Types rares de nuages. Nuages ​​- Types de nuages ​​rares - nuages ​​nocturnes, nuages ​​ondulés, nuages ​​lenticulaires, etc.

Que sont les nuages ​​? Ce sont les plus petites gouttes d'eau ou de cristaux de glace en suspension dans l'atmosphère et visibles dans le ciel depuis la surface de la terre. Les nuages ​​sont également une image lyrique bien connue associée à la paix et à la sérénité.

Les nuages ​​sont partout, dans chaque partie de notre planète. Mais dans la nature il y a aussi types de nuages ​​rares que peu de gens ont eu la chance de voir.

Un large aperçu des types de nuages ​​les plus rares.

Collier tonnerre

Ce beau phénomène météorologique s'appelle collier tonnerre- de rares nuages ​​longs qui se forment généralement avant l'avancée des fronts froids.

Comment surgissent des nuages ​​de ce genre ? L'air chaud et humide qui monte se refroidit en dessous du point de rosée et se condense pour former un nuage. Si un tel processus se produit sur toute la longueur du front d'air allongé, un collier d'orage peut alors se former.

Les courants d'air dans un collier orageux peuvent circuler autour de son axe horizontal, mais une tornade provenant d'un tel nuage ne peut pas se produire.

Nuage lenticulaire

Nuages ​​lenticulaires (lenticulaires)- un phénomène naturel assez rare. Ils se forment sur les crêtes des ondes aériennes ou entre deux couches d'air.

Une caractéristique étonnante de ces nuages ​​est qu'ils ne bougent pas et se tiennent dans le ciel comme s'ils étaient collés, peu importe la force du vent. Ils ressemblent à des ovnis planant dans les airs.

Les nuages ​​planent généralement du côté sous le vent des chaînes de montagnes, derrière des crêtes et des sommets individuels à une altitude de 2 à 15 kilomètres.

L'apparition de nuages ​​lenticulaires indique que l'air a une teneur en humidité assez élevée. Ceci est généralement associé à l'approche d'un front atmosphérique.

Nuages ​​nocturnes brillants

Les nuages ​​nocturnes sont les plus hautes formations nuageuses apparaissant à des altitudes de 75 à 95 km. L'année de découverte de ce type de nuages ​​est considérée comme 1885.

Un autre nom pour les nuages ​​- les nuages ​​brillants dans la nuit - correspond le plus à leur apparence. Pendant la journée, même sur fond de ciel clair, ces nuages ​​ne sont pas visibles, car ils sont très fins : les étoiles sont parfaitement visibles à travers eux.

Les nuages ​​nocturnes ne peuvent être observés que pendant les mois d'été : dans l'hémisphère nord en juin-juillet, dans l'hémisphère sud fin décembre et janvier.

Dans la nuit qui a suivi la catastrophe de Tunguska le 30 juin 1908, des nuages ​​nocturnes ont été observés partout en Europe occidentale et en Russie, devenant une source d'anomalies optiques.

Effet Fallstreak dans le cirrocumulus

Cet effet rare peut être observé dans le cirrocumulus, une grande déchirure circulaire appelée Fallstreak.

De tels "trous" dans les nuages ​​se forment lorsque la température de l'eau y est inférieure à zéro, mais qu'elle n'a pas encore gelé. Lorsqu'une partie de l'eau d'un nuage commence à geler, elle se dépose parfois au sol, formant de grands "trous".

En raison de sa rareté, ce phénomène naturel est souvent confondu avec un OVNI.

Nuages ​​de mamelle

Ces nuages ​​(nuages ​​Mammatus) ont une forme cellulaire inhabituelle. Ils sont rares et surtout trouvés sous les latitudes tropicales, car ils sont associés à la formation de cyclones tropicaux.

Les cellules des nuages ​​ont généralement une taille d'environ 0,5 km et le plus souvent elles sont bien distinctes, bien qu'elles aient parfois des bords flous.

Les nuages ​​sont bleu-gris, comme le nuage principal, cependant, en raison des rayons du soleil, ils peuvent apparaître dorés ou rougeâtres.

