Continuation. Démarrer .
Conseil des relations étrangères.
Conseil des relations étrangères (CFR) - plus grande organisation monde des coulisses, réunissant les personnalités les plus influentes des États-Unis et du monde occidental : anciens et actuels présidents, ministres, ambassadeurs, hauts fonctionnaires, banquiers et financiers de premier plan, présidents et présidents des conseils d'administration de sociétés et d'entreprises multinationales, dirigeants universitaires (y compris des professeurs renommés), fonds médias de masse(y compris des journalistes grand public et des commentateurs de télévision), des membres du Congrès, des juges de la Cour suprême, des commandants militaires en Amérique et en Europe, des généraux de l'OTAN, des responsables de la CIA et d'autres services de renseignement, des responsables de l'ONU et des principales organisations internationales. Le CFR a été fondé en 1921 par les dirigeants d'organisations juives et de loges maçonniques aux États-Unis qui ont participé à la Conférence de paix de Paris. Ces conspirateurs maçonniques cherchaient de nouvelles formes d'influence sur les peuples du monde et de renforcement de l'influence américaine sur la politique mondiale. Les origines du CFR sont les dirigeants juifs de la "Round Table Society", qui a été transformée en mai 1919 à Paris en l'Institut des relations internationales avec des succursales en France, en Angleterre et aux États-Unis. Ce dernier est devenu la base organisationnelle du Council on Foreign Relations.
Cependant, jusqu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale, le rôle du CMO était relativement limité, il y avait une certaine désunion et incohérence dans les activités des organisations juives et des loges maçonniques. Les organisations secrètes ont été déchirées par une lutte sérieuse pour le pouvoir et la division de l'influence. De plus, politiciens européens préoccupé par les prétentions hégémoniques américaines. La situation a changé en 1947 avec l'intensification de la guerre froide de l'Occident contre la Russie. Dans cette guerre, les États-Unis ont pris la tête. Dans les nouvelles conditions, le Council on Foreign Relations est progressivement devenu le principal centre stratégique pour mener la guerre froide de l'Occident contre la Russie. C'est durant cette période que les membres du Conseil comprenaient de nombreux généraux du Pentagone et de l'OTAN, des personnalités de la CIA et d'autres services spéciaux. L'initiative de lancer une frappe nucléaire sur la Russie s'est développée dans les murs du SMO, et dans ses rangs se trouvaient tous les dirigeants et idéologues les plus importants des activités subversives contre notre pays: de A. Dulles (président du SMO, 1946-1950 , et plus tôt, 1933-1944, secrétaire du SMO) , Baruch, Morgenthau à G. Kissinger (directeur du CMO, 1977-1981), Z. Brzezinski (directeur du CMO, 1972-1977) et R. Pipes. Pendant la guerre froide contre la Russie, les dirigeants du Council on Foreign Relations ont effectivement identifié les intérêts nationaux américains avec les intérêts étatiques de l'Europe occidentale, liant la politique étrangère de cette dernière aux aspirations hégémoniques des États-Unis. En tant que vice-président du Soviet, A. Dulles, secrètement de l'URSS, négocie une paix séparée avec des représentants de l'Allemagne fasciste, espérant s'entendre avec eux sur une lutte commune contre le peuple russe. Immédiatement après la guerre, étant déjà président, Dulles, lors d'une des réunions du Conseil, proclame une nouvelle doctrine d'activités subversives contre la Russie :
«La guerre finira, d'une manière ou d'une autre, tout se calmera, se calmera. Et nous jetterons tout ce que nous avons, tout l'or, toute l'aide matérielle ou les ressources, pour tromper et tromper les gens. Le cerveau humain, la conscience des gens sont capables de changer. Après y avoir semé le chaos, nous allons tranquillement remplacer leurs valeurs par de fausses et les forcer à croire en ces fausses valeurs. Comment? Nous trouverons nos personnes partageant les mêmes idées, nos assistants et nos alliés en Russie même. Épisode après épisode, la tragédie grandiose de la mort du peuple le plus récalcitrant de la terre, l'extinction définitive et irréversible de sa conscience de soi, se jouera. De la littérature et de l'art, par exemple, nous allons progressivement les éradiquer entité sociale Nous allons sevrer les artistes, nous les découragerons de s'engager dans la représentation, la recherche, ou quelque chose comme ça, de ces processus qui se déroulent au plus profond des masses. Littérature, théâtre, cinéma - tous dépeignent et glorifient les sentiments humains les plus bas. Nous soutiendrons et élèverons de toutes les manières possibles les soi-disant artistes, qui implanteront et marteleront dans la conscience humaine le culte du sexe, de la violence, du sadisme, de la trahison - en un mot, toute forme d'immoralité. Nous créerons le chaos et la confusion dans la gouvernance de l'État... L'honnêteté et la décence seront ridiculisées et personne n'en aura besoin, elles deviendront une relique du passé. Impolitesse et arrogance, mensonges et tromperies, ivresse, toxicomanie, peur animale les uns des autres et impudeur, trahison, nationalisme et inimitié des peuples - nous répandrons tout cela habilement et imperceptiblement ... Nous allons ainsi secouer génération après génération ... Nous nous prendrons des gens dès l'enfance, les années de jeunesse, nous placerons toujours l'enjeu principal sur la jeunesse, nous commencerons à la corrompre, la corrompre, la corrompre. Nous en ferons des espions, des cosmopolites.
C'est comme ça qu'on va faire."
A partir des années 50 du nouveau personnage clé CMO devient progressivement David Rockefeller. Directeur du CMO depuis 1949, vice-président depuis 1950, président depuis 1970, D. Rockefeller devient la principale figure de coordination du monde entier dans les coulisses, possédant un pouvoir dont, en fait, même les présidents américains n'ont jamais rêvé. Le pouvoir et l'influence de Rockefeller ont augmenté à mesure que les activités du monde dans les coulisses se sont développées grâce à la création de nouvelles organisations mondialistes - le club Bilderberg et la Commission trilatérale. En 1962, Rockefeller a prononcé une conférence publique clé à l'Université de Harvard, "Le fédéralisme et l'ordre mondial libre", dans laquelle il a préconisé la création d'un État mondial dirigé par un gouvernement fédéral unique. Dans ses constructions, il s'appuie sur les idées des "pères fondateurs" américains, qui mettent en avant un "principe universel" capable d'unir le monde entier en un tout. Au milieu des années 80, D. Rockefeller en tant que président et Lord Winston en tant que président du CFR ont été remplacés par de nouvelles personnalités. L'éminent industriel juif et personnalité publique P. Peterson devient le président du CFR, et le franc-maçon bien connu J. Swing devient le président (depuis 1993, cette place a été prise par le chroniqueur du New York Times, le juif L. Gelb). Rockefeller lui-même reste toujours le dirigeant invisible de toutes les structures mondialistes, coordonnant et dirigeant leurs activités.
