Long bourdon. "Hummel" - Monture d'artillerie automotrice allemande

Hummel

Un châssis spécial a été développé par Deutsche Eisenwerke pour le SPG Panzerhaubitz III / IV (Hummel / Bumblebee). Ce châssis a été conçu comme une base polyvalente pour une grande famille de canons automoteurs : canons antichars, anti-aériens, automoteurs de support, etc. La centrale électrique et les unités de transmission ont été prises du char T-III et le châssis du char T-IV. Le moteur automoteur était situé au milieu de la voiture et la transmission était à l'avant. Le compartiment de combat spacieux était situé à l'arrière du véhicule dans une timonerie semi-ouverte. L'obusier était situé sur un piédestal, offrant des angles de guidage horizontaux - 30 degrés. et verticalement + 42 deg. La cadence de tir de l'obusier était de 2 coups/min. L'installation était en service dans les régiments d'artillerie des divisions de chars de la Wehrmacht. Des solutions de conception réussies intégrées au châssis universel ont permis de monter sur sa base un canon antichar Pak43 à canon long de 88 mm avec une longueur de canon de calibre 71. En novembre 1942, de tels canons automoteurs antichars, appelés "Hornise" / "Hornet", furent mis en service. En février 1944, lorsque les véhicules blindés ont été renommés en Allemagne, ils ont reçu un nouveau nom "Nashorn" / "Rhino".
Tirant les conclusions des batailles des premiers stades de l'opération Barbarossa sur le front de l'Est, il fut décidé fin 1941 de développer des canons automoteurs, dont un obusier automoteur sur châssis Panzer III. Leur rôle principal était de soutenir d'autres unités avec de l'artillerie mobile. Début 1942, le premier prototype sur châssis Panzer III, armé de 105mm. l'obusier leFH17 (avec frein de bouche) fut construit. Mais cette option n'a pas été retenue, l'utilisation du châssis du Panzer IV étant jugée préférable.
Néanmoins, la conception de la coque fut acceptée et un nouveau prototype fut bientôt prêt avec le même armement, mais sur le châssis Panzer IV. Fin juin 1942, il fut décidé de remplacer le canon par un 150 mm plus puissant. obusier sFH 18 L / 30 (sans frein de bouche) et installez-le sur un châssis spécial sous la désignation Geschutzwagen III / IV. Il était prévu qu'il inclurait des éléments de châssis pour le Pz III (principalement Ausf J) et le Pz IV (principalement Ausf F). Initialement, il était supposé que le Hummel serait la prochaine "option temporaire" pendant que le développement d'un châssis spécial était en cours. Afin d'augmenter l'espace interne de la carrosserie, le châssis a été légèrement allongé et le moteur a été légèrement avancé, plus près du centre. Le même châssis spécial Geschutzwagen III / IV a été utilisé pour le 88 mm. canon automoteur antichar Nashorn. Les premiers Hummel ont été produits fin 1942 par Alkett et Deutsche Eisenwerke. Leur production s'est poursuivie jusqu'en 1944, et un total de 666 (724) de ces machines ont été produites. De plus, la Deutsche Eisenwerke a produit 150 Munitionstrager Hummel (transporteur de munitions) entre 1943 et 1944.
La capacité de munitions du Hummel était très faible - seulement 18 obus, et afin d'approvisionner en continu les canons en position avec des obus, environ 157 Munitionstrager Hummel ont été construits en 1943. L'intérieur de ces véhicules était équipé de supports spéciaux pour projectiles et le trou pour le canon était fermé avec une plaque de blindage supplémentaire. Munitionstrager Hummel, si nécessaire, pourrait très rapidement être converti en un Hummel de combat sur le terrain. Au début de 1944, l'avant de la superstructure et le siège du conducteur ont été redessinés pour offrir plus d'espace au conducteur et à l'opérateur radio. L'équipage du Hummel était logé dans une superstructure à toit ouvert, fermée de tous les côtés par des plaques de blindage boulonnées à la coque. Il était protégé des intempéries par une bâche de protection. Sur le Hummel, il n'était pas prévu de manière constructive pour l'installation d'une mitrailleuse, donc l'équipage a gardé une mitrailleuse MG34 ou MG42 à l'intérieur de la coque et l'a utilisée au besoin.
Les canons automoteurs "Hummel" ainsi que les canons automoteurs "Vespe" moins performants étaient en service dans les divisions d'artillerie automotrice des régiments d'artillerie des divisions de chars et de certaines divisions de grenadiers. Chaque division se composait de trois batteries. Deux batteries contenaient les canons automoteurs Vespe et l'une contenait le Hummel. Chaque batterie avait quatre véhicules, et dans certaines divisions, la batterie avait six véhicules. Au total, la division disposait de 14 à 21 canons automoteurs. Les canons automoteurs "Hummel" ont tiré sur des cibles éloignées situées en dehors de la portée des obusiers de 105 mm. Les obusiers lourds d'un calibre de 150 mm détruisaient les troupes ennemies concentrées, les groupes de chars ennemis ou tiraient directement sur les fortifications. Le châssis à chenilles permettait aux obusiers de changer rapidement de position et de commencer à tirer à partir d'une position différente.
Pour la première fois, des canons automoteurs "Hummel" ont été utilisés par les Allemands lors de la bataille des Ardennes de Koursk. Par la suite, « Hummels » participa à la bataille de Kharkov (août 1943). Des véhicules du 73rd Artillery Regiment de la 1st Panzer Division ont participé aux combats dans la région de Sandomierz et Melz en août 1944. Ensuite, ils ont défendu le Dukel Pass. Souvent, les Hummels devaient frapper les chars soviétiques avec un tir direct. En 1945, des canons automoteurs de la 1re Division Panzer ont participé à des batailles en Hongrie, notamment à l'offensive de Balaton en mars et à la bataille de Szekesfegevar. Ici, "Hummels" a assommé plusieurs avions soviétiques, tirant sur l'aérodrome. Au cours de l'offensive dans les Ardennes, "Hummels" du 1er régiment d'artillerie automotrice de la SS Panzer Division "Adolf Hitler" a détruit la position de l'artillerie alliée près de Koo.

La description

calibre sFH 18/1 150 mm

1 mitrailleuse MG 42 7.92 mm

Maybach HL 120 TRM, 12 cylindres, carburateur, en forme de V, refroidi par liquide ; puissance 265 ch (195 kW) à 2600 tr/min, cylindrée 11 867 cc

Bloqué sur ressorts à lames semi-elliptiques

Hummel(Avec allemand- "bourdon", nom complet - 15 cm Schwere Panzerhaubitze auf Geschützwagen III / IV (Sf) Hummel) - Obusier automoteur allemand de calibre 150 mm pendant la Seconde Guerre mondiale.

