| 1997-2000 | Dynamo-2 | |
| 1999-2000 | Tver | |
| 2000-2001 | Dynamo | |
| 2001-2002 | CSKA | |
| 2002-2004 | Canards d'Anaheim | |
| 2002-2005 | Canards puissants de Cincinnati | |
| 2005-2006 | Avant-garde | |
| 2006-2007 | Chiens de glace de Long Beach | |
| 2007-2008 | chevalier | |
| 2007-2008 | Ailes des Soviétiques | |
| 2007-2010 | Chimiste | |
| 2009-2010 | Gazovik | |
| 2010-2011 | Tver | |
| 2010-2012 | Monticule | |
| 2012-2013 | Bourane | |
| 2012-2013 | Tver | |
| 2013-2014 | Oural méridional | |
| 2013-2014 | Almaty | |
| 2014-2015 | Mineur | |
Alexeï Sergueïevitch Smirnov(né le 28 janvier 1982) - joueur de hockey professionnel russe, attaquant gaucher.
Carrière
Depuis 1997, il a joué dans le doublé du Dynamo de Moscou. Il a fait ses débuts en première division lors de la saison 1999/2000 avec le Dynamo, son seul match.
Alexey passe la saison 2005/06 à Avangard Omsk.
Pour la saison 2006/07, il se rend à nouveau à l'étranger - au ECHL Club Long Beach Ice Dogs.
Lors de la saison 2008/09, il a disputé la première saison de la KHL au sein de Khimik Voskresensk. A passé 55 parties, gagnant 15 + 7 points.
Il a passé plusieurs saisons dans la VHL avec Tver, Toros, Bourane et l'Oural du Sud, après avoir joué 157 matchs.
Un extrait caractérisant Smirnov, Alexey Sergeevich (joueur de hockey)
Il y avait de la neige, de la boue, du froid, des rivières s'ouvrirent, des routes devinrent impraticables ; pendant plusieurs jours, ils ne donnèrent à manger ni aux chevaux ni au peuple. Depuis que le transport est devenu impossible, les gens se sont dispersés dans les villages abandonnés et abandonnés à la recherche de pommes de terre, mais même cela ne suffisait pas. Tout fut mangé, et tous les habitants s'enfuirent ; ceux qui restaient étaient pires que les mendiants, et il n'y avait rien à leur prendre, et même un peu - les soldats compatissants souvent, au lieu de profiter d'eux, leur donnaient le dernier.Le régiment de Pavlograd n'a perdu que deux blessés dans les affaires ; mais à cause de la faim et de la maladie, il a perdu près de la moitié de la population. Dans les hôpitaux, ils mouraient si sûrement que les soldats, malades de fièvre et enflés par la mauvaise nourriture, préféraient servir, traînant les pieds de force au front, que d'aller dans les hôpitaux. Avec l'ouverture du printemps, les soldats commencèrent à trouver une plante qui apparaissait du sol, semblable à l'asperge, qu'ils appelaient pour une raison quelconque racine douce Mashkin, et se dispersèrent à travers les prés et les champs, à la recherche de cette racine douce Mashkin (qui était très amer), l'a déterré au sabre et l'a mangé, malgré l'ordre de ne pas manger cette plante nuisible.
Au printemps, une nouvelle maladie s'est déclarée entre les soldats, gonflement des bras, des jambes et du visage, dont la cause, selon les médecins, était l'utilisation de cette racine. Mais malgré l'interdiction, les soldats de Pavlograd de l'escadron de Denisov ont principalement mangé de la racine douce de Mashkin, car pendant la deuxième semaine, ils avaient étiré les derniers crackers, ils n'avaient distribué qu'une demi-livre par personne et ils ont apporté des pommes de terre surgelées et germées au cours de la dernière paquet. Les chevaux ont également mangé pendant la deuxième semaine sur les toits de chaume des maisons, étaient horriblement maigres et encore couverts de touffes de poils d'hiver.
Malgré un tel désastre, les soldats et les officiers vivaient exactement comme ils l'avaient toujours fait ; les mêmes maintenant, bien qu'avec des visages pâles et gonflés et dans des uniformes déchirés, les hussards s'alignaient sur les calculs, allaient au nettoyage, nettoyaient les chevaux, les munitions, tiraient de la paille des toits au lieu de fourrage et allaient dîner aux chaudrons, de dont les affamés se sont levés, se moquant de ma mauvaise bouffe et de ma faim. Comme toujours, pendant leur temps libre après le service, les soldats brûlaient des feux, fumaient nus près des feux, fumaient, sélectionnaient et cuisaient des pommes de terre germées, pourries et racontaient et écoutaient des histoires soit sur les campagnes Potemkine et Souvorov, soit sur les histoires d'Aliocha le voyou, et sur l'ouvrier agricole du prêtre Mikolke.
