Olgoy-khorhoy est un ver géant ! L'horreur du désert mongol (inconnu). Olgoy-khorhoy - le mystère du désert mongol Ver géant du désert

Le héros du folklore mongol - un ver géant - vit dans les régions désertiques et sablonneuses du Gobi. Par son apparence, il ressemble surtout à l'intérieur d'un animal. Sur son corps, il est impossible de distinguer ni la tête ni les yeux. Les Mongols l'appellent olgoy-khorhoy, et plus que tout au monde ils ont peur de le rencontrer. Pas un seul scientifique au monde n'a eu la chance de voir de ses propres yeux le mystérieux habitant des déserts mongols. Et par conséquent, pendant de nombreuses années, olgoy-khorhoy a été considéré comme un personnage exclusivement folklorique - un monstre fictif.

Cependant, au début du 20ème siècle, des chercheurs ont attiré l'attention sur le fait que les légendes sur les olgoi-khorhoi sont racontées partout en Mongolie, et dans les parties les plus différentes et les plus éloignées du pays, les légendes sur le ver géant se répètent. mot pour mot et regorgent des mêmes détails. Et les scientifiques ont donc décidé que la vérité se trouvait au cœur des anciennes légendes. Il se peut très bien qu'une étrange créature inconnue de la science vive dans le désert de Gobi, peut-être un représentant miraculeusement survivant de l'ancienne "population" éteinte de la Terre.

Traduit du mongol « olgoy » signifie « gros intestin », et « khorhoy » signifie ver. Selon la légende, le ver d'un demi-mètre vit dans des zones inaccessibles sans eau du désert de Gobi. L'olgoy-khorhoi passe presque tout son temps en hibernation - il dort dans des trous creusés dans le sable. Le ver ne remonte à la surface que pendant les mois les plus chauds de l'été, et malheur à celui qui le rencontre en chemin : l'olgoy-khoroy tue la victime à distance, en jetant un poison mortel, ou frappe avec une décharge électrique sur prendre contact. En un mot, vous ne pouvez pas vous en sortir vivant….

La position isolée de la Mongolie et la politique de ses autorités rendaient la faune de ce pays pratiquement inaccessible aux zoologistes étrangers. C'est pourquoi la communauté scientifique ne sait pratiquement rien de l'olgo-khorkhoy. Cependant, en 1926, le paléontologue américain Roy Chapman Andrews dans son livre "In the Footsteps of Ancient Man" a parlé de sa conversation avec le Premier ministre de Mongolie. Ce dernier a demandé au paléontologue d'attraper l'olgoi-khorkhoi. Dans le même temps, le ministre poursuivait des objectifs personnels : les vers du désert ont un jour tué l'un des membres de sa famille. Mais, au grand regret d'Andrews, il n'a jamais pu attraper, mais même juste voir le mystérieux ver. De nombreuses années plus tard, en 1958, l'écrivain de science-fiction, géologue et paléontologue soviétique Ivan Efremov est revenu sur le sujet des olgoi-khorkhoi dans le livre "La route des vents". Il y racontait toutes les informations qu'il avait recueillies à ce sujet lors des expéditions de reconnaissance dans le Gobi de 1946 à 1949.

Dans son livre, entre autres preuves, Ivan Efremov cite l'histoire d'un vieux mongol nommé Tseven du village de Dalandzadgad, qui prétendait que les olgoi-khorkhoi vivaient à 130 kilomètres au sud-est de la région agricole d'Aimak. "Personne ne sait ce qu'ils sont, mais olgoi-khorhoi est l'horreur", a déclaré le vieux Mongol. Efremov a utilisé ces histoires sur le monstre des sables dans son histoire fantastique, qui s'intitulait à l'origine "Olgoi-khorhoy". Il raconte l'histoire de la mort de deux explorateurs russes tués par le poison des vers du désert. L'histoire était entièrement fictive, mais elle était basée uniquement sur les preuves folkloriques des Mongols.

