18 juillet 2013
Le programme HAARP (High Frequency Active Auroral Research) - la curiosité de nombreux théoriciens du complot - a pris fin. Responsable du programme HAARP, docteur james Keeney de la base aérienne de Kirkland au Nouveau-Mexique a déclaré à l'ARRL que le centre de recherche sur l'ionosphère de l'Alaska était fermé depuis début mai.
« L’installation est actuellement fermée », a-t-il déclaré. « C'est une question d'argent. Nous ne les avons pas." Keene a déclaré qu'il n'y avait personne dans l'installation, les routes menant à l'installation sont fermées, les bâtiments sont déconnectés de l'alimentation électrique et scellés. Le site Web HAARP via l'Université d'Alaska n'est plus disponible - Keeney dit que le programme ne peut pas se permettre de payer pour le service. « Tout se déroule selon un calendrier sûr », dit-il, ajoutant que tout restera dans cette position pendant au moins les 4 à 6 prochaines semaines.
HAARP a annoncé au monde qu'il serait fermé il y a deux ans s'il n'était pas adopté dans le budget 2015 exercice fiscal mais, comme le dit Keeney, "personne n'y a prêté attention".
Le seul point lumineux à l'horizon pour HAARP en ce moment est l'espoir que la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) devrait terminer certaines de ses recherches là-bas à l'automne ou à l'hiver. L'agence DARPA dans le budget de l'exercice 2014 a alloué environ 8,8 millions de dollars à la recherche "des aspects physiques des phénomènes naturels tels que les tempêtes magnétosphériques, les incendies, la foudre et les phénomènes géophysiques".
Cofinancé par l'US Air Force Research Laboratory et l'US Navy Research Laboratory, HAARP fait l'objet de recherches ionosphériques.
Dans l'état actuel des choses, HAARP appartient à l'Air Force, mais si aucune agence n'est disposée à s'occuper de HAARP, l'installation unique, dit Keeney, sera démantelée. Il dit que raser les structures serait moins cher que de retirer 180 éléments d'antenne.
Quelle est cette théorie du complot HAARP qui habite le web ? Et je vais vous le dire maintenant.
De nouveaux principes physiques, en règle générale, sont connus et décrits dans les manuels, mais cette « nouveauté » même est due à la primauté de l'utilisation d'« effets », de « propriétés » ou de « régularités » dans de nouveaux types de technologies ou de matériaux à des fins militaires. finalités (biologiques, chimiques, psychotroniques, informationnelles, géophysiques, etc.).
Route vers HAARP
L'exploration de l'ionosphère a commencé avec quelques auditeurs étonnés de la radio. En 1933, un habitant de la ville néerlandaise d'Eindhoven tenta de capter une station de radio située à Beromünster (Suisse). Soudain, il entendit deux stations. Le deuxième signal - en provenance d'un puissant émetteur luxembourgeois - n'avait jamais été diffusé sur cette fréquence auparavant, son onde était à l'autre bout de l'échelle ; et pourtant dans ce cas le signal se superposait à la station suisse.
L'effet Luxembourg, comme on l'appela plus tard, n'est pas resté longtemps un mystère. Un scientifique danois nommé Tellegen a découvert que la modulation croisée des signaux radio était le résultat de l'interaction des ondes causée par la non-linéarité des caractéristiques physiques de l'ionosphère.
Plus tard, d'autres chercheurs ont découvert que les ondes radio à haute puissance modifiaient la température d'une section de l'ionosphère et la concentration de particules chargées dans celle-ci, ce qui affectait un autre signal passant par la section modifiée. Les expériences sur l'interaction des faisceaux d'ondes radio ont duré plus de 30 ans. En fin de compte, il a été conclu que le rayonnement directionnel puissant provoque une instabilité dans l'ionosphère. Depuis lors, le principal instrument des scientifiques est devenu un émetteur avec un réseau d'antennes, appelé support chauffant (ci-après, le terme utilisé dans sciences domestiques, comme équivalent de l'anglais "ionospheric heat").
En 1966, des experts de la Penn State University - un pionnier dans ce domaine scientifique - ont construit un support chauffant de 500 kilowatts avec une puissance rayonnante effective de 14 kW à proximité du campus. En 1983, l'émetteur et le réseau d'antennes ont été déplacés du Colorado vers l'Alaska, à 40 km à l'est de Fairbanks.
Les radiophysiciens sont à l'origine des armes géophysiques modernes. Il s'agit du système américain HAARP (High Frequency Active Auroral Research Program). Une caractéristique distinctive de la nouvelle arme géophysique est l'utilisation de l'environnement proche de la Terre en tant qu'élément constitutif et objet d'impact destructeur sur les adversaires.
Les premiers tests des nouvelles armes radiophysiques et géophysiques américaines dans le cadre du programme HAARP montrent ses grandes capacités. Le système, qui augmente sa puissance, permet de bloquer les communications radio, de désactiver les équipements électroniques embarqués des fusées, des avions et des satellites spatiaux, de provoquer des accidents à grande échelle dans les réseaux électriques et sur les oléoducs et les gazoducs, l'état mental et le bien-être physique des personnes, etc. Le principal inconvénient est qu'une telle arme ne peut pas être classée comme de haute précision. Dans le même temps, l'utilisation par les services militaires et spéciaux des caractéristiques planétaires complexes de la structure de la Terre et de ses champs électromagnétiques permet de développer des armes de destruction massive.
Un fait intéressant est que les premières puissantes installations radiophysiques américaines pour influencer les hautes couches de l'atmosphère, la réchauffer et focaliser les "rayons mortels" sur certaines régions géographiques sont construites de telle manière que les trois premières installations créeront une boucle fermée couvrant notre pays. Une station est située en Alaska, deux autres sont déployées au Groenland et en Norvège.
Les principes physiques des armes radiophysiques ont été étayés au début du vingtième siècle par le brillant physicien Nikola Tesla. Ce scientifique a développé des méthodes pour transmettre l'énergie électrique à travers environnement naturelà n'importe quelle distance. Un affinement supplémentaire de la théorie et la réalisation d'expériences ont confirmé la possibilité de créer des "rayons de la mort" se propageant à travers l'atmosphère ou la surface de la Terre avec sa focalisation dans la région souhaitée du globe.
Aux USA, ce projet dans les années 60 s'appelait HAARP (High Frequency Active Auroral Research Program). Pendant de nombreuses années, les travaux fondamentaux de N. Tesla aux États-Unis ont été cachés au monde scientifique et au public afin de cacher les origines de développements secrets appelés "Star Wars", SDI, etc. Voici une citation d'un article dans le New York Times du 22 septembre 1940. : "Nikola Tesla, l'un des plus grands inventeurs, qui a fêté son quatre-vingt-quatrième anniversaire le 10 juillet, a dit à l'auteur qu'il était prêt à porter à l'attention des États-Unis gouvernement le secret de « l'influence à distance », avec laquelle, comme il l'a dit, il est possible de faire fondre des avions et des voitures à une distance de 400 km, construisant ainsi l'invisible Grande Muraille de Chine autour du pays. »
Au début des années 60, les nouveaux principes d'utilisation de l'électricité atmosphérique du physicien W. Richmond, à l'initiative d'experts militaires du gouvernement américain, ont été classés.
Déjà les premiers tests montraient la possibilité de déclencher de nombreuses catastrophes naturelles sur la planète. En 1998, la première installation américaine d'Arfa est mise en service en Alaska (près d'Anchorage).
Selon les experts, la puissance de cette arme est plusieurs fois supérieure à la puissance d'une bombe atomique.
En termes philosophiques généraux, le cours de l'histoire de la civilisation va sans ambiguïté vers un nouvel ordre mondial sous le contrôle d'un gouvernement mondial. Les dernières avancées scientifiques et technologiques (technologie, radiophysique, génie génétique, etc.), dont certaines sont profondément secrètes, permettent d'atteindre par la force, avec la participation des services militaires et spéciaux, les objectifs politiques et économiques mondialisation. Dans ce processus géopolitique, les États-Unis sont en tête, où Nikola Tesla a travaillé pendant de nombreuses années, et dont le travail avait une orientation militaire et a été rapidement classé.
En 1900, Tesla a déposé un brevet pour un dispositif de "transmission d'électricité dans un environnement naturel" (brevet américain délivré en 1905, # 787.412). En 1940, Tesla annonça la création des « rayons de la mort ».
En 1958, les ceintures de radiation de la Terre ont été découvertes, remplies de particules chargées capturées par le champ magnétique d'une planète en rotation.
En 1961, l'idée de créer des nuages d'ions artificiels et de guider davantage par des antennes des faisceaux électromagnétiques de résonance dans le plasma cosmique est née.
En 1966, Gordon J. MacDonald publie A Concept for the Military Applications of Weather Engineering.
1974e - des expériences ciblées de transmission électromagnétique ont été menées dans le cadre du nouveau programme américain HAARP - Plattville (Colorado), Arecibo (Porto Rico) et Armidale (Australie, Nouvelle-Galles du Sud).
1975 - les travaux sur la technologie des micro-ondes et la création d'armes psychotroniques s'intensifient.
1980e - Bernard J. Eastlund, spécialiste du développement de HAARP, reçoit un brevet "Méthode et appareil pour changer les couches de l'atmosphère terrestre, de l'ionosphère et / ou de la magnétosphère" et brevète en outre un certain nombre de découvertes et d'inventions.
1980 - Le département américain de la Défense commence la construction du GWEN (Wave Generation Network) surface de la Terre v situations d'urgence), capable de diffuser des ondes de fréquence extrêmement basse à des fins de défense.
1985 - l'éminent physicien américain Bernard J. Eastlund dépose une demande de brevet pour son invention "Méthode et technique pour affecter une partie de l'atmosphère terrestre, de l'ionosphère et de la magnétosphère" (le premier des trois brevets de base de l'auteur).
1994 - E-Systems, un important entrepreneur militaire, acquiert les droits d'utilisation des brevets d'Eastlund et commence à travailler dans le cadre d'un contrat militaire pour la construction de la plus grande installation de chauffage ionosphérique au monde, Arfa, en Alaska. En 1995, le contrat est passé à la plus grande société militaire américaine "Rayton".
1995e - Le Congrès approuve le budget de l'opération HAARP. Des tests à grande échelle de HAARP commencent à viser des faisceaux d'énergie concentrés dans diverses régions du globe.
1998e - Mise en service de HAARP (les informations sur les activités sont classifiées). ()
Le secret des informations reçues vise à réduire les protestations de la communauté mondiale et de divers mouvements écologistes.L'essence de la technologie militaire développée par les Américains est la suivante. Au-dessus de la couche d'ozone se trouve la fragile ionosphère - une couche de gaz riche en particules électriques appelées ions. Cette ionosphère peut être chauffée par de puissantes antennes HAARP. De plus, il est possible de créer des nuages d'ions artificiels, de forme similaire aux lentilles optiques. Ces lentilles peuvent être utilisées pour réfléchir des ondes à basse fréquence et pour former des "rayons de mort" énergétiques focalisés sur des points géographiques spécifiques. Selon plusieurs sources, l'étude des conséquences militaires, médicales, environnementales et autres du HAARP est réalisée par l'armée de l'air. et la Marine sans la participation de l'Environmental Protection Agency des États-Unis (ERA). Cependant, il s'agit d'une information douteuse, puisque tous les ministères et départements fédéraux sont impliqués dans diverses mesures pour la défense et la sécurité nationale des États-Unis sous couvert de secrets d'État.
Ce fait est connu. Lorsque, lors d'une expérience, 350 000 flèches de cuivre de 1 à 2 cm de long ont été lancées dans l'ionosphère en 1961, un tremblement de terre de 8,5 sur l'échelle de Richter a frappé l'Alaska. Dans le même temps, au Chili, une partie importante de la côte a glissé dans l'océan.
À la fin des années 1980, 360 tours de 24 mètres de haut étaient activement construites dans le nord de l'Alaska, avec l'aide desquelles l'armée américaine émettrait de puissants faisceaux d'énergie de différentes fréquences dans l'ionosphère. Il est prévu de créer un réseau de centres régionaux HAARP.
Tout cela permettra de former des plasmoïdes militaires (régions localisées de gaz fortement ionisé). Cet semblant de foudre en boule peut être contrôlé en déplaçant le foyer des antennes à l'aide d'un faisceau laser cohérent.
