Pistolets antichars Ce sont les concepteurs militaires allemands qui ont été les inventeurs des fusils sans recul et des canons coniques, qui semblaient être la solution au problème de fournir des canons antichars légers mais efficaces à l'infanterie et

Mitraillettes, mitraillettes et fusils d'assaut Auparavant, des mitraillettes (mitraillettes) MP-40 (MP-40) (cartouche 9x19 mm) fabriquées par l'Allemagne nazie étaient également utilisées; mitraillette anglaise (et américaine) Thompson (Thompson) (cartouche 11, 43x23 mm, chargeur pour 20, 30 ou 40 coups

Chapitre II Moyens d'agression Description des moyens spéciaux. Sous-marin nain type SA. Torpille guidée SLC et son application. Torpille San Bartolomeo SSB. Bateau explosif MTM. MTR du même type, transporté par sous-marin. Torpilleur MTS et MTSM du même type

AUTOMATIQUES ET FUSILS D'ASSAUT République d'Autriche STEYR AUGFabricant : Steyr - Mannlicbier AG & Co KG, ADI Limited, Lithgow Facility, SME Technologies Années de production : 1978 - présent Années d'exploitation : 1978 - présent Constructeurs : Horst Been, Karl Wagner, Karl Moser Sortie en série

Canons d'assaut de la Wehrmacht et chasseurs de chars de la période de la Seconde Guerre mondiale partie 1

Les meilleurs chars d'assaut de la Wehrmacht - "tigre de Sturm" Partie 1 Aujourd'hui, l'histoire portera sur les montures d'artillerie automotrices d'assaut lourd. Les chars d'assaut étaient des véhicules de combat exceptionnellement puissants. Les chars d'assaut avaient une armure solide et leur armement comprenait un canon de gros calibre. Si les chars lourds étaient équipés de canons de calibre 88 mm (allemand "Tiger") et 122 mm (soviétique IS-2). Les canons d'assaut comme l'ISU-152 et le Su-152 étaient armés de canons de 152 mm. Le même "Brummer" allemand était armé d'un canon de 150 mm et était un canon d'assaut. Cependant, les Allemands ont créé un char d'assaut sans précédent, qui n'avait pas d'analogue : le Sturmtigr.

Canon d'assaut automoteur lourd soviétique Su-152

Pistolet d'assaut allemand "Brumber" Les Allemands ont conçu la conception d'un tel char au début de la guerre avec l'Union soviétique. Après tout, les Allemands ont compris que sans l'aide de chars super puissants, il serait difficile de prendre des villes. Et devant nous se trouvaient des villes aussi immenses que Moscou et Leningrad. Les Allemands ont entrepris la création d'une telle machine. On supposait que le char d'assaut serait armé d'un canon de 305 mm et d'une épaisseur de blindage frontal de 130 mm ! En effet, pour la période de 1941, tous les chars allemands disposaient de 50 mm. L'arme d'assaut s'appelait "Ber", en traduction - un ours. Mais le projet a été abandonné. Le char devait peser 120 tonnes. Cependant, il est resté sur le papier. Bientôt, on se souvint à nouveau des armes d'assaut lourdes. À l'automne 1942, lors des combats de rue à Stalingrad, la création de nouveaux canons d'assaut redevint pertinente. Les Allemands disposaient également d'un canon d'artillerie automoteur "Sturmpanzer33" avec un canon de 150 mm. Au total, 24 ont été construits machines similaires, qui ne se sont pas mal montrés lors des combats de Stalingrad. Fin 1942, un char d'assaut plus puissant "Brummber" (ours grizzli) est conçu en Allemagne. Il était également armé d'un canon de 150 mm. À l'été 1943, ces véhicules ont combattu sur le Koursk Bulge, mais se sont avérés totalement non rentables - la puissance d'un canon de 150 mm n'était même pas suffisante pour détruire les fortifications de campagne, et l'armure ne protégeait pas vraiment contre les anti- soviétiques tir d'artillerie de chars. Par conséquent, fin juillet 1943, l'inspecteur général des forces de chars de la Wehrmacht, Heinz Guderian, proposa de concevoir non pas un moyen, mais un canon d'assaut lourd pour détruire les fortifications de campagne. Au départ, on pensait que le nouveau canon d'assaut aurait un canon de 210 mm, mais il n'avait pas encore été conçu. Il était situé sur le châssis du char T-VI "Tiger". Le canon 210-mm n'étant pas prêt, les concepteurs allemands ont décidé d'utiliser très arme inhabituelle- un lance-roquettes qui tire des roquettes de 350 kg. Le champ de tir était d'environ 5,5 km. 350 kilogrammes Fusée "Sturmtigra"

Le coup d'un tel projectile dans une maison en briques à plusieurs étages a entraîné la destruction complète du bâtiment. Il faut dire qu'une arme aussi terrible est venue aux pétroliers allemands de la flotte. La société Rheinmetall était engagée dans la création et était un lanceur de bombes ordinaire sur les croiseurs, portait la désignation RW-61 de calibre 38 cm.Le lanceur de bombes lui-même, qui a été installé lors du développement d'un char d'assaut, s'appelait simplement un mortier. Il a été affecté par sa similitude externe avec les canons à canon court. Désignation du canon d'assaut : "Mortier automoteur d'assaut RW-61 de calibre 38 cm basé sur le char Panzer VI". Mais comme toujours, les désignations allemandes avaient un nom complexe, elles s'appelaient donc: "Sturmpanzer VI", "Sturmmortir" ou "Sturmtigr". Les travaux de création du "Sturmtigr" commencèrent le 5 août 1943. Le premier échantillon du "Sturmtigr" a été conçu, mais plutôt converti à partir du char "Tiger" à l'automne 1943. Cependant, il n'était pas encore apte aux opérations de combat. Sa cabine n'était pas faite d'acier blindé, mais d'épaisses tôles de fer ordinaire. Le plus important était de voir comment tout était censé fonctionner. De nombreux problèmes devaient être résolus. Quels problèmes? D'abord, comment était-il nécessaire de charger le bombardier pendant la bataille ? Deuxièmement, où placer les obus de 350 kg ? Eh bien, comment charger des obus aussi lourds? Le chargement du lanceur doit s'effectuer de la même manière qu'un canon de char conventionnel. Cela signifie que tous les projectiles doivent être placés à l'intérieur du compartiment de combat.

"Sturmtigr" avec la timonerie enlevée. Les Allemands ont supprimé le deuxième problème. J'ai dû couper une énorme trappe de chargement dans le toit de la cabine et installer une grue spéciale pour le chargement des fusées.
Chargement d'obus dans un réservoir avec une grue Mais quel sera le type de recul du pistolet, c'est déjà un problème. Le bombardier du navire n'a pas eu de tels problèmes. Les gaz chauds du moteur-fusée sortaient simplement du tube de lancement ouvert à l'arrière et poussaient le projectile vers l'avant. Dans le même temps, ni l'installation ni le navire n'ont connu de recul. Les Allemands sur le char ont fermé le tube de lancement avec un obturateur puissant. Car si cela n'est pas fait, lors du lancement du projectile, les gaz chauds pourraient tout brûler compartiment de combat en compagnie de l'équipage.

Canon "Sturmtigr" dans la section.

fusée Des tankistes expérimentés ont demandé aux concepteurs allemands un question principale. En règle générale, lorsqu'un char avance pour attaquer, tous les points de tir ennemis commencent à fonctionner dessus. Dans ce cas, les balles frappent les instruments et aveuglent l'équipage. Des canons antichars déchirent les chenilles. Et le "Sturmtiger" a un point très vulnérable. Lorsque le char entre au combat, un mortier d'un diamètre de 38 cm sera dirigé vers l'ennemi. Un canon peut être touché non seulement par une balle de fusil dans un projectile de roquette, mais également par un fusil antichar ou un projectile de canon. Imaginez ce qui se passera alors. Par conséquent, le "Sturmtigr" est allé au combat avec le canon levé. Directement au zénith.

Modèle de série "Sturmtigr"
Le char a passé de nombreux tests d'état. Bientôt, le prototype fut montré à Hitler lui-même. Après un test réussi, le nouveau pistolet d'assaut a été testé pendant 9 mois supplémentaires sur le terrain d'entraînement. Pourquoi si longtemps? Car après la défaite de Koursk, les Allemands n'étaient plus prêts à détruire des maisons et à prendre des villes. Troupes allemandes recule tout le long du front.

Démonstration du char à la direction de l'Allemagne Au contraire, les Allemands ont réfléchi à la manière de fabriquer davantage de canons antichars pour arrêter la "masse" du T-34. Mais le 5 août 1944, un soulèvement antifasciste éclate à Varsovie. Au début, les Polonais ont réussi. Ils ont réussi à capturer une partie de la ville, mais les Allemands ont rassemblé des troupes et ont arrêté le soulèvement. Dans le même temps, les débuts réussis de "Sturmtigr" ont eu lieu. Rien ne pouvait arrêter cette arme terrible. Un "Sturmtiger", peu de choses qu'il pouvait faire. Mais avec le soutien des canons d'assaut Brumber, les punisseurs ont beaucoup aidé à arrêter le soulèvement des rebelles le 28 août 1944. Après une utilisation réussie, "Sturmtigr" a été renvoyé à l'usine pour maintenance et modifications. Le 15 septembre 1944, un modèle de série du pistolet d'assaut Sturmtigr est sorti. Il avait un blindage incliné de 150 mm. Et il a été entièrement rénové. Il y a eu un cas où le "Sturmtiger" a tiré un obus sur une colonne de "Shermans" américains et détruit 3 chars à la fois, et les autres ont été gravement endommagés. En novembre 1944, les "Sturmtigers" participent aux combats sur le front occidental. Certes, ils n'ont pas été utilisés aux fins prévues. Au contraire, ils étaient comme un soutien d'artillerie. Plusieurs compagnies ont reçu des chars d'assaut "Sturmtigr". Société N1001 et 1002. Bien que la société N1001 ait eu moins de chance. Trois réservoirs ont été abandonnés en raison de problèmes techniques dans le réservoir.

L'armée américaine examine le "Sturmtiger" capturé En 1945, sur l'Elbe, le premier front biélorusse a capturé un Sturmtigr.

Les soldats soviétiques regardent J capturé "Sturmtiger". Et enfin. "Sturmtigr" était un bon soutien dans les formations de combat de l'infanterie. Mais il est apparu à un moment où les troupes nazies n'étaient pas à la hauteur de l'offensive, et c'était la fin de la guerre. Le char avait un poids de 66 tonnes, ce qui ne lui donnait même pas une bonne mobilité, même sur une bonne autoroute. De plus, le réservoir est difficile à fabriquer. Considérant combien d'entre eux ont été produits depuis 1943, il n'y a que 18 exemplaires. C'est très petit, ce qui n'a pas donné les résultats escomptés. Comme je l'ai dit, le canon d'assaut "Sturmtigr" était efficace dans les formations de combat d'infanterie. Et pour détruire les points de tir ennemis. Certes, les Allemands à la fin de la guerre n'étaient pas à la hauteur de l'offensive.

Sturmgeschutz Partie 2 "Sturmgeshutz" - l'un des canons d'assaut les plus célèbres de la Seconde Guerre mondiale. Pendant la guerre, le canon d'assaut "Sturmgeshütz" lui-même est devenu une arme populaire en Allemagne dans la lutte contre les chars et l'infanterie ennemis. Nous savons que le canon d'assaut a été créé pour faire face aux points de tir ennemis. Mais comme l'expérience de la guerre l'a montré, le canon de 75 mm du "Sturmgeshütz" ne pouvait pas détruire le point de tir lourdement blindé de l'ennemi, il constituait plutôt un soutien dans les formations de combat d'infanterie. L'infanterie, d'autre part, a soutenu le "Sturmgeshutz" au combat.Après tout, l'infanterie est toujours dangereuse pour les chars. Un cocktail Molotov, une grenade antichar, une bombe magnétique, etc. pouvaient s'envoler de n'importe quelle tranchée. Mais l'infanterie ne pouvait pas du tout faire face, alors une mitrailleuse MG-34 a été placée au-dessus du Sturmgeshütz. Le Sturmgeschutz est devenu un véritable char sur le champ de bataille, si l'on ne tient pas compte de la petite silhouette du canon d'assaut et de l'absence de tourelle. Quelle est la différence entre un char d'assaut et un char ?

