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L'Australien Mike O "Dwyer a revendiqué pour la première fois une renommée mondiale en inventant un dispositif de ventilation pour les chaussures de sport. feu, mais n'ont pas de pièces mobiles. Pour paraphraser la déclaration de son assistant, le système d'arme créé par O "Dwyer peut être décrit comme une combinaison d'un système feu de salve et "la bougie romaine". La société "" de Dwyer à Brisbane a été officiellement enregistrée en 1993, mais a utilisé son travail sur les armes basé sur l'idée du "mur de feu" au cours des neuf dernières années.
Dans sa forme la plus simple armes à feu la société est un seul baril, chargé d'un paquet de munitions, qui contient environ 15 séries de cartouches. Chaque projectile d'un paquet est équipé d'une charge propulsive et est tiré à son tour à l'aide d'un circuit d'allumage électrique. Étant donné que le système n'a pas de pièces mobiles en interaction et n'utilise pas de douilles qui doivent être jetées, les munitions peuvent être tirées en un flux presque continu. Dans ce cas, la cadence de tir n'est déterminée que par le temps nécessaire pour abaisser la pression dans le canon à un niveau sûr après le tir précédent. Théoriquement, la cadence de tir d'une telle arme peut atteindre 45 000 coups/min par baril, sous réserve d'un chargement ininterrompu.
Comme cela a déjà été démontré avec la mitraillette .22LR (5,56 mm) AM-180, un tir continu à très haute cadence peut causer des dommages à une cible qui sont complètement disproportionnés au calibre de l'arme ou au poids de la balle. . Société Orage de métal souligne également le potentiel de ses systèmes d'armes à causer des dommages structurels lorsqu'ils tirent à une cadence de « seulement » 45 000 coups par minute.
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Après avoir passé environ 15 000 heures et environ 2 millions de dollars en recherche et développement, Metal Storm a reçu sept prototypes opérationnels d'armes basées sur le nouveau principe à sa disposition. Au cours des tests, des milliers de coups de feu ont été tirés d'eux. Il a été possible d'atteindre une cadence de tir extrapolée d'environ 135 000 coups/min. Si vous combinez les canons, vous pouvez obtenir une puissance de feu assez importante. Le système d'arme à trois canons a montré une cadence de tir maximale de 135 000 coups / min. Les spécialistes de la société Metal Storm ont reçu ce chiffre lors d'essais au banc, tirant une rafale de 45 coups. Jusqu'à présent, les tests utilisaient des kits de tir avec une balle de 9 mm pesant 140 grains, équipés conformément à la norme de l'Institut des fabricants d'armes et de munitions de sport.
Prototype petites armes Le Mk.5 de la société est une nacelle de lancement compacte de 36 barils, chargée de 540 cartouches. Avec une cadence de test de 60 000 coups par minute pendant les tests, ce prototype est théoriquement capable de tirer à un rythme ahurissant de 1 620 000 coups par minute - ce que O "Dwyer a l'intention d'atteindre. Le Mk.5 combine 12 sous-systèmes à triple canon, chaque canon chargé de 45 cartouches. Et ce sous-système a déjà montré une cadence de tir de 135 000 coups/min. De plus, des modifications de conception importantes sont apportées au prototype afin d'augmenter la sécurité. Pour plus de simplicité, tous les tests ont été effectués avec des canons lisses. On pense que la transition vers les canons rayés ne créera pas de difficultés sérieuses. , mais l'utilisation de balles à plumes peut être une alternative.
Étonnamment, O "Dwyer déclare que lors d'un essai de tir avec les mains à une distance de 25 m, le système d'arme Mk.5 troncs lisses a montré une déviation du point médian de l'impact dans des groupes de seulement 0,79 pouces (environ 20 mm). V prototype armes de petit calibre, chaque balle est insérée manuellement dans le canon, séparée de la suivante par une cale en acier de 0,14 pouce (3,56 mm) de diamètre, puis moulée pour former un faisceau à l'arrière du canon. Pour équiper chaque projectile d'une charge propulsive de poudre de cartouche australienne conventionnelle BM2 pesant environ 5 grains, il y a des ports sur le dessus de l'arrière du canon, selon le nombre de projectiles, où la poudre est versée, puis la capsule électrique M52 le détonateur d'Olin est inséré.
À l'avenir, le concepteur a l'intention de combiner la balle avec une charge propulsive, au lieu de remplir la charge propulsive par les ports. Si la charge est solide, elle remplacera peut-être les joints actuellement utilisés. Dwyer envisage également la possibilité d'utiliser un détonateur interne et même un système d'allumage laser dans les dernières étapes du développement.
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À l'aide d'un circuit d'allumage électrique, vous pouvez tirer à la cadence requise à partir d'un ou plusieurs canons, alternativement ou simultanément. Les prototypes de l'arme utilisaient un relais électronique externe avec contrôle informatique de la société de Brisbon "MeT". Dans les dessins industriels, cependant, il est censé utiliser des éléments intégrés miniaturisés systèmes électroniques... L'état de l'arme sera indiqué sur l'écran LCD. Lorsque la charge propulsive est allumée, une balle relativement molle sous la pression des gaz en poudre se dilate et bouche hermétiquement le canon, et la compression des balles non tirées empêche les gaz et la flamme d'éclater vers l'arrière.