Ivan Makarle, écrivain et journaliste tchèque, auteur de nombreux ouvrages sur les mystères de la Terre, fut le suivant à suivre les traces du mystérieux habitant du désert asiatique. Dans les années 1990, Makarle, avec le Dr Jaroslav Prokopets, spécialiste en médecine tropicale, et l'opérateur Jiri Skupen, ont mené deux expéditions dans les coins les plus reculés du désert de Gobi. Malheureusement, ils n'ont pas non plus réussi à attraper un seul spécimen du ver vivant. Cependant, ils ont reçu des preuves de son existence réelle. De plus, ces preuves étaient si nombreuses qu'elles ont permis aux chercheurs tchèques de réaliser et de lancer à la télévision une émission intitulée « Le mystérieux monstre des sables ».

Ce n'était en aucun cas la dernière tentative pour percer le mystère de l'existence des olgoi-khorkhoi. À l'été 1996, un autre groupe de chercheurs - également tchèques - dirigé par Petr Gorky et Mirek Naplava, a suivi les traces du ver à travers une bonne moitié du désert de Gobi. Hélas, également en vain.

Aujourd'hui, on n'entend presque plus rien sur les olgoy-khorhoi. Jusqu'à présent, ce puzzle cryptozoologique mongol est résolu par les forces de chercheurs mongols. L'un d'eux - le scientifique Dondogijin Tsevegmid - suggère qu'il n'y a pas un type de ver, mais au moins deux. Encore une fois, les légendes populaires l'ont forcé à tirer une conclusion similaire : les habitants parlent souvent du shchar-khorhoy, c'est-à-dire du ver jaune.

Dans l'un de ses livres, Dondogijin Tsevegmid mentionne l'histoire d'un chamelier qui s'est retrouvé nez à nez avec de tels shhar-khoi dans les montagnes. À un moment loin d'être parfait, le conducteur a remarqué que des vers jaunes sortaient des trous du sol et rampaient vers lui. Fou de peur, il se précipita pour courir, et découvrit alors que près de cinquante de ces créatures répugnantes essayaient de l'entourer. Le pauvre homme a eu de la chance : il a quand même réussi à s'échapper...

Ainsi, à ce jour, les chercheurs du phénomène mongol sont enclins à croire qu'il s'agit d'un être vivant, totalement inconnu de la science. Cependant, le zoologiste John L. Claudsey-Thompson - l'un des experts renommés de la faune du désert - soupçonné d'être une variété olga-bonne de serpent, que la communauté scientifique n'a pas encore rencontrée. Claudsey-Thompson lui-même est sûr que le ver du désert inconnu est lié à la vipère océanienne. Ce dernier se distingue par une apparence non moins "attrayante". De plus, comme l'olgoy-khorhoy, la vipère est capable de détruire ses victimes à distance en les aspergeant de poison.

Une version complètement différente est adoptée par le cryptozoologue français Michel Raynal et le tchèque Yaroslav Mares. Les scientifiques classent l'habitant du désert mongol comme un reptile à deux marches qui a perdu ses pattes au cours de l'évolution. Ces reptiles, comme les vers du désert, peuvent être de couleur rouge ou brune. De plus, il leur est extrêmement difficile de faire la distinction entre la tête et le cou. Les opposants à cette version le font cependant remarquer à juste titre : personne n'a entendu parler de ces reptiles venimeux ou possédant un organe capable de produire un courant électrique.

Selon la troisième version, olgoi-khorhoi est un ver annelé qui a acquis une peau protectrice spéciale dans le désert. Certains de ces vers de terre sont connus pour être capables de répandre du poison en légitime défense.

Quoi qu'il en soit, olgoi-khorhoi reste un mystère pour les zoologistes, qui n'a pas encore reçu une seule explication satisfaisante.

Non seulement les forêts et le monde sous-marin sont chargés de mystères et cachent des créatures inhabituelles. Il s'avère que les déserts chauds sont également devenus un refuge pour des habitants extraordinaires.

Le héros des légendes et légendes mongoles - olgoy-khorhoy - un terrible ver géant deviendra le sujet de l'article d'aujourd'hui.

Pour la première fois, le public a entendu le nom de ce monstre grâce à l'histoire d'I. Efremov du même nom. Mais, malgré le fait que de nombreuses années se soient écoulées, l'olgoy-khorhoy n'est encore qu'un personnage d'une histoire fantastique : il n'a pas encore été possible de prouver son existence.

Apparence

Pourquoi le ver a-t-il reçu un nom si inhabituel - olgoy-khorhoy ?

