Citant ssass :
Bien sûr, il est compréhensible que vous vouliez écrire tout le monde comme métis, et la formulation soviétique de la question et de la réponse y est très appropriée. Mais nous devons respecter les nations vivant en Asie centrale et au Kazakhstan. Ce n'est pas un troupeau d'animaux qui ont été soudainement pris et transformés en peuple par des ordres d'en haut. Ces peuples ont leur propre culture, différentes les unes des autres. Et les gens ne sont pas de tels idiots pour être appelés et nommés. Que les Tadjiks se sont soudain mis à parler en farsi parce qu'ils s'appelaient ainsi. Les peuples qui vivaient sur ces terres ne peuvent, d'un coup de baguette, changer leurs coutumes et leur langue. Le khanat ouzbek a été formé en 1428 par Khan Abulkhairkhan dans le nord du Kazakhstan moderne. Une partie de la population, dirigée par Berke Sultan, insatisfaite du règne du khan, a migré vers le lac Balkhash et a créé le khanat kazakh. Et ils ont commencé à s'appeler d'abord les Kazakhs ouzbeks. Alors tout simplement - les Kazakhs. A cette époque, il n'y avait aucune trace d'une attaque par les Oirats - Kalmouks. Le mot kazakh (cosaque) signifie séparé, déchu, laissé sans le clan d'une tribu., Excusez-moi, mais je dois écrire - en un mot - un renégat. lire "Notes de voyageurs en Asie centrale". "L'arbre généalogique des Turcs" - Abulgazikhan, "Baburname" - Babur. Aussi - Cosaques russes Ce sont des gens qui ont fui leurs maîtres. Par exemple, lorsque Yalangtosh est le khakim de Samarcande, un enfant en haillons est apparu dans la ville, il s'appelait Kazakh, bien qu'il soit originaire des Kalmouks (Arminiy Vamberi). Et la définition d'un peuple sur une base religieuse est tout simplement absurde ! Pourquoi alors les peuples se sont-ils battus avec un ami malgré leur unité religieuse ? Les Ouzbeks qui se sont emparés du Turkestan au 16ème siècle ont adopté les coutumes et la culture des Turcs locaux (Turcs) et ont également commencé à être appelés Turcs. Jusqu'en 1924, les gens s'appelaient ainsi, et plus tard, lors du recensement de 1926, 87% des la population de l'Ouzbékistan s'appelait les Turcs. Les relations entre les Ouzbeks et les Turkmènes, les Ouzbeks et les Kazakhs étaient très mauvaises et il y avait des affrontements et des guerres tout le temps. Les Ouzbeks modernes ont 92 tribus, mais toutes n'appartiennent pas aux ulus ouzbeks. Par exemple, les tribus - Turk, Barlas, Kaltatoy, Turkman, etc., ne sont pas incluses dans les tribus des ulus ouzbeks.
J'ai déjà lu certains de vos textes et l'opinion suggère que vous êtes une personne lisant, mais sous-lue. je me demande encore qui vous êtes par nationalité, par profession ou par intérêts. Au détriment des nationalités et des nations, tout est conditionnel. à mon avis, en anthropologie, il est dit : que pour établir une uniformité plus ou moins physique, mentale, culturelle et des valeurs parmi la même zone de personnes isolées par la culture, la dynastie, les frontières des pays voisins ou les barrières naturelles, 50 générations doivent être remplacées (une génération est prise 25 ans) soit environ 1250 ans. Il y a des peuples et des régions entières avec une histoire très ancienne, et il y a plus ou moins homologie de représentants dans tous les paramètres ci-dessus (Caucasiens, Moyen-Orientaux, etc.). Par exemple, les politiciens et les intellectuels russes essaient de saisir toutes les occasions pour allonger la période de leur statut d'État. Il en est de même avec les Kazakhs et les Ouzbeks. Les Kazakhs ont un dicton comme : l'Ouzbek est votre frère et Sart est notre ennemi. Vous donnez le sens correct du mot cosaque, mais il n'y avait pas d'ethnonyme kazakh dans l'histoire, il a été établi au 20ème siècle comme une variante du cosaque sous une forme dialectale. Mais certains des intellectuels kazakhs actuels, dans une tentative de vieillir leur État, exagèrent ouvertement avec les événements et les faits. Ils affirment presque que « l'ethnonyme kazakh » (précisément sous la forme kazakhe) est plus ancien que le tout premier khanat kazakh (début du XVe siècle). L'interprétation la plus drôle de l'étymologie vient de Kasogs, Khazars, Kaz ak (oie blanche), du nom. Tribus Kaspi + Sak Kassak. La même chose est vraie pour les historiens officiels ouzbeks modernes, le désir de transférer en douceur tous les peuples anciens habitant le territoire de l'Ouzbek actuel dans les ancêtres des Ouzbeks modernes, c'est correct, mais la logique inverse (survenant même chez un enfant) est déjà faux, donc Ibn Sina était un Ouzbek :). En général, toujours dans l'histoire médiévale de l'Asie centrale, il faut prendre en compte le moment de l'invasion de Chingiz en conjonction avec les coutumes de toutes les tribus qui composaient son armée, dans les moments historiques avant la montée des Mongols , tous les facteurs de l'émergence d'une si grande association de tribus et le statut de chaque tribu. Gengis a divisé de nombreuses tribus entre les koshuns, les koshuns avec l'ensemble de l'armée, le nom du commandant de koshun. Et lorsqu'elle est hétéroclite en termes de composition tribale et ethnique, mais plus ou moins homogène en termes de race, l'armée envahit des territoires et des régions habités par un type racial différent possédant simultanément diverses caractéristiques ethniques (selon le « pays » de résidence ), avec ses propres cultures et mentalité. De plus, sous l'influence de divers facteurs, à la fois contribuant et empêchant, la métissage, un processus complexe de repliement et de désintégration à différents moments des formations étatiques a lieu, en tenant compte de leurs habitants (qui prévaut : les représentants de la culture des nomades ou sédentaire). Il n'est pas si important que vous précisiez que de des 92 tribus ouzbèkes ne sont pas toutes ouzbèkes, et certaines restent des Chagatai