Vers fil-de-fer (larves de taupins)
Casse-noix à semis - Agriotes sputator L. appartient à l'ordre des Coléoptères et à la famille des casse-noix (Elateridae). Coléoptère de 6 à 8,5 mm de long, brun foncé, parfois brun clair à pubescence grise ; pronotum allongé, légèrement plus long que large, légèrement plus foncé que les élytres ; bords du pronotum, des antennes et des pattes jaune brunâtre ; le prothorax d'en bas a une excroissance longue et étroite, qui pénètre dans une dépression sur le mésothorax; grâce à un tel dispositif, le casse-noix se retourne sur le dos, lorsque le corps est plié, saute et se tient sur ses pieds, tandis qu'un clic se fait entendre (avec l'aide de ses pattes trop courtes, le coléoptère renversé ne peut pas se retourner) . L'œuf est largement ovale, 0,5 mm de long, 0,3 mm de large, blanc, lisse. La larve du dernier stade est jaune à jaune foncé, jusqu'à 18,5 mm de long et 1,4 mm de large; dernier segment de l'abdomen deux fois plus long que large, oblong-ovale, se terminant par un apex conique à petite épine.
Pour les taupins, il est caractéristique que chez les larves, les trois paires de pattes pectorales soient de la même taille. La longueur des larves de la première année peut atteindre 5,0 mm, la seconde - jusqu'à 10, la troisième - jusqu'à 13,5, la quatrième - jusqu'à 18,5 mm. La larve mue 8 fois au cours de sa vie, c'est-à-dire qu'elle a 9 stades. La larve aux couvertures denses ressemble à un morceau de fil de fer, d'où le nom de "taupin".
Le casse-noix de semis est distribué dans la partie européenne de la Russie à partir de 60 ° N. sh. en Transcaucasie, dans la steppe forestière et la steppe Sibérie occidentale, à l'est du Ienisseï.
Le casse-noix semeur peuple les terres arables. Les coléoptères après avoir quitté le sol mènent une vie cachée et se cachent sous divers abris. Dans la zone forestière et la steppe forestière, le casse-noix à semis se développe pendant quatre ans, en régions du sud une génération de trois ans est possible.
Les coléoptères et les larves hibernent âges différents dans le sol, à une profondeur de 10 à 20 cm.Les coléoptères émergent du sol à partir d'avril dans le sud et à partir de la mi-mai dans régions du nord. Le vol des coléoptères se poursuit jusqu'en août. Les coléoptères sont actifs le soir et en partie la nuit. Ils mangent des céréales. Les femelles de mai à début juin pondent leurs œufs dans le sol près du collet des racines des plantes en petits groupes. La fertilité de la femelle est de 150 à 200 œufs. Développement embryonnaire en fonction de la latitude géographique et conditions météorologiques dure 10 à 45 jours. Longueur des larves écloses casse-noix aux graines 1.8-2.mm.
Les larves de casse-noix se nourrissent de jeunes racines de plantes sauvages et cultivées, ainsi que de grains gonflés de plantes cultivées semées au début du printemps. Étant hygrophiles, les larves restent au printemps dans les horizons supérieurs du sol, où il y a suffisamment d'humidité et où se trouvent les graines en germination et les jeunes racines des plantes. Au fur et à mesure que les horizons du sol s'assèchent et que le système racinaire se développe, les larves s'enfoncent plus bas. À l'automne, certaines larves descendent jusqu'à 105 cm de profondeur, bien que la majeure partie se situe à une profondeur de 30 à 45 cm.La plus grande profondeur d'occurrence des larves se produit dans un champ où le maïs, qui a un système racinaire profond, a poussé . Les larves de casse-noix endommagent le plus gravement les cultures céréalières et en particulier le maïs. Avec une grande population, les larves peuvent complètement détruire la culture.
Avec les céréales, les taupins endommagent les tubercules de pomme de terre, les racines de betteraves et de carottes; dans les pépinières, les plantes ligneuses et arbustives, les graines semées et les semis.
L'irrigation des champs dans les régions arides favorise la reproduction et l'accumulation des taupins sur les pentes engazonnées des canaux d'irrigation. La présence de chiendent dans de tels endroits est particulièrement favorable à la reproduction des taupins.
Mesures de lutte contre les taupins.
Pour identifier la population du sol par les taupins et déterminer leur âge et leur composition en espèces, un relevé des champs au début du printemps est effectué.
Le déchaumage, le labour profond d'automne, le travail du sol entre les rangs causent la mort un grand nombreœufs, larves et nymphes de taupins pondus dans le sol Le chaulage du sol réduit considérablement le nombre de taupins Maintenir les jachères propres et détruire les mauvaises herbes, en particulier le chiendent rampant, qui attire particulièrement les taupins Semis précoces, ainsi que planter des graines à une profondeur normale, assurer leur germination rapide et le développement des semis jusqu'à ce que les taupins atteignent complètement les horizons supérieurs de la couche arable.Dans les champs habités par des taupins (plus de 10 individus par 1 m 2), le lin, le sarrasin et des légumineuses annuelles sont semées, légèrement endommagées par ce ravageur.
Disponibilité dans période de printemps avant le semis, 5 à 8 taupins par 1 m 2 dans la zone non chernozem et 2 à 3 taupins par 1 m 2 dans la zone chernozem constituent une menace pour les cultures de plein champ et labourées. Avec le nombre indiqué, une protection chimique est appliquée: traitement des semences avant le semis, application d'insecticides en ruban simultanément au semis (les semoirs pour l'application de pesticides en ruban seront spécialement équipés).
puceron du poisPuceron du pois - Acyrthosiphon pisum Harris. (Famille des pucerons - Aphididae, nég. Homoptera). Femelle parthénogénétique aptère atteignant 4-5,5 mm de long, vert clair ; antennes longues (en règle générale, un peu plus longues que le corps), à 6 segments, assises sur des tubercules frontaux, quatre premiers segments verts, deux derniers sombres ; extrémités des fémurs à bordure annulaire brune, extrémités des tibias et des tarses noirs ; les tubes de jus sont longs, verts, s'assombrissant légèrement vers le haut ; la queue est vert pâle et dans sa partie médiane est au moins 3 fois plus épaisse que les tubules. La femelle parthénogénétique ailée est verte, avec un abdomen et des antennes plus foncés. Les femelles de la génération bisexuée sont sans ailes et diffèrent des femelles parthénogénétiques par un tibia postérieur épaissi, une taille un peu plus petite et une coloration vert blanchâtre. Mâles d'environ 2,5 mm de long, ailés.