Les officiers, comme d'habitude, vivaient à deux, à trois, dans des maisons ouvertes et délabrées. Les anciens s'occupaient de l'achat de paille et de pommes de terre, en général des moyens de subsistance du peuple, les plus jeunes, comme toujours, s'occupaient des cartes (il y avait beaucoup d'argent, bien qu'il n'y ait pas de nourriture), certains dans des jeux innocents - dans des tas et des villes. On parla peu du cours général des affaires, en partie parce qu'ils ne savaient rien de positif, en partie parce qu'ils sentaient vaguement que la cause générale de la guerre allait mal.
Le 9 décembre, la Haute Cour de justice britannique a rejeté la demande de Ramilos Trading Ltd, qui appartient à A1 Investment Company, contre le dirigeant du groupe POLYPLASTIC.
Selon l'IA Intérêts nationaux, essai, qui a duré à partir d'avril 2016, s'est soldée par un refus dévastateur de Ramilos Trading Ltd pour tous les motifs. Après avoir examiné les pièces du dossier et tenant compte des arguments des parties, la Haute Cour de justice a considéré l'action de la société offshore comme recueillant des preuves compromettantes et intimidant l'autre partie. Le tribunal a également nié la possibilité d'interjeter appel et a condamné le demandeur à payer les frais du défendeur.
L'histoire de l'affrontement.
De 2005 à nos jours, Ramilos Trading Ltd est contrôlée par les anciens dirigeants de ZAO LUKOIL-Neftekhim, Alexey Sergeevich Smirnov et Alexander Natanovich Rappoport. Ce sont eux qui, à travers une société offshore, détiennent 50 % des actions d'APG Polyplastic Group Ltd, (APG), qui à son tour détient 96,5 % des actions de la société russe POLYPLASTIC Group. Les 50 % restants des actions d'APG appartiennent à Strongfield Marketing Ltd. Les cinq associés-gérants du Groupe sont propriétaires de Strongfield.
Entre 2005 et 2010, les financements de POLYPLASTIC provenaient des fonds propres des associés gérants et ont attiré des investissements. Dans le même temps, Smirnov et Rappoport refusent de participer au financement de POLYPLASTIC. En 2011, le Groupe comptait 13 usines et autant de maisons de commerce en Russie et dans les pays de la CEI. La société a agrandi son propre institut de recherche, son institut de conception et son centre de formation pour la formation de spécialistes en conception, installation et exploitation de systèmes de canalisations en polymère.
En 2011, un conflit a éclaté entre les actionnaires d'APG lorsqu'Alexey Sergeevich Smirnov et Alexander Natanovich Rappoport ont refusé de faire leur part des investissements en capital au prorata des investissements de Strongfield ou de réviser leurs parts dans APG au prorata des investissements. Début 2012, il a été décidé d'introduire le Groupe en bourse d'ici fin 2014, ce qui s'est traduit par le pacte d'actionnaires correspondant. Dans le même temps, Ramilos a signé un accord de prêt et s'est engagé à restituer à Strongfield la moitié de l'investissement réalisé dans le développement de l'entreprise commune.
Mais en juillet 2012, Alexey Sergeevich Smirnov et Alexander Natanovich Rappoport ont commencé à entraver la mise en œuvre de l'accord de janvier. Ensuite, ils ont complètement refusé de fournir aux banques autorisées des informations fiables sur eux-mêmes. Dans le même temps, les valeurs nominales et une chaîne de sociétés fiduciaires offshore dirigées par une société mère publique ont été indiquées comme les bénéficiaires de Ramilos. Les banques d'investissement, bien sûr, étaient mécontentes de cette tournure des événements. Tout cela a conduit au blocage des préparatifs du Groupe pour l'introduction en bourse.
Que se passe-t-il maintenant ?
Les actionnaires de Strongfield ont été, pour le moins, étonnés lorsqu'ils ont appris la "vente" de Ramilos, organisée par Alexei Sergeevich Smirnov et Alexander Natanovich Rappoport. Probablement, cette information serait restée secrète, n'eut été de la plainte de Ramilos devant la Haute Cour de justice.
