de hausse des prix des matières premières importées, Gorilovsky parvient à s'assurer ; plusieurs années avant la crise, il entame des négociations avec le directeur général de l'usine de Stavropolpolymer, Moisei Gershberg, sur la production de qualités de tuyaux. de polyéthylène. L'usine a commencé à produire des matières premières pour Polyplastic en 1998, à cette époque Stavropolpolymer appartenait au nouveau propriétaire, Lukoil-Neftekhim, dirigé par Alexey Smirnov.

Appelle un ami

Au lendemain de l'arrivée de Buyanovsky à Londres en avril 2016, un numéro inconnu s'affichait sur son portable. "Valentin Mikhailovich, nous sommes vos nouveaux partenaires d'A1, nous aimerions vous rencontrer", a résonné la voix confiante du directeur général d'A1 Andrey Tyasto dans le récepteur. Buyanovskiy, qui n'est pas non plus étranger aux guerres d'entreprise, a rapidement trouvé la réponse : « À en juger par le fait que vous avez d'abord déposé une plainte et ensuite appelé, vous vouliez rencontrer non pas moi, mais mes avocats. Je vous promets que vous les rencontrerez bientôt." Un mois et demi plus tôt, A1 avait racheté l'offshore Ramilos aux îles Vierges britanniques, qui détient 50% du groupe chypriote APG Polyplastic - propriétaire de Polyplastic Group LLC avec 96,5% des parts. Aujourd'hui, ce holding regroupe 16 usines, son chiffre d'affaires annuel est de plus de 30 milliards de roubles.

Dans la décision de la Haute Cour de Londres sur la réclamation de Ramilos contre Buyanovsky, il est dit qu'avant A1, les bénéficiaires ultimes de cette société offshore étaient « MM. Rappoport et Smirnov ». Les personnes portant de tels noms de famille en étaient vraiment propriétaires, a confirmé à Forbes l'avocat qui représentait les intérêts de Ramilos. Qui sont ces gens? Selon Buyanovsky et Gorilovsky, Ramilos appartenait aux anciens hauts dirigeants de Lukoil-Neftekhim, Alexander Rappoport et Alexey Smirnov. Buyanovsky, Gorilovsky et trois autres partenaires contrôlent désormais Polyplastic. Par l'intermédiaire de Strongfield, basé à Chypre, ils détiennent 50 % d'APG et une participation de 3,5 % dans LLC Polyplastic Group rachetée à des actionnaires minoritaires. Selon leur version, à un moment donné, Smirnov et Rappoport les ont forcés à vendre la moitié de l'entreprise en échange d'un accord de fourniture avec Lukoil-Neftekhim.

Alexei Smirnov, l'ancien directeur général de Lukoil-Neftekhim, a approché A1 avec une proposition d'achat de Ramilos, a déclaré Andrey Tseshinsky, directeur du département d'investissement d'A1, tandis que Sergey Alenin et Interkom étaient les vendeurs de la société offshore. Selon les fondateurs de Polyplastic, Alenin et Interkom représentaient respectivement les intérêts de Rappoport et Smirnov.

Rappoport n'a pas parlé au téléphone avec Forbes et a refusé de répondre aux questions qui lui ont été envoyées. Les questions de Smirnov sont également restées sans réponse. Lukoil a refusé de commenter.

Les anciens propriétaires de Ramilos ont des désaccords avec des partenaires de Polyplastic, dit Tseshinsky. Les propriétaires de Ramilos n'avaient ni expertise ni expérience dans la résolution de conflits d'entreprise complexes, et ils ont décidé de vendre A1, a expliqué Sergey Alenin.

Ultimatum matière première

Alexey Smirnov, comme le fondateur de Polyplastic, Miron Gorilovsky, a commencé son entreprise avec la production de brosses à cheveux dans sa ville natale de Bezhetsk. Et ils hochaient la tête avec des connaissances même pendant leurs études à MITHT. Avant de rejoindre Lukoil-Neftekhim, Smirnov dirigeait ZAO Trading House Neftyanoy, qui faisait partie de la société Neftyanoy de l'homme d'affaires Igor Linshits. Dans cette maison de commerce, Alexander Rappoport s'occupait d'achats de pétrole.

En 1997, Neftyanoy Trading House et Lukoil ont créé Lukoil-Neftekhim. Smirnov était directeur général, et Rappoport est commercial. En 1998, Lukoil-Neftekhim est devenu le propriétaire majoritaire de Stavropolpolymer.

« C'était un ultimatum direct : soit vous nous cédez 50 % du business et vous aurez des matières premières, soit nous nous mettrons d'accord sur un partenariat avec vos concurrents et développerons leur business », rappelle Buyanovsky. "Il n'y avait absolument nulle part où aller", confirme Gorilovsky. Selon lui, le marché intérieur il n'y avait pas d'alternative à Lukoil-Neftekhim, et il était impossible de compenser environ 80 000 tonnes de matières premières par des importations.

L'achat de 50% de Polyplastic a coûté à Ramilos 14,3 millions de dollars. Selon Buyanovskiy, à ce moment-là, les fondateurs avaient déjà investi 72 millions de dollars dans l'entreprise. Il explique la remise pour Ramilos non seulement par un ultimatum pour couper l'approvisionnement en matières premières, mais aussi par les perspectives d'intégration avec Lukoil, que Smirnov et Rappoport auraient promis.

L'accord entre Strongfield et Ramilos prévoit une clause distincte selon laquelle Ramilos doit conclure un contrat de fourniture avant le 31 décembre 2005. Apparemment, la condition était remplie. Forbes a à sa disposition une copie de l'accord entre Lukoil-Neftekhim et ZAO Polyplastic-Service en date du 30 mars 2005, prévoyant la fourniture annuelle de 90 000 tonnes de polyéthylène de qualité tuyau. L'accord a été conclu pour cinq ans et signé par Smirnov et Gorilovsky.

Courte paix

Le maire de Moscou, Youri Loujkov, aimait faire le tour des objets de la ville le samedi matin. Le premier élément au programme dès le 9 août 2008 était le site industriel de Polyplastica à Ochakovo. Le maire a dû examiner les échantillons de tuyaux et passer à autre chose. Mais les choses ne se sont pas passées comme prévu. Chimiste de formation, Loujkov a rencontré de nombreux collègues de l'Institut de recherche des plastiques de l'usine. Et quand il a vu des tuyaux géants de plusieurs mètres de diamètre, il a complètement tout oublié. Loujkov à cette époque était sérieusement emporté par l'idée de la récupération du sud de la Russie et s'est précipité, avec Gorilovsky, pour calculer le nombre de tuyaux nécessaires à la construction de la voie navigable Sibérie-Asie centrale.