Si nous traduisons ces mots du mongol, alors tout devient très clair : « olgoy » est un gros intestin, « khorhoi » est un ver. Ce nom est cohérent avec l'apparence du monstre.

Peu de témoignages disent qu'il s'agit d'un bout d'intestin ou d'une saucisse.

Le corps est de couleur rouge foncé et sa longueur varie de 50 cm à 1,5 mètre. La différence visible entre les extrémités du corps n'est pas perceptible : la tête et la queue se ressemblent à peu près et ont de petits processus ou épines.

Le ver n'a ni yeux ni dents. Cependant, il est considéré comme extrêmement dangereux même sans ces organes. Les habitants de la Mongolie sont persuadés que l'olgoi-khorhoi est capable de tuer à distance. Mais comment fait-il ?

Il existe 2 versions:

1. JE. Le monstre libère un jet de substance puissante, frappant ses victimes.
2. Décharge de courant électrique.

Il est possible que le ver tueur soit capable d'utiliser les deux options, en les alternant ou en les utilisant simultanément, augmentant ainsi l'effet.

Une mystérieuse créature vit dans les dunes de sable, n'apparaissant à la surface que pendant les mois les plus chauds après la pluie, lorsque la terre devient humide.

Évidemment, il passe le reste du temps en hibernation.

Expéditions

Les masses n'ont pu en apprendre davantage sur l'olgoi-khorhoy que dans la seconde moitié du XIXe siècle, après que le célèbre voyageur et scientifique N.M. Przhevalsky ait mentionné le ver dans ses travaux.

Mais les scientifiques et chercheurs curieux de différents pays ne pouvaient pas passer à côté de cette créature inhabituelle. Par conséquent, plusieurs expéditions ont été entreprises, qui ne se sont pas toutes terminées avec succès.

Roy Andrews

En 1922, Andrews dirigea une expédition très bien équipée et nombreuse, qui passa 3 ans en Mongolie, consacrant beaucoup de temps à l'exploration du désert de Gobi.

Dans ses mémoires, Roy raconte qu'une fois le Premier ministre de Mongolie lui a fait une demande inhabituelle. Il voulait qu'Andrews attrape le ver tueur et le remette au gouvernement du pays.

Plus tard, il s'est avéré que le Premier ministre avait ses propres motivations : un monstre du désert avait un jour tué l'un des membres de sa famille.

Et, malgré le fait qu'il n'est pas possible de prouver la réalité de cet habitant de la clandestinité, presque tout le pays croit inconditionnellement à son existence.

Malheureusement, l'expédition n'a pas été couronnée de succès : Andrews n'a jamais réussi à attraper ou à voir le ver.

L'histoire d'Ivan Efremov et Tseven

Le géologue et écrivain soviétique I. Efremov a également publié des informations sur les olgoi-khorkhoi dans le livre "La route des vents", rassemblés lors d'expéditions dans le désert de Gobi en 1946-1949.

En plus des descriptions standard et des tentatives pour prouver l'existence d'un monstre souterrain, Efremov cite l'histoire du vieil homme mongol Tseven, qui vivait dans le village de Dalandzadgad.

Tseven a fait valoir que de telles créatures sont une réalité et que vous pouvez les trouver en vous dirigeant à 130 km au sud-est de la région d'Aimak.

En parlant de bien, le vieil homme les a décrits comme les créatures les plus dégoûtantes et effrayantes.

Ce sont ces histoires qui ont formé la base d'une histoire fantastique, à l'origine appelée "Olgoi-khorhoy", sur des chercheurs russes morts du poison de vers géants.

L'œuvre est une fiction du début à la fin, et elle est basée uniquement sur le folklore mongol.

Ivan Makarlé

Le prochain explorateur qui voulait trouver le monstre du désert de Gobi était Ivan Makarle, un journaliste tchèque, écrivain, auteur d'ouvrages sur les mystères de la Terre.

Au début des années 90 du 20e siècle, avec le Dr Y. Prokopets, spécialiste en médecine tropicale, et l'opérateur I. Skupen, il a effectué 2 expéditions de recherche dans des coins reculés du désert.

Curieusement, ils n'ont pas réussi à attraper le ver, comme les scientifiques précédents, mais Macarla a eu la chance d'obtenir des preuves solides de l'existence du monstre.