Un canon d'assaut est un canon automoteur blindé spécialisé. Le but du canon d'assaut est de soutenir directement l'infanterie ou les chars qui avancent, et certains canons d'assaut étaient plus efficaces dans les formations de combat d'infanterie, comme le " Sturmtigr ". Un char est un véhicule de combat qui joue le rôle de percer les défenses ennemies et d'attaquer par surprise par les flancs (selon la classification du véhicule de combat). Continuons plus loin. Le nombre de canons d'assaut sur le front de l'Est augmentait à chaque fois. Si les Allemands avaient 450 canons d'assaut Sturmgeshütz, alors au sommet Bataille de Koursk plus de 700, et presque tous étaient armés de fusils à canon long. Les Allemands se sont vite rendu compte que le principal danger était les chars soviétiques. Mais, mais le meilleur moyen de combattre les chars s'est avéré être un pistolet d'assaut. Voici le rapport d'un des généraux allemands, fait à l'été 1943 : "Dans la situation actuelle, les chars allemands sont inférieurs aux canons d'assaut à tous égards. Le blindage des chars est pire que celui des canons d'assaut. Les dispositifs optiques des canons d'assaut sont plus avancés que ceux des chars. La silhouette d'un char est plus haute que la silhouette d'un canon d'assaut, le char est donc plus facile à détecter et à toucher. À l'été 1943, les fusils d'assaut sont devenus de parfaites armes de combat. Ils sont capables de combattre à la fois les chars et de faire progresser l'infanterie ennemie.

A partir du modèle g , "Sturmgeshütz" a commencé à être équipé d'une tourelle de commandant, ce qui a donné plus de commodité au commandant sur le champ de bataille. Un général a écrit : "Je préférerais deux canons d'assaut à dix chars." Étonnamment, deux canons automoteurs étaient assimilés à dix chars. Tout est assez naturel. Les troupes de chars étaient une partie distincte. Cela était évident lorsque les troupes de chars de Guderian ont franchi la ligne de front, et après les chars, l'infanterie motorisée dans des véhicules blindés de transport de troupes et des camions, soutenue uniquement par des Sturmgeshuts, se précipitait déjà. Les Allemands analysent caractéristiques de combat canons d'assaut et a décidé qu'à l'offensive, les canons d'assaut étaient pires que les chars à tourelle rotative. Les tours constants des fusils d'assaut réduisent le taux d'attaque. Il est difficile de détruire des cibles en terrain accidenté et pendant la saison de neige fondante. Le conducteur doit ajuster les leviers tout le temps, tournant la voiture vers la droite, puis vers la gauche. La machine tombait souvent en panne dans de telles conditions. Faisons une conclusion. Mais qu'en est-il de cela ? Fin 1943, les Allemands n'avaient pas à avancer, mais au contraire à mener une défense longue et opiniâtre.

"Sturmgeshuttsy" s'est très bien montré en défense. Ils ont repoussé les attaques des chars ennemis devant l'infanterie. Les fantassins ont assuré que c'étaient les "Sturmgeshuttsy" qui étaient la seule défense au combat, et non les puissants "Tigres". Les soldats allemands ne pouvaient pas s'imaginer sur le champ de bataille sans artilleurs d'assaut. "Sturmgeshuttsy" faisait partie de chaque fantassin sur le champ de bataille. Ils ont sorti les blessés, apporté des munitions, de la nourriture. Ils ont exécuté Tâche principale- tirer, tirer, tirer. On peut comprendre que "Sturmgeshuttsy a maintenu au moins un certain moral dans l'armée allemande en retraite. Les équipages de canons d'assaut revenaient constamment sur le champ de bataille, voulant soutenir l'infanterie au combat. Ils ont rempli le char d'obus, tout ce qui était possible ! Sturmgeschutz IV En 1944-45. sur le champ de bataille ont commencé à rencontrer de nouveaux canons d'assaut avec la désignation "Sturmgeschutz" IV. Qu'est-ce que c'est nouvel échantillon"Sturmgeschutz" ? "Sturmgeschutz" 40 et "Sturmgeshutz" III ont été fabriqués sur la base du char T-III. Dans le même temps, les Allemands avaient plus réservoir puissant T-IV,

"Sturmgeshutz" III dans la section. Vous pouvez clairement voir à quel point l'équipage est assis. "Sturmgeschutz" IV était plus spacieux. qui était le char principal de la Wehrmacht pendant la Seconde Guerre mondiale. "Four" était un véhicule de combat très réussi et recherché sur le champ de bataille. Mais la situation difficile de 1943 fit comprendre aux Allemands qu'il fallait de plus en plus de chars. Mais comment le faire? usines allemandes et donc travaillé à pleine capacité. La "Quatre" était une voiture plus produite que la "Troïka". De plus, la troïka a été retirée du service dans l'armée allemande après la défaite près de Koursk. Il est clair que le nombre de "Trois" était inférieur à celui des "Quatre". Par conséquent, il est possible de faire plus de "Sturmgeshuttsov". Les Allemands sont arrivés juste à temps. Lors du bombardement de Berlin, des avions américains ont détruit l'usine allemande Alkett, qui produisait le canon d'assaut allemand Sturmgeschutz III. La production a été mise en place à l'usine Krupp, qui a produit le char Panzer IV. Le nouveau "Sturmgeschutz" n'était pas différent du précédent. L'armement était le même, le booking aussi. La seule chose qui a changé, c'est que le conducteur n'était pas assis dans une casemate commune, mais dans sa propre timonerie. De chaque côté, il n'y avait pas six galets, mais huit galets.

Capturé StuG III dans l'armée rouge
"Sturmgeschutz" IV. A gauche se trouve la cabine du chauffeur. "Sturmgeshutz" est devenu vraiment demandé et le plus efficace dans la lutte contre les chars ennemis. Ni le "Tiger" ni le "Panther", en raison de leur complexité structurelle, ne sont jamais devenus des chars vraiment massifs. Ils étaient loin d'être efficaces. Oui, le "Tiger" et le "Panther" ont une bonne armure et un canon puissant, mais la difficulté de fonctionnement s'est fait sentir. Les chars sont tombés en panne en cours de route. Quel genre de char est-ce qui ne peut pas atteindre le champ de bataille ? L'incapacité de l'industrie allemande à fournir aux troupes le nombre requis de bons chars les a obligées à utiliser des canons d'assaut au lieu de chars. Dans l'Armée rouge, c'était le contraire. L'Union soviétique n'avait pas besoin de fusils d'assaut. Les chars armés de canons de 76 mm et 122 mm (T-34, IS-2) étaient un bon soutien pour l'infanterie soviétique sur le champ de bataille. Si l'on considère les premières modifications du "Sturmgeschutz" avec un canon à canon court, son analogue peut être considéré comme le canon d'assaut soviétique SU-122 (obusier de 122 mm monté sur le châssis du char T-34) et Su- 152 (obusier de 152 mm, sur le châssis du char KV -one). Déjà à la fin de la guerre, de nouveaux canons d'assaut soviétiques ISU-122 et ISU-152 sont apparus, fabriqués sur la base du char IS-2. Ils étaient aussi appelés canons automoteurs (artillerie automotrice).

Pistolet d'assaut soviétique Su-122, fabriqué sur la base du char T-34

Canon d'assaut lourd soviétique SU-152

Pistolet d'assaut lourd soviétique ISU-122 Pistolet d'assaut lourd soviétique ISU-152 Il est surprenant de constater qu'en Allemagne, pendant les années de guerre, tant de types d'armes ont été fabriqués que vous êtes surpris. Qu'avons-nous ? T-34, KV et IS ? Ils n'ont rien inventé. Rien de tel. Seul un petit nombre de chars acceptés pour la production de masse a mis en évidence la politique militaro-industrielle bien pensée de l'URSS. Prenez le chasseur de chars allemand "Marder", produit sur la base de chars légers. Pensez-vous que nous ne pourrions pas prendre le châssis des chars légers T-26 et BT-5 et les équiper d'un canon de 76 mm? Cela n'aurait pas été pire que Marder. Le taux en URSS était tel qu'il n'était pas nécessaire de fabriquer de nombreux chars, et cela n'avait alors aucun sens. Et d'en fabriquer un qui passera en production de masse et qui sera la base des forces terrestres. C'est ainsi que le T-34 soviétique est devenu. Oui, peut-être était-il inférieur aux "Tiger" et "Panther" allemands, et notre canon automoteur SU-76 le plus massif, pour le moins, n'a pas dépassé le "Sturmgeschutz". Mais pour un "Tiger", il y avait une douzaine, voire plusieurs dizaines de T-34. Quelqu'un dira, dit-on, écrasé par la quantité. Et alors? Pensez-vous que les Allemands ne voudraient pas écraser ainsi ? Oui, comme vous le souhaitez!

Canon automoteur soviétique SU-76 Mais le canon d'assaut allemand "Sturmgeschutz" s'est très bien montré sur le champ de bataille. De cela, nous pouvons conclure que c'est le Sturmgeshutz qui a été l'arme d'assaut la plus efficace pendant la Seconde Guerre mondiale ! À propos de l'apparition du "Sturmgeschutz"

Comment est apparu le « Sturmgeschutz » ? Le char est conçu pour percer les défenses ennemies, le char doit attaquer les positions ennemies. Mais un véhicule de combat, comme un char, doit fonctionner sous le couvert de canons automoteurs. Le canon automoteur est conçu pour soutenir les chars ou l'infanterie en progression. Dans le même temps, les canons automoteurs doivent avoir la précision des tirs d'artillerie. L'armure n'a pas d'importance pour elle. Une monture d'artillerie automotrice ne doit pas grimper sous le feu nourri de l'ennemi dans une brèche. Mais comme l'a montré l'expérience de la guerre, les lois ne fonctionnent pas toujours. "Sturmgeschutz" n'appartenait pas du tout aux forces de chars de l'Allemagne, mais devint rapidement l'arme la plus recherchée pour dissuader l'avancée de l'infanterie et des chars. Un canon à canon long a été installé sur le Sturmgeschutz, le blindage a été porté à 80 mm et une mitrailleuse a été installée. "Sturmgeschutz" est devenu presque le char le plus important de la Wehrmacht. Hitler, tout le temps, a exigé d'augmenter la production de fusils d'assaut, même en réduisant la production de "quatre". "Sturmgeschutz est comme un crocodile. Il y a des millions d'années, les dinosaures se sont éteints, incapables de s'adapter à l'évolution du monde. Mais les crocodiles, qui vivaient en même temps que les dinosaures, se sont adaptés et se sentent bien aujourd'hui. Ainsi, par exemple, un Le char lourd allemand de la société peut être appelé un dinosaure "Henschel" - "Tiger I". Un excellent véhicule pour l'époque en termes de qualités de combat. Mais la production du char s'est arrêtée en 1944. Pourquoi ? Le char Tiger est lourd en production, cela nécessite beaucoup de ressources, cela prend beaucoup d'essence. Malgré cela, le char a été utilisé jusqu'à la fin de la guerre. Le Sturmgeschutz s'est avéré moins cher et plus efficace. Vous dites: "Donc, le Sturmgeshutz était mieux que les chars Tiger et Panther?" Bien sûr que non! Le Sturmgeshutz n'était même pas meilleur char moyen "Panzer" IV. Mais le "Sturmgeschutz" est facile à fabriquer. Même si vous regardez le fait que des "quatre" ont été produits huit et un demi-millier de chars et des canons d'assaut "Sturmgeschutz" 11 500 000. C'est un bon chiffre pour la production de construction de chars de l'Allemagne. Le Sturmgeschutz peut être pire qu'un char, mais lorsqu'ils agissent ensemble, cela deviendra un grand danger pour le véhicule de combat ennemi. Le principal inconvénient du "Sturmgeschutz" était le secteur de tir étroit du canon - à seulement quelques degrés à droite et à gauche de l'axe longitudinal de la machine. Le réservoir n'avait pas ce problème. Dans le véhicule de combat, comme un char, il y avait une tour rotative, qui permettait de tirer dans n'importe quelle direction. C'est mauvais? Oui, mais chaque technique a ses avantages, ainsi que les inconvénients d'un véhicule de combat. Au cours des 4 années de guerre, les "Sturmgeshuttsy" ont beaucoup changé, tant en armement qu'en armure. J'ai dit que le principal inconvénient du "Sturmgeschutz" était la tourelle fixe. Mais en termes de défense, ce n'est pas si important. Pour comprendre comment est né le fusil d'assaut Sturmgeschutz, il faut remonter à 1935. Dans l'histoire de la Wehrmacht, pour la puissance des forces blindées (Panzerwaffe), l'Allemagne doit Heinz Guderian, l'inspecteur des forces blindées allemandes. Mais c'est la Panzerwaffe. Et pour appeler le "père" de l'artillerie d'assaut, vous pouvez calmement le talentueux chef militaire allemand - Erich von Manstein. Guderian est resté colonel général. Mais Manstein, au cours de la réalisation d'opérations offensives stratégiques, a atteint le rang de maréchal. En 1935, Manstein occupa le poste de colonel, occupant le poste de chef adjoint des forces terrestres allemandes. Mais c'est lui qui a jeté les bases de l'artillerie d'assaut.