"Polyplastic" a impressionné Loujkov, et il a demandé d'utiliser du polymère au lieu des tuyaux en acier dans la réparation des pipelines de Moscou. L'approvisionnement du Mosvodokanal a augmenté. Cependant, les produits Polyplastic n'étaient pas seulement demandés à Moscou. En 2011, neuf usines de tuyaux du groupe ont expédié plus de 178 000 tonnes de tuyaux, et le chiffre d'affaires depuis 2006 a presque triplé, à 23 milliards de roubles.

Les succès de Polyplastic n'ont pas rallié les actionnaires. Ramilos n'a reçu de dividendes qu'une seule fois - 1,4 million de dollars en 2008. Les fondateurs de l'entreprise avaient également un motif d'insatisfaction: selon Buyanovsky, ils ont investi plus de 64 millions de dollars dans l'entreprise et Ramilos - pas un centime. L'accord de prêt était censé résoudre le conflit. Selon lui, Ramilos a reconnu une dette envers Strongfield de 36,5 millions de dollars et s'est engagé à la rembourser avec intérêts d'ici la fin de 2020. Parallèlement, dans le pacte d'actionnaires, les partenaires ont fixé le montant des dividendes - 25 % du résultat net de Polyplastic - et envisagent de procéder à une introduction en bourse d'ici fin 2014.

Après la signature des documents, Polyplastic a versé 372 millions de roubles (environ 12 millions de dollars) en dividendes pour 2010. Ayant reçu environ 6 millions de dollars, Ramilos a rendu 4,6 millions de dollars au titre de l'accord de prêt et a gardé environ 1,3 million de dollars pour lui-même, explique Buyanovsky. Les actionnaires de « Polyplastic » ont déjà approuvé la distribution des prochains 527 millions de roubles de dividendes pour 2011, lorsque Buyanovsky aurait découvert que la clause selon laquelle Ramilos remboursait la dette au détriment des dividendes de « Polyplastic » avait disparu du contrat de prêt. Selon Buyanovsky, il y a eu un tel accord, mais il n'a pas été intégré au document final, qu'il a signé sans le lire ("Les yeux sont flous"). Du document signé, il ressortait que la seule source de remboursement de la dette serait les fonds de l'introduction en bourse. Buyanovskiy a demandé de rétablir la condition avec des dividendes, Ramilos n'était pas d'accord.

Sergei Alenin affirme que le texte final de l'accord a été convenu par les parties et qu'il n'y avait aucune clause sur le remboursement de la dette à partir des dividendes dans aucune des versions discutées. Quoi qu'il en soit, les partenaires n'ont pu résoudre leurs différends et la répartition des bénéfices de 2011 a été bloquée. En 2013, le conseil d'administration de Polyplastica a décidé de ne pas verser de dividendes, les représentants de Ramilos n'ont pas participé au vote.

Tuyau parallèle

Dans le même temps, les fondateurs de Polyplastic ont développé une autre entreprise de tuyauterie - le groupe Polymerteplo. La production de tuyaux à isolation thermique en polymère avec un chiffre d'affaires de 2 milliards de roubles et une rentabilité de 50% a augmenté sur la base de Gaztrubplast. En 2013, l'entreprise s'est développée - les fondateurs de Polyplastic pour environ 50 millions de livres sterling ont acheté le fabricant britannique de tuyaux en plastique Radius Systems avec un chiffre d'affaires de plus de 100 millions d'euros.Les propriétaires de Ramilos, qui ne participaient pas à l'entreprise Polymerteplo, n'ont pas aimé cet accord. Puis Buyanovskiy a proposé de fusionner Polyplastic et Polymerteplo, dans la société combinée Ramilos était censée obtenir 22,45%, mais il voulait avoir une participation bloquante. La fusion a échoué et les relations entre les actionnaires se sont encore détériorées.

Aucune des conditions du pacte d'actionnaires n'a été remplie : le niveau de transparence de l'entreprise n'a pas augmenté, l'introduction en bourse n'a pas eu lieu, aucun dividende n'a été versé, dit Alenin. Et il ajoute : « Nous avons commencé à soupçonner que de l'argent était retiré de l'entreprise. Ramilos a décidé de mener un audit indépendant et a demandé tous les rapports décennaux de Polyplastic, ainsi que des informations sur les transactions du groupe avec les sociétés affiliées aux fondateurs.

"La réaction a été plus qu'étrange", se souvient Alenin, "au début, ils m'ont dit que les demandes étaient excessives, puis ils ont proposé d'aller aux archives et de faire des copies de tous les documents." Buyanovskiy a perçu la demande comme "le début des hostilités" et "une tentative de pression", a souligné le directeur de Ramilos dans les documents du tribunal. La dernière chose qu'Alenin aurait reçue de partenaires en réponse à une demande d'offres était une enveloppe contenant un magazine d'entreprise avec Sergueï Sobianine en couverture (le maire de Moscou a visité Gaztrubplast en 2015).

Les comptes annuels de Polyplastica ont été audités par les quatre grandes sociétés, dit Buyanovskiy, Ramilos avait les résultats de l'audit et n'a jamais montré de méfiance à leur égard. Maintenant, il est sûr que les enquêtes étaient nécessaires pour étayer leur réclamation en Angleterre.

Bureau A1

Après vacances de mai 2016 Buyanovskiy et Gorilovskiy ont rencontré Andrey Tyasto et Aleksandr Vinokurov, qui dirigeait alors A1. Après une conversation de trois heures, les dirigeants d'A1 auraient admis qu'ils prévoyaient de vendre leur participation dans l'entreprise aux fondateurs de Polyplastic, a déclaré Buyanovsky. Cela ne dérangeait pas les fondateurs, ils avaient déjà proposé de racheter les actions de Ramilos au prix du marché. Cependant, il est rapidement devenu évident que les partenaires avaient de sérieuses différences dans l'évaluation des entreprises. Tseshinsky de A1 estime que les bénéfices de Polyplastic sont nettement supérieurs à ceux indiqués dans ses états financiers vérifiés. Après tout, une partie s'installe dans des sociétés affiliées aux fondateurs, ils sont suspectés d'A1. "Polyplastic" reçoit des matières premières et des équipements via les sociétés offshore contrôlées par les fondateurs, selon A1, le volume annuel de ces transactions est de 60 à 100 millions de dollars, et dans les sociétés de Buyanovsky et Gorilovsky peut s'établir jusqu'à 15 millions de dollars. Alenine. La marge commerciale des fournisseurs affiliés ne dépassait pas 1 à 2%, a déclaré Gorilovsky. «Nous sommes les principaux propriétaires, pas des gestionnaires embauchés, nous n'avons pas besoin de nous voler», explique Buyanovsky.

