Les canons d'assaut comme type d'artillerie sont apparus pendant la Première Guerre mondiale. Au cours des hostilités, un besoin urgent d'armes capables de fournir un appui-feu s'est fait sentir. unités d'infanterie au moment de leur contact direct avec l'ennemi, par exemple lors d'une attaque. Les canons, tirant depuis des positions permanentes, transféraient à ce moment le feu dans les profondeurs des défenses ennemies et ne pouvaient rien faire pour aider l'infanterie. En conséquence, des armes légères sont apparues qui pourraient soutenir la "reine des champs", comme on dit, "avec du feu et des roues", agissant dans ses formations de combat. Certes, l'expérience de la guerre a révélé la grande vulnérabilité des canons d'assaut eux-mêmes et des serviteurs qui les ont servis face aux tirs de fusils et de mitrailleuses ennemis.
Dans l'entre-deux-guerres, la création de nouveaux échantillons de canons d'assaut s'est poursuivie en différents pays, y compris en Allemagne, où le travail s'est particulièrement intensifié après l'arrivée au pouvoir des nazis, de plus, c'est ici que ce type d'arme a acquis une toute nouvelle qualité.
En 1935, le général de division Erich von Manstein publia un mémorandum sur les principes d'interaction entre les chars, l'infanterie et les mobiles unités d'artillerie... Il proposa de doter les formations d'infanterie d'une division de canons d'assaut automoteurs, composée de trois batteries de six canons chacune. Il était prévu qu'en 1939, toutes les divisions d'infanterie de première ligne devraient recevoir de telles divisions, et l'année suivante - des divisions de réserve. Les pétroliers se sont opposés aux idées de Manstein, estimant que cela conduirait à la fragmentation et à la dispersion des chars et des troupes mécanisées. Néanmoins, en 1936, Daimler-Benz AG a commencé à créer un prototype de canon d'assaut automoteur utilisant le châssis du plus récent char moyen ZW (plus tard - Pz. III), dont le développement avait été réalisé sur une base compétitive. par plusieurs firmes depuis 1934. C'est tout naturellement que Daimler-Benz a utilisé la conception de son châssis comme base du projet. Une tourelle entièrement blindée, une silhouette basse et une réservation puissante sont devenues les principales qualités qui distinguaient favorablement ce canon automoteur de tous ceux développés auparavant.
Incidemment, en 1927-1928, plusieurs entreprises allemandes ont conçu et, dans certains cas, construit des canons automoteurs expérimentaux avec des canons de 37 et 77 mm. Tous avaient une réservation partielle et un placement ouvert de systèmes d'artillerie et ont été effectués sur la base de tracteurs à chenilles ou de véhicules semi-chenillés. Et puis soudain - un véhicule entièrement blindé sur le châssis d'un char moyen !
Cependant, des trouvailles récentes dans les archives russes, en particulier RGVA (Archives militaires d'État russes), peuvent apporter une réponse à cette question. Le fait est qu'à la fin de 1931 - début 1932, le chef du groupe de conception avancée de l'UMM RKKA S. Ginzburg et le président de la NTK UMM RKKA I. Lebedev ont négocié avec Daimler-Benz sur la fabrication d'un prototype d'installation d'artillerie automotrice pour l'Armée rouge avec les tactiques suivantes -caractéristiques techniques :
- poids de combat - 9 ... 12 tonnes;
-équipage - 4 personnes;
-armement - canon de 76 mm modèle 1927 dans une timonerie fixe entièrement blindée ;
-l'épaisseur de l'armure - 30 ... 47 mm;
- puissance du moteur - 100 ... 150 ch;
- vitesse de déplacement - 30 ... 35 km / h;
- réserve de marche - 200 km.
Fait intéressant, conformément à l'accord signé, la partie allemande a reçu deux avant-projets d'unités automotrices (très similaires au SU-1, qui a ensuite été construit en URSS sur le châssis du char T-26), réalisés par S. Ginzburg et V. Simsky. Mais la société allemande, après les modifications effectuées, a proposé au côté soviétique une variante du véhicule de combat qui ne répondait pas aux exigences des spécifications techniques pour le poids de combat, la vitesse de déplacement et la réserve de marche. Dans le même temps, un montant a été demandé qui était presque trois fois plus élevé que celui qui avait été discuté lors des négociations préliminaires. En conséquence, l'accord ne s'est pas concrétisé. Et en juin 1936, lorsque la direction des armes de la Wehrmacht décida de lancer la production de canons d'assaut, Daimler-Benz proposa un projet qui ressemblait remarquablement à une machine qui avait été développée quatre ans plus tôt sur une commande soviétique.
En 1937, sur le châssis du Pz. III Ausf. Cinq prototypes du nouvel ACS ont été fabriqués en. Ils ont été assemblés à l'usine Daimler-Benz AG de Berlin-Marienfeld.
Le châssis du réservoir de base a été emprunté sans modifications et comprenait huit roues de route caoutchoutées à bord, emboîtées par paires dans quatre bogies d'équilibrage, suspendues à deux ressorts à lames semi-elliptiques.
Des amortisseurs Fichtel & Sachs ont été installés sur chaque bogie. Les roues motrices étaient situées à l'avant et les roues de guidage étaient situées à l'arrière. La branche supérieure de la voie reposait sur trois galets porteurs. La largeur de piste était de 360 mm, la longueur de la surface d'appui était de 3200 mm.
Le châssis était équipé d'un moteur Maybach HL 108TR à carburateur refroidi par liquide en forme de V de 12 cylindres d'une capacité de 250 ch. Avec. (184 kW) à 3000 tr/min. Le couple était transmis du moteur à une boîte de vitesses synchronisée mécanique à cinq vitesses Zahnradfabrik ZF SFG75 à l'aide d'un arbre de transmission qui passait sur le sol du compartiment de combat et recouvert d'un carter spécial. Compte tenu de la nature expérimentale des premières machines, leur tourelle était faite non pas d'armure, mais d'acier ordinaire. La timonerie soudée était boulonnée à la carrosserie du châssis. Son toit comportait deux trappes pour l'embarquement des membres d'équipage et deux trappes pour l'installation d'un viseur panoramique et d'un tube stéréo. Une caractéristique du nouvel ACS était que les quatre membres d'équipage, y compris le conducteur, étaient logés dans la timonerie. Le véhicule était armé d'un canon StuK 37 de 75 mm avec une longueur de canon de calibre 24. L'angle de guidage horizontal était de 24 ° (12 ° à gauche et à droite), vertical - de -10 ° à + 20 °. Dans le compartiment de combat s'adapter en outre 7,92 mm mitrailleuse légère Mitraillette MG34 et MP40. Les canons ont été fabriqués par Friedrich Krupp und Sohn AG à Essen.
En 1938, des prototypes sont testés sur le site d'essai de Deberitz, puis à Kummersdorf, et jusqu'à l'automne 1941 à l'école d'artillerie de Yuteborg Damme. Ils n'ont pas participé aux hostilités.
Les résultats des tout premiers tests des nouveaux canons automoteurs ont ravivé la controverse au sein de la direction militaire allemande. D'une part, l'infanterie a reçu des véhicules blindés pouvant servir de moyen d'appui-feu opérationnel ; en revanche, le canon d'assaut ne semblait pas avoir d'avantage sur le Pz. IV, armé d'un canon similaire. Cependant, le char, de l'avis de la plupart des généraux allemands, en particulier Heinz Guderian, était beaucoup plus utile que n'importe quel canon automoteur avec des angles de guidage horizontaux limités. Les avis sur l'opportunité de libérer des canons d'assaut étaient à nouveau partagés, et il est difficile de dire comment leur sort aurait évolué sans la persistance d'Erich Manstein et la campagne polonaise arrivée à temps, au cours de laquelle la Wehrmacht a ressenti vivement le manque d'artillerie de campagne mobile.
Installation d'artillerie automotrice allemande "Sturmgeschutz 3" (Sd.Kfz. 142 Sturmgeschutz III Ausf.B)
Les premiers fusils d'assaut en série quittent les ateliers Daimler-Benz en février 1940. Le véhicule a reçu le nom officiel Gepanzerte Selbstfahrlafette fur Sturmgeschutz 7,5 cm kanone - un affût automoteur blindé pour un canon d'assaut avec un canon de 75 mm. Le 28 mars 1940, les canons automoteurs reçurent la désignation militaire Sturmgeschutz III (en abrégé StuG III). Selon le système de désignation de bout en bout des actifs mobiles de la Wehrmacht, le StuG III a reçu le Sd. Kfz. 142.
Modifications
StuG III Ausf. UNE
Les principales différences entre la série StuG III Ausf. Et à partir du prototype, il y avait une tourelle en acier blindé et un châssis du Pz. III Ausf. F, qui a subi quelques modifications. L'épaisseur des plaques frontales supérieures et inférieures de la coque est passée de 30 à 50 mm, l'arrière de 21 à 30 mm. De plus, les trappes d'évacuation latérales et les trous de ventilation pour le refroidissement des freins dans la plaque avant supérieure ont été supprimés. La conception des panneaux d'écoutille à double battant pour l'accès aux unités de transmission a également changé.
Sur la photo : StuG III Ausf. Une France, mai 1940.
Le châssis à six roues de chaque côté et une suspension à barre de torsion a été emprunté à l'Ausf. F est inchangé, tout comme le moteur Maubach HL 120TR 300 ch. Avec. et la boîte de vitesses Variorex SRG 328-145 à 10 rapports.
Dispositif d'inspection pour le conducteur de l'ACS StuG III.
La tourelle à profil bas, de conception presque similaire à celles installées sur les véhicules de pré-production, était déjà en acier blindé. L'épaisseur des plaques de blindage de la partie frontale de la timonerie atteint 50 mm. Le bouclier du masque du pistolet avait la même épaisseur. Les côtés de la cabine étaient protégés par un blindage de 30 mm, le toit - 11 mm, la poupe - 26 mm. À l'avant du côté, les timoneries avaient un blindage supplémentaire sous la forme de tôles de 9 mm situées à un angle de 60 °. Sur le côté gauche de la timonerie, sur les ailes, il y avait un coffre blindé, qui abritait une station radio VHF.
Installation d'artillerie automotrice allemande "Sturmgeschutz 3" (Sd.Kfz. 142 Sturmgeschutz III Ausf.A)
L'armement des machines de modification A était similaire aux prototypes. La charge de munitions du canon StuK 37 se composait de 44 cartouches.
Le tireur avait à sa disposition le viseur périscope Sfl ZF, qui était installé à gauche du canon. Son embrasure était protégée par une armure spéciale sous la forme lettre latine"V". Le commandant a mené une recherche prolongée de cibles à l'aide du tube stéréo SF 14z ; une trappe a été fournie pour son installation dans le toit de la timonerie. Dans le vantail frontal de la cabine, il y avait un dispositif d'observation pour le conducteur Fahrersehklappe 50 avec un périscope binoculaire KFF2. La forme et l'emplacement des trappes sur le toit de la timonerie sont restés les mêmes que sur les véhicules de pré-production. Le poids au combat des canons automoteurs était de 19,6 tonnes. De janvier à mai 1940, 30 canons d'assaut de modification A.
StuG III Ausf. V
En juin 1940, la production de canons d'assaut de la deuxième modification - Ausf. B. Leur production a été réalisée par l'usine d'Alkett (Almarkische Kettenfabrik GmbH) à Berlin-Spandau, qui est devenue le principal fabricant de ces machines. La base de l'ACS StuG III Ausf. Dans les premières versions, le châssis amélioré du Pz. III Ausf.G. Cependant, sa sortie a été retardée, de sorte que les huit premiers canons automoteurs ont été assemblés sur un châssis de char standard. Ils avaient des trappes d'évacuation latérales, des trous d'aération dans la plaque frontale supérieure et des chenilles de 360 mm de large. Armure frontale corps de chars augmenté de 30 à 50 mm en installant des plaques de blindage de 20 mm.
Tous les véhicules ultérieurs étaient déjà fabriqués sur le châssis « automoteur » modernisé, basé sur le châssis du Pz. III.Ausf.G éditions ultérieures et Ausf. H. Ces canons automoteurs étaient équipés de moteurs Maybach HL 120TRM, qui différaient du HL 120TR, principalement par un système d'allumage amélioré, et de boîtes de vitesses ZF SSG 77 à six vitesses. Les machines recevaient des chenilles de 400 mm Kgs 61/400/120 et galets de roulement 520x95-397 au lieu des 520x75-397 utilisés auparavant.
ACS StuG III Ausf B avec un premier type de roues motrices et un train de roulement paresseux
Quant à la timonerie, elle était identique à celle des canons d'assaut modèle A et ne différait que par de petits détails. Le poids de combat de l'ACS a atteint 22 tonnes.
StuG III Ausf. C/D
Les deux modifications suivantes - C et D - n'étaient presque pas différentes l'une de l'autre. Ausf. C a été produit dans le cadre de la quatrième série de production, un Ausf. D est le cinquième. Sur ces machines, la faille de vue dans le vantail frontal de la cabine a été supprimée.
Dessin de la tourelle ACS StuG III Ausf.C/D
Le viseur était installé plus haut, de sorte que sa tête était sortie à travers une trappe spéciale dans le toit de la coque. La forme de la partie frontale de la timonerie et le nombre de trappes dans son toit ont changé en conséquence. D'autres différences externes notables incluent une goulotte en bois pour la pose de l'antenne en position repliée et un boîtier blindé pour les dispositifs de désenfumage à l'arrière de la coque.