Manstein, de l'expérience de la Première Guerre mondiale, était convaincu qu'après avoir franchi la ligne de défense de l'ennemi, les points de tir, comme une casemate, ne pouvaient pas être supprimés immédiatement. Après tout, vous avez besoin d'artillerie de gros calibre. Faire rouler le pistolet n'est pas si facile. Par conséquent, Manstein a décidé que le pistolet devait être placé sur le châssis d'un véhicule de combat et recouvert d'une armure. Les Allemands se préparent à une nouvelle guerre, la guerre des moteurs. Les Allemands se souviennent très bien de la terrible guerre d'opposition de 1914-1918. Des mitrailleuses qui fonctionnaient sans interruption. Par conséquent, la Wehrmacht (forces armées allemandes) se préparait à une guerre éclair - Blitzkrieg. Comme dans toutes les actions offensives, le char doit jouer le rôle de percer la défense et les canons automoteurs doivent soutenir directement le char à longue distance. Fondamentalement, il n'y avait pas de problème. Le char Panzer III a joué le rôle d'une percée, et le char Panzer IV, avec un canon court 75 mm KWK-37 (naturellement puissant pour l'époque), a joué le rôle de canons automoteurs, c'est-à-dire de soutien le réservoir de percée.
Char allemand moyen sur Ryva "Panzer" III . C'est de lui que le châssis du char d'assaut a été obtenu StuG III . Tout cela est bon. Mais comment l'infanterie rattrapera-t-elle réellement les chars? Vous ne pouvez pas gagner grand-chose avec des chars seuls. Par conséquent, des véhicules blindés de transport de troupes ont été fournis à l'infanterie, car vous ne pouvez pas vous rattraper à pied. Mais en fait, il y a un soutien pour le char, mais qui soutiendra l'infanterie sur le champ de bataille ? Après tout, les chars se précipitent loin devant et l'infanterie détruit les points de tir. Par conséquent, il a été décidé de fabriquer le pistolet d'assaut Sturmgeschutz, directement pour l'action dans les formations de combat d'infanterie. Manstein, a écrit des documents décrivant comment devrait être le nouveau canon automoteur. Il disait que le canon d'assaut devait avoir : un canon puissant, une bonne armure et de la mobilité.

Char de soutien moyen allemand "Panzer" IV Mais Manstein a également envoyé son travail sur le canon d'assaut au chef des forces terrestres allemandes, Beck. Mais il pouvait voir que la question ne dépendait pas d'eux, et il les a simplement débogués sur une étagère séparée. Une fois, selon les rumeurs, un dossier avec des papiers est tombé sur la tête de Beck, il s'est mis en colère et a dit: "Tous les papiers sont au département des armes, pour exécution. Immédiatement !!!" La commande a été exécutée. La société "Daimler-Benz" en reprend la création en 1936. Il a été décidé que pour le nouveau canon d'assaut, ils prendraient le châssis du nouveau char de percée allemand moyen (à l'époque) "Panzer" III. L'angle de guidage horizontal n'aurait pas dû être supérieur à 25 degrés. Et la silhouette de la voiture n'est pas supérieure à la taille moyenne d'une personne. Et en 1937, le premier prototype d'un pistolet d'assaut a été créé. Selon les données de test, il était nécessaire d'apporter un certain nombre de modifications et, surtout, de fermer la timonerie avec une armure. En 1940, la production de masse du pistolet d'assaut Sturmgeschutz a commencé. Le nom, le nouveau canon automoteur, était très complexe, ce qui est non seulement difficile à lire, mais aussi à dire : "Gepanzerte Selbstfahrlafette fur Sturmgeschutz 7,5 cm Kanone (SdKfz 142). Armement," Sturmgeschutz "emprunté au Char de soutien moyen Panzer IV - canon court de 75 mm KWK-37L / 24. Le canon était destiné à détruire les fortifications défensives de l'ennemi, par exemple, un tireur d'élite assis sur la maison, l'infanterie ne peut pas passer.Alors "Sturmgeshutz" devrait se tenir très près de l'abri du tireur d'élite, que ce soit une maison ou autre chose "Quelque chose, et faire 2-3 coups à l'abri d'un tireur d'élite ou du même mitrailleur. La cible est touchée. Ici, la question se pose: "Est-ce que le Les Allemands pensent installer un canon d'un plus gros calibre?". Eh bien, si vous y réfléchissez, cela ne leur est jamais venu à l'esprit.

canon de 75mm KWK -37/ L /24
Ludwig August Theodor Beck (1880-1944) - Colonel général de l'armée allemande (1938). Chef d'état-major général des forces terrestres en 1935-1938. Le chef de l'action militaire contre Adolf Hitler le 20 juillet 1944. Après tout, les Allemands eux-mêmes ont compris que tout char à l'époque avait un blindage pare-balles, par exemple, il y avait 20-25 mm. Frapper même un canon de 37 mm détruirait un char, sans parler d'un canon de 75 mm. Par conséquent, si un duel a lieu entre le Sturmgeschutz et un char ennemi, prenons le Hotchkiss H35 français, alors un coup par un canon de 75 mm est garanti pour détruire le char. Certes, le Français avait une armure frontale de 45 mm, mais cela n'a pas aidé non plus. Les Allemands n'avaient aucune idée que l'Union soviétique était armée des derniers chars (à l'époque) T-34/76 avec blindage incliné anti-canon et char lourd KV-1 ("Klim Vorochilov"). Le char KV avait une armure frontale de 75 mm et sur les côtés de 60 mm. Le canon allemand de 75 mm ne pouvait pas faire face à l'armure du KV et du T-34. Par conséquent, les Allemands ont réfléchi à ce dont ils avaient besoin pour installer un canon capable de frapper des chars, tels que KV et T-34.Ils ont donc installé un nouveau canon long de 75 mm KWK-40 / L / 43 en 1942 sur le Sturmgeschutz.

"Sturmgeschutz" de la première série, 1940. "Sturmgeschutz" a ensuite changé pendant la guerre avec l'URSS (la Grande Guerre patriotique de 1941-1945). Le canon d'assaut était armé d'un canon à canon court de 75 mm, qui devint rapidement à canon long et le blindage atteignit non pas 50 mm, mais 80 mm, ce qui est comparable au blindage d'un char (période 1943-1945). Il était également possible d'installer un obusier de 105 mm sur le Sturmgeschutz (installé sur le StuH 42. Ausf. G). Nous nous sommes familiarisés avec la première version du pistolet d'assaut Sturmgeschutz. De nombreuses solutions de conception ont été introduites dans le canon automoteur, en fonction de l'évolution de la situation à l'avant. Par la suite, le "Sturmgeshutz" s'est avéré être l'arme la plus efficace dans la lutte contre les chars ennemis.

StuH 42. Ausf. g




"Jagdpanthère" - Chasseur de panthères (abrégé) Panther est un chasseur. C'est ainsi qu'un char est traduit, ou plutôt un chasseur - chars "Jagdpanther". Canon automoteur, qui a été créé sur le châssis d'un char allemand moyen (lourd) - "Panther". "Jagdpanther", un excellent véhicule de combat en termes de qualités de combat. Une bonne armure inclinée offrait une bonne protection et le puissant canon à canon long de 88 mm PAK-43, également connu sous le nom de "huit-huit", a touché n'importe quel équipement ennemi. "Jagdpanther", a été créé à une époque où l'un des plus plus grandes batailles, qui a décidé de l'issue de la guerre sur le front de l'Est - la bataille de Koursk. Les troupes de chars de l'Allemagne (Panzerwaffe) et de l'Armée rouge se sont affrontées dans une bataille sanglante. On supposait que c'était le Jagdpanther qui participerait à la bataille et fournirait un appui-feu aux chars de ligne, cependant, ils n'étaient pas destinés à être vaincus à Koursk. Les chasseurs de chars sont censés être défensifs, pas offensifs, c'est à cela que servent les chars de ligne. Après tout, pour l'offensive, ils ont décidé d'utiliser les derniers chars lourds - "Panther" et "Tiger". Des canons automoteurs de type "Ferdinand" ont également participé au Koursk Bulge. Ils avaient le blindage frontal le plus puissant à l'époque - 20 cm (200 mm). Ils étaient armés d'un canon de 88 mm, ce qui permettait de frapper des chars à une distance de 2 à 3 km. Selon le plan, ils étaient censés s'asseoir dans des positions et tirer sur les chars ennemis à longue distance, mais que faire ? Commandement allemand les lança à l'offensive. En conséquence, 70 Ferdinands ont été tout simplement détruits. Une armure épaisse n'a pas sauvé des fantassins. Ils ont littéralement lancé des cocktails Molotov sur les « pauvres » Ferdinand. L'assommage de la chenille a rendu le canon automoteur pratiquement immobile et est devenu une véritable "victime pour coups". Par conséquent, les Jagdpanthers ont eu de la chance en un mot. Commençons par le fait que le châssis pour la création d'un nouveau chasseur de chars a été repris du Panther.

Char lourd allemand - "Panther" Le schéma d'aménagement n'était pas différent du char Panther - la transmission du Jagdpanther était à l'avant et le moteur était à l'arrière, ce qui offrait une répartition uniforme de la charge sur les roues et une stabilité lors du tir. Cela a donné un bon avantage. Le châssis du nouveau chasseur de chars a été assez bien choisi. La disposition des chars soviétiques est plus difficile. La transmission était située derrière le moteur, donc lors de l'installation du pistolet, il était nécessaire de le déplacer vers l'avant, ce qui donnait alors une charge importante sur les roues de la route.