Environ 60% de tous les membres et jusqu'à 80% des dirigeants du Council on Foreign Relations sont juifs. Presque tous les membres du CMO appartiennent à des loges maçonniques ou à des clubs comme le "Rotary". Il n'y a pas de prêtres chrétiens au Conseil, mais les rabbins sont abondamment représentés, par exemple, Herzberg (synagogue Emmanuel), L. Leviveld, A. Schneier (président honoraire du Congrès juif mondial), ainsi que le président de la Maison de Sion pour les retraités L. Sullivan. L'une des places éminentes du Conseil est occupée par le chef de la loge maçonnique juive mondiale "B'nai B'rith" H. Kissinger. Les décisions en faveur d'Israël et des organisations juives sont automatiquement annulées par la direction du CFR. Selon des témoins, les réunions du Council on Foreign Relations rappellent les conventions du Congrès juif mondial en termes de nature des participants.
Le Council on Foreign Relations regroupe aujourd'hui toute l'élite politique, économique et culturelle des États-Unis. Toutes les plus grandes et transnationales du monde occidental sont représentées : General Motors, Boeing, General Electric, Chrysler, Xerox, Coca-Cola, Johnson & Johnson, Dow Chemical, Shell, IBM, Lockheed, Chevron, Procter & Gamble, ITT" , "ATT", "Texaco", "DuPont", "Exxon", "McDonel Douglas", "Kodak", "Levi Straus", "Mobile Oil "", ainsi que presque toutes les grandes banques et groupes financiers.
Sous le contrôle absolu du CFR se trouve le principal régulateur financier du monde occidental - la Réserve fédérale et la Bourse de New York. Tous les dirigeants de la Fed sont membres du Council on Foreign Relations et font régulièrement rapport au sommet du Council.
Les universités et les institutions scientifiques sont représentées au Conseil par leurs dirigeants et professeurs éminents. Des universités telles que Columbia, Harvard, Yale, Stanford, Californie et le Massachusetts Institute of Technology jouent un rôle particulièrement important dans les travaux du Conseil.
Le Council on Foreign Relations exerce un contrôle total sur tous les principaux médias de masse, et surtout sur la télévision.
Club Bilderberg.
L'émergence du Bilderberg Club est principalement associée à une tentative des élites judéo-maçonniques d'Europe de restreindre d'une manière ou d'une autre les prétentions américaines à diriger toute la politique mondiale, ce qui était assumé par le Council on Foreign Relations, à prédominance américaine. D'un autre côté, les politiciens américains étaient prêts à participer au Bilderberg Club, car ils espéraient influencer plus activement et directement «les pouvoirs en place» en Europe. Les véritables créateurs du Bilderberg Club étaient les agences de renseignement américaines. L'adhésion, en tant que telle, n'existe pas au Bilderberg Club. Chaque réunion se tient avec une composition sensiblement mise à jour. Néanmoins, il y avait une colonne vertébrale, un atout de ce club, qui réunit 383 personnes, dont 128, soit un tiers, sont américains, et le reste sont européens. Bien que ces derniers aient eu la possibilité de participer à la préparation d'importants décisions politiques, les élites judéo-maçonniques des États-Unis ont bénéficié le plus de la création du Bilderberg Club. En fait, le chef du Bilderberg Club, ainsi que du Council on Foreign Relations, est D. Rockefeller, le président officiel est l'Américain P. Carrington.
Les réunions du club se tiennent dans le plus grand secret, sur invitations spéciales, les dates de leur convocation ne sont pas annoncées dans la presse. L'organisation des réunions et la sécurité des participants sont assurées par le pays sur le territoire duquel se rassemblent les Bilderbergers - comme ils ont commencé à être appelés par le nom de l'hôtel Bilderberg dans la ville néerlandaise d'Osterbeek, où la première réunion du club a eu lieu en mai 1954.
Toute réunion des Bilderbergers, malgré le secret le plus complet, est d'un grand intérêt pour la communauté mondiale. Il est impossible de cacher l'arrivée en un seul endroit d'un grand nombre des personnes célèbres, y compris les présidents, les rois, les princes, les chanceliers, les premiers ministres, les ambassadeurs, les banquiers, les chefs de grandes entreprises. De plus, chacun d'eux est accompagné de tout un cortège de secrétaires, de cuisiniers, de serveurs, de téléphonistes et de gardes du corps.
Lors d'une réunion du Bilderberg Club en juin 1997, qui s'est tenue à la station balnéaire Renaissance Pine près de la ville d'Atlanta (États-Unis), la question de la création de trois centres administratifs de gouvernement mondial: européen, américain et pacifique a été discutée. A chaque fois, malgré un événement aussi important, la télévision et la presse occidentales ""libres et démocratiques"" ne donnent aucune information à ce sujet, ce qui indique clairement qui paie pour cette ""liberté"".
Commission trilatérale.
La création en 1973 de la Commission trilatérale est associée à une rivalité accrue entre les élites dirigeantes occidentales et à la puissance économique croissante du Japon. Dans les années 1960, des politiciens et des banquiers japonais, invités à des réunions séparées du Council on Foreign Relations, ont soulevé la question de la représentation de leurs intérêts dans le monde en coulisses. Tenant compte de ces nouveaux facteurs, après discussion au Conseil des relations étrangères, le monde en coulisse prend la décision de créer une organisation qui équilibrerait les intérêts des différents groupes d'influence des élites judéo-maçonniques du monde. Dans le cadre de cette décision, D. Rockefeller a chargé le juif polonais Z. Brzezinski de former la structure d'une nouvelle organisation qui réunirait les plus hauts dirigeants politiques et commerciaux de l'Occident. Poursuivant la lignée de misanthropes et de russophobes tels que P. Warburg, A. Dulles, D. Rockefeller, G. Kissinger, Z. Brzezinski est devenu le prochain idéologue du "nouvel ordre mondial". Le 3 mars 1975, Brzezinski a publié un discours dans le New York Magazine, décrivant son plan pour établir un nouvel ordre mondial. "Nous devons reconnaître", a déclaré ce haut responsable de la civilisation judéo-maçonnique, "que le monde d'aujourd'hui aspire à l'unité que nous avons longtemps souhaitée... Le nouveau monde prendra la forme d'une communauté mondiale.. Au début, cela affectera surtout l'ordre économique mondial "". Conspirateur maçonnique justifié la nécessité d'un leadership du monde dans les coulisses, qui, à travers le Fonds monétaire international et la Banque mondiale, influencera l'économie de la planète. ""Nous devons créer un mécanisme de planification globale et de redistribution à long terme des ressources (en faveur du monde occidental - OP)"". C'est cette orientation qui est devenue l'activité principale de la Commission trilatérale.