Les données se sont avérées si abondantes que des scientifiques tchèques ont lancé une émission télévisée, intitulée "Le mystérieux monstre des sables mongols".

Décrivant l'apparence de l'olgoi-khorhoi, I. Makarle a dit que le ver ressemble à une saucisse ou à un intestin. Le corps mesure 0,5 m de long et environ l'épaisseur d'une main humaine. Déterminer où se trouve la tête et où se trouve la queue est difficile en raison du manque d'yeux et de bouche.

Le monstre se déplaçait d'une manière inhabituelle : il roulait autour de son axe ou se tortillait d'un côté à l'autre, tout en avançant.

C'est incroyable comme les légendes et les mythes des peuples de Mongolie ont coïncidé avec les descriptions des chercheurs tchèques !

Expédition de Petr Gorky et Mirek Naplava

En 1996, une autre tentative a été faite pour percer le mystère de l'olgoi-khorkhoy. Les explorateurs tchèques dirigés par Petr Gorky et Mirek Naplavy ont suivi les traces du mystérieux habitant du désert, mais, hélas, en vain.

Disparition du groupe de recherche américain

A. Nisbet, un scientifique américain, comme son collègue R. Andrews, s'est fixé un objectif : trouver un ver tueur à tout prix.

En 1954, il reçut encore l'autorisation du gouvernement mongol pour mener une expédition. Deux jeeps avec des membres d'équipage se dirigeant vers le désert ont disparu.

Illustration pour l'histoire d'Ivan Efremov "Olga-khorkhoi"

Plus tard, ils ont été retrouvés dans l'une des régions reculées et peu explorées du pays. Tous les employés, y compris Nisbet, étaient morts.

Mais le mystère de leur mort inquiète toujours les compatriotes de l'équipe. Le fait est que 6 personnes étaient allongées à côté des voitures. Et non, les voitures n'étaient pas cassées, elles étaient absolument en bon état.

Tous les effets personnels des membres du groupe étaient intacts, il n'y avait pas non plus de blessures ou de blessures sur le corps.

Mais du fait que les corps ont été longtemps exposés au soleil, il n'a malheureusement pas été possible d'établir la véritable cause du décès.

Alors qu'est-il arrivé aux scientifiques? Les versions avec empoisonnement, maladie ou manque d'eau ont été exclues et aucune note n'a été trouvée.

Certains experts pensent que toute l'équipe est morte presque instantanément.

L'expédition de Nisbet a-t-elle pu retrouver l'olgoi-khorhoy qui les a tués ? Cette question restera sans réponse.

Les versions des scientifiques

Bien sûr, la communauté scientifique du monde entier étudie ce phénomène. Mais les scientifiques ne sont pas parvenus à un consensus sur le type de créature dont il s'agissait.

Il existe plusieurs versions de qui est l'olgo-khorhoy.

• Animal mythique
• John L. Claudsey-Thompson, un zoologiste, pense que le ver tueur est une espèce de serpent capable d'infecter ses victimes avec du venin.
• Michel Raynal, un cryptozoologue français, et Jaroslav Mares, un scientifique tchèque, pensent qu'un reptile survivant à deux marches se cache dans le désert, qui a perdu ses pattes au cours de l'évolution.
• Dondogijin Tsevegmid, explorateur mongol, il existe 2 types de monstre des sables. Il est arrivé à de telles conclusions à cause des histoires de certains témoins oculaires qui ont affirmé avoir vu un ver jaune - shchar-khorhoya.

Aujourd'hui, l'olgoi-khorhoi reste une créature mystique, dont l'existence n'a pas été prouvée. Par conséquent, toutes ces théories resteront des théories jusqu'à ce que les chercheurs parviennent à obtenir une photo ou le ver des sables lui-même du désert de Gobi.

Dans les régions désertiques du Gobi, vit un "héros" des contes populaires mongols - un ver géant qui ressemble à l'intérieur d'un animal. Il est impossible de distinguer ni les yeux ni les têtes en général sur son corps laid. Les Mongols appellent cette créature "olgoy-khorhoy" et ont très peur de le rencontrer. Comme aucun des scientifiques n'a eu la chance de voir (et encore moins de prendre des photos) de l'olgoi-khorhoy, ce mystérieux habitant des déserts mongols a été pendant de nombreuses années considéré comme un monstre fictif, un personnage purement folklorique...