Histoire de la création et de la production

Début septembre 1941, un rapport est présenté à Hitler, qui plaide en faveur de la création d'un char unique basé sur le PzKpfw III et le PzKpfw IV. En conséquence, au début de 1942, un châssis unifié Geschutzwagen III / IV a été créé. Mais en mars, après avoir installé un canon long de 75 mm sur le Pz. IV Ausf. F2, le projet "char unique" a été fermé, mais il a été décidé d'utiliser le châssis créé comme base pour une unité d'artillerie automotrice avec un obusier sFH 18 de 150 mm. La conception du nouveau canon automoteur a été réalisée par la société Alkett, qui développait déjà un projet d'installation d'un canon leFH 18 de 105 mm de 10,5 cm sur le châssis PzKpfw III. En juillet, le projet a été approuvé et il était prévu de produire 200 ACS. Mais en octobre, après la démonstration à Hitler du projet de canons automoteurs basés sur Hummel, armés d'un 88-mm Pak 43/1 (futur Nashorn), les plans furent ajustés et à l'été 1943 il était prévu de produire 100 véhicules de chaque type.

La production de canons automoteurs "Hummel" a commencé à l'usine de la société "Deutsche Eisenwerke" à Duisbourg. En mai 1943, 115 canons automoteurs ont été produits, dont seulement 55 ont touché la ligne de front, le reste a été envoyé aux unités d'entraînement. Au total, 368 véhicules ont été fabriqués en 1943, en 289, en 57. Au total, en tenant compte des véhicules convertis à partir de chars, la production totale était de 724 véhicules. De plus, la Wehrmacht a reçu 157 transporteurs de munitions automoteurs.

Conception

Hummel pèse 24,4 tonnes. L'équipage de l'ACS est composé de 6 personnes (pilote et mitrailleurs).

Coque et timonerie

Le corps de Hummel était constitué de plaques de blindage laminées d'une épaisseur de 15 mm à 30 mm. Le compartiment de combat est situé dans la partie arrière (timonerie blindée), le compartiment moteur - au milieu, et le compartiment de contrôle - à l'avant.

Une timonerie blindée à toit ouvert est située dans la partie centrale et arrière du véhicule. L'épaisseur de paroi de la cabine est de 10 mm. Pour l'atterrissage du calcul et du chargement des munitions dans la paroi arrière de la timonerie, il y a une double porte. Pour se protéger des intempéries, un auvent en bâche pourrait être installé au-dessus de la timonerie.

Armement

Armement : obusier de campagne lourd 150 mm sFH 18 L / 30. Le canon de l'obusier avait une longueur de 440 cm et des obus explosifs (principalement) et fumigènes (rarement), perforants et perforants étaient utilisés pour le tir. Une mitrailleuse MG 34 ou MG 42 de 7,92 mm et deux mitraillettes MP 38/40 ont été utilisées comme armes auxiliaires. Les munitions se composaient de 18 obus et de 600 cartouches.

Châssis

Une coque légèrement modifiée a été extraite du char PzKpfw IV, un châssis avec roues, galets de support, suspension, paresseux, chenilles, dispositifs de tension des chenilles. Du char PzKpfw III, l'ACS a reçu un moteur Maybach HL 120 TRM V-12 avec une transmission SSG-77, des freins, des roues motrices et des mécanismes de contrôle. De nouveaux arbres qui transmettent la puissance du moteur, des tuyaux d'échappement, des filtres à huile, des démarreurs inertiels, des conduites de carburant et des équipements d'hiver ont été spécialement développés pour l'ACS.

En grande partie en raison du nombre limité de munitions, 22 à 24 % de tous les véhicules ont été construits sous la forme d'un convoyeur de munitions, dont la conception ne différait pratiquement pas de la conception de l'ACS lui-même, la possibilité d'installer des canons sur le terrain a été préservée.

Copies existantes

En 1999, il y a 5 véhicules survivants situés dans les endroits suivants:

Dans la culture populaire

Modélisation de stand

ACS est représenté de manière limitée dans la modélisation au banc. Des répliques en plastique préfabriquées à l'échelle 1:35 sont produites par Dragon et AFV Club.

"Hummel" dans les jeux informatiques

• Présent dans la série de jeux "Behind Enemy Lines" : "Behind Enemy Lines" "Saboteurs", "Saboteurs 2", "Saboteurs 3", "Behind Enemy Lines 2", "Behind Enemy Lines 2 : Brothers in Arms", " Derrière les lignes ennemi 2 : Renard du désert », « Les vareuses noires » et « Bataillon de pénalité ».
• Présent dans Panzer General.
• Il est présent dans World of Tanks en tant que canon automoteur de rang 6 dans l'arbre technologique allemand.
• Également présent dans les séries de stratégies Men of War et Company of Heroes.
• On le trouve également dans la stratégie « Blitzkrieg », « Crise des Caraïbes ».
• Disponible dans Operation Europe pour toutes les plateformes
• Présent dans le simulateur de char pour Android "Wild Tanks", en tant que SPG de rang 6 de la branche de développement allemande.

voir également

• PzKpfw III / IV

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Liens

• (Anglais). Achtung Panzer !.
• (Anglais). Véhicules de la Seconde Guerre mondiale.

Dans cet article, nous parlerons de la légendaire installation d'artillerie automotrice allemande, qui a visité presque tous les fronts où la Wehrmacht a combattu et a contribué à la situation de combat. En outre, cet ACS est devenu l'un des systèmes d'artillerie mécanisée mobiles de fabrication allemande les plus réussis en particulier et en général à cette époque. "Hummel", qui a été conçu comme un ACS révolutionnaire, plein d'innovations, en raison de la précipitation causée par la guerre, n'a pas acquis de tourelle rotative avec un blindage circulaire et un certain nombre d'éléments révolutionnaires à cette époque.

Référence historique

Histoire de la création

Panzerfeldhaubitze 18M auf Geschützwagen III / IV (Sf) Hummel, Sd.Kfz. 165 "- Installation d'artillerie automotrice allemande pendant la Seconde Guerre mondiale. Le canon automoteur était un obusier de campagne lourd sFH 18 de 15 cm monté sur un châssis de char Geschützwagen III / IV spécialement conçu. Pour la première fois, les canons automoteurs Hummel ont été utilisés dans les batailles du Kursk Bulge à l'été 1943, à la fin de 1943, les Hummels ont opéré dans tous les secteurs du front. En 1943, les nouveaux canons automoteurs ont démontré une fiabilité et une efficacité au combat élevées.