En plus des tribunaux de Londres et de Chypre, Ramilos a intenté des poursuites contre KPMG et Deloitte, soupçonnant les auditeurs de violations, et a envoyé des lettres aux banques et filiales de Polyplastica indiquant que les représentants de la société offshore n'avaient pas participé au vote du conseil d'administration de administrateurs depuis août 2015, et par conséquent, les transactions et les prêts importants n'ont pas reçu l'approbation de l'entreprise requise. "Les banques ont tendu", admet Buyanovsky. Il est sûr que A1 "presse" les fondateurs de "Polyplastic" par tous les moyens.

Parallèlement, le marché russe des tuyaux en plastique a chuté de 35 % par rapport à 2014. Et si fin 2013 Strongfield était prêt à racheter Ramilos pour 150 millions de dollars, désormais, moins la dette au titre du contrat de prêt, les fondateurs estiment la part d'A1 à seulement 30 millions de dollars.

La valeur réelle de l'entreprise ne peut être calculée qu'après avoir reçu toutes les informations sur l'entreprise, insiste Tseshinsky. Et, apparemment, A1 a toujours un effet de levier en réserve. Buyanovskiy a déclaré à Forbes qu'à la fin du mois de juin 2017, Polyplastic avait commencé à recevoir des appels du Département des crimes économiques de la Direction des affaires intérieures du district administratif central, que les représentants de Ramilos auraient contacté. A1 a refusé de commenter cette information.

Année de naissance

Date d'anniversaire

Le mois de naissance

Lieu de naissance

Province de Moscou, district de Zvenigorodsky, Eremeevskaya vol., village de Golubovo

ligne masculine

Photos

PÉRIODES DE VIE

Éducation

Séminaire théologique de Moscou

Année de fin

allemand

Un service

Moscou, monastère Sainte-Croix, église Saint-Nicolas le Wonderworker

Année de début

Commence jour

Mois de début

Année de fin

Lieux de résidence

Moscou, rue Arbat, 47

Année de fin

Prix

Bible

Année des récompences

Jour

Mois

Qui est récompensé

médaille d'or sur le ruban Alexandrovskaya avec l'inscription "pour diligence"

Année des récompences

médaille d'or sur le ruban Anninskaya avec l'inscription "pour le travail acharné

Année des récompences

Jour

Mois

médaille d'argent

médaille de bronze

croix de jubilé

Arrestations

Moscou

Année d'arrestation

Un service

Moscou, rue Arbat, église Saint-Nicolas de Plotniki

Année de début

Moscou, B. Vlasyevsky per., Église du schmch. Blasia

Année de fin

Île de Moscou, gare d'Udelnaya, village de Kosino (aujourd'hui Moscou), église de l'Assomption

Année de fin

Jour de l'obtention du diplôme

Fin du mois

Lieux de résidence

Île Moskovskaya, district de Ramenskiy, colonie d'Ilyinskoye, rue Karl Marx, 21

Année de fin

Jour de l'obtention du diplôme

Fin du mois

Arrestations

Île de Moscou, district de Ramenskiy, règlement d'Ilyinskoye

Année d'arrestation

Jour d'arrestation

Mois de l'arrestation

Condamnations

troïka au NKVD de l'URSS dans la région de Moscou.

Accusation

« participation au groupe du clergé contre-révolutionnaire, qui visait à renverser pouvoir soviétique avec l'aide des pays capitalistes, k / r activités "

Article

Articles 58-10.58-11 du Code pénal de la RSFSR

Phrase

Cas de groupe

"Le cas du doyen, l'archiprêtre Vladimir Vozdvizhensky et d'autres membres du clergé du doyenné d'Ukhtomsk, Moscou, 1938."

Lieux de confinement

Moscou, prison de Taganskaya

Année de début

Commence jour

Mois de début

Année de fin

Jour de l'obtention du diplôme

Fin du mois

Disparition

Jour

Mois

Lieu

Lieu de sépulture

Île de Moskovskaya, village de Butovo, "polygone de Butovo"

Canonisation

Le prêtre hiéromartyr Alexy Smirnov

Date

Qui est canonisé par

Conseil des évêques de l'Église orthodoxe russe, 13-16 août 2000 Saint Synode, Détermination du 6 octobre 2001

Qui a présenté

diocèse de Moscou

Jours de souvenir

style ancien

Nouveau style

Réhabilitation

Date

Réhabilité par qui

Moskovski tribunal régional

Par l'année de la répression

Publications

Candidats

Documentation

Le 9 décembre, la Haute Cour de justice britannique a rejeté la demande de Ramilos Trading Ltd, qui appartient à A1 Investment Company, contre le dirigeant du groupe POLYPLASTIC.

Selon l'IA Intérêts nationaux, le procès, qui a duré à partir d'avril 2016, s'est soldé par un refus dévastateur de Ramilos Trading Ltd pour tous les motifs. Après avoir examiné les pièces du dossier et tenant compte des arguments des parties, la Haute Cour de justice a considéré l'action de la société offshore comme recueillant des preuves compromettantes et intimidant l'autre partie. Le tribunal a également nié la possibilité d'interjeter appel et a condamné le demandeur à payer les frais du défendeur.

L'histoire de l'affrontement.

De 2005 à nos jours, Ramilos Trading Ltd est contrôlée par les anciens dirigeants de ZAO LUKOIL-Neftekhim, Alexey Sergeevich Smirnov et Alexander Natanovich Rappoport. Ce sont eux qui, à travers une société offshore, détiennent 50 % des actions d'APG Polyplastic Group Ltd, (APG), qui à son tour détient 96,5 % des actions de la société russe POLYPLASTIC Group. Les 50 % restants des actions d'APG appartiennent à Strongfield Marketing Ltd. Les cinq associés-gérants du Groupe sont propriétaires de Strongfield.

Entre 2005 et 2010, les financements de POLYPLASTIC provenaient des fonds propres des associés gérants et ont attiré des investissements. Dans le même temps, Smirnov et Rappoport refusent de participer au financement de POLYPLASTIC. En 2011, le Groupe comptait 13 usines et autant de maisons de commerce en Russie et dans les pays de la CEI. La société a agrandi son propre institut de recherche, son institut de conception et son centre de formation pour la formation de spécialistes en conception, installation et exploitation de systèmes de canalisations en polymère.