Nuages ​​ondulés

En regardant l'apparence de ces nuages, on comprend pourquoi ils sont appelés ondulés.

Arc-en-ciel dans le nuage

Ce phénomène naturel assez rare est associé à l'apparition de fleurs dans le nuage, similaires à celles observées dans un film d'huile sur les flaques d'eau. On le trouve le plus souvent dans les nuages ​​Altocumulus, Cirrocumulus et lenticulaires (voir ci-dessus).

Lorsque la lumière du soleil frappe de petites gouttelettes d'eau ou des cristaux de glace de différentes tailles dans un nuage, la réfraction de la lumière provoque une gamme de couleurs appelée irisation.

Nuages ​​saillants

Les nuages ​​du plateau sont impressionnants. Ils peuvent généralement être observés avant un orage, bien qu'ils puissent également précéder un front d'air relativement froid.

Nuages ​​saillants ressemble à un col tempête(voir ci-dessus), mais diffèrent d'eux, car ils sont toujours associés à un grand système cloud caché au sommet.

Nuages ​​de feu

Les nuages ​​de feu ou pyrocumulus (nuage Pyrocumulus, nuage de feu) se forment lors d'un échauffement intense de l'air à la surface de la terre.

Ce genre de nuages ​​peut se produire lors d'incendies de forêt, d'une éruption volcanique, d'une explosion atomique.

En effet, ils ressemblent beaucoup à un nuage de poussière après une explosion :

Nuages ​​de rayons

Les nuages ​​de rayons ont été découverts dans les années 1960. Leur nom (actinoforme) vient du mot grec pour "rayon" et est associé à leur structure radiale. Leur taille peut atteindre 300 kilomètres de diamètre, ils ne peuvent donc être vus qu'à partir d'un satellite.

Les scientifiques sont actuellement incapables de fournir une explication précise de la formation de cette forme de nuage rare.

Nuages ​​stratosphériques polaires

Des nuages ​​stratosphériques polaires ou des nuages ​​nacrés se forment à des altitudes de 15 à 25 km dans les régions froides de la stratosphère (températures inférieures à -80C).

Ce genre de nuages ​​apparaît très rarement. Peut-être que dans toute l'histoire de la physique atmosphérique, les nuages ​​stratosphériques polaires n'ont été observés qu'une centaine de fois. Le fait est que la concentration de vapeur d'eau dans la stratosphère est plusieurs milliers de fois inférieure à celle de la partie inférieure de l'atmosphère (troposphère).

Bonnet nuage

Il s'agit de petits nuages ​​d'altostratus horizontaux, de forme changeant rapidement, que l'on trouve généralement au-dessus des cumulus et des cumulonimbus. Une calotte nuageuse peut se former au-dessus d'un nuage de cendres ou d'un nuage de feu (voir ci-dessus) lors d'une éruption volcanique.

Gloria du matin

Ce sont d'étranges et longs nuages ​​horizontaux qui ressemblent à des tubes en rotation : jusqu'à 1 000 km de long, de 1 à 2 km de haut. Ils ne sont qu'à 100 à 200 mètres au-dessus du sol et peuvent se déplacer à des vitesses allant jusqu'à 60 km/h.

Ce type rare de nuages ​​peut être vu partout dans le monde, mais ce n'est qu'au printemps au-dessus de la ville de Burktown dans le Queensland (Australie) qu'ils peuvent être observés de manière plus ou moins constante et prévisible. La formation de Morning Glory s'accompagne souvent d'une soudaine rafale de vent.

Vagues agitées (Undulatus asperatus)

Ce n'est qu'en 2009 qu'il a été proposé de séparer ce phénomène météorologique inhabituel en un type distinct de nuages ​​- Undulatus asperatus. La dernière fois que de nouvelles formations nuageuses ont été entrées dans l'Atlas international des nuages, c'était déjà en 1951 !

Une traduction approximative du nom du nouveau type de nuages ​​est « vagues rugueuses ».

En apparence, ce sont les nuages ​​les plus menaçants et diaboliques. Ils ressemblent à une mer bouillonnante, une surface sombre, bizarrement « froissée ».