Plusieurs brevets pour ce projet peuvent être cités :
5.068.669 "Système de transmission d'énergie par rayonnement" ;
5.041.834 "Écran ionosphérique artificiel formé par une couche de plasma" ;
4.999.637 « Création de régions d'ionisation artificielles au-dessus de la surface de la terre » ;
4.973.928 "Explosions à l'échelle atomique, non accompagnées de la libération de matières radioactives."
Lors d'expériences aux États-Unis, il a été découvert que l'énergie libre ou l'énergie d'un vide physique participe à la formation des plasmoïdes. Ces formations artificielles peuvent être utilisées pour réfléchir des ondes à basse fréquence et pour former des « rayons de la mort » énergétiques concentrés sur des points géographiques spécifiques. Ainsi, le HAARP radiophysique est une nouvelle arme géophysique puissante.
Les armes géophysiques atmosphériques sont divisées en trois types principaux : météorologiques (pluies, ouragans, etc.), ozone (effet dommageable direct des organismes vivants rayonnement ultraviolet solaire) et climatique (une diminution de la productivité agricole chez un ennemi militaire ou géopolitique).
Le début des expériences scientifiques à des fins militaires commence à être discuté parmi les scientifiques du monde, en particulier les géophysiciens et les biologistes. Il est significatif que des scientifiques européens aient enregistré la possibilité d'un sabotage radiophysique secret (sécheresses, averses, ouragans) contre les pays de l'UE. Le 5 février 1998, la Commission européenne de sécurité et de désarmement tient une audition spéciale sur le projet « Harpe », à laquelle participent un certain nombre de députés de la Douma d'État, ainsi que l'un des principaux opposants à ce projet aux États-Unis. - un scientifique et homme politique de l'Alaska N. Begich, dont le livre, en collaboration avec le journaliste canadien J. Manning, a été traduit et publié en Russie (N. Begich, D. Manning Program HAARP. Armageddon's Weapons (traduit de l'anglais) M. : Yauza, Eksmo, 2007, 384 pages).
Le décalage temporel entre la 2e édition anglaise et cette édition russe était de 5 ans. Cependant, les données présentées par les auteurs permettent d'évaluer pleinement et scientifiquement les perspectives du système militaire américain d'armes géophysiques et psychotroniques.
Aujourd'hui, un nouvel intérêt pour ces informations classifiées sur des sujets biologiques et environnementaux dans le monde et en Russie est pleinement justifié. Il existe également diverses alternatives lors de l'élaboration de mesures « défensives » ou « offensives ».
Tout ce qui s'est passé en décembre 2004 dans l'océan Indien est le résultat d'essais locaux de la superarme radiophysique et géographique américaine dans le cadre du programme HAARP (un programme de recherche active à haute fréquence de la région aurorale). Notre programme s'appelle HARP en abrégé. Expert militaire indépendant Bobilov (plus de 16 ans de travail dans des instituts de recherche de défense secrète et des bureaux d'études l'ex-URSS) est sûr qu'il n'y a pas eu de tsunami dans l'océan Indien. Une caractéristique distinctive de la nouvelle arme est l'utilisation de l'environnement proche de la Terre comme élément constitutif et objet d'impact destructeur. HARP vous permet de bloquer les communications radio, de désactiver les équipements électroniques embarqués des avions, des fusées, des satellites spatiaux, de provoquer des accidents dans les réseaux électriques, les oléoducs et les gazoducs, ainsi que d'affecter négativement le mental état des personnes... L'expert militaire Bobilov écrit à ce sujet dans son livre " Bombe génétique... Scénarios secrets de bioterrorisme ». - Dans mon livre, - continue Youri Alexandrovitch, - j'envisage un scénario extrêmement pessimiste d'un secret dévoilé de radio-physique et guerre biologique, à la suite de quoi la population de la Terre d'ici 2025 pourrait diminuer à 1-1,5 milliard de personnes.
Mais qu'est-ce que c'est que cette HARPE ? Revenons au début du siècle dernier. En 1905, l'ingénieux scientifique autrichien Nikolai Tesla a inventé une méthode de transmission de l'électricité à travers l'environnement naturel à presque n'importe quelle distance. Ensuite, déjà par d'autres scientifiques, il a été affiné à plusieurs reprises et, par conséquent, le soi-disant "rayon de la mort" a été obtenu. Plus précisément, un système de transmission d'énergie fondamentalement nouveau, avec la possibilité de le concentrer n'importe où dans le monde. L'essence de la technologie militaire développée est la suivante : au-dessus de la couche d'ozone se trouve l'ionosphère, une couche de gaz enrichie de particules électriques appelées ions. Cette ionosphère peut être chauffée par de puissantes antennes HARP, après quoi des nuages d'ions artificiels peuvent être créés, de forme similaire à des lentilles optiques. Ces lentilles peuvent être utilisées pour réfléchir des ondes à basse fréquence et pour générer de l'énergie « rayons mortels » focalisés sur un point géographique donné. En Alaska, une station spéciale a été construite en 1995 dans le cadre du programme HARP. Sur une superficie de 15 hectares, 48 antennes, chacune de 24 m de haut, ont été érigées. Avec leur aide, un faisceau concentré d'ondes chauffe une partie de l'ionosphère. En conséquence, un plasmoïde est formé. Et avec l'aide d'un plasmoïde contrôlé, vous pouvez influencer la météo - provoquer des averses tropicales, réveiller des ouragans, des tremblements de terre, provoquer des tsunamis.
Circuit énergétique
Début 2003, les Américains annoncent ouvertement les essais d'un certain « pistolet » en Alaska. C'est à cette circonstance que de nombreux experts associent les catastrophes naturelles qui ont suivi en Europe méridionale et centrale, en Russie et dans l'océan Indien. Les développeurs du projet HARP ont prévenu : à la suite de l'expérience, un effet secondaire est possible du fait qu'une immense quantité d'énergie avec une puissance gigantesque sera projetée dans les sphères extérieures de la Terre. Des émetteurs haute fréquence construits dans le cadre du programme HARP existent déjà à trois endroits sur la planète : en Norvège (ville de Tromso), en Alaska ( base militaire Gakhona) et au Groenland. Après l'introduction de l'émetteur du Groenland, l'arme géophysique a créé une sorte de circuit énergétique fermé. - Considérant la menace militaire croissante des États-Unis, - Yuri Bobilov continue son histoire, - La Douma d'Etat En 2002, la Fédération de Russie a tenté d'analyser la situation avec la participation d'experts de l'Académie des sciences de Russie et du ministère russe de la Défense. Mais le représentant du président de la Fédération de Russie à la Douma d'Etat, Alexander Kotenkov, a demandé que le problème soit retiré afin de ne pas semer la panique parmi la population russe. La question a été supprimée.
Des tsunamis très étranges
En 2002, le premier commandant adjoint des forces spatiales de Russie, le général Vladimir Popovkin, a souligné dans sa lettre à la Douma d'État que « si la couche supérieure de l'atmosphère est mal gérée, il peut y avoir des conséquences catastrophiques de nature planétaire. " Il était épaulé par un spécialiste des influences actives dans l'atmosphère Service fédéral sur l'hydrométéorologie et la surveillance environnementale Valery Stasenko : « Les perturbations dans l'ionosphère et la magnétosphère affectent le climat. En agissant sur eux artificiellement à l'aide d'installations puissantes, vous pouvez changer la météo, y compris globalement. » Le résultat du débat a été une lettre à l'ONU exigeant la création d'une commission internationale pour enquêter sur les expériences menées avec l'ionosphère et la magnétosphère de la Terre. Le directeur du Centre japonais d'étude des tempêtes, Hiroko Tino, voit bien des choses étranges dans les événements de décembre 2004 dans l'océan Indien. Le fait est que la catastrophe s'est produite exactement un an et une heure après le tremblement de terre en Iran le 26 décembre 2003, qui a fait 41 000 morts. C'était une sorte de signe. Puis les éléments sont venus en Europe : des dizaines d'ouragans, d'orages et de pluies ont été apportés par le cyclone "Erwin", qui a balayé du 7 au 10 janvier 2005 de Dublin à Saint-Pétersbourg. Plus tard, des catastrophes naturelles sont arrivées aux États-Unis : inondations dans l'Utah, chutes de neige sans précédent dans le Colorado. Les raisons de cela - le tremblement de terre qui a provoqué le tsunami, a changé la pente axe de la terre et accéléré la rotation de la planète de trois microsecondes. Tino, comme Yuri Bobilov, est enclin à supposer que toutes les conséquences sous forme de catastrophes naturelles sont le résultat des activités de HARP.
"Épinards" contre les partisans
Les experts américains ont commencé leurs jeux avec la météo il y a longtemps. Peu de temps après la fin de la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis ont commencé à mener des recherches sur l'étude des processus dans l'atmosphère sous l'influence d'influences externes : "Skyfire" (la formation de la foudre), "Prime Argus" (causant des tremblements de terre), " Stormfury" (gestion des ouragans et des tsunamis). Les résultats de ce travail n'ont été rapportés nulle part. Cependant, on sait qu'en 1961, c'est aux États-Unis qu'une expérience a été menée pour lancer plus de 350 000 aiguilles de cuivre de deux centimètres dans la haute atmosphère, ce qui a considérablement modifié l'équilibre thermique de l'atmosphère. Le résultat a été un tremblement de terre en Alaska, et une partie de la côte chilienne est tombée dans océan Pacifique.
Pendant la guerre du Vietnam (1965-1973), les Américains ont utilisé la dispersion d'iodure d'argent dans les nuages de pluie. L'opération portait le nom de code du projet Popeye. En cinq ans, 12 millions de livres ont été dépensés pour « ensemencer » des nuages pour stimuler artificiellement de fortes pluies afin de détruire les cultures ennemies. La piste dite de Ho Chi Minh était également floue. Le long de cette route, les partisans sud-vietnamiens ont été approvisionnés en armes et en équipements. Lors de l'opération Epinards, le niveau des précipitations dans la zone touchée a augmenté d'un tiers : l'arme climatique a fonctionné avec succès !
Ce sont les États-Unis qui ont été les premiers à tenter d'éteindre les ouragans (au milieu des années 60). En 1962-1983. Le Raging Storm Project aux États-Unis a expérimenté la gestion des ouragans. L'impulsion pour cela était les données obtenues par les scientifiques qu'un ouragan contient autant d'énergie que toutes les centrales électriques du monde produisent ensemble. L'une des expériences réussies a été réalisée en 1969 au large d'Haïti. Les habitants ont vu un énorme nuage blanc, à partir duquel d'énormes anneaux ont divergé. Les météorologues ont inondé le typhon d'iodure d'argent et ont réussi à le détourner d'Haïti. Ces dernières années, des recherches d'un tout autre ordre ont été menées : des dizaines de milliers de gallons d'huile végétale ont été déversés dans la mer. Les scientifiques ont suggéré que les ouragans gagnent en force en raison de la chaleur générée à la surface de la mer. Si la surface de la mer est recouverte d'un vaste film de pétrole, la force de l'ouragan diminuera en raison du refroidissement de l'eau. Cela signifie que de cette façon, vous pouvez changer la direction de l'ouragan.
En 1977, les Américains dépensaient 2,8 millions de dollars par an pour la recherche sur les changements climatiques. En partie en réponse au projet Epinards, l'ONU a adopté une résolution en 1977 interdisant toute utilisation hostile des technologies de modification de l'environnement. Cela a conduit à l'émergence d'un traité correspondant, ratifié par les États-Unis en 1978 (c'est-à-dire la Convention sur l'interdiction de l'utilisation militaire ou autre des moyens d'influencer l'environnement naturel). Les États-Unis estiment que l'URSS n'est pas restée à l'écart des expériences avec la météo : « Les Russes ont leur propre système de « contrôle météorologique », il s'appelle « Pivert », - ont-ils écrit dans les années 80. de nombreux journaux américains. - Elle est associée à l'émission d'ondes à basse fréquence qui peuvent provoquer des perturbations dans l'atmosphère et modifier la direction des courants d'air. Par exemple, la sécheresse prolongée en Californie dans les années 1980 a été causée par le fait que les courants d'air humide ont été bloqués pendant de nombreuses semaines. »
D'où vient le "Pique-bois" ?