En mai, "A1 Investment Company" a annoncé sur son site Internet l'achat de 50 % d'APG. Il y a tout lieu de croire qu'il n'y a pas eu de vraie vente. En témoigne le fait qu'il n'y a eu aucune négociation à ce sujet avec les actionnaires de Strongfield qui gèrent POLYPLASTIC, et que les vérifications juridiques et comptables habituelles, l'évaluation d'entreprise et les réunions avec la direction n'ont pas eu lieu.
Ramilos a rapporté dans déclaration de sinistre que depuis 2013 POLYPLASTIC a commencé à soupçonner des abus à grande échelle dus au non-paiement des dividendes. Cependant, il s'est avéré que le blocage des paiements de dividendes est "l'œuvre d'art" de Ramilos. Ils ont simplement refusé de rembourser la dette en vertu de l'accord de prêt, qui, en fait, était la dette pour payer la participation dans APG. Sous la pression des preuves présentées par le défendeur, Ramilos a été contraint de retirer les demandes de dividendes en attendant une audience du tribunal.
Outre "l'abus de dividendes", le plaignant a également accusé les associés-gérants de POLYPLASTIC d'avoir retiré des fonds via l'achat de matières premières importées et le paiement d'intérêts sur des emprunts.
Le défendeur a soumis des documents au tribunal indiquant que dans POLYPLASTIC, toute la comptabilité depuis 2007 a été auditée par les « quatre grands » Normes internationales rapport financier. Les matières premières ont été achetées par l'intermédiaire d'une société partenaire, détenue à 50 % par Ramilos. Les données relatives à toutes les transactions ont été scrupuleusement reflétées dans les comptes consolidés IFRS.
Le tribunal a conclu que, pour les motifs invoqués par Ramilos, il n'y avait aucune preuve d'abus. Toutes les circonstances qui sont invoquées par l'offshore comme arguments lui sont connues depuis 2011 (rappel, la réclamation n'a été déposée qu'en avril 2016). Le tribunal n'avait aucun doute sur la fiabilité de la comptabilité et des rapports de POLYPLASTIC.
Les associés gérants sont convaincus que l'appel au tribunal britannique et la campagne de relations publiques dans les médias est une "performance" bien organisée, qui visait le dépôt des propriétaires de Ramilos Alexey Sergeevich Smirnov et Alexander Natanovich Rappoport. Pendant de nombreuses années, ils ont refusé les offres de rachat de leurs actions, et lorsque la valeur de l'entreprise a diminué, ils ont demandé de l'aide à A1. Des hommes d'affaires avisés tentent de forcer les principaux actionnaires du Groupe à racheter leurs actions à un prix gonflé. Dans le même temps, les actions irréfléchies d'A1 désorganisent le travail de l'entreprise. Rappelons que l'industrie connaît maintenant période difficile, et les perturbations dans le travail de POLYPLASTIC, qui emploie plus de 5 000 personnes, causeront des dommages importants à l'économie du pays.
Les associés-gérants du Groupe sont convaincus que tout différend d'entreprise peut être résolu pacifiquement au cours d'un dialogue constructif, et le recours à la force, la pression, les relations publiques noires, les fausses dénonciations, le chantage et l'extorsion sont inacceptables. EN POLYPLASTIQUE, ils prévoient de protéger davantage les intérêts et la réputation commerciale de l'entreprise.
Informations sur le Groupe POLYPLASTIC
Le groupe POLYPLASTIC est le plus grand fabricant russe de systèmes de canalisations en polymère pour les réseaux de distribution de gaz et d'eau, la remise en état des sols, la construction et les besoins d'ingénierie, ainsi que de matériaux composites polymères pour l'automobile, la construction de machines, l'électronique, la construction et d'autres industries et l'agriculture.
Les installations de production sont situées en Russie (12 usines), en Biélorussie (1 usine) et au Kazakhstan (1 usine). Le Groupe comprend également 13 maisons de commerce régionales, Centre d'entraînement, institut de recherche et de design.
L'entreprise fonctionne avec succès depuis plus d'un quart de siècle. Elle emploie plus de 5 000 personnes. Le groupe est affecté à entreprises stratégiques RF, est un leader dans la mise en œuvre de programmes de substitution aux importations, crée et met en œuvre en production technologies innovantes... Le chiffre d'affaires selon les IFRS pour 2015 s'élevait à 31 milliards de roubles. EBITDA - 1,8 milliard de roubles.