Au début du siècle dernier, les chercheurs s'intéressaient au fait que les légendes sur les olgoi-khorhoi en Mongolie pouvaient être entendues partout. De plus, dans les régions les plus différentes du pays, ils sonnent presque de la même manière et sont décorés avec les mêmes détails. Les scientifiques ont conclu que les anciennes légendes sont vraies et qu'une étrange créature, inconnue de la science, vit dans les sables du Gobi. C'est peut-être un représentant survivant de la "population" terrestre disparue depuis longtemps ...

Le mot mongol « olgoy » en russe signifie « gros intestin » et « khorhoy » signifie ver. Les légendes disent que ces vers d'un demi-mètre vivent dans des zones sans eau et inaccessibles du désert et passent la plupart de leur temps en hibernation - dans des trous qu'ils creusent dans le sable. Ces créatures ne remontent à la surface que pendant les mois d'été les plus chauds - et malheur aux personnes qui les ont rencontrées en chemin. L'olgoi-khorhoy tue facilement sa victime à une distance décente, lui tirant dessus avec un poison mortel ou la frappant avec une décharge électrique au contact. En un mot, il est impossible de lui échapper vivant...

La politique des structures de pouvoir mongoles, ainsi que la position isolée de ce pays, rendaient sa faune inaccessible à tous les zoologistes étrangers. Pour cette simple raison, la communauté scientifique ne sait pratiquement rien du terrible olgo-good. Cependant, dans le livre du paléontologue américain Roy Champen Andrews "Sur les traces du premier homme" (1926) raconte la conversation de l'auteur avec le Premier ministre mongol. Il a demandé à Andrews d'attraper l'olgoi-horhoi. Le ministre poursuivait des objectifs personnels : l'un des membres de sa famille a déjà été tué par des vers du désert. Cependant, le chercheur américain n'a même pas réussi à voir seulement le mystérieux ver...

Scientifique et scientifique Ivan Efremov et olgoy-khorhoy

En 1958. Géologue soviétique, paléontologue célèbre et encore plus connu en URSS, l'écrivain Ivan Efremov, dans un livre intitulé "La route des vents", a publié des informations sur les Olgoi-Horkhoi, qu'il a recueillies lors d'expéditions dans le désert de Gobi (1946-1949) .

En plus d'autres preuves, l'auteur cite l'histoire du vieil homme mongol Tseven, un habitant du village de Dalandzadgad, qui a affirmé que les olgoi-khorkhoi vivaient à 130 km au sud-est de la région d'Aimak. Zeven parlait avec horreur de ces créatures hideuses et effrayantes. Efremov a utilisé ces histoires pour écrire une histoire fantastique, qui s'appelait à l'origine "Olga-khorkhoi". L'histoire raconte comment deux chercheurs russes sont morts du poison de vers géants. Malgré le fait que l'œuvre était entièrement fictive, elle était basée exclusivement sur le folklore mongol.

Pas un seul chercheur n'a eu la chance de voir l'effrayant olgoy-khorhoy

Le suivant qui a commencé à "traquer" le monstre du désert était un journaliste et écrivain tchèque, auteur d'un certain nombre d'ouvrages sur les mystères intrigants de la Terre, Ivan Makarle. Dans les années 90 du siècle dernier, accompagné du Dr Jaroslav Prokopets, spécialiste en médecine tropicale, et de l'opérateur Jiri Skupena, il a mené deux expéditions de recherche dans les coins les plus reculés du Gobi. Il n'était pas non plus possible d'attraper un ver vivant alors, cependant, la preuve de son existence réelle a été obtenue. Il y avait tellement de preuves que des chercheurs tchèques ont réalisé et lancé une émission télévisée sur "Le mystérieux monstre des sables mongols".

La prochaine tentative pour percer le mystère de l'olgoi-khorhoy en 1996. entrepris par un autre groupe de chercheurs tchèques dirigé par Petr Gorky et Mirek Naplava. Les scientifiques ont suivi les traces du monstre des sables dans une partie importante du désert, mais hélas également en vain.