En effet, en URSS, ils ont également expérimenté le climat. À l'Institute of Thermal Processes (maintenant le Keldysh Research Center) dans les années 70, ils ont essayé d'influencer l'atmosphère terrestre à travers la magnétosphère. Une fusée avec une source de plasma pouvant atteindre un mégawatt et demi devait être lancée depuis la région polaire depuis l'un des sous-marins (mais le lancement n'a pas eu lieu). Des expériences « météo » ont également été menées par le 40e Institut de la Marine : sur un terrain d'entraînement abandonné près de Vyborg, des installations de modélisation de l'influence d'une impulsion électromagnétique sur les ondes radio rouillent.
Ne sommes-nous plus intéressés par les typhons ?
L'URSS, avec Cuba et le Vietnam, a commencé à étudier les typhons au début des années 1980. Et ils ont été menés autour de la partie la plus mystérieuse - "l'œil" du typhon. Des avions de série Il-18 et An-12, convertis pour les laboratoires météorologiques, ont été impliqués. Dans ces laboratoires, des ordinateurs électroniques ont été installés pour obtenir des informations en temps réel. Les scientifiques recherchaient ces points "douloureux" du typhon, agissant sur lesquels il serait possible de réduire ou d'augmenter sa puissance, de détruire ou de modifier la trajectoire à l'aide de réactifs spéciaux pouvant provoquer ou, au contraire, empêcher des précipitations immédiates. Les scientifiques ont même alors découvert qu'en diffusant ces substances d'un avion dans "l'œil" du typhon, son arrière ou son avant, il est possible, en créant une différence de pression et de température, de le forcer à marcher "en cercle" ou reste immobile. Le seul problème était qu'il était nécessaire de prendre en compte de nombreux facteurs en constante évolution à chaque seconde. Et il était nécessaire d'avoir une énorme quantité de réactifs. Simultanément, un réseau de stations radar a été créé à Cuba et au Vietnam, des données intéressantes ont été obtenues, notamment sur la structure du typhon, ce qui a permis de commencer à modéliser diverses méthodes d'influence. Des travaux théoriques ont été menés pour étudier la possibilité d'influencer les cyclones des latitudes tempérées et le climat de la région. Mais au début des années 90. les travaux visant à influencer activement le climat en Russie ont pratiquement cessé d'être financés et ont été réduits. Donc, aujourd'hui, nous n'avons pas à nous vanter. L'« œil » du typhon ne nous intéresse plus.
Le travail secret continue
Ainsi, en 1977, dans le cadre de l'ONU, la Convention sur l'interdiction de la « guerre environnementale » a été conclue. (La Convention sur l'interdiction de l'utilisation militaire ou autre de moyens d'influencer l'environnement naturel - Stimulation artificielle des tremblements de terre, fonte des glaces polaires et changement climatique.) Mais, selon les experts, des travaux secrets sur la création d'armes « absolues » de destruction massive (ADM) se poursuit. Récemment, un groupe de chercheurs américains travaillant sur le projet HARP a mené une expérience pour créer une aurore boréale artificielle. Plus précisément, selon sa modification, puisque les vraies aurores boréales servaient d'écran sur lequel les chercheurs dessinaient leurs images. À l'aide d'un générateur d'émission radio haute fréquence de 1 MW et d'un ensemble d'antennes radio situées sur une zone assez vaste, les scientifiques ont organisé un petit spectacle de lumière dans le ciel. Malgré le fait que le mécanisme de création d'un rayonnement artificiel n'est pas encore tout à fait clair, même pour les chercheurs eux-mêmes, les participants au projet pensent que tôt ou tard, la technologie qu'ils développent pourra être utilisée pour éclairer les villes la nuit et, bien sûr, pour afficher des publicités. Ou pour quelque chose de plus important.
Pendant ce temps, les États-Unis...
L'armée américaine commence ouvertement à maîtriser arme à plasma... Le nouveau mobile « canon à plasma MIRAGE » désactivera les systèmes de communication et de navigation de l'ennemi dans un rayon de dizaines de kilomètres. L'appareil est capable de changer l'état de l'ionosphère - la couche supérieure de l'atmosphère terrestre, qui est utilisée comme "réflecteur" pour transmettre des signaux radio sur de longues distances. Un plasmoïde généré dans un four à micro-ondes spécial sera lancé par une fusée à une altitude de 60-100 km et perturbera la distribution naturelle des particules chargées. Selon les experts militaires, vous pouvez ainsi vous débarrasser de plusieurs problèmes à la fois. Premièrement, le plasma « extra » créera une barrière pour les radars ennemis, qui, dans des conditions normales, grâce à l'ionosphère, peuvent voir avions de l'horizon. Deuxièmement, le « écran plasma » empêchera le contact avec les satellites qui traversent l'atmosphère. Cela créera des difficultés d'orientation au sol si des récepteurs GPS sont utilisés pour cela. La conception est une petite camionnette qui peut être facilement transportée sur les lieux des hostilités.
Qu'est-ce qui nous attend tous ensuite? En Russie, les programmes d'influence active sur le temps ont été réduits. Nous avons réagi mollement à la nouvelle que nous nous trouvions dans une sorte de circuit énergétique entre la Norvège, le Groenland et l'Alaska. La génération de signaux ultra-basse fréquence est aujourd'hui la tâche principale du programme HARP. En 1995, l'installation se composait de 48 antennes et émetteurs d'une capacité de 960 kilowatts. Aujourd'hui, l'installation compte déjà 180 antennes et la puissance de l'énergie rayonnée atteint 3,6 mégawatts. C'est suffisant à la fois pour créer un bouclier anti-missile et pour "calmer" une tornade.
Tracteur avec laitière dans le ciel
Dans notre pays, la fréquence des phénomènes naturels mystérieux a doublé au cours des 15 dernières années. Des vents d'ouragan, des averses tropicales et des tornades se sont même abattus sur la Sibérie - un phénomène qui était auparavant considéré comme absolument impossible sous notre climat, sans parler de dégel de l'hiver et des gelées en juillet. En juillet 1994 dans le village de Kochki en Région de Novossibirsk la tornade a soulevé un tracteur avec un conducteur de tracteur et une laitière dans les airs. Le 29 mai 2002, une tornade a détruit le village de Kalinovka dans la région de Kemerovo. Deux personnes ont été tuées, 20 ont été blessées. Avant cela, des phénomènes naturels similaires ni à Novossibirsk ni à régions de Kemerovo n'a pas été observée. Une énorme grêle, comme un œuf de pigeon, est tombée en 2006, dans le village de Gagino dans la région de Nijni Novgorod. 400 maisons ont complètement perdu leurs toits. Et en général - rien qu'en juin 2006, 13 tornades et ouragans se sont abattus sur la Russie. Ils ont traversé Azov, Chelyabinsk, Nijni Novgorod(touché 68 colonies de la région), puis déplacé vers la Bachkirie et le Daghestan. La destruction a été énorme."
Pour une compréhension plus complète de ce problème, il est utile de lire le nouveau livre traduit par Begich et Manning « Le programme HAARP. Armes d'Armageddon "().
Les auteurs soulignent les difficultés importantes dans le processus de création d'un tel système, condamnant les progrès des armes et des équipements militaires. Les trois premières installations d'une puissance de rayonnement d'ondes radio dirigées d'environ 1 milliard de watts ont déjà été construites en Alaska, au Groenland et en Norvège. Ils créent une boucle fermée pour un impact à grande échelle sur l'environnement proche de la Terre, axé principalement sur la Russie, ainsi que sur la RPC et l'Union européenne.
L'utilisation du premier étage du système militaire « trois points » permettra : de perturber la navigation maritime et aérienne des aéronefs et des missiles ; arrêter la communication radio et le radar ; désactiver les équipements électroniques embarqués des satellites spatiaux ; provoquer la survenue d'accidents de grande ampleur dans les réseaux électriques ; provoquer des typhons, des tempêtes, des sécheresses, des tornades et des inondations et, enfin, affecter délibérément le psychisme des gens. De plus, avec de telles installations, le Pentagone couvrira la majeure partie de la planète, ce qui démontrera la puissance de la pensée militaire américaine.
Le lecteur militaire averti, bien sûr, ne peut pas accepter pleinement tous les arguments des pacifistes américains.
Cependant, les militaires américains eux-mêmes notent le "double" objectif du système. Ainsi, le développement d'un système d'impact géophysique sur les couches de haute altitude de l'atmosphère (jusqu'à 50 km) peut conduire à l'élimination de la notion de « plusieurs mois de sécheresse ». En conséquence, des précipitations régulières peuvent être causées sur le désert du Sahara en Afrique du Nord.
Il est possible de reconnaître le danger certain des expériences scientifiques secrètes commencées par les Américains. À cet égard, l'Union européenne, la Russie, la Chine ont le droit d'insister sur la tenue de négociations internationales spéciales pour limiter la puissance des émissions radio "scientifiques".
Les créateurs du système HAARP admettent eux-mêmes qu'en plus des effets thermiques et électromagnétiques sur l'atmosphère terrestre et son ionosphère afin de contrôler la météo ou de déclencher des catastrophes naturelles destructrices, il est également possible d'influencer le cerveau et système nerveux une personne et un changement dans sa psyché et son comportement.
Une influence psychophysique intentionnelle peut provoquer l'inhibition des réactions d'une personne, l'incertitude, la peur, la colère, la perte de l'instinct de conservation, l'incapacité de contrôler ses propres actions, d'évaluer et d'analyser des situations de vie difficiles, de naviguer dans le temps et l'espace, etc. Tout cela peut être utilisé pour des impacts locaux et de masse.
Les armes psychotroniques désignent des armes « non létales » (« non létales »), qui sont de plus en plus importantes, à la fois pour la conduite d'opérations militaires et pour les opérations spéciales visant à influencer le comportement de petits ou Grands groupes population.
Il y a un bon aphorisme - "Le génie militaire et la méchanceté sont non seulement compatibles, mais n'existent pas non plus l'un sans l'autre."
une source
http://www.economy.az/archives/29992 - Yuri Nikolaevich BOBYLOV - Candidat en sciences économiques, expert en politique scientifique et technique
http://www.arrl.org/news/view/haarp-facility-shuts-down
http://newvesti.info/haarp-%E2%80%93-klimaticheskoe-oruzhie/
http://antimatrix.org/Convert/Books/HAARP/HAARP_Principles_of_Operation.html
http://planeta.moy.su/blog/khaarp_haarp_programma_vysokochastotnykh_aktivnykh_avroralnykh_issledovanij/2012-09-17-29908
http://forum.qrz.ru/voennoe-radio-snova-v-efire/17477-haarp-printsip-raboty.html
L'ionosphère est la couche supérieure de l'atmosphère remplie d'atomes ionisés, le courant auroral, des flux de particules chargées en provenance de l'espace, le vent solaire soufflant le long des lignes du champ magnétique terrestre, provoquant les aurores boréales aux latitudes polaires de notre planète. Les aurores boréales semblent être le seul rappel aux gens de l'ionosphère, mais ce n'est que pour l'œil non averti. Ont longtemps été notés lumières célestes fantomatiques précédant les tremblements de terre, et probablement tout le monde connaît l'influence des tempêtes solaires sur le bien-être des personnes et les conditions de communication radio.
En essayant d'influencer l'état de l'ionosphère à l'aide d'équipements installés sur des fusées et des satellites artificiels, les gens ont commencé il y a longtemps, mais ce sujet n'a acquis une large résonance publique qu'au milieu des années 90, lorsque les États-Unis ont lancé le programme de haute -fréquence recherche aurorale active ou HAARP.
HAARP - Programme de recherche aurorale active à haute fréquence- un programme d'étude des hautes fréquences actives de l'ionosphère. Ce programme est un système de mesures pour étudier les lois du développement de l'ionosphère terrestre. En fait, le système HAARP est une installation, qui est destiné à la modification de l'ionosphère, c'est-à-dire y apporter certains changements.
Le plus souvent, lorsqu'ils évoquent ce projet, ils évoquent le grandiose complexe de recherche ionosphérique, construit sur le terrain d'entraînement militaire de Gakkon en Alaska. Le complexe est vraiment étonnant : un immense réseau phasé d'antennes est déployé sur le territoire de 13 GA, un réseau de 180 antennes, qui forment ensemble un gigantesque radiateur hyperfréquence. Les Américains, bien sûr, disent que toutes nos installations sont destinées à la recherche. couches supérieures ambiance, et rien de plus.