Figure 1. ACS "Hummel" dans le musée

Conditions préalables
La première tentative de création d'un ACS sur une base entièrement chenillée a été la conversion après la fin de la campagne en Pologne des chars PzKpfw I Ausf.B en montures d'artillerie automotrices sIG 33 de 15 cm. la conversion des réservoirs en ACS a été réalisée par Alkett. Le but principal des unités sIG 33 de 15 cm était de soutenir les unités d'infanterie; les divisions de chars n'ont reçu que quelques véhicules.
Après une courte période de temps, le commandement a jugé nécessaire d'avoir de l'artillerie automotrice dans les divisions panzer. Le succès de la stratégie et de la tactique de la « blitzkrieg » dans la période initiale de la Seconde Guerre mondiale a donné lieu à un certain nombre de problèmes particulièrement aigus pour ce que l'on appelle la « Schoelle Truppen » - des connexions rapides. L'un de ces problèmes était la mobilité insuffisante de l'artillerie par rapport à la mobilité des chars ; même les unités d'artillerie mécanisée ne pouvaient pas suivre celles des chars.Comme cela arrivait souvent, les forces terrestres développèrent un cahier des charges extrêmement ambitieux, dont toutes les exigences pouvaient difficilement être embourbées dans un seul véhicule. La question s'est posée de la nécessité de développer toute une famille de machines. Heereswaffenamt a confié la conception de canons automoteurs d'un calibre de 105 à 210 mm aux firmes Krupp, Rheinmetall, Daimler-Benz et Skoda. La logique a dicté l'utilisation de différents châssis à chenilles pour différentes armes à feu. Chaque entreprise devait concevoir trois SCA. Cet ordre est connu sous le nom de « décision finale », mais il ne convenait pas aux unités de terrain qui avaient un besoin urgent de canons automoteurs ; il a fallu du temps pour mettre en œuvre la « décision finale ». Ensuite, la direction de Heereswaffenamt a proposé une "solution intermédiaire" - la création de deux canons automoteurs, armés d'un canon de 105 mm lFH 18 et de 150 mm sFH 18. Le calendrier de conception des canons automoteurs a été fixé. très rigides, leur conception a été prescrite pour utiliser largement des composants et des assemblages déjà produits. Les sociétés de développement n'étaient pas d'accord avec la proposition Heereswaffenamt et ont avancé des contre-concepts ; les entreprises ont réussi à forcer l'armée à abandonner les exigences relatives à la fourniture d'un feu polyvalent et d'un canon amovible. Au tournant de 1941-42. les exigences de base pour la machine « solution intermédiaire » ont été définies :
Utilisation maximale dans la conception des unités de production et des ensembles existants et maîtrisés afin de réduire le temps de conception de l'ACS et de réduire le coût de la conception ;
Utilisation de canons tractés en charge de munitions, dans ce cas il n'est pas nécessaire d'établir de nouvelles tables de tir ;
Les angles de guidage verticaux du pistolet - de -10° (dans les cas extrêmes de -8°) à + 45°;
Secteur de bombardement horizontal du canon sans faire tourner l'ensemble du véhicule - ± 15° ;
Équipement de visée : Zieleinrichtung 34 viseurs optiques pour le tir direct et Rundblickfernrohr 36 pour le tir à partir d'une position fermée.
Toutes les nouvelles unités, assemblages et détails nécessaires à la construction de nouvelles machines doivent être fabriqués sur l'équipement existant selon les processus technologiques existants ; les opérations nécessitant un usinage doivent être minimisées.
L'histoire des deux canons automoteurs mentionnés ci-dessus est allée en parallèle. Les deux véhicules avaient une charge de munitions transportable très limitée, sur le Hummel il n'y avait que 18 cartouches, en conséquence, environ 22-24% de tous les ACS ont dû être construits dans la version d'un transporteur de munitions. La conception des convoyeurs ne différait pratiquement pas de la conception de l'ACS. La possibilité d'installer des canons sur des convoyeurs sur le terrain a été retenue.
Une approche similaire a été conservée dans la production du Wespe ACS. Le châssis du Pz.Kpfw obsolète. II a été choisi comme plate-forme pour le montage du canon 105-mm lFH 18 ; le SPG a été produit à l'usine FAMO de Breslau. L'entrée des canons automoteurs légers et lourds dans les unités de combat a commencé au printemps 1943.

Les doutes sur l'efficacité de la "solution intermédiaire" ont été dissipés après l'utilisation réussie de canons automoteurs dans le cadre des batteries d'artillerie des divisions de chars. Les divisions Panzer ont maintenant une excellente couverture d'artillerie. La détérioration de la loi martiale allemande a conduit à l'abandon des plans pour la poursuite des travaux sur la "solution finale", les travaux dans le cadre de ce programme se sont limités à la construction de plusieurs prototypes de canons automoteurs.

Développement et fabrication
À l'automne 1942, après avoir fait la démonstration à Hitler d'un premier prototype de canon automoteur avec un canon de 150 mm sFH 18 sur le châssis d'un char PzKpfw. IV, Alkett de Borzigwalde a commencé à développer le Geschutzwagen III / IV. La conception de la machine a prévu le plus grand nombre possible de composants et d'assemblages existants ; les meilleurs systèmes de réservoirs PzKpfw ont été sélectionnés. IV. On pensait que la machine répondrait aux exigences minimales pour être utilisée comme plate-forme pour l'installation d'un canon lourd de 150 mm sFH 18/1. L'apparence du train d'atterrissage était plus conforme au châssis du char PzKpfw. IV Ausf.F, dans le même temps, l'équipement interne est en grande partie similaire au PzKpfw. III Ausf.J.
Du char "PzKpfw IV" pris :

• Carrosserie légèrement modifiée, train de roulement avec roues, galets de support, suspension, paresseux de chenille, tendeurs de chenille, etc.

Du char "PzKpfw III" pris :

• Moteur Maybach HL-120TRM avec transmission SSG-77, freins, roues motrices, mécanismes de contrôle.

Nouvelles pièces :

• spécialement pour l'ACS, de nouveaux arbres ont été développés qui transmettent la puissance du moteur, des tuyaux d'échappement, des filtres à huile, des démarreurs inertiels, des conduites de carburant, des équipements d'hiver.

Le modèle de l'installation Geschutzwagen III / IV en acier de construction a été examiné par Hitler en octobre 1942. En mai 1943, au début de la campagne d'été, 100 canons automoteurs Hummel devaient être construits. L'assemblage des machines devait être mis en place à l'usine Deutsche Eisenwerke de Deisburg, la production d'armoires blindées à l'usine Deutsche Rohrenwerke de Münheim. En mai 1943, il était possible de construire 115 canons automoteurs, mais seuls 55 véhicules sont entrés dans les unités de première ligne, le reste a été envoyé aux unités d'entraînement. L'expérience réussie de l'utilisation au combat de canons automoteurs a conduit à une augmentation de leur production, au total en 1943 368 canons automoteurs "Hummel" ont été construits, en 1944 - 289 et 57 - en 1945. Le volume total de production était 724 canons automoteurs "Hummel", dont dix convertis à partir de chars, en outre, la Wehrmacht a reçu 157 transporteurs de munitions Munitionsstrager. L'armée aimait beaucoup le canon automoteur "Hummel": on peut l'appeler le canon automoteur allemand le plus populaire pendant la guerre.
Le compartiment de combat des deux canons automoteurs, « Hummel » et « Wespe », se trouvait à l'arrière du véhicule. Le compartiment moteur est situé au milieu, le compartiment de commande est à l'avant. Le compartiment de contrôle est isolé du compartiment de combat. Le compartiment de contrôle était accessible par deux écoutilles. En plus du canon, l'ACS était armé d'une mitrailleuse MG-34 ou MG-42 ; pour l'autodéfense, l'équipage disposait de deux fusils d'assaut MP-40 et de pistolets. Les véhicules étaient propulsés par le moteur Maybach HL-120TRM extrêmement fiable et la transmission SSG-77. L'utilisation de la transmission du char PzKpfw III a conduit à la nécessité d'installer des freins, des mécanismes de direction et des roues motrices à partir du même char sur l'ACS. Dans le même temps, le moteur Maybach HL-120TRM ne fournissait pas au canon automoteur la puissance spécifique spécifiée dans les exigences.
L'équipement radio de l'ACS est unifié avec l'équipement radio des véhicules des observateurs d'artillerie. Les radios Funksprechgerat f (FuSprG 0 et Bordsprechgerat (BoSprG) ont été installées sur les canons automoteurs Hummel et Wespe, les transporteurs de munitions Munitionstrager.) Habituellement, les véhicules d'observation d'artillerie Panzer-Beobachtungswagen III, fabriqués à partir de chars PzKpfw III, travaillaient avec les canons automoteurs Stations de radio Funksprechgerat f (FuSprG 0. Bordsprechgerat (BoSprG), Tornisterfunkgerat g (TornFuG g-movable), récepteurs à moyenne fréquence FU-4 et FU-8, émetteur radio à moyenne fréquence de 30 watts.