En 2011, un conflit a éclaté entre les actionnaires d'APG lorsqu'Alexey Sergeevich Smirnov et Alexander Natanovich Rappoport ont refusé de faire leur part des investissements en capital au prorata des investissements de Strongfield ou de réviser leurs parts dans APG au prorata des investissements. Début 2012, il a été décidé d'introduire le Groupe en bourse d'ici fin 2014, ce qui s'est traduit par le pacte d'actionnaires correspondant. Dans le même temps, Ramilos a signé un accord de prêt et s'est engagé à restituer à Strongfield la moitié de l'investissement réalisé dans le développement de l'entreprise commune.

Mais en juillet 2012, Alexey Sergeevich Smirnov et Alexander Natanovich Rappoport ont commencé à entraver la mise en œuvre de l'accord de janvier. Ensuite, ils ont complètement refusé de fournir aux banques autorisées des informations fiables sur eux-mêmes. Dans le même temps, les valeurs nominales et une chaîne de sociétés de fiducie offshore dirigées par une société mère publique ont été indiquées comme les bénéficiaires de Ramilos. Les banques d'investissement, bien sûr, étaient mécontentes de cette tournure des événements. Tout cela a conduit au blocage des préparatifs du Groupe pour l'introduction en bourse.

Que se passe-t-il maintenant ?

Les actionnaires de Strongfield ont été, pour le moins, étonnés lorsqu'ils ont appris la "vente" de Ramilos, organisée par Alexei Sergeevich Smirnov et Alexander Natanovich Rappoport. Probablement, cette information serait restée secrète, n'eut été de la plainte de Ramilos devant la Haute Cour de justice.

En mai, "A1 Investment Company" a annoncé sur son site Internet l'achat de 50 % d'APG. Il y a tout lieu de croire qu'il n'y a pas eu de vraie vente. En témoigne le fait qu'il n'y a eu aucune négociation à ce sujet avec les actionnaires de Strongfield qui gèrent POLYPLASTIC, et que les vérifications juridiques et comptables habituelles, l'évaluation d'entreprise et les réunions avec la direction n'ont pas eu lieu.

Ramilos a rapporté dans déclaration de sinistre que depuis 2013 POLYPLASTIC a commencé à soupçonner des abus à grande échelle dus au non-paiement des dividendes. Cependant, il s'est avéré que le blocage des paiements de dividendes est "l'œuvre d'art" de Ramilos. Ils ont simplement refusé de rembourser la dette en vertu de l'accord de prêt, qui, en fait, était la dette pour payer la participation dans APG. Sous la pression des preuves présentées par le défendeur, Ramilos a été contraint de retirer les demandes de dividendes en attendant une audience du tribunal.

Outre "l'abus de dividendes", le plaignant a également accusé les associés-gérants de POLYPLASTIC d'avoir retiré des fonds via l'achat de matières premières importées et le paiement d'intérêts sur des emprunts.

Le défendeur a soumis des documents au tribunal indiquant que, dans POLYPLASTIC, toute la comptabilité depuis 2007 a été auditée par les « Big Four » conformément aux normes internationales d'information financière. Les matières premières ont été achetées par l'intermédiaire d'une société partenaire, détenue à 50 % par Ramilos. Les données relatives à toutes les transactions ont été scrupuleusement reflétées dans les comptes consolidés IFRS.

Le tribunal a conclu que, pour les motifs invoqués par Ramilos, il n'y avait aucune preuve d'abus. Toutes les circonstances qui sont invoquées par l'offshore comme arguments lui sont connues depuis 2011 (rappel, la réclamation n'a été déposée qu'en avril 2016). Le tribunal n'avait aucun doute sur la fiabilité de la comptabilité et des rapports de POLYPLASTIC.

Les associés gérants sont convaincus que l'appel au tribunal britannique et la campagne de relations publiques dans les médias est une "performance" bien organisée, qui visait le dépôt des propriétaires de Ramilos Alexey Sergeevich Smirnov et Alexander Natanovich Rappoport. Pendant de nombreuses années, ils ont refusé les offres de rachat de leurs actions, et lorsque la valeur de l'entreprise a diminué, ils ont demandé de l'aide à A1. Des hommes d'affaires avisés tentent de forcer les principaux actionnaires du Groupe à racheter leurs actions à un prix gonflé. Dans le même temps, les actions irréfléchies d'A1 désorganisent le travail de l'entreprise. Rappelons que l'industrie connaît maintenant période difficile, et les perturbations dans le travail de POLYPLASTIC, qui emploie plus de 5 000 personnes, causeront des dommages importants à l'économie du pays.

Les associés-gérants du Groupe sont convaincus que tout différend d'entreprise peut être résolu pacifiquement au cours d'un dialogue constructif, et le recours à la force, la pression, les relations publiques noires, les fausses dénonciations, le chantage et l'extorsion sont inacceptables. EN POLYPLASTIQUE, ils prévoient de protéger davantage les intérêts et la réputation commerciale de l'entreprise.

Informations sur le Groupe POLYPLASTIC

Le groupe POLYPLASTIC est le plus grand fabricant russe de systèmes de canalisations en polymère pour les réseaux de distribution de gaz et d'eau, la remise en état des sols, la construction et les besoins d'ingénierie, ainsi que de matériaux composites polymères pour l'automobile, la construction de machines, l'électronique, la construction et d'autres industries et l'agriculture.

Les installations de production sont situées en Russie (12 usines), en Biélorussie (1 usine) et au Kazakhstan (1 usine). Le Groupe comprend également 13 maisons de commerce régionales, Centre d'entraînement, institut de recherche et de design.

L'entreprise fonctionne avec succès depuis plus d'un quart de siècle. Elle emploie plus de 5 000 personnes. Le groupe est affecté à entreprises stratégiques RF, est un leader dans la mise en œuvre de programmes de substitution aux importations, crée et met en œuvre en production technologies innovantes... Le chiffre d'affaires selon les IFRS pour 2015 s'élevait à 31 milliards de roubles. EBITDA - 1,8 milliard de roubles.

Gennady Ivanov - "Résidents célèbres et bien connus de Bezhechan"

né en 1963

Non seulement un poète ou un artiste, mais aussi un industriel doit naître. C'est trop catégorie spéciale les gens obsédés par la créativité, pensant constamment à la production, essayant de trouver des options, flairant les avantages économiques, entreprise prometteuse... Notre compatriote Alexeï Smirnov fait partie de ces personnes.