Ils ne parlent ni de la fonction défensive ni de la fonction offensive, car l'armée est engagée dans cela, - partage avec nous Boris Rodionov, docteur en sciences physiques et mathématiques, professeur. HAARP comprend non seulement des antennes, mais également un radar à rayonnement non cohérent avec une antenne de 20 m de diamètre, des localisateurs laser, des magnétomètres, des ordinateurs puissants pour le traitement du signal et le contrôle du champ d'antenne. L'ensemble du complexe est alimenté par une puissante centrale à gaz.
Antenne à réseau phasé résonant auroral (ARFA) conçue pour l'expérimentation sur l'impact sur l'ionosphère avec un faisceau focalisé d'électricité d'une capacité de milliards de watts.
Lentilles plasma
Les lentilles à plasma sont créées à l'aide d'un faisceau sur le hautes altitudes contenant des milliards de mètres cubes de particules de gaz ionisé. Ils sont utilisés comme écrans réfléchissants pour assurer un fonctionnement fiable des équipements militaires émetteurs de radio.
Lorsqu'elles sont concentrées dans une zone limitée avec ces antennes, une ultra-haute intensité de champs électromagnétiques apparaît, ce qui conduit à une ionisation supplémentaire de l'ionosphère.... C'est-à-dire que certaines lentilles ioniques sont formées, où il y a une forte intensité de champs électromagnétiques.
HAARP est une antenne puissante, déclare Rich Garcia, directeur des relations publiques de HAARP, qui dirige l'énergie RF dans l'atmosphère... Et selon les normes les plus petites, c'est ce que fait le soleil. Nous en avons besoin pour que, lors des fluctuations de l'ionosphère, nous puissions maintenir la communication avec les satellites. Dans la mesure où pôle magnétique La Terre se déplace vers le Canada, et donc l'Alaska, HAARP se situe sous le dôme même de la magnétosphère. Et cette position ne peut être appelée autrement que stratégique.
Le laboratoire Philips situé sur la base de l'US Air Force est engagé dans le déploiement du complexe et les recherches sur celui-ci. Lorsque nous envoyons un flux d'ondes radiofréquences dans l'ionosphère, les ondes entrent en collision avec des molécules et provoquent le déplacement beaucoup plus rapide de leurs particules subatomiques. Cela implique chauffer l'atmosphère à 1600 degrés Celsius ou plus.
Le même mécanisme fonctionne lorsqu'il est exposé à l'énergie solaire, explique John Hexcher, chef de projet pour HAARP. Le rayonnement de ce système dépasse de 5 à 6 ordres de grandeur la puissance du rayonnement naturel du Soleil dans la gamme des 10 MHz, c'est-à-dire que les dommages causés seront également plus importants du même montant.
On sait que notre Terre est un condensateur sphérique, dans lequel une partie est une ionosphère conductrice, et entre elles se trouve un diélectrique - ce sont les couches atmosphériques et même sous la couche conductrice, c'est-à-dire la surface de la Terre. Si un processus d'onde est provoqué dans ce condensateur sphérique, alors en raison de l'action du rayonnement solaire dans certaines conditions, il peut être renforcé par la superposition d'ondes, ce qui conduit à une autogénération due au pompage de l'énergie du Soleil. Un processus ondulatoire assez puissant se produit dans l'ionosphère, ce qui peut avoir un impact significatif sur la formation du temps.
La première personne qui a vraiment travaillé avec l'ionosphère, c'est-à-dire qui a découvert cette couche conductrice, la deuxième plaque de condensateur, était Tesla. Il l'a découvert à la fin du XIXe siècle. Il a été le premier dans ses expériences à Colorado Springs à découvrir cette couche aux décharges puissantes, a vu ses oscillations, mesuré la fréquence de ces oscillations, et a commencé à apprendre à utiliser ce condensateur naturel, qui est un globe avec une couche supérieure ionisée.
L'ionosphère contient une quantité illimitée d'énergie. En moyenne, environ 8 000 éclairs électriques se produisent chaque seconde sur Terre. Des millions d'ampères d'électricité et des éclairs sont dirigés vers la Terre. HAARP peut appliquer un effet déclencheur en agissant sur l'ionosphère avec de l'énergie.
Énergie émise en installant HAARP les ondes radio peuvent être concentrées et modélisées dans des limites auparavant inaccessibles avec d'autres installations et une puissance sans précédent, le tout pour contrôler l'état de l'ionosphère.
En fait, l'installation est un puissant émetteur radio d'un signal haute fréquence avec la capacité de diriger rapidement un faisceau d'ondes électromagnétiques dans la direction souhaitée. Ce dernier fait de HAARP un support chauffant unique parmi les analogues. La compression de 1 GW d'énergie dans un faisceau mince donne l'énergie puissante de l'action ciblée qui est nécessaire à l'intérieur de ce faisceau.
Les antennes HAARP peuvent doser suffisamment la largeur du flux d'ondes qui affectera la section souhaitée de l'atmosphère. l'ionisation de l'espace proche de la Terre se produit et certaines de ces lentilles sont créées avec un diamètre allant jusqu'à 100 km, c'est-à-dire des lentilles à travers lesquelles, par exemple, s'il surplombe la Russie, le flux solaire augmente, ce qui entraîne une augmentation de la surface température et, par conséquent, sécheresses, chaleur insupportable, incendies...
Dans d'autres cas, au contraire, des lentilles sont créées qui provoquent des précipitations. La Terre a un lien entre diverses interactions, lorsque nous dirigeons un puissant flux d'énergie dans l'atmosphère, nous ne pouvons pas vraiment savoir ce que cela peut impliquer.
Un document co-publié en 1990 par les développeurs HAARP indique que l'utilisation de l'installation une tentative sera faite pour mettre en œuvre à dessein une rupture dans l'ionosphère.
Il s'agit d'un effet fondamentalement nouveau et il sera obtenu en atteignant nouveau niveau puissance auparavant inaccessible pour des équipements militaires de ce type. Il faut très peu d'énergie pour affecter l'atmosphère afin de déclencher des réactions avec la libération d'énormes quantités d'énergie. Des installations similaires, bien qu'avec moins de capacités, existent aujourd'hui dans de nombreux pays. et sont activement utilisés pour recherche scientifique l'ionosphère, mais aucun de ces systèmes n'offre la combinaison de performances de rayonnement et de précision de pointage du faisceau dont dispose HAARP.
Tous les autres bancs chauffants dissipent de l'énergie, et ne se concentrent pas comme HAARP. En termes simples, l'installation est un radiotélescope, au contraire, elle ne capte pas de signaux, mais émet et est capable de littéralement faire bouillir la haute atmosphère. Le résultat des perturbations dans l'ionosphère sera un flux de longues ondes qui pénètrent la terre, l'eau et nous-mêmes.
L'étape de chauffage se déroule selon plusieurs approches, d'abord un point est sélectionné vers lequel le rayonnement sera dirigé, puis l'installation est allumée pendant un certain temps, éteinte. Et ainsi plusieurs fois. À la suite de ces inclusions d'impulsions, des oscillations à basse fréquence de l'ionosphère se produisent. C'est ainsi que vous pouvez exciter l'ionosphère.
Nous avons fait attention à point important lorsque l'énergie envoyée dans l'atmosphère fait absorber de l'énergie à ses molécules dans la zone d'effet du rayonnement, alors à une fréquence d'impact correctement choisie, l'énergie de l'ionosphère est renvoyée vers la Terre.
Ce sera environ cent fois plus que l'énergie générée par un coup de foudre normal, explique le Dr Agni Brugs, géophysicien et ingénieur. Il est possible qu'à l'aide d'un faisceau, il suffise de déplacer un morceau de l'atmosphère plus profondément dans l'espace. Avec cette technologie la couche de l'atmosphère peut être poussée plus profondément dans l'espace extra-atmosphérique, on dit qu'il s'agit d'un impact à court terme, inoffensif pour la Terre, mais en fait, lorsqu'une partie de l'atmosphère est déplacée vers l'intérieur, le trou résultant est rempli d'une atmosphère des couches inférieures, modifiant les conditions météorologiques sur Terre .
Le système complexe d'interaction de ces antennes peut provoquer des changements météorologiques partout dans le monde, perturber complètement le mouvement des avions et des satellites, des inondations ou des sécheresses massives peuvent être provoquées, même des ouragans peuvent être déclenchés par le réchauffement de l'ionosphère.
Des ruisseaux peuvent se former haute pression qui modifient la trajectoire des ouragans. Le gouvernement américain a officiellement annoncé que HAARP n'est qu'un projet de recherche atmosphérique. C'est peut-être plus qu'une coïncidence si de nombreux experts signalent d'étranges anomalies climatiques comme des inondations massives, des tremblements de terre exactement après le début de ce projet. Les activités HAARP peuvent conduire à ce qu'on appelle déclencher un tremblement de terre.
Si les points de tension dans la croûte terrestre sont connus, c'est-à-dire les points aux joints des plaques, où apparaissent des zones d'instabilité, alors en initiant un processus ondulatoire dans l'ionosphère, qui est décrit ci-dessus, un tremblement de terre peut être provoqué.
En particulier, le tremblement de terre en Indonésie, qui a fait plus de 200 000 morts, à la suite duquel un tsunami grandiose s'est produit, est très probablement causé par les activités de HAARP, a déclaré Konstantin Sivkov, docteur en sciences militaires, vice-président de l'Académie. des problèmes géopolitiques.
Caractéristiques HAARP
V Les fonctionnalités HAARP incluent: dommages aux écosystèmes, suppression des communications électroniques, telles que les armes anti-satellites, suppression des communications radio avec les sous-marins, création de sections artificielles de plasma, de plasmoïdes, dans l'ionosphère, transmission d'électricité vers différentes régions de la planète, influence sur le psychisme et l'état émotionnel des personnes, contrôle du climat dans le monde entier.
HAARP n'est pas la seule station de ce type au monde, mais elle est unique. HAARP peut changer la fréquence d'onde utilisée, changer la direction du flux du faisceau afin de cibler la zone souhaitée de l'ionosphère. HAARP est beaucoup plus puissant que d'autres analogues mondiaux menant des recherches similaires.
Il ne faut pas oublier que l'ionosphère est une coquille chargée électriquement qui protège la planète du bombardement incessant de particules cosmiques de haute énergie. Cette couche de plasma conducteur, formée par le champ magnétique terrestre, absorbe les particules de matière cosmique et les empêche d'atteindre la surface terrestre.
Si l'ionosphère est perturbée, elle perturbera les couches inférieures de l'atmosphère. L'ionosphère de la Terre est une couche de l'atmosphère, qui ressemble à une bulle avec une membrane scellée. protège notre planète des rayons destructeurs du rayonnement solaire.
Sans l'ionosphère, tous les êtres vivants sur Terre s'éteindraient tout simplement... Notre Soleil est une boule de plasma géante, elle projette d'énormes masses de plasma dans l'espace. Sans la coque protectrice de la Terre, la magnétosphère et l'ionosphère, cette énergie pourrait détruire tous les êtres vivants. Le plasma solaire circule autour de la Terre, libérant une partie de l'énergie vers l'ionosphère, de sorte que les aurores boréales se forment aux pôles de la Terre.
Plasmoïdes
En général Il existe deux méthodes principales pour influencer l'ionosphère : la pulvérisation de réactifs chimiques à l'intérieur et le pompage de petites zones avec des faisceaux d'ondes radio focalisés et l'excitation des atomes. Ainsi, il est possible d'influencer les flux auroraux de particules chargées vers le pôle Nord régional, qui se répartissent ensuite le long des lignes de champ magnétique terrestre sur des distances énormes, ou de créer localement des régions fortement ionisées de l'ionosphère, des plasmoïdes à plusieurs dizaines de kilomètres en Taille.
Les plasmoïdes n'ont rien de spécial. Plusieurs de ces formations sont enregistrées dans l'atmosphère chaque jour, apparaissant sous l'influence du vent solaire et se dissolvant rapidement. Mais plasmoïdes artificiels Ils ont une particularité : pendant le pompage, ils sont instables et présentent les caractéristiques spécifiées par celui-ci.
Les plasmoïdes artificiels peuvent être utilisés pour améliorer la communication radio, lorsque, à certains paramètres de rayonnement de pompage, ils se transforment en un miroir géant qui réfléchit les ondes radio.