Olgoy-Khorhoy reste un mystère non résolu

Aujourd'hui, vous entendez rarement parler du ver géant de Mongolie ; Seuls les chercheurs locaux sont engagés dans la résolution de cette énigme cryptozoologique. L'un d'eux - Dondogijin Tsevegmid - suggère qu'il existe deux variétés de ver. À cette conclusion, il a été poussé à nouveau par les légendes populaires, qui parlent également du soi-disant shhar-khorhoy - déjà un ver jaune.

Dans son livre, le scientifique raconte l'histoire d'un chamelier qui a rencontré de tels shchar-khorkhoi dans les montagnes. Le conducteur a vu une multitude de vers jaunes sortir du sol et ramper vers lui. Le malheureux s'est enfui avec horreur et a réussi à s'échapper...

Ainsi, aujourd'hui, les chercheurs de ce phénomène sont d'avis que le légendaire olgoi-khorhoy est un véritable être vivant, complètement inconnu de la science. La version dont nous parlons d'un ver annelé, qui s'est bien adapté aux conditions difficiles du désert mongol, ayant acquis une peau protectrice spéciale, tout simplement unique, semble assez convaincante. Soit dit en passant, certains de ces vers peuvent saupoudrer de poison pour se défendre ...

Soit dit en passant, olgoi-khorhoi est un mystère zoologique absolu qui n'a pas encore reçu une seule explication acceptable. Même s'il y a quelque chose de fantastique dans tout ça...

Et peu importe le nombre d'expéditions entreprises dans le désert, aucun des scientifiques n'avait jamais vu de ver géant. De longues années bonétait considéré comme un personnage fictif dans les anciennes légendes mongoles.

Cependant, l'attention des chercheurs a été attirée par le fait que toutes les légendes sur le ver géant regorgent des mêmes détails et faits. Les scientifiques sont arrivés à la conclusion que les légendes sont basées sur des événements tout à fait probables. Il est possible que dans les sables du désert Gobi vit un ancien animal qui miraculeusement ne s'est pas éteint.

Mot " olgoy"Traduit du mongol signifie" gros intestin ", et" bon"Se traduit par" ver ". Selon les légendes des Mongols, le ver d'un demi-mètre vit dans les régions sablonneuses sans eau du désert de Gobi. Pendant la plus grande partie de l'année, le ver dort dans un trou qu'il a creusé dans un sol sablonneux. L'animal ne rampe à la surface que pendant les mois d'été, lorsque le soleil brûle violemment, chauffant la terre. Les Mongols, sous peine de mort, n'iront pas dans le désert l'été : on pense que olgoy-khohoy capable de tuer une victime à distance. En jetant un poison mortel, le monstre paralyse une personne ou un animal.

Aujourd'hui, on n'entend pas parler du ver géant. On pense que dans le désert Gobi Plusieurs variétés de vers vivent. Au moins les légendes mongoles parlent d'un autre spécimen - un ver jaune.
L'une des légendes du peuple mongol raconte l'histoire d'un pauvre chamelier qui rencontra par hasard bon dans le désert Gobi... "Il était entouré de cinquante vers jaunes, mais le conducteur a réussi à éviter la mort, il a éperonné l'animal et s'est éloigné."

Certains scientifiques pensent que le ver géant n'est rien de plus qu'un serpent - vipère océanienne... Elle est aussi énorme et peu attrayante. De plus, la vipère peut détruire sa proie à distance, en utilisant du poison dont les vapeurs sont mortelles.

Selon une autre version olgoy-khohoy- Il s'agit d'un ancien reptile à deux marcheurs, dépourvu de pattes en cours d'évolution. La couleur de ce reptile, comme la couleur du ver géant, est brun rougeâtre. Leurs têtes sont également difficiles à distinguer. Cependant, ces animaux ne peuvent pas tuer leurs proies à distance.


Il existe une autre version. Selon elle, le monstre géant du désert de Gobi est un ver annelé. Dans les conditions difficiles du désert, il a acquis une coquille durable et a muté à une taille énorme. Il existe des cas connus de vers du désert pulvérisant du venin pour tuer leurs proies.

Peu importe le nombre de versions, l'olgoy-khorhoy reste toujours un mystère pour les zoologistes et un monstre terrible pour les Mongols.