Il y a beaucoup à Bezhetsk sur sa carrière de légendes et de mythes, sur la façon dont il est devenu, disons, notre oligarque à Moscou. Avant de le rencontrer, je pensais également que certaines relations et circonstances particulières l'avaient aidé à devenir PDG, et maintenant président du groupe de sociétés LUKOIL-Neftekhim. Mais tout s'est avéré beaucoup plus simple et plus logique.

Alexey Smirnov est né à Bezhetsk en 1963. Il a passé son enfance dans la rue Grazhdanskaya. Si nous le racontons comme dans un conte de fées, alors à la naissance, sa mère Valentina Stepanovna, professeur de langue et littérature russes à l'école numéro 1, a donné à son fils son caractère fort et volontaire, et son père Sergei Petrovich, un employé du l'assurance de l'État, a donné à son fils ce qu'on appelle l'intelligence pratique. Et le Seigneur Dieu a doté le gars d'une énergie et de talents irrépressibles - Alexey a fait tout ce qu'il a fait dans son enfance: il est allé dans un club de marionnettes, un club de danse, a joué dans une fanfare, était membre d'un ensemble vocal et instrumental, était fiancé dans de nombreux sports, particulièrement aimé le hockey, collectionné des timbres. ..

Après l'école, et il a terminé la première école, Alexey est entré à l'Institut de technologie de chimie fine de Moscou (maintenant c'est une académie). Il a donc choisi sa profession à l'époque - il est chimiste, et le chemin vers LUKOIL-Neftekhim est tout à fait naturel.

Bien sûr, beaucoup de gens sont diplômés d'instituts avec un diplôme de technologue en chimie, mais tous ne deviennent pas chefs de connu du monde entreprises. Alexey Smirnov avec années étudiantes s'est révélé être un leader actif en entrepreneuriat. Puis dans temps soviétique, cela ne s'appelait pas entrepreneuriat, cela s'appelait une "shabashka" - il passait chaque été étudiant à des emplois à temps partiel dans le district de Bezhetsk. Il réussit l'examen plus tôt que prévu et part pour Bezhetsk, où lui et un groupe d'enfants se rendent dans des fermes collectives et sont embauchés pour blanchir les étables, installer des séchoirs, faire des tranchées d'ensilage... C'était le cas chaque année pour les six années d'étudiants. . Pendant cinq mois par an, il travaillait dur et gagnait. Ensuite, il a gagné de l'argent pour sa première voiture, qu'il a ensuite vendue pour acheter du matériel et démarrer sa première production à l'usine de Bezhetskselmash dans un atelier vide.

Alexey est diplômé de l'institut, est retourné à Bezhetsk - sa mère lui a remis la clé de l'appartement, qu'elle a loué pour lui, et a dit: «Alors faisons-le tout seul. Nous avons rempli notre mission parentale ».

Dans notre conversation avec Aleksey Sergeevich, j'ai demandé : « Que pensez-vous, où seriez-vous maintenant et par qui, sans la perestroïka et tout ce qui a suivi et a radicalement changé la vie dans le pays ? Il répondit, presque sans hésitation : « Le directeur d'une des entreprises de Bezhetsk. Il a toujours mis l'accent sur le leadership. Une autre chose est que dans ce système, il aurait à peine réussi à percer jusqu'à l'Olympe, sur lequel il se trouve maintenant, même à l'âge de soixante ans.

Je dois dire cela en réponse à mon autre question : « De quels citoyens de Bezhe vous souvenez-vous avec une gratitude particulière ? - Alexey Sergeevich a répondu: "Je citerai deux noms - le directeur de la première école, le désormais décédé Fiodor Ivanovich Savin et Platov Vladimir Ignatievich. Je lui suis reconnaissant non pas en tant que gouverneur, mais en tant que directeur de Bezhetskselmash, qui m'a permis de démarrer ma première entreprise indépendante. »

À cette époque, la vie à l'usine s'arrêtait presque. Les machines à récolter le lin qui ont été produites ici ne sont plus nécessaires à personne. Les fermes collectives et d'État, qui semaient traditionnellement le lin, ont cessé de se livrer à cette culture à forte intensité de main-d'œuvre. A ce moment, Alexeï Smirnov ose se tourner vers Platov avec une demande de location d'un atelier vide afin d'y organiser sa propre petite production privée. Il faut dire cependant que la coopérative de Smirnov travaillait non seulement pour elle-même, mais aussi pour l'usine, ses produits étaient inscrits dans les registres de l'usine.

J'ai entendu dire par beaucoup que «Smirnov a commencé avec des peignes», mais d'une manière ou d'une autre, il ne l'a pas lié à la production chimique. Mais il s'avère que c'est de la chimie. Production de plastique, transformation du plastique.

Il a vraiment commencé avec les peignes et autres produits en plastique. C'était sa première coopérative. La première affaire sérieuse. Quelqu'un m'a dit à Bezhetsk que le président du comité exécutif du district, ayant alors rencontré Alexei, avait dit la phrase sacramentelle : « Ce type ira loin !

Tout a commencé avec des peignes en plastique. Et aujourd'hui, LUKOIL-Neftekhim produit non seulement du plastique, mais également des dizaines d'autres types de produits.

En fait, le groupe d'entreprises LUKOIL-Neftekhim a commencé avec un atelier vide à l'usine de Selmash. C'est du moins l'une des origines. Cet atelier vide a été rempli de vie par le jeune Alexei Smirnov. Le magasin a commencé à fonctionner en trois équipes. Smirnov a acheté du matériel, invité des spécialistes de Moscou et développé la production.

Je voudrais que les lecteurs, comme je l'ai fait dans ma conversation avec Smirnov, comprennent qu'il n'est pas venu à un endroit chaleureux à LUKOIL. Au contraire, il s'est battu, pilonné pendant dix ans, créant sa propre fabrication de produits chimiques, d'abord - à Bezhetsk, puis - à Moscou avec l'aide de ses camarades de classe de l'institut, puis, lorsqu'il l'a créé, il a proposé la coopération du géant LUKOIL (1997). C'était aussi rentable pour LUKOIL que pour Smirnov.

Extrait du livret publié pour le 5e anniversaire de Neftekhim :

« Dans le développement de ses projets de développement, l'entreprise procède à la fois de ses ressources propres et des ressources de la maison mère. À leur tour, les investissements stratégiques d'OAO « LUKOIL » dans l'industrie pétrochimique produisent déjà des avantages économiques. Dans un contexte de sursaturation périodique du marché du pétrole et des produits pétroliers, de baisse des prix, la production de produits pétrochimiques à plus forte valeur ajoutée s'avère très Affaires rentables... De plus, la demande stable de matières premières pétrochimiques réduit la dépendance unilatérale d'OAO « LUKOIL » sur les marchés des carburants ».