Pour aujourd'hui les seuls plasmoïdes nocifs qui ont un impact sur les humains et la nature, peuvent avoir et contrôler Installation HAARP uniquement.
Ils sont capables de former des plasmoïdes d'assez grandes tailles ; on parle d'une superficie de plusieurs hectares. À l'avenir, de tels plasmoïdes peuvent résoudre le problème de la défense aérienne, ainsi que du contrôle météorologique. Des plasmoïdes peuvent être formés à ces fins. En règle générale, ces plasmoïdes se forment à une altitude de 20 à 30 km et plus.
L'impossibilité du contrôle d'autres pays sur l'utilisation des armes à plasma la rend dangereuse non seulement pour le pays directement visé, mais pour le monde entier.
Au cours d'une expérience avec la foudre en boule, il a été constaté que l'énergie dépensée pour créer un plasmoïde est des dizaines de fois inférieure à l'énergie qui est libérée sous forme de chaleur lorsqu'elle est détruite. Ainsi, à travers le plasmoïde, l'accès à de nouvelles couches de matière à haute énergie inconnues s'ouvre.
Comme indiqué dans le Pentagone, le plasmoïde est précieux car, volant à la vitesse de la lumière, il a un avantage absolu sur un anti-missile qui intercepte une cible à une vitesse de 5 km par seconde. C'est-à-dire Le département américain de la Défense cherche à créer un système de protection du territoire des troupes d'objets contre frappe de missiles utilisant une grille plasma créée par le système HAARP, dans lequel des avions et des missiles seront détruits.
En fait, c'est une arme anti-missile basée sur de nouveaux principes physiques. En substance, HAARP est un four à micro-ondes colossal, dont le rayonnement peut être focalisé n'importe où dans le monde.
HAARP finance le département top secret du Pentagone avec 215 millions de dollars par an
Ils l'appellent un centre de recherche non classifié. Plusieurs fois, j'ai essayé d'entrer dans ce centre, en tant que politicien et personne autorisée à travailler avec le plus haut niveau de projets secrets, mais je n'ai jamais été admis dans ce centre.
Et qu'en penses-tu qui finance HAARP ? Le département le plus secret du Pentagone, allouant 215 millions de dollars par an pour étudier, apparemment, les aurores boréales, dit-on officiellement.
Tsunami qui a frappé l'Indonésie
Voici un autre secret. Vous vous souvenez du tsunami qui a frappé l'Indonésie ? Il n'y a eu aucun avertissement météorologique concernant un cataclysme imminent. Habituellement, un avertissement est émis à l'avance pour un tremblement de terre, un tsunami, etc. Il est très possible que HAARP ait mené des essais technologiques secrets, dont le résultat final a provoqué le tsunami, explique James Ventura, homme politique et publiciste.
En 1993, une découverte inattendue est faite dans le domaine des phénomènes météorologiques. Il s'est avéré que dans les couches inférieures de l'atmosphère terrestre, il y a des rivières de vapeur d'eau, en termes de volume du déversoir, elles peuvent rivaliser avec l'Amazone. Ces flux d'humidité sont le principal mécanisme de déplacement de l'eau des régions équatoriales vers les pôles.
La vapeur d'eau est capable de former des bandes relativement étroites de 700 à 800 km de large et jusqu'à 8 000 km de long. Ces cours d'eau passent à environ trois kilomètres au-dessus de la Terre et le volume d'eau qu'ils déplacent est d'environ 150 000 tonnes par seconde.
Trouvé 5 rivières atmosphériques dans l'hémisphère nord et 5 dans le sud, et chacune a ses propres caractéristiques. Les scientifiques émettent l'hypothèse qu'une installation de type HAARP placée au bon endroit changera la direction de tels courants, ce qui conduira à un changement des conditions météorologiques dans une région donnée.
Ou déchaîner ces courants sur la Terre, créant un déluge global dans la région souhaitée. En 1985, le scientifique Bernard Eastland a reçu un brevet qui a transformé les idées de Tesla en réalité. Beaucoup pensent que ces technologies sont devenues un manuel secret à utiliser dans les stations HAARP. C'est ce qu'on appelle le bouclier tesla, formé autour de la planète, la découverte des propriétés explosives des particules atmosphériques.
Voici ce que dit le brevet Eastland :
"L'invention offre la possibilité de pomper une quantité d'énergie sans précédent dans l'atmosphère terrestre aux points de lancement. Il est possible d'élever de grandes parties de l'atmosphère à des altitudes anormalement élevées, de sorte que l'ogive rencontre une force de freinage inattendue et inexplicable et cela va conduire à sa destruction ou à sa déviation.
La technologie HAARP peut être utilisée pour détruire des missiles, contrôler les systèmes de communication et contrôler la météo. Une des idées pour utiliser HAARP pour déplacer la haute atmosphère dans l'espace, ce qui perturbera le mouvement des fusées.
Imaginez un four à micro-ondes dans vos mains avec la porte ouverte. Cet appareil peut être déplacé vers la droite et la gauche, en dirigeant les micro-ondes dans différentes directions. C'est la même chose avec l'antenne, à l'aide de laquelle vous pouvez obtenir la précision de la longueur d'onde. C'est le type d'antenne HAARP qui concentre 3,6 millions de watts et les compresse en un faisceau étroit de gigawatt.
La compression donne cette puissante énergie d'action ciblée à l'intérieur du faisceau, ce qui est nécessaire. Les habitants de 6 États américains ont failli vivre le 15 avril la fin du monde. Une boule de feu géante les a balayés, ce qui a vraiment effrayé les témoins oculaires. Il était très brillant, presque comme le Soleil, et s'est déplacé lentement dans le ciel d'ouest en est pendant environ un quart d'heure. Les téléphones des services de secours ont commencé à être arrachés aux appels avec des avertissements concernant l'Armageddon à venir.
Selon des témoins oculaires, la formation en feu s'est désintégrée avant d'atteindre l'horizon, et cela s'est accompagné d'un son fort, comme s'il avait été heurté ou entré en collision, à partir duquel les maisons et les arbres tremblaient. La boule s'élève et illumine l'espace comme si la nuit se transformait soudain en jour. Certains témoins oculaires parlent d'une traînée de feu derrière le ballon. Heureusement, l'étrange corps céleste n'a causé aucun mal.
Il se pourrait bien qu'il s'agisse d'une continuation des expériences de Tesla dans de nouvelles conditions. Les tests se poursuivent, surtout quand tout cela se fait en toute impunité. Nous avons volé du Kamtchatka à l'Australie et avons parcouru une distance colossale de n'importe quel continent, l'océan Pacifique limpide. Et tout à coup ils ont vu, c'était la nuit, comme un sapin de Noël brûlant un cône de taille énorme, d'environ 50 km de diamètre à une altitude de 15 km, raconte le pilote d'essai, Héros de Russie. Anatoli Andronov.
Mes recherches suggèrent que des paramètres de rayonnement mal définis peuvent provoquer une libération d'énergie catastrophique. Le ciel va littéralement s'embraser. Il est presque impossible de calculer à quelle température la réaction aura lieu et quels isotopes peuvent se former dans ce cas.
Il faut se rendre compte d'un fait très simple que le résultat de telles expériences peut être la destruction de toute, sans exception, la masse de matière organique dans une aire égale à plusieurs états. Je ne pense pas que les habitants de la Terre seront ravis du spectacle d'une atmosphère enflammée, dont la raison peut être la confiance en soi irresponsable des expérimentateurs qui ont décidé de frapper l'ionosphère, - dit le géophysicien, ingénieur Dr. Agni Brugs .
"Guerres des étoiles"
"Quand j'ai lu la description des inventions de Nikola Tesla et la description du brevet reçu par Bernard Eastland pour son invention, j'ai réalisé que HAARP est le prototype d'un système d'arme au sol. » Guerres des étoiles".
L'idée principale du programme Star Wars était de créer une sorte de parapluie protecteur sur les États-Unis contre les bombes atomiques soviétiques. En 1987, le Dr Edward Tayler a parlé d'un nouveau volet du programme Star Wars, une arme à rayon stationnée dans le nord de l'Alaska. HAARP pourrait-il faire partie intégrante de ce système ?
Un système au sol a de bonnes raisons d'être comparé à un bouclier de défense spatiale, car les satellites sont nettement plus vulnérables et la maintenance et les réparations en orbite sont extrêmement coûteuses. Taylor a promu le déploiement d'un système d'arme laser en Alaska.
Ce système laser a été classé et n'a pas été discuté ouvertement. En 1995, le Congrès a complètement mis fin au financement du programme Star Wars, mais HAARP a continué à se développer. L'administration Reagan était très désireuse de faire une percée majeure dans la création de systèmes de guerre électromagnétique. C'est ce qu'on a appelé le projet de la Belle au bois dormant.
J'étais en Amérique il y a 12 ans pour une convention aussi importante. Et quand j'y suis entré, mes yeux se sont agrandis : je pensais être venu à un congrès scientifique, et il y avait des messieurs avec les pagons de l'US Air Force. Ils ont discuté des systèmes de type HAARP, c'est-à-dire des émetteurs radio planaires, des systèmes plats qui peuvent être appliqués non seulement sous la forme d'objets terrestres, mais aussi dans des tailles plus petites, par exemple, sur une aile d'avion, ce qui ne dérange personne, l'avion vole, mais en même temps est un excellent émetteur, - dit Boris Rodionov, docteur en physique et mathématiques. sciences, professeur.
En 2002, le Sénat américain a tenu une audience à huis clos sur le rapport " La météo comme multiplicateur de force "... Voici comment l'armée américaine envisage les futures frappes météorologiques :
La Terre entière est divisée en zones, où la météo est surveillée par des satellites et des capteurs au sol, le commandement des armées américaines reçoit en quelques minutes des bulletins météorologiques pour la région où l'opération militaire doit avoir lieu ; selon ces informations, les climatologues militaires choisissent le type de grève climatique - sécheresse, tempête ou inondation.
Ensuite, les avions chargent les réactifs nécessaires et, aux heures de pointe, traitent l'atmosphère au-dessus du pays ennemi. Les militaires, qui ont préparé le rapport, ont recommandé aux législateurs de se retirer de la convention sur l'interdiction des impacts militaires sur l'environnement et de souligner que, par leur importance, les armes climatiques feront le même coup dans le monde que les premières bombes atomiques.
HAARP cible actuellement principalement l'ionosphère et les processus géophysiques. Il est capable de provoquer des tremblements de terre, il est capable de provoquer des changements dans la formation météorologique, provoquant des ouragans. HAARP est capable de perturber le fonctionnement des systèmes de contrôle électronique, des systèmes de communication radio, de la navigation, HAARP est capable de désactiver les engins spatiaux.
Il convient également de noter qu'un certain nombre d'autres pays travaillent au développement d'armes géophysiques. Par exemple, la Chine dépense 40 millions de dollars par an et emploie 35 000 personnes pour apporter la pluie afin de sauver les récoltes de la sécheresse ou de la grêle, et The Independent a écrit en 2001 que Le ministère britannique de la Défense se prépare aux guerres climatiques.
En fonds médias de masse a prétendu que une formation similaire est en cours en Israël, au Japon et en Corée du Sud.
En janvier 1999, l'Union européenne a nommé HAARP un projet d'intérêt mondial et a adopté une résolution pour fournir plus d'informations sur les risques potentiels pour la santé et l'environnement. Aujourd'hui, les scientifiques des principales puissances mondiales se sont rapprochés de la possibilité d'influencer la météo, mais l'humanité doit être extrêmement prudente : le prix de la victoire dans la lutte contre la nature peut être trop élevé.
Ceux qui espéraient intimider les habitants de la Russie à l'été 2010 se sont largement trompés. Au cours des 100 dernières années, la Russie a connu deux guerres mondiales, la famine, la destruction de l'Union soviétique, des crises et la perestroïka. Mais la Russie est toujours sortie des épreuves difficiles avec honneur.
En plus de la Russie, presque toutes les puissances, même l'Ukraine inoffensive, peuvent tomber sous le coup de ce monstre, le public devrait donc se préoccuper des problèmes liés aux activités de HAARP. Le commun des mortels, à première vue, n'a pas la capacité d'influencer le cours d'événements de cette ampleur, mais ce n'est pas une raison pour désespérer et abandonner. Les États-Unis attirent l'attention du monde entier en menant des recherches secrètes en Alaska.