Des représentants de l'Assemblée législative et du gouvernement de la région de Tver, ainsi que de l'administration du district de Bezhetsk, se sont réunis à une table ronde dans l'administration du district de Bezhetsk pour discuter questions d'actualité la mise en oeuvre projet d'investissement Corall LLC et la création d'un parc agro-industriel sur le territoire de la région.
L'initiateur de cette réunion était l'investisseur du projet Alexey Sergeevich Smirnov. Il a expliqué que le projet était très difficile en termes d'approbations, il est devenu assez coûteux, car au stade initial beaucoup de fonds propres ont été dépensés. Au stade de la mise en service, nous avons fait face à une incompréhension des autorités de régulation, adopté 13 prescriptions pour risques environnementaux... L'entreprise est très attentive à tous les risques de pollution des sols, de l'eau et de l'air, donc ce malentendu est étrange. Tous les indicateurs sont conformes aux normes maximales autorisées.
Plus de 600 millions de roubles ont été dépensés pour le projet le plus important - des lagunes pour l'élimination et le stockage des déchets.
Il est préoccupé par le fait que 23 visites à l'entreprise du ministère ont eu lieu en un an. ressources naturelles, il s'agit souvent du parquet de l'environnement. Et il estime que dans de telles conditions, il est impossible de commencer l'étape du doublement de la capacité de l'entreprise. Une énorme somme d'argent a été investie dans le projet et Alexey Sergeevich s'est tourné vers les personnes présentes pour obtenir des éclaircissements sur la situation et de l'aide.
Le président de l'Assemblée législative, Andrey Nikolaevich Epishin, a fortement suggéré qu'une certaine personne responsable soit affectée à la mise en œuvre du projet Corall LLC. Rien qu'en 2016, la région de Tver en termes d'indicateurs agricoles est arrivée en tête de 28%, et en grande partie grâce à "Coral".
Étant donné que de nombreuses inspections n'ont pas abouti et qu'aucune infraction n'a été constatée, il a recommandé que les représentants du ministère des Richesses naturelles soient plus attentifs aux plaintes, dont plusieurs restent anonymes.
Le chef de la région de Bezhetsk, Alexander Vasilyevich Gorbanev, est tout à fait inquiet de la situation, car il s'agit d'un énorme soutien pour la région, les plans pour l'entreprise sont de fournir des emplois à environ 1200 personnes, et il est prévu de créer un agro -parc industriel de la région. Grâce à ces grands projets, le budget sera reconstitué avec des fonds. Les problèmes posés par le public entravent considérablement la mise en œuvre du projet dans les délais.
Bien que le vol Moscou - Londres ait été retardé de deux heures et demie, Valentin Buyanovsky a quitté l'avion de bonne humeur. En avril 2016, le temps s'est éclairci dans la capitale britannique, et le copropriétaire du groupe Polyplastic s'attendait à un merveilleux week-end en famille. Après avoir reçu la valise, Buyanovsky a quitté la zone des arrivées et s'est dirigé vers le deuxième étage de l'aéroport d'Heathrow, où le chauffeur l'attendait. A l'ascenseur, une agréable voix féminine l'interpella. En se retournant, l'homme d'affaires vit une blonde bien coiffée, elle lui tendit une enveloppe. Il contenait une assignation à comparaître devant la Haute Cour de Londres, la jeune fille était huissier de justice. Buyanovskiy a donc rencontré par contumace de nouveaux partenaires commerciaux - la société A1, la division d'investissement du groupe Alfa. Production tuyaux en plastique s'est avéré être un morceau savoureux pour les requins du capitalisme russe.
Des peignes aux tuyaux
Le 19 août 1991, les Moscovites ont entendu le rugissement des véhicules blindés dans les rues et ont vu l'émission télévisée du Lac des cygnes. Pour Miron Gorilovsky, diplômé de l'Institut des technologies de chimie fine de Moscou (MITHT), ce jour a été rappelé non seulement par la conférence de presse du Comité d'urgence de l'État, mais également par la réception d'un certificat d'enregistrement pour Polyplastic. Cette firme, organisée par trois amis du MITHT, avait déjà un bureau non loin de la Maison Blanche, et des chimistes donnaient du thé en thermos à ses défenseurs pendant les jours troubles du mois d'août.
La démocratie a gagné et Gorilovsky, après avoir loué un atelier et du matériel, a mis en place la production de cintres en plastique, de décapants anti-mouches et de peignes. Ensuite, les partenaires ont transformé des matières premières polymères dans des usines pétrochimiques l'ex-URSS, et les composites résultants ont été fournis à AvtoVAZ et GAZ pour la production de pièces de rechange. Les usines automobiles fonctionnaient sur la base du troc, de sorte que les propriétaires de Polyplastic ont même dû ouvrir leur propre concession automobile et vendre plus de 10 000 gazelles et voitures Zhiguli.