Sans frapper fort dans Caractéristiques et en termes, néanmoins, il convient de dire brièvement qu'aujourd'hui, le groupe d'entreprises dirigé par Smirnov occupe la première place, c'est-à-dire la première place dans la pétrochimie de la Russie. Et en Europe centrale et orientale aussi. La capacité totale des entreprises est de plus de 3 millions de tonnes de produits par an, environ 2 millions de tonnes par an de produits commercialisables. Les ventes l'an dernier étaient de 600 millions de dollars. Dans certains centres de la Russie et des pays voisins, LUKOIL-Neftekhim remplit des fonctions de formation de villes, assurant l'essentiel des paiements d'impôts et l'emploi de la population. Les entreprises de base sont situées sur le territoire de Stavropol, en région de Saratov, en Ukraine, en Lettonie. En Lettonie, l'entreprise possède un terminal pétrochimique dans le port de Ventspils. L'entreprise, dirons-nous, a ses intérêts partout dans le monde. LUKOIL Président V.Yu. Alekperov dit: "A mon avis, Alexey Smirnov dort plus dans les avions qu'à la maison."

Toutes les entreprises qui sont entrées dans l'entreprise ont dû être créées presque à partir de zéro - réparation, reconstruction, acquisition de nouvelles technologies. La pétrochimie soviétique était à la traîne par rapport au niveau mondial, les technologies étaient dépassées. Et après les ravages du début des années 90, la pétrochimie s'effondre complètement. Smirnov a donc dû restaurer l'économie détruite à une époque où personne dans le pays ne parlait de pétrochimie. Ils conduisaient des matières premières à vendre - c'est tout. Et ils sont devenus fabuleusement riches.

On peut dire que Smirnov est l'un des fondateurs de la nouvelle pétrochimie russe.

Les produits de l'entreprise sont achetés par les constructeurs, les métallurgistes, les travailleurs de l'alimentation et l'industrie légère. Les plastiques, en principe, sont maintenant utilisés dans toutes les industries. L'industrie du gaz est le plus gros consommateur de tuyaux en polyéthylène pour les réseaux de distribution de gaz basse pression... Maintenant, en Russie, c'est de plus en plus perceptible tendance mondiale remplacement des tuyaux métalliques par des tuyaux en plastique. Je citerai un extrait d'un entretien avec A.S. Smirnov au magazine d'affaires russe Focus pour montrer l'ampleur des pensées et des décisions managériales du chef d'entreprise :

L'entreprise a-t-elle un autre programme d'investissement?
- Jusqu'en 2010, nous prévoyons d'investir environ 500 millions de dollars, hors programme gazier. Y compris 243 millions est le programme d'investissement en Ukraine, les investissements à LUKOR. Le reste sera consacré au développement des entreprises russes Stavrolen et Saratovorgsintez.
- Quelle est la raison d'une si grande attention à l'Ukraine ?
- Notre programme d'investissement en Ukraine vise à réduire la dépendance de LUKOR vis-à-vis de l'approvisionnement en éthylène de Hongrie. Aujourd'hui, nous n'avons pas une consommation et une production équilibrées d'éthylène. Le fait est qu'à l'époque soviétique, l'usine ukrainienne "Oriana" était associée à des entreprises hongroises. Dans le cadre du CAEM, un programme éthylène a été adopté, qui naturellement ne fonctionne pas aujourd'hui. Les intérêts des nouveaux actionnaires de ces entreprises ne coïncident pas. Nous avons essayé de les mettre à la table des négociations et d'équilibrer leurs intérêts, mais nous n'avons pas réussi. Même avec la participation des gouvernements russe et hongrois et des représentants des ministères des Affaires étrangères des deux pays. Il y a eu un rapport sur ce sujet lors d'une rencontre entre le président russe et le Premier ministre. Mais il n'était pas possible d'équilibrer les intérêts. Par conséquent, nous avons décidé de mettre en œuvre un certain nombre de projets pour le développement indépendant de l'entreprise. Bien sûr, il nous serait plus facile d'acheter les actifs hongrois associés à LUKOR, mais nous n'avons pas pu déterminer un prix qui satisferait toutes les parties intéressées.
- De nombreux pétroliers russes ne cachent pas aujourd'hui leur intérêt pour la pétrochimie biélorusse. Par exemple, à "Naftan", "Polimir", d'autres entreprises...
- Malgré la pénurie de pétrole, Naftan a toujours été sur le marché et investit chaque année environ 30 à 40 millions de dollars en réparations et investissements. Il est plus facile de démolir Polymir et de construire une nouvelle usine d'éthylène à sa place. C'est un bon site pour de nouvelles constructions, une bonne infrastructure - il y a une raffinerie de pétrole de l'autre côté de la route, et c'est une garantie d'utilisation de la capacité de 50 %. Il y a une bonne logistique - il y a un marché orienté vers l'exportation à proximité. Il y a de bons coups. Aujourd'hui, l'usine est notre concurrente sur le marché russe pour la production de fibres que nous produisons à Saratov... "

Voici un aperçu de l'entretien que j'ai réalisé. Je comprends qu'il y a beaucoup de trucs techniques dans le texte, mais cette section montre clairement ce à quoi le leader pense, à quelles inquiétudes il vit et à quelles échelles il opère.

J'ai demandé à Alexei Sergeevich comment il comprenait le bonheur, qu'est-ce que c'est pour lui ? "Multiplier quelque chose de bien, c'est ce que le bonheur signifie pour moi."

J'étais dans la ville de Budennovsk qui souffre depuis longtemps Territoire de Stavropol, où se trouve l'entreprise "Neftekhim" "Stavrolen". C'est en train de former la ville là-bas. 3000 personnes travaillent dans l'entreprise. Après que Smirnov a pris cette usine presque effondrée sous son aile et l'a reconstruite, Stavrolen est devenu le plus grand producteur de polyéthylène basse densité en Russie. Les gens ont de bons revenus, la ville reçoit de bons paiements d'impôts, et en plus des impôts, il y a beaucoup d'aide. Rien qu'en 2001-2002, Budennovsk a reçu une aide caritative d'un montant de 7,5 millions de roubles. Maintenant, la ville a simplement changé - belle, moderne, confortable, avec des cafés, des snack-bars, des clubs. Belles rues, routes, maisons. Tout le monde dit qu'avec l'arrivée de Neftekhim, la ville est devenue plus propre et plus confortable. La tragédie de 1995, lorsque des combattants tchétchènes ont fait irruption dans la ville et capturé Budyonnovsk, s'estompe plus rapidement. hôpital de la ville fait leur bastion défensif.