Sur la photo : StuG III Ausf. D La tête du viseur périscopique et le stéréoscope installé dans la trappe ouverte du commandant sont bien visibles.
De mars à mai 1941, Alkett a fabriqué 100 canons d'assaut StuG III Ausf. De et de mai à septembre - 150 Ausf. D. Il convient de noter que dans les statistiques allemandes (en particulier, dans les états des pertes), ces deux modifications ne sont pas séparées et sont désignées par une fraction - C / D.
En 1942-1943, les véhicules restants ont été rééquipés de canons à long canon de 75 mm.
StuG III Ausf. E
Cet ACS est devenu dernière modification StuG III, armé d'un canon de 75 mm à canon court. Produit de septembre 1941 à mars 1942. Il a été conçu comme un véhicule de commandement avec deux stations de radio. Pour les loger étaient prévus deux caissons blindés de volume accru sur les ailes gauche et droite. Cependant, seule la case de droite était entièrement occupée par du matériel radio, une partie du volume de la case de gauche servait à loger le râtelier à munitions pour six cartouches.
Installation d'artillerie automotrice allemande StuG III Ausf. E
Ainsi, la capacité de munitions du véhicule est passée à 50 cartouches. Les plaques de blindage latérales inclinées ont été supprimées. L'épaisseur des côtés de la casemate a été portée à 30 mm.
Photo : pistolet d'assaut StuG III Ausf. E
Initialement, il était prévu de fabriquer 500 canons d'assaut de modification E, mais ensuite, en liaison avec le début de la production du StuG III Ausf. F, limité à 284 véhicules de combat.
Croquis de la cabine du StuG III Ausf. E
En train de tester de nouvelles options d'armes dans un ACS Ausf. E a installé un canon de 75 mm avec une longueur de canon de calibre 43, et dans l'autre - un obusier de 105 mm. Douze châssis ont été utilisés pour fabriquer la série StuIG 33B de canons d'infanterie automoteurs.
StuG III Ausf. F
Déjà lors des premières batailles sur le front de l'Est, la faible efficacité du canon 75-mm StuK 37 en tant qu'arme antichar a été révélée. À savoir, à ce titre, des fusils d'assaut bien blindés étaient le plus souvent utilisés. Cependant, tous les chars et canons automoteurs de la Wehrmacht se sont retrouvés dans une position similaire - leurs canons ne pouvaient pas combattre les nouveaux chars moyens et lourds soviétiques.
ACS StuG III Ausf. F
Ainsi, le 28 septembre 1941, Hitler par commande spéciale a exigé une augmentation de la puissance des chars et des canons automoteurs. Selon cet ordre, tous les chars et canons automoteurs devaient recevoir des canons à long canon. Il convient de noter qu'en 1940, Krupp a fabriqué plusieurs échantillons du canon StuK lang L / 40 de 75 mm avec une vitesse initiale de projectile perforant de 634 m / s. Cependant, la préférence a été donnée au canon 75 mm StuK 40 L / 43 de Rheinmetall-Borsig, qui s'est intégré avec succès dans la cabine du StuG III Ausf. E.
La production de canons d'assaut armés de ce canon a commencé en mars 1942 sous la désignation Sturmgeschutz 40 Ausf. F (Sd. Kfz. 142/1). En général, ces ACS étaient similaires aux machines de modification E, mais elles présentaient également un certain nombre de différences. En particulier, un nouveau masque de pistolet soudé a été introduit et un ventilateur électrique est apparu sur le toit de la timonerie. L'installation d'un nouveau canon a entraîné une modification du placement des munitions dans le compartiment de combat, le nombre de coups d'artillerie est passé à 54. Le canon était équipé d'un viseur Sfl ZF la, dont la tête était sortie à travers un trou modifié .
Sur la photo : StuG III Ausf. F Le blindage frontal supérieur de la timonerie est recouvert de béton.
A partir de juin 1942, le blindage frontal de la caisse et de la timonerie est renforcé par des plaques de blindage boulonnées de 30 mm. Le poids de la voiture a augmenté de 450 kg et la vitesse maximale a diminué à 38 km / h. 182 voitures ont subi une telle modernisation, sur laquelle, en outre, les phares avec couvercles occultants ont été supprimés, et à leur place, un phare Notek a été installé, d'abord sur l'aile gauche, puis au milieu de la feuille frontale supérieure de la coque .
Les canons d'assaut du modèle F étaient équipés de radios FuG 15 ou FuG 16. De juin à juillet 1942, 31 canons automoteurs étaient armés de canons StuK 40 de 75 mm avec une longueur de canon de 48 calibres.
Depuis août 1942, des modifications ont été apportées à la conception de la partie frontale de la timonerie : l'angle d'inclinaison des tôles avant supérieures a diminué. En conséquence, il a été possible d'éliminer le rebord défavorable, en termes de résistance aux projectiles, à la jonction des plaques frontales inclinées et verticales.
Les canons d'assaut de la variante F ont été produits de mars à septembre 1942. Pendant ce temps, 364 véhicules de combat ont quitté les magasins de l'usine d'Alkett.
Quatre canons automoteurs modèle F ont été utilisés comme prototypes de l'obusier d'assaut automoteur StuH 42.
StuG 40 Ausf. F/8
En 1942, la production de canons automoteurs en Allemagne a été attribuée au nombre de priorités. Par conséquent, l'usine d'Alkett a cessé de produire du Pz. III et s'est entièrement concentré sur la production des canons d'assaut StuG 40.
ACS StuG 40 Ausf. F/8
En septembre de la même année, les véhicules de combat de la nouvelle version - Ausf. F/8. Ils différaient de la version précédente par une conception de coque plus avancée sur le plan technologique (en particulier, les dispositifs de remorquage n'étaient plus sous la forme de boucles d'oreilles, mais dans le prolongement des côtés). La conception des trappes de sur-moteur et des trappes d'accès aux unités de transmission a été modifiée. L'épaisseur de la tôle de coque arrière passe à 50 mm, le dispositif de désenfumage est supprimé.
ACS StuG 40 Ausf. F/8
Tous les véhicules de la modification F/8 avaient un blindage supplémentaire de 30 mm pour la partie frontale de la coque et de la timonerie. Une trappe légèrement agrandie pour la sortie de la tête de visée Sfl ZFla pouvait être fermée par le haut avec un capuchon en maille spécial qui protégeait la tête de visée des dommages mécaniques. Les antennes radio étaient solidement fixées à la timonerie et ne pouvaient plus rentrer dans les gouttières en bois.
Croquis de la cabine de l'ACS StuG 40 Ausf. F/8
Dès le début de 1943, un bouclier pour la mitrailleuse MG34 a été installé sur le toit de la timonerie devant la trappe du chargeur, et à partir de mai 1943 - des écrans anti-cumulatifs (Schurzen).
De septembre à décembre 1942, 250 Ausf. F/8. Douze châssis ont été utilisés pour produire les canons d'infanterie automoteurs lourds StuIG 33B.
StuG 40 Ausf. g
La version la plus récente et la plus répandue du pistolet d'assaut StuG III. A été en production en série de décembre 1942 à avril 1945. Pendant ce temps, l'usine d'Alkett a produit 5191 Ausf.G. A partir de février 1943, MIAG (Muchlenbau und Industrie AG) à Braunschweig rejoint leur production, où 2643 machines de cette modification ont été fabriquées jusqu'en mars 1945. La production totale du modèle G était de 783 unités. De plus, 165 canons automoteurs ont été fabriqués en 1943 en utilisant les coques de Pz. III Ausf.M., et en 1944 - 173 canons automoteurs utilisant le Pz. III de diverses modifications, réparé à l'usine d'Alkett.
La cabine du canon automoteur StuG III Ausf.G, production tardive. Le croquis montre un masque moulé "Saukopf" et un bouclier protecteur devant la coupole du commandant.
Conception de châssis Ausf. Le G n'a pratiquement pas changé par rapport à l'Ausf. F/8. Les premiers véhicules de production conservaient encore un blindage frontal de 50 mm, qui a été renforcé par des revêtements de 30 mm. Sur les canons automoteurs des versions ultérieures, l'épaisseur des plaques de blindage frontal a été portée à 80 mm.
Plan directeur ACS ACS StuG III Ausf.G
Beaucoup plus de changements ont été apportés à la structure de la timonerie. En supprimant les blindages des stations radio, la timonerie a été agrandie sur toute sa longueur jusqu'au milieu des ailes. Des plaques latérales de 30 mm d'épaisseur étaient situées à un angle de 79 ° par rapport à l'horizontale (pour Ausf. F/8 - à un angle de 90 °). La tôle du rouf arrière de 30 mm est devenue verticale.
Sur les machines des largages précoces, le ventilateur était installé de la même manière que sur le F/8, puis il était transféré sur le vantail arrière du rouf. A partir de février 1943, le dispositif d'observation binoculaire du conducteur est supprimé. Sur les machines des premières productions, ses embrasures étaient soudées avec une plaque de 30 mm. Sur l'ACS des versions ultérieures, le dispositif d'observation du conducteur dans le côté gauche de la cabine a également été supprimé. Sur certaines des machines, des lance-grenades fumigènes 90-mm NbK 39 ont été installés - trois chacun à l'avant de la timonerie à gauche et à droite du canon.
Sur la photo : StuG 40 Ausf. Editions tardives avec masque canon Saukopfblende (museau de cochon).
Tous les ACS Ausf. G reçut une coupole de commandeur, à partir d'octobre 1943 équipée d'une sorte de carénage. La forme de la trappe pour la sortie de la tête du viseur périscopique a été simplifiée. Depuis janvier 1943, en situation de non combat, cette trappe était fermée par un volet spécial.
Croquis de la cabine de l'ACS StuG 40 Ausf. g
A partir de novembre 1943, le canon 75 mm StuK 40 L/48 reçut un nouveau masque moulé Saukopfblende (groin de cochon). Cependant, en parallèle, la production de canons d'assaut à masques soudés de l'ancien type se poursuit.
Depuis avril 1944, le blindage composite 80 mm (50 + 30) de la tôle frontale de la timonerie à droite du canon a été remplacé par un blindage monolithique ; en mai, une embrasure est apparue dans le toit de la timonerie pour un « appareil de mêlée » (un mortier qui tirait des grenades fumigènes et à fragmentation), ou un bouchon, en cas d'absence ; à partir de juillet - un support pour le montage d'un pistolet en position repliée sur la feuille frontale de la coque. En 1944, les canons d'assaut ont commencé à être armés de mitrailleuses coaxiales MG34 - à partir de juin, des machines avec un masque de pistolet soudé, à partir d'octobre - avec un masque en fonte.
Les innovations importantes sur le SPG des versions ultérieures ont été l'apparition d'une installation télécommandée de la mitrailleuse MG42 devant la trappe du chargeur et, en outre, le remplacement des rouleaux de support caoutchoutés par des rouleaux non caoutchoutés.
Presque toutes les machines de la modification G étaient équipées d'écrans anti-cumulatifs latéraux en acier de 5 mm, dont la position pouvait être ajustée en fonction des chenilles utilisées sur la machine - standard de 400 mm de large ou dites "orientales" (Ostkette ) 550 mm de large. A partir de l'été 1943, la production StuG 40 Ausf. G a commencé à appliquer un revêtement spécial "zimmerit", conçu pour protéger contre les mines magnétiques.
ACS StuH 42
À partir du milieu de 1942, après l'installation d'un canon long de 75 mm sur le StuG III, les canons d'assaut commencent à être affectés principalement à des missions antichars. L'infanterie a été laissée sans soutien d'artillerie automotrice. Par conséquent, la Direction de l'armement a signé un contrat avec l'usine d'Alkett pour développer un canon automoteur de soutien armé d'un obusier de 105 mm. Au cours de 1942, 9 prototypes ont été produits, armés d'un obusier LeFH 18 de 105 mm - cinq sur le châssis de modification F et quatre sur le châssis F/8. Début 1943, trois autres prototypes quittent l'usine. La production en série d'obusiers d'assaut, désignés Sturmhalitze 42 (Sd. Kfz. 142/2), a commencé en mars 1943.
Le châssis et la cabine des canons d'assaut StuG III Ausf ont été utilisés comme base. F, F/8 et G. Lors de la production, le StuH 42 a été modifié de la même manière que les canons d'assaut. Presque la seule différence était l'armement et le placement des munitions.
L'armement principal du StuH 42 était l'obusier StuH 42 de 105 mm avec une longueur de canon de 28 calibres de Rheinmetall-Borsig. Par rapport au Le. FH 18, les dispositifs de recul y ont été réorganisés, la conception du boulon a été modifiée et un nouveau frein de bouche a été introduit. Les munitions consistaient en 36 tirs de chargement distincts avec des obus perforants, à fragmentation hautement explosive et cumulatifs. L'obusier, comme le canon de 75 mm, était installé dans un masque soudé ou coulé avec une épaisseur de blindage de 30 et 80 mm, respectivement. L'armement auxiliaire - mitrailleuse MG34 - était situé sur le toit de la timonerie derrière le bouclier. Le chargeur a tiré depuis. Le véhicule était équipé d'une station radio FuG 15 ou FuG 16. Equipage - 4 personnes. Poids au combat - 23,9 tonnes. De mars 1943 à avril 1945, l'usine d'Alkett a produit 1299 obusiers d'assaut StuH 42.