Des mesures spéciales lors d'essais au banc d'armes ont montré que la température d'un canon après avoir tiré une rafale de 15 coups à une cadence de 45 000 tr/min n'augmente que de 3,5°C. Chaque charge propulsive brûle dans un nouvel emplacement, ce qui réduit considérablement le risque de surchauffe du canon. La position de chaque balle dans le paquet par rapport à l'alésage affecte son balistique externe: par exemple, la balle la plus récente passe par le canal le plus long. De ce fait, avec les mêmes charges propulsives pour chaque munition, des variations sont inévitables vitesse initiale volée de balles situées en différents points de la liasse. Cette circonstance affecte également l'énergie de la balle au moment de heurter un obstacle et la propagation des balles sur la cible. De plus, le temps nécessaire pour que la pression dans l'alésage retombe à un niveau sûr après le tir sera différent pour chaque munition.
Cependant, O" Dwyer postule la possibilité de précharger le canon en munitions, en tenant compte différents postes dans un paquet, éliminant ainsi les variations ci-dessus. D'un autre côté, vous pouvez utiliser ces variations afin d'étendre la balle vers la cible. Il est possible de modifier la configuration des espaceurs pour les transformer en noyaux grâce à l'énergie cinétique, éventuellement amincie, auquel cas la balle sera remplacée par un puisard. L'alternative est d'installer une entretoise dans l'arc plutôt que dans la queue de chaque balle - le résultat sera le même.
Soutenu par l'Australian Trade Commission à Atlanta, Géorgie. USA, en 1995 O "Dwyer a entamé des négociations avec trois grands entreprises américaines pour la production d'armes de lui délivrer une licence pour nouvelle technologie pour le développement ultérieur des systèmes d'armes. Selon lui, il attend la conclusion d'un accord avec l'une des sociétés et a en outre reçu des nouvelles encourageantes en provenance d'Europe.
L'entreprise essaie vigoureusement d'appliquer ses concepts à une grande variété de systèmes militaires. Bien que la cadence de tir à 7 chiffres soit un bon leurre de marché, elle n'a pas beaucoup d'avantage en soi. de grande importance et certainement pas déterminant pour le système d'arme. Toute arme à partir de laquelle un tir continu est mené à une telle cadence sera bientôt à court de munitions. Le réapprovisionnement en munitions présentera de grandes difficultés pour le système logistique.
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Malgré le fait que l'entreprise ait obtenu un succès incontestable dans la fabrication d'armes de démonstration, il reste encore un long chemin à parcourir pour produire des échantillons adaptés à l'adoption. De plus, certains des systèmes de lancement de fusées multiples proposés par la société sont tout simplement impraticables. Ils exigeraient d'abandonner armes traditionnelles dans l'espoir d'obtenir des bénéfices qui peuvent en fait être inutiles à n'importe qui et même créer de nouveaux problèmes techniques, par exemple, en termes d'amortissement du recul - et pas seulement le système des plus grosses capybras.
Néanmoins, certaines des idées de Metal Storm méritent un examen sérieux. Un domaine où l'application du principe du mur de feu semble particulièrement attrayante est la défense aérienne rapprochée des navires. Systèmes de navires près défense aérienne - dernier espoir détruire l'approche missiles anti-navires comme ces deux missiles Exocet lancés par l'Irak, qui en 1987 ont gravement endommagé l'USS Stark (son système de défense aérienne à courte portée a été désactivé à ce moment-là).
Où pensez-vous qu'une arme pouvant tirer un million de coups par minute s'est propagée ?
Maintenant je vais vous dire...
Lorsque l'Australien Mike O'Dwyer a décidé de créer une arme record en termes de cadence de tir, il a suivi à la fois deux voies bien connues : augmenter le nombre de canons et la cadence de tir de chacun d'eux.
De plus, Mike a immédiatement décidé que des performances inhabituelles ne pouvaient être obtenues qu'en éliminant toutes les pièces mobiles du système, à l'exception gâchette... Pas de chargeurs séparés avec des cartouches, pas de boulons et ainsi de suite, ainsi de suite. D'ailleurs, dans systèmes réactifs le feu de volée n'est rien de tout cela. Et il n'y a que quelques barils, des obus incrustés dedans et un système de lancement électrique. L'idée était dans l'air.
Cependant, si pour un système lourd il est encore possible de raccorder 20, 30 voire 60 fûts entre eux, alors pour armes de poing combiner autant de barils serait insensé.
L'inventeur a trouvé une issue originale. L'ingénieur a eu l'idée de mettre plusieurs munitions dans chaque canon à la fois - l'une après l'autre. Entre eux des charges propulsives, et l'allumage de la poudre à canon s'effectue par le courant électrique. L'inventeur "a confié" à l'électronique la fourniture d'impulsions électriques dans la séquence requise.