Distribué partout, au nord jusqu'à 67°N. sh. Il nuit gravement aux cultures de pois dans les parties sud et est de la zone non chernozem.
Dans la bande nord et centrale de la Russie, les œufs hibernent et dans Asie centrale- œufs, femelles parthénogénétiques et larves de tous âges. Les œufs d'hivernage se trouvent principalement sur les parties inférieures des tiges des plantes légumineuses vivaces et bisannuelles - cultivées et adventices, particulièrement souvent sur la luzerne, le trèfle, le sainfoin, la steelwort et le menton. De nombreux œufs sont pondus en automne sur les pousses de pois post-récolte (charognes). En mai (en Asie centrale déjà en mars), les larves émergent des œufs hivernés. Au cours du processus de croissance et de développement, ils muent 4 fois et après 10-15 jours se transforment en femelles fondatrices. Les femelles se reproduisent virginalement (reproduction parthénogénétique), donnant naissance à des larves. La fertilité est de 50 à 170 larves, en moyenne environ 80 (avec une espérance de vie d'environ 2-3 semaines). A partir de la troisième génération, certaines larves se transforment en femelles ailées colonisatrices, migrant vers plantes légumineuses et y fonder de nouvelles colonies. La fécondité des femelles ailées est en moyenne d'environ 30 larves, maximum 62. En été, la larve se développe en 8 à 10 jours. Pendant la saison de croissance, les pucerons du pois peuvent produire voie du milieu 4-12 générations (dont 5-6 sur pois avant récolte), sur terres irriguées jusqu'à 20-22 générations.
À la fin de l'été, des rayures ailées éclosent sur les plantes fourragères secondaires, volant vers les plantes primaires - les légumineuses vivaces. Plus causes probables les migrations de pucerons à la fin de la saison de croissance sont le changement de longueur Heures de jour, la température de l'air, la chimie des plantes et la densité de population. Ces facteurs agissent de manière interdépendante, chacun d'eux pouvant renforcer ou affaiblir l'effet de l'autre.
Les lamelles qui se sont envolées vers les plantes alimentaires primaires donnent naissance à des larves, qui se transforment en femelles sans ailes de la génération bisexuée ; les mauvaises herbes restant sur les plantes fourragères secondaires donnent naissance à des larves mâles. Les mâles volent vers les femelles qui, après l'accouplement, pondent un ou plusieurs œufs sur la partie inférieure des tiges et d'autres parties des plantes. Au total, la femelle pond généralement jusqu'à 10 œufs, parfois jusqu'à 18. La période de ponte dure jusqu'à 10 jours.
Le puceron du pois endommage également le pois, la vesce, la lentille, le haricot, le trèfle, la luzerne, le pois souris, le haricot mungo, le niébé, etc. Les pucerons se nourrissent principalement des parties supérieures des plantes. Ils sucent le jus des feuilles, des fleurs, des fruits et des tiges. À la suite de dégâts, les feuilles s'enroulent, les fruits se développent plus lentement, les pousses sont courbées et rabougries, le rendement en graines est réduit et leur qualité de semis se détériore. Les pucerons représentent un danger important pendant la période de bourgeonnement et de floraison.
Selon V. V. Ryakhovsky (1967), dans la région de Louhansk en 1964, sur des champs exempts de parasites, une récolte de pois de 16 à 19 cents par 1 ha a été obtenue, et dans les zones peuplées de pucerons, de 4 à 6 cents par 1 ha, c'est-à-dire 12-13 centièmes de moins.
Le nombre de ravageurs est réduit par les fortes pluies, qui font tomber les pucerons au sol, et le temps froid, dans lequel le développement est retardé, et dans les régions du sud, la sécheresse.
Des mesures de contrôle.
Semer des légumineuses à grains dans un délai court et précoce et utiliser des variétés à maturation précoce, car ces dernières sont moins endommagées par les pucerons (par exemple, la variété de pois Uladovskin 303). Isolement spatial des cultures de légumineuses pérennes et céréalières du fait qu'une partie importante des pucerons hiverne dans les zones de légumineuses pérennes. Coupe basse des graminées vivaces pour tuer les œufs de pucerons. Destruction des semis de pois charognards avant le début de la ponte des pucerons Dans des conditions d'irrigation, l'utilisation de l'arrosage artificiel, grâce à laquelle, selon A. A. Kuzin (1972), jusqu'à 70% des pucerons peuvent être détruits.
Parmi les méthodes chimiques, la pulvérisation et le saupoudrage d'insecticides sont utilisés.
Carpocapse de la pomme.Carpocapse de la pomme - Cagrocapsa (Laspeyresia) poponella L. (ver des feuilles de la famille - Tortricidae, ordre des lépidoptères - lépidoptères). Papillons d'une envergure de 18-21 mm; les ailes antérieures sont allongées, grises avec une teinte violette, avec de nombreuses lignes ondulées transversales sombres, aux extrémités des ailes le long d'une tache ovale brun foncé avec trois crochets incurvés en bronze brillant. Ailes postérieures gris brunâtre; au repos, les ailes se replient en forme de toit. L'œuf est rond, aplati, blanc laiteux, translucide, apparaît verdâtre sur un fond vert du fruit ou de la feuille, 0,9-1,0 mm de diamètre. Chenille 17-19 mm de long; dessus - rose pâle, sur les côtés et en dessous jaune clair. Nymphe de 9-12 mm de long, brun clair avec une teinte dorée.
Largement distribué dans toute la zone de croissance du pommier. Abîme les fruits de pomme, poire, prune, abricot, pêche, coing.