La Commission trilatérale a été créée en trois parties - Europe occidentale, Amérique du Nord (États-Unis et Canada) et Japon. En termes de nombre de membres, l'Amérique du Nord était la plus importante, avec 117 personnes (hors Canada), dont 32 personnes représentaient le président américain, le département d'État, le département de la Défense et le Congrès américain. Les sociétés et les banques américaines étaient particulièrement abondantes (47 personnes).
Du Japon, 84 personnes ont participé à la Commission trilatérale, principalement des chefs de grandes entreprises japonaises (Mitsubishi, Toyota, Toshiba, Sony, etc.) et des banques.
Les plus grandes délégations européennes de la Commission trilatérale étaient italiennes (26 personnes), françaises (22 personnes), allemandes (21 personnes), anglaises (19 personnes). La Belgique était représentée de manière disproportionnée par sa taille - 26 personnes ; au moins 30 % des membres de la Commission trilatérale étaient juifs.
Les décisions prises en coulisses par les membres de la Commission trilatérale sont devenues une sorte de loi pour les politiciens de tous pays de l'Ouest. Comme l'a écrit le sénateur américain B. Goldwater, la commission trilatérale de David Rockefeller est « la dernière cabale internationale », un mécanisme pour subordonner la politique américaine aux intérêts des banquiers internationaux.
La nomenclature du monde des coulisses et sa composition.
Le nombre total de dirigeants des quatre principales organisations dans les coulisses du monde est, selon mes calculs, pas moins de 6 000 personnes. Ce sont des membres du Council on Foreign Relations, de la Commission trilatérale, du Bilderberg Club et de la Fondation internationale. Cependant, il serait faux d'attribuer toutes ces personnes au gouvernement mondial. Notre étude montre qu'il n'y a pas plus de 500 personnes de ce type sur 6 000. Ce sont les personnes qui composent le sommet de toutes les organisations énumérées ci-dessus, qui ont un pouvoir énorme pour prendre solutions globales sur la politique internationale, l'économie et la culture. Les 5500 restants remplissent deux fonctions importantes : premièrement, ils sont une sorte de conseil pour le gouvernement mondial ; deuxièmement, l'infrastructure du pouvoir secret et de l'influence du gouvernement mondial en coulisse dans toutes les sphères de la vie humaine.
Bien sûr, le cercle des agents d'influence dans les coulisses du monde est beaucoup plus large. Il couvre non seulement les membres des principales organisations mondialistes eux-mêmes, mais aussi de nombreuses autres structures (je ne parle pas des organisations juives secrètes comme le "B'nai B'rith" et les loges maçonniques) créées ou contrôlées par le monde de l'envers. personnages de scènes. Il existe des dizaines de milliers de ces agents d'influence dans le monde. Aux États-Unis seulement, il existe plusieurs dizaines d'organisations proches du monde dans les coulisses.
Le monde des coulisses a créé une sorte de nomenclature du pouvoir, plus efficace et plus flexible que celle inventée par les bolcheviks juifs en URSS. Une personne qui est devenue membre de l'une des organisations du monde dans les coulisses assure une haute carrière politique ou commerciale à vie. Selon les conditions, il est muté du fauteuil du directeur de la banque au fauteuil du président d'une corporation ou d'un fonds spécial. Il est soutenu aux élections législatives. Il devient le dirigeant du syndicat ou le chef d'un magazine ou d'une société de télévision. Les personnalités les plus influentes du monde dans les coulisses sont celles qui sont simultanément dans ses trois principales organisations - CMO, BC et TC. Il n'y a que 23 personnes de ce type, parmi lesquelles D. Rockefeller, G. Kissinger, Z. Brzezinski, B. Clinton, D. Corrigan, Lord Winston, R. McNamara. Environ 150 membres du monde dans les coulisses sont simultanément dans deux organisations. Parmi eux, par exemple, le notoire D. Soros (membre du BK et du CFR), ainsi que le président de la célèbre société de télévision occidentale CNN W. Johnson (membre du CFR et du TC).
Les membres des organisations du monde dans les coulisses constituent la principale réserve de nomenclature pour la sélection des dirigeants des organisations internationales. Tous les représentants de haut rang des États-Unis et des pays occidentaux à l'ONU appartiennent au monde des coulisses. Au moins un membre du Council on Foreign Relations est répertorié comme une sorte de commissaire du monde dans les coulisses du secrétaire général de l'ONU au rang de son adjoint. Des membres de haut rang du monde dans les coulisses dirigent l'Organisation internationale du commerce et des tarifs douaniers (GATT) (P. Sutherland, membre du BC et du TC), la Banque mondiale (D. Wolfensohn, membre du BC et du CFR), le Fonds monétaire international, Banque européenne pour la reconstruction et le développement. Sous leur contrôle - la Cour internationale de justice de La Haye, le Comité Nobel. La destruction de l'État slave de Yougoslavie sous couvert de maintien de la paix a été menée par T. Stoltenberg, le chef de la commission de l'ONU, membre du Club Bilderberg et de la Commission trilatérale.
L'orientation anti-slave, anti-russe, anti-orthodoxe du monde en coulisses, clairement marquée dès le début des activités de leurs organisations, a créé toute une "" école "" de politiciens russophobes en coulisses . Sans exception, tous les ambassadeurs américains dans notre pays étaient partisans de la guerre froide contre la Russie et prônaient le démembrement de l'URSS. Tous, à commencer par les idéologues de la guerre froide D. Kennan et A. Harriman, étaient membres du Council on Foreign Relations.
De l'ancien pays socialistes les membres des principales organisations du monde dans les coulisses sont le ministre polonais des Affaires étrangères A. Olechowski (Club Bilderberg) et ex-président URSS M. Gorbatchev (Commission trilatérale). Cependant, l'adhésion de ce dernier à cette organisation n'a pas duré longtemps. Le monde des coulisses, l'ayant poussé à la trahison, n'a pourtant pas vraiment fait confiance au traître. La participation actuelle de Gorbatchev aux structures mondialistes (à l'exception du Forum mondial, dans lequel il joue un rôle clé) se réduit à des fonctions de consultant (informateur). Le même rôle est joué par les compagnons d'armes de Gorbatchev dans la destruction de l'URSS E. Shevardnadze, A. Yakovlev, G. Popov, A. Sobchak, G. Burbulis et des personnalités similaires. Cependant, leur temps est passé.