Le ver mortel olgoy-khorhoy

Beaucoup de gens prétendent les avoir vus. Ce sont des vers géants capables de tuer à distance, d'éjecter un poison mortel ou de frapper leur proie avec une décharge électrique au contact. Pendant longtemps, cet animal a été considéré comme faisant partie du folklore mongol, mais de récentes expéditions dans les zones désertiques du sud du Gobi semblent avoir trouvé la confirmation que cette mystérieuse créature existe réellement.

Il sort de grandes fissures dans le sol à l'improviste. Son apparence inhabituelle ressemble à l'intérieur d'un animal. Sur le corps de cette créature, aucune tête, bouche ou yeux ne peuvent être discernés. Mais quand même - une créature vivante et mortelle ! Nous parlons d'olgoy-khorhoi, le ver de la mort, un animal qui n'a pas encore été étudié par la science, mais qui a laissé ses nombreuses traces sur le chemin de plusieurs expéditions de scientifiques de République tchèque.

C'est ainsi que l'a dépeint l'artiste belge Peter Diercks.

Ivan Makarle, écrivain et journaliste tchèque, auteur de nombreux ouvrages sur les mystères de la Terre, a été l'un de ceux qui ont suivi la trace de cette créature mystérieuse, si peu connue que la plupart des cryptozoologues et chercheurs en nature ne la considèrent toujours pas comme quelque chose de réel. .

Dans les années 1990. Makarle, avec le Dr Jaroslav Prokopets, spécialiste en médecine tropicale, et l'opérateur Jiri Skupen, ont mené deux expéditions sur les traces des olgoi-khorhoy. Ils n'ont pas réussi à attraper un seul spécimen du ver vivant, mais ils ont reçu de nombreuses preuves de son existence réelle, ce qui a même permis de mener une émission entière à la télévision tchèque intitulée "Le mystérieux monstre des sables".

Ce n'était pas la seule tentative pour résoudre le mystère de l'existence de cette créature ; A l'été 1996, un autre groupe - également des Tchèques - mené par Petr Gorky et Mirek Naplava, a suivi les traces des Olgo-Khorhoi sur une bonne partie du désert de Gobi.

En 2003, les Britanniques Adam Davis et Andrew Sanderson, qui dirigent la firme Extreme Expeditions, étaient à la recherche du ver mortel. Bien qu'aucun d'entre eux n'ait réussi à attraper le mystérieux monstre, il existe de nombreuses preuves de son existence.

Olgoi-khorkhoi en mongol signifie « ver intestinal », et ce nom indique son apparence, très semblable aux intestins, rouge foncé, d'un peu plus d'un demi-mètre de long. Les habitants affirment qu'il est capable de tuer à distance, en se jetant du poison caustique, ainsi qu'en contact direct avec la malheureuse victime - à l'aide d'un choc électrique.

Le chercheur mongol Dondogijin Tsevegmid suggère même qu'il n'existe pas une espèce de ce ver, mais au moins deux, puisque les habitants parlent souvent du shar-khorhoi, ver jaune.

Dans l'un de ses livres, ce scientifique mentionne l'histoire d'un chamelier qui s'est retrouvé nez à nez avec de tels shar-khorhoi dans les montagnes du Toast. Conducteur surpris. remarqua soudain avec horreur que des vers jaunes sortaient des trous du sol et rampaient vers lui. Fou de peur, il se précipita pour courir et découvrit alors que près de cinquante de ces créatures ressemblant à des vers essayaient de l'entourer. Heureusement, le pauvre homme a réussi à leur échapper.

La position isolée de la Mongolie et la politique de ses autorités ont rendu la faune de ce pays pratiquement inaccessible aux zoologistes étrangers, à l'exception des soviétiques, et nous en savons donc très peu sur cette créature. Mais néanmoins, en 1926, le paléontologue américain Roy Chapman Andrews a parlé dans le livre "In the Footsteps of Ancient Man" de sa conversation avec le Premier ministre de Mongolie, qui lui a demandé d'attraper un olgoi-Horhoi (qu'il a appelé allergohai-hohai ), car ils ont tué l'un des membres de la famille de ce dignitaire oriental.