HAARP : les données de magnétométrie montrent que le tremblement de terre au Japon a été provoqué
Selon le Dr Sall, la catastrophe du réacteur nucléaire de Fukushima était le résultat de l'utilisation de la super-arme géophysique HAARP contre le Japon. Ceci est confirmé par les spectrogrammes à ultra-basse fréquence du magnétomètre à induction du site Web HAARP.
Spectrogramme de fréquences de rayonnement enregistré par le magnétomètre à induction HAARP lors du tremblement de terre au Japon le 11 mars 2012 et de la catastrophe des réacteurs nucléaires de Fukushima. La ligne rouge verticale représentera le moment où le séisme s'est produit.
L'Air Force et l'United States Navy ont fourni une image visuelle de ce qui a causé le tremblement de terre (magnitude 9,0) au Japon le 11 mars 2011 à 5:46:23 UTC ( Temps universel coordonné - note du traducteur. perevodika.ru). L'image ci-dessus a été téléchargée à partir du site Web HAARP ( Programme de recherche sur les aurorales actives à haute fréquence programme de recherche sur les rayonnements à haute fréquence, note du traducteur. perevodika.ru).
Ce spectrogramme (coordonnées - fréquence et temps) montre les fréquences des émissions enregistrées par le magnétomètre à induction HAARP. Cet instrument, fourni par l'Université de Tokyo, enregistre les changements de fréquences ultra-basses (ULF - Ultra Low Frequency), dans la gamme de 0 à 5 hertz, dans le champ géomagnétique terrestre (magnétosphère). Des notes ont été ajoutées à l'image pour vous montrer ce qui s'est passé le jour du tremblement de terre et du tsunami.
Si vous regardez le spectrogramme HAARP, vous pouvez voir le moment où le tremblement de terre s'est produit (ligne rouge verticale), et - ce qui s'est passé avant et après cela. Sur le spectrogramme, vous pouvez voir un rayonnement d'une fréquence constante de 2,5 hertz, enregistré par le magnétomètre.
Un signal de 2,5 hertz est une indication qu'un tremblement de terre a été induit. Sur le schéma, ce signal est enregistré avant, pendant et après le séisme. Le 11 mars 2011, un signal de 2,5 Hz est passé et a été enregistré de 00h00 à environ 10h00 - ou pendant 10 heures.
Nous savons pertinemment que le séisme au Japon n'a duré que quelques minutes, alors pourquoi le signal - la signature du séisme (fréquence 2,5 Hz) - a-t-il été enregistré pendant 10 heures le matin du 11 mars 2011 ? Parce que le système multiéléments HAARP transmettait (émettait) un signal d'une fréquence de 2,5 Hz, ce qui a provoqué le tremblement de terre au Japon et le tsunami qui a suivi.
Si vous allez sur le site officiel de HAARP, vous pouvez vérifier personnellement que le signal 2,5 Hz a été transmis non seulement pendant 10 heures, mais il a été constamment transmis pendant 2 jours avant le tremblement de terre. Comme vous pouvez le voir sur la page du site HAARP.
La diffusion du signal a commencé le 8 mars 2011, juste avant minuit. Cliquez sur le lien « Jour suivant » et vous verrez que le signal de 2,5 Hz qui a causé le tremblement de terre a été transmis les 9 et 10 mars 2011. Même si le signal de 2,5 Hz (la "signature" du tremblement de terre) a été affiché les 9 et 10 mars, il n'y a eu aucun tremblement de terre sur la côte est du Japon.
Quelle est la valeur de la transmission du signal à 2,5 Hz ? La fréquence de résonance naturelle du séisme est de 2,5 Hz. Des scientifiques travaillant pour l'armée américaine l'ont découvert en utilisant le système d'antennes à réseau phasé HAARP en Alaska. Les propres diagrammes de HAARP suggèrent qu'il y a eu des tremblements de terre continus pendant ces trois jours. Nous savons pertinemment que ce n'était pas le cas.
Les données du magnétomètre HAARP fournissent la preuve que le tremblement de terre au Japon n'était pas un tremblement de terre naturel - il a été déclenché artificiellement. Ces données nous montrent que l'installation militaire HAARP transmettait un signal avec une fréquence de signature de tremblement de terre connue pour déclencher un tremblement de terre massif.
Au début de 2011, il y avait une énorme mer d'oiseaux dans de nombreux pays - en Suisse, aux États-Unis, en Suède, au Canada, en Italie, en Chine, au Japon, en Russie ... Des oiseaux de différents ordres et familles sont morts en troupeaux entiers dans différents zones climatiques... La station secrète américaine HAARP en Alaska a été soupçonnée, dont les expériences auraient servi gâchette pour les catastrophes naturelles (inondations dévastatrices, chaleur extrême, tremblements de terre, brouillards sur les aérodromes, ouragans dévastateurs, tornades et tempêtes, chutes de neige, sécheresses prolongées et "pluies verglaçantes"). Depuis l'Antiquité, un énorme ravageur des oiseaux a causé l'horreur chez les humains. Dans la Rome antique, la mort des oiseaux permettait aux prêtres de prédire la chute de Carthage. L'Ecclésiaste dit que la mort des oiseaux précédera l'apparition de l'Antéchrist. L'homme moderne libérés de telles superstitions, mais les chats se grattent l'âme. De plus, aucune explication intelligible pour la terrible peste n'a été offerte.
Trois faits sont connus sur l'Alaska. Premièrement, la Russie l'a vendu à l'Amérique à bas prix. Deuxièmement, le gouverneur de l'Alaska était la reine de beauté Sarah Palin, qui est presque devenue la première femme vice-présidente américaine. Et, troisièmement, en Alaska, se trouve un mystérieux château de Poudlard, la station HAARP, qui est gardée jour et nuit par les Marines et où, selon les rumeurs, le développement d'armes climatiques et géophysiques est en cours. C'est la troisième circonstance qui a rendu l'Alaska vraiment célèbre, car il apparaît désormais dans les théories conspirationnistes scandaleuses comme la principale cause des catastrophes naturelles.
HAARP (High Frequency Active Auroral Research Program) est un projet de recherche américain pour l'étude des aurores boréales. 60 m² km, un champ de 360 antennes de 22 mètres de haut a été construit, qui émettent des ondes radio à haute fréquence d'une puissance de 1,7 milliard de watts, ce qui est un million de fois plus élevé que le rayonnement solaire dans cette gamme. HAARP dispose également d'un radar d'un diamètre de 20 mètres. Les localisateurs laser, les magnétomètres, les ordinateurs traitent les signaux et contrôlent le champ électromagnétique. HAARP est l'outil le plus puissant pour influencer l'ionosphère, où se forment des amas de plasma, appelés plasmoïdes, qui peuvent être déplacés autour de l'ionosphère de l'hémisphère nord. Les plasmoïdes artificiels sont un million de fois plus puissants que les aurores boréales. Des champs d'antennes en Norvège à Tromsø et sur le croiseur "Wisconsin" permettent de diriger la réflexion synchrone de trois faisceaux de l'ionosphère terrestre vers le point souhaité. D'ailleurs, les États-Unis construisent depuis plusieurs années un complexe encore plus puissant au Groenland.
Selon la version officielle, des expériences civiles sont en cours sur le site d'essai. En 1977, les États-Unis ont signé la Convention sur l'interdiction de l'utilisation militaire ou de toute autre utilisation hostile de moyens d'influence environnement naturel". Cependant, certains experts pensent que l'Amérique a habillé un loup déguisé en mouton. De plus, aucun pays ne dispose de stations d'observation de l'ionosphère. La base de l'Alaska est clôturée avec du fil de fer barbelé et patrouillé marines... Autour - lance-roquettes "Patriot". L'espace aérien est fermé à tous les aéronefs civils et militaires. Cependant, le régime du secret et la solide participation financière aux expériences du Pentagone ne signifient pas encore que des armes sont développées à la station. Des systèmes de défense aérienne ont été installés à la base après le 11 septembre 2001.
On ne peut exclure que la raison de nos plaintes incessantes sur le climat et autres malheurs se situe dans le domaine de la neurasthénie. L'académicien Lev Zeleny, directeur de l'Institut de recherche spatiale de l'Académie des sciences de Russie, estime que l'époque actuelle, où le Soleil peut être comparé à la «Dame de Balzac» en termes d'âge, est la plus confortable pour une personne. Il n'est jamais venu à l'idée de comparer les statistiques des catastrophes naturelles par différentes époques... Et cela est difficilement possible en raison du manque de documents fiables. Mais la spéculation peut être convaincante...
Certains experts pensent qu'après 1997, lorsque la station HAARP a commencé à fonctionner, il y a eu sensiblement plus de catastrophes naturelles sur la planète. Cela s'est encore aggravé après le printemps 2006, lorsque HAARP a finalement été achevé et activé à pleine capacité. Le président vénézuélien Hugo Chavez a blâmé HAARP pour une série de tremblements de terre dévastateurs.
Bombe climatique et soucoupe volante
Ainsi, HAARP a été construit pour étudier l'ionosphère et les aurores boréales, pour étudier la tomographie de l'intérieur de la Terre à des milliers de mètres de profondeur - pour rechercher des gisements de matières premières, ainsi que pour localiser des objets souterrains, y compris ennemis ; jusqu'à la découverte des sous-marins dans l'océan. En revanche, l'IAARP peut établir une communication avec ses propres sous-marins, ce qui reste difficile. Une autre tâche consiste à mettre en place de nouveaux systèmes de défense aérienne et antimissile capables de détecter le lancement de missiles balistiques et de désactiver les satellites spatiaux d'autres personnes.
"90 pour cent des discussions sur les armes climatiques sont un Panama franc", a déclaré à Izvestia Vladimir Fortov, académicien-secrétaire du plus grand département d'ingénierie énergétique et mécanique de l'Académie des sciences de Russie. - Je n'ai pas vu une seule preuve convaincante de l'existence d'armes climatiques, bien que je cherchais. C'est comme parler d'ovnis. L'ionosphère est très labile et sujette à diverses influences, mais il n'y a aucune preuve que les humains aient créé de tels systèmes. Aujourd'hui, on peut parler d'armes climatiques avec la même certitude qu'on peut dire que David a planté Goliath dans le front non pas avec une pierre, mais avec un projectile perforant. Mais les systèmes au sol sont conçus pour être solides pulsation éléctromagnétique peut endommager n'importe quel équipement. La Russie a de tels systèmes dans la version au sol. On ne sait pas si cet effet peut être obtenu depuis l'espace.
« Les oiseaux meurent de chimie », déclare l'académicien Vitaly Adushkin, directeur de l'Institut de dynamique des géosphères de l'Académie des sciences de Russie. - NAARP, avec qui nous avons eu des contacts, est une question très délicate et difficile. Les capacités de la station doivent être étudiées, beaucoup de choses sont dans le brouillard. La communication avec les sous-marins sur de longues ondes utilisant cette technologie est réelle et efficace. La destruction de satellites spatiaux par impulsion localisée et réchauffement de l'ionosphère est également possible. On ne peut nier la possibilité d'impacter des objets depuis l'espace, et cette technologie est activement développée. Les armes climatiques sont une autre affaire. La Russie, à l'aide d'un équipement spécial, enregistre les impulsions ionosphériques de la station NAARP. Il n'y a aucune raison de parler de développement d'armes climatiques.
- Armes climatiques et géophysiques ? - Le directeur de l'Institut du magnétisme terrestre, de l'ionosphère et de la propagation des ondes radio de l'Académie des sciences de Russie, Vladimir Kuznetsov, n'est pas surpris par le problème des Izvestia. - La pensée dans ce sens fonctionne, il y a une recherche de mécanismes d'influence. HAARP ne peut être suspecté de rien de grave - la puissance est trop faible, les dimensions sont limitées. Pour parler aujourd'hui d'armes climatiques, il faut avoir une imagination débordante. Mais HAARP est la première étape dans l'étude des possibilités d'influence géophysique sur les processus terrestres. La Russie ne doit en aucun cas être à la traîne. Les facteurs géomagnétiques constituent une menace réelle pour l'infrastructure énergétique, en particulier pour les centrales électriques puissantes, les longues lignes électriques, les oléoducs et les gazoducs et les centrales nucléaires.