Figure 2. ACS "Hummel" dans le jeu

Sur le prototype ACS, construit par Alkett, un canon avec frein de bouche a été installé ; lors de la production en série, l'installation d'un frein de bouche a été abandonnée. Un frein de bouche était nécessaire lors de l'utilisation des charges n° 7 ou 8, mais généralement les charges n° 1 à 6 étaient utilisées. L'autorisation de tirer avec l'utilisation des charges n° 7 ou 8 à partir de canons sans frein de bouche était donnée par le commandant au moins au niveau du commandant de peloton. De plus, l'utilisation de la charge n° 8 était autorisée à un angle d'élévation du canon ne dépassant pas 40°. Un canon a résisté à un maximum de dix coups avec des charges de n° 8.

Modifications
Sortie anticipée de SPG :

• des paresseux du char PzKpfw IV Ausf.D ;
• les pots d'échappement sont posés sur une seule aile au dessus du paresseux ;
• un rouleau compresseur de rechange est fixé à la plaque de blindage frontale ;
• un phare Bosh est installé sur chaque lamelle;
• les roues motrices sont similaires à celles utilisées sur les chars PzKpfw III Ausf.E ;
• galets de support caoutchoutés similaires à ceux utilisés sur les chars "PzKpfw IV Ausf.D" ;
• grilles de ventilation moteur dans les plaques blindées droite et gauche de la timonerie ;
• plier les lattes sur les paresseux

Sortie tardive de SPG

• les paresseux sont similaires à ceux utilisés sur les chars PzKpfw IV Ausf.F ;
• les tuyaux d'échappement sont posés sur les ailes des deux côtés;
• deux roues de secours sont situées sur la plaque de blindage arrière ;
• un seul phare Bosh est installé sur la latte avant gauche;
• les roues motrices sont similaires à celles utilisées sur les chars PzKpfw III Ausf.J ;
• galets de support de chenille en acier similaires à ceux utilisés sur les chars "PzKpfw IV Ausf.H" ;
• les grilles de ventilation des moteurs sont recouvertes de boucliers blindés ;
• les lattes rabattables sur les paresseux n'ont pas été installées

Organisation d'unités d'artillerie automotrices équipées du canon automoteur "Hummel"
L'organisation des régiments d'artillerie des panzerdivisions était réglementée par le tableau des effectifs du KStN 431 (Kriegsstarkenachweisung), l'équipement des régiments d'artillerie était réglementé par le tableau des effectifs du KAN 431 (Kriegsausrustungsnchweisung), les deux horaires sont datés du 16 janvier 1943; Le 1er juin 1944, un nouveau personnel a été approuvé - KStN 431 f.G. (Frei-Gliederung). Conformément au KStN 431, l'un des trois bataillons d'infanterie motorisée (le plus souvent le 1er) a été rééquipé de montures d'artillerie automotrices. Deux des trois batteries du régiment d'artillerie de la division de chars ont reçu les canons automoteurs Wespe; chaque batterie avait six canons automoteurs et 1-2 transporteurs de munitions Munitionstrager. La troisième batterie a reçu six canons automoteurs Hummel et 1-2 véhicules Munitionstrager basés sur le Hummel. Le quartier général de la batterie était armé de deux observateurs d'artillerie Panzer-Beobachlungwagen basés sur les chars PzKpfw II ou PzKpfw III. À la fin de la guerre, les batteries d'artillerie des divisions panzergrenadier individuelles ont également reçu les canons automoteurs Hummel et Wespe. Pour la première fois, les canons automoteurs Hummel ont été utilisés dans les batailles du Kursk Bulge à l'été 1943, à la fin de 1943, les Hummels ont opéré dans tous les secteurs du front. En 1943, les nouveaux canons automoteurs ont démontré une fiabilité et une efficacité au combat élevées.

Caractéristiques générales

Traditionnellement, nous commencerons notre examen en considérant les caractéristiques du réservoir, pour l'ART-ACS elles sont quelque peu différentes que pour les réservoirs.

Force et poids

Comme nous le savons, dans le patch 0.8.3. Le facteur de sécurité a été nerfé pour toutes les pièces d'artillerie présentées dans le jeu, grâce à quoi nous avons maintenant 280 HP (bien qu'auparavant nous avions bien plus de 300 HP). En général, nous pouvons maintenant être détruits d'un seul coup, même par des chars tels que "VK3001H" ou "BDR G1B", qui étaient autrefois une rareté. Il est difficile de discuter de l'opportunité d'une telle décision, en principe, rien de terrible ne s'est produit, vous devez maintenant vous cacher encore plus soigneusement et choisir des positions de tir. Si vous êtes indigné par cette décision de l'équipe de développement de Wargaming.net, alors pensez à ce qui suit : l'artillerie était-elle vraiment si puissante ? Je pense que si vous êtes au moins un peu versé dans la technologie, et encore plus si vous avez étudié un peu l'histoire de la Seconde Guerre mondiale, alors il vous deviendra clair qu'il n'y a rien d'extraordinaire ici. C'est juste que les développeurs ont rapproché les caractéristiques de performances des valeurs réelles, réduisant légèrement le poids de l'artillerie dans le jeu, et alors ? - le jeu concerne les chars et vous ne devriez pas l'oublier. L'artillerie, d'autre part, remplit une fonction importante mais auxiliaire, et donc les déséquilibres dans l'équilibre en faveur de l'ART-ACS ne peuvent conduire qu'à une chose - de nombreux fans de chars iront simplement vers d'autres jeux ou passeront également à l'artillerie, et qu'obtiendrons-nous à la fin ? Et nous obtiendrons un déséquilibre complet, lorsque la moitié de l'équipe sera composée d'artillerie et le reste de chars moyens et légers, qui n'ont pas si peur des tirs des canons automoteurs. Les rares cordes qui ont survécu à cette évolution sortiront avec effroi de derrière les abris et attendront que l'artillerie soit tuée pour ensuite passer à l'attaque. Eh bien, qui a besoin d'un tel jeu? Tactique, stratégie, planification opérationnelle ? Ne soyez pas ridicule, c'est juste une mauvaise copie d'une stratégie au tour par tour avec des éléments d'action entre les mouvements de prise de décision (comme "Opération Barbarossa"). Par conséquent, il n'y a pas lieu de s'inquiéter du nerf de la force, plus il y a de chars dans le jeu, plus il y aura de travail pour l'artillerie.