En 1995, Buyanovsky est devenu directeur financier chez Polyplastic, il est devenu copropriétaire. À cette époque, la société avait atteint un chiffre d'affaires annuel de 5 à 8 millions de dollars et lancé propre productionà la périphérie de Moscou à Ochakovo. L'usine de tuyaux Gaztrubplast était située à proximité, son propriétaire allait émigrer en Israël et proposa à Gorilovsky de racheter la production pour 500 000 $. L'entreprise semblait prometteuse - Gaztrubplast avait des accords avec Mosgaz sur la fourniture de tuyaux en plastique pour la rénovation du Moscou gazoduc. Gorilovsky a convenu d'un plan de versement et a conclu un accord. Et il a pris la bonne décision. Le marché des canalisations du pays s'est avéré illimité : le degré d'usure des canalisations des services publics a atteint 70 %. En 1998, Gaztrubplast fournissait chaque année à Mosgaz environ 150 km de canalisations. Aux rangs des clients se sont joints d'autres compagnies gazières régionales et même Gazprom, qui avait besoin de tuyaux pour le programme de gazéification.
La crise de 1998 a fait le jeu de Polyplastic, puisqu'après la dévaluation du rouble, les importations de tuyaux en polymère se sont effondrées. Dans le même temps, en cas de hausse des prix des matières premières importées, Gorilovsky parvient à s'assurer ; plusieurs années avant la crise, il entame des négociations avec le directeur général de l'usine de Stavropolpolymer, Moisei Gershberg, sur la production de qualités de tuyaux. de polyéthylène. L'usine a commencé à produire des matières premières pour Polyplastic en 1998, à cette époque Stavropolpolymer appartenait au nouveau propriétaire, Lukoil-Neftekhim, dirigé par Alexey Smirnov.
Appelle un ami
Au lendemain de l'arrivée de Buyanovsky à Londres en avril 2016, un numéro inconnu s'affichait sur son portable. "Valentin Mikhailovich, nous sommes vos nouveaux partenaires d'A1, nous aimerions vous rencontrer", a résonné la voix confiante du directeur général d'A1 Andrey Tyasto dans le récepteur. Buyanovskiy, qui n'est pas non plus étranger aux guerres d'entreprise, a rapidement trouvé la réponse : « À en juger par le fait que vous avez d'abord déposé une plainte et ensuite appelé, vous vouliez rencontrer non pas moi, mais mes avocats. Je vous promets que vous les rencontrerez bientôt." Un mois et demi plus tôt, A1 avait racheté l'offshore Ramilos aux îles Vierges britanniques, qui détient 50% du groupe chypriote APG Polyplastic - propriétaire de Polyplastic Group LLC avec 96,5% des parts. Aujourd'hui, ce holding regroupe 16 usines, son chiffre d'affaires annuel est de plus de 30 milliards de roubles.
Dans la décision de la Haute Cour de Londres sur la réclamation de Ramilos contre Buyanovsky, il est dit qu'avant A1, les bénéficiaires ultimes de cette société offshore étaient « MM. Rappoport et Smirnov ». Les personnes portant de tels noms de famille en étaient vraiment propriétaires, a confirmé à Forbes l'avocat qui représentait les intérêts de Ramilos. Qui sont ces gens? Selon Buyanovsky et Gorilovsky, Ramilos appartenait aux anciens hauts dirigeants de Lukoil-Neftekhim, Alexander Rappoport et Alexey Smirnov. Buyanovsky, Gorilovsky et trois autres partenaires contrôlent désormais Polyplastic. Par l'intermédiaire de Strongfield, basé à Chypre, ils détiennent 50 % d'APG et une participation de 3,5 % dans LLC Polyplastic Group rachetée à des actionnaires minoritaires. Selon leur version, à un moment donné, Smirnov et Rappoport les ont forcés à vendre la moitié de l'entreprise en échange d'un accord de fourniture avec Lukoil-Neftekhim.
Alexei Smirnov, l'ancien directeur général de Lukoil-Neftekhim, a approché A1 avec une proposition d'achat de Ramilos, a déclaré Andrey Tseshinsky, directeur du département d'investissement d'A1, tandis que Sergey Alenin et Interkom étaient les vendeurs de la société offshore. Selon les fondateurs de Polyplastic, Alenin et Interkom représentaient respectivement les intérêts de Rappoport et Smirnov.