De nombreuses années plus tard, en 1958, l'écrivain de science-fiction, géologue et paléontologue soviétique Ivan Efremov est revenu sur le sujet des olgoi-khorkhoi dans le livre "La route des vents". Il y raconta toutes les informations qu'il avait recueillies à ce sujet lorsqu'il participa aux expéditions d'exploration géologique du Gobi de 1946 à 1949. Dans son livre, entre autres témoignages, Ivan Efremov cite l'histoire d'un vieux mongol du village de Daland-zadgad nommé Tseven, qui a affirmé que ces créatures vivaient à 130 km au sud-est de la zone agricole d'Aimak. Mais vous ne pouvez les voir dans les dunes que pendant les mois les plus chauds de l'année, car le reste du temps, ils sont immergés en hibernation. "Personne ne sait ce qu'ils sont, mais olgoi-khorhoi est l'horreur", a déclaré le vieux Mongol.

Cependant, un autre participant à ces expéditions, un ami proche et collègue de I.A. Efremova Maria Fedorovna Lukyanova était sceptique à propos de ces histoires : « Oui, les Mongols l'ont fait, mais je ne l'ai jamais vu. Probablement, autrefois, de tels vers étaient électriques... électrifiés, puis s'éteignaient. J'y ai vu d'autres vers - de si petits. Ils ne rampent pas sur le sable, mais sautent par-dessus. Tourne et - saute, tourne et - saute ! "

Comment ne pas rappeler une réplique de la fantastique histoire d'I.A. "Olgoi-khorkhoi" d'Efremov, écrit sur la base d'une histoire à propos d'un monstre des sables: "Il se déplaçait avec quelques secousses convulsives, se pliant maintenant presque en deux, maintenant se redressant rapidement." Il raconte la mort de deux chercheurs russes du poison de ces créatures. L'intrigue de l'histoire était fictive, mais basée sur les nombreux témoignages de résidents mongols locaux sur ces mystérieuses créatures habitant les zones sablonneuses du désert.

De nombreux chercheurs qui ont étudié ces preuves et les données recueillies par diverses expéditions pensent qu'il s'agit d'un animal totalement inconnu de la science. Le zoologiste John L. Claudsey-Thompson, l'un des experts sur la faune du désert, certaines des caractéristiques de l'Olgoi-Horhoi ont suggéré que nous parlons d'une espèce inconnue de serpent, qui est clairement liée à la vibora mortale australiana, un espèce de vipère océanienne. Son apparence est similaire à celle de la créature du désert de Gobi, et, en plus, il peut également détruire ses victimes en pulvérisant du poison à distance.

Une autre version, défendue par le cryptozoologue français Michel Raynal et le tchèque Yaroslav Mares, dit que l'olgoi-khorhoi peut faire référence aux reptiles à deux marches qui ont perdu leurs pattes au cours de l'évolution. Ces reptiles peuvent être de couleur rouge ou brune et il leur est très difficile de faire la distinction entre la tête et le cou. Certes, personne n'a entendu dire que ces reptiles étaient venimeux ou avaient un organe capable de produire un courant électrique.

Une autre version suppose que nous parlons d'un ver annélide, qui a acquis une fonction protectrice spéciale dans le désert. Certains de ces vers de terre sont connus pour être capables de répandre du poison en légitime défense.

Quoi qu'il en soit, olgoi-khorhoi reste un mystère pour les zoologistes, qui n'a pas encore reçu d'explication satisfaisante.

Chapitre 11. Le cadeau mortel des animaux de compagnie A ce stade, nous avons retracé l'émergence de la production alimentaire dans plusieurs centres et sa répartition inégale dans le reste des régions. Les différences géographiques révélées nous permettent de répondre Le ver affûte la feuille Passons à une autre manifestation de "l'amitié traditionnelle" - la question territoriale. Dans ce domaine, pendant la période de la perestroïka et des « réformes radicales », en particulier, les « changements » suivants ont eu lieu. Pendant l'ère Gorbatchev, le Comité central du PCUS afin de « normaliser

CRÉATION DE VER. Les caprices des grands. La mystérieuse disparition de la marne. Torture avec froid, chaleur et... musique. Architectes du sol. Sable de quartz et autres astuces. Nuit dans une villa romaine. Il semblerait, pourquoi les spécialistes qui étudient la vie des éléphants, des rhinocéros, des tigres et des