ACS StuG III (Fl) variante lance-flammes
La décision de fabriquer des canons d'assaut armés de lance-flammes a été prise en décembre 1942, apparemment, non sans l'influence de l'analyse des résultats de l'utilisation de chars et de canons automoteurs à Stalingrad. En février 1943, les travaux de création d'un lance-flammes commencent par Wegmann & Co. à Kassel et Koev à Luckenwald. Les deux entreprises ont une expérience similaire.
StuG III Flamm Blueprint (lance-flammes)
Les premiers tests ont été effectués sur le terrain d'entraînement de l'école de chars de Wünsdorf le 23 février 1943. Dans le même temps, Wegmann a garanti le fonctionnement de la bougie d'allumage du lance-flammes à des températures de l'air allant jusqu'à - 22 °.
Le mélange d'incendie a été projeté à l'aide d'un compresseur entraîné par un moteur à carburateur à deux temps PKW F2 de 3 kW, qui a créé une pression pouvant atteindre 15 MPa. Avant le tir, le mélange d'incendie a été chauffé avec de l'eau chaude pendant 5 minutes, qui a été prélevée sur le système de refroidissement du moteur principal de l'ACS. Au lieu du canon standard de 75 mm, un boîtier en tube d'acier a été installé, à l'intérieur duquel se trouvait un canon de lance-flammes d'un diamètre de 14 mm. La portée pratique du lancement de flammes était de 50 à 55 m et en l'absence de vent de 60 m. Les angles de guidage horizontal du lance-flammes étaient compris entre 10 ° à droite et à gauche, vertical - de -6 ° à + 20 °. L'armement auxiliaire consistait en une mitrailleuse MG34. Équipage - 4 personnes, poids de combat du véhicule - 23 tonnes.
Transporteur de munitions basé sur Sturgeshutz Munitionspanzer auf StuG 40 Ausf. g
En 1944 et 1945, un petit nombre de canons d'assaut de modification G ont été convertis en transporteurs de munitions. Le canon standard a été démonté et l'embrasure a été soudée. À l'intérieur du véhicule se trouvaient des obus de 75 ou 105 mm; sur le toit de la timonerie, une flèche de grue était parfois installée, ce qui facilitait le chargement et le déchargement des munitions.
Munitionspanzer auf StuG 40 Ausf. g
Ces machines ne sont pas très utilisées. En tant que transporteurs de munitions dans les unités d'artillerie d'assaut, les véhicules basés sur des véhicules blindés semi-chenillés Sd. Kfz. 250 et Sd. Kfz. 251.
ACS StuG IV
Les 23 et 26 novembre 1943, à la suite des raids aériens anglo-américains, l'usine d'Alkett à Borsigwald est presque entièrement détruite. Afin d'éviter une baisse de la production de canons d'assaut, la société Krupp s'associe à leur sortie en décembre 1943. Puisque ce dernier était l'entrepreneur général pour la production des chars moyens Pz. IV, il n'est pas surprenant qu'en commençant la production de canons d'assaut, les membres de Krupp aient utilisé le châssis des "quatre" comme base. Il a été emprunté au Pz. IV Ausf.G.
Une timonerie du canon d'assaut StuG III Ausf.G a été installée sur le châssis. Elle n'a subi de modifications qu'à l'avant, à l'emplacement du conducteur. En raison de la grande longueur de coque du Pz. IV par rapport au Pz. Le troisième poste à temps plein du conducteur était à l'extérieur de la timonerie. Par conséquent, il était équipé d'une cabine blindée avec une trappe et de deux dispositifs d'observation périscopiques dans le toit. Grâce à l'utilisation de la cabine StuG III, les deux ACS ont été unifiés à près de 20 %.
Le poids au combat du véhicule, désigné Sturmgeschutz IV (StuG IV) et l'indice selon le système de désignation de bout en bout des actifs mobiles de la Wehrmacht Sd. Kfz.163, était de 23 tonnes Équipage 4 personnes. En raison du volume réservé plus important, la charge de munitions du StuG IV est passée à 63 cartouches. L'armement auxiliaire consistait en une mitrailleuse MG34, qui était montée sur le toit de la timonerie derrière un bouclier à charnière. Les éditions ultérieures du StuG IV ont les mêmes améliorations que le StuG III. Il s'agit d'une mitrailleuse couplée à un canon et d'une mitrailleuse télécommandée sur le toit de la timonerie, un "dispositif de mêlée", un support de montage de canon en marche, un blindage frontal monolithique de 80 mm d'une timonerie au à droite du canon, etc. Des modifications ont également été apportées au châssis du canon d'assaut à mesure que le châssis du char de base est amélioré. Ainsi, sur les éditions ultérieures des canons d'assaut StuG IV, le châssis du Pz. IV Ausf. J avec trois rouleaux porteurs sans caoutchouc et une nouvelle conception de roue folle. Pour les canons d'assaut, produits depuis août 1944, au lieu d'un silencieux cylindrique horizontal, deux silencieux verticaux ont été installés sur la tôle de caisse arrière, directement sur les pots d'échappement.
La production en série du StuG IV a duré de décembre 1943 à mars 1945. Pendant ce temps, 1163 fusils d'assaut ont été libérés (selon d'autres sources - 1108). 31 autres véhicules ont en fait été convertis à partir du Pz presque terminé. IV en décembre 1943.
Production et exportation
Le principal fabricant des canons d'assaut StuG III était la société berlinoise Alkett, à partir de février 1943, la société MIAG de Braunschweig l'a rejointe. Dans les usines de ces sociétés, l'assemblage final des canons d'assaut a été effectué. Les composants et les assemblages provenaient de nombreuses usines de fournisseurs.
Les coques blindées et les timoneries ont été fabriquées par les sociétés suivantes :
Brandenburger Eisenwerke GmbH (de 1939 à 1944 - 4485 coques et 5404 timoneries), Deutsche Edelstahlwerke AG (en 1943-1945 - 1347 coques et 1408 timoneries), Markort Eicken Stahlwerke AG (en 1943-1944 - 2200 coques et 2250 timoneries) et Konigs und Bismarckhutte AG (depuis juin 1944 - environ 200 coupes).
Les moteurs Maybach, en plus du développeur Maybach Motorenbau GmbH, ont été produits par les usines de Norddeutsche Motorenbau GmbH, Maschinenfabrik Augsburg-Nurnberg (MAN) et Maschinen und Bahnbedarf. Un petit nombre de moteurs ont été fabriqués par Alkett (107 unités), MIAG (45 unités) et Krupp-Gruson (102 unités).
Les canons 75-mm StuK 37 provenaient de Krupp (14 unités) et Wittenauer Maschinenfabrik AG (Wimag) - 900 unités. La production en série des canons StuK 40 a été réalisée dans les usines Wimag (environ 60% de la production) et Skoda (environ 40%). Les obusiers StuH 42 ont été fabriqués par Manck & Hambrock GmbH.
En ce qui concerne le nombre de voitures produites, il existe des chiffres différents dans différentes publications, cependant, dans la plupart des cas, les écarts sont faibles.
En plus des troupes allemandes, des canons d'assaut sont également entrés dans les armées des pays alliés du Troisième Reich.
La Roumanie est devenue le plus grand bénéficiaire de ce type de véhicules de combat. En 1943-1944, elle achète 118 StuG 40 Ausf. G, qui en armée roumaine avait la désignation TAS T-III (tun de asalt T-III). Parmi celles-ci, neuf batteries de canons d'assaut ont été formées, qui ont été incluses dans les 1re et 2e divisions de chars, ainsi qu'une formation distincte de la 4e armée roumaine. Ces unités ont participé à des combats avec l'Armée rouge en Ukraine et en Moldavie, puis contre les troupes allemandes sur le territoire de la Tchécoslovaquie. Les canons d'assaut restants étaient en service dans les unités de chars roumains jusqu'au début des années 1950, quand, après une refonte majeure, ils ont été vendus à l'Égypte et à la Syrie.
V l'armée syrienne pendant cette période, 10 Ausf. F/8, que l'Espagne a reçu pendant la Seconde Guerre mondiale.
Seuls cinq canons automoteurs StuG 40 Ausf.G. ont été livrés à l'armée italienne. Après la capitulation de l'Italie, ces véhicules sont retournés à l'armée allemande.
En 1943, 55 canons d'assaut de modification G sont entrés dans l'armée bulgare. En septembre 1944, ils étaient armés de deux bataillons qui, jusqu'à la fin de la guerre, participaient aux combats avec les troupes allemandes sur le territoire de la Hongrie et de l'Autriche.
En 1943-1944, jusqu'à 60 canons d'assaut ont été reçus par les forces de chars de l'armée hongroise.
Au printemps 1943, les Finlandais approchèrent l'Allemagne avec une demande de fourniture d'équipement pour un bataillon de canons d'assaut. Bientôt, 30 canons automoteurs StuG 40 Ausf.G sont arrivés en Finlande. Les premiers véhicules de ce lot sont entrés en service le 2 septembre 1943. En juin 1944, les forces du bataillon avaient modernisé les canons automoteurs : les pavois ont été retirés, les mitrailleuses allemandes MG34 ont été remplacées par du diesel soviétique, des rouleaux de rechange ont été accrochés sur les côtés de la timonerie, et une grande boîte en bois de rechange pièces a été placé au-dessus du moteur.
Dans le cadre des propositions de paix faites par les dirigeants finlandais à l'Union soviétique en février et mars 1944, l'aide militaire allemande a été réduite. Cependant, après l'échec des négociations et le début d'une puissante offensive soviétique, la Finlande s'est à nouveau tournée vers l'Allemagne avec une demande de reprise des approvisionnements. En conséquence, avant l'annonce du cessez-le-feu le 4 septembre 1944, dans le cadre de la soi-disant "aide Ribbentrop", la Finlande a reçu 29 autres canons d'assaut StuG 40 Ausf. G.
Au service de l'armée finlandaise, les canons d'assaut de fabrication allemande sont restés longtemps après la fin de la Seconde Guerre mondiale et n'ont été mis hors service qu'au début des années 1960. Au 31 décembre 1959, il y avait 45 autres véhicules de combat de ce type en Finlande.
Il convient de noter que pendant la Seconde Guerre mondiale, des tentatives d'acquisition de canons d'assaut StuG 40 et d'obusiers d'assaut StuH 42 ont été faites par la Croatie, la Suède, le Portugal, la Turquie et la Suisse.
Description de la conception du canon d'assaut StuG III
Le canon d'assaut StuG III avait une disposition en tourelle avant. A l'intérieur, la carrosserie de la voiture était divisée en trois sections : le contrôle (c'est aussi la transmission), le combat et le moteur.
Département de gestion
Le service de contrôle était situé à l'avant de l'ACS. Il abritait des commandes, des instruments qui contrôlaient le fonctionnement du moteur, l'embrayage principal, la boîte de vitesses, le mécanisme de rotation planétaire et le siège du conducteur.
Le compartiment de combat était situé au milieu de l'ACS. Il abritait des armes, des munitions, des dispositifs de visée et d'observation, une station de radio. Il y avait aussi des postes de travail pour le commandant, le tireur et le chargeur. Au-dessus du sol du compartiment de combat se trouvait un arbre d'hélice, recouvert d'un carter. Le compartiment moteur était situé derrière le compartiment de combat. Il contenait un moteur, des réservoirs d'huile et de carburant et des radiateurs pour le système de refroidissement.
Cadre
Le corps du canon d'assaut était soudé à partir de tôles laminées d'armures hétérogènes. Les pièces individuelles étaient reliées par des boulons et des carrés blindés. Sur le toit du compartiment moteur, il y avait quatre trappes - deux grandes et deux petites - pour accéder aux groupes motopropulseurs, et dans le bas de la coque il y avait des trappes pour vidanger l'eau, l'essence et l'huile et pour accéder au moteur et boîte de vitesses. Dans la feuille frontale supérieure de la coque, il y avait deux trappes d'accès aux unités de transmission, qui étaient fermées par des couvercles à deux feuilles.
Cabine
Le rouf est soudé à multiples facettes, relié à la coque avec des boulons blindés. Le couvercle était également fixé aux murs avec des boulons, ce qui facilitait le démontage lorsqu'il était nécessaire de remplacer l'outil.
Pour le débarquement de l'équipage dans le toit de la timonerie, il y avait deux trappes rectangulaires, qui étaient fermées par des couvercles à double battant, et une trappe pour la sortie de la tête du viseur périscopique (pour les modifications A et B, la tête a été enlevé par une embrasure dans le vantail frontal de la timonerie), qui a été fermée par un couvercle coulissant. La cabine des modifications E - F, contrairement aux précédentes, n'avait pas de biseaux de blindage de 9 mm sur les côtés - à leur place, des boîtes blindées étaient soudées, dans lesquelles se trouvaient la station de radio et une partie des munitions. Pour les modifications F et F/8, un capot de ventilateur blindé est apparu sur le toit de la timonerie.
La forme la plus parfaite était la cabine de la variante G, étendue au milieu des ailes. Il était équipé d'une coupole de commandant d'une épaisseur de ceinture blindée de 30 mm et, à partir d'octobre 1943, il reçut une protection blindée supplémentaire. La conception de la coupole du commandant prévoyait la possibilité d'observer le terrain à travers un tube stéréo sans ouvrir la trappe. Sept dispositifs d'observation périscopiques étaient situés le long du périmètre de la tourelle.