Les chenilles qui ont fini de se nourrir hivernent dans des cocons denses sous l'écorce en retard, dans les fissures de l'écorce des arbres, les crevasses des supports, dans les conteneurs d'emballage, les salles de tri, les entrepôts de fruits, dans les fruits momifiés et dans les restes de plantes. Dans les jeunes jardins, du fait de l'écorce lisse des troncs, impropre au cocooning, un nombre important de chenilles hibernent dans couche supérieure sol, principalement au niveau du collet. Ils se nymphosent au printemps lorsque la température quotidienne moyenne de l'air dépasse 10 °C (seuil inférieur pour le développement du carpocapse de la pomme). Les pupes se développent au printemps pendant 14 à 20 jours, en été - 12 à 16 jours. La nymphose de toutes les chenilles ayant hiverné a lieu dans les 35 à 40 jours. Cette extension accompagne en outre les stades ultérieurs de développement du ravageur. L'émergence des papillons coïncide le plus souvent avec la fin de la floraison du pommier lorsque la somme des températures effectives atteint 100-130°. Les années des papillons de première génération durent de 1,5 à 2 mois. Les papillons ont besoin de gouttes d'eau. Les papillons sont les plus actifs le soir de 19 à 24 heures.
Pour une vie normale, les papillons ont besoin des combinaisons suivantes de conditions météorologiques après le coucher du soleil (les papillons sont actifs le soir): température non inférieure à 16 ° C, vent ne dépassant pas 3,5 m / s, pas de précipitations. La ponte commence le 3-6ème jour après l'émergence des papillons, masse - le 6-12ème jour. Les femelles pondent leurs œufs sur les feuilles et les fruits, moins souvent sur l'écorce des jeunes pousses. Dans le même temps, les papillons sont moins enclins à pondre des œufs sur des feuilles et des fruits pubescents. La chimiotaxie joue un rôle important : l'odeur des fruits attire les papillons. Par conséquent, les papillons de la deuxième génération du carpocapse de la pomme volent des arbres des variétés estivales de pommiers, qui ont été récoltées, aux variétés à maturation tardive, augmentant ainsi les dommages aux fruits de ces derniers. La fertilité de la femelle est de 60 à 120 œufs. Le développement des œufs de la première génération prend 9 à 12 jours, la seconde 7 à 9 jours. Les chenilles qui ont émergé des œufs rampent pendant un certain temps (1 à 3 heures) à la surface des feuilles et des fruits, puis mordent dans les fruits, tressent les entrées avec des toiles d'araignées, des talons et se nourrissent de la pulpe et des graines.
Pendant les 2-3 premiers jours, la chenille se nourrit sous la peau du fruit. Après la première mue, elle ronge un chemin sinueux vers la chambre à graines et mue une seconde fois. La troisième mue se produit dans la chambre à graines, où la chenille se nourrit des graines. Après cela, les chenilles passent dans le deuxième et parfois dans le troisième fruit. L'alimentation dure 21 à 23 jours dans le sud, 25 à 30 jours dans la zone forêt-steppe et jusqu'à 35 à 40 jours dans le nord de l'aire de répartition. Après la quatrième mue, les chenilles quittent les fruits et partent en cocooning.
Dans les régions du nord (régions de Sverdlovsk, Perm, Vladimir, Leningrad), le ravageur se développe principalement en une génération et les chenilles coconnées restent jusqu'à l'hiver. Selon V. P. Vasiliev (1955), le développement de la deuxième génération de carpocapse de la pomme n'est possible que si la somme des températures effectives (supérieures à 10°C) atteint 550-600°C avant le début du mois d'août.
Dans la région de Riazan, la deuxième génération est partielle.
Le développement complet de deux générations est possible sous condition d'apport de chaleur, caractérisé par la somme des températures effectives de 1400-1500 ° (à un seuil de +<10°), что в Рязанской области не достигается.
Dans toutes les zones, la nymphose du carpocapse s'arrête du 10 au 12 août, ce qui est dû à une diminution des heures d'ensoleillement, qui joue un rôle majeur dans la régulation de la diapause du ravageur.
Les chenilles se nourrissent à l'intérieur du fruit de la pulpe et des graines. Les passages des chenilles dans les fruits sont remplis d'excréments bruns secs. Les fruits endommagés tombent et pourrissent souvent. Les chenilles de la première génération endommagent 2-3 fruits, la seconde - 1-2. Le plus souvent, il y a une chenille dans un fruit, mais avec un petit rendement et un grand nombre de carpocapses, deux voire trois chenilles peuvent pénétrer dans les fruits. Comme le montrent les calculs effectués dans les conditions de la région de Kharkiv, en tenant compte de toutes les caractéristiques du développement et de la survie du ravageur, la progéniture d'une paire de papillons (femelle et mâle) sur deux générations peut endommager de 700 à 900 fruits à la pomme. Là où il n'y a pas de lutte systématique contre le carpocapse, les dommages aux fruits atteignent 80 à 90 %.
Des mesures de contrôle.
Lors de la pose de nouveaux vergers, placement de quartiers de variétés d'été à une distance d'au moins 100 m des quartiers de variétés d'automne et d'hiver. Après la fin de la récolte, collecte et destruction des restes de matériaux d'emballage, de paille et de gazon utilisés pour l'installation des supports, ainsi que des fruits momifiés tombés, dans lesquels les chenilles du carpocapse restent souvent pour l'hivernage; en automne, nettoyage de l'écorce morte des fûts et des branches épaisses des vieux arbres sur la litière, suivi de son brûlage ; labour d'automne du sol dans un jeune jardin; fumigation des conteneurs, supports, escaliers avec du dioxyde de soufre dans des chambres ou des tranchées hermétiquement fermées (consommation de soufre 2-3 kg par 10 m3 avec une exposition de 2 jours); collecte de charognes après des vents violents, ce qui permet de retirer un grand nombre de chenilles dans les fruits du jardin; pour attraper les chenilles du carpocapse de la pomme pendant la période de récolte, autour des aires de tri, des hangars et des sites d'emballage, des barrières de piège doivent être disposées à partir de piquets dépassant d'environ 20 cm au-dessus de la surface du sol, entrelacés avec des bottes de paille et des chiffons (après le retrait des fruits, piège les barrières sont brûlées); Caterpillar capture à l'aide de ceintures de piégeage (dans les zones avec une génération de carpocapse, des ceintures de piégeage sont appliquées sur les troncs et les branches squelettiques des arbres le 20e jour après le début de l'éclosion des chenilles, dans les zones avec deux générations - dans le première décade d'août).