Rappoport n'a pas parlé au téléphone avec Forbes et a refusé de répondre aux questions qui lui ont été envoyées. Les questions de Smirnov sont également restées sans réponse. Lukoil a refusé de commenter.
Les anciens propriétaires de Ramilos ont des désaccords avec des partenaires de Polyplastic, dit Tseshinsky. Les propriétaires de Ramilos n'avaient ni expertise ni expérience dans la résolution de conflits d'entreprise complexes, et ils ont décidé de vendre A1, a expliqué Sergey Alenin.
Ultimatum matière première
Alexey Smirnov, comme le fondateur de Polyplastic, Miron Gorilovsky, a commencé son entreprise avec la production de brosses à cheveux dans sa ville natale de Bezhetsk. Et ils hochaient la tête avec des connaissances même pendant leurs études à MITHT. Avant de rejoindre Lukoil-Neftekhim, Smirnov dirigeait ZAO Trading House Neftyanoy, qui faisait partie de la société Neftyanoy de l'homme d'affaires Igor Linshits. Dans cette maison de commerce, Alexander Rappoport s'occupait d'achats de pétrole.
En 1997, Neftyanoy Trading House et Lukoil ont créé Lukoil-Neftekhim. Smirnov était le directeur général et Rappoport était le directeur commercial. En 1998, Lukoil-Neftekhim est devenu le propriétaire majoritaire de Stavropolpolymer.
« C'était un ultimatum direct : soit vous nous cédez 50 % du business et vous aurez des matières premières, soit nous nous mettrons d'accord sur un partenariat avec vos concurrents et développerons leur business », rappelle Buyanovsky. "Il n'y avait absolument nulle part où aller", confirme Gorilovsky. Selon lui, le marché intérieur il n'y avait pas d'alternative à Lukoil-Neftekhim, et il était impossible de compenser environ 80 000 tonnes de matières premières par des importations.
L'achat de 50% de Polyplastic a coûté à Ramilos 14,3 millions de dollars. Selon Buyanovskiy, à ce moment-là, les fondateurs avaient déjà investi 72 millions de dollars dans l'entreprise. Il explique la remise pour Ramilos non seulement par un ultimatum pour couper l'approvisionnement en matières premières, mais aussi par les perspectives d'intégration avec Lukoil, que Smirnov et Rappoport auraient promis.
L'accord entre Strongfield et Ramilos prévoit une clause distincte selon laquelle Ramilos doit conclure un contrat de fourniture avant le 31 décembre 2005. Apparemment, la condition était remplie. Forbes a à sa disposition une copie de l'accord entre Lukoil-Neftekhim et ZAO Polyplastic-Service en date du 30 mars 2005, prévoyant la fourniture annuelle de 90 000 tonnes de polyéthylène de qualité tuyau. L'accord a été conclu pour cinq ans et signé par Smirnov et Gorilovsky.
Courte paix
Le maire de Moscou, Youri Loujkov, aimait faire le tour des objets de la ville le samedi matin. Le premier élément au programme dès le 9 août 2008 était le site industriel de Polyplastica à Ochakovo. Le maire a dû examiner les échantillons de tuyaux et passer à autre chose. Mais les choses ne se sont pas passées comme prévu. Chimiste de formation, Loujkov a rencontré de nombreux collègues de l'Institut de recherche des plastiques de l'usine. Et quand il a vu des tuyaux géants de plusieurs mètres de diamètre, il a complètement tout oublié. Loujkov à cette époque était sérieusement emporté par l'idée de la récupération du sud de la Russie et s'est précipité, avec Gorilovsky, pour calculer le nombre de tuyaux nécessaires à la construction de la voie navigable Sibérie-Asie centrale.
"Polyplastic" a impressionné Loujkov, et il a demandé d'utiliser du polymère au lieu des tuyaux en acier dans la réparation des pipelines de Moscou. L'approvisionnement du Mosvodokanal a augmenté. Cependant, les produits Polyplastic n'étaient pas seulement demandés à Moscou. En 2011, neuf usines de tuyaux du groupe ont expédié plus de 178 000 tonnes de tuyaux, et le chiffre d'affaires depuis 2006 a presque triplé, à 23 milliards de roubles.