Les véhicules de la modification G et certains F/8 sur le toit de la timonerie avaient un bouclier blindé pliable de 10 mm pour les mitrailleuses MG34 ou MG42.
Armement
Canons d'assaut StuG III Ausf. A - E étaient armés d'un canon 75 mm 7,5 cm StuK 37. Longueur du canon calibre 24 (1766,3 mm). La masse de l'arme est de 490 kg. Le pistolet avait une culasse à coin vertical et une détente électrique. La portée de tir direct de 620-650 m, la portée de tir maximale de 6200 M. Sa charge de munitions comprenait des tirs avec des projectiles perforants KgrRotPz (poids 6,8 kg, vitesse initiale de 385 m / s), cumulatif Gr 38N1 / A, Gr 38N1 / B et Gr 38Н1 / С (4,44 ... 4,8 kg, 450 ... 485 m / s), fumée NbGr (6,21 kg, 455 m / s) et fragmentation hautement explosive (5,73 kg, 450 m / s) . Les munitions consistaient en 44 coups (Ausf. A - D) ou 54 coups (Ausf. E).
Coquilles pour le Sturmgeshutz
Canons d'assaut StuG III Ausf. F étaient armés d'un canon StuK 40 de 75 mm 7,5 cm. Longueur du canon calibre 43 (3473 mm). La masse de l'arme est de 670 kg.
Les véhicules de combat des modifications F / 8 et G étaient armés d'un canon StuK 40 de 7,5 cm avec une longueur de canon de calibres 48 (3855 mm). Obturateur semi-automatique en coin. La masse de l'arme est de 750 kg. La longueur de recul maximale est de 520 mm. Le canon était équipé d'une double chambre frein de bouche... Portée de tir direct 800-1200 m, portée de tir maximale 7700 m Cadence de tir 10-15 coups / min.
Les munitions de canon se composaient de 44 cartouches (Ausf. F et F/8) et 54 cartouches (Ausf.G).
Tous les canons étaient installés dans la timonerie sur une machine spéciale montée au fond du compartiment de combat.
Comme arme auxiliaire, une mitrailleuse MG34 ou MG42 de 7,92 mm était utilisée, transportée à l'intérieur d'un véhicule de combat. Les canons automoteurs des versions ultérieures étaient équipés d'une mitrailleuse MG42 télécommandée et d'une mitrailleuse MG34 couplée à un canon. Les munitions des mitrailleuses se composaient de 600 cartouches.
Les canons d'assaut des modèles A à F avaient un lance-fumée fixé à l'arrière de la coque et se composaient de cinq bombes fumigènes avec un allumeur électrique.
Sur les variantes F/8 et G, deux triples lance-grenades fumigènes Nbk 39 de calibre 90 mm étaient installés sur les côtés de la timonerie.
Depuis mai 1944, le StuG 40 Ausf. Le G et le StuN 42 étaient armés d'un "dispositif de défense à courte portée" - un lance-grenades monté sur le toit pour tirer des grenades à fragmentation et fumigènes.
Les canons d'assaut StuG III Ausf A et B étaient équipés de viseurs périscopiques monoculaires Sfl ZF, StuG III Ausf. - E - viseurs Sfl ZF1 / RbLF32.
A partir de mars 1942, furent installés les viseurs Sfl ZFla / RbLF 36. Tous les viseurs avaient un grossissement quintuple et un champ de vision de 8°. Ils ont été fabriqués dans les usines de Carl Zeiss Co. à Iéna et Gerlitz et chez Ernst Leitz GmbH à Wetzlar.
Moteur et transmission
Les canons d'assaut étaient équipés de moteurs Maybach HL 120TR (Ausf.A) et HL 120TRM (Ausf. B - C), 12 cylindres en forme de V (carrossage à 60 °), carburateur, quatre temps, 300 ch. Avec. à 3000 tr/min. Le diamètre du cylindre est de 105 mm. Course du piston 115 mm. Taux de compression 6,5. Volume de travail 11 867 cm3. Les moteurs étaient de la même conception.
Carburant - essence au plomb avec un indice d'octane d'au moins 74. Le système de carburant consistait en un réservoir d'essence de 320 litres situé à l'arrière du réservoir à droite du moteur. Alimentation forcée en carburant à l'aide de trois pompes à essence à membrane Solex EP 100. Carburateurs - deux, marque Solex 40 JFF II.
Le système de refroidissement est liquide, avec deux radiateurs et deux ventilateurs. Capacité du système de refroidissement 70 l.
Dans les canons d'assaut des modifications F/8 et G, il était possible de réchauffer rapidement le moteur d'un moteur en marche d'une autre machine en connectant les gorges de leurs systèmes de refroidissement. En conséquence, les liquides de refroidissement se sont mélangés et, circulant dans les moteurs chauds et froids, ils ont rapidement réchauffé ces derniers.
La transmission se composait d'un cardan, d'un embrayage principal, d'une boîte de vitesses, de mécanismes de direction et d'entraînements finaux.
L'ACS de la modification A était équipé d'une boîte de vitesses mécanique sans arbre à dix vitesses SRG 328145 Variorex et d'un embrayage principal multidisque fonctionnant à l'huile avec commande de présélecteur pneumatique-hydraulique et entraînement de frein hydraulique.
Sur les machines d'autres modifications, des transmissions manuelles à six vitesses ZF SSG 77 Aphon ont été utilisées avec un embrayage principal à sec à trois disques à commande mécanique de la marque Fichtel & Sachs La 120 HDA et une commande mécanique ou hydraulique des freins.
La transmission de la rotation de la boîte de vitesses aux entraînements finaux a été effectuée par des mécanismes planétaires à un étage droit et gauche montés dans une seule unité.
Châssis. Composé, par rapport à un côté, de six roues doubles caoutchoutées d'un diamètre de 520 mm et de trois rouleaux porteurs caoutchoutés d'un diamètre de 310 mm. Depuis la fin de 1943, des rouleaux de support sans pneus en caoutchouc ont commencé à être installés sur les canons d'assaut.
Suspension à barre de torsion individuelle. Ses caractéristiques : fixation de l'extrémité fixe de la barre de torsion dans une goupille spéciale insérée dans le support ; la présence d'un dispositif de guidage conçu pour décharger les pièces de suspension des forces latérales ; la présence d'amortisseurs télescopiques hydrauliques sur les 1ère et 6ème roues de roulement.
Les roues motrices avant avaient deux jantes dentées amovibles de 21 dents chacune. L'engrenage est goupillé.
Les chenilles sont en acier, à maillons fins, de 93 à 94 chenilles à simple arête chacune. La largeur de voie variait de 360 à 400 mm pour les versions ultérieures. Pendant la période automne-hiver, la dite "chenille orientale" Ostkette d'une largeur de 550 mm pouvait être utilisée.
Équipement électrique
L'équipement électrique a été réalisé dans un circuit monofilaire. Tension 12 V. Sources : Générateur Bosch GTLN 700/12-1500, 700 W ; deux batteries Bosch 105 Ah. Consommateurs : démarreur électrique (un démarreur mécanique à inertie a été utilisé pour démarrer manuellement le moteur), système d'allumage, ventilateur d'échappement (Ausf. F - G), dispositifs de commande, éclairage de la vue, alarmes sonores et lumineuses, équipement d'éclairage interne et externe, signal sonore , pistolets de descente.
Moyens de communication
Les ACS StuG III étaient équipés de stations radio FuG 5 (Ausf. A - F) et FuG 15 (Ausf. F / 8 - G), qui différaient du premier par des dimensions plus petites. Une antenne fouet de 2 m de haut, dont le rayon d'action est de 6,4 km (par téléphone) et de 9,4 km (par télégraphe).
La communication interne entre les membres d'équipage a été réalisée à l'aide d'un TPU et d'un dispositif de signalisation lumineuse.
Organisation et utilisation au combat de l'artillerie d'assaut
Les premières unités de canons d'assaut ont été formées sur la base de structure du personnel, approuvé le 1er novembre 1939. L'unité organisationnelle principale était une batterie de canons d'assaut à trois pelotons. Chaque peloton avait deux StuG III, le Sd. Kfz. 253 et porte-munitions Sd. Kfz. 252 avec Sd. Anh. 32. Dans la pratique, cependant, les véhicules blindés semi-chenillés Sd étaient souvent utilisés pour transporter des munitions. Kfz. 251, ainsi que des transporteurs basés sur des chars légers Pz. Je Ausf. UNE.
En avril 1941, la formation de divisions de canons d'assaut a commencé, chacune comprenant 18 véhicules de combat (trois batteries).
En novembre de la même année, le septième canon d'assaut a été inclus dans la batterie du commandant d'unité.
La division se composait désormais de 22 canons automoteurs - sept dans chacune des trois batteries et un - chez le commandant du bataillon. Au début de 1942, la composition de la batterie a à nouveau changé - le nombre de canons d'assaut dans le peloton a été porté à trois et leur nombre total dans la batterie est passé à dix.
Le 2 mars 1943, l'ordre fut donné de former les batteries dites mixtes, qui comprenaient sept canons d'assaut StuG III (StuG 40) et trois obusiers d'assaut StuH 42.
Les prochains changements dans l'organisation ont eu lieu au début de 1944, lorsque des batteries de quatre pelotons sont apparues. De plus, trois pelotons étaient armés de machines StuG 40 et une de StuH 42.
Au début de 1944, la formation de brigades de canons d'assaut, qui avaient une organisation différente, a commencé. La brigade pouvait comprendre de deux à cinq batteries de canons d'assaut. En conséquence, le nombre de véhicules de combat dans les brigades a considérablement fluctué, d'autant plus que jusqu'à la fin de la guerre, il y avait deux états de batterie - avec 10 et 14 canons d'assaut. En fait, la formation de brigades a été réduite à renommer les divisions tout en maintenant les effectifs, l'ancien personnel, etc. Si le but d'un tel événement était de tromper l'ennemi, alors l'effet de celui-ci peut être considéré comme proche de zéro.
Il convient de noter que toutes les unités et sous-unités de canons d'assaut faisaient partie organisationnellement de l'artillerie jusqu'en 1943, puis ont été transférées à la Panzerwaffe.
Depuis 1943, des unités de canons d'assaut (compagnies et bataillons) font partie de certaines divisions de chars et de panzergrenadier (infanterie motorisée).
Les troupes SS n'avaient pas de batteries, divisions et brigades séparées de canons d'assaut. Les unités de ces canons automoteurs étaient organisationnellement incluses dans l'état-major des divisions de chars et de SS motorisés. Leur structure organisationnelle était identique à celle de l'armée. À la fin de la guerre, en raison d'une pénurie de chars, les canons d'assaut sont allés aux unités de chars de ligne d'effectifs, qui ont été rééquipées de ces machines en tout ou en partie. Des canons d'assaut sont également entrés en service dans des divisions antichars individuelles et des compagnies antichars d'infanterie, d'infanterie de montagne et même de divisions de sécurité.
La formation des six premières batteries de canons d'assaut StuG III a commencé en 1940 au régiment d'artillerie Lehr à Yuteborg Damme. Au début de la campagne de France, seules quatre batteries étaient terminées.
La 640e batterie est subordonnée opérationnellement au régiment motorisé de Grande Allemagne, la 659e est affectée au XIIIe corps d'armée, la 660e à la 3e division d'infanterie. La quatrième batterie - la 665e - n'est arrivée au front que début juin.
À l'été 1940, certaines unités d'artillerie d'assaut, dont la 640e batterie et la 184e division d'artillerie d'assaut nouvellement formée (184. Sturmgeschutz Abtailung - StuG Abt), se préparaient intensivement au débarquement sur les îles britanniques.
En octobre - novembre, les 185e, 190e, 191e, 192e et 197e divisions de canons d'assaut ont été formées. Les trois premiers, ainsi que la 16e compagnie d'artillerie d'assaut du régiment de Grande-Allemagne et la batterie de la brigade motorisée Leibstandarte SS Adolf Hitler ont participé aux hostilités contre la Yougoslavie et la Grèce en avril 1941.
Il est à noter que lors des campagnes françaises et balkaniques, l'artillerie d'assaut n'a perdu irrémédiablement qu'un seul véhicule.
Dans la phase initiale de l'opération Barbarossa, 12 divisions et cinq batteries distinctes de canons d'assaut ont participé. De plus, ces batteries faisaient partie du régiment motorisé de la Grande Allemagne, de la 900e brigade d'entraînement motorisée, de la division motorisée SS du Reich et de la brigade motorisée SS Leibstandarte SS Adolf Hitler. Les divisions étaient sous la subordination opérationnelle du commandement des groupes d'armées. Au 1er juin 1941, les troupes allemandes se sont concentrées pour l'attaque contre l'URSS, il y avait 270 canons d'assaut prêts au combat. Ils ont été largement utilisés sur tous les secteurs les plus importants du front.
Ainsi, les 184e et 185e divisions, 659, 660, 665, 666 et 667 batteries de canons d'assaut opéraient dans le cadre du groupe d'armées Nord. Les corps d'armée et les divisions d'infanterie du groupe d'armées Centre ont été affectés aux 189e, 192, 201 203, 210 et 226e divisions de canons d'assaut. De plus, le groupe d'armées Center comprenait la 900e brigade d'entraînement motorisée avec sa propre batterie de canons d'assaut.