Avec une population de 2-3 œufs de carpocapse de la pomme pour 100 fruits, il est nécessaire de mener une lutte chimique contre celle-ci.
La pulvérisation contre la première génération doit être effectuée 1 à 2 jours avant la libération de la première.
La durée de la première pulvérisation contre le carpocapse peut être déterminée approximativement en atteignant la somme des températures effectives de l'air en moyenne 220-240 °, plus précisément en observant le ravageur dans la chambre d'isolement avec une branche de pommier qui y est passée. Pour ce faire, il faut récolter au moins 200 cocons dans les lieux d'hivernage avant le départ de la première génération de papillons, les placer au fond de l'isolateur en les recouvrant de morceaux d'écorce. Ces observations permettent de déterminer la dynamique d'émergence, de ponte, d'éclosion des chenilles et de survie des papillons pendant l'hivernage. L'apparition d'un anneau brun sur les premiers œufs pondus indique qu'il reste environ 1 à 2 jours avant l'émergence des chenilles et que les premières pulvérisations d'insecticides doivent commencer.
La deuxième pulvérisation contre le carpocapse de la première génération est effectuée après 12 à 18 jours (selon la durée de l'insecticide appliqué pour la première fois).
Le huitième jour après le début de l'été des papillons du carpocapse de la pomme de la deuxième génération (la période est fixée en surveillant le ravageur dans des ceintures de chasse d'essai et dans des isolateurs spéciaux placés dans la cime de l'arbre), variétés d'automne et les périodes de maturation hivernale sont traitées pour la troisième fois.
Tableau 1. Informations sur les ravageurs des cultures protégées
| Nom de culture | Nom du ravageur | Phase d'hivernage et lieu d'hivernage | Phase nocive | Phase vulnérable | Nature des dommages | Nombre de générations | Temps de traitement chimique (phase nuisible, phénophase végétale, phénosignaux) |
| Pomme de terre | Vers fil-de-fer (larves de taupins) | Coléoptères et larves d'âges différents dans le sol, à une profondeur de 10-20 cm | Larve | Larve (ne pas traiter les adultes) | Le rongement se déplace à l'intérieur du tubercule | Un atterrissage | |
| Pois | puceron du pois | Oeufs sur les parties inférieures des tiges charognardes. | Imago | Toutes les étapes | Inhibition de la plante, déformation et broyage des parties atteintes dues à l'aspiration du jus par les pucerons de divers organes | Pulvérisation pendant la saison de croissance, lorsque le nombre d'EPV est dépassé. | |
| pommier | carpocapse de la pomme | Chenilles dans des cocons sous l'écorce, dans des fissures, sur des débris végétaux, etc. | chenille | Chenilles sortantes, papillon (imago) | Ronger la pulpe des fruits et des graines | La 1ère pulvérisation est effectuée lorsque 5 à 7 mâles tombent dans 1 piège à phéromones par semaine et lorsque la somme des températures effectives atteint 108°C (au bout de 5 à 7 jours). 2ème - après 12-18 jours (selon la durée du médicament, qui a effectué la 1ère pulvérisation) |
Maladies
gale de la pomme de terreLa gale commune de la pomme de terre est omniprésente. À la surface du tubercule atteint, des ulcères peu profonds de forme arrondie irrégulière sont visibles, d'un diamètre de plusieurs millimètres à 1 cm ou plus. Fusionnant, les ulcères forment souvent une croûte continue. La tavelure peut également affecter les stolons et les racines.
Il existe quatre types de gale commune : plate, convexe, profonde et réticulée.
La gale plate apparaît principalement sur les jeunes tubercules et se caractérise par des dommages à la peau ou seulement à la couche supérieure du périderme. Des ulcères ressemblant à des gales brun rouille se forment sur les tubercules.
La gale bombée a l'apparence de croûtes ou de verrues surélevées.
La gale profonde forme des ulcères enfoncés dans la pulpe (jusqu'à 0,5 cm). Leurs bords sont souvent relevés, le fond est rougeâtre ou violet. Ce type de gale apparaît généralement pendant la période de récolte des pommes de terre.
La gale maillée est caractérisée par une surface rugueuse continue sous la forme de rainures peu profondes se croisant mutuellement ressemblant à une grille.
Le développement de divers types de gale commune dépend de la profondeur de l'impact des pathogènes, qui à son tour est déterminée par les caractéristiques variétales de la pomme de terre et les conditions environnementales.
La tavelure se développe principalement sur les lentilles tubercules, qui, en grandissant, déchirent la peau dans différentes directions, et parfois en forme d'étoile. Dans le même temps, la majeure partie du périderme est séparée des tissus sains sous-jacents par une couche de cellules bouchées.
Les agents responsables de la gale commune sont des champignons rayonnants ou actinomycètes. Le plus courant est Streptomyces scabies Waks. et Henr (Actinomyces scabies Giissow) du genre Streptomyces de la famille des Streptomycetaceae. Ce pathogène est un aérobie, la température optimale pour son développement est de 25-27 °C. Il se cultive facilement sur des milieux artificiels, formant des colonies denses plissées bosselées de couleur jaunâtre ou jaune-brun. Le mycélium est bien développé, non cloisonné, arborescent. Sur les fils principaux du mycélium, des hyphes aériennes se développent avec des spores porteuses de spores torsadées en hélice, sur lesquelles se développent de petites spores oblongues cylindriques de 1,2-1,5 x 0,8-1,0 microns.
En déterrant des pommes de terre dans un sol humide, dans les profondeurs des plaies de gale, on peut souvent voir un revêtement grisâtre, verdâtre ou d'une autre couleur de champignons rayonnants, qui disparaît rapidement dans l'air. Au microscope, on peut voir que les cellules des lenticelles affectées sont envahies, bouchées et enveloppées dans différentes directions en plusieurs couches.