Aujourd'hui, une nouvelle cohorte d'agents d'influence occidentale et de traîtres à la Patrie joue un rôle particulier dans les activités des organisations mondialistes. Parmi eux se trouvent principalement des personnes ayant la double nationalité russo-israélienne. Jusqu'à récemment, toutes les personnalités clés du gouvernement criminel-cosmopolite d'Eltsine avaient ce statut - l'ancien Premier ministre S. Kirienko, les vice-Premiers ministres Chubais, Nemtsov, Urinson; ministres Yasin, Livshits, Berezovsky, ainsi que de nombreux autres hauts fonctionnaires de la Maison Blanche russe. Ces gens, obsédés par une haine pathologique de la Russie et une passion sans bornes pour le profit, se sentent dans notre pays les missionnaires du peuple "élu" et se comportent donc comme des envahisseurs israéliens en Palestine. La nature de leur mission est connue des Protocoles de Sion et ne nécessite pas beaucoup d'explications.
CFR - "Council on Foreign Relations" ("Council on Foreign Relations"), une organisation non gouvernementale officiellement fondée le 29 juillet 1921 à New York, un analogue du "Royal Institute of International Relations" britannique ("The Royal Institute des affaires internationales", RIIA) et la Commission trilatérale.
Les membres du CFR comprennent de puissants investisseurs de Wall Street, des banquiers, des dirigeants, des ministres, des avocats du lobbying, des propriétaires de médias, des présidents et des professeurs d'université, des juges fédéraux et suprêmes, des généraux de l'OTAN et du Pentagone.
Les réunions du "Conseil des relations étrangères" se tiennent à huis clos, vous ne pouvez entrer dans le Conseil que sur invitation spéciale. Le CFR publie Foreign Affairs, l'un des périodiques économiques et politiques les plus réputés au monde. Le siège social de CFR est situé à Harold Pratt House, 58 East 68th Street, New York.
Au début du XXe siècle, les membres du CFR étaient John Pierpont Morgan, son représentant autorisé, le millionnaire John William Davis (le premier président du Conseil), Henry P. Davison, Thomas Tucker, Harold Swift, Averell Harriman, John Foster , Alain Dulles, Thomas Lamont, Paul Cravat , Paul Warburg (fondateur du Federal Reserve Service), Mortimer Schiff, Russell Löfingwell.
Le CFR était parrainé par la famille Morgan, John Rockefeller, Bernard Baruch, Jacob Schiff, Otto Kann, Paul Warburg. Aujourd'hui, le Conseil est soutenu par les géants industriels Xerox, General Motors, Bristol-Meyers Squibb, Texaco, German Marshall Fund, McKnight Foundation, Dillion Fund, Ford Foundation, Andrew W. Mellon Foundation, Rockefeller Brothers Fund, Starr Foundation, Pew Charitable Trusts. …
Le Council on Foreign Relations a des bureaux dans toutes les grandes villes, où des dîners formels sont organisés périodiquement.
Formellement, le CFR est considéré comme une organisation qui n'apporte pas de profit en soi, mais en diffusant des valeurs humanistes, il contribue au développement de toute la société, les membres du Conseil améliorent la politique mondiale en échangeant des idées et des pensées. Image parfaite, non ? Mais les opposants au CFR sont convaincus que les activités illégales, immorales et inconstitutionnelles sont plus faciles à dissimuler précisément avec de nobles motifs, tandis que les véritables buts et objectifs du Conseil sont cachés aux regards indiscrets.
Anthony Sutton (économiste, historien) : « Beaucoup d'universitaires, d'hommes politiques, d'hommes d'affaires ne sont même pas conscients des véritables missions du Conseil. À l'intérieur du CFR, il y a sa propre élite, qui détermine unilatéralement la politique des États-Unis. Son objectif principal est d'établir un contrôle sur les marchés de vente des produits et d'accroître puissance économique clans oligarchiques.
L'ancien agent du FBI Dan Smoot : « Diriger le gouvernement secret est sans aucun doute une sinistre minorité privilégiée. Tous les autres sont des gens ordinaires et ambitieux. Le CFR ne s'arrêtera pas tant qu'il n'aura pas créé un système socialiste mondial, une dictature tyrannique dominée par les entreprises et les banques."
De nombreux citoyens bien connus, riches et exceptionnels, rejoignant le Council on Foreign Relations, n'approuvent souvent pas ou même ne soupçonnent pas les véritables plans de l'organisation, devenant involontairement des pions entre les mains de manipulateurs expérimentés.
Le CFR est rarement mentionné dans les médias. Ce n'est pas surprenant, car les dirigeants du New York Times, du Washington Post, du Los Angeles Times, du Knight Newspaper, de NBC, de CBS, de Time, Life, Fortune, Business Week, US News, World Report sont membres du Conseil. .
La situation est compliquée par le fait qu'il n'y a pas de comité autoritaire du Congrès américain capable de défier le Conseil en initiant un audit des activités du CFR et de ses sponsors. Selon les experts, le "Council on Foreign Relations" a repris le Département d'État américain (US Department of Foreign Affairs) dès 1939.
L'amiral Chester Ward, ancien juge-avocat général de la marine américaine qui a été membre du CFR pendant plus de 20 ans, a écrit dans Kissinger on the Couch : « Il a longtemps été décidé par l'élite dirigeante du Conseil que la politique de l'armée américaine Le gouvernement devrait soutenir l'établissement d'un nouvel ordre mondial créé par les banquiers et discréditer toute opposition. Le CFR ne s'arrêtera pas tant qu'un gouvernement mondial unifié ne sera pas créé, et « l'indépendance » déclarée des citoyens américains ne pourra pas interférer avec lui.
Le 11 novembre 1918, Woodrow Wilson et son conseiller, le colonel House, arrivèrent en Europe dans l'espoir d'y établir un gouvernement mondial sous la forme d'une sorte d'union des peuples.
Compte tenu de cela, en 1919, House rencontra des membres de la British organisation secrète"Table ronde". Puis il est devenu évident que pour y parvenir but ultime l'ensemble du système doit être considérablement étendu. Après que le RIIA ait déjà été établi en Angleterre, il a été immédiatement conclu qu'une organisation ostentatoire similaire devrait également être établie aux États-Unis.
Lors d'une conférence de paix à Paris en 1919, le colonel House, qui agissait en tant que maître du groupe de la table ronde, rassembla les têtes les plus brillantes du Wilson's Brain Trust pour former un groupe qui devait traiter des problèmes de relations internationales.
Puis ce groupe revint de Paris à New York, et devint en 1921 le "Council on Foreign Relations" (CFR). Le CFR était composé d'Américains et, comme le RIIA, avait le groupe "Round Table" comme noyau de la organisation. De nos jours, le CFR, avec la "Commission trilatérale", est l'organisation la plus puissante en coulisses aux États-Unis. Tout comme le CFR avec le groupe " Table ronde"derrière la J.P. Morgan & Co. Bank". Ainsi, il n'est pas du tout surprenant que J.P. Morgan lui-même ait joué un rôle très important dans sa fondation. Le "Inner Circle" du CFR est l'Ordre du "Skull and Bones" .