Canons automoteurs soviétiques SU-85, SU-100. Extérieurement, ils sont même très similaires, presque jumeaux, puisque les deux canons automoteurs sont fabriqués sur le châssis du char T-34. La différence entre eux est l'armement et l'armure: le canon SU-85-mm D-5S et l'épaisseur de l'armure frontale est de 45 mm, comme le Thirty-four. Le SU-100 est armé d'un canon DT-10 de 100 mm et d'un blindage de 75 mm. Lors de la création du Jagdpanther, le Fuhrer d'Allemagne, c'est-à-dire Hitler, a demandé d'augmenter le blindage du char dans la partie frontale de 80 mm à 100 mm et sur les côtés de 50 mm à 60 mm. Les concepteurs ont bien sûr répondu "oui", mais ont laissé 80 mm sur le front et 50 mm sur les côtés. Hitler a toujours aimé grimper dans ce qu'il ne comprenait pas. Cependant, le blindage du nouveau chasseur de chars était suffisant. Pourquoi augmenter le blindage alors que les obus de canon américains, britanniques et soviétiques de 76 mm ont pénétré le blindage de 4 cm, alors pourquoi augmenter le blindage, ici 8 cm suffisent. Extérieurement, "Jagdpanther" copie les canons automoteurs soviétiques SU-85, SU-100. Mais dire que les Allemands ont répété le design est faux. Les Allemands travaillaient indépendamment. La disposition du Jagdpanther était différente de Canons automoteurs soviétiques. De plus, les Allemands ont réussi à placer la plaque de blindage frontal à un grand angle, ce qui offrait clairement une meilleure protection contre les obus ennemis. Mais les Jagdpanthers n'ont pas eu le temps d'entrer sur le front de l'Est à l'été 1943, la production n'a commencé qu'à l'automne 1943. Lorsque le Jagdpanther a été montré à Hitler, il n'y avait pas de limite à la surprise. Les obus du canon PAK-43 de 88 mm avec un noyau en tungstène ont pénétré une armure de 20 cm d'épaisseur (200 mm). Selon Hitler, avec de telles armes, il est possible de gagner la guerre. Mais voici le problème de la sérialité et de la qualité du Jagdpanther. Quel genre de char est-ce qui ne peut pas atteindre le champ de bataille ? Et sachant comment les Panthers se sont effondrés à Koursk, ils n'ont même pas eu le temps de participer aux hostilités. Deuxièmement, c'est un problème dans l'obtention du diplôme. "Jagdpanther", très difficile à fabriquer. Sans oublier que même lors de la réparation, le canon automoteur devait (pour réparer la transmission) retirer d'abord le canon le plus lourd, puis continuer. Les SU-85, SU-100 ont le contraire. Il suffit d'ouvrir les trappes à l'arrière et de commencer les réparations, vous pouvez généralement dévisser complètement la plaque de blindage pour une action libre. La production du Troisième Reich n'a livré que 390 unités. Ce très peu n'a pas donné les résultats escomptés. Oui, le chasseur de chars était bon en termes de qualités de combat, mais la petite production de chars ersatz imprudents s'est fait sentir. "Jagdpanther", a participé aux batailles d'été en Normandie en 1944. Le nouveau chasseur de chars s'est avéré très bon, et étant donné que les chars alliés étaient complètement inférieurs aux chars allemands, ils n'étaient pas à la hauteur du Jagdpanther. Mais cela n'avait pas beaucoup de sens non plus. L'aviation américaine a complètement détruit l'usine MIAG, qui produisait des Jagdpanthers. Mais les Allemands ont rétabli la production ailleurs. Les Jagdpanthers sont bons, mais les avions alliés ont littéralement écrasé les chars allemands depuis les airs. De plus, les Allemands n'allaient pas penser au soutien aérien, la Wehrmacht était trop malmenée dans les combats sur le front de l'Est. En 1945, contre l'URSS, il ne restait plus que 10 Jagdpanthers, puis dans des unités spéciales de combat. Et quelle était l'unité de combat ? Des personnes âgées du "Volksturm", des soldats SS spécialement sélectionnés et des enfants de la "Jeunesse hitlérienne" ont combattu dans l'unité de combat.








Nous en concluons que le Jagdpanther est un excellent véhicule en termes de qualités de combat. Mais pas la possibilité de les libérer assez, comme ce fut le cas avec d'autres armes allemandes, n'a pas donné les résultats souhaités par Hitler lui-même. Mais une chose peut être dite que le Jagdpanther est l'un des canons automoteurs allemands les plus performants de la Seconde Guerre mondiale.

"Sturmpanzer" IV- "Brumber" Qu'est-ce qu'un char d'assaut ? Pourquoi même attribuer le nom « agression » ? Après tout, le char est déjà armé d'un bon canon et d'une bonne armure, et est conçu pour attaquer les zones fortifiées de l'ennemi. Mais que se passera-t-il lorsque le canon ennemi sera solidement protégé et enfoui dans le sol ? Un canon de petit calibre ne peut pas détruire une telle cible. Et que se passera-t-il si la cible est un poste de tir ennemi puissamment fortifié ? Par conséquent, nous avons besoin d'un char qui sera armé d'un canon de gros calibre et d'une armure fiable. Cette question a été posée par le commandement allemand au milieu des années 1930. Les Allemands disposaient déjà d'un canon SiG33 de 150 mm. Très intéressant: Dans les années 20-30, l'Allemagne et l'URSS ont coopéré dans le domaine de la création de modèles d'armes. Parmi ceux-ci, il y avait un obusier de 150 mm SiG 33 fabriqués en Allemagne par Rheinmetall , qui fut bientôt acheté par l'URSS. Certes, l'obusier s'est avéré, en un mot, mal. Il s'est effondré lors du tir. Ayant un peu souffert, les concepteurs soviétiques ont finalisé l'obusier et lui ont donné son nom - "NM". "NM" , sur signifie mortier allemand. Sans penser à autre chose, les Allemands installèrent un obusier sur le châssis du char léger Panzer I. La nouvelle monture d'artillerie automotrice n'avait pas de nom. Il était possible d'appeler simplement le nouveau canon automoteur le nom de l'obusier SiG33 - cela n'avait pas d'importance, car l'obusier était utilisé sur un châssis mobile ou déplacé manuellement. Eh bien, plus en détail, alors : Sturmpanzer je 15cm siG33.

Canon automoteur soviétique SU-5-3 sur le châssis du char léger T-26. Le char avait un obusier de 150 mm SiG33

Char allemand léger "Panzer" je Par contre, le char d'assaut, créé sur la base du char Panzer I, en avait beaucoup. Le principal problème était que l'obusier SiG33 était monté sur le châssis du char léger Panzer I. Premièrement, le char léger allemand avait un moteur Maybach NL 38 tr trop faible avec seulement 100 ch. Par conséquent, il était difficile pour un char d'assaut de se déplacer sur un terrain accidenté, sans parler du fait que lors du recul, le châssis du char pouvait se renverser. Le char d'assaut avait une grande silhouette - c'est aussi un problème.

Sturmpanzer je 15cm si G33

Soviétique 152 mm obusier de campagne"NM", créé par la société allemande "Rheinmetall". Dans le même temps, l'obusier était recouvert d'une fine armure de seulement 12-13 mm d'épaisseur, à l'abri des balles et des éclats d'obus ennemis. Par conséquent, "Sturmpanzer", je ne devrais pas du tout participer là où se trouvent les chars ennemis. Après tout, même un char léger de l'ennemi ne représentait pas un petit danger pour ce char d'assaut, puisque le blindage était de 12-13 mm. Mais pour la destruction des fortifications ennemies, "Sturmpanzer" m'a été utile. Un projectile d'obusier de 150 mm pourrait facilement détruire un point de tir ennemi de l'ennemi. Dans le même temps, le char a tiré non seulement un tir direct (comme un simple char pourrait le faire), envoyant un obus à 4 km. La pirogue fortement fortifiée de l'ennemi ne pouvait même pas résister au projectile. Naturellement, un simple réservoir ne pourrait pas faire cela. " Sturmpanzer " II À la fin de 1941, la société allemande "Alkett" a commencé à créer un nouveau canon d'assaut "Sturmpanzer" II, traduit par un char d'assaut, créé sur la base du char "Panzer" II. La stabilité du nouveau "Sturmpanzer" lors du tir était bien meilleure. Protection augmentée à 35 mm. Les Allemands ont dû ajouter des roues de route supplémentaires au train d'atterrissage, car plus il y en avait, plus le canon pouvait être puissant. Les Allemands ont réussi à placer le canon sur un char léger allemand, tout en abaissant le centre de gravité. Les Allemands n'ont pas réussi à fermer complètement le char. Le char d'assaut était ouvert en haut. Pourquoi? Sinon, le train d'atterrissage n'aurait tout simplement pas résisté à la masse d'un blindage supérieur supplémentaire. Les deux premiers chars d'assaut ont été testés sur le front de l'Est. Certes, les Allemands n'ont pas osé utiliser un nouveau type de modèles d'assaut. Et le fait est qu'en 1942, l'armée allemande a été vaincue près de Moscou. Et par conséquent, tout le centre du groupe d'armées est passé sur la défensive.

"Sturmpanzer" II sur le terrain d'entraînement en Allemagne Contre-offensive de l'Armée rouge près de Moscou. Le 6 décembre 1941, l'Armée rouge lance une contre-offensive à grande échelle dans toute la direction de Moscou. Pour les Allemands, ce fut une grosse surprise. L'initiative est passée entre nos mains. Curieusement, le Front Kalinine lança une contre-offensive le 5 décembre 1941. Les troupes du front occidental au sud et au nord de Moscou lancent une frappe aérienne, appuyée par des frappes d'artillerie sur les positions ennemies. Et ils lancent une contre-offensive le 6 décembre 1941. Les 7 et 8 décembre, les troupes du front sud-ouest attaquent les positions ennemies. Le 6 décembre, une bataille grandiose se déroule. Le succès grandissait chaque jour. L'initiative, sans doute, nous est passée. Le coup inattendu de nos troupes, en particulier au nord-ouest et au sud-ouest de Moscou, a fait une impression étonnante sur le commandement fasciste et ses troupes, ce qui confirme pleinement la justesse du moment choisi par le commandement soviétique pour lancer une contre-offensive. Le haut commandement suprême a suivi de près tout le cours des événements et, à mesure que les troupes avançaient, fixait de nouvelles tâches pour les fronts et corrigeait parfois les décisions pas entièrement réussies du commandement de l'armée. Les Allemands se retirèrent jusqu'au 20 avril 1942. Pour la première fois, les troupes nazies "invincibles" ont été battues, et battues pour de vrai : 38 divisions allemandes, dont 11 chars, subirent une lourde défaite. Les nazis ont perdu plus de 500 000 personnes près de Moscou, 1 300 chars, 2 500 canons, 15 000 véhicules et de nombreux autres équipements. L'armée fasciste n'a jamais connu de telles pertes. Les Allemands n'ont pas subi un effondrement complet uniquement parce que des réserves supplémentaires ont été transférées du front occidental: 800 000 renforts en marche, et pour renforcer les troupes existantes, 39 autres divisions de France. Les envahisseurs nazis ont été complètement expulsés de Moscou, Tula et d'un certain nombre d'autres régions. Plus de 11 000 colonies ont été libérées de l'ennemi, dont 60 villes, les centres régionaux de Kalinin et Kaluga. L'attaque contre Moscou a complètement échoué. Parallèlement à cela, et le plan douteux "Barbarossa". La domination des envahisseurs fascistes allemands a disparu à jamais. La défaite des nazis près de Moscou a vu le monde entier.