Bien sûr, Smirnov peut ressentir sinon du bonheur, alors juste de la joie, en voyant comment la ville a changé.

Ou prenons la ville de Kalush en Ukraine. Père George, abbé du local Église orthodoxe, dit que LUKOIL-Neftekhim et Aleksey Sergeevich font personnellement beaucoup de charité pour les orthodoxes. L'entreprise LUKOR pour la production d'opeline et de polyéthylène est située à Kalush.

ukrainien église orthodoxe Du Patriarcat de Moscou a décerné Alexei Sergueïevitch pour bénévolat Ordre du Saint Égalité des Apôtres Prince Vladimir.

Nous sommes arrivés à un sujet sur lequel j'aimerais m'attarder plus en détail - la charité de Smirnov. Mais avant cela, je poserai une question à Alexeï Sergueïevitch : "Es-tu croyant ?" « Oui, un croyant. Et la foi en Bezhetsk m'a été révélée. En 1987, mes amis et moi avons contracté pour faire les réparations internes de l'église du Sauveur, alors nous nous préparions à célébrer le 1000e anniversaire de l'Orthodoxie en Russie. Le premier jour, je suis monté sous le dôme le long d'un long escalier de dix mètres - et je suis tombé. En tombant, il a touché le verre et s'est coupé la tête. Il y avait beaucoup de sang. L'une des femmes qui servaient et le temple a dit : « Vous n'êtes probablement pas baptisée. Je n'ai vraiment pas été baptisé. Alors, après cet incident, après avoir parlé avec le recteur, le Père Victor, de Dieu et de la vie, et de l'âme humaine, je me suis fait baptiser. Le père Stepan m'a baptisé. Je ne dirai pas que j'accomplis scrupuleusement tout ce qu'une personne qui va à l'église devrait accomplir, mais la foi est entrée dans mon âme. Pour moi, il y a certainement Dieu."

Et maintenant sur la charité. Peut-être que Smirnov n'aurait pas été aussi célèbre dans le territoire de Bezhetsk qu'il l'est maintenant, s'il n'avait pas aidé la ville comme il l'aide. La vie culturelle de Bezhetsk est largement basée sur Smirnov. Il invite les artistes les plus célèbres de Russie et les plus chers (et en termes monétaires) aux vacances de la ville. Lev Leshchenko, Sofia Rotaru, Larisa Dolina, Valery Leontyev, Laima Vaikule, Alsou ont déjà été les invités des Bezhets... Il aide la ville à acheter des instruments de musique, des chaises de théâtre, aide à publier des livres, à améliorer les aires de loisirs...

Il convient ici de spéculer sur les concepts d'un homme riche, d'un oligarque. Smirnov pense qu'il devrait y avoir autant de riches que possible, "il devrait y avoir beaucoup d'oligarques". Ils investiront dans la production, il y aura plus d'emplois, les revenus des gens augmenteront, une classe moyenne se formera - la base d'une société stable. L'écart entre riches et pauvres va se réduire. Bien que, bien sûr, il y aura toujours des pauvres et des riches, ils existent toujours dans tous les pays. Mais un riche normal n'a d'autre choix que d'investir dans le développement de la production et dans la charité. Maintenant, bien sûr, est la première étape de ce processus. Beaucoup d'argent va juste par le vent. Mais déjà maintenant, de nombreuses personnes sont prêtes à investir à la fois dans la terre et dans la production. Il suffit de rendre le cadre juridique acceptable. "Besoin de temps".

Smirnov raisonne de la même manière qu'Henry Ford le raisonnait, qui au début du 20ème siècle a secoué le monde industriel, réduisant fortement le coût de la voiture produite grâce à l'introduction de bandes transporteuses et d'autres améliorations, réduisant le coût et augmentant ainsi la demande. . Si en 1908, le modèle le moins cher coûtait 825 $, alors en 1926, le prix atteignait un plus bas historique - 290 $. Des millions de voitures ont été rapidement vendues, l'Amérique est devenue un "pays sur roues", Ford a considérablement augmenté les salaires des travailleurs. Au fur et à mesure que de nouveaux salaires plus élevés se sont répandus dans tout le pays, le résultat global a été la transformation des travailleurs industriels en une classe moyenne.

Smirnov espère aussi la création d'une classe moyenne et la nature même de l'homme. Une personne riche, suivant la loi morale posée en lui par Dieu, ne pensera pas qu'à elle-même.

À cet égard, je me souviens du Conseil populaire mondial de Russie, qui s'est tenu en décembre 2002 à la cathédrale du Christ-Sauveur. Il était entièrement consacré à l'interaction des traditions spirituelles et culturelles de la Russie et de l'économie moderne de la Russie. Le métropolite Kirill de Smolensk et Kaliningrad, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou, a parlé de manière très perçante et profonde sur ce sujet : « Système moderne valeurs, incitant une personne à faire de plus en plus d'efforts pour augmenter constamment le niveau de consommation personnelle de biens matériels, est pécheresse et vicieuse. L'église rappelle aux gens que activité économique ne peut être moralement et religieusement justifié que si une personne travaille non seulement pour elle-même et ses proches, mais aussi pour aider ceux qui sont dans le besoin. Cette motivation au travail peut être appelée la dimension spirituelle de l'économie. L'Église encourage une personne à travailler si efficacement qu'elle obtient le maximum de rendement et en même temps transférer le surplus à ceux qui sont incapables de gagner leur vie ou qui, en raison de la nature de leurs activités socialement utiles, ne devraient pas produire de valeurs matérielles . L'éthique orthodoxe postule un principe très important : l'économie doit être efficace et équitable.

La question se pose : une économie éthique peut-elle être durable ? Ce modèle économique n'est-il pas éphémère ? Je suis convaincu que ce n'est pas le cas. Ce serait une erreur de croire que la seule véritable incitation au développement des technologies économiques puisse être le désir d'obtenir de plus en plus d'avantages matériels. La Russie au début du 20e siècle était l'un des pays en développement les plus dynamiques. Moteur système économique pays à cette époque, il y avait des marchands russes, dont la plupart non seulement faisaient des affaires avec succès, mais aussi obéissaient strictement à l'église et coutumes folkloriques en participant sincèrement et activement à la vie de l'Église. Selon les traditions de la culture orthodoxe russe, la richesse n'était sujette à justification que si elle était utilisée pour le bien de tous. »

Ainsi, depuis que le pays est passé à économie de marché, seront et sont déjà des gens très riches. Mais tout le monde devrait en profiter. Ici, il s'agit déjà de lois et, dans une large mesure, de traditions, dont parle le métropolite Kirill.