Les actinomycètes responsables de la gale commune vivent également dans le sol sur divers résidus organiques. Le club est plus souvent affecté sur des sols légers et limoneux avec une réaction légèrement alcaline. Sur les sols acides tourbeux, la maladie ne se produit pas.
Avec l'épandage d'automne de fumier pour les pommes de terre, le développement de la gale commune augmente quelque peu, et lorsque l'engrais vert est utilisé, il diminue. Le chaulage du sol augmente l'incidence des tubercules de gale commune. Par conséquent, il est recommandé d'appliquer la chaux pour les pommes de terre en petites portions (4-5 c/ha) avec l'utilisation obligatoire de doses accrues d'engrais minéraux au printemps. Les années sèches avec des étés chauds, on observe un développement plus fort de la gale commune que les années fraîches et humides.
Les tubercules atteints de tavelure ont un aspect peu attrayant et des qualités gustatives et commerciales moindres, car ils contiennent moins d'amidon. La qualité de conservation de ces tubercules se détériore et pendant le stockage, ils pourrissent beaucoup plus rapidement. Les tubercules gravement atteints ne conviennent pas à la plantation, car ils ont souvent une germination réduite et donnent un faible rendement. Une résistance accrue à la maladie a été notée dans les variétés Bogatyr, Vita, Detskoselsky, Ermak améliorées, etc.
Mesures de protection.
De fortes doses de fumier de paille non mûri ne doivent pas être appliquées avant la plantation des tubercules.
Les tubercules sont analysés à l'automne avant la ponte et au printemps avant la plantation. Les pommes de terre de semence ne doivent pas contenir plus de 12 % de tubercules atteints. Respect de la rotation des cultures, dans laquelle les pommes de terre sont remises à leur place d'origine au plus tôt après 3-4 ans. Les meilleurs prédécesseurs sont les céréales d'hiver, le renouvellement de la couche de graminées vivaces, les mélanges légumineuses-graminées, les jachères occupées, le maïs, les betteraves et autres cultures en lignes.
Application d'engrais minéraux et d'oligo-éléments conformément aux recommandations des laboratoires agrochimiques. Une augmentation des doses recommandées de potassium de 10 à 15 % augmente la résistance des pommes de terre à la gale commune. L'introduction de chaux pas plus de 0,5 normes d'acidité hydrolytique inhibe également le développement de la gale commune.
La culture de variétés résistantes est possible.
Rouille du poisOn le retrouve généralement en début de floraison par l'apparition sur les feuilles et les tiges de grosses pustules poudreuses brun clair - urédinies à disposition concentrique. Plus tard, des pustules brun foncé - télies, parfois en forme de cercles, se forment sur les organes aériens. Avec une forte défaite, les feuilles se dessèchent prématurément et tombent, les haricots sont sous-développés.
L'agent causal de la maladie est le champignon dioïque Uromyces pisi Schroet (classe Basidiomycètes (Basidiomycètes), sous-classe Teliobasidiomycètes (Teliobasidiomycetidae), ordre de la rouille (Uredinales), famille Pucciniaceae (Pucciniaceae) genre Uromyces (Uromyces) - un agent pathogène avec un cycle complet de Sur le pois, il développe des urédinium et des téliostades, ainsi que des spermagones et des éciostades - sur des espèces d'asclépiade (Euphorbia).Les urédospores sont unicellulaires, sphériques, de 21 à 25 microns de diamètre, recouvertes de rares verrues. 14-22 microns, finement verruqueuse, avec une courte patte tombante incolore.
Sur pois, le champignon peut former plusieurs générations d'urédospores. Des précipitations fréquentes et une température de l'air de 20 à 25 ° C contribuent au développement de la maladie.
Outre U. pisi, la rouille des pois est souvent causée par U. fabae f. pisi sativa Hiretsuka. Ce champignon est monoïque, forme toutes les étapes de son développement sur les pois. Ses urédospores sont arrondies, solitaires, épineuses, marron clair, 21-30 X 18-26 µm. Les téliospores sont unicellulaires, arrondies, de 25-40 X 18-28 microns, lisses sur une tige incolore.
L'agent pathogène survit sous forme de téliospores sur les débris végétaux, tandis que U.pisi peut survivre sous forme de mycélium sur les rhizomes d'asclépiade. Dans ce cas, l'euphorbe poussant au printemps devient contagieuse pour les pois.
La nocivité de la rouille réside dans la violation des processus physiologiques et biochimiques de la plante, la photosynthèse est particulièrement réduite. Le déficit de la récolte de pois peut atteindre 30% ou plus. Avec un excès d'azote dans le sol, la maladie s'intensifie.
Des mesures de contrôle.
L'une des pratiques agricoles obligatoires qui garantissent la protection des cultures de pois contre les maladies est le respect de la rotation correcte des cultures, avec le retour des pois à leur place d'origine au plus tôt après 4 ans. Par conséquent, ils ne peuvent pas être des précurseurs du pois. Les meilleurs prédécesseurs des pois sont les céréales.
Lorsque vous placez des cultures de pois dans des champs de rotation des cultures, il faut veiller à ce qu'ils ne soient pas situés à côté de champs où des légumineuses à grains et des graminées vivaces ont été cultivées l'année dernière.
Le traitement avec des fongicides contre la rouille est effectué pendant la saison de croissance.
Il n'y a pas de variétés résistantes à la rouille.
tavelure de la pommeIl s'agit de la maladie la plus courante et la plus nocive dans les vergers fruitiers, en particulier les années où les précipitations estivales sont abondantes et les températures modérées. La maladie est causée par des champignons qui se spécialisent dans l'infection d'un pommier ou d'un poirier. L'agent causal de la tavelure du pommier est le champignon marsupial Venturia inaequalis (Cke.) Wint (classe des Ascomycètes (Ascomycètes), sous-classe des marsupiaux (Loculoascomycetidae), ordre pléosporal (Pleosporales), genre Venturia (Venturia)).