Il n'a pas été question d'attaque. 12 Sturmpanzers ont été envoyés en Afrique du Nord. Le commandement allemand a plutôt réfléchi à la manière de créer davantage de canons de 75 mm capables de combattre les "Trente-quatre" soviétiques et le KV. " Sturmpanzer 33 "

Mais la pertinence des canons d'assaut a été ravivée à l'été 1942. Le fait est que le 17 juillet 1942, l'opération allemande "Blau" a commencé à s'emparer des champs pétrolifères du Caucase et de la grande ville soviétique de Stalingrad. Cependant, le commandement allemand a de nouveau pensé à la nécessité d'un nouveau canon d'assaut, de sorte qu'il soit recouvert d'une armure d'en haut, car les fantassins tirant depuis les étages supérieurs pouvaient simplement tirer sur l'équipage du canon d'assaut. L'ingénieur allemand Ferdinand Porsche a entrepris la création d'un nouveau pistolet d'assaut.
Ferdinand Arthur Porsche (Allemand Ferdinand Porsche ; 3 septembre 1875, Maffersdorf, Autriche-Hongrie - 30 janvier 1951, Stuttgart, Allemagne) - Concepteur allemand de voitures et de véhicules blindés. Fondateur de Porsche. Il est également connu comme le créateur de la voiture la plus populaire de l'histoire de l'industrie automobile, qui est entrée dans l'histoire sous le nom de Volkswagen Käfer. Le nouveau canon d'assaut "Sturmpanzer 33" pouvait déjà transporter environ 30 obus à l'intérieur de la coque blindée, cela ne semble pas suffisant, mais pour une arme aussi destructrice, c'est normal. Il est clair que le même obusier siG33 éprouvé de 150 mm se trouvait sur le nouveau canon d'assaut. Le char avait un blindage de 5 cm et une plaque de blindage de 3 cm a été ajoutée dans la partie frontale. Peut-être que le pistolet d'assaut modèle 33 ne se serait jamais montré sans Stalingrad. Ici, "Sturmpanzer 33" s'est parfaitement montré. Trente-trois, pourrait facilement détruire une maison en brique et d'autres postes de tir. Bonne armure protégée non seulement des fusils antichars et des grenades, mais aussi des tirs d'artillerie soviétiques. Après des débuts réussis à Stalingrad, le commandement a ordonné à la société "Alkett"
"Sturmpanzer 33" , créé sur la base du char moyen révolutionnaire "Panzer III " Créez 12 autres machines de ce type. Mais ils n'ont pas réussi à se rendre à Stalingrad. À l'automne 1942, Hitler, qui reconnaissait les excellentes qualités de combat du Sturmpanzer 33, ordonna la création d'un canon d'assaut plus puissant basé sur le char Panzer IV (T-IV, Panzerkampfwagen.IV). "Quatre" - était un véhicule de combat très populaire sur le champ de bataille. En pratique, les "quatre" allemands sont devenus la base forces blindées Allemagne (Panzerwaffe). Et, par conséquent, un véhicule de combat, comme le "Panzer" IV, a été très bien traité. Toute l'industrie du Troisième Reich visait précisément la création de ces véhicules de combat moyens. La création d'un nouveau canon d'assaut basé sur les rares "Fours" a montré l'importance de ce véhicule de combat. Le nouveau char d'assaut s'appelait "Sturmpanzer IV". " Sturmpanzer IV " Contrairement à son prédécesseur, le quatrième "Sturmpanzer" avait une meilleure armure - 100 mm sur le front, 60 mm sur les côtés. Char d'assaut "Sturmpanzer IV", armé d'un nouvel obusier de 150 mm - StuH43. Le canon était monté dans un nid sphérique directement dans la partie frontale de l'armure et ne pouvait donc pas se soulever haut. Pour cette raison, il était impossible de tirer avec un feu monté, comme le pouvait un obusier. Par conséquent, il était souvent nécessaire de tirer sur les fortifications ennemies avec un tir direct. Cela a conduit le "Sturmpanzer" plus vers des chars linéaires classiques. Peu de temps après, une commande a été passée pour la création de 60 de ces machines. La commande fut achevée en mai 1943. Le châssis pour la création du nouveau "Sturmpanzer IV" a été tiré des "Fours" réparés, cependant, il est arrivé qu'ils aient également été créés à partir de nouveaux. Le réservoir a été testé sur les sites de test. Les concepteurs ne s'attendaient pas à ce que la demande de commandes pour de nouveaux supertanks soit si importante.

Comme pour tout canon d'assaut, les Allemands n'ont pas installé de mitrailleuse pour se protéger de l'infanterie ennemie. Pourquoi est-ce que je parle de ça ? Le fait est que les Allemands à l'été 1943 se préparaient à la plus grande offensive fonctionnement du réservoir. Les Allemands ont tout tiré le plus meilleures forces cela n'existait que. Bataille de Koursk :

La plus grande bataille de chars de l'histoire de l'humanité. La bataille de Koursk, qui a changé et tout le cours de la guerre sur le front de l'Est . Le 5 juillet 1943, la Wehrmacht allait porter un coup écrasant dans les directions Belgorod-Oboyansk et Orel-Koursk, maintenant ainsi l'initiative militaire sur le front de l'Est. La guerre drainait les dernières ressources de l'Allemagne. L'échec de l'opération garantissait des pertes colossales et la perte de l'initiative militaire dans la guerre. à partir de L'URSS. L'opération "Citadelle" était une sorte d'opération décisive sur le front de l'Est. L'issue de la bataille a décidé du sort de toute l'Union soviétique et pas seulement. Si l'Armée rouge avait été vaincue, la route vers la capitale de l'URSS aurait été ouverte. Cependant, il y a eu de nombreuses déclarations sur la conduite d'une opération offensive majeure - "Citadelle" .

Heinz Wilhelm Guderian (1888-1954) - colonel général Armée allemande (1940), inspecteur général des forces blindées (1943), chef d'état-major général des forces terrestres (1945), théoricien militaire, auteur du livre "Mémoires d'un général allemand. Tank Forces of Germany 1939-1945 ". Père d'un général de la Bundeswehr Heinz Gunther Guderian. L'un des pionniers des méthodes de guerre motorisées, le fondateur de la construction de chars en Allemagne et du bras de char dans le monde. avait des surnoms Schneller Heinz - "Swift Heinz", Heinz Brausewind - "Heinz-ouragan". L'avis de Guderian sur le plan de la Citadelle : "L'armée allemande vient de terminer la réorganisation et le réapprovisionnement des unités sur le front de l'Est après la catastrophe de Stalingrad. L'offensive entraînera inévitablement de lourdes pertes, qui ne seront pas reconstituées en 1943." Otto Moritz Walter Model s'est également prononcé contre l'opération "Citadelle" disant que l'ennemi connaît les plans du commandement, et c'est déjà une demi-perte.




Modèle Otto Moritz Walter (1891-1945). dans l'armée avec 1909, servi fanen-junker au 52e régiment d'infanterie. DANS 1910 promu officier lieutenant. Participant Première Guerre mondiale sur le Front occidental. Reçu pour le mérite Croix de Fer 1er degré (1917) et un certain nombre d'autres ordres, promu au grade capitaine En novembre 1917. A été blessé plusieurs fois. À PARTIR DE 1919 servi dans État-major général, était le chef du département de formation du personnel du ministère militaire, le chef du département technique du ministère militaire. Lieutenant-colonel (1932). DANS 1934 produit en les colonels, en 1938 - en généraux de division. A partir d'octobre 1938 -- Chef d'état-major 4e corps d'armée. En tant que chef d'état-major du 4e corps d'armée, il rejoint Deuxième Guerre mondiale et participé à invasion de la Pologne. En octobre 1939 nommé chef de cabinet 16e armée et à ce poste a participé à campagne française. Depuis novembre 1940 - commandant 3e division blindée. Cette division a été transférée à Pologne et inclus dans Général du 2e groupe Panzer Heinz Guderian. Avant l'offensive, selon le plan, les chars d'assaut et de ligne devaient être soutenus par des panzergrenadiers, des fantassins qui faisaient partie des unités de chars de la Wehrmacht. Pourquoi les Allemands n'ont-ils pas installé de mitrailleuse ? En effet, l'équipement qui avance doit être couvert et soutenu au combat par des panzergrenadiers ou de l'infanterie. Mais voici le problème. Steppes de Koursk, ce n'est pas une ville pour vous. Partout est l'espace ouvert. Depuis dans la ville, un canon d'assaut pouvait détruire les points de tir en toute impunité, et les panzergrenadiers tiraient sur l'infanterie ennemie, qui s'approchait d'un char d'assaut. Mais au plus fort de la bataille de Koursk, nos mitrailleuses et nos canons ont littéralement tué la moitié des panzergrenadiers ennemis, et il n'y avait personne pour soutenir des chars d'assaut comme le Sturmpanzer IV.
Grenadiers : choisi les pièces infanterie et/ou la cavalerie, conçue à l'origine pour attaquer les fortifications ennemies, principalement lors d'opérations de siège. Les grenadiers étaient armés grenades à main Et armes à feu. Les grenades à main étaient autrefois appelées "grenades" ou "grenades" ; c'était une boule creuse en fonte remplie de poudre à canon, avec une mèche; ils servaient à lancer à la main sur les fortifications ennemies. Compte tenu de la courte portée de vol de la grenade, le combattant avait besoin d'un maximum de courage, d'ingéniosité, d'intrépidité et de dextérité pour atteindre la bonne distance. Des grenades est venu le nom des unités utilisant ce type d'arme. Par la suite, certaines unités ont commencé à être appelées grenadiers. infanterie de ligne. Ici, l'histoire avec les "puissants" "Ferdinands" se répète. Laissés sans couverture, les canons d'assaut, comme le "Sturmpanzer" (de tout type) ou le même "Ferdinand", devinrent inutiles. Les chars d'assaut sont devenus une cible pour l'infanterie soviétique. Bien sûr, l'équipage du Sturmpanzer avait une mitrailleuse MG-34, mais quiconque se penche par l'écoutille et tire sur l'infanterie ennemie est un suicide. Frapper la piste a rendu le "Sturmpanzer" complètement incapable, puisqu'il s'agissait d'un char d'assaut imprudent. Par conséquent, les équipages des canons d'assaut ont simplement fait sauter l'équipement et se sont retirés chez eux. Après la bataille de Koursk, le Sturmpanzer IV est modifié en octobre 1943. Une mitrailleuse MG-34 a été installée dans la partie frontale du char et la coupole du commandant du Sturmpanzer IV a été modifiée.

9mm mitraillette MG 34 a été conçu Allemand entreprise Rheinmetall-Borsig AG par ordre Wehrmacht . Le développement de la mitrailleuse a conduit Louis Stange , cependant, lors de la création d'une mitrailleuse, les développements non seulement de Rheinmetall et de ses filiales, mais également d'autres sociétés, telles que Mauser . La mitrailleuse a été officiellement adoptée par la Wehrmacht en 1934 et jusqu'en 1942 était officiellement la mitrailleuse principale non seulement infanterie , mais aussi Char troupes d'Allemagne. En 1942, au lieu de la MG 34, une mitrailleuse plus avancée a été adoptée. MG42 , cependant, la production de MG 34 ne s'est pas arrêtée jusqu'à la fin La Seconde Guerre mondiale , car il a continué à être utilisé comme mitrailleuse de char en raison de sa plus grande adaptabilité à cela par rapport au MG 42. De plus, le nom du char d'assaut a été changé de classique à bestial - "Brummber". Se traduit par grizzli.