Le 22 juin 1941, le Western Bug franchit la 192. StuG Abt, avançant dans le cadre de la division "Dead's Head". De plus, l'une de ses batteries, parmi celles destinées à l'invasion de l'Angleterre, était transportée le long des fonds marins. Le groupe d'armées Sud comptait quatre divisions - 190, 191, 197e et 243e divisions de canons d'assaut.
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Citation du livre de M. Baryatinsky "Les canons d'assaut d'Hitler" Sturmgeshütze "au combat"
Illustrations : Chamberlain, Peter et Hilary Doyle - Encyclopédie des chars allemands de la Seconde Guerre mondiale. - Éd. technique. Thomas L. Jentz. Londres : Cassell & Co., 2000.
Spielberger, Walter J. - Sturmgeschutz et ses variantes. - Atglen, Pennsylvanie : Schiffer Publishing, Ltd., 1993.
Hogg, Ian V. - Le livre de données sur les véhicules de combat blindés de Greenhill. - Londres : Greenhill Books, 2000.
Ils étaient principalement une arme pour escorter l'infanterie à une distance d'environ 300 mètres, bien qu'ils auraient pu être utilisés hors indication pour résoudre des tâches opérationnelles urgentes : 43.
Ils étaient principalement utilisés pour le tir direct pour supprimer les mitrailleuses et autres points de tir ennemis. Lors de la défense d'une unité, les canons d'assaut étaient utilisés pour soutenir les contre-attaques d'infanterie, généralement dans une direction décisive. La principale différence entre une attaque par un groupement tactique de chars et une attaque par une infanterie avec des armes d'assaut est que la direction d'une attaque lancée, appuyée par des armes d'assaut, est très difficile à changer : 49.
Les canons d'assaut sont principalement conçus pour combattre des cibles non blindées, des fortifications ennemies sur le terrain et à long terme, et en partie pour des batailles urbaines. En règle générale, ils opèrent dans les formations de combat des troupes qui avancent et frappent des cibles avec un tir direct. Par conséquent, par rapport à un char de base, un canon d'assaut a généralement un armement de canon de plus gros calibre. Les modèles ultérieurs de fusils d'assaut à canon long ont fait leurs preuves en tant qu'armes antichars.
Après la Seconde Guerre mondiale, le développement du concept de char de combat principal a annulé la valeur au combat des ACS de cette classe. Actuellement, les armes d'assaut ne sont pratiquement pas utilisées.
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Les sous-titres
L'histoire du développement
Les bonnes performances du StuG III sont immédiatement devenues le point de mire des alliés comme des ennemis. L'armée italienne, insatisfaite des caractéristiques de combat de leurs chars obsolètes de la famille M13 / M14 / M15, a exigé de créer un analogue du StuG III sur leur base. Fiat-Ansaldo a bien fait face à la tâche, en développant les canons automoteurs Semovente da 75/18 et par la suite des armes d'assaut encore plus puissantes. Ces véhicules sont devenus les véhicules blindés italiens les plus prêts au combat, infligeant de lourdes pertes aux troupes de la Grande-Bretagne et des États-Unis lors des batailles en Afrique du Nord et en Italie.
Les dirigeants soviétiques ont immédiatement reconnu l'efficacité au combat du StuG III, soulevant la question du développement de ses homologues basés sur les chars T-34 et KV-1. L'évacuation des usines de chars et le grand besoin de l'Armée rouge en chars n'ont pas permis d'accomplir immédiatement cette tâche, cependant, en novembre-décembre 1942, en très peu de temps, les concepteurs soviétiques ont développé le canon d'assaut moyen SU-122 et le canon d'assaut lourd SU-152. Ces véhicules ont immédiatement fait leurs preuves dans les batailles, mais le grand besoin de chasseurs de chars a contraint la production en série et le développement ultérieur de canons d'assaut moyens à cesser. Les canons d'assaut lourds se sont révélés indispensables pour percer les défenses fortifiées de l'ennemi et prendre d'assaut les villes. Par conséquent, avec l'avènement du nouveau char IS, sa base a été immédiatement utilisée pour créer le canon d'assaut lourd ISU-152. Après l'élimination des "maladies infantiles" de la conception, ce véhicule technologiquement avancé, fiable, sans prétention, bien blindé et puissamment armé est devenu le meilleur de sa catégorie. Le SU-152 et l'ISU-152 se sont avérés être des moyens très efficaces de détruire les chars lourds ennemis, ce qui permettait en même temps de repousser assez efficacement les contre-attaques des chars lourds ennemis.
Canons d'assaut de la Wehrmacht et des chasseurs de chars pendant la Seconde Guerre mondiale partie 1
Les meilleurs chars d'assaut de la Wehrmacht -
"Sturmtiger"
Partie 1
Aujourd'hui, l'histoire portera sur les installations d'artillerie automotrice d'assaut lourd. Les chars d'assaut étaient des véhicules de combat extrêmement puissants. Les chars d'assaut étaient lourdement blindés et leur armement comprenait un canon de gros calibre. Si les chars lourds étaient équipés de canons de 88 mm (allemand "Tiger") et de 122 mm (soviétique IS-2). Les canons d'assaut comme l'ISU-152 et le Su-152 étaient armés de canons de 152 mm. Le même "Brummber" allemand était armé d'un canon de 150 mm et était un canon d'assaut. Cependant, les Allemands ont créé un char d'assaut sans précédent, qui n'avait pas d'analogue: "Sturmtiger". 
Pistolet d'assaut automoteur lourd soviétique Su-152
Pistolet d'assaut allemand "Brummber"
Les Allemands ont conçu la conception d'un tel char au début de la guerre avec l'Union soviétique. Après tout, les Allemands ont compris que sans l'aide de chars super puissants, il serait difficile de prendre des villes. Et en face se trouvaient des villes aussi immenses que Moscou et Leningrad. Les Allemands étaient engagés dans la création d'une telle machine. Le char d'assaut était censé être armé d'un canon de 305 mm et d'un blindage frontal de 130 mm d'épaisseur ! En effet, pour la période 1941, tous les chars allemands avaient 50 mm. Le pistolet d'assaut s'appelait "Ber", en traduction - un ours. Mais le projet a été abandonné. Le char devait peser 120 tonnes. Cependant, il est resté sur le papier. Bientôt, ils se souvinrent à nouveau des armes d'assaut lourdes. À l'automne 1942, lors des combats de rue à Stalingrad, la création de nouveaux canons d'assaut est redevenue pertinente. Les Allemands disposaient du canon d'artillerie automoteur Sturmpanzer33 avec un canon de 150 mm. Un total de 24 ont été construits machines similaires, qui ne se sont pas mal montrés lors des combats de Stalingrad. Fin 1942, un char d'assaut plus puissant "Brummber" (grizzly) est conçu en Allemagne. Il était également armé d'un canon de 150 mm. À l'été 1943, ces véhicules ont combattu sur Le renflement de Koursk, mais s'est avéré pas du tout rentable - la puissance du canon de 150 mm n'était même pas suffisante pour détruire les fortifications de campagne, et le blindage ne protégeait pas vraiment contre le feu de l'artillerie antichar soviétique. Par conséquent, fin juillet 1943, l'inspecteur général des forces de chars de la Wehrmacht, Heinz Guderian, proposa de concevoir non pas une arme d'assaut moyenne, mais une arme lourde pour détruire les fortifications de campagne. Initialement, on pensait que le nouveau canon d'assaut aurait un canon de 210 mm, mais il n'a pas encore été conçu. Situé sur le châssis du char T-VI "Tiger". Le canon de 210 mm n'étant pas prêt, les concepteurs allemands ont décidé d'utiliser une arme très inhabituelle pour les frappes contre des structures défensives - un lance-roquettes tirant 350 kg fusées... Le champ de tir était d'environ 5,5 km.
350 kilogrammes
Projectile de fusée "Sturmtigra"
Le coup d'un tel obus dans un immeuble en briques à plusieurs étages a entraîné la destruction complète du bâtiment. Il faut dire qu'une arme aussi terrible est arrivée aux pétroliers allemands de la marine. La société "Rheinmetall" était engagée dans la création et était un lanceur de bombes ordinaire sur des croiseurs, il portait la désignation de calibre RW-61 de 38 cm. La bombe elle-même, qui a été installée pendant le développement char d'assaut, s'appelait simplement un mortier. Affecté par sa similitude externe avec les armes à canon court. Désignation du canon d'assaut : « Mortier automoteur d'assaut RW-61 de calibre 38 cm basé sur le char Panzer VI ». Mais comme toujours, la désignation allemande avait un nom complexe, ils s'appelaient donc : "Sturmpanzer VI", "Shturmmortir" ou "Sturmtiger". Les travaux sur la création de "Sturmtiger" ont commencé le 5 août 1943. Le premier prototype du "Sturmtiger" a été conçu, mais plutôt converti à partir du char "Tiger" à l'automne 1943. Cependant, il n'était pas encore apte aux opérations militaires. Sa timonerie n'était pas en acier blindé, mais en tôles épaisses de fer ordinaire. Le plus important était de voir comment tout était censé fonctionner. Il y avait de nombreux problèmes à résoudre. Quels problèmes? Tout d'abord, comment avez-vous eu besoin de charger le lanceur de bombes pendant la bataille ? Deuxièmement, où placer les obus de 350 kg ? Alors comment charger des obus aussi lourds ? Le chargement du lanceur doit être le même que pour un canon de char conventionnel. Cela signifie que tous les obus doivent être placés à l'intérieur du compartiment de combat. 
"Shturmtiger" avec la timonerie enlevée.
Les Allemands ont supprimé le deuxième problème. J'ai dû percer une énorme trappe de chargement dans le toit de la timonerie et installer une grue spéciale pour le chargement des fusées. 
Chargement d'obus dans un réservoir à l'aide d'une grue
Mais quel genre de recul de l'arme sera, c'est déjà un problème. Le bombardier du navire n'a pas eu de tels problèmes. Les gaz chauds de moteur de fusée ils sont simplement sortis de l'ouverture derrière le tube de lancement et ont poussé le projectile vers l'avant. Dans le même temps, ni l'installation ni le navire n'ont subi de recul. Les Allemands sur le char ont fermé le tube de lancement avec un boulon puissant. Car si cela n'était pas fait, lors du tir du projectile, les gaz chauds pourraient brûler tout le compartiment de combat avec l'équipage. 
Le canon "Sturmtiger" en coupe. 
Arme de fusée
Des pétroliers expérimentés ont demandé aux concepteurs allemands un question principale... En règle générale, lorsqu'un char se lance dans une attaque, tous les points de tir ennemis commencent à travailler dessus. Dans ce cas, les balles touchent les instruments et aveuglent l'équipage. Des fusils antichars déchirent les chenilles. Et "Sturmtiger" a un endroit très vulnérable. Lorsque le char part au combat, un mortier d'un diamètre de 38 cm sera pointé sur l'ennemi. Le canon peut être touché non seulement par une balle de fusil dans une roquette, mais aussi par un projectile d'un canon ou d'un canon antichar. Imaginez ce qui se passera alors. Par conséquent, le "Sturmtiger" est allé au combat avec le pistolet levé. Droit au zénith. 
Modèle de série "Sturmtiger" 
Le réservoir a subi de nombreux tests d'état. Bientôt, le prototype a été montré à Hitler lui-même. Après un test réussi, le nouveau pistolet d'assaut a été testé pendant 9 mois supplémentaires au champ de tir. Pourquoi si longtemps? Car après la défaite de Koursk, les Allemands n'étaient plus à la hauteur de la destruction des maisons et de la saisie des villes. troupes allemandes reculé sur tout le front. 
Démonstration du char aux dirigeants allemands
Au contraire, les Allemands réfléchissaient à la façon de fabriquer plus de canons antichars pour arrêter le "vrac" du T-34. Mais le 5 août 1944, un soulèvement antifasciste éclate à Varsovie. Au début, les Polonais ont réussi. Ils réussirent à s'emparer d'une partie de la ville, mais les Allemands rassemblèrent leurs troupes et arrêtèrent le soulèvement. Dans le même temps, les débuts réussis de "Sturmtiger" ont eu lieu. Rien ne pouvait arrêter cette terrible arme. Un "Sturmtiger", il n'y a pas grand-chose à faire. Mais avec le soutien des canons d'assaut, le Brummbert a aidé les punisseurs à arrêter froidement le soulèvement rebelle du 28 août 1944. Après une application réussie, "Sturmtiger" a été renvoyé à l'usine pour maintenance et révisions. Le 15 septembre 1944, un échantillon en série du pistolet d'assaut Sturmtiger a été libéré. Il avait un blindage incliné de 150 mm. Et il a été complètement révisé. Il y a eu un cas où le "Sturmtiger" a tiré un obus sur un convoi de "Shermans" américains et détruit 3 chars à la fois, et les autres ont été gravement endommagés. En novembre 1944, les Sturmtigers participèrent à des combats sur le front occidental. Certes, ils n'ont pas été entièrement utilisés aux fins prévues. Au contraire, ils étaient comme un soutien d'artillerie. Les chars d'assaut "Sturmtiger" ont été transférés à plusieurs sociétés. Les sociétés N1001 et 1002. La société N1001 a cependant eu moins de chance. Trois réservoirs ont été abandonnés en raison de problèmes techniques dans le réservoir. 
L'armée américaine examine le "Sturmtiger" capturé
En 1945, sur l'Elbe, le premier front biélorusse a reçu un trophée "Sturmtiger". 