ulus, mais vous pouvez prendre une datation antérieure du moment de l'invasion mongole, le moment de la réinstallation des Tribus turques de la première période. Il est important qu'au moment de l'entrée d'une tribu, ou d'une partie de tribu, son ancien nom soit masqué par le nom de l'ulus, ale, la horde du khanat. Ils deviennent de la bière. Par exemple, dans le khanat de Khiva, on dit que les Kungrads des ulus ouzbeks ont régné, mais que chaque habitant n'était pas appelé ouzbek. Les gens eux-mêmes étaient divisés en rayat (paysans et artisans), locaux jusqu'à la noblesse nomade, le clergé (qui possédait une sorte de matériel génétique des anciens Khorezmians, Parsis, Parthes, Oguzes, etc.) et les nomades (aristocrates et cavaliers ordinaires) . Même maintenant, parmi les Khorezmians modernes, il existe des dialectes avec une prédominance des articulations Oguz et Kipchak. vous suivez l'exemple de l'un des derniers états souverains d'Asie centrale (vous pouvez prendre bukh. Um. -t, kokand. khan-vo)), alors le Kazakhstan moderne devrait s'appeler Astana ou République d'Astana, et les gens sont des Nazarbeks . :) Et vous pouvez citer des sources qui ont formé le kazakh Khanate Berke. Pour autant que je sache, ces personnes étaient Zhanibek Sultan et Kerey. Et la défaite brutale dans la bataille avec les Oirats d'Abulkhair Khan dans les années 20 du XVe siècle, bien sûr, a affaibli sa position parmi ses concurrents pour le pouvoir, ce qui a été facilité par l'affaiblissement économique de son peuple après la défaite. Revenons aux Rayat et aux Sarts, contrairement aux Tadjiks qui avaient leur langue principale (le farsi), les Sarts parlaient des dialectes turcs, mais faisaient presque la même chose que les Tadjiks, et la mentalité, le mode de vie, l'apparence et la culture étaient pour la plupart similaires. Cela les rendait très différents des nomades. Bien sûr, ils peuvent être dérivés des Sogdiens, des Khorezmiens, des Parkans, des Chachs, des Gréco-Macédoniens, des Kushan Saks, des Hephtalites, des Huns, des premiers Turcs, Arabes, etc. Mais le fait est que maintenant ce sont principalement des Ouzbeks ou des Tadjiks ou des Ouïghours, quelqu'un est Kazakh ou Turkmène d'apparence contre nature pour eux. :) Encore une fois, ils peuvent être appelés Islambeks, Imambeks, Nazarbeks :). Et l'Ouzbékistan est Tachkent. Je sais que mes ancêtres étaient arabes, mais pas seulement eux. Extérieurement, on peut dire que mes proches et moi avons à la fois turc et tadjik (peut-être sogdien, etc.) ). D'après mon passeport, je suis ouzbek. L'habitant le plus indigène de cette région (Tachkent). Mais lorsque nous rencontrons un étranger, ils pensent que je suis Khorezm ou azerbaïdjanais et parfois tadjik. :)
Ouzbek 14.09.2012 21:59
Citant ssass :
Honnêtement, je ne comprends pas ce que vous voulez de moi, quelle est ma nationalité ? Mais c'est une convention, comme tu dis, alors pourquoi ?
Je suis ouzbek, et pas seulement par mon passeport, comme certains. Certes, il y a un tel problème avec certains Ouzbeks, qui ne sont pas (peut-être) ouzbeks - il n'y a aucun sens de la conscience de soi. Cela ne se trouve dans aucune nation. Votre cosmopolitisme ne sera accepté par aucun Kazakh, ni... ni personne d'autre. Pourquoi imposer votre maladie aux autres. Quelqu'un est ouzbek, kazakh ou tadjik, et quelqu'un est métis, "eh bien... il ne se passe rien, ça arrive". Je sais ce que les Kazakhs pensent d'eux-mêmes sans toi. Là où je suis d'accord avec vous, c'est que le nom Kazakh leur a finalement été attribué dans les années 20-30 du 20 siècle. Il ne faut pas seulement lire sur les Ouzbeks dans les manuels soviétiques ou autres.Un camarade "bien lu" devrait savoir que l'histoire du peuple ouzbek commence bien avant Gengis Khan. Et s'il n'y avait pas eu d'invasion de Gengis Khan, rien n'aurait changé l'histoire du peuple, seule une touche a été ajoutée. Je ne veux pas répéter plusieurs fois la même chose et ne veux pas donner un exemple des paroles du Christ "ne jetez pas de chapelet devant ...". Je ne veux pas être comme les autres. Mais si cela vous intéresse, lisez « mon opinion » sur les Ouzbeks (Turc) et des liens vers des sources primaires à la fois dans « les plus... Ouzbeks » et « ... Les Ouzbeks ont besoin de " allonger" leur histoire. Génétiquement, certains des Ouzbeks et des Ouïghours sont les descendants directs du peuple qui s'est installé sur ce territoire il y a 40 000 ans et, contrairement à d'autres, n'ont jamais déménagé d'ici. 90% des peuples d'Eurasie sont les descendants de ces premiers peuples, mais tous ont déjà déménagé dans d'autres endroits, contrairement aux ancêtres des Ouzbeks et des Ouïghours. Ibn Sino n'est pas connu par son père, mais Sogdian par sa mère. Et quelle différence cela fait-il ? Beruniy n'était certainement pas un Ouzbek (Turc), mais il appelait la population locale des Turcs (Turc). Farabi qui a vécu avant Ibn Sina était de la tribu turque. Et Ibn Sino le considérait comme le deuxième enseignant. Loin de tous les Sogdiens sont devenus des Tadjiks. Au contraire, ils ne l'ont pas fait. Vous devez connaître la relation entre les Iraniens et les Sogdiens. Les Tadjiks (avant la révolution Tezik, et dans le passé Tazy) du 11ème siècle au début du 20ème siècle étaient appelés Iraniens, Ouzbeks, Arméniens... autres peuples au nord de l'Iran. Par exemple "Tezikovka" autrement bazar de tezikov a été traduit par bazar tadjik, pas autrement. Ce sont principalement des Iraniens qui y commerçaient. Et les Tadjiks ne sont pas indigènes du Turkestan. Lisez à propos des habitants de Khorezm à l'époque des khans ouzbeks et comment ils étaient appelés d'Abulgazi Khan. Peut-être que Janibek et Kerey ont créé Kaz. Le Khanat, j'en ai lu pendant longtemps et je ne m'en souviens pas, mais parmi ceux qui ont été les premiers à s'opposer à Abulkhairkhan, il y avait Berke.