Modification tardive
"Sturmpanzer IV ", une première modification. En 1944-45, le Brumber se trouve à l'aise. Mais le fait est qu'en 1944-45, il y a eu des batailles sur le territoire de la Pologne et de l'Allemagne. Le terrain urbain, c'est ce dont cette bête d'assaut a besoin. Ils se sont particulièrement bien illustrés lors de l'Insurrection de Varsovie en Pologne (5 août 1944 - 28 août 1944). Lorsque le soulèvement rebelle antifasciste a éclaté, les Allemands ont fait monter les canons d'assaut Brumber pour réprimer rapidement les rebelles, car ils occupaient une partie de la ville. Rien ne pouvait arrêter l'arme mortelle. Et le 28 août 1944, le soulèvement est écrasé. De plus, les Allemands ont utilisé le canon d'assaut le plus puissant de l'histoire - le "Sturmtigr", qui a tiré des roquettes de 350 kg, dont j'ai parlé plus tôt. De plus, "Brummer" a été utilisé dans les batailles urbaines, comme moyen de combattre les chars. Par conséquent, dans un véhicule de combat ennemi, le Brumber a tiré un projectile cumulatif de 150 mm. Les gaz chauds ont servi de force de pénétration, qui a percé une armure de 16 cm (160 mm) d'épaisseur. Par conséquent, peu importe que le pistolet ressemble à un canon court et tire un projectile à basse vitesse. Après tout, les gaz chauds servaient de force de pénétration, et non la vitesse du projectile. De mars 1943 à mars 1945, seuls 300 Brumbers ont été produits. Une arme d'assaut telle que le Brumber s'est avérée peu efficace dans les batailles près de Koursk, mais a été utilisée avec succès dans les zones urbaines. C'est juste une question. Cela a-t-il donné un résultat ? En effet, en 1944-45, les Allemands ne pensent même pas à l'offensive.



chasseurs de chars Quel a été l'outil le plus efficace dans la lutte contre les chars pendant la Seconde Guerre mondiale ? Il est clair qu'il s'agit de canons antichars. Le calcul du canon a ouvert le feu sur les véhicules de combat ennemis sur une ligne dangereuse pour les chars, prenant ainsi l'ennemi par surprise. Mais vous devez également éviter de riposter. Mais comment le faire? Après tout, un tracteur est nécessaire pour transporter des armes lourdes. C'est ainsi que les chars de chasse sont apparus. Les Allemands ont simplement pris et installé un canon sur un châssis à chenilles. Ainsi, le premier chasseur de chars est apparu - "Pantseryager I". Les nouveaux canons automoteurs avaient un canon antichar A-5 de 47 mm, de fabrication tchèque. Le canon lui-même était monté sur le châssis d'un char allemand Panzer I mitrailleur. Considérons le premier. Pourquoi un canon de fabrication tchèque a-t-il été installé ? En 1938, l'Allemagne prend le contrôle de la Tchécoslovaquie. Il est clair que la Wehrmacht a obtenu des armes tchèques. Sur le terrain d'entraînement, les Allemands ont appris que le meilleur canon allemand de 37 mm (à l'époque) était complètement inférieur à l'A-5. Le canon tchèque a percé l'armure de n'importe quel char allemand à une distance d'un kilomètre et demi. Oui, avec de telles armes, vous combattrez, pensaient les Allemands. Et installé sur le châssis d'un char allemand léger. La création de nouveaux chasseurs de chars, tous de la même société "Alkett". "Panzeryager I", a combattu sur les fronts ouest et est (en France et en URSS). Certes, le canon de 47 mm ne pouvait pas pénétrer le blindage des chars lourds français, sans parler des derniers chars soviétiques KV-1 et T-34. Les Allemands ont été choqués. Que puis-je dire, si le canon de 47 mm ne pouvait pas faire face, alors il n'y avait pas de place pour le canon antichar allemand de 37 mm et il n'y avait pas de place sur le champ de bataille.

Canon antichar tchécoslovaque de 47 mm modèle A-5 1938.
"Pantalon je " C'est alors que de nouveaux canons antichars allemands sont apparus sur le champ de bataille - Pak-40 et Pak-43 - cela est devenu un grand danger pour les chars soviétiques et alliés. Pack-40

Pack-40 ( panzerjag erkanone 40)- Canon antichar allemand de 75 mm pendant la Seconde Guerre mondiale. En 1938-1939, la Direction de l'armement confia une mission technique pour le développement d'un canon antichar à Rheinmetall et Krupp. " Rheinmetall AG " - Entreprise allemande, créée le 13 avril 1889. Aujourd'hui, l'entreprise est l'un des plus grands fabricants d'équipements et d'armes militaires en Allemagne et en Europe. « Krupp » - la plus grande entreprise industrielle de l'histoire de l'Allemagne, officiellement fondée en 1860. La production en série du canon antichar Pak-40 de 75 mm ne reprit qu'en février 1942. Pourquoi? En 1940, la Wehrmacht fait face à des chars moyens et lourds comme le Matilda anglais et le B-1 français. Bis .

MKII / IV "Mathilde" - milieu char d'infanterie armée britannique point final La Seconde Guerre mondiale . Utilisé activement et avec succès par l'armée britannique pendant combats en Afrique , également fournis en quantités importantes armée australienne et en Union SS À PARTIR DE R . Le seul modèle de tank de l'histoire du monde portant le nom d'une femme. Conçu en 1936 -- 1938 ans, produit jusqu'en août 1943 et était l'un des Majeur Chars moyens britanniques pour la première fois pendant les années de guerre. Également fourni en quantités importantes armée australienne et en l'URSS . "Matilda" se distinguait par une armure très puissante pour son époque et, avec la modification Mark IV, haute fiabilité , qui a assuré son utilisation plutôt efficace pour la première fois dans les années de guerre, avant qu'il ne soit remplacé par un char armé et blindé plus puissant " Churchill "De plus, le blindage du char a permis au début de la guerre d'ignorer la plupart canons antichars l'ennemi, et uniquement l'utilisation par les unités allemandes d'un canon antiaérien de 88 mm 8,8 cm FlaK 18/36/37 , converti pour les besoins antichars, a permis d'arrêter l'assaut du Matilda, et cela a continué jusqu'à ce que les Allemands reçoivent de nouveaux canons antichars de 50 mm et 75 mm.

français B -1 bis - français lourd Char années 1930 années. Développé avec 1921 . Mais il n'a été adopté qu'en mars 1934 . Lors de la production en série, avec 1935 au 15 juin 1940 , 403 réservoirs B1 ont été produits en différentes versions. B1 a été activement utilisé dans des batailles avec Allemand troupes en mai - juin 1940, malgré la conception assez archaïque, faisant preuve d'une excellente sécurité. Près de la moitié des voitures produites après la capitulation de la France ont été capturées Wehrmacht et a été utilisé jusqu'à 1945 , servant également de base à la création d'installations d'artillerie automotrices et réservoirs de lance-flammes à leur base. Au total, les Allemands ont obtenu 161 chars - ils les ont renommés Pz. Kpfw. B2 740(f). Parmi ceux-ci, 16 chars ont été convertis en canons automoteurs 105-mm et environ 60 autres chars ont été convertis en chars lance-flammes. Les canons antichars de 37 mm ne pouvaient pas pénétrer le blindage du Matilda et B -1 . Le même canon antichar Pak-38 de 50 mm a percé le blindage de ces chars uniquement avec un projectile de sous-calibre à noyau de tungstène.

Un projectile de sous-calibre est une munition qui est le plus souvent utilisée pour pénétrer des cibles blindées. Pour la fabrication du noyau, du tungstène et de l'uranium appauvri sont utilisés. Mais après la guerre avec la France, le canon antichar de 75 mm n'était plus nécessaire. Le Pak-40 n'a jamais été adopté par la Wehrmacht, uniquement parce que le nouveau canon ne correspondait pas au concept Blitzkrieg. "Guerre éclair" - la théorie de la guerre de flotte, selon laquelle la victoire est obtenue en quelques jours, semaines ou mois avant que l'ennemi ne soit en mesure de mobiliser et de déployer ses principales forces militaires. Créé au début du 20ème siècle Alfred de Schlieffen . Il était très lourd et ne correspondait pas à la tactique de la guerre mobile. Oui, et puis les Allemands ne se sont pas rencontrés, de tels chars qui ont résisté au tir de leurs canons. La situation se complique au début de la guerre avec l'URSS (la Grande Guerre patriotique - 22 juin 1941). Canons antichars allemands de 37 mm et 50 mm (Pak-35/36 et Pak-38)

Pack-35/36

Pak-38 Ils n'ont pas pénétré le blindage anti-obus des derniers chars soviétiques T-34/76 et KV-1. Ne tirant que des obus de sous-calibre, le Pak-38 pouvait toucher le T-34 et le KV-1 (50%). Ce n'est qu'en février 1942 que des canons antichars de 75 mm capables de pénétrer un blindage de 134 mm d'épaisseur ont commencé à être livrés. Ils ont pu pénétrer les blindés et les lourds KV et T-34. Mais voici le problème. Si le Pak-40 pesait une tonne et demie, le canon antichar de 88 mm, également connu sous le nom de "Eight-Eight", tirait les quatre tonnes. Le transport avec de telles armes n'était pas facile du tout. Par conséquent, nous avons décidé d'installer le pistolet sur le châssis mobile de n'importe quel char ou tracteur. Étant donné que le canon de 47 mm monté sur le châssis du char de mitrailleuse légère TI s'est avéré incapable de combattre les véhicules blindés soviétiques, il a été décidé d'installer des canons plus puissants sur le châssis des chars T-II et sur le châssis du char tchécoslovaque LT-38, ou en allemand Pz.38(T). C'est ainsi qu'est apparu "Marder", traduit par martre. Mais ils n'ont reçu un nom bien connu qu'en février 1944, avant de s'appeler simplement "Pantseryager" (chasseur de chars). Sur les "Marders", ils ont installé un canon PAK-40 de 75 mm ou capturé des canons soviétiques de 76,2 mm - F-22. Il est clair qu'à l'été 1941, la Wehrmacht a récupéré de nombreuses armes capturées - il s'agit principalement de canons antichars, d'obus pour eux et de chars. Mais les véhicules de combat, comme le T-34 et le KV, n'ont pas été donnés aux Allemands en grand nombre, uniquement parce que les équipages soviétiques ont fait sauter le char en cas d'échec.

Canon divisionnaire de 76 mm modèle 1936 (F-22, Indice GAU -- 52-P-363A) -- soviétique divisionnaire canon semi-universel d'époque La Seconde Guerre mondiale. C'était la première arme développée bureau d'études sous la direction d'un concepteur exceptionnel de systèmes d'artillerie V. G. Grabin, et l'un des premiers canons entièrement développés en URSS (et ne représentant pas la modernisation des canons de l'armée Empire russe ou développement à l'étranger). Créé dans le cadre du concept d'un canon universel (divisionnaire anti-aérien) qui ne se justifiait pas, le F-22 présentait un certain nombre de lacunes, à propos desquelles il a été retiré de production en série trois ans après sa création. Les armes produites ont participé activement aux conflits d'avant-guerre et à la Grande Guerre patriotique. De nombreux outils de ce type sont devenus trophées Allemand, finlandais Et roumain armées. En Allemagne, les armes capturées ont été modernisées et activement utilisées comme canons antichars, à la fois remorqués et auto-propulsé option. Les Allemands, en 1941, capturèrent un nombre considérable de canons F-22 (GAU - 52-P-363A). Eh bien, où vont-ils ? Ils ont donc pris et installé le canon divisionnaire F-22 du modèle 1936 de l'année sur le châssis des chars tchécoslovaques LT-38.

LT -38 C'est ainsi qu'apparurent les Marder, modèles 132 et 139. Dans la Wehrmacht, le F-22 était désigné par l'indice Pak 36(r), traduit par canon antichar du modèle 1936 (russe). Certes, les obus de ces armes ne sont pas sans fin. Tirez sur les mêmes obus de 75 mm, le F-22 ne le pouvait pas. Par conséquent, les Allemands ont pris et aiguisé la culasse de ces canons pour tirer leurs obus de 75 mm. Les « Marders » ont également combattu en Afrique du Nord. La puissance des divisions soviétiques était également ressentie par les forces alliées. L'avancée anglaise "Matildas", avant cela, seul le canon anti-aérien allemand de 88 mm, refait pour la nécessité de combattre des chars (Flak 18/36/37), a frappé. Mais lorsque des canons divisionnaires soviétiques capturés montés sur Marders sont apparus sur le champ de bataille, la situation a changé en direction de l'artillerie allemande. Les divisions soviétiques ont pilonné les Matildas anglais comme des noix. Les historiens militaires et les généraux, participants aux échecs de la 8e armée britannique, n'ont pas tant rappelé Rommel que les canons soviétiques - le F-22.