Les soldats soviétiques envisagent
T
trophée "Sturmtiger".
Et enfin. "Sturmtiger" était un bon support dans les formations de combat d'infanterie. Mais il est apparu à un moment où les troupes fascistes allemandes n'étaient pas à la hauteur de l'offensive, et c'était la fin de la guerre. Le char pesait 66 tonnes, ce qui ne lui donnait même pas une bonne mobilité, même sur une bonne autoroute. De plus, le réservoir est difficile à fabriquer. Considérant combien ont été produits depuis 1943, il n'y a que 18 échantillons. C'est très petit, ce qui n'a pas donné les résultats souhaités. Comme je l'ai dit, le canon d'assaut Sturmtiger était efficace dans les formations de combat d'infanterie. Et pour la destruction des points de tir ennemis. Certes, les Allemands à la fin de la guerre n'avaient pas le temps pour une offensive. 
Sturmgeschutz
Partie 2
"Sturmgeshutz" - l'une des armes d'assaut les plus célèbres de la Seconde Guerre mondiale. Au cours de la guerre, le canon d'assaut Sturmgeschütz est devenu lui-même une arme demandée en Allemagne dans la lutte contre les chars et l'infanterie ennemis. Nous savons que le canon d'assaut a été créé pour combattre les points de tir ennemis. Mais comme l'expérience de la guerre l'a montré, le canon de 75 mm du "Sturmgeshütz" ne pouvait pas détruire un poste de tir lourdement blindé de l'ennemi ; c'était plutôt un soutien dans les formations de combat d'infanterie. L'infanterie a soutenu le "Sturmgeshutz" au combat. Après tout, l'infanterie est toujours dangereuse pour les chars. Un cocktail Molotov, une grenade antichar, une bombe magnétique, etc. pouvaient voler de n'importe quelle tranchée. Mais l'infanterie ne pouvait pas du tout faire face, alors une mitrailleuse MG-34 a été placée au-dessus de Sturmgeshütz. "Sturmgeshutz" est devenu un véritable char sur le champ de bataille, si l'on ne tient pas compte de la petite silhouette du canon d'assaut et de l'absence de tour. En quoi un char d'assaut diffère-t-il d'un char ?
Un canon d'assaut est un canon automoteur blindé spécialisé. Le but de l'arme d'assaut est de soutenir directement l'avancée de l'infanterie ou des chars, et certaines armes d'assaut étaient également plus efficaces dans les formations de combat d'infanterie, comme le Sturmtiger. Un char est un véhicule de combat qui joue le rôle de percement de la défense ennemie et d'attaque surprise par les flancs (selon la classification du véhicule de combat). Continuons plus loin.
Le nombre de canons d'assaut sur le front de l'Est augmentait à chaque fois. Si les Allemands avaient 450 canons d'assaut "Sturmgeshütz", alors au début Bataille de Koursk plus de 700, et presque tous étaient armés de canons à long canon. Les Allemands ont vite compris que le principal danger était les chars soviétiques. Mais, euh le meilleur remède un canon d'assaut s'est avéré être utilisé pour combattre les chars. Voici un rapport d'un des généraux allemands à l'été 1943 : « Dans la situation actuelle, les chars allemands sont à tous égards inférieurs aux canons d'assaut. Le blindage des chars est pire que celui des armes d'assaut. Les dispositifs optiques des armes d'assaut sont plus parfaits que ceux des chars. La silhouette d'un char est plus haute que cela. d'une arme d'assaut, de sorte que le char est plus facile à repérer et à toucher."
À l'été 1943, les fusils d'assaut sont devenus l'arme de guerre parfaite. Ils sont capables de combattre à la fois des chars et l'avancée de l'infanterie ennemie. 
A commencer par le modèle
g
,
"Sturmgeshütz"
a commencé à être équipé d'une coupole de commandant, ce qui donnait plus de confort au commandant sur le champ de bataille.
Un général a écrit : "Je préfère deux canons d'assaut à dix chars."
Étonnamment, deux canons automoteurs équivalaient à dix chars. Tout est assez naturel. Les troupes de chars étaient une unité distincte. Cela était évident lorsque les troupes de chars de Guderian ont percé la ligne de front, et après que les chars d'infanterie motorisée se précipitaient déjà dans des véhicules blindés de transport de troupes et des camions, soutenus uniquement par les "Sturmgeshuts". Les Allemands ont analysé les caractéristiques de combat des canons d'assaut et ont décidé que les canons d'assaut offensifs étaient pires que les chars avec une tourelle rotative. Le pivotement constant des armes d'assaut ralentit le taux d'attaque. Il est difficile de détruire des cibles sur un terrain accidenté et pendant la saison de dégel. Le conducteur doit régler les leviers tout le temps, en tournant la voiture vers la droite, puis vers la gauche. La voiture tombait souvent en panne dans de telles conditions. Faisons une conclusion. Mais qu'en est-il de cela ? Fin 1943, les Allemands n'avaient pas à attaquer, mais au contraire à mener une longue et obstinée défense. 
"Sturmgeshuts", s'est avéré très bon en défense. Ils ont repoussé les attaques des chars ennemis devant l'infanterie. Les fantassins ont assuré que c'étaient les "Sturmgeshuts" qui étaient la seule défense au combat, et non les puissants "Tigres". soldats allemands ne pouvaient s'imaginer sur le champ de bataille sans artilleurs d'assaut. Les "Sturmgeshuts" faisaient partie de chaque fantassin sur le champ de bataille. Ils ont sorti les blessés, apporté des munitions et de la nourriture. Ils ont effectué la tâche principale - ils ont tiré, tiré et tiré. On peut comprendre que « les Sturmgeshuts ont maintenu au moins une sorte de moral dans l'armée allemande en retraite. Les équipages des canons d'assaut sont constamment retournés sur le champ de bataille, voulant soutenir l'infanterie au combat. Ils ont battu le char avec des obus, tout ce qu'ils pouvaient ! »
Sturmgeschutz IV
En 1944-45. de nouveaux canons d'assaut portant la désignation "Sturmgeshutz" IV ont commencé à apparaître sur le champ de bataille. Quel est ce nouvel échantillon de « Sturmgeshutz » ? "Sturmgeshutz" 40 et "Sturmgeshutz" III ont été fabriqués sur la base du char T-III. Dans le même temps, les Allemands disposaient d'un char T-IV plus puissant, 
"Sturmgeshutz" III dans la section. Il est très clairement visible à quel point l'équipage est assis. "Sturmgeshutz" IV était plus spacieux. qui était le char principal de la Wehrmacht pendant la Seconde Guerre mondiale. Le Quartet était un véhicule de combat très réussi et recherché sur le champ de bataille. Mais la situation difficile de 1943 fit comprendre aux Allemands qu'il fallait de plus en plus de chars. Mais comment le faire? Les usines allemandes fonctionnaient déjà à pleine capacité. Le Quartet était une voiture plus produite que la Troïka. De plus, la Troïka a été retirée de l'armement de l'armée allemande après la défaite de Koursk. Il est clair que le nombre de "Trois" était inférieur à "Fours". Par conséquent, il est possible de faire plus de "Sturmgeshuts". Ici, les Allemands étaient à l'heure. Lors du bombardement de Berlin, l'avion américain a détruit l'usine allemande "Alquette", qui a produit le canon d'assaut allemand "Sturmgeschutz" III. La production a été mise en place à l'usine Krupp, qui a produit le char Panzer IV. Le nouveau "Sturmgeshutz" n'était pas différent du précédent. L'armement était le même, la réservation était la même. La seule chose qui a changé, c'est que le chauffeur n'était pas assis dans une casemate commune, mais dans sa propre timonerie. De chaque côté, il n'y avait pas six galets, mais huit galets. 
Capturé
StuG
III
dans l'Armée rouge
"Sturmgeshutz" IV. Sur la gauche se trouve la cabine du conducteur. "Sturmgeshutz" est devenu vraiment demandé et le plus efficace dans la lutte contre les chars ennemis. Ni "Tiger" ni "Panther", en raison de leur complexité structurelle, ne sont jamais devenus des chars vraiment massifs. Ils étaient loin d'être efficaces. Oui, le "Tiger" et le "Panther" ont un bon blindage et un puissant canon, mais la difficulté de fonctionnement s'est fait sentir. Les réservoirs se sont effondrés lors du déplacement. Quel est ce char qui ne peut pas atteindre le champ de bataille ? L'incapacité de l'industrie allemande à fournir aux troupes le nombre requis de bons chars a forcé l'utilisation de canons d'assaut au lieu de chars. Dans l'Armée rouge, c'était le contraire. L'Union soviétique n'avait pas besoin d'armes d'assaut. Les chars armés de canons de 76 mm et de 122 mm (T-34, IS-2) étaient un bon soutien pour l'infanterie soviétique sur le champ de bataille. Si l'on considère les premières modifications du "Sturmgeshutz" avec un canon à canon court, son analogue peut être considéré comme le canon d'assaut soviétique SU-122 (obusier de 122 mm monté sur le châssis d'un char T-34) et Su- 152 (obusier 152 mm, monté sur le châssis d'un char KV -one). Déjà à la fin de la guerre, de nouveaux canons d'assaut soviétiques ISU-122 et ISU-152, fabriqués sur la base du char IS-2, sont apparus. On les appelait aussi canons automoteurs (installations d'artillerie automotrices). 
Pistolet d'assaut soviétique Su-122, fabriqué sur la base du char T-34 
Pistolet d'assaut lourd soviétique SU-152 
Pistolet d'assaut lourd soviétique ISU-122 Pistolet d'assaut lourd soviétique ISU-152 Étonnamment, un fait est qu'en Allemagne, pendant les années de guerre, tant d'armes ont été fabriquées que l'on est surpris. Qu'avons-nous? T-34, KV et IS ? Rien inventé. Rien de tel. Seul un petit nombre de chars acceptés dans la production de masse montrait clairement la politique militaro-industrielle bien pensée de l'URSS. Prenez le chasseur de chars allemand "Marder", produit sur la base de chars légers. Pensez-vous que nous ne pourrions pas prendre le châssis des chars légers T-26 et BT-5 et armer le canon de 76 mm ? Cela n'aurait pas été pire que le "Marder". Le taux en URSS était tel qu'il n'était pas nécessaire de fabriquer beaucoup de chars, et alors cela n'avait aucun sens. Et d'en faire un qui entrera dans la production de masse et sera la base des forces terrestres. C'est ainsi que le T-34 soviétique est devenu. Oui, peut-être qu'il était inférieur au "Tiger" et à la "Panther" allemands, et notre plus canon automoteur de masse Le SU-76, pour le moins, n'était pas supérieur au Sturmgeshutz. Mais sur un "Tiger" il y avait une douzaine, voire plusieurs dizaines de T-34. Quelqu'un dira, disent-ils, ils ont été écrasés par le montant. Et alors? Pensez-vous que les Allemands ne voudraient pas non plus les écraser ? Et comme ils voulaient ! 
Canon automoteur soviétique SU-76
Mais le canon d'assaut allemand "Sturmgeshutz" s'est très bien montré sur le champ de bataille. De là, nous pouvons conclure que c'est le « Sturmgeshutz » qui a été l'arme d'assaut la plus efficace pendant la Seconde Guerre mondiale ! Comment "Sturmgeshutz" est apparu
Comment est né Sturmgeshutz ? Le char est conçu pour percer les défenses de l'ennemi, le char doit attaquer les positions ennemies. Mais un véhicule de combat, comme un char, doit opérer sous le couvert d'un ACS. Le canon automoteur est conçu pour soutenir les chars ou l'avancée de l'infanterie. Dans ce cas, l'ACS doit avoir la précision des tirs d'artillerie. L'armure n'est pas importante pour elle. Une installation d'artillerie automotrice ne doit pas ramper sous le feu nourri de l'ennemi jusqu'à une brèche. Mais comme l'expérience de la guerre l'a montré, les lois ne fonctionnent pas toujours. Le "Sturmgeshutz" n'appartenait pas du tout aux forces de chars de l'Allemagne, mais est rapidement devenu l'arme la plus demandée pour dissuader l'infanterie et les chars qui avançaient. Un canon à long canon a été installé sur le Sturmgeshutz, le blindage a été porté à 80 mm et une mitrailleuse a été installée. "Sturmgeshutz" est devenu presque le char le plus important de la Wehrmacht. Hitler, tout le temps a exigé d'augmenter la production de canons d'assaut, même au détriment de la réduction de la production de "fours". "Sturmgeshutz est comme un crocodile. Il y a des millions d'années, les dinosaures se sont éteints, incapables de s'adapter au monde changé. Mais les crocodiles qui vivaient en même temps que les dinosaures se sont adaptés et se sentent très bien aujourd'hui. Ainsi, par exemple, un Allemand lourd char de la société peut être appelé un dinosaure. "Henschel" - "Tiger I." Une excellente machine à l'époque en termes de qualités de combat. Mais la production du char s'est arrêtée en 1944. Pourquoi ? Le char "Tiger" est lourd en production, il nécessite beaucoup de ressources, il faut beaucoup d'essence. Cela, le char a été utilisé jusqu'à la fin de la guerre. " Sturmgeshutz " s'est avéré moins cher et plus efficace. Vous dites : " Alors le " Sturmgeshutz " était mieux qu'un tank"Tiger" et "Panther"? "Bien sûr que non!" Des milliers de chars et des canons d'assaut "Sturmgeshutz" 11500 000. C'est un bon chiffre pour la production de chars en Allemagne. Peut-être "Sturmgeshutz" et pire qu'un char , mais quand ils agissent ensemble, cela deviendra un grand danger pour le véhicule de combat ennemi.Le principal inconvénient "Sturmgeshutz "il y avait un secteur étroit de tirs de canon - à quelques degrés à droite et à gauche de l'axe longitudinal du véhicule . Le char n'avait pas un tel problème. Dans le véhicule de combat, comme un char, il y avait une tourelle rotative, qui permettait de tirer dans n'importe quelle direction. Est-ce mauvais ? Oui, mais chaque technique a ses avantages, aussi comme les inconvénients d'un véhicule de combat. Au cours des 4 années de guerre, les "Sturmgeshut" ont beaucoup changé, tant en armement qu'en blindage. J'ai dit que le principal inconvénient du "Sturmgeshutz" était la tourelle non rotative. Mais dans un environnement défensif, ce n'est pas si important. Pour comprendre comment est né le canon d'assaut Sturmgeshutz, il faut remonter au lointain 1935. Dans l'histoire de la Wehrmacht, l'Allemagne doit sa puissance à la Panzerwaffe (Panzerwaffe) à Heinz Guderian, inspecteur des forces blindées allemandes. Mais c'est la Panzerwaffe. Et pour appeler le "père" de l'artillerie d'assaut, vous pouvez calmement talentueux chef militaire allemand - Erich von Manstein. Guderian est resté colonel général. Mais Manstein, au cours d'opérations offensives stratégiques, s'éleva au rang de feld-maréchal. En 1935, Manstein occupait le poste de colonel, occupant le poste de chef adjoint des forces terrestres allemandes. Mais c'est lui qui a jeté les bases de l'artillerie d'assaut. 