Août 1978, W Magazine cite le président du CFR, Lord Winston, disant : « La Commission trilatérale ne gouverne pas le monde en secret. C'est ce que fait le Council on Foreign Relations.
Les projets du Conseil sont financés par des fonds spéciaux (les principaux sont Rockefeller et Carnegie), qui sont totalement exonérés de payer des impôts au niveau fédéral !
Les membres du CFR n'ont d'estime pour personne, les États-nations, les constitutions et les frontières sont considérés comme obsolètes par eux, ils aspirent à unir tous les courants philosophiques et principes politiques contrôler les masses ensemble, créant un Nouvel Ordre Mondial, à la tête duquel se tiendront les Insiders et leurs alliés.
Aujourd'hui, le Council on Foreign Relations poursuit la mise en œuvre de son plan. Le gouvernement secret est un acteur puissant dans l'arène politique de l'Amérique et de la planète entière. Il contrôle les fonctionnaires, les médias, mène une propagande massive par tous les moyens connus, contrôle le Congrès américain et les masses philistines.
17 février 1950 James Warburg : « Que vous le vouliez ou non, un gouvernement mondial sera créé. Si l'humanité n'est pas d'accord volontairement, il faudra la forcer.
Fondée en 1921 (après des tentatives en 1918), bureaux à New York et Washington. Idée et organisation - Warburg (fondateur), assistant du président Woodrow Wilson, Colonel House, etc.
Capture d'écran du site officiel de l'organisation.
Le Conseil est considéré comme un outil influent dans la politique étrangère des États-Unis. Cependant, il existe également une opinion selon laquelle le CFR détermine la politique étrangère américaine en désignant (identifiant) les principales menaces pour les années à venir.
- Bimensuel publie le magazine Foreign Affairs.
- Des informations publiques sur les activités du conseil sont disponibles sur cfr.org, avec des programmes de recherche, d'autres projets, des publications, des biographies de dirigeants et d'autres membres du conseil.
Opinion: beaucoup d'argent est arrivé pouvoir suprême USA - la présidence - Wilson était entre leurs mains. Ensuite, ils ont élargi leurs zones d'influence. Y compris via le CFR.
L'organisation a des objectifs très positifs : l'amélioration de la politique mondiale, relations internationales. Avec une énorme influence, le CFR peut contribuer à la paix, une considération raisonnable des intérêts.
CFR dans la théorie du complot
- Tout ce qui est écrit dans ce chapitre n'est que spéculation, idées, observations de personnes bienveillantes. Peut-être erroné.
- Le CFR promeut l'hégémonie des plus grands clans industriels financiers (représentés par les entreprises et les banques) sur les marchés du monde, sur les gouvernements des pays - dans sa manifestation la plus radicale.
- Les propriétaires et éditeurs des médias américains les plus influents sont membres du CFR. Habituellement, la liste ressemble à ceci : New York Times, The Washington Post, Los Angeles Times, NBC, CBS, Time, Life, Fortune, Business Week.
- Le CFR a créé un système où il se tient au-dessus du Congrès et du Département d'État en tant qu'organisation non gouvernementale.
- La situation est compliquée par le fait qu'il n'y a pas de comité autoritaire du Congrès américain capable de défier le Conseil en initiant un audit des activités du CFR et de ses sponsors. Selon les experts, le "Council on Foreign Relations" a repris le Département d'État américain (US Department of Foreign Affairs) dès 1939.
- L'objectif principal du CFR est un gouvernement mondial unique. Philosophie d'un nouvel ordre, un monde sans frontières.
- Les projets du Conseil sont financés par des fonds spéciaux Rockefeller et
Council on Foreign Relations (CFR)_ la plus grande organisation au monde
dans les coulisses, réunissant les personnalités les plus influentes des États-Unis et du monde occidental : d'anciens
et actuels présidents, ministres, ambassadeurs, hauts fonctionnaires,
banquiers et financiers de premier plan, présidents et présidents de conseils d'administration
sociétés et entreprises transnationales, directeurs d'universités (y compris
professeurs renommés), les médias (y compris les grands
journalistes et observateurs de télévision), membres du Congrès, juges de la Cour suprême,
commandants des forces armées en Amérique et en Europe, généraux de l'OTAN,
fonctionnaires de la CIA et d'autres agences de renseignement, membres de l'ONU et de grands
organisations.
Le CMO a été fondé en 1921 par des dirigeants d'organisations juives et
Loges maçonniques américaines participant à la Conférence de paix de Paris. Ces
Les conspirateurs maçonniques cherchaient de nouvelles formes d'influence sur les peuples du monde et
renforcer l'influence américaine sur la politique mondiale.
A l'origine du CFR se trouvent les figures juives de la "Round Table Society",
transformé en mai 1919 à Paris en Institut des relations internationales
avec des succursales en France, en Angleterre et aux États-Unis. Ce dernier est devenu organisationnel
base du Council on Foreign Relations.
Création du Council on Foreign Relations comme une ombre, dans les coulisses
l'organisation politique s'est faite parallèlement à la construction
structures d'une organisation internationale ouverte, la Société des Nations.
Parallèlement, jusqu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale, le rôle du SMO était
relativement limité, il y avait une certaine désunion et
incohérence dans les activités des organisations juives et des loges maçonniques.
Les organisations secrètes ont été déchirées par une lutte sérieuse pour le pouvoir et la division de l'influence.
Sauf ce qui précède, les politiciens européens étaient préoccupés par les revendications hégémoniques américaines.
La situation a changé en 1947 avec l'intensification de la guerre froide de l'Occident contre
Russie. Dans la ϶ᴛᴏème guerre, les États-Unis ont pris la tête. Dans les nouvelles conditions, le Conseil pour
les relations internationales sont progressivement devenues la principale stratégie
central pour la conduite de la guerre froide de l'Occident contre la Russie. C'était dans la période ϶ᴛᴏt en
Les membres du Conseil comprenaient de nombreux généraux du Pentagone et de l'OTAN, des personnalités de la CIA et
autres agences de renseignement. Initiative de frappe nucléaire sur la Russie
développé dans les murs du SMO, et dans ses rangs se trouvaient tous les plus importants
dirigeants et idéologues des activités subversives contre notre pays : de A.
Dulles (président du CFR, 1946-1950, et avant, 1933-1944, secrétaire du CFR),
Baruch, Morgenthau à G. Kissinger (directeur CMO, 1977-1981),
Z. | Brzezinski (Directeur du SMO, 1972-1977) et R. Pipes. Dans la guerre froide
contre la Russie, les chiffres du Council on Foreign Relations
identifié les intérêts nationaux des États-Unis avec les intérêts de l'État
l'Europe occidentale, liant la politique étrangère de cette dernière à l'hégémonie
aspirations des États-Unis.