Pluie laser de l'espace
Comment les signaux magnétiques de l'espace peuvent-ils affecter le bien-être terrestre ? En principe, il est possible de forcer les plasmoïdes pompés avec de l'énergie à le laisser tomber dans une zone donnée, ce qui permettra d'obtenir l'effet de "pluie laser". Une avalanche de minuscules lasers enverra simultanément une impulsion d'énergie aux cibles stratégiques de l'ennemi, provoquera une paralysie et désactivera les équipements électriques et électroniques. Fantaisie? Mais les orages magnétiques naturels, même sans aucune provocation, conduisent à la génération de courants induits dans le système électrique, à la destruction de transformateurs, à l'arrêt de lignes électriques, perturbent protection anticorrosion canalisations. Cette Problème sérieux... Lors d'une réunion du Conseil des concepteurs généraux et en chef dans le domaine des secteurs de haute technologie de l'économie en décembre 2009, le Premier ministre russe Vladimir Poutine s'est fixé pour objectif d'atteindre un niveau de sécurité fondamentalement nouveau dans le secteur de l'énergie. Aux États-Unis, le « Electricity Grid Protection Program » est considéré comme essentiel à la sécurité nationale. La loi fédérale est déjà au Congrès. Cette loi est soutenue par l'Académie nationale des sciences et toutes les agences responsables de la sécurité nationale et de la sécurité du système électrique.
Ainsi, l'impact géophysique sur l'infrastructure terrestre depuis l'espace est techniquement possible. Un exemple est la guerre des États-Unis en Irak, lorsque les systèmes de communication radio ont été supprimés de l'espace. Il n'y a pas de faits fiables d'impact géophysique sur des objets terrestres plus complexes. Il n'y a pas de faits, mais la possibilité théorique - un jour avec le temps - n'est pas niée. Quant à l'impact ciblé des plasmoïdes ionosphériques sur la météo, la création de zones de haute pression et de température qui conduiront à des catastrophes naturelles calculées, les experts sérieux traitent de tels scénarios avec un grand scepticisme.
« Il existe des scénarios selon lesquels tout le secteur énergétique des États-Unis, de l'Europe et de la Russie peut être désactivé », poursuit l'académicien Vladimir Fortov. - Le problème est aggravé par le fait que nos réseaux électriques sont physiquement et moralement dépassés. S'ils ne sont pas mis à jour, les accidents graves augmenteront sans aucune influence extérieure... Aucun HAARP nécessaire. Il est nécessaire de créer des « smart grids » et des générateurs locaux capables de compenser les pertes du réseau électrique. Quant à Moscou la plus vulnérable, elle devrait être divisée en plusieurs clusters électriques indépendants.
"Il y avait plus de points pour mesurer le champ magnétique en URSS qu'aux États-Unis", a déclaré Alexei Gvishiani, membre correspondant de la RAS, de l'Institut de physique de la Terre. - Maintenant, vous pouvez vous fier aux lectures de seulement cinq points. Mais un centre de surveillance des changements magnétiques est déjà en cours de création, ce qui est nécessaire pour la sécurité nationale. La prochaine étape est la création de centres régionaux, comme aux États-Unis, où opère un réseau de 14 points.
Polygone envahi par les mauvaises herbes
En 2002, un groupe de députés communistes a écrit une lettre à l'ONU, exigeant de mettre fin aux activités « criminelles » de la station IAARP pour créer de nouvelles armes. Les communistes étaient fermement convaincus que les expériences en Alaska ont conduit à des inondations dans certaines régions et à des tornades dans d'autres. Les accusations ont été écrites avec une fourche sur l'eau, et des députés communistes compétents comme l'académicien Zhores Alferov n'ont pas signé la lettre. Il n'y a eu aucune réaction à la cidula de l'ONU inerte ...
Et enfin, une autre question importante. Pourquoi notre pays, pionnier dans l'exploration de l'Arctique, de l'atmosphère et de l'espace, n'a-t-il pas acquis sa propre station NAARP ? Il se trouve que je l'ai ! En 1981, dans les forêts denses, à 150 km de la ville fermée de Gorki, l'installation Sura a été construite sur le site de l'Institut de radiophysique. La superficie de l'objet est de 9 hectares, la hauteur des antennes est de 20 mètres, comme en Alaska. Dans les premières années, l'installation était financée par le ministère de la Défense, mais la source s'est tarie depuis longtemps. L'usine envahie par les mauvaises herbes ne fonctionne que 100 heures par an, le financement est 8 mille fois inférieur à celui de l'IAARP. La grande image pour l'ensemble science russe... Et les députés auraient dû jeter de la force sur ce front, et non composer des invectives. Si la situation ne change pas, un danger bien plus grand ne résidera pas dans les expériences sur le site de test HAARP, mais dans le fait que nous ne pourrons plus comprendre ce que font les adversaires en Alaska. Alors nous deviendrons certainement sans défense.
Alors pourquoi les catastrophes naturelles et les cataclysmes ? La nature dorlote, mais nous ne pouvons pas la comprendre, et par la nature humaine éternelle nous soupçonnons ceux qui se sont rapprochés de cette compréhension que les autres.
Gravité des catastrophes naturelles
2011 - mort massive et mystérieuse d'oiseaux à travers la planète ;
2010 - un tremblement de terre en Haïti, où plus de 200 000 personnes sont mortes, l'éruption du volcan Eyjafjallajokull en Islande, un effondrement aérien en Europe, la chaleur africaine en Russie, des "pluies verglaçantes" et encore un effondrement aérien ;
2009 - chaleur et feux de forêt dans le sud de l'Europe ;
2008 - un tremblement de terre en Chine, près de 100 000 personnes sont mortes, le cyclone Nargis et une catastrophe humanitaire au Myanmar ;
2005 est l'ouragan Katrina le plus destructeur de l'histoire des États-Unis, faisant 2 000 morts. Le Pakistan a connu le pire tremblement de terre jamais enregistré en Asie du Sud, tuant plus de 100 000 personnes ;
2004 - le tremblement de terre le plus destructeur de l'histoire au large des côtes indonésiennes a provoqué un tsunami, un raz de marée a fait 300 000 morts ;
2003 - L'ouragan le plus meurtrier et le plus destructeur de l'Atlantique, l'ouragan Isabelle a fait des milliers de morts et causé d'énormes dégâts dans de nombreux pays, y compris les plus grandes villes américaines ;
1999 - tremblement de terre en Turquie, 20 000 personnes sont mortes ;
1997-1998 - L'ouragan El Niño a causé des dommages record de 20 milliards de dollars.
De l'anglais, l'abréviation HAARP (HAARP) se traduit approximativement par "Programme de recherche active à haute fréquence des aurores boréales" - simple et inoffensif. Les gens étudient par eux-mêmes un phénomène naturel merveilleux. Une seule chose n'est pas claire : comment s'intéresser à ce beau phénomène, mais à première vue économiquement inutile, suffisamment pour payer des dizaines de milliards de dollars pour la recherche (et en plus pour le secret) ?
Le secret de Krasnoïarsk
Mais pour répondre à cette question, il faut remonter à la fin du 20e siècle. Puis l'URSS, en réponse à programme américain SDI a commencé à créer un réseau de localisateurs puissants capables, selon le plan des créateurs, de paralyser l'électronique embarquée missiles intercontinentaux et les faire dévier du cours. Le premier était le radar de Krasnoïarsk, mais pendant son fonctionnement, deux choses désagréables sont devenues claires : premièrement, le localisateur s'est avéré être capable de déterminer des cibles uniques (bien que plus qu'efficacement), et deuxièmement, après une minute de son fonctionnement, le la couche d'ozone dans la zone "d'impact" est devenue si dense qu'elle n'a pas passé le faisceau radar réel.
Il y avait encore une chose dont il n'était pas habituel de parler: le champ créé par le localisateur avait un effet assez étrange sur le psychisme des gens - ceux qui tombaient sous la couche d'ozone "compactée" par le localisateur avaient envie de s'enfuir , cacher - en général, cela provoquait, pour le moins, des émotions désagréables.
Le programme en URSS a été fermé, bien qu'un réseau de systèmes similaires le long des frontières du pays aurait annulé les deux premiers problèmes. (À propos du troisième, comme déjà mentionné, ils étaient silencieux.) Le localisateur pourrait également être utilisé à des fins pacifiques, par exemple, "réparer" des trous d'ozone, détruire des débris spatiaux, alimenter des satellites géocroiseurs, mais ... Dans les négociations sur la réduction des armements, les États-Unis ont surtout insisté sur le démantèlement du localisateur de Krasnoïarsk et ont atteint leur objectif.
Et quelques années seulement après la destruction du système unique de l'URSS, l'Amérique a immédiatement commencé à construire son propre système pratiquement similaire, soi-disant pour étudier … les aurores boréales.
Les gens qui pensent que les aurores boréales ne sont que des éclairs multicolores dans le ciel réfléchis par la glace et rien d'autre se trompent profondément. En fait, ce sont des processus assez complexes d'interaction des rayons cosmiques (en particulier solaires) avec l'ionosphère de notre terre, provoquant des effets étonnants.
Mais l'armée américaine, cachée derrière un programme au nom si paisible et si beau, n'allait pas du tout dépenser d'argent pour étudier ces effets. Leur essence était claire pour les chercheurs américains plus tôt, et le travail des scientifiques soviétiques avec le radar de Krasnoïarsk n'a fait que confirmer ce qui suit: sur la base d'expériences avec l'ionosphère, une arme exceptionnellement puissante et pratiquement invulnérable peut être créée.
disciple de Tesla
D'où vient une idée aussi destructrice en premier lieu ? Au milieu du 20e siècle, un certain Bernard Estlund, élève de Nikola Tesla, a préparé les bases scientifiques du programme HARP. En 1985, il a publié un ouvrage intitulé "Méthode et mécanisme de modification de la région de l'atmosphère terrestre, de l'ionosphère et de la magnétosphère" et a obtenu un brevet pour cela.
Ce projet impliquait la libération mondiale d'une immense quantité (de l'ordre de gigawatts) d'énergie dans les sphères extérieures de la Terre. Voici juste les conséquences d'un tel impact sur notre planète et sur toutes les formes de vie dans le travail d'Estlund en aucun cas pris en compte.
Quelques années plus tard, Estlund perd son brevet en raison de problèmes financiers. Et le Pentagone, sur la base de ses développements en 1992, a commencé à construire une puissante station radar en Alaska sur le terrain d'entraînement militaire de Gakkon.
Bientôt, la première unité HARP était prête. A 15 kilomètres au nord de Dacon (Alaska), sur une superficie d'environ 13 hectares, 180 antennes de 25 mètres de haut chacune, capables de délivrer une puissance jusqu'à 3600 kW, ont été dressées dans le ciel. Les antennes dirigées vers le zénith permettent de focaliser des impulsions de rayonnement à ondes courtes sur des parties individuelles de l'ionosphère et de les chauffer pour former un plasma à haute température.
Après un certain temps, un système similaire (seulement trois fois plus puissant) est apparu sur le territoire de la Norvège, le troisième est en cours de construction sur l'île du Groenland. Une fois terminé, tout l'hémisphère nord tombera dans un "filet" géant.
Le site Web de la Fédération des scientifiques américains prétend qu'il ne s'agit que de travail scientifique... Les stations auraient été créées pour étudier les propriétés de l'ionosphère afin de mieux utiliser les systèmes de communication. Certes, sur le même site il est écrit en petits caractères que ces expériences "scientifiques" sont financées par l'US Air Force et le département spécial de l'US Navy. Et les finances sont plutôt importantes : la station d'Alaska a dépensé à elle seule 25 milliards de dollars.
Lorsque les journalistes se sont interrogés sur la signification réelle de ces « études scientifiques » de ancien propriétaire brevet, il a expliqué que « la structure de l'antenne en Alaska est en fait une énorme arme à faisceau capable de détruire non seulement tous les réseaux de communication, mais aussi les missiles, les avions, les satellites et bien plus encore. De plus, il peut provoquer des catastrophes climatiques partout dans le monde, ou du moins dans certaines régions, et des rayonnements cosmiques mortels, contre lesquels il n'y a aucune protection, et à strictement parler certains endroits et tout cela à travers l'irresponsabilité des militaires et des responsables gouvernementaux. »
Voilà pour "l'étude des aurores boréales" - tout s'est avéré plus simple et, malheureusement, plus inquiétant.