Certains associent même l'apparition des nuages ​​d'Undulatus asperatus aux prétendus événements apocalyptiques de 2012.


Les météorologues assurent qu'ils n'ont jamais rien vu de tel auparavant. Ces nuages ​​ressemblent soit à une mer agitée, soit à la surface de la terre. Ils sont sombres, fantaisistes "froissés". Des "cornes" tourbillonnantes en sortent. La vue est effrayante. Et sinistre.

Les images de ces nuages ​​viennent du monde entier. Les journaux anglais en ont publié plusieurs fabriqués au Royaume-Uni et en Nouvelle-Zélande. Mais il est possible que cela se voit ailleurs. Les nuages ​​étrangement sombres, étonnamment, ne constituent pas une menace. Là où ils sont apparus, les gens attendaient les ouragans. Mais il n'y avait rien de tel.


La couleur suggère que les structures contiennent beaucoup d'humidité, explique le professeur Paul Hardaker, directeur exécutif de la Royal Meteorological Society de Grande-Bretagne. - Il faut beaucoup d'énergie et de chaleur pour former des nuages ​​d'une forme aussi étonnante.

Les Britanniques ont pris l'initiative d'appeler des formations inédites dans le ciel "Asperatus".

Et ils ont proposé d'inclure ce nom dans les atlas. Pour avoir quelque chose à parler en détail. Comme maintenant, par exemple, on parle de nuages ​​de cirrus, en forme de griffe de cirrus, denses, enchevêtrés, de stratus, de cumulus, nacrés et nocturnes.

Si la proposition est acceptée par l'Organisation météorologique mondiale à Genève, l'existence du nouveau type de nuage sera officiellement reconnue. Mais dans tous les cas, les scientifiques doivent trouver d'où ils viennent. Et comme en témoigne. Alors que c'est un mystère. Malgré l'abondance des photos.



Bleu foncé, presque noir, rappelant une formidable mer orageuse - ces nuages ​​​​semblent effrayants, fascinants, impressionnants et peuvent effrayer n'importe qui, signalant un cataclysme imminent.

En fait, les nuages ​​asperatus ne sont pas aussi effrayants qu'ils n'y paraissent à première vue, et malgré toute leur apparence inhospitalière, ils ne causent aucun problème aux gens - un ouragan ou un orage ne les accompagne jamais.

Beaucoup pensent que l'aspératus ressemble aux pires nuages ​​de notre planète. Ils sont apparus relativement récemment : ils ont été enregistrés pour la première fois par des météorologues de Grande-Bretagne et de Nouvelle-Zélande dans les années cinquante du siècle dernier.

Il convient de noter que si auparavant ces nuages ​​menaçants étaient vus assez rarement, alors déjà au début de notre siècle, ils ont commencé à apparaître de plus en plus souvent dans le firmament, et n'ont donc pu s'empêcher d'attirer l'attention des experts qui les ont appelés « Undulatus asperatus » (le latin se traduit par « onduleux-bosselé / rugueux »).

Malgré l'observation constante de ce phénomène étonnant, les météorologues n'ont proposé de les classer comme un nouveau type de nuage qu'en 2009. Et ce qui est intéressant, c'est que cette question n'est pas encore résolue : l'Organisation météorologique mondiale devrait rendre son verdict. Si les scientifiques décident de mettre à jour l'Atlas international des nuages, ce sera la première fois depuis 1951.

Comment se forme ce phénomène naturel unique

Malgré le fait que plus d'un demi-siècle se soit écoulé depuis l'apparition de ce phénomène étonnant, les scientifiques n'ont pas encore décidé exactement comment se forment les nuages ​​ondulants, mais ils ont néanmoins tiré quelques conclusions.

Tout d'abord, les météorologues ne pouvaient s'empêcher de faire attention au fait que si personne n'avait jamais vu d'aspérats avant la seconde moitié du 20e siècle, au fil du temps, ils ont commencé à apparaître de plus en plus souvent, et le plus grand nombre d'entre eux était déjà enregistrées au cours du siècle actuel (et la plupart d'entre elles peuvent être observées en Amérique du Nord le matin ou le soir). Ce fait indique clairement que certains changements se sont produits dans l'atmosphère qui ont contribué à l'apparition de ce phénomène phénoménal.