Le système de gestion de la ϶ᴛᴏème organisation mondialiste est construit sur le principe
corporation_ d'une part le président et le vice-président, d'autre part_
président et plusieurs vice-présidents. A noter que les travaux en cours sont en cours
directeur général et secrétaire aux pouvoirs étendus. outre
directeur exécutif, il y a un certain nombre de simples administrateurs,
responsable d'un certain domaine de travail (il y a plus de 30_
ϲᴏᴏᴛʙᴇᴛϲᴛʙno et administrateurs) Trésorier et
directeur de recherche.
Le premier président du Conseil était un maçon du plus haut degré_ D. Davis, et
parmi les premiers administrateurs figuraient des politiciens juifs aussi éminents que P.
N'oubliez pas que Warburg, O. Kahn, I. Bauman, V. Shepardson, E. Gay (en même temps secrétaire),
P. Cravat. Depuis 1933, le dernier ϶ᴛᴏ comme secrétaire a été remplacé par le futur
fondateur et directeur de la CIA Allen Dulles, en poste depuis 1927
l'un des directeurs du CMO.
Le développement ultérieur du Council on Foreign Relations se déroule sous
signe de la star Allen Dulles, qui devient son personnage clé dans
l'organisation du travail et les méthodes d'activité.
Cumulant les postes de secrétaire et un
des administrateurs, A. Dulles depuis 1944 vice-président, et de 1946 à 1950
Président de l'OCM. Même après être passé au poste de directeur de la CIA, Dulles ne quitte pas
ϲʙᴏson siège d'administrateur au Conseil jusqu'à son décès. Être
Vice-président du Conseil, A. | Dulles secrètement de l'URSS négocie
paix séparée avec les représentants de l'Allemagne fasciste, en comptant
d'accord avec eux sur une lutte commune contre le peuple russe. Immediatement
après la guerre, étant déjà président, Dulles à l'une des réunions du Conseil
proclame une nouvelle doctrine de subversion contre la Russie :
«La guerre finira, d'une manière ou d'une autre, tout se calmera, se calmera. Et nous laisserons tout tomber
ce que nous avons, tout l'or, toute l'aide matérielle ou les ressources pour le lavage de cerveau
et tromper les gens.
Le cerveau humain, la conscience des gens sont capables de changer. Semer là-bas
chaos, nous remplacerons discrètement leurs valeurs par de fausses et les forcerons à entrer dans les données
fausses valeurs à croire. Comment? Nous trouverons ϲʙᴏ leurs personnes partageant les mêmes idées, ϲʙᴏ leurs
assistants et alliés en Russie même.
Épisode après épisode, un grandiose par son ampleur va se jouer.
la tragédie de la mort des personnes les plus récalcitrantes de la terre, la finale,
perte irréversible de la conscience de soi. De la littérature et de l'art, nous
par exemple, on va progressivement éradiquer leur essence sociale, sevrer les artistes,
nous les découragerons de s'engager dans l'image, la recherche, ou quelque chose, ceux
processus qui se déroulent au plus profond des masses. littérature, théâtre,
cinéma_ tout le monde dépeindra et glorifiera l'humain le plus vil
les sens. Nous soutiendrons et augmenterons de toutes les manières possibles la soi-disant
des artistes qui planteront et marteleront la conscience humaine
culte du sexe, violence, sadisme, trahison_ en un mot, tout
immoralité. Au gouvernement, nous allons créer le chaos et
confusion...
L'honnêteté et la décence seront ridiculisées et personne n'aura besoin,
devenir une relique du passé. L'impolitesse et l'arrogance, les mensonges et la tromperie,
ivresse, toxicomanie, peur animale les uns des autres et impudeur,
trahison, nationalisme et inimitié des peuples_ tout ϶ᴛᴏ nous planterons
intelligent et subtil...
Nous allons secouer ainsi génération après génération... Nous allons
affronter les gens depuis l'enfance, la jeunesse, nous serons toujours le pari principal
faire sur la jeunesse, corrompre, corrompre, corrompre. Nous ferons
parmi eux des espions, des cosmopolites. C'est ainsi que nous ferons ϶ᴛᴏ""+r003a- 7+v003a-.
Depuis les années 1950, David est progressivement devenu le nouveau personnage clé du CFR.
Rockefeller. Directeur CMO depuis 1949, vice-président depuis 1950, président
depuis 1970, D. Rockefeller est devenu la principale figure de coordination de l'ensemble
les coulisses de miov, ayant du pouvoir, qui, en fait, n'en rêvaient même pas
présidents américains. Le pouvoir et l'influence de Rockefeller ont augmenté à mesure que
développer les activités du monde dans les coulisses en créant de nouveaux
organisations mondialistes_ Bilderberg Club et la Commission trilatérale.
En 1962, Rockefeller a parlé à l'Université de Harvard avec un programme
conférence publique ""Le fédéralisme et l'ordre mondial ϲʙᴏ"", dans laquelle
a préconisé la création d'un État mondial dirigé par un seul
gouvernement fédéral. Dans ϲʙᴏ leurs constructions, il s'est appuyé sur les idées
""Founding Fathers"" américains, qui ont mis en avant ""universel
principe "", capable d'unir le monde entier en un tout.
Au milieu des années 80, D. Rockefeller comme président et Lord Winston comme
le président du CFR est remplacé par de nouvelles personnalités. Le président du SMO devient
l'éminent industriel juif et personnalité publique P. Peterson, et
président_ célèbre franc-maçon J. Swing (depuis 1993, ϶ᴛᴏ a pris la place
chroniqueur du New York Times, Jew L. Gelb) Rockefeller lui-même est toujours
demeure le maître invisible de toutes les structures mondialistes, coordonnant et
guider leurs activités.
Environ 60 % de tous les membres et jusqu'à 80 % des dirigeants du Council for International
relations sont des personnes de nationalité juive. Matériel publié sur http: // site
Presque tous les membres
Les CMO appartiennent à des loges maçonniques ou à des clubs comme le "Rotary".
Il n'y a pas de prêtres chrétiens au Concile, mais ils sont abondamment représentés
rabbins, par exemple Herzberg (synagogue Emmanuel), L. Leviveld, A. Schneier
(président honoraire du Congrès juif mondial), et
Président de la Zion House for Pensioners L. Sullivan. Il est important de noter que l'un des remarquables
les sièges au Conseil sont occupés par le chef de la loge maçonnique juive mondiale
"B'nai B'rith" G. Kissinger. Solutions en faveur d'Israël et des Juifs
les organisations sont automatiquement horripilées par la direction du CMO. Comment
note des témoins, réunions du Council on Foreign Relations le
le caractère des participants rappelle les congrès du Congrès juif mondial.