"Orage de métal" - look exotique arme transformée en moyen de lutte contre les incendies (illustration du site metalstorm.com).
Mike a nommé la nouvelle technologie "Metal Storm". En ce qui concerne les balles, le nom pourrait être traduit par "Lead City". Soit dit en passant, sa société s'appelle également.
Bientôt, le premier prototype fonctionnel d'une telle arme est apparu - le pistolet VLe, faisant 50 000 coups par minute. Certes, seules sept balles ont été placées dans son seul canon, de sorte que toute la "ligne" a duré beaucoup moins qu'un clin d'œil. Aucun rechargement rapide n'était prévu ici. Une expérience est une expérience.
Tel que conçu par l'inventeur, arme similaire(avec seulement quelques canons), pourrait remplacer les pistolets de police actuels.
Trois balles tirées de ce VLe presque au même moment volent dans presque la même trajectoire. Bien que le recul même pour cela un bref délais déplace légèrement l'arme. La propagation est faible. Et il est utile ici - la chance d'atteindre la cible avec le premier "triple" coup augmente.
Il est curieux que ce pistolet fournisse un système électronique d'identification du propriétaire.
Jusqu'à ce que l'inventeur sache comment faire en sorte qu'une telle arme soit vraiment multichargée. Seules sept cartouches peuvent être préalablement placées dans le canon, qui peut être tiré une à la fois, par rafales de deux ou trois cartouches. Ou tout d'un coup en un centième de seconde environ.
Et puis - la procédure de charge peut être retardée. Donc pour l'instant, aucun policier ne changera son Colt ou son Béret pour VLe. Les rapports du pistolet à tir rapide ont fait le tour des médias du monde. Mais compte tenu de l'inadéquation de ce pistolet à un usage réel, l'intérêt pour l'entreprise s'est estompé. Cependant, l'Australien entreprenant a ouvert une succursale de la firme à Washington et a commencé à développer l'idée de "Metal City".
D'abord dans les dessins, puis dans le métal, de lourds systèmes de « compagnie » de feu massif sont apparus. Dans une salve, par exemple, à partir de 24 canons de calibre 30 ou 40 mm, chaque canon en centièmes de seconde tire 8 à 10 obus. En cas de coup réussi, cet essaim d'acier compact couvre un groupe de soldats ou d'équipements ennemis au sol ; ou le souffle en petits fragments cible aérienne.
Après avoir passé environ 15 000 heures et environ 2 millions de dollars en recherche et développement, Metal Storm a reçu sept prototypes opérationnels d'armes basées sur le nouveau principe à sa disposition. Au cours des tests, des milliers de coups de feu ont été tirés d'eux. Il a été possible d'atteindre une cadence de tir extrapolée d'environ 135 000 coups/min. Si vous combinez les canons, vous pouvez obtenir une puissance de feu assez importante. Le système d'arme à trois canons a montré une cadence de tir maximale de 135 000 coups / min. Les spécialistes de la société Metal Storm ont reçu ce chiffre lors d'essais au banc, tirant une rafale de 45 coups. Jusqu'à présent, les tests utilisaient des kits de tir avec une balle de 9 mm pesant 140 grains, équipés conformément à la norme de l'Institut des fabricants d'armes et de munitions de sport.
Le prototype d'armes légères Metal Storm Mk.5 est une nacelle de lancement compacte de 36 canons, chargée de 540 cartouches. Avec une cadence de test de 60 000 coups par minute pendant les tests, ce prototype est théoriquement capable de tirer à un rythme ahurissant de 1 620 000 coups par minute - ce que O "Dwyer a l'intention d'atteindre. Le Mk.5 combine 12 sous-systèmes à triple canon, chaque canon chargé de 45 cartouches. Et ce sous-système a déjà montré une cadence de tir de 135 000 coups/min. De plus, des modifications de conception importantes sont apportées au prototype afin d'augmenter la sécurité. Pour plus de simplicité, tous les tests ont été effectués avec des canons lisses. On pense que la transition vers les canons rayés ne créera pas de difficultés sérieuses. , mais l'utilisation de balles à plumes peut être une alternative.
Étonnamment, O "Dwyer a déclaré que lors d'un essai de tir avec les mains à une distance de 25 m, le système d'arme Mk.5 avec des canons lisses a montré une déviation du point central d'impact en groupes de seulement 0,79 pouces (environ 20 mm). chaque balle est insérée manuellement dans le canon, séparée de la suivante par un joint en acier de 0,14" (3,56 mm) de diamètre, puis compactée pour former un faisceau à l'arrière du canon. Granov dans la partie arrière du canon d'en haut sont des ports en fonction du nombre de projectiles, où la poudre est versée, puis le détonateur à capsule électrique M52 d'Olin est inséré.
À l'avenir, le concepteur a l'intention de combiner la balle avec une charge propulsive, au lieu de remplir la charge propulsive par les ports. Si la charge est solide, elle remplacera peut-être les joints actuellement utilisés. Dwyer envisage également la possibilité d'utiliser un détonateur interne et même un système d'allumage laser dans les dernières étapes du développement.