- "Si vous suivez l'exemple de l'un des derniers États souverains d'Asie centrale (vous pouvez prendre Bukh. Em-t, kokand. Khan-vo)), alors le Kazakhstan moderne devrait s'appeler Astana ou la République d'Astana, et le peuple Nazarbeks.": "Encore une fois, ils peuvent être appelés à appeler islambeks, imambeks, nazarbeks :). Et l'Ouzbékistan est Tachkent. "
- De quoi parles-tu? « vous pensez ce que vous dites - et Borjomi ? »
Parlant des ancêtres communs des Ouïghours, des Turkmènes et des Tadjiks, je voudrais à nouveau rappeler la dernière question. À votre avis, si la religion est une, alors les gens sont un. Mais ce n'est pas comme ça. Les Azerbaïdjanais et les Iraniens sont chiites, et vivent même dans le même pays (Iran), les Grecs, les Russes, les Bulgares, une partie des Ukrainiens, des Serbes et d'autres sont orthodoxes, mais les gens sont différents. Nous avons une culture complètement différente avec les Kazakhs et les Turkmènes, et nous ne pouvons jamais être un seul peuple avec eux. La plupart des Kazakhs sont musulmans si formellement parce que leurs khans se sont convertis à l'islam. Beaucoup d'entre eux ne sont même pas circoncis. Vous ne pouvez pas croiser un bouledogue avec un rhinocéros. Nous avons la même culture et les mêmes coutumes avec les Ouïghours, et les Tadjiks qui ont vécu parmi nous pendant mille ans ou pendant 500 ans, ont adopté notre culture et ont oublié leur iranien, mais en même temps ils n'ont oublié ni la langue ni leurs racines (intelligentsia) Au Tadjikistan, même le drapeau iranien (dans 99%) Au début, la vérité c'était le TASSR, puis le TSSR. ...
Cher adversaire, je vous félicite ainsi que tout le monde. Asiatiques Joyeuses Fêtes De L'Indépendance.
Pour être honnête, cette note, celle-ci, laisse des sentiments ambigus. Sa mission ne correspond pas à celle annoncée. Il semble que le site lui-même soit quelque chose de différent... mais la question se pose, n'est-ce pas par provocation. Sur le site de cette rubrique, les visiteurs ne font que ce qu'ils s'adonnent aux émotions, et pourquoi ?, mais la discussion s'est portée sur un sujet délicat-nat. question (comme dans cette blague, quand l'un des représentants des nationalités, ne trouvant aucune raison de louer son peuple, a dit - eh bien, je suis suspendu ici pour vous...). Pour moi, en tant que citoyen de l'Ouzbékistan, pour ne pas dire que c'est assez agréable. Je voudrais dire à tout le monde, soyez plus retenu dans les expressions et ne vous laissez pas emporter par les émotions, car toute cette exaltation génère de la grossièreté, et les ressentiments ne sont jetés que de part et d'autre des barricades.
Je suis proche à la fois des patriotes et des cosmopolites, bien sûr, dans la limite du raisonnable. Il serait très intéressant de savoir auprès de l'Admin de quel pays il est citoyen, quels sont ses intérêts vitaux, pour ainsi dire, le credo, quels objectifs il s'est fixé en créant ce site. Celui-ci est juste pour se faire une opinion sur l'administrateur respecté.
Je viens à toi, cher ssass. Je vous respecte, parce que vous, comme des amis ici, vous intéressez à l'histoire de vos ancêtres (ainsi que khouseksi, marat78, etc.), bien que vos préjugés à défendre vos visions vous bouleversent, je ne peux pas l'appeler autrement, car remarques caustiques, le différend ne peut être résolu, il faut convaincre. En Logique il y a des règles de syllogisme, mais il y a aussi du sophisme, des apories et un appel non pas aux faits, mais à une personne (afin de confondre l'adversaire). Je peux être subjectif, mais je sais aussi que je suis assez objectif. Donc, essayer de coller quelque chose qui n'existe pas à ma personnalité est incorrect. Laissez-moi vous expliquer - je suis un patriote de ma patrie (dans la petite enfance, c'était une pièce, une maison, puis une rue, une makhalla, puis à l'école, il a été délibérément introduit dans la conscience que le concept principal de la patrie est l'URSS , et je suis avant tout citoyen de ce pays (j'étais honnête octobriste et pionnier, mais j'ai volontairement refusé le Komsomol.) Dans la famille, j'ai vu quelque chose de différent, tout d'abord, un double jeu, pour le travail et l'école nous sommes officiellement citoyens de l'URSS et communistes-athées, mais nous notons qu'interdits Navruz, Khaits, tantes minces et plus âgées du côté paternel ils connaissent de la grand-mère les légendes sur la vie des prophètes (Yusuf, par exemple) dans le Langue ouzbek sous forme poétique et chantée (pas les légendes sur l'Alpamysh), pour enseigner l'étiquette (qui, comme il s'est avéré plus tard, est musulmane), certaines normes de la charia et des sourates de base et kalim. histoire récente (bien sûr, progressivement, conformément avec ma perception) de Tachkent, nos ancêtres, en commençant par le grand-père, ses frères, Daesy et plus loin dans l'histoire. Et sans dépendre de cela, j'étais déjà un patriote de Tachkent (comme dans la chanson avec sur le). Déjà au lycée et à l'université, la compréhension est venue en Ouzbékistan, la région, que tout est aussi une patrie et est une, mais comme cela se passe dans ma jeunesse, j'ai enseigné le sujet de l'histoire, par nécessité, mais cette impression de l'histoire de nos territoires était la plus sombre - des guerres constantes, d'abord des invasions étrangères, et plus proche de la fin du Moyen Âge, puis juste des conflits fratricides. Donc, c'était plus intéressant quand les histoires anciennes et antiques étaient passées. Soit dit en passant, je ne suis pas historien de formation. L'intérêt pour l'histoire est venu à un âge mûr. En lisant probablement les romans historiques d'auteurs européens, le patriotisme a bondi et a commencé à lire nos ouvrages historiques. D'une certaine manière, ils ont commencé à venir à l'esprit, une fois passés par des sujets sur le thème de l'histoire (depuis l'école, l'université), et surtout sur l'histoire récente et les histoires du Père. Bien sûr, quand il me l'a dit, dans ma jeunesse, j'écoutais la parole, mais quand j'étais déjà intéressé, il était déjà âgé et est décédé subitement (quelqu'un, dans mon émission, a dit : quand j'étais jeune, mon père semblait moi un excentrique, mais quand j'ai eu 30 ans, il s'est avéré qu'il est soudain devenu plus sage. :)), et ces dernières années j'ai lu une certaine quantité de textes imprimés sur notre histoire, qui ont redécouvert de manière surprenante, puis ce que j'avais autrefois entendu, lu, dans une nouvelle compréhension, ou, disons, j'avais déjà commencé comprendre le sens de ce que j'avais appris. Mais je suis resté un patriote de ma terre, j'ai considéré qu'il était important d'acquérir la souveraineté et je suis resté conservateur dans mes valeurs. Mais la vision principale de la formation de l'Ouzbékistan moderne a changé sous un jour nouveau.