Manstein, à partir de l'expérience de la Première Guerre mondiale, était convaincu qu'après avoir percé la ligne de défense ennemie, les points de tir, comme un bunker, ne pouvaient pas être supprimés immédiatement. Après tout, nous avons besoin d'artillerie de gros calibre. Faire rouler l'outil n'est pas facile. Par conséquent, Manstein a décidé que le canon devrait être placé sur le châssis d'un véhicule de combat et recouvert d'un blindage. Les Allemands se préparaient à une nouvelle guerre, une guerre des moteurs. Les Allemands se souvenaient très bien de la terrible guerre d'opposition de 1914-1918. Des mitrailleuses qui fonctionnaient sans répit. Par conséquent, la Wehrmacht (forces armées allemandes) se préparait à une guerre éclair - Blitzkrieg. Comme dans toutes les opérations offensives, le char doit jouer le rôle de percement de la défense, et les canons automoteurs doivent soutenir directement le char à longue distance. En principe, ce n'était pas un problème. Le char Panzer III a joué le rôle de la percée, et le char Panzer IV, avec un canon à canon court KWK-37 de 75 mm (naturellement puissant pour l'époque), a joué le rôle d'un canon automoteur pour soutenir la percée. Char. 
Char moyen allemand
sur
arracher "Panzer"
III
... C'est de lui que le châssis du char d'assaut a obtenu
StuG
III
.
Tout cela est bon. Mais comment l'infanterie va réellement rattraper les chars. Vous ne pouvez pas beaucoup vous battre avec des chars seuls. Par conséquent, l'infanterie était dotée de véhicules blindés de transport de troupes, car vous ne pouvez pas vous rattraper à pied. Et en fait, il y a un soutien pour le char, et qui soutiendra l'infanterie sur le champ de bataille ? Après tout, les chars foncent loin devant, et l'infanterie pour détruire les pas de tir. Par conséquent, il a été décidé de fabriquer un canon d'assaut "Sturmgeshutz", directement pour l'action dans les formations de combat de l'infanterie. Manstein, a écrit des documents décrivant ce que devrait être le nouveau canon automoteur. Il disait que le canon d'assaut devait avoir : un canon puissant, un bon blindage et une bonne mobilité.
Support de char moyen allemand "Panzer"
IV
Mais Manstein a également envoyé son travail sur le canon d'assaut au chef des forces terrestres allemandes, Beck. Mais il s'en fichait évidemment, et il les a juste débogués sur une étagère séparée. Une fois, selon les rumeurs, un dossier avec des papiers est tombé sur la tête de Beck, qui s'est mis en colère et a dit: "Tous les papiers sont envoyés au département des armes, pour exécution. Immédiatement !!!" La commande a été exécutée. La société "Daimler-Benz" a été engagée dans la création en 1936. Il a été décidé que le châssis du nouveau (à l'époque) char moyen allemand "Panzer" III serait utilisé pour le nouveau canon d'assaut. L'angle de guidage horizontal ne devait pas dépasser 25 degrés. Et la silhouette d'une voiture n'est pas plus élevée que la taille moyenne d'une personne. Et en 1937, le premier prototype du pistolet d'assaut a été créé. Selon les données des tests, il était nécessaire d'apporter un certain nombre de modifications et, surtout, de fermer la timonerie avec un blindage. En 1940, la production en série du pistolet d'assaut Sturmgeshutz a commencé. Le nom, le nouveau canon automoteur avait un nom très complexe, qui est non seulement difficile à lire, mais aussi à dire : "Gepanzerte Selbstfahrlafette fur Sturmgeschutz 7,5 cm Kanone (SdKfz 142). Armement," Sturmgeshutz "emprunté au char de soutien moyen" Panzer "IV - canon de 75 mm à canon court KWK-37L / 24. Le canon était destiné à détruire les fortifications défensives de l'ennemi, par exemple, un tireur d'élite s'est assis sur la maison, l'infanterie ne peut pas passer. Ensuite, le "Sturmgeshutz" doit se tenir très près de l'abri du tireur d'élite, que ce soit une maison ou autre chose alors, et faire 2-3 tirs à la couverture d'un tireur d'élite ou du même mitrailleur. La cible est touchée. La question se posera : "Est-ce que les Allemands ont pensé à installer un pistolet d'un plus gros calibre?" Eh bien, si vous y réfléchissez, cela ne leur est même jamais venu à l'esprit ... 
canon de 75 mm
KWK
-37/
L
/24
Ludwig August Theodor Beck (1880-1944) - Colonel général de l'armée allemande (1938). Chef d'état-major général des forces terrestres en 1935-1938. Chef du soulèvement militaire contre Adolf Hitler le 20 juillet 1944.
Après tout, les Allemands eux-mêmes ont compris que tout char à cette époque avait un blindage pare-balles, par exemple, il y avait 20-25 mm. Même un canon de 37 mm a touché le char, sans parler d'un canon de 75 mm. Par conséquent, si un duel a lieu entre le "Sturmgeshutz" et un char ennemi, prenons le Hotchkiss H35 français, alors un coup de canon de 75 mm détruira sûrement le char. Certes, le Français avait un blindage frontal de 45 mm, mais cela n'a pas aidé non plus. Les Allemands ne savaient pas qu'ils étaient en service Union soviétique il y a les derniers chars (à l'époque) T-34/76 avec blindage incliné anti-canon et char lourd KV-1 ("Klim Voroshilov). Le char KV, avait un blindage avant de 75 mm et 60 mm sur les côtés. Le canon de 75 mm des Allemands ne pouvait pas faire face au blindage du KV et du T-34. Par conséquent, le Les Allemands ont réfléchi à ce qui était nécessaire pour installer un canon capable de frapper des chars, tels que le KV et le T-34. Ils ont donc installé un nouveau canon à long canon de 75 mm KWK-40 / L / 43 en 1942 sur "Sturmgeshutz". 
"Sturmgeshutz" de la première série, 1940.
"Sturmgeshutz" a changé plus tard dans la guerre avec l'URSS (Grande Guerre patriotique 1941-1945). Le canon d'assaut était armé d'un canon à canon court de 75 mm, bientôt d'un canon long et d'un blindage atteignant non pas 50 mm, mais 80 mm, ce qui est comparable au blindage d'un char (période 1943-1945). Il était également possible de monter un obusier de 105 mm sur le Sturmgeshutz (installé sur le StuH 42. Ausf. G). Nous nous sommes familiarisés avec la première version du pistolet d'assaut "Sturmgeshutz". Dans le canon automoteur, de nombreuses solutions de conception ont été introduites, en fonction de l'évolution de la situation à l'avant. Par la suite, le "Sturmgeshutz" s'est avéré être l'arme la plus efficace dans la lutte contre les chars ennemis. 
StuH 42. Ausf. g
"Jagdpanther"
- Chasseur de panthère
(abrégé)
La panthère est un chasseur. C'est ainsi que se traduit un char, ou plutôt un combattant - des chars Jagdpanther. Canon automoteur, créé sur le châssis d'un char allemand moyen (lourd) - "Panther". "Jagdpanther", un excellent véhicule de combat en termes de qualités de combat. Un bon blindage incliné offrait une bonne protection, et le puissant canon PAK-43 à canon long de 88 mm, également connu sous le nom de « huit-huit », touchait n'importe quel équipement ennemi. "Jagdpanther", a été créé à une époque où l'une des plus grandes batailles devait avoir lieu, qui a décidé de l'issue de la guerre sur le front oriental - la bataille des Ardennes de Koursk. Les forces blindées de l'Allemagne (Panzerwaffe) et de l'Armée rouge se sont affrontées dans une bataille sanglante. On supposait que c'était le "Jagdpanther" qui participerait à la bataille et fournirait un appui-feu aux chars de ligne, cependant, ils n'étaient pas destinés à être vaincus à Koursk. Les chasseurs de chars sont destinés à la défense et non à l'introduction d'une offensive, pour cela il existe des chars de ligne. Après tout, pour l'offensive, ils ont décidé d'utiliser les derniers chars lourds - "Panther" et "Tiger". Des canons automoteurs du type "Ferdinand" ont également pris part aux Ardennes de Koursk. Ils avaient le blindage frontal le plus puissant à l'époque - 20 cm (200 mm). Ils étaient armés d'un canon de 88 mm, ce qui permettait de frapper des chars à une distance de 2-3 km. Selon le plan, ils étaient censés s'asseoir sur des positions et tirer sur les chars ennemis à longue distance, mais que faire ? Le commandement allemand les jeta dans l'offensive. En conséquence, 70 Ferdinand ont été tout simplement détruits. Une armure épaisse n'a pas sauvé l'infanterie. Ils ont littéralement jeté des cocktails Molotov sur les « pauvres » Ferdinand. La destruction de la chenille a rendu le canon automoteur pratiquement immobile et est devenu une véritable "victime de coups". Par conséquent, les "Jagdpanthers" ont eu de la chance en un mot. Commençons par le fait que le châssis du nouveau chasseur de chars a été repris du Panther. 
Char lourd allemand - "Panther"
Le schéma de configuration n'était pas différent du char Panther - la transmission du Jagdpanther était dans la partie avant et le moteur était à l'arrière, ce qui donnait une répartition uniforme de la charge sur les roues et une stabilité lors du tir. Cela a donné un bon avantage. Le châssis du nouveau chasseur de chars a été assez bien choisi. Avec un schéma d'implantation chars soviétiques Plus difficile. La transmission était à l'arrière avec le moteur, par conséquent, lors de l'installation du pistolet, il était nécessaire de le déplacer vers l'avant, ce qui donnait alors une charge importante aux roues. 