Réveillez-vous dans la matrice
Les installations HARP fonctionnent déjà, mais pas à pleine capacité - les militaires eux-mêmes ont peur de leur création. Cependant, des « expérimentations » semblent être en cours. De nombreux scientifiques considèrent que la plupart des cataclysmes qui ont secoué le monde ces dernières années sont la conséquence de ces « expériences » contre nature. Il y a une sécheresse extraordinaire en Europe, et de nombreux tsunamis qui ont fait des milliers de morts, des tremblements de terre dans les endroits les plus inattendus et bien plus encore.
« Champs contrôlés » créés par des bases à haute fréquence en Alaska et en Norvège, en ce moment plus que couvrir tout le territoire de l'ex-URSS. Et cela signifie que les opérateurs de ces bases, en appuyant sur quelques boutons, peuvent facilement perturber le système de communication radio, annuler la navigation par satellite, perturber les radars de défense aérienne d'alerte précoce et désactiver l'électronique embarquée des navires et avions militaires et civils.
N'oublions pas le soi-disant Effets secondaires... Yuri Perunov - scientifique radio, leader soviétique et spécialiste russe dans le domaine de l'étude de l'interaction du rayonnement électromagnétique à haute fréquence avec l'environnement proche de la Terre - dans l'une de ses interviews, il a déclaré ce qui suit : « La poursuite des travaux sur le programme HARP donnera aux Américains une opportunité réelle et rapide de mettre la main sur les armes non seulement géophysiques et climatiques, mais aussi psychotroniques. En gros, un matin, les gens se réveilleront et ne pourront même pas comprendre que leurs pensées, leurs désirs, leurs goûts, leur choix de nourriture et de vêtements, leur humeur et Opinions politiques sont déterminés par l'exploitant de l'installation de type HARP. J'ai des raisons de croire que c'est précisément la proximité avec la création d'armes psychotroniques qui a été l'une des principales raisons pour lesquelles tous les résultats des recherches sur HARP en 1997 ont été classés. » Jusqu'à la fin des années 80, Yuri Perunov a fait des recherches intensives sur le seul domaine que HARP monopolise aujourd'hui. Mais le financement de notre travail dans ce domaine a été arrêté.
HAARP(Programme de recherche aurorale active à haute fréquence) est un programme de recherche aurorale active à haute fréquence. Il s'agit d'un projet de recherche américain visant à étudier l'interaction de l'ionosphère avec un puissant rayonnement électromagnétique. Le projet a été lancé en 1997 près du village de Gakona près de la rivière du même nom en Alaska. Mais en raison de la fin du financement après l'achèvement du contrat ou sous la pression du public en raison d'une série de scandales, le projet a été fermé et mis en veilleuse.
Cette installation coûteuse a été exploitée par l'US Air Force jusqu'en août 2015, date à laquelle le titre a été transféré à l'Institut géophysique de l'Université d'Alaska à Fairbanks. On croyait que tout travail actif sur celui-ci avait été arrêté. A l'université, on peut lire que "les instruments scientifiques installés à l'observatoire HAARP peuvent également être utilisés pour diverses études en cours qui n'impliquent pas l'utilisation de l'IRR, mais sont strictement passives". En général, rien d'intéressant.
Soudain, des informations apparaissent sur le réseau selon lesquelles le chercheur principal de ce projet, Chris Fallen, mènera toute une série d'expériences financées par l'extérieur avec HAARP du 6 au 14 avril 2018. Il l'a annoncé lui-même et a également invité tous les radioamateurs intéressés à rejoindre ce projet sur son Twitter.
Chris Fallen ajoute également que ce n'est pas le moment idéal pour mener de telles expériences en raison de la période actuelle du cycle solaire. Dans le Gakon, en Alaska, il ne fait actuellement pas assez sombre pour observer la lueur de l'ionosphère causée par le rayonnement HAARP. Mais le client ne semble pas vouloir attendre.
L'idée principale du scientifique était d'attirer le plus de radioamateurs possible avec leur équipement. Ces passionnés du monde entier surveilleront les signaux transmis par HAARP dans les bandes de fréquences de 2,7 à 10 MHz, avec diverses caractéristiques dynamiques. Chaque participant pourra « tweeter » ses succès à Chris Fallen, et lui-même programmera les sessions de diffusion et coordonnera tout le travail. De plus, il sera possible de photographier l'« aurore » artificielle créée par HAARP.
C'est devenu intéressant pour moi : après tout, ce ne sont plus des "recherches passives", mais les plus actives. Le scientifique définit la direction, la fréquence et la forme du signal, et les observateurs rapportent qui a réussi à corriger ce signal et tous ses paramètres.
Notez que les signaux HAARP ont été captés non seulement par des radioamateurs en Amérique du Nord, mais aussi Amérique du Sud, Europe, Russie, Ukraine, Japon et Hawaï.
Même si Chris Fallen lui-même dit : « C'est une question difficile. Personne ne dit que la science de la radio et du plasma spatial est simple. » Mais, après avoir analysé la nature des signaux, leur fréquence et les messages des radioamateurs sur la réception des signaux, nous pouvons tirer quelques conclusions.
En termes militaires, le "réglage du tir" est effectué avec l'enregistrement des "résultats de tir" et l'alignement des équipements. Au cours des expérimentations, les fréquences, la configuration des signaux transmis, le sens et la durée d'exposition (de 20 minutes à 2 heures) ont été sélectionnés. De plus, pour autant que je sache, de tels signaux variables avec une certaine périodicité peuvent provoquer des oscillations résonantes de l'ionosphère. Pourtant, ce n'est pas en vain que j'ai obtenu mon diplôme du Radio Engineering Institute.
Notre Terre est un condensateur sphérique, dont une partie est une ionosphère conductrice, l'autre est la surface de la Terre, et entre eux le diélectrique est constitué des couches atmosphériques. Tout ce système est en équilibre dynamique. Si un processus d'onde est provoqué dans ce condensateur sphérique, alors sous l'influence du rayonnement solaire, il peut être amélioré en superposant des ondes. Dans certaines conditions, cela conduira à une autogénération due au pompage de l'énergie du Soleil. Un processus ondulatoire assez puissant se produira dans l'ionosphère, ce qui aura un impact significatif sur la formation du temps. Et le pôle magnétique de la Terre se déplace vers le Canada et l'Alaska, et les lignes de tension de la magnétosphère y convergent. Cette position peut être qualifiée de stratégique. De cette façon, il est possible d'influencer les flux auroraux de particules chargées dans la région du pôle Nord, qui sont réparties le long des lignes de force magnétique de la Terre sur de grandes distances.
Permettez-moi de vous rappeler que nous parlons du générateur haute fréquence le plus puissant au monde.
Actuellement, 720 émetteurs radio participent aux travaux de HAARP, qui alimentent 5 génératrices diesel de locomotive. En une heure de fonctionnement, les générateurs brûlent 600 gallons (environ 2,27 tonnes) de carburant.
La capacité de HAARP, selon diverses sources, est estimée à 3,6-4,8 MW. Et le système utilise des antennes de transmission hautement directionnelles comme une antenne à réseau phasé capable de concentrer toute cette énorme énergie dans un faisceau étroit.
Si une ultra-haute intensité de champs électromagnétiques se produit dans une zone limitée, cela conduit à une ionisation supplémentaire de l'ionosphère. La lentille dite ionique est formée, à travers laquelle les flux solaires allant vers la Terre sont amplifiés. Ils provoquent une élévation des températures de surface, entraînant des sécheresses, des incendies, etc. Dans d'autres cas, au contraire, des lentilles sont créées qui provoquent de fortes précipitations. Selon la version, l'impact de HAARP peut conduire au déclenchement d'un séisme en affectant les zones de tension de la croûte terrestre au niveau des joints des plaques.
Il faut dire que les plasmoïdes artificiels créés avec certains paramètres du rayonnement de la pompe sont utilisés comme un immense miroir reflétant le rayonnement focalisé sur lui dans une certaine direction. De tels miroirs, créés à une hauteur considérable au-dessus de la Terre, permettent au signal réfléchi d'être dirigé bien au-delà de l'horizon de la ligne de visée.
Voici quelques brevets américains pour votre référence, où des technologies similaires sont utilisées :
un. . Procédé et dispositif pour modifier une partie de l'atmosphère terrestre, de l'ionosphère et (ou) de la magnétosphère.
2.. Création de nuages artificiels ionisés au-dessus de la Terre.
3.. Procédé et dispositif pour créer une région de plasma au moyen d'un chauffage électronique artificiel et cyclotron.
4. . Tomographie globale de la Terre utilisant des modulations de flux d'électrons dans l'ionosphère.
5. . Système d'alimentation rayonnante.
6.. Miroir ionosphérique artificiel en couche de plasma inclinable.
L'organigramme, que l'on peut appeler la nouvelle doctrine des forces armées américaines, est également intéressant. Elle consiste à faire appel à des entreprises privées comme « entrepreneurs » pour exécuter des travaux pour le gouvernement dans le cadre de contrats. Et puisque les entrepreneurs sont des entreprises privées, ils ont le droit de tout classer, y compris les dépenses, les revenus et toutes les actions qu'ils effectuent. Cela se justifie par le fait qu'une telle activité est un secret commercial et que si les concurrents le découvrent, ils subiront des pertes financières. Ainsi, toutes les dépenses et actions du gouvernement sont classées et ne sont pas soumises au contrôle et à la supervision du Congrès américain.
HAARP est également associé au radar de surface remorqué Sea-Based X-Band Radar Platform (SBX), qui peut se déplacer librement dans l'océan Pacifique ou Atlantique sous le couvert d'un groupe de porte-avions (AUG). Son radar principal, pesant 1820 tonnes avec un réseau d'antennes actives en phase (AFAR), fonctionnant en bande X (8-12 GHz) et protégé par un dôme de 31 m de diamètre, peut consommer plus d'1 mégawatt de puissance.
Quatre engins spatiaux sans pilote « Mission magnétosphérique multifonctionnelle » (MMS) pour l'étude de l'ionosphère et de la magnétosphère, lancés en 2015, sont également connectés à HAARP. Officiellement, ils collectent des informations sur la nature de la soi-disant reconnexion magnétique et tous les processus qui se produisent dans le plasma astrophysique. En état de fonctionnement, l'installation, constituée de quatre stations automatiques, doit conserver la forme d'un tétraèdre - un polyèdre dont toutes les faces forment des triangles réguliers. Autrement dit, une installation a été mise en orbite selon les principes de la géométrie tétraédrique, dont l'une des fonctions est de recevoir et de transférer des volumes d'énergie pratiquement inépuisables.
Les activités des scientifiques de l'Institut géophysique de l'Université d'Alaska et les travaux en cours avec HAARP ne sont pratiquement plus couverts. Que font-ils là-bas, nous ne le savons pas. Chris Fallen explique cela par le manque de financement et l'emploi des scientifiques qui y travaillent. Et ils ne veulent pas, semble-t-il, publier les résultats de leurs travaux à l'avance, craignant la concurrence dans le monde scientifique... S'il n'y avait pas eu besoin de volontaires pour ses expériences, nous n'aurions rien appris du tout. Il existe une association avec le "professeur fou" des films hollywoodiens, travaillant avec une installation secrète surpuissante capable de détruire la planète entière.
Ou peut-être que les États-Unis prévoient d'utiliser leurs technologies de lutte contre le changement climatique dans un avenir proche ?
Dans la société moderne, toutes les informations sont immédiatement diffusées sur le réseau et vous pouvez voir que les gens du monde entier enregistrent des nuages de forme inhabituelle, des sons étranges dans l'atmosphère, une lueur inhabituelle dans le ciel, etc. Peut-être, bien sûr, que ce sont toutes des coïncidences, mais très souvent, nous avons récemment entendu des messages d'information sur des conditions météorologiques anormales et des cataclysmes climatiques. Avant un tremblement de terre, les témoins oculaires remarquent parfois une lueur arc-en-ciel inhabituelle des nuages, mais les scientifiques expliquent tout par la tension dans les couches de la croûte terrestre. Peut-être qu'ils savent mieux que cela n'est causé, bien que ...
Un livre sur ce sujet a été publié - "Le programme" HAARP ". Armageddon, "par Nicholas Begich et Gene Manning. Notre écrivain de science-fiction Vasily Golovachev a un ouvrage "La guerre HAARP", dans lequel il décrit en détail l'utilisation des armes climatiques.
En général, on ne se détend pas, on observe et on partage des informations.