À l'aide d'un circuit d'allumage électrique, vous pouvez tirer à la cadence requise à partir d'un ou plusieurs canons, alternativement ou simultanément. Les prototypes de l'arme utilisaient un relais électronique externe avec contrôle informatique de la société de Brisbon "MeT". Dans les dessins industriels, cependant, il est prévu d'utiliser des systèmes électroniques embarqués miniaturisés. L'état de l'arme sera indiqué sur l'écran LCD. Lorsque la charge propulsive est allumée, une balle relativement molle sous la pression des gaz en poudre se dilate et scelle hermétiquement le canon, et la compression des balles non tirées empêche les gaz et la flamme d'éclater vers l'arrière.
Des mesures spéciales lors d'essais au banc d'armes ont montré que la température d'un canon après avoir tiré une rafale de 15 coups à une cadence de 45 000 tr/min n'augmente que de 3,5°C. Chaque charge propulsive brûle dans un nouvel emplacement, ce qui réduit considérablement le risque de surchauffe du canon. La position de chaque balle dans le paquet par rapport à l'alésage affecte sa balistique externe : par exemple, la balle la plus récente traverse l'alésage le plus long. De ce fait, avec les mêmes charges propulsives pour chaque munition, des variations de la vitesse de vol initiale des balles situées en différents points du faisceau sont inévitables. Cette circonstance affecte également l'énergie de la balle au moment de heurter un obstacle et la propagation des balles sur la cible. De plus, le temps nécessaire pour que la pression dans l'alésage retombe à un niveau sûr après le tir sera différent pour chaque munition.
Cependant, O "Dwyer a postulé la possibilité de précharger le canon avec des munitions faites pour différentes positions dans le paquet, éliminant ainsi les variations ci-dessus. D'autre part, ces variations peuvent être utilisées afin d'obtenir un espacement des balles au niveau de la cible. Il est possible de changer la configuration des entretoises pour les transformer dans les noyaux qui utilisent l'énergie cinétique, éventuellement à part entière, puis la balle sera remplacée par un puisard. Une alternative est d'installer une entretoise dans l'étrave plutôt que dans la queue de chacun bullet - le résultat sera le même.
Les "tempêtes de métal" pour le champ de bataille peuvent avoir un ensemble de barils de calibre différent et le stock total de coquillages dépasse la centaine. De plus, tous, si nécessaire, peuvent être libérés en centièmes de seconde (illustration du site metalstorm.com).
Soutenu par l'Australian Trade Commission à Atlanta, Géorgie. États-Unis, En 1995, O "Dwyer était en pourparlers avec trois grandes sociétés d'armement américaines pour lui accorder une licence sur une nouvelle technologie afin de développer davantage les systèmes d'armes. nouvelles d'Europe.
Metal Storm s'est efforcé d'appliquer ses concepts à une grande variété de systèmes militaires. Bien que la cadence de tir à sept chiffres soit un bon appât du marché, elle n'a pas vraiment d'importance en soi et n'est certainement pas déterminante pour le système d'arme. Toute arme à partir de laquelle un tir continu est mené à une telle cadence sera bientôt à court de munitions. Le réapprovisionnement en munitions présentera de grandes difficultés pour le système logistique.
Des prototypes de canons multi-canons de petit calibre de Metal Storm, qui n'avaient pas une seule pièce mobile (sans compter les tourelles pour viser l'ensemble du canon), ont tiré des dizaines et des centaines de munitions en une rafale ultra-courte lors des tests - à une cadence d'un million de coups par minute.
La version avion de "Metallic Storm" nettoie tout dans un rayon de plusieurs dizaines de mètres. Mais une seule fois par vol (illustration de metalstorm.com).
Son entreprise rêvait d'installer une telle arme sur un avion (dans un conteneur suspendu). La "tempête" aérienne est utile pour le traitement "salve" des cibles au sol les plus importantes.
Conçu par l'Australien et manuel arme d'assaut(aussi, bien sûr, avec le principe de Metal Storm) : avec plusieurs canons de différents calibres et commutation informatique des modes de tir.
La cadence folle de tirs de cette technique et le principe même de son action ressemblent imprimante à jet qui crache des milliers de gouttelettes d'encre par seconde sur le papier. Rappelez-vous quels paramètres étaient dans les premières imprimantes et quoi - dans les imprimantes modernes. Il y a de la place pour que le Metal Hurricane grandisse. Cependant, pour l'instant, l'« imprimante mortelle » reste une curiosité technique. Et il est clair que l'entreprise a besoin d'argent.
L'inventeur du canon à tir ultra-rapide a inventé et a commencé à promouvoir activement la ligne pacifique de son équipement "tempête". Par exemple, les canons exotiques "Metal Grad" pourraient tirer des centaines de capsules avec des agents extincteurs au cœur d'un incendie.