Vous dites qu'il est important que nous soyons Turcs, qu'ils aient toujours été sur le territoire de Mer. Asie, Turan, mais selon les Gumilev, les Turcs sont déjà d'origine métisse (mongo-aryenne), et cela s'est produit sur le territoire de la région moderne du Turkestan oriental et du nord de la Chine. Il y a toujours eu des tribus turques avec une prédominance d'un type ou d'un autre. Que les tribus nomades aryennes (décrites dans l'Avesta) vivaient dans toute la zone steppique de l'Eurasie (50 degrés de latitude nord) depuis le Danube et la côte européenne de la mer Noire, la côte caspienne, les steppes de la Volga, les steppes de Dashti-Kipchaks, les Turk-n oriental, et les steppes des semailles ... La Chine était à l'origine habitée par des tribus aryennes nomades (les plus grandes places d'unification sont les Scythes, les Sarmates, les Saki, les Tochars, etc.) semblables à ceux des Turcs Mongols, habitant des yourtes préfabriquées. Seule la langue était l'iranien oriental. Et donc, à la jonction de l'habitation des nomades aryens et des mongoloïdes du nord, moderne. La Chine a commencé à se métisser. Des langues proto-turques, puis turques font leur apparition. Les premiers Cosaques sont apparus (hordes de bandits formées par des renégats de différentes tribus.). Et ces hordes prédatrices sont devenues la horde dominante dans la steppe et ont plongé les tribus dans une dépendance vasale, les forçant par conséquent à participer à leurs campagnes. L'opinion de nombreux turkologues s'accorde à dire que la mentalité d'un Turc consiste dans le respect de la force et de l'esprit, au détriment des autres qualités humaines, et ils se soumettent volontiers au pouvoir despotique de l'un d'eux, dont le rêve latent (ou idéal) est de prendre sa place un jour, et quand le tout premier relâchement de la part du leader ou l'apparition d'une alternative à lui, ils le trahissent. Oui, ils ont survécu dans les dures conditions naturelles des caprices d'une nature et d'une vie déchiquetées, s'y étant parfaitement adaptés au fil des siècles, mais contrairement aux cultures sédentaires, ils sont restés grossiers, dans les éléments des civilisations sédentaires avec lesquels ils ne s'entendaient pas immédiatement. tout en se soumettant à la culture qu'ils ont conquise.
Comme je l'ai dit, les Turcs de différentes époques et régions diffèrent en apparence, en particulier ceux qui ont été écrasés plus tard (comparez les Turcs et les Azéris modernes, bien qu'ils soient tous deux descendants des Oguzes, ils se sont mélangés aux types des territoires conquis. ). Sur cette base, je peux dire que les premiers Turcs de notre territoire ne sont même pas tout à fait des Ouzbeks. Les tribus ouzbeks Ak Ordin sont hétéroclites dans la composition, ce sont tout de même des tribus turques (avant les Chingiz, - mais il faut admettre que les Turcs ont une certaine part de gènes mongoloïdes, par exemple, les gènes Khitan sont très sophistiqués) et plus purement Les mongols (Chingiz : Tatars, Naimans, etc.) ont donné aux Kazakhs modernes, comme il s'ensuit, les vrais Ouzbeks sont les mêmes Kazakhs.