La masse du char est de 25,36-26,5 tonnes, ce qui signifie que nous avons assez de poids pour supporter un bélier luciole de type "A-20" ou "T-50", mais ce poids n'est plus suffisant pour supporter le "T " ram. -34-85 " ou " T20 ". Nous pourrons infliger des dégâts au même "T20", mais cela représente un maximum de 200-300 unités, mais le "Hummel" lui-même sera également détruit. Par conséquent, jouer avec des chars rapides au corps à corps dans le jeu "quelqu'un va éperonner quelqu'un" n'en vaut pas la peine, il est préférable d'utiliser l'extrême maniabilité des canons automoteurs pour échapper aux attaques ennemies. La technique des faux mouvements fonctionne très bien, mais gardez à l'esprit que notre marche arrière est très faible, donc il n'y aura peut-être pas de seconde chance. En fait, cette technique s'apparente à un "swing" et elle se fait comme ceci :

1. Vous voyez qu'un char ennemi se rue sur vous et évidemment dans le but de percuter, pour ce faire, tournez rapidement le char sur le côté ;
2. Lorsque l'ennemi s'approche suffisamment, faites un bond en avant - l'ennemi devra changer la direction du mouvement après vous;
3. Lorsqu'il ajuste sa trajectoire en fonction de votre direction de déplacement et s'approche de vous, faites un arrêt brutal et reculez, du coup l'ennemi passe à côté

Il est impossible de dire que la technique fonctionne dans 100% des cas, mais elle est assez populaire et si des chars comme le T-34-85 (si le joueur est expérimenté sur eux) parviennent à tourner un peu sur le côté et à s'accrocher vous avec une piste (cela suffit), alors des chars tels que "KV-5" ou "T20" en raison des faibles degrés de rotation de la suspension, volent très souvent et cela a l'air très drôle. C'est particulièrement amusant lorsqu'un colosse de 100 tonnes « KV-5 » vole à toute vapeur, démolissant des arbres et des structures fragiles en cours de route. A ce moment, vous pouvez lui envoyer un projectile dans le moteur en autoguidage et y mettre le feu, mais c'est déjà de la voltige et cela se fait rarement.

Pour compenser l'effet de bourrage, vous pouvez mettre une doublure anti-éclats, mais elle est lourde et vous ne pouvez donc pas installer de modules supplémentaires et plus utiles pour vous-même, donc la question de son installation est controversée. Il vaut mieux mettre les mêmes crampons et éviter les attaques que cela, cependant, contre des cibles particulièrement agiles, la doublure sera utile, car il est assez difficile d'esquiver le bélier ELC AMX ou T-50.

Vitesse et agilité

Ces deux valeurs sont les principaux avantages concurrentiels du Hummel, et de nombreux chars adorent ce canon automoteur précisément à cause de sa capacité à changer rapidement de position et à être, en fait, un « dragon » de l'artillerie. En fait, c'est pourquoi cet ACS a été conçu pour un soutien opportun des unités allemandes qui avancent (ou pour un transfert rapide vers les lieux de percée possible des forces ennemies) et cet ACS remplit sa mission à 100%.

Châssis

Armes à feu

Nous avons déterminé la vitesse et la maniabilité, commençons maintenant à analyser les armes, parmi lesquelles nous n'avons que deux choix. Le premier que nous avons obtenu du "Grill" - "15cm sFH 13 L / 17" avec des dégâts moyens de 680 unités et le deuxième canon - "15cm sFH 18 L / 30" est le meilleur. C'est avec ce canon que le Hummel est entré dans l'histoire de la Seconde Guerre mondiale et de l'histoire de l'artillerie en général, et une fois ce canon a fait de l'Allemand le meilleur parmi tous les canons automoteurs de rang 5. En fait, il était une fois, lorsque des brachiosaures de 100 tonnes parcouraient la planète et que la planète entière était couverte d'innombrables plantations de fougères, Hummel était l'artillerie de pointe et était au même niveau que le SU-14 et le S-51. Ces temps glorieux ont couvert ce canon automoteur d'une plus grande gloire, et si "SU-14" dans l'équipe signifiait puissance, alors "Hummel" signifiait une excellente couverture et des tirs d'appui assez fréquents et, surtout, précis. Depuis lors, beaucoup d'eau a coulé sous le pont et maintenant le Hummel est toujours le même, seule l'arme haut de gamme a été très "réparée" (constructeurs moldaves) et maintenant elle est réduite d'environ 60 à 70 % plus lentement que avant et la propagation est devenue plus importante, surtout en ce qui concerne les événements réels au combat.

Figure 6. Le choix des canons pour l'ACS "Hummel"

C'est à cause du nerf du top gun que de nombreux "artistes allemands" conduisent désormais avec un stock gun. Le fait est que, malgré les dégâts nettement inférieurs et l'absence presque totale d'éclaboussures, cette arme se distingue par une bonne précision et un excellent rechargement - 3,51 w / m. ajoutez ici la capacité de pénétrer un blindage de 228 mm avec des dégâts potentiels allant jusqu'à 700 unités, voici la raison de la popularité du canon de base. Il convient également de noter que lors de l'utilisation de ce pistolet, un autre problème qui gênait le Grille ACS a été résolu - les angles de guidage horizontaux. Ils sont bien meilleurs à "Hummel", et donc vous pouvez facilement suivre la cible dans un secteur beaucoup plus large et la couvrir d'une pluie d'obus. Le principal inconvénient de cette arme est l'absence presque totale d'éclaboussures - tout coup à un peu plus d'un mètre d'un char ennemi peut être considéré comme inutile, le plus souvent il ne s'agit que de dommages indirects aux chenilles, rien de plus. Mais le canon supérieur a déjà des éclaboussures et la chute du projectile à 2-3 mètres du char ennemi lui inflige constamment des dégâts. Bien sûr, cela dépend en grande partie du degré de protection du véhicule, si l'obus tombait à côté du M10 Wolverine, les dégâts seraient alors beaucoup plus importants que dans une situation similaire pour, disons, KV. À bien des égards, le revêtement anti-éclats protège des éclaboussures, ainsi que les caractéristiques structurelles des réservoirs, telles que la présence d'écrans latéraux (comme dans le T1 Heavy). Néanmoins, bien que les obus de la crosse et des canons haut de gamme soient déclarés avoir le même rayon de dispersion des fragments (celui qui peut endommager le char), dans tous les cas, en pratique, le canon supérieur a un ordre de grandeur plus de chances d'infliger des dégâts d'éclaboussure.

En termes de cumuls, tout est à peu près pareil, seul le top gun peut faire 88 dégâts de plus et le niveau de dégâts minimum est plus élevé - 563 contre 510. De plus, on peut pénétrer 10 mm de blindage de plus avec un obus HE conventionnel (en moyenne ). Sinon, au niveau des cumulatifs, tout est pareil, il s'agit du même type de munition, à peine modernisé pour le top gun.

Mais tout n'est pas si simple, le fait est que le cumulatif a ses inconvénients :

1. Prix ​​élevé;
2. Les dégâts peuvent être absorbés par les chenilles et ne peuvent tout simplement pas pénétrer la cible comme un BB normal ;
3. Il peut tomber à côté du char, à quelques décimètres de celui-ci et ne causera pas de dégâts, puisqu'il ne s'agit pas d'un projectile de l'action HE (mais il faut quand même le payer, puis payer beaucoup d'argent) ;
4. Rend les joueurs nerveux sans compte premium, car chaque raté ou pénétration sans dommage se traduit alors par des coûts élevés (en conséquence, le joueur nerveux rate plus souvent que lorsqu'il tire avec des munitions ordinaires).