La tavelure affecte les feuilles, les sépales, les tiges, les fruits. Légèrement jaunâtre, comme si des taches huileuses apparaissaient d'abord sur les feuilles. Plus tard, ils acquièrent une couleur brun verdâtre, un revêtement velouté est visible à leur surface. Sur les feuilles du pommier, les taches de gale sont situées principalement sur la face supérieure. Le nombre de taches et leur taille dépendent de la variété, des conditions climatiques et de l'âge des feuilles. Les feuilles gravement atteintes se dessèchent et tombent prématurément. Les taches sur les fruits sont rondes, de couleur foncée, avec un bord clair très étroit. La surface des taches est également recouverte d'un enduit brun olive. Lorsque les jeunes fruits sont infectés, ils deviennent laids et poussent mal. Sur les pousses atteintes de gale, des gonflements se forment, qui se fissurent ensuite, la plaque est visible dans les fissures, comme sur les taches des feuilles atteintes.
La nocivité de la tavelure se traduit par une baisse de rendement et une détérioration de sa qualité. Ceci est la conséquence d'une diminution de la surface d'assimilation des feuilles, d'une forte augmentation de la transpiration, d'une chute prématurée des feuilles, d'une détérioration du remplissage des fruits et d'une diminution de leur teneur en sucre, et de la laideur des fruits. De graves dommages à la gale entraînent une diminution de la croissance, un sous-développement des reins et une diminution de la résistance à l'hiver.
L'agent pathogène persiste sur les feuilles atteintes tombées sous la forme de fructifications - pseudothèces. Au printemps, par temps de pluie, des spores de sacs se forment qui, à maturité, provoquent une primo-infection. Si le temps est chaud et sec au cours du premier mois de la saison de croissance, la primo-infection par la tavelure est faible en raison de la maturation tardive des spores du sac. La période d'incubation dure de 8 à 21 jours. À une température de 17-21 ° C, il est égal à 10 jours. Les premiers signes de gale se trouvent généralement lors de la chute massive des pétales. La tavelure apparaît sur les organes végétatifs des plantes au stade conidien. Lorsque les conidies mûrissent sous l'épiderme de la feuille, celle-ci se fissure et les conidies se propagent facilement aux plantes saines, les infectant. Au cours d'une saison de croissance, le champignon peut produire 5 à 8 générations de conidies. La période d'incubation de l'infection conidienne est la même. Sur les taches de gale qui apparaissent, des spores asexuées d'été se forment, ce qui provoque une réinfection, qui se propage particulièrement fortement dans des conditions humides. La gale plus forte affecte les arbres à cime dense, dans les jardins mal ventilés, les plantes à croissance annuelle abondante.
Les cultivars de pommier et de poirier diffèrent grandement dans leur résistance à la tavelure. Les variétés de pommiers Bellefleur-Chinois, Grushovka Moskva, Borovinka, Babushkino, Melba, Renet Semirenko, Mantet et d'autres sont particulièrement touchées.
Mesures de protection.
Pour détruire l'agent pathogène hivernant, il est nécessaire de labourer les feuilles mortes, d'effectuer une pulvérisation d'éradication une fois tous les 2-3 ans. Elle est réalisée après la chute des feuilles ou au début du printemps avant le débourrement.
Dans le cas d'un fort développement de la tavelure l'année précédente et si des pulvérisations d'éradication n'ont pas été effectuées, le premier traitement contre la tavelure est effectué en fonction de la prévision de l'été des spores du sac de tavelure ou est programmé pour coïncider avec la phase de isolement des bourgeons.
En été, la protection est construite en traitements fongicides périodiques, en commençant par le traitement immédiatement après la floraison.
Il est également préférable d'aménager des jardins en plantant des variétés plus résistantes, telles que Jonathan, Wagner Prize, Welsey, Parmen Winter Gold, Imrus, etc.
Tableau 2. Informations sur les maladies des plantes protégées
| Nom de culture | Nom de la maladie et de l'agent pathogène | Étape d'hivernage et lieu d'hivernage | Source d'infection primaire et secondaire | Mode de répartition | Symptômes de la maladie | Moment du traitement chimique (saison, phénophase de la plante, signes de maladie) |
| Pomme de terre | Agent pathogène de la gale - Streptomyces scabies | Sur tubercules atteints | Spores dans le sol sur les débris végétaux | Plaques mycéliennes et spores | Ulcères peu profonds de forme ronde irrégulière, d'un diamètre de plusieurs millimètres à 1 cm ou plus; fusionnant, les ulcères forment souvent une croûte continue; les stolons et les racines peuvent également être touchés. | Traitement des tubercules avant la plantation |
| Pois | Rouille, agent pathogène - Uromyces pisi, parfois Uromyces fabae f. pisi sativa | Téliospores sur les débris végétaux, également mycélium sur les rhizomes d'asclépiade | I) Téliospores sur débris végétaux II) Urédospores |
Urédospores, téliospores, spermatozoïdes, étiospores | Au début de la floraison - sur les feuilles et les tiges se trouvent de grandes pustules poudreuses brun clair - urédinia; plus tard, des pustules brun foncé se forment - telia; avec une forte lésion, les feuilles se dessèchent et tombent prématurément, les haricots sont sous-développés | Le premier traitement avec l'apparition de pustules simples, le second - après 7 à 16 jours (selon le médicament) |
| pommier | Gale, agent causal - Ventura inaequalis | Pseudothécies sur débris végétaux | I) Pseudothécies (ascospores) II) Conidies |
Pendant la saison de croissance - conidies |
Sur les feuilles se trouvent des taches brunes recouvertes d'un revêtement velouté de couleur olive. Sur les fruits, il y a des taches sombres rondes avec un bord et une fleur étroits, gonflées | Pulvérisations d'éradication en automne après la chute des feuilles ou au printemps avant le débourrement, pulvérisations préventives, pulvérisations symptomatiques. |
Agriotes sputator L. - Coléoptère des noix.
positionnement systématique.
Classe Insecta, ordre Coleoptera, famille Elateridae, sous-famille Elaterinae, genre Agriotes.
groupe biologique.
Ravageurs polyphages du sol.
Morphologie et biologie.