Nos premiers Turcs, quelque part complètement et quelque part partiellement sont passés à une culture sédentaire et agricole, et ont adopté des coutumes et des cultes locaux, le zoroastrisme, le christianisme, le bouddhisme. Et leur langue diffère dialectiquement de la langue des nomades ouzbeks. De plus, ils se sont mélangés avec les Europoids locaux, les Sogdians. (Par exemple, les Turcs sont devenus plus comme des Européens et les Azéris plus comme des Iraniens, même les émirs de la dynastie Mankyt, du mot nez plat, ayant des enfants de femmes tadjikes locales, ils sont eux-mêmes devenus semblables à eux). Les Arabes viennent, mais ne partent pas, ils s'assimilent, apportant un nouveau moment culturel et mental - ils introduisent l'Islam. (D'ailleurs, l'ethnonyme tadjik apparaît en Asie centrale précisément à cette époque. Ayant d'abord islamisé l'Ajam Iran, les Iraniens musulmans menaient déjà des activités missionnaires sur un pied d'égalité avec les Arabes dans les territoires qui leur étaient parfois vassaux. en Parsi.). Ensuite, l'état, où dominent les dynasties turques nomades musulmanes, les sédentaires mènent le même mode de vie et il semble que génétiquement ne change pas beaucoup. Et donc l'invasion de Gengis, le partage des territoires conquis entre les fils. Le lot des voisins jumi et chagataya. Les Mongols du Juchi ulus sont métissés dans le Dashti-Kipchak avec les Kipchaks et autres. Turcs, qui ont aussi des gènes mongoloïdes. Certains sont plus et certains sont moins. Par conséquent, les tribus de nomades Ouzbeks dans l'écrasante majorité étaient des Mongoloïdes évidents, mais ils avaient déjà turcisé les Mongols eux-mêmes, dans la langue, mais pas tout à fait dans la culture et la mentalité. Dans la même Bulgarie, sur la base de laquelle le khanat de Kazan était basé, le type est quelque peu différent, Tatars + Bulgares. Dans le Chagatai ulus, une division est immédiatement entrée dans Maverannahr avec une mentalité musulmane et sédentaire, où les tribus mongoles Chagatai ont été turcisées par les Turcs locaux avec leur dialecte et leur apparence et leur mentalité musulmane, et au Mogolistan elles sont restées purement mongoles - langue, culture, manière de vie et de mentalité. Et maintenant, les Ouzbeks Sheibanid envahissent Maverannahr. Au Mogolistan, les Oirats attaqueront les Kazakhs, puis se mêleront à eux. Le Mogolistan est habité par les premiers Ouïghours, qui sont les descendants des anciennes tribus ouïghoures, qui s'installent ensuite quelque part complètement et quelque part partiellement, assimilant les Sogdiens locaux, ou Turfans, (d'ailleurs, dans la Chine moderne, qui sont restés en dur- pour atteindre les zones montagneuses, bien qu'ils soient appelés Tadjiks chinois, leur langue diffère de celle des autres Tadjiks) et sur la base de leur écriture, ils créent l'écriture ancienne ouïgoure. Les Ouïghours modernes ont assimilé ces Oirats et les Kirghiz. C'est pourquoi il est possible de comparer les "Ouzbeks" modernes avec les Ouïghours, en ce qu'ils sont très similaires à la fois en culture et en langue et en apparence (bien que seuls les anciens types sédentaires d'habitants des oasis et d'autres côtés) mais en aucun cas avec de vrais Nomades ouzbeks d'Ak Orda... Soit dit en passant, les représentants modernes des Ouzbeks nomades, qui ont préservé leur identité dans les zones rurales, ressemblent beaucoup aux Kazakhs modernes à la fois en termes de dilekt, d'anthropologie et de culture, de mentalité et d'articles ménagers. Les noms des tribus et les clans de leurs constituants sont également similaires.
Revenons maintenant à l'histoire moderne, père, et même à nos écrivains du début du siècle aibek, kadyri et autres. ils disaient que les habitants de Tachkent avaient des relations très étroites avec les Kazakhs, commerçaient avec eux soit en leur rendant visite, soit lors de foires saisonnières. Les Kazakhs ont toujours fait preuve de supériorité sur les habitants sédentaires, toujours en force militaire, mais en aucun cas en matière d'érudition, d'alphabétisation, d'artisanat et de commerce. Ils les appelaient Sarts, mais ils les reconnaissaient comme des Ouzbeks d'Akorda, mais pas très Kurama. Mon père a dit qu'avant le peuple Kokand, les Kazakhs ont officiellement régné pendant un certain temps, et à partir de ce moment-là, il y a une empreinte sur le développement et l'urbanisme de Tachkent. Étant une métropole, selon les normes de l'époque, Tachkent était à la fin du Moyen Âge peu attrayante, mais le centre du commerce. Bref, en payant les Kazakhs, le peuple de Tachkent a vécu sa vie musulmane. Il y avait beaucoup de noms dérivés du parsi, les manuels scolaires étaient en farsi. Le premier manuel en maktab était un haftiak, également en parsi. Les gens instruits connaissaient bien le farsi et les commerçants connaissaient le kazakh. Mon père a dit que mon grand-père s'entendait bien avec les biys kazakhs. Peut-être parce que nous appartenions aux Khoja, et à l'ancêtre Ismail ata (enterré à Turbat) que nous vénérons comme Kazakhs. Le père décrit les Kazakhs de cette époque comme très simples d'esprit, confiants, mais ne remplissant pas toujours leurs obligations. Ils sont très accueillants. Ils ont sauvé mon grand-père dans la steppe d'une tempête de neige. S'ils n'avaient pas sauvé, alors il n'y aurait pas eu moi. Si un Kazakh est têtu, alors il est difficile de le convaincre, il y a eu des explosions d'agression soudaine, c'est-à-dire d'un état calme et détendu. Une attitude complètement différente parmi les citadins, ils savent parler et persuader, sont très habiles en persuasion, prudents (la vie représente de maigres moyens et opportunités) et zélés, très religieux (bien sûr, par rapport aux Kazakhs :)).
Mon père disait que les Dzoungars attaquaient les Kazakhs qui gouvernaient Tachkent, qu'après cela, ils laissèrent les steppes du Syr-Daria sur la rive gauche, et Tachkent fut, logiquement, passé à la Chine, car les Chinois ont vaincu les Dzoungars, mais ne sont pas venus à Tachkent, ce qui a provoqué une lutte entre les khokims du 4e Daha, Yunus Khoja a vaincu et est devenu le souverain de Tachkent indépendant et a conquis les terres environnantes, puis le Kokand Khan est venu.
Puis les Russes sont venus assiéger Tachkent pendant 40 jours. L'émir de Boukhara n'a pas aidé, mais est allé à la conquête du Kokand, profitant de l'instant. Lorsque la révolution a eu lieu, l'intelligentsia musulmane et le clergé ont formé leur direction publique, mais les bolcheviks les ont dominés et ont créé un gouvernement de musulmans ouvriers et de Russes ouvriers et d'autres nat. Russie (qui a prévalu. En général, l'opinion publique des citadins était gouvernée par les eshans (cheikhs des écoles soufies), dans la défense de Tachkent contre les troupes tsaristes, à leurs appels, les gens ordinaires (quand les sarbazs ne pouvaient plus faire quoi que ce soit, et le beau-père de Khudoorhan, le chef du khanat de Kokand (Toli Kipchak, Toli Kirghiz), avait déjà été vaincu à l'extérieur des murs de la ville) s'est précipité à coups de matraque et de poings nus sur des baïonnettes et sous une pluie de chevrotines.