Pour éteindre les incendies violents (avions sur les aérodromes, gratte-ciel) - une telle technique serait très utile. De plus, les "ouragans" peuvent être montés non seulement sur des camions de pompiers, mais également sur des hélicoptères. Ils pouvaient rapidement étouffer les tirs dans les endroits difficiles d'accès et gagner du temps pour l'arrivée des forces principales.
Hélas, le "Metal Hail" n'a pas encore été utilisé à des fins pacifiques.
L'inventeur n'a pas perdu courage. Fin 2003, Metal Storm a acquis la société américaine ProCam, fabricant de pièces mécaniques de précision pour les systèmes d'armes et de munitions, afin de développer son activité, d'étendre le potentiel de production et d'expérimentation de l'entreprise et d'améliorer la technologie « Storm ».
Et le 5 février 2004, ProCam a reçu une commande de 272 000 $ de General Dynamics. Et bien que ce travail n'est pas directement lié à l'invention d'O'Dwyer, il est possible que l'activation de la "vie" dans l'entreprise affecte la promotion de Metal Storm.
Cependant, tant que le fait demeure, l'arme, qui tire à une vitesse d'un million de coups par minute, n'a pas trouvé preneur depuis vingt ans.
L'arme, qui tire à une vitesse d'un million de coups par minute, n'a pas trouvé preneur depuis dix ans. Cependant, l'auteur du développement a fondé sa propre entreprise, a proposé de nombreuses variétés intéressantes de "super tireurs" et a maintenant décidé d'appliquer la technologie de combat dans un domaine pacifique.
Lorsque l'Australien Mike O'Dwyer a décidé de créer une arme record en termes de cadence de tir, il a suivi à la fois deux voies bien connues : augmenter le nombre de canons et la cadence de tir de chacun d'eux.
De plus, Mike a immédiatement décidé que des performances inhabituelles ne pouvaient être obtenues qu'en éliminant toutes les pièces mobiles du système autres que la gâchette.
Pas de chargeurs séparés avec des cartouches, pas de boulons et ainsi de suite, ainsi de suite.
Soit dit en passant, il n'y a rien de tout cela dans les systèmes de lancement de fusées multiples. Et il n'y a que quelques barils, des obus incrustés dedans et un système de lancement électrique. L'idée était dans l'air.
Cependant, si pour un système lourd il est encore possible de connecter 20, 30 voire 60 canons ensemble, alors pour une arme de poing, combiner un tel nombre de canons sera de la folie.
L'inventeur a trouvé une issue originale. L'ingénieur a eu l'idée de mettre plusieurs munitions dans chaque canon à la fois - l'une après l'autre. Entre eux des charges propulsives, et l'allumage de la poudre à canon s'effectue par le courant électrique. L'inventeur "a confié" à l'électronique la fourniture d'impulsions électriques dans la séquence requise.
"Metal storm" - un type d'arme exotique transformé en moyen de lutte contre les incendies (illustration du site metalstorm.com).
Mike a nommé la nouvelle technologie "Metal Storm". En ce qui concerne les balles, le nom pourrait être traduit par "Lead City". Soit dit en passant, sa société s'appelle également.
Bientôt, le premier prototype fonctionnel d'une telle arme est apparu - le pistolet VLe, faisant 50 000 coups par minute.
Certes, seules sept balles ont été placées dans son seul canon, de sorte que toute la "ligne" a duré beaucoup moins qu'un clin d'œil. Aucun rechargement rapide n'était prévu ici. Une expérience est une expérience.
Selon l'idée de l'inventeur, une telle arme (avec seulement quelques canons) pourrait remplacer les pistolets actuels de la police.
Trois balles tirées de ce VLe presque au même moment volent dans presque la même trajectoire. Bien que le recul, même en si peu de temps, déplace légèrement l'arme. La propagation est faible. Et il est utile ici - la chance d'atteindre la cible avec le premier "triple" coup augmente.
Il est curieux que ce pistolet fournisse un système électronique d'identification du propriétaire.
Le VLe est le premier pistolet entièrement électronique au monde. Hormis la gâchette, il n'a aucune pièce mobile (photo de metalstorm.com).
Jusqu'à ce que l'inventeur sache comment faire en sorte qu'une telle arme soit vraiment multichargée. Seules sept cartouches peuvent être préalablement placées dans le canon, qui peut être tiré une à la fois, par rafales de deux ou trois cartouches. Ou tout d'un coup en un centième de seconde environ.
Les rapports du pistolet à tir rapide ont fait le tour des médias du monde. Mais compte tenu de l'inadéquation de ce pistolet à un usage réel, l'intérêt pour l'entreprise s'est estompé.
Cependant, l'Australien entreprenant a ouvert une succursale de la firme à Washington et a commencé à développer l'idée de "Metal City".
D'abord dans les dessins, puis dans le métal, de lourds systèmes de « compagnie » de feu massif sont apparus.
Dans une salve, par exemple, à partir de 24 canons de calibre 30 ou 40 mm, chaque canon en centièmes de seconde tire 8 à 10 obus.