Rappelons-nous à quel point les entrepreneurs russes ont fait du bien aux Stroganov, Demidov, Tretiakov, Ryabushinsky, Savva Timofeevich Morozov ... Avec leur argent, des orphelinats, des refuges, toutes sortes d'écoles, des universités ont été ouvertes, ils ont parrainé des scientifiques, des poètes et des artistes , le théâtre, a fait don des livres les plus riches aux universités, donné de l'argent aux personnes handicapées, construit des hôpitaux, aidé les étudiants avec des bourses, mis en place des cantines bon marché. Des temples ont été érigés.

Morozov, indépendamment de toute dépense, soutenait tout ce dans lequel il pressentait une influence importante sur la culture russe. Stanislavski croyait que sans Morozov, il n'y aurait pas de Théâtre d'art de Moscou (MKHAT).

LUKOIL-Neftekhim investit massivement dans la santé et l'éducation des personnes. Il y a beaucoup d'aide aux écoles, jardins d'enfants, orphelinats et orphelinats, équipes sportives d'enfants et de jeunes, maisons de créativité technique, équipes créatives amateurs. Va charité administrations municipales dans lesquelles se trouvent les entreprises de l'entreprise, assistance aux participants aux événements militaires, assistance à l'église. La société alloue chaque année 95 millions de roubles à des œuvres caritatives et au parrainage.

Nous semblons nous être éloignés de Bezhetsk, mais dans notre conversation avec Alexeï Sergueïevitch, nous sommes constamment revenus vers lui.

Ne pensez-vous pas que dans le siècle à venir, le sort de ces petites villes de comté comme Bezhetsk sera triste, la vie ici s'effacera?
- Non, ça n'a pas l'air. La Russie est organisée de telle sorte que chaque région a son propre caractéristiques historiques et votre point de vue. Je pense que le lin, qui n'est pas en demande actuellement, le sera. Après tout, la région a un énorme potentiel agricole. Le cadre juridique de la terre sera aboli - les investisseurs viendront et la vie ici reprendra. Il y a plusieurs grandes usines à Bezhetsk.
- Quels endroits du quartier de Bezhetsk aimez-vous particulièrement ?
- Tout d'abord, ma maison dans la ville de la rue Nechaev, que j'ai construite. Et maintenant, il y a aussi une maison dans le village de Bor. J'aime vraiment cet endroit. J'y chasse.

Petit à petit, notre conversation s'est transformée en interview éclair.

Alexey Sergeevich, à part la chasse, quels sont tes autres hobbies ?
- Je collectionnais les timbres, j'en ai beaucoup. Maintenant, je collectionne les montres.
- Là où il y a de la chasse, il y a de l'alcool. Que pensez-vous de l'alcool et du tabagisme?
- J'ai toujours eu une attitude négative à l'égard du tabagisme, même si à un moment donné j'ai fumé et que mon attitude envers l'alcool a changé - de normale à négative. Maintenant, je pense que boire est nocif. Il y a bien d'autres plaisirs.
- Votre femme est-elle Bezhan ou Moscovite ?
- Bezhechanka.
- Vos enfants?..
- Tatyana Germanovna et moi avons deux filles. La cadette, Irina, est scolarisée à Moscou, l'aînée, Tatiana, à Londres.
- Que penses-tu de la jeunesse d'aujourd'hui ?
- En fait, c'est la même chose qu'elle l'a toujours été. Tempérament, vif.
- Quels livres lisez-vous, quelle musique écoutez-vous, quels films regardez-vous ?
- Il n'y a pas de temps pour lire des livres. De la musique, j'aime le populaire soviétique. Je regarde nos films.
- Vous êtes fan ?
- Pas vraiment, mais je suis pour Spartak, il est sponsorisé par LUKOIL. Nous parrainons sérieusement l'équipe de football Zhemchuzhina-LUKOIL de Budennovsk.
- Lequel de hommes d'État passé et présent aimez-vous?
- De l'historique - Pierre Ier, du moderne - Loujkov.
- Êtes-vous membre d'un parti?
- Pas. À un moment donné, il a sympathisé avec les "Régions de Russie", qui ont maintenant rejoint le " Russie unie". Ensuite, ils avaient un bon programme.
- A quels processus associez-vous l'avenir du pays ?
- Avec le développement de l'industrie, avec une bonne cadre législatif pour ça.
- Que pensez-vous de notre télévision actuelle ?
- Amende.
- Qu'est-ce que tu n'aimes pas chez les gens et qu'est-ce que tu aimes ?
- Activement n'aime pas l'indifférence et la passivité. J'aime le professionnalisme.
- Quels journaux lisez-vous ?
- Le service de presse m'apporte quotidiennement des revues de dizaines de publications.

Au cours de la conversation, j'ai appris de manière inattendue qu'Alexey Sergeevich à l'Académie service publique sous le président de la Fédération de Russie se prépare à défendre une thèse pour le diplôme de candidat en sciences.

Voici une vie si riche.

Certaines personnes ont une devise dans leur vie. Je n'ai pas demandé à Smirnov s'il en avait un. Mais si on me demandait d'inventer cette devise, je la formulerais peut-être ainsi : « Ravivez, créez, augmentez le bien ! Il me semble que ces mots expriment le caractère dominant de la vie d'Aleksey Sergueïevitch. Il relance l'industrie, il crée certainement, s'efforçant de développer et d'étendre la production. Et il a dit lui-même que le bonheur pour lui réside dans la multiplication du bien. De nombreux habitants de Bege le connaissent personnellement, beaucoup le voient et le comprennent. Et pas seulement les habitants de Bege.

En russe, le mot « bon » a un double sens. Et certains lecteurs peuvent sourire, disent-ils, bien sûr, pour augmenter leur bien, bien sûr. Mais, peut-être, pas par hasard, mais sagement dans notre langue maternelle le bien a le sens de la richesse et a le sens de la bonne action. Notre peuple a déposé une grande sagesse ici, faisant allusion, nous disant que la richesse est donnée à une personne pour une bonne action. Et dans les proverbes, cela se reflétait: "C'est bien de créer - pour s'amuser", "Ne vous vantez pas en argent, vantez-vous en bien".

Il me semble que Smirnov fait partie de ces gens qui se sont enfoncés dans les problèmes et qui comprennent la vie de la même manière que les vrais travailleurs et patriotes de Russie l'ont toujours comprise.