Longueur du corps 6-9 mm, largeur 1,8-2,8 mm. Tête uniformément convexe vers l'avant, densément ponctuée. Les antennes atteignent les sommets des angles postérieurs du pronotum. Pronotum légèrement convexe, oblong, presque égal en longueur et en largeur, avec de petites perforations denses. Le corps est brun noir, les antennes et les pattes sont fauve clair, la marge antérieure du pronotum est rouge brunâtre. Elytres brun ou rouge-roux avec une teinte jaunâtre. Moins fréquemment, la couleur du corps est brun-noir, noir ou rouge-rougeâtre. Tout le corps de l'adulte est couvert de poils gris denses. Les larves sont jaunes, jusqu'à 20 mm de long, jusqu'à 1,5 mm de large, allongées et rigides. Pour leur apparence particulière, ils étaient appelés taupins. Mandibules avec une petite dent au milieu. Les adultes et les larves hibernent. Les coléoptères sont actifs de fin avril à mai et dans les régions du nord à partir de juin. La période d'activité des coléoptères est de 1 à 2 mois. Fertilité jusqu'à 100 œufs ou plus. Les œufs se développent 12 à 18 jours. Les larves, en fonction de la température et de l'humidité, se développent de 2 à 4 ans. La nymphose a lieu en juillet-août, les pupes se développent pendant 2-3 semaines. Le cycle de développement d'une génération complète dure de 3 à 5 ans.
Diffusion.
Largement distribué dans les zones de steppe et de forêt-steppe, trouvé dans le sud de la zone de taïga. La gamme couvre la partie européenne de b. L'URSS au nord jusqu'à Saint-Pétersbourg, comprend la Crimée, le Caucase et la Transcaucasie, le nord du Kazakhstan, le sud de la Sibérie des montagnes de l'Oural à la Transbaïkalie, les contreforts d'Alatau. Trouvé en Extrême-Orient (district de Shkotovsky) et dans le sud de Sakhaline. Il vit partout en Europe (sauf à l'extrême nord), au Nord. Afrique, Asie occidentale, semis. Mongolie. Importé à Sev. Amérique.
Écologie.
Valeur économique.
Une des espèces les plus répandues sur les terres arables. Polyphage : endommage presque toutes les pages - x. cultures, en particulier les céréales, le maïs, le tournesol, l'arachide, la betterave, la pomme de terre, etc. jusqu'aux jeunes plants d'arbres. Les légumineuses (sauf l'arachide), le sarrasin, le lin, la moutarde sont moins endommagées. Le maximum de dommages est causé par la consommation de graines semées dans le sol, les dommages aux semis, le nœud de tallage des céréales, les mouvements de la racine et des klebnecrops. Mesures de protection : travail du sol opportun et de qualité (décorticage et labour d'automne, mise en jachère, culture inter-rangs des cultures labourées), rotation des cultures, application d'engrais minéraux et de fumier, destruction des mauvaises herbes, en particulier de l'agropyre, semis de cultures moins endommagées et variétés dans les zones fortement peuplées de taupins, l'enrobage des semences et l'introduction de préparations insecticides, l'utilisation d'appâts empoisonnés à l'ombre sur des cultures particulièrement précieuses. Aux fins de la prévision, l'utilisation de pièges à phéromones est prometteuse et, dans la sélection de nouvelles variétés, une sélection pour la résistance est effectuée.
positionnement systématique.
Classe Insecta, ordre Coleoptera, famille Elateridae, sous-famille Elaterinae, genre Agriotes.
groupe biologique.
Ravageurs polyphages du sol.
Morphologie et biologie.
Longueur du corps 6-9 mm, largeur 1,8-2,8 mm. Tête uniformément convexe vers l'avant, densément ponctuée. Les antennes atteignent les sommets des angles postérieurs du pronotum. Pronotum légèrement convexe, oblong, presque égal en longueur et en largeur, avec de petites perforations denses. Le corps est brun noir, les antennes et les pattes sont fauve clair, la marge antérieure du pronotum est rouge brunâtre. Elytres brun ou rouge-roux avec une teinte jaunâtre. Moins fréquemment, la couleur du corps est brun-noir, noir ou rouge-rougeâtre. Tout le corps de l'adulte est couvert de poils gris denses. Les larves sont jaunes, jusqu'à 20 mm de long, jusqu'à 1,5 mm de large, allongées et rigides. Pour leur apparence particulière, ils étaient appelés taupins. Mandibules avec une petite dent au milieu. Les adultes et les larves hibernent. Les coléoptères sont actifs de fin avril à mai et dans les régions du nord à partir de juin. La période d'activité des coléoptères est de 1 à 2 mois. Fertilité jusqu'à 100 œufs ou plus. Les œufs se développent 12 à 18 jours. Les larves, en fonction de la température et de l'humidité, se développent de 2 à 4 ans. La nymphose a lieu en juillet-août, les pupes se développent pendant 2-3 semaines. Le cycle de développement d'une génération complète dure de 3 à 5 ans.
Diffusion.
Largement distribué dans les zones de steppe et de forêt-steppe, trouvé dans le sud de la zone de taïga. La gamme couvre la partie européenne de b. L'URSS au nord jusqu'à Saint-Pétersbourg, comprend la Crimée, le Caucase et la Transcaucasie, le nord du Kazakhstan, le sud de la Sibérie des montagnes de l'Oural à la Transbaïkalie, les contreforts d'Alatau. Trouvé en Extrême-Orient (district de Shkotovsky) et dans le sud de Sakhaline. Il vit partout en Europe (sauf à l'extrême nord), au Nord. Afrique, Asie occidentale, semis. Mongolie. Importé à Sev. Amérique.
Écologie.
Valeur économique.