En cas de coup réussi, cet essaim d'acier compact couvre un groupe de soldats ou d'équipements ennemis au sol ; ou souffle une cible aérienne en petits fragments.
Les "tempêtes de métal" pour le champ de bataille peuvent avoir un ensemble de barils de différents calibres et une réserve totale d'obus - plus d'une centaine. De plus, tous, si nécessaire, peuvent être libérés en centièmes de seconde (illustration du site metalstorm.com).
Des prototypes de canons multi-canons de petit calibre de Metal Storm, qui n'avaient pas une seule pièce mobile (sans compter les tourelles pour viser l'ensemble du canon), ont tiré des dizaines et des centaines de munitions en une rafale ultra-courte lors des tests - à une cadence d'un million de coups par minute.
O'Dwyer a pris contact avec l'armée américaine, qui s'est intéressée à la technologie australienne. À propos des éventuels achats et, de plus, l'adoption de la question n'est pas encore discutée. Mais avec le soutien, entre autres, des Américains, O'Dwyer poursuit ses recherches.
Son entreprise rêve d'installer une telle arme sur un avion (dans un conteneur suspendu). La "tempête" aérienne est utile pour le traitement "salve" des cibles au sol les plus importantes.
Un torrent d'orage recouvre l'équipement de l'ennemi (illustration du site metalstorm.com).
Conçoit une arme d'assaut australienne et portative (également, bien sûr, avec le principe de Metal Storm): avec plusieurs canons de différents calibres et commutation par ordinateur des modes de tir.
La cadence folle des prises de vue et le principe même de son fonctionnement font penser à une imprimante à jet d'encre, projetant des milliers de gouttelettes d'encre par seconde sur le papier.
Rappelez-vous quels paramètres étaient dans les premières imprimantes et quoi - dans les imprimantes modernes. Il y a de la place pour que le Metal Hurricane grandisse.
Cependant, pour l'instant, l'« imprimante mortelle » reste une curiosité technique. Et il est clair que l'entreprise a besoin d'argent.
L'inventeur du canon à tir ultra-rapide a inventé et a commencé à promouvoir activement la ligne pacifique de son équipement "tempête". Par exemple, les canons exotiques "Metal Grad" pourraient tirer des centaines de capsules avec des agents extincteurs au cœur d'un incendie.
Où pensez-vous qu'une arme pouvant tirer un million de coups par minute s'est propagée ?
Maintenant je vais vous dire...
Lorsque l'Australien Mike O'Dwyer a décidé de créer une arme record en termes de cadence de tir, il a suivi à la fois deux voies bien connues : augmenter le nombre de canons et la cadence de tir de chacun d'eux.
De plus, Mike a immédiatement décidé que des performances inhabituelles ne pouvaient être obtenues qu'en éliminant toutes les pièces mobiles du système autres que la gâchette. Pas de chargeurs séparés avec des cartouches, pas de boulons et ainsi de suite, ainsi de suite. Soit dit en passant, il n'y a rien de tout cela dans les systèmes de lancement de fusées multiples. Et il n'y a que quelques barils, des obus incrustés dedans et un système de lancement électrique. L'idée était dans l'air.
Cependant, si pour un système lourd il est encore possible de connecter 20, 30 voire 60 canons ensemble, alors pour une arme de poing, combiner un tel nombre de canons sera de la folie.
L'inventeur a trouvé une issue originale. L'ingénieur a eu l'idée de mettre plusieurs munitions dans chaque canon à la fois - l'une après l'autre. Entre eux des charges propulsives, et l'allumage de la poudre à canon s'effectue par le courant électrique. L'inventeur "a confié" à l'électronique la fourniture d'impulsions électriques dans la séquence requise.
"Metal storm" - un type d'arme exotique transformé en moyen de lutte contre les incendies (illustration du site metalstorm.com).
Mike a nommé la nouvelle technologie "Metal Storm". En ce qui concerne les balles, le nom pourrait être traduit par "Lead City". Soit dit en passant, sa société s'appelle également.
Bientôt, le premier prototype fonctionnel d'une telle arme est apparu - le pistolet VLe, faisant 50 000 coups par minute. Certes, seules sept balles ont été placées dans son seul canon, de sorte que toute la "ligne" a duré beaucoup moins qu'un clin d'œil. Aucun rechargement rapide n'était prévu ici. Une expérience est une expérience.
Selon l'idée de l'inventeur, une telle arme (avec seulement quelques canons) pourrait remplacer les pistolets actuels de la police.
Trois balles tirées de ce VLe presque au même moment volent dans presque la même trajectoire. Bien que le recul, même en si peu de temps, déplace légèrement l'arme. La propagation est faible. Et il est utile ici - la chance d'atteindre la cible avec le premier "triple" coup augmente.
Il est curieux que ce pistolet fournisse un système électronique d'identification du propriétaire.
Jusqu'à ce que l'inventeur sache comment faire en sorte qu'une telle arme soit vraiment multichargée. Seules sept cartouches peuvent être préalablement placées dans le canon, qui peut être tiré une à la fois, par rafales de deux ou trois cartouches. Ou tout d'un coup en un centième de seconde environ.