Les succès de Polyplastic n'ont pas rallié les actionnaires. Ramilos n'a reçu de dividendes qu'une seule fois - 1,4 million de dollars en 2008. Les fondateurs de l'entreprise avaient également un motif d'insatisfaction: selon Buyanovsky, ils ont investi plus de 64 millions de dollars dans l'entreprise et Ramilos - pas un centime. L'accord de prêt était censé résoudre le conflit. Selon lui, Ramilos a reconnu une dette envers Strongfield de 36,5 millions de dollars et s'est engagé à la rembourser avec intérêts d'ici la fin de 2020. Parallèlement, dans le pacte d'actionnaires, les partenaires ont fixé le montant des dividendes - 25 % du résultat net de Polyplastic - et envisagent de procéder à une introduction en bourse d'ici fin 2014.
Après la signature des documents, Polyplastic a versé 372 millions de roubles (environ 12 millions de dollars) en dividendes pour 2010. Ayant reçu environ 6 millions de dollars, Ramilos a rendu 4,6 millions de dollars au titre de l'accord de prêt et a gardé environ 1,3 million de dollars pour lui-même, explique Buyanovsky. Les actionnaires de « Polyplastic » ont déjà approuvé la distribution des prochains 527 millions de roubles de dividendes pour 2011, lorsque Buyanovsky aurait découvert que la clause selon laquelle Ramilos remboursait la dette au détriment des dividendes de « Polyplastic » avait disparu du contrat de prêt. Selon Buyanovsky, il y a eu un tel accord, mais il n'a pas été intégré au document final, qu'il a signé sans le lire ("Les yeux sont flous"). Du document signé, il ressortait que la seule source de remboursement de la dette serait les fonds de l'introduction en bourse. Buyanovskiy a demandé de rétablir la condition avec des dividendes, Ramilos n'était pas d'accord.
Sergei Alenin affirme que le texte final de l'accord a été convenu par les parties et qu'il n'y avait aucune clause sur le remboursement de la dette à partir des dividendes dans aucune des versions discutées. Quoi qu'il en soit, les partenaires n'ont pu résoudre leurs différends et la répartition des bénéfices de 2011 a été bloquée. En 2013, le conseil d'administration de Polyplastica a décidé de ne pas verser de dividendes, les représentants de Ramilos n'ont pas participé au vote.
Tuyau parallèle
Dans le même temps, les fondateurs de Polyplastic ont développé une autre entreprise de tuyauterie - le groupe Polymerteplo. La production de tuyaux à isolation thermique en polymère avec un chiffre d'affaires de 2 milliards de roubles et une rentabilité de 50% a augmenté sur la base de Gaztrubplast. En 2013, l'entreprise s'est développée - les fondateurs de Polyplastic pour environ 50 millions de livres sterling ont acheté le fabricant britannique de tuyaux en plastique Radius Systems avec un chiffre d'affaires de plus de 100 millions d'euros.Les propriétaires de Ramilos, qui ne participaient pas à l'entreprise Polymerteplo, n'ont pas aimé cet accord. Puis Buyanovskiy a proposé de fusionner Polyplastic et Polymerteplo, dans la société combinée Ramilos était censée obtenir 22,45%, mais il voulait avoir une participation bloquante. La fusion a échoué et les relations entre les actionnaires se sont encore détériorées.
Aucune des conditions du pacte d'actionnaires n'a été remplie : le niveau de transparence de l'entreprise n'a pas augmenté, l'introduction en bourse n'a pas eu lieu, aucun dividende n'a été versé, dit Alenin. Et il ajoute : « Nous avons commencé à soupçonner que de l'argent était retiré de l'entreprise. Ramilos a décidé de mener un audit indépendant et a demandé tous les rapports décennaux de Polyplastic, ainsi que des informations sur les transactions du groupe avec les sociétés affiliées aux fondateurs.
"La réaction a été plus qu'étrange", se souvient Alenin, "au début, ils m'ont dit que les demandes étaient excessives, puis ils ont proposé d'aller aux archives et de faire des copies de tous les documents." Buyanovskiy a perçu la demande comme "le début des hostilités" et "une tentative de pression", a souligné le directeur de Ramilos dans les documents du tribunal. La dernière chose qu'Alenin aurait reçue de partenaires en réponse à une demande d'offres était une enveloppe contenant un magazine d'entreprise avec Sergueï Sobianine en couverture (le maire de Moscou a visité Gaztrubplast en 2015).
Les comptes annuels de Polyplastica ont été audités par les quatre grandes sociétés, dit Buyanovskiy, Ramilos avait les résultats de l'audit et n'a jamais montré de méfiance à leur égard. Maintenant, il est sûr que les enquêtes étaient nécessaires pour étayer leur réclamation en Angleterre.