Le Council on Foreign Relations regroupe aujourd'hui tous les acteurs politiques,
l'élite économique et culturelle des États-Unis. Tous majeurs et
multinationales du monde occidental : General Motors, Boeing,
General Electric, Chrysler, Xerox, Coca-Cola, Johnson
et Johnson, Dow Chemical, Shell, IBM, Lockheed, Chevron,
Procter & Gamble, ITT, ATT, Remarque Texaco, DuPont, Exxon,
"McDonel Douglas", "Kodak", "Levi Straus", "Mobile Oil" et
presque toutes les grandes banques et groupes financiers.
Sous le contrôle absolu du SMO se trouve le principal régulateur de la finance
Monde occidental_ La Réserve fédérale et la Bourse de New York.
Tous les dirigeants de la Fed sont membres du Council on Foreign Relations et
faire régulièrement rapport au sommet du Conseil. Banque de réserve fédérale
New York, la Réserve fédérale elle-même et ses constituants
parties principales_ Boston, Atlanta et Cleveland, dirigées par
les plus grands fonctionnaires du SMO.
Les universités et les institutions scientifiques sont représentées au Conseil par
dirigeants et professeurs de premier plan. Rôle particulièrement important dans le travail
Le Conseil est joué par des universités telles que Columbia, Harvard, Yale,
Stanford, Californie et Massachusetts Institute of Technology
institut.
Le Council on Foreign Relations exerce un contrôle total sur tous les principaux
les médias de masse, et notamment la télévision. Membres du Conseil
les dirigeants de CNN, NBC, CBS, Free Europe,
USIA, The New York Times, Newsweek, N'oubliez pas que The Washington Post, Yu. S. Nouvelles et
rapport mondial", "Christian Science Monitor", "Reader's Digest", "Time"",
"Wall Street Journal", "Offres étrangères", "Associated Press" et
grands éditeurs et l'Association of American Publishers.
Le siège du Council on Foreign Relations est situé à
New York, à l'angle des 58e et 68e rues, dans un immeuble qui porte le nom du célèbre
Chef maçonnique Harold Pratt. Juste en face du siège du monde des coulisses
le consulat russe (ex-soviétique) est situé.
Dans une émission de télé-réalité, NBC a poussé des ministres en exercice et d'anciens ministres pour simuler leur réaction en cas de nouvelle attaque terroriste. Pour reconstituer les conditions réelles, les officiels sont assistés par des dirigeants du CFR qui les conseillent en direct.
Pendant la Première Guerre mondiale, le président Woodrow Wilson nomme le journaliste de pointe Walter Lippmann au poste de secrétaire adjoint à la Défense. Il est chargé de mettre en place un groupe secret de 125 des meilleurs professeurs de l'université, appelé "The Inquiry", pour étudier les possibilités de répandre le libéralisme dans le monde sous le couvert de la Première Guerre mondiale. Lippman travaille en étroite collaboration avec le conseiller spécial du président, le colonel Edward Mandell House. Ils préparent un rapport final intitulé The Buts of War and the Conditions of Peace. Il servira de base à de célèbres quatorze points Wilson.
Ce mouvement est souvent défini comme idéaliste (faire du bien à l'Humanité sans qu'elle le sache) par opposition au réalisme (protéger ses propres intérêts sans se soucier des grands principes). Essentiellement, Wilson fait les deux : il a l'intention d'étendre la démocratie, mais se réserve le droit de conquérir le Mexique ou d'annexer Haïti. Aujourd'hui, les néoconservateurs appellent à suivre cette tradition : ils veulent démocratiser le Moyen-Orient tout en bombardant simultanément l'Afghanistan et l'Irak.
À la fin de la Première Guerre mondiale, Wilson se rendit en Europe pour participer personnellement à la conférence de paix de Versailles. Il est accompagné de cinq assistants personnels, parmi lesquels le colonel House, qui emmène avec lui 23 membres de l'équipe d'enquête. La délégation américaine impose sa méthodologie de travail aux partenaires : ils interdisent de discuter des accords de paix tant que les pays n'auront pas déterminé ce que sera ce monde. Elle partage également ses plans pour créer un monde ouvert au commerce sans restrictions ni réglementations douanières. En fait, ces plans reflètent ce qu'on appellera plus tard la mondialisation. Elle prône également la création de la Société des Nations, dont le but serait d'empêcher les guerres. Ce projet a été largement corrigé par les Européens, et finalement rejeté par le Congrès américain, qui a ainsi exprimé sa désapprobation envers Wilson.
Les délégations britannique et américaine décident de créer une Académie en dehors de la Conférence de paix, qui réunirait les deux États. Son objectif serait de poursuivre les activités de l'Enquête, ce qui contribuerait au développement d'une vision commune à long terme dans le domaine de police étrangère. Finalement, cet Institut anglo-américain des affaires étrangères s'est scindé en deux départements indépendants, l'un basé à Londres et l'autre à New York.
Pendant ce temps, le secrétaire d'État Elihu Root, qui a orchestré les invasions de Cuba, du Honduras et de la République dominicaine et malgré cela a reçu prix Nobel world, organise pour sa part le Council on Foreign Relations (Council on Foreign Relations - CFR). L'organisation ne fonctionnait pas correctement, malgré le fait qu'elle se composait d'une centaine de personnes. L'enquête a décidé de s'associer au CFR pour créer le côté américain du mécanisme. Pendant ce temps, les Britanniques installent leur Royal Institute for International Affairs (RIIA) à Chatham House.
Les règles de fonctionnement du CFR et de Chatham House sont les mêmes que dans toutes les institutions de recherche : les participants sont encouragés à travailler sur des objectifs assignés en dehors de l'organisation et sous des noms d'emprunt. De plus, à cette époque, seuls les hommes citoyens des États-Unis et de Grande-Bretagne pouvaient travailler au CFR et à Chatman House. Mais le caractère des deux organisations s'est développé différemment dans la Grande-Bretagne à l'esprit impérial et dans les États-Unis isolationnistes. Ces différences se retrouvent dans les titres des magazines qu'ils produisent : affaires étrangères appartenait au CFR, et Les affaires internationales- RIA. Au cours de la période qui a précédé la Seconde Guerre mondiale, le personnel du CFR à New York est passé de 300 à 663. Il y avait des représentants de tous courants politiques, bien sûr, à l'exception des isolationnistes. Le CFR est généreusement financé par des donateurs privés, en particulier le Carnegie Endowment, et non par le gouvernement fédéral, dont il est consultant. Des succursales CFR ouvrent dans 8 autres grandes villes américaines.