Une des espèces les plus répandues sur les terres arables. Polyphage : endommage presque toutes les pages - x. cultures, en particulier céréales, maïs, tournesol, arachides, betteraves, pommes de terre, etc. jusqu'aux jeunes plants d'arbres. Les légumineuses (sauf l'arachide), le sarrasin, le lin, la moutarde sont moins endommagées. Le maximum de dommages est causé en mangeant des graines semées dans le sol, en endommageant les semis, le nœud de tallage des céréales, en faisant des mouvements dans les cultures de racines et de tubercules. Mesures de protection : travail du sol opportun et de qualité (décorticage et labour d'automne, mise en jachère, culture inter-rangs des cultures labourées), rotation des cultures, application d'engrais minéraux et de fumier, destruction des mauvaises herbes, en particulier de l'agropyre, semis de cultures moins endommagées et variétés dans les zones fortement peuplées de taupins, l'enrobage des semences et l'introduction de préparations insecticides, l'utilisation d'appâts empoisonnés à l'ombre sur des cultures particulièrement précieuses. Aux fins de la prévision, l'utilisation de pièges à phéromones est prometteuse et, dans la sélection de nouvelles variétés, une sélection pour la résistance est effectuée.
Coléoptère de 6 à 8,5 mm de long, brun foncé, parfois brun clair à pubescence grise ; dos antérieur allongé, la longueur de sa paire dépasse la largeur, légèrement plus noire que les élytres ; bords du pronotum, des antennes et des pattes jaune brunâtre ; le prothorax d'en bas a une excroissance longue et étroite, qui pénètre dans une dépression sur le mésothorax; grâce à cette structure, le casse-noix renversé sur le bas du dos n'a pas la possibilité de revenir au moyen des jambes, sur la base de cela, il saute et se tient sur ses pieds, avec cela, un clic se fait entendre.
L'œuf est largement ovale, 0,5 mm de long, 0,3 mm de large, blanc, lisse. La larve du dernier stade est jaune à jaune foncé, jusqu'à 18,5 mm de long et 1,4 mm de large; le dernier segment de l'abdomen est deux fois plus long que sa propre largeur, oblong-ovale et se terminant par un sommet conique avec une petite épine.
Chez les larves, les 3 paires de pattes thoraciques sont de taille uniforme. La longueur des larves de la 1ère année peut atteindre 5 mm, la 2ème jusqu'à 10, la 3ème jusqu'à 13,5, la 4ème jusqu'à 18,5 mm. La larve mue 8 fois au cours de sa vie, c'est-à-dire qu'elle a 9 stades.
C'est avec des couvertures denses, il ressemble à un morceau de fil, d'où le nom - "fil".
En Ukraine, le casse-noix est distribué partout. Les coléoptères, à la fin de leur sortie de terre, conduisent une image cachée du destin et se cachent sous divers abris. Développer 3-4 ans.
Les larves et les coléoptères hibernent dans le sol à une profondeur de 10 à 20 cm.Les coléoptères commencent à émerger du sol en Crimée à partir d'avril. Leurs années durent jusqu'en août.
Actif le soir et en partie la nuit. En mai, les femelles pondent leurs œufs dans le sol près du collet des racines des plantes en petits groupes. La fertilité de la femelle est de 150 à 200 œufs.
Le développement embryonnaire dure de 10 à 45 jours, selon la zone climatique et les conditions météorologiques. La longueur des larves sortant des œufs est de 1,8 à 2 mm.
Les larves se nourrissent de jeunes racines de plantes sauvages et cultivées, et de graines gonflées semées dans le sol. Au printemps, ils restent dans les horizons supérieurs de la terre, où les liquides sont tout à fait corrects, les graines en germination et les jeunes racines des plantes se trouvent. Au fur et à mesure que les horizons supérieurs de la terre s'assèchent, les larves descendent plus bas, de temps en temps à l'automne jusqu'à 105 cm.
Avec les céréales, les taupins endommagent les tubercules de pomme de terre, les carottes et les racines de betterave, les graines semées de melons et de concombres.
Des mesures de contrôle. La rotation des cultures, le bêchage, le travail du sol entre les rangs, la destruction des mauvaises herbes, notamment le chiendent, l'utilisation de techniques permettant de prélever rapidement les semis (profondeur de semis optimale, leur préparation avant semis, etc.).
Les méthodes de lutte contre les faux vers fil de fer (larves de coléoptères noirs) sont les mêmes que pour les vers fil de fer.
Calendrier des semences lunaires pour mai 2017.
Calendrier de semis lunaire pour mai. Nous prévoyons des cultures
Remarques intéressantes :
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Le coléoptère du framboisier est l'un des principaux ravageurs du framboisier. les larves et les coléoptères endommagent les baies et les fleurs. Les baies deviennent impropres à la vente en frais...
Acarien du poirier. Un très petit ravageur de couleur blanche ou rougeâtre, jusqu'à 0,2 mm de long. Le corps est allongé, semblable à un ver, avec deux paires de pattes sur ...
Coléoptère de 6 à 8,5 mm de long, brun foncé, parfois brun clair avec omission grisâtre ; notum antérieur allongé, légèrement plus long que large, légèrement plus foncé que les élytres ; bords du pronotum, des antennes et des pattes jaune brunâtre ; le prothorax d'en bas a une excroissance longue et étroite, qui va dans une dépression sur le mésothorax; grâce à cette structure, le casse-noix roulé sur le dos ne peut pas se retourner à l'aide de ses jambes, il saute donc et se tient sur ses pieds, tandis qu'un clic se fait entendre.
Le testicule est largement ovale, 0,5 mm de long, 0,3 mm de large, blanc comme neige, lisse. Larve de dernier stade de jaunâtre à jaune, jusqu'à 18,5 mm de long et 1,4 mm de large; le dernier secteur de l'abdomen est deux fois plus long que sa propre largeur, oblong-ovale et se termine par un sommet conique avec une petite épine.
Chez les larves, les 3 paires de pattes thoraciques sont de taille similaire. La longueur des larves de la 1ère année peut atteindre 5 mm, la 2ème - jusqu'à 10, la 3ème - jusqu'à 13,5,4 - jusqu'à 18,5 mm. La larve mue 8 fois au cours de sa vie, c'est-à-dire qu'elle a 9 stades. Elle est avec des couvertures denses, rappelant un morceau de fil, d'où le nom est "fil".
En Ukraine, le casse-noix est répandu partout. Les coléoptères, après avoir émergé du sol, mènent une vie cachée et se cachent sous divers abris. Développer 3-4 ans.