Bureau A1
Après vacances de mai 2016 Buyanovskiy et Gorilovskiy ont rencontré Andrey Tyasto et Aleksandr Vinokurov, qui dirigeait alors A1. Après une conversation de trois heures, les dirigeants d'A1 auraient admis qu'ils prévoyaient de vendre leur participation dans l'entreprise aux fondateurs de Polyplastic, a déclaré Buyanovsky. Cela ne dérangeait pas les fondateurs, ils avaient déjà proposé de racheter les actions de Ramilos au prix du marché. Cependant, il est rapidement devenu évident que les partenaires avaient de sérieuses différences dans l'évaluation des entreprises. Tseshinsky de A1 estime que les bénéfices de Polyplastic sont nettement supérieurs à ceux indiqués dans ses états financiers vérifiés. Après tout, une partie s'installe dans des sociétés affiliées aux fondateurs, ils sont suspectés d'A1. "Polyplastic" reçoit des matières premières et des équipements via les sociétés offshore contrôlées par les fondateurs, selon A1, le volume annuel de ces transactions est de 60 à 100 millions de dollars, et dans les sociétés de Buyanovsky et Gorilovsky peut s'établir jusqu'à 15 millions de dollars. Alenine. La marge commerciale des fournisseurs affiliés ne dépassait pas 1 à 2%, a déclaré Gorilovsky. «Nous sommes les principaux propriétaires, pas des gestionnaires embauchés, nous n'avons pas besoin de nous voler», explique Buyanovsky.
En plus des tribunaux de Londres et de Chypre, Ramilos a intenté des poursuites contre KPMG et Deloitte, soupçonnant les auditeurs de violations, et a envoyé des lettres aux banques et filiales de Polyplastica indiquant que les représentants de la société offshore n'avaient pas participé au vote du conseil d'administration de administrateurs depuis août 2015, et par conséquent, les transactions et les prêts importants n'ont pas reçu l'approbation de l'entreprise requise. "Les banques ont tendu", admet Buyanovsky. Il est sûr que A1 "presse" les fondateurs de "Polyplastic" par tous les moyens.
pendant ce temps marché russe les tuyaux en plastique ont baissé de 35 % par rapport à 2014. Et si fin 2013 Strongfield était prêt à racheter Ramilos pour 150 millions de dollars, désormais, moins la dette au titre du contrat de prêt, les fondateurs estiment la part d'A1 à seulement 30 millions de dollars.
La valeur réelle de l'entreprise ne peut être calculée qu'après avoir reçu toutes les informations sur l'entreprise, insiste Tseshinsky. Et, apparemment, A1 a toujours un effet de levier en réserve. Buyanovskiy a déclaré à Forbes qu'à la fin du mois de juin 2017, Polyplastic avait commencé à recevoir des appels du Département des crimes économiques de la Direction des affaires intérieures du district administratif central, que les représentants de Ramilos auraient contacté. A1 a refusé de commenter cette information.
Né le 9 juin 1963 à Bezhetsk. Mère Valentina Stepanovna est professeur de langue et littérature russes à l'école n° 1. Le père Sergei Petrovich est un employé de l'assurance publique. Enfant, Alexei fréquentait des clubs de marionnettes et de danse, jouait dans une fanfare, faisait partie d'un ensemble vocal et instrumental, pratiquait de nombreux sports (il aimait particulièrement le hockey) et collectionnait des timbres. Diplômé lycée No. 1 nommé d'après V. Ya. Shishkov.
En 1988, il est diplômé de l'Institut de technologie de chimie fine de Moscou, nommé d'après V.I. Université d'État MV Lomonosov de Moscou avec un diplôme en technologie du caoutchouc.
Depuis mars 1998 - directeur général CJSC Lukoil-Neftekhim, depuis 2005 - Vice-président d'OJSC Lukoil.
En 2003, il soutient sa thèse au concours diplôme universitaire candidat sciences économiques.
En 2002, Smirnov a reçu le titre de pétrochimiste honoraire. En 2003, il est lauréat du prix national Pierre le Grand.
Honorable Monsieur Bejetsk. Assistance à la ville dans l'amélioration, le développement de nombreux quartiers sphère sociale... Smirnov fournit une assistance de parrainage importante aux institutions éducatives et culturelles de Bezhetsk. Grâce aux efforts d'Aleksey Sergeevich, l'une des églises les plus anciennes de Bezhetsk, l'église de la Transfiguration, a été restaurée.
Il est marié et a deux filles.