Vers la fin des années 30. Le conseil n'est pas d'accord sur la position à adopter face au militarisme japonais et au fascisme allemand. À cette fin, le directeur du CFR Hamilton F. Armstrong et le secrétaire Allen W. Dulles publient un article court mais retentissant. Peut-on rester neutre ?. Depuis l'invasion de la Pologne en 1939, soit deux ans avant La maison Blanche a décidé d'entrer en guerre, le CFR a commencé à étudier les objectifs de la guerre. Le travail d'expert se poursuivra jusqu'à la fin des hostilités. Des centaines de scientifiques compilent un recueil pour le Département d'État Études sur la guerre et la paix, composé de 682 rapports. La recherche est financée par la Fondation Rockefeller : ces paiements atteignent le montant de 350 mille dollars. La compilation servira de base à la convocation des Conférences de Dumbarton Oaks et de San Francisco (création de l'ONU).
A la fin des hostilités, Alain Dulles, qui avait servi dans l'OSS pendant la guerre, est nommé président du CFR. La première initiative du Conseil est d'utiliser les résultats de la guerre pour plaire à l'administration Truman. Cette fois, la coupe de la patience déborde. D'éminents historiens protestent contre la monopolisation de la recherche historique par un club d'intérêt privé contrôlé par le gouvernement fédéral. Le CFR est, en fait, la seule institution ayant accès aux documents gouvernementaux et la capacité d'écrire l'histoire officielle sans crainte de rétractation.
Le nombre d'employés du CFR ne cesse de croître et atteint rapidement le nombre de milliers de personnes. Afin d'inclure des représentants de toutes les couches de la société, les dirigeants du CFR décident d'inclure des personnes moins aisées : les dirigeants syndicaux de la Fédération américaine du travail-Congrès des syndicats industriels (« AFL/CIO »). En fait, l'article a été écrit par l'ambassadeur George F. Kennan à son retour de Moscou. Il croit que le communisme poursuit des objectifs expansionnistes dans sa politique et assure qu'il constituera bientôt une menace encore plus grande que IIIe Reich. Une sorte de paranoïa s'empare du Conseil, dont beaucoup de collaborateurs interprètent à tort l'article comme l'annonce d'une attaque militaire imminente de Union soviétique. Quoi qu'il en soit, Harry S. Truman confie à Kennan le développement Loi sur la sécurité nationale, qui instaure le système des services secrets de l'État (état-major interarmes, opérant en permanence dans Temps paisible, la CIA et le Conseil de sécurité nationale). Naturellement, des gens du CFR arrivent aux postes de direction de ces services secrets, notamment Dean Acheson (Dean Acheson), Charles Bohlen (Charles Bohlen), Averell Harriman (Averell Harriman), Robert Lovett (Robert Lovett) et John McCloy. En conséquence, ces institutions utilisent le CFR pour empêcher le retour de l'isolationnisme et mobiliser l'élite de la société en faveur du plan Marshall.
Pendant ce temps, les changements initiés par l'administration Truman lorsque Kennan a été remplacé par son adjoint, Paul Nitze, et lorsque guerre froide va du simple politiques de confinementà la confrontation indirecte, sont une réaction au premier essai de bombe atomique de l'Union soviétique. Ces changements sont effectués sans la participation du CFR. Dans les années 50. Le Conseil travaille sur une doctrine nucléaire. A ces fins, en 1954 et 1955, des groupes de travail sont créés. Les réunions de ces groupes sont dirigées par un jeune professeur proche du complexe militaro-industriel, Henry A. Kissinger. Après que la Chine ait testé la bombe atomique en 1964, le CFR a commencé à plaider pour le maintien d'une politique d'ouverture avec ce pays. Richard Nixon approuve ce concept et le signale dans le journal affaires étrangères. Par la suite, il sera mis en œuvre par le secrétaire d'État de son administration - Kissinger.
C'est à cette époque que la Fondation Ford devient également mécène du CFR qui engage de brillants professeurs d'université : Zbigniew Brzezinski et Stanley Hoffman. Comme dans le cas de la Seconde Guerre mondiale, à la fin de la guerre du Vietnam, le CFR écrit son histoire "officielle", signée par 22 personnalités très influentes. Comme en 1945, l'élite américaine décide elle-même quels crimes doivent être reconnus et justifiés, et lesquels doivent être cachés et oubliés. Nixon est viré, et tous les autres prétendent avoir appris du passé pour pouvoir tourner la page et déclarer à nouveau leur intention de suivre la bonne volonté. David Rockefeller de la Chase Manhattan Bank (qui deviendra plus tard JP Morgan Chase) devient président du CFR en 1970. Il ouvre timidement l'accès au Conseil aux femmes et recrute de jeunes cadres. Il crée également un poste de directeur exécutif qui fait confiance à l'ancien secrétaire d'État de Carter, Cyrus R. Vance, et un conseil consultatif international avec la France représentée par Michel Rocard et le Canada par Brian Muroney.
Après l'effondrement de l'Union soviétique, le CFR définit la nouvelle ligne politique du pays en publiant dans relations étrangères L'article de Samuel Huntington « Le choc des civilisations » « La guerre des civilisations ; Guerre des civilisations, Thierry Meyssan, Voltaire, 4 juin 2004.]].
Séance de travail au Council on Foreign Relations. L'actuel président du Council on Foreign Relations est l'ancien conseiller diplomatique du président Bush, Art. Richard N. Haass, qui sous Bush Jr. est devenu l'adjoint de Colin L. Powell. Il est considéré comme l'un des mentors de Condoleezza Rice. Le président du CFR est Peter G. Peterson, un banquier proche de la famille Bush. Le financement annuel du Conseil, fourni par plus de 200 entreprises multinationales, se traduit par plus de 7 millions de dollars. Il compte 4 200 employés et 50 chercheurs. Magazine affaires étrangères vendu dans le monde entier et tiré à 125 000 exemplaires. Depuis 60 ans, le CFR élabore des stratégies à long terme pour le Département d'État, établissant un consensus au sein de l'élite américaine (à l'exception des représentants de la conception isolationniste) en dehors de tout contrôle démocratique. En fonction des intérêts particuliers de ses membres, le Conseil déterminait les buts de tous les conflits dans lesquels les États-Unis s'engageaient. Dans ce système, la guerre ne rentre pas dans la formule " poursuite de la politique par d'autres moyens» Clausewitz, mais c'est une manière de promouvoir le marché libre. En parallèle, la Rand Corporation, en tant que conseiller du ministère de la Défense, définit des stratégies de guerre. Le CFR a également élaboré un accord histoire nationale qui propage le mythe de l'altruisme de l'interventionnisme et rejette la souffrance que les États-Unis ont infligée au reste du monde. CFR s'engage enfin dans la distribution d'American modèle politique en attirant des dirigeants d'autres États dans ses rangs.