Cela semble paradoxal, mais une arme de stock plus "économique" revient plus chère dans des batailles intenses qu'une arme de premier plan. Le fait est que dans de telles batailles, vous devez les "faire glisser", et donc utiliser activement des obus en or, car les dégâts causés par HE ne sont clairement pas suffisants pour des cibles telles que "KV-4" ou "IS-3". À leur tour, ces chars ont la propriété dégoûtante d'absorber les dégâts d'au moins un tiers des coups avec des cumuls, et donc le coût de la bataille prend des contours encore plus redoutables.

En général, la situation suivante s'avère - si vous jouez sans PA au hasard et que vous devez progressivement "pomper" le canon automoteur Hummel sans vous endetter, il sera alors plus rentable pour vous d'utiliser le top gun et exclusivement munitions à fragmentation hautement explosives. Si vous avez la PA et que vous voulez juste plus de "fun" et que vous aimez bombarder l'ennemi avec une pluie d'obus (ce qui est compréhensible, car peu de gens aiment le rechargement prolongé du "S-51" ou du "GW Type E") , alors vous avez besoin d'un kit de stock et 30 -40% de bookmakers devraient être cumulés.

Système de visée et de tir

Si vous faites attention à des canons automoteurs tels que "SU-5", "Bison", "M37" ou "StPzII", alors vous remarquerez des caractéristiques communes - ils ont tous des canons courts en service, avec un faible vitesse initiale du projectile et une trajectoire de tir montée. En fait, ce sont des mortiers mobiles capables de lancer des obus d'en haut dans des positions ennemies fortifiées, par exemple des tranchées ou des avant-postes. De telles armes font un excellent travail avec ces tâches, par exemple, elles seraient idéales pour prendre d'assaut les avant-postes que les Britanniques avaient dans leurs colonies africaines et seraient dangereuses pour l'infanterie même sous la protection de redoutes et de tranchées.

Référence: Nous parlons d'un semblant d'avant-postes médiévaux, uniquement avec des structures métalliques en béton, des canons et des mitrailleuses sur les murs dans des nids fortifiés et un système de communications souterraines, qui n'étaient pas seulement les Britanniques en Afrique, mais, par exemple, faisaient partie du système de fortifications défensives de la Hollande.

Dans le jeu, cela se reflète dans le fait que ces ACS ont une gamme d'informations très réduite et claire, presque parfaite et se distinguent par une grande précision de tir. Ils sont idéaux contre des cibles fixes et pour lancer des projectiles par-dessus des obstacles. Un exemple est les bâtiments délabrés "Ruinberg" et "Himmelsdorf", les collines sablonneuses "Steppes" et "Sandy River" ou les blocs de pierre "Rudnikov" et "Côte tranquille". C'est leur plus, ils peuvent lancer un projectile là où un obusier ordinaire ne peut pas atteindre en raison du fait qu'il a une trajectoire de tir plate.

Tout irait bien, mais les avantages coexistent généralement avec les inconvénients, et ils sont également présents ici. Le fait est que pour une trajectoire extrêmement pratique de tir sur des objets derrière des abris, nous payons avec une vitesse de vol du projectile plus faible, une portée de tir plus courte et, assez curieusement, un grand nombre de ratés, en particulier sur des cibles en mouvement. Le fait est que l'obus de mortier suit une trajectoire presque parabolique. Cela signifie que l'objet (projectile) vole le long d'une courbe symétrique plate vers le haut puis descend le long de la même trajectoire. Cette trajectoire est impossible dans la réalité, car idéalement elle ne peut être recréée que dans le vide, où l'objet en mouvement n'est pas affecté par des facteurs tels que le vent, l'humidité ou la densité de l'air, jusqu'à la micropression créée par les ondes solaires (qui à son tour chauffent également le projectile, car il est en métal et aussi, quoique légèrement, change ses propriétés et affecte la trajectoire). Dans le vide, nous pouvons créer une trajectoire parabolique idéale, mais le fait est que le modèle physique du jeu "World of Tanks" n'inclut pas l'influence de ces facteurs; dommages causés.

Noter. Les désignations par lettre des quantités dans nos calculs diffèrent de celles présentées dans les figures, car nous avons des quantités supplémentaires, et nous effectuons également un calcul simplifié qui serait compréhensible pour un utilisateur ordinaire.

Encore une fois, idéalement, si nous faisions des tests dans le vide, nous serions capables de réaliser une trajectoire parabolique, le chemin n'est pas si haut, mais plutôt peu profond. Néanmoins, ce serait la même parabole, "pour ainsi dire" plate ou aplatie (comme cela convient à tout le monde). Rappelons maintenant qu'il n'y a pas de physique dans le jeu qui refléterait l'influence de l'atmosphère sur la balistique, et donc nous frappons le long de la même trajectoire stricte (bien que pas élevée) que le mortier, seuls les angles sont plus petits ici.

Dans le jeu, cela se traduit par le fait que l'on peut lancer un projectile dans la tour du char, alors que le centre de notre viseur se situe à quelques mètres derrière le char. Nous pouvons également toucher un char se déplaçant rapidement, et si les trajectoires du projectile et du char coïncident au point "A", alors le char ennemi sera endommagé, mais le projectile du mortier a deux chances supplémentaires - il peut atterrir devant de ou derrière le réservoir. Cela signifie qu'il est plus facile de rater un objet en mouvement d'un mortier, ce qui nécessite une grande expérience de l'artilleur et un calcul intuitif rapide de la probabilité de savoir où et avec quel plomb envoyer le projectile.

Le deuxième avantage d'une telle trajectoire est que si, par exemple, dans les rues des cartes de la ville, des chars ennemis sont alignés, un tir le long de cette ligne droite, même avec un large intervalle de dispersion sur la longueur, finira très probablement frapper l'un des chars de cette file d'attente. ".

Figure 10. Cercle ellipsoïdal d'information du canon supérieur du canon automoteur "Hummel"

Le troisième avantage de la trajectoire plate (plate) est dû à la vitesse initiale élevée du projectile. Cela signifie que nous livrons plus rapidement le projectile du point "A" au point "B", ce qui se traduit par une probabilité plus élevée de toucher des cibles en mouvement. En gros, lorsqu'un mortier tire un coup sur un "KV" qui a commencé à partir d'un endroit, alors même à sa faible vitesse, il évitera de toucher, mais nous pourrons très probablement toucher, car même à de longues distances, nos obus HE sont rarement dépasser 3 secondes (temps d'approche du projectile vers la cible).

Et le quatrième avantage est qu'il est plus facile pour nous de combattre en mode AT. J'ai conduit, je me suis fait descendre et j'ai tiré, si le cercle d'informations est plein, alors même un char qui a démarré de sa place recevra un coup, si la distance ne dépasse pas 100-120 mètres, et le projectile de mortier sera très probablement Mademoiselle.