"Marder II "modèle 131 sur châssis de char Panzerkampfwagen II . ausf C . Le chasseur de chars avait un canon antichar de 75 mm - pack 40.

"Marder II "modèle 132 sur châssis de char Panzerkampfwagen II . ausf ré . Le chasseur de chars avait un canon antichar divisionnaire de 75 mm (76,2 mm) - F-22 ( pack 36 r ). Au combat, le Marder était très vulnérable. Pour certains modèles, l'armure était de 3 cm au niveau du front et de 1 cm sur les côtés ; pour des modèles tels que le Marder III 138H et le Marder III 138M, elle était de 5 cm au niveau du front et de 3 cm sur les côtés.

"Marder II je "modèle 139 sur le châssis d'un char tchécoslovaque LT -38 ( pz 38 J ) . Le chasseur de chars avait un canon antichar divisionnaire de 75 mm (76,2 mm) - F-22 ( pack 36 r ). Je veux dire que "Marder", tous deux de bonnes qualités, en avaient de mauvaises. C'est que le "Marder" (selon le modèle) avait un compartiment de combat ouvert derrière et au-dessus. Pouvez-vous imaginer à quel point il est difficile d'entretenir une arme à feu conditions météorologiques. Pluie, vent, etc. Par conséquent, sous la pluie ou la neige, les Allemands ont tiré une bâche sur le compartiment de combat. Ou ils ont simplement construit quelque chose sous la forme d'une tente ou d'un mini-toit. De plus, un obus qui a explosé à proximité pourrait non seulement choquer l'équipage en raison du fait que le compartiment de combat ouvert était derrière et au-dessus, mais aussi renverser complètement le véhicule de combat. Mais les bonnes qualités de combat des canons antichars des "Panzerjagers" ont quand même porté leurs fruits. De plus, les "Panzerjagers" différaient les uns des autres par l'apparence de la tourelle. Et ils ont été créés sur la base différents réservoirs et tracteurs. En février 1944, "Panzerjagers" reçut le nom universel - "Marder", traduit par martre. Le premier représentant est un chasseur de chars créé sur la base de tracteurs lorriens capturés. Transport de troupes blindé français "Lorrian"

Le transport de troupes blindé français de série Lorraine 37L a été développé en 1937. Le véhicule était destiné à fournir des unités blindées et mobiles de tous niveaux, ainsi qu'au transport d'infanterie motorisée. Lorraine 37L et Lorraine 38L étaient des véhicules de transport de troupes blindés à chenilles non armés avec des quartiers blindés pour l'équipage et un compartiment semi-blindé pour les troupes et le fret, ouvert en haut. Les machines ont été produites en série en France de 1938 à 1940. Au total, 618 véhicules blindés de transport de troupes ont été assemblés en quatre modifications principales. Le chasseur de chars, créé sur la base de véhicules blindés de transport de troupes français capturés "Lorrian", s'appelait - "Marder I". Le chasseur de chars était équipé d'un canon antichar PAK-40 de 75 mm.

combattant allemand chars - "Marder je ". "Pantseryager", armé d'un canon antichar de 75 mm - Pak-40. Le prochain représentant des Panzeryagers était le modèle Marder II 131 et le modèle Marder II 132. Ils ont été créés sur la base des chars légers Panzer II. Mais ils différaient également en apparence, puisque le "Panzer II" a été produit dans différentes modifications. Les deux modèles ont été créés sur la base des chars "Panzer II" modèles "C" et "D". En outre "Marder III" modèle 139 et "Marder III 138M", et "Marder III 138H". Les trois modèles ont été créés sur la base du char tchécoslovaque LT-38.

Lt vz .38 - Char léger tchécoslovaque de la fin des années 1930, créé par ČKD. Mieux connu sous l'appellation allemande pz . Kpfw .38 ( t ) . Après l'occupation de la Tchécoslovaquie (1938), tous les chars ont été adoptés par la Wehrmacht. Il était considéré comme l'un des meilleurs chars légers de la Wehrmacht. "Marder 138M" et "Marder III 138H", comme le modèle 139, avaient le châssis d'un char léger LT-38. Au "Marder 138H", la cabine a avancé, donc le moteur était à l'arrière. Au "Marder 138M", la cabine a reculé, car le moteur était situé au milieu de la voiture.
"Marder III 138M ".

"Marder III 138 H " Les chasseurs de chars ont été utilisés jusqu'à l'avènement de nouveaux canons automoteurs légers, basés sur le char LT-38 - "Hetzer". Cependant, les "Marders" ont été utilisés jusqu'à la capitulation de l'Allemagne. Au total, d'avril 1942 à mai 1944, l'industrie allemande a produit 2800 chasseurs de chars de la série Marder. Bien sûr, ils n'avaient pas une bonne armure, mais, d'un autre côté, ils ne sont pas montés sous le tir de l'ennemi, mais se sont assis en embuscade et ont ouvert le feu de manière inattendue pour l'ennemi. Parfois, les "Marders" rampaient dans un endroit où le char destructeur ("Jagdpanzer") ne pouvait pas atteindre, mais une bonne position est déjà un avantage sur l'ennemi. De plus, les chars destructeurs avaient un secteur de tir bas. Le pistolet ne tournait que de 10 à 14 degrés. La culasse reposait contre les parois latérales. Par conséquent, comme le Sturmgeshutz, le Jagdpantser devait tourner tout le corps, ce qui, bien sûr, réduisait la mobilité de ce véhicule. Avec Marder, c'était l'inverse. Le canon F-22 monté sur le Marder II a pivoté de 25 degrés vers la gauche et la droite. Le PAK-40 allemand, monté sur le "Marder II" modèle 131, tournait à gauche de 25 degrés et à droite de 32 degrés. Cependant, les "Marders" ne pesaient que 10 tonnes et étaient peu coûteux à fabriquer. Les anciens chars, tracteurs, ont été mis hors service, mais la création de tels chasseurs de chars a permis de donner ancienne technologie comme une seconde vie.

Quel modèle de chasseurs de chars et de canons d'assaut est devenu le plus efficace sur le champ de bataille ? Les concepteurs ont expérimenté à plusieurs reprises pour créer un modèle en série de chasseurs de chars. Ce qu'ils n'ont tout simplement pas fait: ils ont installé le pistolet sur des tracteurs, sur des véhicules de transport de troupes blindés à chenilles et semi-chenillés. Mais rien n'a mené au succès. Ou ils ne sont pas devenus en série. Par exemple, le Bn-9, un camion sur lequel étaient installés des canons divisionnaires capturés par les Soviétiques, n'est jamais devenu de série.

Voiture blindée Dakota du Sud . KfzComment .234 , armé d'un canon antichar de 75 mm pack 40/2 L /46 , a également servi de chasseur de chars. Prenez, par exemple, un chasseur de chars intéressant armé d'un canon Pak-40 de 75 mm. Le chasseur de chars a été créé sur le châssis du tracteur allemand RS "OST". Un chasseur de chars très douteux, a été créé par l'industrie autrichienne. Le nouveau chasseur de chars a également été désigné comme suit : 7,5 cm Pak-40/ 4 auf Raupenschlepper "Ost". Au total, 60 de ces véhicules de combat ont été construits, conçus pour combattre tranquillement les chars.

7,5 à partir de m pack -40/ 4 auf Raupenschlepper " Est ". Mais voici le problème. Si cette monture d'artillerie automotrice commence à tirer sur les chars ennemis, comment éviter les ripostes ? Après tout, l'épaisseur de l'armure frontale n'était que de 5 mm, ce qui ne protégerait que contre les pierres et les balles de pistolet. Ce pistolet automoteur peut plutôt être qualifié de jetable. Ouvrant le feu, l'équipage s'est soumis à la destruction. Pensaient les Allemands. Tout au long de la guerre, le meilleur canon antichar de l'époque était considéré - 88 mm PAK-43 ou Flak 18/36/37. Il était utilisé pour combattre les avions ennemis, mais a été transféré à la nécessité de combattre les chars ennemis, en particulier contre les chars britanniques Matildas et soviétiques KV-1. Aucune armure de char au monde ne pourrait résister au puissant canon antichar de 88 mm, également connu sous le nom de "Eight-eight". Toujours rien si le poids de ce canon ne serait pas de 4 tonnes. Tous les tracteurs ne pouvaient pas résister à ce pistolet remorqué. Et encore une fois, la société bien connue Alkett a entrepris la création d'un nouveau chasseur de chars. Cependant, il y avait un choix - à installer sur le châssis du char T-III ou T-IV. Le nouveau canon automoteur a été construit sur le châssis du char moyen T-IV, qui était armé d'un canon antichar Pak-43 de 88 mm. Les canons automoteurs ont reçu le nom de "Horrias", traduit par un bourdon. Mais peu de maniabilité n'a pas permis au nom de s'enraciner. Par conséquent, ils l'ont changé en "Nashorn" - un rhinocéros.

Sd.Kfz.164 « Nashorn ». Mais encore une fois, le problème est resté. Réservation. Le chasseur de chars "Nashorn" avait un puissant canon antichar de 88 mm. Mais l'armure n'était que de 1 cm (10 mm). Encore une fois, ouvrir le feu sur l'ennemi garantissait un retour de tir, ce qui pouvait entraîner la destruction de l'équipage. Oui, et avait une hauteur de trois mètres ! "Nashorn" n'a pas été retiré du service, car ce canon automoteur avait des armes puissantes et était efficace en défense. Également à l'offensive, le Nashorn était un bon support de combat pour les chars linéaires en progression. Au total, 500 unités ont été produites. Le canon PAK-43 de 88 mm a également été installé sur des chars: "Tiger", "Ferdinand" (SAU), etc. Mais il y en avait peu, par exemple, "Ferdinands", 70 pièces ont été construites, "Tigers", 1354 pièces.

Panzerkampfwagen VI "Tigre".

Installation d'artillerie automotrice "Ferdinand" Le canon antichar allemand le plus puissant était le canon antichar Pak-44 de 128 mm, qui était monté sur canons automoteurs super lourds"Jagdtiger" et expérimenté char super lourd"Maus". Vous ne pouvez pas voir le type de chasseur de chars, qui était armé d'un puissant canon de 128 mm. Canon automoteur, avait la désignation : 12,8 cm Sfi L/61. Cependant, les Allemands n'ont pas donné le nom de l'animal uniquement parce qu'ils ont été construits en deux exemplaires, dont l'un est allé aux soldats soviétiques. Le chasseur de chars est apparu comme ça. Lors de la création du char Tiger, deux châssis ont été créés par différentes sociétés : Henschel et Porsche. En conséquence, le châssis Henschel a été utilisé pour créer non sans les Tigres bien connus, mais le châssis Porsche pour créer les Ferdinands. Et le châssis expérimental VK.3001 est resté inactif. Pak-44, pesait jusqu'à 7 tonnes, et donc ce canon n'était pas installé sur un châssis de char mobile, sans parler du châssis d'un tracteur ou d'un véhicule blindé de transport de troupes. Les Allemands ont pris et installé sur deux châssis expérimentaux, un canon Pak-44 de 128 mm.

Acceptation des canons automoteurs en usine

ACS 12,8 cm sfi L /61 capturé par l'Armée rouge à l'hiver 1943. Au premier plan, il y a un chasseur de chars - "Pantseryager je " Maintenant une question. - Alors, quel est devenu le moyen le plus efficace de combattre les chars ? Bien sûr, "Sturmgeschutz". Char d'assaut, qui n'était pas du tout dans les forces de chars de l'Allemagne. Et il était destiné exclusivement à soutenir l'infanterie sur le champ de bataille. Par la suite, le "Sturmgeshutz" est devenu le modèle le plus massif de véhicules blindés de la Wehrmacht. Ils ont été construits 11 500 unités. Ce sont eux qui ont assommé le plus grand nombre de chars. Par conséquent, c'est le Sturmgeschutz qui peut être considéré comme le moyen le plus efficace de combattre les chars. L'histoire a été écrite le 01/12/201 7 jusqu'au 26/03/2017 . auteur : Betigov Denis, 14 ans. Fin de la partie 1.