Les météorologues ont prêté attention à la couleur et à la structure de ce phénomène et sont arrivés à la conclusion que les nuages ​​rugueux et ondulés contiennent une quantité assez importante de vapeur d'eau, ce qui signifie qu'une grande quantité d'énergie et de chaleur a été dépensée pour leur formation. D'où vient exactement l'énergie dans ce cas, les scientifiques n'ont pas complètement compris, mais ont attiré l'attention sur le fait que cet étonnant phénomène naturel ne se forme que dans la région des montagnes et des collines, qui surmontent les principales masses d'air se déplaçant d'ouest en est .

En conséquence, des mouvements verticaux et horizontaux des flux d'air se produisent, créant des nuages ​​​​multicouches, qui apparaissent dans deux couches de l'atmosphère à la fois et prennent la forme de stratus et de cumulus.

Le relief de chaque zone étant unique, les formes des nuages ​​ondulants et bosselés diffèrent souvent les unes des autres et créent des images différentes : elles ressemblent à une mer déchaînée, des arches, des dépressions, etc.

Grâce au passage à travers les montagnes, ces nuages ​​à l'allure étonnante sont capables de conserver leur forme longtemps et à une distance assez importante des collines.

Les scientifiques ont suggéré que ce phénomène se produit très probablement lorsque des courants d'air chauds entrent en collision avec des courants d'air froids entre les parties médiane et inférieure de l'atmosphère, à condition qu'il y ait une énorme quantité de vapeur d'eau condensée. Ils n'excluaient pas non plus un impact technogénique extrêmement fort sur la nature, qui s'est intensifié ces dernières années.

Les météorologues ont attiré l'attention sur le fait que, alors que la partie inférieure des autres types de nuages ​​est plate, les nuages ​​ondulants ont au contraire une structure verticale. Cette circonstance a permis d'avancer l'hypothèse que ce phénomène étonnant peut être associé à :

  • avec des nuages ​​lenticulaires - formés près des montagnes, se formant soit sur les crêtes des ondes aériennes, soit entre deux couches d'air. Il est intéressant de noter que quelle que soit la force du vent, ils pendent absolument immobiles soit du côté sous le vent des montagnes, soit derrière des crêtes ou des sommets individuels;
  • avec des nuages ​​tubulaires - ils ne peuvent être vus principalement que sous les latitudes tropicales. La partie inférieure des nuages ​​tubulaires a une forme poreuse ou marsupiale spécifique, tandis que la taille des cellules est d'environ cinq cents mètres et, malgré le fait que leurs contours sont généralement clairement délimités, elles peuvent parfois avoir des bords flous. Ces nuages ​​sont principalement de couleur gris-bleu, mais en raison des rayons du soleil, ils peuvent parfois être de couleur dorée ou rougeâtre;
  • avec un vent de foehn - un vent froid et sec souffle intensément vers le bas, descendant rapidement de la montagne et dépassant simultanément les nuages. En descente, la température de l'air monte de 1°C tous les 100 m. Si le vent foeong descend d'une hauteur de 2,5 km, sa température augmente de 25 degrés, et il s'avère être extrêmement chaud (on pourrait même dire - chaud), formant l'apparition des nuages.

Vaut-il la peine d'avoir peur de l'apparition de nuages ​​rugueux ondulés

Malgré le fait que les asperatus ont une apparence extrêmement effrayante, cela ne vaut absolument pas la peine de le craindre (du moins ce que disent les scientifiques), car ils se forment dans une atmosphère calme lors de la transition des masses d'air à travers la crête.

Si vous avez soudainement relevé la tête et vu des nuages ​​​​d'apparence étonnante dans le ciel, formidables, mais extrêmement beaux, vous ne devriez pas courir et vous cacher sous un auvent contre la pluie potentielle. Mieux vaut prendre l'appareil photo en main et capturer le miracle de la nature dans l'image.