Il y a ici une différence de mentalité entre sédentaires et nomades, que j'ai moi-même déjà observée chez les représentants de nos habitants des zones steppiques aux traditions évidentes du peuple kazakh (jockey, yourtes, mongoloïdes, bien que notre type soit reconnaissable du kazakh , plutôt du mongolisme ou du métisme aux caractéristiques europoïdes, et des Kazakhs, je ne sais pas comment, mais ils diffèrent des nôtres, mais les Kazakhs ressemblent parfois beaucoup aux kishlaks ouzbeks.
Oui, les Turcs étaient il y a longtemps le mercredi. Asie, mais ce n'est pas la même personne, même à Babur Nam on dit qui est turc, qui est mongol (Babur lui-même est un barlas mongol turc + le sang des femmes de Sart de ses ancêtres + un vrai mongol Chingizid par sa mère) qui est Sart avec la langue turque, qui est Sart avec le farsi, qui est tadjik, qui est Tukrmen, qui est Karluk, etc., même par la tribu). Même selon la description de leurs Timurides, on peut constater que beaucoup d'entre eux sont des Mongoloïdes explicites. Les Temurids eux-mêmes se sont battus avec les Ouzbeks, et parfois le Sheibani de Khan Babur est simplement appelé ouzbek. Mais l'émir Temur n'appelait son État que "Mulki Turon", et non l'Ouzbékistan. C'est donc là que les Ouzbeks ont toujours été. Il suffit de lire même des manuels avec une attitude différente et vous verrez vous-même les contradictions dans l'ethnogenèse d'un Ouzbek moderne. La République d'Ouzbékistan a plus de 80 ans, mais Bogdast existera encore pendant 500 et 1000 ans, car la base des bolcheviks pour l'établissement de la nation ouzbèke dominante dans cf. L'Asie a servi, les dynasties Sheibanid ont existé jusqu'au 20ème siècle pendant environ 400 ans.
11650
Contrairement à la frontière entre la Russie et le Kazakhstan, qui ne ferme que pour une heure de pause, la frontière entre le Kazakhstan et l'Ouzbékistan est ouverte jusqu'à 8 heures, nous avons donc roulé quasiment sans arrêt pour ne pas être en retard.
C'est un village où les gens ne vivent qu'en été, principalement des bergers.
Il y a beaucoup de ferraille au Kazakhstan, partout les vieilles voitures rouillent.
Malgré le fait que le propriétaire ait gentiment accepté de nous recevoir chez lui, sa femme nous a interdit de prendre des photos et nous a chassés de la cour.
Les dindes étaient aussi taciturnes.
La première moitié de la route est tout simplement géniale. L'asphalte est lisse, il n'y a pas de trous, il y a de bonnes marques et des panneaux partout. Parfois, la route est recouverte de sable.
La voie ferrée est parallèle à la route.
Vers la fin, la route a commencé à se détériorer.
Ils nous ont fait peur avec des agents de la circulation kazakhs, ils ont dit qu'ils nous tortureraient avec des extorsions. En fait, ce sont des gars très gentils, ils ont été autorisés à les prendre en photo, ils ont posé des questions sur la voiture.
Lorsque nous nous sommes arrêtés pour une halte, une tortue est venue vers nous. A part le caviar noir, il n'y avait rien pour lui faire plaisir. La tortue n'aimait pas le caviar.
Et c'est la famille d'un riche éleveur de chameaux. Un chameau coûte de 30 à 100 000 roubles.
Ce sont de mignons chameaux qui traversent la steppe.
Un chameau n'est pas seulement une fourrure précieuse, mais aussi du lait sain !
Ils crient aussi très fort dans leurs enclos.
Bientôt la route s'est complètement détériorée, les derniers kilomètres étaient de la poussière, des trous et des camions coincés.
Lave-vaisselle.
Et voici à quoi ressemblent les cimetières kazakhs.
Nous sommes entrés dans le village.
Les enfants saluent les participants de la course Gennady !
Au Kazakhstan, les gens ne sont pas très accueillants envers les photographes. Le mod local voulait me jeter une pierre.
Et voici la frontière tant attendue. Faites attention à la route. Il est strictement interdit de filmer ici. Pour accélérer le passage, le garde-frontière kazakh a demandé 50 dollars. Pour cet argent, la voiture n'a pas été inspectée, ils ont été autorisés à tirer, toutes les formalités n'ont pas pris plus de 40 minutes.
Filmer avec une caméra cachée. Il n'y a d'asphalte nulle part. Le poste de contrôle est tout sale.
Le premier asphalte apparaît déjà chez les Ouzbeks. La frontière ouzbèke a également été franchie rapidement. Ici, il est impératif de déclarer tout le matériel et les espèces, sinon des problèmes peuvent survenir. Tout d'abord, le garde-frontière a vérifié le contenu des cartes mémoire de mon appareil photo à la recherche d'images indésirables de la frontière.
Après avoir passé la frontière, les changeurs accourent immédiatement à la voiture. Pour 1 rouble, ils donnent 75 soums. La facture la plus élevée est de 1000 soums. Après l'échange de 5 000 roubles, un sac d'argent séparé était nécessaire.
Après la frontière, un agent de la circulation ouzbek sévère nous attendait. Il était censé nous facturer une taxe environnementale. Ayant appris que la Suzuki SX4 ne nuirait pas à l'écologie de l'Ouzbékistan, il n'a pas pris l'argent. Et les voitures russes n'ont pas besoin de souscrire une assurance obligatoire ici.
Bu du thé dans un café local.
Il y avait un problème avec l'essence en Ouzbékistan. Personne n'a jamais vu 95 ici, généralement uniquement du diesel ou des années 80 de mauvaise qualité. Si vous regardez bien, vous pouvez trouver 91 à 30 roubles le litre. Ils disent que la situation va changer plus près de Samarkand.