Et puis - la procédure de charge peut être retardée. Donc pour l'instant, aucun policier ne changera son Colt ou son Béret pour VLe. Les rapports du pistolet à tir rapide ont fait le tour des médias du monde. Mais compte tenu de l'inadéquation de ce pistolet à un usage réel, l'intérêt pour l'entreprise s'est estompé. Cependant, l'Australien entreprenant a ouvert une succursale de la firme à Washington et a commencé à développer l'idée de "Metal City".
D'abord dans les dessins, puis dans le métal, de lourds systèmes de « compagnie » de feu massif sont apparus. Dans une salve, par exemple, à partir de 24 canons de calibre 30 ou 40 mm, chaque canon en centièmes de seconde tire 8 à 10 obus. En cas de coup réussi, cet essaim d'acier compact couvre un groupe de soldats ou d'équipements ennemis au sol ; ou souffle une cible aérienne en petits fragments.
Après avoir passé environ 15 000 heures et environ 2 millions de dollars en recherche et développement, Metal Storm a reçu sept prototypes opérationnels d'armes basées sur le nouveau principe à sa disposition. Au cours des tests, des milliers de coups de feu ont été tirés d'eux. Il a été possible d'atteindre une cadence de tir extrapolée d'environ 135 000 coups/min. Si vous combinez les canons, vous pouvez obtenir une puissance de feu assez importante. Le système d'arme à trois canons a montré une cadence de tir maximale de 135 000 coups / min. Les spécialistes de la société Metal Storm ont reçu ce chiffre lors d'essais au banc, tirant une rafale de 45 coups. Jusqu'à présent, les tests utilisaient des kits de tir avec une balle de 9 mm pesant 140 grains, équipés conformément à la norme de l'Institut des fabricants d'armes et de munitions de sport.
Le prototype d'armes légères Metal Storm Mk.5 est une nacelle de lancement compacte de 36 canons, chargée de 540 cartouches. Avec une cadence de test de 60 000 coups par minute pendant les tests, ce prototype est théoriquement capable de tirer à un taux ahurissant de 1 620 000 coups par minute - ce que O'Dwyer a l'intention d'atteindre. Le Mk.5 combine 12 sous-systèmes à triple canon, dont chaque canon est chargé de 45 cartouches. Et ce sous-système a déjà affiché une cadence de tir de 135 000 coups/min. De plus, des modifications de conception importantes sont apportées au prototype afin d'améliorer la sécurité. Par souci de simplicité, tous les tests ont été effectués à l'aide de canons lisses. On pense que la transition vers des canons rayés ne créera pas de difficultés sérieuses, mais l'utilisation de balles à plumes peut être une alternative.
Étonnamment, O'Dwyer a déclaré que lors d'un essai de tir avec les mains à une distance de 25 m, le système d'arme Mk.5 avec des canons lisses a montré une déviation du point central d'impact en groupes de seulement 0,79 pouces (environ 20 mm). Dans les prototypes d'armes légères, chaque balle est insérée manuellement dans le canon, séparée de la suivante par une cale en acier de 0,14 pouce (3,56 mm), puis compactée pour former un faisceau à l'arrière du canon. Pour équiper chaque projectile d'une charge propulsive de poudre de cartouche australienne conventionnelle BM2 pesant environ 5 grains, il y a des ports sur le dessus de l'arrière du canon, selon le nombre de projectiles, où la poudre est versée, puis la capsule électrique M52 le détonateur d'Olin est inséré.
À l'avenir, le concepteur a l'intention de combiner la balle avec une charge propulsive, au lieu de remplir la charge propulsive par les ports. Si la charge est solide, elle remplacera peut-être les joints actuellement utilisés. O'Dwyer envisage également la possibilité d'utiliser un capuchon de détonateur interne et même un système d'allumage laser aux étapes finales du développement.
À l'aide d'un circuit d'allumage électrique, vous pouvez tirer à la cadence requise à partir d'un ou plusieurs canons, alternativement ou simultanément. Les prototypes de l'arme utilisaient un relais électronique externe avec un contrôle informatique de la société de Brisbon "MeT". Dans les dessins industriels, cependant, il est prévu d'utiliser des systèmes électroniques embarqués miniaturisés. L'état de l'arme sera indiqué sur l'écran LCD. Lorsque la charge propulsive est allumée, une balle relativement molle sous la pression des gaz en poudre se dilate et scelle hermétiquement le canon, et la compression des balles non tirées empêche les gaz et la flamme d'éclater vers l'arrière.