Stations de radio

Nous avons trois types de stations radio à notre disposition, une station radio intermédiaire "FuG 7" avec une portée de communication de 415 mètres nous permet de voir près de la moitié de la carte et de faire notre travail avec plus ou moins de succès. En revanche, si sur une carte comme Westfield l'artillerie ennemie, qui, en règle générale, est dans le coin de la carte, est repérée, alors nous ne pourrons pas le voir sur la mini-carte et dans l'ART -Mode SPG. Pour de telles situations, nous avons besoin d'un "FuG 12" avec une portée de communication de 710 mètres, ce qui nous permettra de voir la plupart des cartes, même les plus grandes.

Modules et compétences

Couper le facteur de sécurité a quelque peu sous-estimé la valeur de certains modules, comme le "Wet ammo rack" ou "Toolbox", puisqu'un ou deux obus et canons automoteurs ont été détruits. Par conséquent, il vaut la peine de prêter plus d'attention à la maniabilité, au camouflage et aux modules qui augmentent l'efficacité au combat. Vos choix peuvent être les suivants :

• Les « entraînements de visée renforcés » et le « piloneur d'obusier de calibre moyen » servent à recharger plus rapidement et à amener rapidement vers la cible. Cela est particulièrement vrai pour le top gun, qui a déjà des problèmes de mélange, en revanche, le pilon permet d'augmenter la cadence de tir déjà élevée du canon d'origine. Il sera utile d'apprendre "Smooth ride / turn of the tower" afin de réduire la propagation lors des changements de positions, car il y aura toujours une race d'artovod qui travaille sur des traceurs. Bien sûr, peu de gens les respectent, mais cela ne vous facilite pas la tâche et après chaque tir il faut changer de position, ce qui n'a pas le meilleur effet sur le mixage, d'autant plus que la marche arrière est assez faible, et donc doivent presque toujours aller sur les côtés ou en avant ;
• Un "filet de camouflage" et les compétences de camouflage correspondantes sont essentiels pour notre canon automoteur. La fréquence à laquelle vous serez détecté dépend de leur niveau et de leur disponibilité, ce qui est très mauvais pour l'artillerie. Parce que non seulement nous n'avons pas de blindage et une marge de sécurité, nous avons un rouf ouvert et un blindage faible, mais il y a aussi un facteur tel que la priorité de la cible. Donc, nous sommes numéro un dans cette priorité, car lorsqu'ils voient l'artillerie à la lumière, d'abord, les artilleurs et les chars ennemis tirent dessus. Parfois, cela va jusqu'à l'absurdité - un char ennemi, vous voyant, se précipite dans votre direction à toute vitesse, tout en recevant les coups d'un allié se tenant à proximité. En même temps, il ne fait pas attention aux coups qu'il reçoit et se dirige obstinément vers la position de tir et commence à vous tirer dessus. En général, ils n'aiment pas l'artillerie, et donc les cas de vengeance aveugle ne sont pas rares, alors cachez-vous du mieux que vous pouvez, mettez le « filet de camouflage » et apprenez « Déguisement » plus « Sixième sens » pour être conscient quand vous êtes découvert;
• La maniabilité joue un rôle de plus en plus important et il convient donc de prêter attention à des compétences telles que "Virtuose" et "Roi du tout-terrain", qui, associées aux crampons, augmentent sensiblement la dynamique du char et améliorent considérablement la passabilité sur sols "inconfortables". Par exemple, les crampons donnent 10% de praticabilité sur les sols mous et 5% sur les sols moyens, le roi du tout-terrain donne 10% de praticabilité sur les sols mous et 2,5% sur les sols moyens. En conséquence, la praticabilité sur les sols mous augmentera de 20 %, et en moyenne de 12,5%. Ce sont des chiffres significatifs qui donneront à Hummel une véritable vitesse de croisière et faciliteront la navigation sur des sols où même les chars moyens à grande vitesse resteront bloqués. Si vous ajoutez ici de l'essence à indice d'octane élevé, la Hummel se transforme en une voiture de course dans le monde des chars - tourne instantanément sur place et prend de la vitesse ;
• La présence d'optiques ou d'un tube stéréo vous permet de détecter les chars qui s'approchent de vous, lorsque vos alliés vous font tellement confiance qu'ils ont lancé de l'artillerie sans couverture. Dans une telle situation, vous pouvez féliciter le char ennemi avec quelques obus avant de l'envoyer au hangar, et s'il y a quelques artilleurs dans l'équipe, alors travaillez simplement avec une lumière passive, sans vous trahir par le feu. Vous pouvez également étudier "Eagle Eye" et Radio Intercept ", alors la portée de vision augmentera encore plus, et nous l'avons de 370 mètres. En conséquence, la vue augmentera de ∑ 1 = 10% (optique) + 2% (eagle eye) + 3% (interception radio) = 15% (425m) ou ∑ 2 = 25% (tube stéréo) + 2% (oeil d'aigle) + 3 % (interception radio) = 30 % (481 m). Ce sont des chiffres significatifs, donc « pomper » l'examen ne sera pas inutile ;
• La "doublure anti-éclats" nous permettra d'avoir moins peur des tirs de contre-artillerie et de subir moins de dégâts des éclaboussures. De plus, la doublure sauve souvent des "petits kamikazes" tels que "T50" et "Leopard", qui (le plus souvent avec une pleine marge de sécurité) à la vue d'ACS peu blindés et peu lourds tels que "Hummel" ou "AMX 13 F3 AM" vole à toute vapeur sur le bélier. La doublure réduit les dégâts causés par l'éperonnage de 15%, ce qui peut être complété par la compétence "Maître de l'éperonnage" de 15% supplémentaires, bien sûr, cela peut être qualifié de gaspillage par rapport aux compétences (par exemple, hypothétiquement, il est plus utile de pomper " Repair"), mais à quel point la situation est belle lorsque vous percutez le "M36 Slugger" ou lorsque l'arrogant "T-50" s'effondre en vis et écrous après être entré en collision avec vous. En général, cette combinaison est à votre discrétion, mais même avec une utilisation habile, elle sera utile, bien qu'il y ait un inconvénient - ce module est le plus lourd, et par conséquent vous ne pouvez mettre aucun des modules lourds au-delà. C'est-à-dire que si vous disposez d'un revêtement et de « commandes de visée renforcées », vous ne pourrez plus livrer de pilonneuse (300 kg) en raison d'une surcharge

Tableau de rentabilité

Et pour le dessert, nous avons la chose la plus agréable - une analyse de la rentabilité de l'ACS "Hummel". Pour l'avenir, je dirai qu'avec de la modération dans l'utilisation des cumulatifs et avec la bonne expérience d'un artilleur, ce qui vous permettra d'éviter des erreurs fréquentes, vous pourrez gagner de belles sommes d'argent sur ce SPG. Si vous n'utilisez que des mines terrestres, et en particulier avec un fusil de série, vous pouvez atteindre un degré de rentabilité élevé dans presque toutes les batailles, à l'exception des puits, lorsque nous avons eu de la chance avec des artiodactyles à cornes des latitudes nord. Passons donc directement aux chiffres.