La nature a créé de nombreux types de nuages ​​dans différentes formes, tailles et couleurs. Cependant, certains sont si rares que le seul moment pour les voir est peut-être d'apprendre à les connaître dans la liste ci-dessous sans ordre particulier.

La gloire du matin est un phénomène météorologique rare constitué d'ondes atmosphériques basses. On le voit occasionnellement dans divers endroits du monde, cependant, il peut être vu plus ou moins régulièrement dans le sud du golfe de Carpentarie, dans le nord de l'Australie. Ces nuages ​​peuvent mesurer jusqu'à 1 000 km de long, ils surviennent à des altitudes de 100 à 200 mètres, se déplaçant souvent à une vitesse de 10 à 20 mètres par seconde. Il existe diverses hypothèses sur leur formation, mais une explication exacte de ce phénomène n'existe pas encore.


Collier orageux ou nuages ​​saillants (Cumulonimbus arcus) est le nom général pour les variétés de nuages ​​cumulonimbus qui ressemblent à un long arbre. Ce type de nuage se forme le plus souvent en bordure de fronts atmosphériques, toujours à la pointe d'un orage. Dans la zone de leur apparition, en règle générale, de fortes pluies et des vents en rafales apparaissent une rafale.


La liste des types de nuages ​​les plus rares comprend l'effet Fallstreak. C'est un événement météorologique rare et c'est une grande déchirure circulaire ou elliptique qui peut apparaître dans les nuages ​​cirrocumulus ou altocumulus.


Des nuages ​​lenticulaires ou lenticulaires se forment à une altitude de 2 à 15 km près des chaînes de montagnes sur les crêtes des vagues sous le vent résultant du franchissement d'obstacles par le vent. Ils sont souvent associés à l'approche d'un front atmosphérique.


Nuages ​​de Calvin Helmholz ou nuages ​​ondulés. Il s'agit d'un type particulier de nuage qui ressemble à des vagues de la mer. Ils se forment lorsque deux couches d'air se déplacent à des vitesses différentes dans l'atmosphère. De plus, les couches supérieures se déplacent à une vitesse plus élevée que les couches inférieures, et en raison de l'instabilité de Kelvin-Helmholtz, ces belles structures ondulées se forment. Ils peuvent être observés dans la haute troposphère, généralement les jours de vent, lorsqu'il y a une différence de densité de l'air, par exemple lors d'une inversion de température.


Un champignon atomique ou un champignon nucléaire se produit non seulement après une explosion nucléaire ou thermonucléaire, mais aussi à la suite de toute explosion de puissance suffisante, y compris une éruption volcanique, une chute de météorite, etc. Lors d'explosions à haute altitude et souterraines, un champignon le nuage ne se forme pas.


Les nuages ​​nocturnes sont un phénomène atmosphérique rare qui ne peut être vu que dans l'obscurité profonde, généralement pendant les mois d'été. Ce sont les nuages ​​les plus hauts de la Terre. Ils se déplacent dans la mésosphère à une altitude de 76 à 85 km avec une vitesse moyenne d'environ 27,8 mètres par seconde.


Les Altocumulus Castelanus sont également connus sous le nom de nuages ​​de méduses - des nuages ​​rares qui se forment à une altitude d'environ 5 000 mètres. Ils peuvent être le signe avant-coureur de fortes averses et d'orages.


Les nuages ​​en forme d'ume ou tubulaires sont des nuages ​​rares (ils peuvent être observés 1 à 2 fois sur des dizaines d'années), qui ont une structure cellulaire ou marsupiale spécifique d'environ 0,5 km. Ils se trouvent dans les latitudes tropicales et sont associés à la formation de cyclones tropicaux.


Les nuages ​​nacrés sont des nuages ​​qui se forment dans la stratosphère à une altitude d'environ 20 à 30 km. Ils sont observés relativement rarement. Ils ne peuvent être observés que pendant la période hiver-printemps, principalement dans les latitudes polaires à des températures anormalement basses après le coucher du soleil ou avant le lever du soleil, lorsqu'il se situe entre 1 et 6 degrés sous l'horizon. Pendant la journée, sur fond de lumière diffuse et vive, les nuages ​​nacrés deviennent invisibles.