Après la frontière, il y a une route droite le long de la steppe de qualité moyenne, parfois on rencontre des trous. Il n'y a pas un seul bâtiment sur des centaines de kilomètres. Nous voulions passer la nuit dans la ville de Kungrad, à 100 km de Noukous. Le seul hôtel était vide et sentait les clients non lavés. Le propriétaire a dit que vous pouvez essayer de louer un appartement, mais "vous ne l'aimerez pas là-bas, les gens y sont conduits comme des moutons". Nous ne l'avons pas cru. De pauvres femmes russophones nous ont emmenées voir l'appartement. Il y avait une vingtaine de paires de chaussures dans le couloir d'une hutte à deux pièces. L'étage entier était jonché de personnes endormies et l'appartement sentait mauvais. Le propriétaire a demandé 100 roubles par nuit. Nous nous sommes enfuis.
Les Ouzbeks sont un peuple turcophone d'environ 28 millions de personnes. En URSS, les Ouzbeks étaient la troisième plus grande nation (après les Russes et les Ukrainiens). Actuellement, environ 23 millions d'Ouzbeks vivent en Ouzbékistan (81,7% de la population de la république), environ 2,7 millions - en Afghanistan, plus de 900 000 - au Tadjikistan et environ 800 000 - au Kirghizistan. En outre, une importante diaspora ouzbèke existe au Kazakhstan, au Turkménistan, en Russie et dans d'autres pays. Les Ouzbeks (comme les Tadjiks) sont des Caucasiens, appartiennent à la race Pamir-Fergana. Les Ouzbeks du Khorezm du Nord ont un mélange d'éléments mongoloïdes.
Vous trouverez ci-dessous les 28 plus belles femmes ouzbeks célèbres. La première liste est basée sur les résultats d'un vote qui a eu lieu sur le site Top-antropos.com pendant quatre mois.
28ème place : Iroda Nosirova- chanteuse.
27ème place : Svetlana (Oidyn) Norbaeva(née en 1944 à Tachkent) - actrice de théâtre et de cinéma, artiste du peuple de la RSS d'Ouzbek. Svetlana Norbaeva est la mère du célèbre réalisateur et producteur Janik Fayziev.
26ème place : Début de Shodieva- Actrice ouzbek.
25ème place : Diéra- Chanteur ouzbek .
24ème place : Sevinch Mouminova- Chanteuse et actrice ouzbek.
23ème place : Laylo Galieva- chanteuse.
22ème place : Matlyuba Alimova(née le 12 août 1954) - Actrice soviétique et russe, connue pour les films "Little Tragedies" (1979), "Gypsy" (1979), "Vasily Buslaev" (1982), "The Tale of the Star Boy" (1983 ), " Retour de Budulai " (1985). Matlyuba Alimova est une Ouzbek par son père.
21ème place : Munisa Rizaeva- Chanteur ouzbek.
20ème place : Asal Shodieva- Actrice ouzbek.
18ème place : Tamara Shakirova(26 novembre 1955 - 22 février 2012) - actrice, artiste émérite de la RSS d'Ouzbékistan. Tamara Shakirova (mariée à Ganieva) est la mère du chanteur ouzbek moderne Raikhon Ganieva, qui est également représenté dans ce classement.
17ème place : Zamzama- Chanteur ouzbek.
16ème place : Mouborak Zhamolkhonova(Ashurboeva) (née le 5 août 1986) - actrice et chanteuse, membre du groupe "Sakhrizoda".
14ème place : Parizoda Shermatova- actrice.
13ème place : Farida- maquette.
12ème place : Zilola Nuralieva(née le 24 décembre 1986) est un mannequin travaillant en Chine et au Japon sous le pseudonyme de "Lola". Hauteur - 179 centimètres, paramètres de forme : 84-61-90.
10ème place : Lola Yuldasheva(née le 4 septembre 1985), mieux connue sous le nom de "Lola", est une chanteuse et actrice ouzbek.
9ème place : Ravshana Kourkova(née le 22 août 1980 à Tachkent) est une actrice russe.
8ème place : Dilnoza Kubaeva(née le 22 novembre 1986 à Tachkent) - Actrice ouzbek.
5ème place : Zarina Nizomiddinova- Actrice ouzbek.
4ème place : Kamilla Mukhlisova(née le 26 septembre 1984 à Tachkent) - actrice, mannequin. Hauteur - 163 centimètres, paramètres de la figure : 83-57-84.
3ème place: Irina Sharipova(née le 7 février 1992) - "Miss Tatarstan-2010", première vice-miss du concours "Russie-2010", représentante de la Russie au concours international de beauté "Miss World-2010". La taille d'Irina Sharipova est de 178 centimètres, les mensurations du corps : 83-60-87. Irina Sharipova est ouzbek du côté de son père et du côté de sa mère, Irina a des racines ouzbeks, tatares, russes et ukrainiennes.
2ème place: Zilola Musaïeva(née le 28 juillet 1979), plus connue sous le pseudonyme de "Shahzoda", est une chanteuse et actrice ouzbek.
1ère place: Raykhon Ganieva(née le 16 septembre 1978) est une actrice et chanteuse ouzbek. Raykhon est la fille de la célèbre actrice Tamara Shakirova.
Pendant de nombreux siècles, les filles ouzbeks ont mené une vie tout à fait banale : elles s'occupaient des tâches ménagères, élevaient des enfants et étaient entièrement subvenues à leurs besoins par leurs hommes. Mais la modernité dicte ses propres règles et, au fil du temps, le mode de vie historiquement établi s'est estompé et les habitants de l'Ouzbékistan ensoleillé ont commencé à se rencontrer dans les évaluations des femmes les plus élégantes et les plus belles du pays et du monde.
À quoi devrait ressembler la plus belle femme ouzbek
Dans leur apparence, les traits asiatiques peuvent glisser - peau foncée, sourcils larges et épais, yeux étroits, cheveux très foncés. Cependant, il peut y avoir des femmes ouzbeks avec de beaux yeux grands et expressifs. Par leur caractère et leur mode de vie, ils ne sont en aucun cas inférieurs aux Européens. Les filles ouzbeks connaissent un grand succès dans leur carrière, au cinéma, dans le show business et dans le mannequinat.