Figure 12. Tableau de rentabilité de l'ACS "Hummel"

Selon les résultats de 10 batailles, le montant des revenus sans PA était de 200 662 argent, et en tenant compte du compte premium - 300 993. Le montant des dépenses était ∑ = 10915 + 3000 + 109 425 = 123340, ce qui signifie que le profit était de 200 662 -123340 = 77322 sans compte premium, et avec PA, il est égal à 300933-123340 = 177593. Ce sont de très bons chiffres pour les véhicules non premium, et vous pouvez vraiment exploiter les canons automoteurs, en particulier avec PA et avec un canon de série, pour lesquels les obus HE sont moitié moins chers que ceux du canon supérieur.

En termes d'expérience, tout est standard - 443 points d'expérience en moyenne sans PA, et 663 points d'expérience avec un compte premium. Les canons automoteurs sont pompés assez rapidement, de sorte que toute l'expérience acquise peut ensuite être transférée gratuitement ou envoyée à la formation de l'équipage.

Conclusion

ACS "Hummel" est une unité de combat légendaire, qui a gagné son nom légendaire non seulement dans les opérations militaires pendant la Seconde Guerre mondiale, mais est également entrée dans le temple de la renommée du jeu "World of Tanks". Pratiquement depuis la sortie du jeu jusqu'à aujourd'hui, ce SPG a ravi les fans par sa dynamique, son équilibre et son identité historique. Les fans de la technologie allemande l'adorent autant que les fans d'artillerie en général, et souvent ce canon automoteur passe beaucoup plus de temps dans les hangars de ses propriétaires qu'il n'en faut pour l'explorer pleinement. Des centaines et des centaines de batailles ont lieu, mais cette artillerie ne dérange pas et continue de ravir par sa dissemblance et son efficacité au combat, sa vitesse et sa maniabilité élevées et sa richesse de capacités tactiques. Si un tel canon automoteur était dans les rangs des véhicules premium, alors, à coup sûr, il aurait trouvé de nombreux fans, puisque

Le prototype de l'obusier automoteur Hummel a été créé en 1943. La même année, sa production en série débute. L'obusier automoteur est structurellement similaire au canon antichar automoteur Nashorn, mais au lieu du canon antichar de 88 mm dans la tourelle, une partie pivotante de l'obusier de campagne de 150 mm "18/40" avec une longueur de canon de 30 calibres est installé sur la machine. L'obusier pouvait tirer des obus à fragmentation hautement explosifs pesant 43,5 kg à une distance pouvant atteindre 13,3 km. En raison du fait que des tirs de chargement séparés ont été utilisés, la cadence de tir était relativement faible. Pour réduire la force de recul, des freins de bouche ont été installés sur certaines parties des obusiers. Pour le contrôle du tir, des viseurs étaient utilisés, généralement utilisés dans l'artillerie de campagne, car un obusier automoteur était généralement utilisé comme arme d'artillerie de campagne. Cependant, contrairement aux canons conventionnels, il était capable d'ouvrir le feu à tout moment, avait une bonne maniabilité et une bonne maniabilité, c'est-à-dire qu'il possédait les qualités nécessaires pour soutenir les chars. La production en série des obusiers Hummel 150-mm a duré de 1943 jusqu'à la fin de la guerre. Au total, 724 canons automoteurs et 157 transporteurs de munitions ont été produits.

Les premiers Hummel furent livrés aux troupes en mai 1943 ; a commencé à être utilisé en masse, à commencer par la bataille des Ardennes de Koursk à l'été de la même année, et a combattu sur tous les fronts jusqu'à la fin de la guerre. Bien que le but principal des canons automoteurs était de tirer à partir de positions fermées, il n'était pas si rare de l'utiliser pour le soutien direct de l'infanterie avec un tir direct. À ce titre, il a été testé presque immédiatement, près de Koursk. En raison de la charge de munitions limitée de 18 obus d'artillerie, un porte-obus blindé a été développé pour les unités armées de Hummel, qui était essentiellement le même canon automoteur sans armes, avec une embrasure de canon scellée avec une plaque blindée dans la timonerie. Il transportait 90 obus et chaque batterie Hummel de l'État était censée avoir deux de ces véhicules de ravitaillement. Si nécessaire, directement sur le terrain, l'obusier s.FH.18 / 1 pouvait être installé sur un porte-munitions, le transformant en un canon automoteur à part entière. Au début de 1945, la production de Hummel et de véhicules de ravitaillement basés sur celui-ci a été interrompue. Au total, environ 724 canons automoteurs ont été produits (en tenant compte des prototypes et des modifications des Panzerkampfwagen IV endommagés) et 157 porte-munitions pour eux. " (" Bumblebee "), ont été libérés à la toute fin de 1942. Au total, avant la fin de la production fin 1944, 666 de ces machines sont sorties des ateliers des usines des sociétés "Alquette" et "Deutsche Eisenwerke" charge de munitions de seulement 18 cartouches, c'est pourquoi il a fallu souvent recourir à l'aide des porteurs de munitions. En règle générale, il s'agissait des mêmes canons automoteurs, mais sans armes. En moyenne, quatre obusiers automoteurs disposaient d'un transporteur de munitions, ce qui n'était clairement pas suffisant. Mais pour la production de plus de véhicules auxiliaires, le châssis ne suffisait tout simplement pas, donc après la sortie d'environ 150 transporteurs par Deutsche Eisenwerke, leur production a dû être arrêtée. Étant donné que la conception des porte-munitions Hummel permettait une conversion rapide et simple, voire possible sur le terrain, en véhicule de combat, de nombreux transporteurs ont terminé leur voyage en tant qu'obusiers automoteurs.

En général, le "Hummel" s'est avéré être une arme extrêmement puissante et efficace, de sorte que la demande en tant qu'excellent moyen d'appui-feu était très élevée. Mais comme l'industrie allemande ne pouvait pas entièrement satisfaire les exigences de l'armée, "Hummels" n'entra en service qu'avec des unités d'élite - principalement des divisions de chars des troupes SS. Étant donné que, dans la composition des formations de chars, les obusiers automoteurs, en raison du manque de moyens de conduite de tir spéciaux, ne pouvaient pas être utilisés aux fins prévues - en tant qu'armes d'assaut, lorsqu'ils pouvaient pleinement démontrer leurs capacités, ils se sont en fait transformés , en une arme supplémentaire extrêmement puissante capable de tirer directement sur toutes les cibles dans le champ de vision du tireur. En leur nouvelle qualité, les "Hummels" ont fait leurs preuves, même si dans l'ensemble, leur utilisation ne peut en aucun cas être reconnue comme la plus efficace. Mais en 1943, le front de l'Est n'était que ce théâtre d'opérations, où la puissance de feu était d'abord prise en compte, et à cet égard, "Hummel" a toujours été à son meilleur.

Hummel a une bonne réputation dans la Wehrmacht. Plusieurs canons automoteurs de ce type ont été capturés par l'Armée rouge et utilisés dans des batailles aux fins prévues sous la désignation SU-150. Après la fin de la guerre, un certain nombre d'entre eux sont même officiellement en service jusqu'en 1946. Cinq obusiers automoteurs Hummel ont survécu à ce jour et sont exposés dans des musées militaires en Allemagne, en France, aux États-Unis et en Grande-Bretagne.