Des mesures spéciales lors d'essais au banc d'armes ont montré que la température d'un canon après avoir tiré une rafale de 15 coups à une cadence de 45 000 tr/min n'augmente que de 3,5°C. Chaque charge propulsive brûle dans un nouvel emplacement, ce qui réduit considérablement le risque de surchauffe du canon. La position de chaque balle dans le paquet par rapport à l'alésage affecte sa balistique externe : par exemple, la balle la plus récente traverse l'alésage le plus long. De ce fait, avec les mêmes charges propulsives pour chaque munition, des variations de la vitesse de vol initiale des balles situées en différents points du faisceau sont inévitables. Cette circonstance affecte également l'énergie de la balle au moment de heurter un obstacle et la propagation des balles sur la cible. De plus, le temps nécessaire pour que la pression dans l'alésage retombe à un niveau sûr après le tir sera différent pour chaque munition.
Cependant, O'Dwyer a postulé la possibilité de pré-charger le canon avec des munitions faites pour différentes positions dans le paquet, éliminant ainsi les variations ci-dessus. D'un autre côté, vous pouvez utiliser ces variations afin d'étendre la balle vers la cible. Il est possible de modifier la configuration des espaceurs pour les transformer en noyaux grâce à l'énergie cinétique, éventuellement amincie, auquel cas la balle sera remplacée par un puisard. L'alternative est d'installer une entretoise dans l'arc plutôt que dans la queue de chaque balle - le résultat sera le même.
Les "tempêtes de métal" pour le champ de bataille peuvent avoir un ensemble de barils de différents calibres et une réserve totale d'obus - plus d'une centaine. De plus, tous, si nécessaire, peuvent être libérés en centièmes de seconde (illustration du site metalstorm.com).
Soutenu par l'Australian Trade Commission à Atlanta, Géorgie. États-Unis, en 1995, O'Dwyer a négocié avec trois grandes sociétés d'armement américaines pour lui accorder une licence pour une nouvelle technologie afin de développer davantage les systèmes d'armes. Selon lui, il attend la conclusion d'un accord avec l'une des sociétés et a en outre reçu des nouvelles encourageantes en provenance d'Europe.
Metal Storm s'est efforcé d'appliquer ses concepts à une grande variété de systèmes militaires. Bien que la cadence de tir à sept chiffres soit un bon appât du marché, elle n'a pas vraiment d'importance en soi et n'est certainement pas déterminante pour le système d'arme. Toute arme à partir de laquelle un tir continu est mené à une telle cadence sera bientôt à court de munitions. Le réapprovisionnement en munitions présentera de grandes difficultés pour le système logistique.
Des prototypes de canons multi-canons de petit calibre de Metal Storm, qui n'avaient pas une seule pièce mobile (sans compter les tourelles pour viser l'ensemble du canon), ont tiré des dizaines et des centaines de munitions en une rafale ultra-courte lors des tests - à une cadence d'un million de coups par minute.
La version avion de "Metallic Storm" nettoie tout dans un rayon de plusieurs dizaines de mètres. Mais une seule fois par vol (illustration de metalstorm.com).
Son entreprise rêvait d'installer une telle arme sur un avion (dans un conteneur suspendu). La "tempête" aérienne est utile pour le traitement "salve" des cibles au sol les plus importantes.
Conçu par les armes d'assaut australiennes et portatives (également, bien sûr, avec le principe de Metal Storm): avec plusieurs canons de différents calibres et commutation informatique des modes de tir.
La cadence folle des prises de vue et le principe même de son fonctionnement font penser à une imprimante à jet d'encre, projetant des milliers de gouttelettes d'encre par seconde sur le papier. Rappelez-vous quels paramètres étaient dans les premières imprimantes et quoi - dans les imprimantes modernes. Il y a de la place pour que le Metal Hurricane grandisse. Cependant, pour l'instant, l'« imprimante mortelle » reste une curiosité technique. Et il est clair que l'entreprise a besoin d'argent.
L'inventeur du canon à tir ultra-rapide a inventé et a commencé à promouvoir activement la ligne pacifique de son équipement "tempête". Par exemple, les canons exotiques "Metal Grad" pourraient tirer des centaines de capsules avec des agents extincteurs au cœur d'un incendie.
Pour éteindre les incendies violents (avions sur les aérodromes, gratte-ciel) - une telle technique serait très utile. De plus, les "ouragans" peuvent être montés non seulement sur des camions de pompiers, mais également sur des hélicoptères. Ils pouvaient rapidement étouffer les tirs dans les endroits difficiles d'accès et gagner du temps pour l'arrivée des forces principales.
Hélas, le "Metal Hail" n'a pas encore été utilisé à des fins pacifiques.
L'inventeur n'a pas perdu courage. Fin 2003, Metal Storm a acquis la société américaine ProCam, fabricant de pièces mécaniques de précision pour les systèmes d'armes et de munitions, afin de développer son activité, d'étendre le potentiel de production et d'expérimentation de l'entreprise et d'améliorer la technologie « Storm ».
Et le 5 février 2004, ProCam a reçu une commande de 272 000 $ de General Dynamics. Et bien que ce travail ne soit pas directement lié à l'invention d'O'Dwyer, il est possible que l'activation de la "vie" dans l'entreprise affecte la promotion de Metal Storm.
Cependant, tant que le fait demeure, l'arme, qui tire à une vitesse d'un million de coups par minute, n'a pas trouvé preneur depuis vingt ans.