Le StuG III est un canon automoteur allemand de classe canon d'assaut de poids moyen. Il a été construit sur la base du char PzKpfw III et a été activement utilisé en . C'était le représentant le plus massif des véhicules blindés allemands, produit dans de nombreuses modifications tout au long de la guerre.

Histoire de la création

L'histoire du troisième Shtug a commencé en 1935, lorsque l'idée est venue de créer un véhicule "d'artillerie d'assaut" pour soutenir l'infanterie. Il est possible que les Russes aient accidentellement suggéré cette idée aux Allemands, en discutant avec la société Daimler-Benz de la création d'un prototype de canons automoteurs pour l'Armée rouge. Un croquis a même été développé, mais le prix ne convenait pas à la partie soviétique et l'accord n'a pas eu lieu.

En 1936, c'est Daimler-Benz qui est chargé de concevoir un véhicule blindé pour soutenir l'infanterie. Elle aurait dû être armée d'un canon de 75 mm, et également entièrement blindée pour protéger l'équipage. Dans le même temps, la hauteur de la voiture n'était pas censée être supérieure à la taille d'un soldat moyen.

Daimler-Benz a décidé de reprendre le châssis du Pz. III, alors encore tout à fait nouveau, et a mis le pistolet dès les premières modifications. Après avoir collecté plusieurs prototypes en 1937, ils ont été envoyés pour pratiquer la tactique. Mais le développement a été considérablement retardé, de sorte que le Sturmgeschütz III n'a pas eu le temps de participer à la campagne de Pologne, et la série n'est sortie qu'en février 1940. Mais ensuite, ils ont été modifiés et produits tout au long de la Seconde Guerre mondiale.

caractéristiques de performance

informations générales

• Classification - pistolet d'assaut ;
• Poids au combat - 23,4 tonnes;
• Schéma d'implantation - compartiment de transmission à l'avant, compartiment moteur à l'arrière, contrôle et combat au centre ;
• Équipage - 4 personnes ;
• Années de développement - 1937 ;
• Années de production - 1940-1945 ;
• Années d'exploitation - 1940-1950 ;
• Au total, 10 500 voitures ont été produites.

Dimensions

• Longueur de la coque - 6770 mm, identique avec le canon vers l'avant;
• Largeur de coque - 2950 m;
• Hauteur - 2950 mm;
• Dégagement - 385 mm.

Réservation

• Type d'armure - acier moulé et laminé ;
• Front de la coque, haut - 25 + 30 / 85 ° mm / degré;
• Panneau de coque - 30 mm;
• Coque arrière, haut - 30/30° mm/degré ;
• Bas - 19 mm;
• Toit de coque - 16 / 78-87 ° mm / degré;
• Front de coupe - 50 + 30 / 9 ° mm / degré;
• Masque de canon — 50+30 / 5° mm/degré ;
• Tranchant - 30 / 0° + 8 / 30° mm/degré ;
• Toit de cabine - 10 / 78-90 ° mm / degré.

Armement

• Pistolet - Stuk 40 L / 48 calibre 75 mm;
• Type de pistolet - rayé ;
• Longueur du canon - calibre 24 ;
• Munitions pour armes à feu - 54 obus;
• Angles ВН — −10…+20° degrés ;
• Angles GN - 12 degrés ;
• Sites - SfI ZF 1a et RbIF 36 périscopes ;
• Mitrailleuse - calibre MG 34 7,92 mm.

Mobilité

• Type de moteur - Carburateur 12 cylindres en V, refroidi par liquide;
• Puissance du moteur - 300 chevaux;
• Vitesse sur autoroute et terrain accidenté - 38 km / h;
• Réserve de marche - 155 km;
• Puissance spécifique - 12,8 ch / t;
• Type de suspension - Barre de torsion individuelle, avec amortisseurs hydrauliques ;
• Grimpabilité - 30 degrés;
• Surmonter le mur - 0,6 m ;
• Fossé franchissable - 2,3 m ;
• Gué traversable - 0,8 m.

Modifications

Le StuG III a été largement utilisé tout au long de la guerre et a été régulièrement modifié pour le garder pertinent.

• Ausf.A est le premier véhicule de série basé sur le châssis Pz.Kpfw.III Ausf.F. 36 pièces ont été créées, 6 ont été converties à partir de Pz.Kpfw.III Ausf.G. Ils ont été utilisés en mai-juin 1940, plus tard ils sont allés dans des unités de formation;
• Ausf.B - similaire au modèle précédent, mais avec des voies larges et des roues de route, avec une transmission manuelle. 300 ont été construits, utilisés jusqu'à la fin de 1942;
• Ausf.C - avec une nouvelle armure d'arc, sans viseur de mitrailleur et avec une conception mise à jour de la trappe du conducteur pour étendre la vue derrière tout fermé. Création de 50 voitures ;
• Ausf.D - similaire à la version précédente, mais avait un interphone interne. 150 véhicules ont été construits, certains convertis en véhicules de commandement;
• Ausf.E - une version mise à jour, avec une armure supplémentaire. 284 véhicules ont été construits, certains convertis en véhicules de commandement, avec l'ajout d'instruments stroboscopiques;
• Ausf.F (Sd.Kfz 142/1) - avait une armure encore plus solide et un canon différent - 7,5 cm StuK 40 L/43. Pour cette raison, il a combattu beaucoup plus efficacement avec les chars britanniques et soviétiques. En 1942, 366 machines ont été construites ;
• Ausf.F / 8 - un véhicule avec une coque de char Pz.Kpfw.III Ausf.J et des plaques de blindage au-dessus. 250 construits ;
• Ausf.G - la dernière version du Stug de MIAG et Alkett, a été produite de 1942 à 1945. Un total de 7720 unités ont été construites. 142 ont été assemblés sur le châssis Pz.Kpfw.III Ausf., 173 autres ont été convertis à partir de Pz.Kpfw.III. La coque était la même que celle du modèle précédent, mais le blindage a été amélioré, une tourelle avec un périscope a été ajoutée au commandant;
• StuH 42 - canons automoteurs avec un obusier de 105 mm;
• StuG (Fl) - lance-flammes automoteur, créé en 1943. Peu de véhicules ont été assemblés, ils n'ont pas été utilisés dans les batailles, selon les documents, et en 1944, ils ont été convertis en StuG III Ausf.G.

Voitures basées sur Stug III

• Munitionspanzer auf StuG 40 Ausf. G - transporteur de munitions. Il n'avait pas de canon, parfois une grue était placée sur le toit pour faciliter le chargement et le déchargement des munitions. N'était pas très répandu;
• En Union soviétique, plusieurs dizaines de SU-76I ont été fabriqués à partir de Shtugs capturés, avec une timonerie plus haute et des plaques de blindage inclinées. Les machines ont été activement utilisées en 1943-1944, bien que des StuG III souvent capturés aient combattu aux côtés de l'Armée rouge et sans modifications.

Utilisation au combat

Les StuG III ont vu le combat pour la première fois en Hollande et en France au printemps et à l'été 1940. En général, ils ont bien performé, mais il est devenu clair que pour soutenir efficacement l'infanterie, il était nécessaire d'augmenter le nombre d'unités Sug.

Habituellement, les batteries étaient composées de Stugs - six véhicules chacun, parmi lesquels se trouvaient des canons automoteurs de combat et un véhicule blindé semi-chenillé du commandant Sd.Kfz.253, ainsi qu'un transporteur de munitions Sd.Kfz.252.

À la fin de l'automne 1940, suffisamment de Stugs avaient été produits pour créer des divisions. Pendant cette période, ils ont combattu en Yougoslavie et en Grèce, et les Allemands n'ont perdu qu'un seul Sturmgeschutz III avant la campagne sur le front de l'Est.

Après 1941

En 1941, la situation a radicalement changé et les unités avec Shtugs ont commencé à subir des pertes, bien que leur nombre dans l'armée n'ait augmenté qu'en raison de la production active. Les StuG III ont combattu en Afrique en 1942, et après la défaite à El Alamein, ils ont perdu presque tous les canons automoteurs.

Les StuG.III Ausf.F / 8 spécialement préparés pour les conditions désertiques ont été envoyés à Naples au début de 1942, puis en Tunisie, où ils ont activement combattu, mais se sont finalement rendus aux Alliés.

Bien sûr, les troisièmes Stugs ont activement participé à l'opération Barbarossa, et en assez grand nombre. Ensuite, ils se sont constamment battus sur le front de l'Est - il s'agissait principalement de véhicules de modification B. Ils étaient assez efficaces pour prendre d'assaut les zones fortifiées. Les chars et les canons antichars de l'Armée rouge avaient du mal à pénétrer le blindage frontal, et la silhouette basse le rendait difficile à toucher. Ainsi jusqu'à la fin de 1941 sur le front de l'Est, la Wehrmacht a perdu moins d'une centaine de canons automoteurs. À peu près à la même époque, les StuG III capturés ont commencé à être utilisés par l'Armée rouge.

Très rôle important a joué StuG III/40 dans le troisième assaut sur Sébastopol, après quoi la ville est tombée. Ce sont les équipages des Stugs qui ont fait irruption dans le bâtiment Panorama et y ont apposé le drapeau du Troisième Reich. Certes, les pertes dans cette bataille étaient également lourdes.

Les Allemands ont perdu de nombreux Stugs lors de la bataille de Stalingrad. Après cela, les batteries ont commencé à être équipées de véhicules de diverses modifications, ajoutant StuН 42 pour combattre efficacement les fortifications de campagne.

455 StuG III/40 ont participé à la bataille de Koursk. Beaucoup de voitures ont été perdues et beaucoup d'entre elles n'ont pas pu être réparées. Dans le même temps, les troupes soviétiques ont commencé à créer le SU-76I à partir de Shtugs capturés, mais elles ont rapidement cessé de le faire au profit de leurs canons automoteurs en raison d'un flux instable de trophées et de réparations complexes.

En 1944-1945, l'industrie militaire allemande ne peut plus produire suffisamment de Stugs pour compenser ses pertes - les usines sont détruites par les avions alliés. Donc, à la fin, à la fin de la Seconde Guerre mondiale, il restait très peu de ces voitures.

En général, les canons automoteurs StuG III, selon les experts, se sont avérés très efficaces. Elle a efficacement combattu les chars d'une embuscade grâce à sa silhouette basse, et son armure lui a permis de détruire les chars ennemis bien avant que l'ennemi ne puisse assommer les canons automoteurs eux-mêmes.

Déjà après la Seconde Guerre mondiale, StuG III était activement utilisé au Moyen-Orient et dans certains pays européens. Dernier combatà laquelle les Stugs ont participé est la guerre des Six jours de 1967.

Réservoir en culture

Le Stug 3 se retrouve dans plusieurs jeux dédiés à la Seconde Guerre mondiale et aux chars, comme Behind Enemy Lines, Company of Heroes 2 et, bien sûr, World of Tanks et War Thunder.

La machine est également largement représentée dans la modélisation de banc - des modèles préfabriqués en plastique sont produits en Chine, au Japon et en Russie par la société Zvezda.

mémoire de réservoir

Peu de StuG III ont survécu à ce jour. Il y a des voitures en mouvement dans le musée des chars Parola en Finlande, ainsi que dans la collection privée de John Phillips. Des chars non fonctionnels sont exposés en France, en Finlande, en Suède, en Bulgarie. Il y en a aussi en Russie - au musée des chars Kubinka et au musée de la Grande Guerre patriotique à Moscou. Fondamentalement, ce sont des machines de modification Ausf, G.

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