Il est particulièrement intéressant d'observer comment la modestie orientale se combine avec la confiance, la retenue avec l'éducation. Ces dernières années, on peut observer comment elles participent à des concours de beauté et prouver au monde qu'il n'y a pas de canon idéal de beauté et que chacune d'elles mérite le titre de "La plus belle femme ouzbèke". Il est seulement important d'être charmant, modeste, charismatique et de ne pas douter le moins du monde de votre attrait.
Top 10
- Sevinch Mouminova. La fille est née en 1982 à Diplômée de la culture, et en 2010, elle a épousé le célèbre chanteur ouzbek Sharof Mukimov. Après la naissance de sa fille, Sevinch commence à donner rarement des concerts et se consacre entièrement à sa famille.
- Munis Rizaïev. En Orient, on dit que le nom détermine la vie d'une personne. Traduit de l'arabe, "Munis" signifie "belle voix", en regardant cette fille, nous pouvons dire avec certitude qu'en plus de ses capacités vocales, la nature lui a conféré une apparence exceptionnellement belle (photo de gauche).
- Lola Yuldasheva. L'une des principales prétendantes au titre de "la plus belle femme ouzbèke" est née à Tachkent en 1985. En Ouzbékistan, elle est connue sous le nom de Lola, et en Russie dans les années 2000, elle a gagné en popularité sous le pseudonyme de Maya et grâce à la chanson "Lost".
- Shahzoda. Le vrai nom de cette beauté est Zilola Musaeva, mais, selon les filles d'Ouzbékistan, le pseudonyme est idéal pour son apparence. En Russie, la femme ouzbèke est devenue populaire grâce au tube estival "Between Heaven and Earth", enregistré avec le célèbre DJ Smash.
- Raykhon Ganieva. Selon de nombreuses publications Internet, c'est elle qui se voit le plus souvent décernée le titre "La plus belle femme ouzbèke". Malgré le fait que la jeune fille a étudié le chant depuis son enfance, sa renommée ne l'a dépassée qu'après la sortie de l'album "Bakhtli Bulaman". Les fans ne manquent pas une seule exposition solo de leur idole et la considèrent comme la chanteuse la plus influente du pays.
- Sevara Nazarkhan. C'est son apparence qui correspond parfaitement à la description d'une femme ouzbek. En plus de la beauté inhabituelle, la fille a une voix magnifique. Et en regardant comment elle se comporte pendant l'entretien, on peut comprendre que c'est exactement ce que devrait être une vraie beauté de l'Ouzbékistan - sage, sobre et noble.
- Zarina Nizomiddinova. Une fille réussie et belle est née en 1989 dans la ville de Tachkent. Zarina n'est pas seulement une actrice talentueuse, mais aussi une excellente danseuse et présentatrice de télévision.
- Gulchekhra Eshonkulova. Chaque photo avec la participation de cette fille est vouée au succès: les fans admirent ses talents d'actrice et la moitié masculine est émerveillée par ses traits expressifs. Gulchekhra a acquis une popularité folle grâce au film "Fatima et Zukhra", où elle a joué avec Shahzoda.
- Dilnoza Kubaeva. Après le mariage, elle a cessé de jouer dans des films, mais au début de sa carrière, le spectateur se souvenait d'elle pour son apparence, à savoir un doux sourire avec des fossettes.
- Ravshana Kurkova (Matchanova). Une fille est née à Tachkent dans une famille d'acteurs, et il n'est pas surprenant qu'elle ait consacré sa vie à ce métier. Elle est devenue célèbre non pas chez elle, mais à l'étranger, jouant dans la série télévisée "Barvikha". En raison de son apparence orientale inhabituelle, Ravshana a été reconnue à plusieurs reprises comme l'une des plus belles femmes d'Ouzbékistan et de Russie.
Vainqueur du World Bikini Model 2015
Originaire de Boukhara, Zara King est devenue la lauréate d'un concours international et a remporté le titre de Miss Europian Bikini. La fille est née en Ouzbékistan, elle a fait ses études en Amérique, diplômée d'une école de commerce de l'État de Floride. Cependant, il vit et travaille à Moscou.
Beauté du XXe siècle
L'actrice soviétique et russe Matlyuba Alimova est née dans la ville d'Andijan le 12 août 1954. Elle est connue de beaucoup pour le film "Le retour de Budulai", tourné en 1985. Elle a obtenu une apparence intéressante grâce au mélange de sang. D'après papa, Matlyuba Farhatovna est ouzbek, mais plusieurs sangs coulent dans les veines de ma mère à la fois : géorgien, allemand, polonais et russe.
L'actrice a joué le rôle de Nastya dans le film "Gypsy". Matlyuba Farhatovna était tellement imprégnée de l'image de son héroïne que non seulement le public, mais aussi de vrais gitans l'ont crue, appelant la fille "la leur".
Scandaleux mais beau
La fille aînée du premier président de la république pendant de nombreuses années a été considérée comme la norme de la féminité, de l'élégance et du style. Grande, majestueuse, prospère, riche - c'est ce que de nombreuses jeunes femmes ouzbèkes voulaient devenir. Malgré l'histoire scandaleuse, ils sont considérés non seulement comme beaux, mais aussi gentils. Après tout, grâce à elle, des milliers de jeunes talents ont eu une opportunité de développement, elle a parrainé des orphelinats et organisé un Fonds d'assistance aux pauvres.
Le plus beau modèle
En conclusion, je voudrais vous présenter une autre fille d'une beauté inhabituelle - Irina Sharipova, née à Boukhara en 1992. Cependant, elle est maintenant connue comme le modèle russe. Irina est un autre exemple de la beauté des enfants issus de mariages mixtes (le père est ouzbek, la mère a des racines tatares, ukrainiennes et russes).
Elle a participé à de nombreuses séances photo, a défilé sur un grand nombre de podiums dans différents pays, mais le plus marquant et le plus mémorable a été le dernier défilé de Victorias Secret en 2014.