Canons automoteurs soviétiques SU-85, SU-100. Extérieurement, ils sont même très similaires, presque jumeaux, puisque les deux canons automoteurs sont fabriqués sur le châssis du char T-34. La différence entre eux réside dans l'armement et le blindage : le canon SU-85-mm D-5S et l'épaisseur du blindage frontal de 45 mm, comme le "Thirty-four". Le SU-100 a un canon DT-10 de 100 mm et un blindage de 75 mm. Lors de la création des "Jagdpanthers", le Führer allemand, toist Hitler, a demandé d'augmenter le blindage du char dans la partie frontale de 80 mm à 100 mm et sur les côtés de 50 mm à 60 mm. Les concepteurs ont bien sûr répondu "oui", mais ils ont laissé 80 mm sur le front et 50 mm sur les côtés. Hitler a toujours aimé y aller, ce qu'il ne comprenait pas. Cependant, la réservation du nouveau chasseur de chars était suffisante. Pourquoi augmenter le blindage alors que les obus de canon de 76 mm américains, britanniques et soviétiques ont pénétré le blindage de 4 cm, alors pourquoi augmenter le blindage, alors 8 cm suffisent. Extérieurement, "Yagdpanther" copie les canons automoteurs soviétiques SU-85, SU-100. Mais dire que les Allemands ont répété le dessin est faux. Les Allemands travaillaient indépendamment. La disposition des Jagdpanthers était différente de celle des canons automoteurs soviétiques. De plus, les Allemands ont pu placer la plaque de blindage frontale à un grand angle, ce qui a clairement donné une meilleure protection du blindage contre les obus ennemis. Mais les Jagdpanthers ne parviennent pas à entrer sur le front de l'Est à l'été 1943, la production vient de démarrer à l'automne 1943. Quand, "Jagdpanther" a été montré à Hitler, il n'y avait aucune limite à la surprise. Les obus du canon PAK-43 de 88 mm avec un noyau de tungstène ont percé un blindage de 20 cm d'épaisseur (200 mm). Selon Hitler, avec une telle arme, il est possible de gagner la guerre. Mais le problème est la sérialité et la qualité de "Jagdpanther". Quel est ce char qui ne peut pas atteindre le champ de bataille ? Et sachant comment les « Panthers » se sont effondrés à Koursk, ils n'ont même pas eu le temps de participer aux hostilités. Deuxièmement, il y a un problème avec la libération. "Jagdpanther", très difficile à fabriquer. Sans oublier que même lors de la réparation, le canon automoteur devait (pour réparer la transmission) retirer d'abord l'arme la plus dure, puis continuer seulement. Pour les SU-85, SU-100, c'est le contraire. Il suffit d'ouvrir les trappes à l'arrière et de commencer les réparations, il était possible de dévisser complètement la plaque de blindage pour une action libre. la production du Troisième Reich n'a livré que 390 unités. Ce très peu n'a pas donné les résultats souhaités. Oui, le chasseur de chars était bon dans ses qualités de combat, mais la petite production d'ersatz de chars imprudents s'est fait sentir. "Jagdpanther", a participé aux batailles d'été en Normandie en 1944. Le nouveau chasseur de chars se montra très bien, et étant donné que les chars alliés étaient complètement inférieurs aux chars allemands, ils ne faisaient pas le poids face au Jagdpanther. Mais cela n'avait pas de sens non plus. L'aviation américaine a complètement détruit l'usine MIAG, qui a produit les Jagdpanthers. Mais les Allemands ont repris la production ailleurs. Les "Jagdpanthers" sont bons, mais l'aviation alliée a littéralement écrasé les chars allemands depuis les airs. De plus, les Allemands n'allaient pas penser au soutien aérien, eux aussi ont battu la Wehrmacht dans les batailles sur le front de l'Est. En 1945, contre l'URSS, il ne restait plus que 10 "Jagdpanthers", puis en unités spéciales de combat. Comment était une unité de combat ? Les vieillards du "Folksturm", des soldats SS spécialement sélectionnés et des enfants de la "Jeunesse hitlérienne" ont combattu dans l'unité de combat. 
De là, nous concluons que le "Jagdpanther" est une excellente machine en termes de qualités de combat. Mais le manque de capacité à en produire suffisamment, comme ce fut le cas avec d'autres armes allemandes, n'a pas donné les résultats souhaités par Hitler lui-même. Mais on peut dire une chose que le "Jagdpanther" est l'un des canons automoteurs allemands les plus performants de la Seconde Guerre mondiale. 
"Sturmpanzer"
IV -
"Brummber"
Qu'est-ce qu'un char d'assaut ? Pourquoi attribuer le nom « agression » ? Après tout, le char est déjà armé d'un bon canon et d'une bonne armure, et est conçu pour attaquer les zones fortifiées de l'ennemi. Mais que se passera-t-il lorsque l'arme ennemie sera protégée de manière fiable et enterrée dans le sol. Un canon de petit calibre ne peut pas détruire une telle cible. Et que se passera-t-il si la cible est un point de tir ennemi puissamment fortifié ? Par conséquent, vous avez besoin d'un char qui sera armé d'un canon de gros calibre et qui aura une réservation fiable. Cette question a été posée par le commandement allemand au milieu des années 30 du siècle dernier. Les Allemands disposaient déjà d'un canon SiG33 de 150 mm. Très intéressant:
Dans les années 20-30, l'Allemagne et l'URSS ont collaboré au développement d'armes. Parmi ceux-ci, il y avait un obusier de 150 mm
SiG
33 créés en Allemagne
par Rheinmetall
, qui fut bientôt racheté par l'URSS. Certes, l'obusier s'est avéré, en un mot, mauvais. Elle s'est effondrée lorsqu'elle a été licenciée. Après avoir un peu souffert, les concepteurs soviétiques ont finalisé l'obusier et lui ont donné son nom - "NM". "NM"
, ô
signifie mortier allemand.
Sans rien inventer d'autre, les Allemands installèrent l'obusier sur le châssis du char léger Panzer I. La nouvelle unité d'artillerie automotrice n'avait pas de nom. On pourrait simplement appeler le nouveau canon automoteur le nom de l'obusier SiG33 - cela n'avait pas d'importance, car l'obusier était utilisé sur un châssis mobile ou déplacé manuellement. Eh bien, plus en détail, alors : Sturmpanzer je 15cm siG33.
Canon automoteur soviétique SU-5-3 sur le châssis du char léger T-26.
Le char avait un obusier de 150 mm
SiG33
Char léger allemand "Panzer"
je
Le char d'assaut, créé sur la base du char Panzer I, présentait de nombreux inconvénients. Le principal problème était que l'obusier SiG33 était installé sur le châssis du char léger Panzer I. Premièrement, le char léger allemand avait un moteur Maybach NL 38 tr trop faible d'une capacité de seulement 100 ch. Par conséquent, il était difficile pour le char d'assaut de se déplacer sur un terrain accidenté, sans parler du fait que le châssis du char pouvait se retourner lors du recul. Le char d'assaut avait une grande silhouette - c'est aussi un problème. 
Sturmpanzer
je
15cm
si
G33
Obusier de campagne soviétique de 152 mm "NM", créé par la société allemande "Rheinmetall". Dans le même temps, l'obusier était recouvert d'un blindage mince d'une épaisseur de seulement 12-13 mm, protégeant des balles ennemies et des éclats d'obus. Par conséquent, "Sturmpanzer" je ne devrais pas du tout participer là où se trouvent les chars ennemis. Après tout, même un char ennemi léger n'était pas un petit danger pour ce char d'assaut, puisque la réserve était de 12-13 mm. Mais pour la destruction des fortifications ennemies, le "Sturmpanzer" m'a été utile. Un obusier de 150 mm pouvait facilement détruire un pas de tir ennemi. Dans le même temps, le char ne tirait pas seulement avec un tir direct (comme un simple char pourrait le faire), envoyant un projectile à 4 km. L'abri ennemi fortement fortifié ne pouvait même pas résister au projectile. Naturellement, un simple tank ne pourrait pas faire cela. "
Sturmpanzer
"
II
Fin 1941, la société allemande "Alquette" a commencé à créer un nouveau canon d'assaut "Sturmpanzer" II, traduit par char d'assaut, créé sur la base du char "Panzer" II. La stabilité du nouveau "Sturmpanzer" lors du tir était bien meilleure. Protection augmentée à 35 mm. Les Allemands ont dû ajouter des roues supplémentaires au châssis, car plus le canon est puissant, plus le canon peut être installé. Les Allemands ont réussi à placer le canon sur un char léger allemand, tout en abaissant le centre de gravité. Les Allemands n'ont pas réussi à fermer complètement le char. Le char d'assaut était ouvert d'en haut. Pourquoi? Sinon, le train d'atterrissage n'aurait tout simplement pas résisté à la masse du blindage supérieur supplémentaire. Les deux premiers chars d'assaut ont été testés sur le front de l'Est. Certes, les Allemands n'ont pas osé utiliser un nouveau type d'échantillons d'assaut. Et le fait est qu'en 1942, l'armée allemande a été vaincue près de Moscou. Et par conséquent, tout le groupe d'armées Centre est passé à la défensive. 
"Sturmpanzer" II sur le site d'essai en Allemagne
Contre-offensive de l'Armée rouge près de Moscou.
Le 6 décembre 1941, l'Armée rouge lance une contre-offensive à grande échelle dans toute la direction de Moscou. Pour les Allemands, ce fut une grosse surprise. L'initiative est passée entre nos mains. Curieusement, le front Kalinin a lancé une contre-offensive le 5 décembre 1941. Les troupes du front occidental au sud et au nord de Moscou ont livré une frappe aérienne avec le soutien de frappes d'artillerie contre les positions ennemies. Et ils ont lancé une contre-offensive le 6 décembre 1941. Les 7 et 8 décembre, les troupes du front sud-ouest frappent les positions ennemies. Le 6 décembre, une énorme bataille s'est déroulée. Le succès grandit chaque jour. L'initiative nous est sans doute passée. Le coup inattendu de nos troupes, notamment au nord-ouest et au sud-ouest de Moscou, a fait une impression saisissante sur le commandement fasciste et ses troupes, ce qui confirme pleinement la justesse du moment choisi par le commandement soviétique pour lancer une contre-offensive.
Le haut commandement suprême a suivi de près tout le cours des événements et, au fur et à mesure que les troupes avançaient, a défini de nouvelles tâches pour les fronts et a parfois corrigé des décisions pas entièrement réussies du commandement de l'armée.
Les Allemands battent en retraite jusqu'au 20 avril 1942. Pour la première fois, les troupes nazies "invincibles" ont été battues, et pour de vrais coups : 38 divisions allemandes, dont 11 chars, subit une lourde défaite. Les nazis ont perdu plus de 500 000 personnes, 1 300 chars, 2 500 canons, 15 000 véhicules et de nombreux autres équipements près de Moscou. L'armée fasciste n'a jamais connu de telles pertes.
Les Allemands n'ont pas subi un effondrement complet uniquement parce que des réserves supplémentaires ont été transférées du front occidental: 800 000 renforts en marche et 39 divisions supplémentaires de France pour renforcer les forces actives.
Les occupants nazis ont été complètement expulsés de Moscou, de Toula et d'un certain nombre d'autres régions. Plus de 11 000 colonies ont été libérées de l'ennemi, dont 60 villes, les centres régionaux de Kalinin et Kaluga.
L'attaque de Moscou a complètement échoué. Avec cela et le plan douteux "Barbarossa". La domination des envahisseurs fascistes allemands a disparu à jamais. Le monde entier a vu la défaite des nazis près de Moscou.
Il n'était pas question d'offensive. 12 "Sturmpanzers" sont envoyés en Afrique du Nord. Le commandement allemand réfléchissait plutôt à la manière de créer davantage de canons de 75 mm, capables de combattre les "Trente-quatre" soviétiques et le KV. "
Sturmpanzer
33
"
Mais la pertinence des canons d'assaut a repris à l'été 1942. Le fait est que le 17 juillet 1942, l'opération allemande Blau a commencé à s'emparer des champs pétrolifères du Caucase et de la grande ville soviétique de Stalingrad. Cependant, le commandement allemand a de nouveau pensé à la nécessité d'un nouveau canon d'assaut, afin qu'il soit recouvert d'un blindage par le haut, car les fantassins tirant depuis les étages supérieurs pouvaient simplement tirer sur l'équipage du canon d'assaut. La création d'une nouvelle arme d'assaut a été reprise par l'ingénieur allemand Ferdinand Porsche. 
Ferdinand Arthur Porsche (Allemand Ferdinand Porsche ; 3 septembre 1875, Muffersdorf, Autriche-Hongrie - 30 janvier 1951, Stuttgart, Allemagne) - Concepteur allemand de voitures et de véhicules blindés. Fondateur de la société Porsche. Il est également célèbre en tant que créateur de la voiture la plus populaire de l'histoire de l'industrie automobile, qui est entrée dans l'histoire sous le nom de Volkswagen KДfer.
Le nouveau canon d'assaut "Sturmpanzer 33" pouvait déjà transporter environ 30 obus à l'intérieur de la coque blindée, cela ne semble pas suffisant, mais pour une arme aussi destructrice, c'est normal. Il est clair que le même obusier siG33 de 150 mm éprouvé était monté sur le nouveau canon d'assaut. Le char avait un blindage de 5 cm et une plaque de blindage de 3 cm a été ajoutée à l'avant. Peut-être que le canon d'assaut du modèle 33 ne se serait jamais montré sans Stalingrad. Ici, "Sturmpanzer 33" s'est avéré excellent. Trente-trois, pourraient facilement détruire une maison en briques et d'autres pas de tir. Bonne protection blindée non seulement protégée contre les fusils antichars et les grenades, mais aussi contre le feu artillerie soviétique... Après des débuts réussis à Stalingrad, le commandement commande à la firme "Alquette" 
"Sturmpanzer 33"
basé sur le char moyen de percée Panzer
III
"
Créez 12 autres machines de ce type. Mais ils n'ont pas eu le temps de se rendre à Stalingrad. À l'automne 1942, Hitler, qui reconnaissait les excellentes qualités de combat du Sturmpanzer 33, ordonna la création d'un canon d'assaut plus puissant basé sur le char Panzer IV (T-IV, Panzerkampfwagen.IV). Le Quartet était un véhicule de combat très populaire sur le champ de bataille. En pratique, le "Quatuor" allemand est devenu la base des forces blindées allemandes (Panzerwaffe). Et, par conséquent, un véhicule de combat, comme le Panzer IV, a été très bien traité. Toute l'industrie du Troisième Reich était dirigée précisément vers la création de ces véhicules de combat de taille moyenne. La création d'une nouvelle arme d'assaut basée sur les rares « Fours » a montré à quel point ce véhicule de combat est important. Le nouveau char d'assaut s'appelait Sturmpanzer IV.
"
Sturmpanzer IV
"
Contrairement à son prédécesseur, le quatrième Sturmpanzer avait un meilleur blindage - 100 mm sur le front, 60 mm sur les côtés. Char d'assaut "Sturmpanzer IV", armé d'un nouvel obusier de 150 mm - StuH43. Le canon était monté dans une douille sphérique directement dans la partie frontale de l'armure, et ne pouvait donc pas gonfler haut. Pour cette raison, il était impossible de tirer avec un tir extérieur, comme le pouvait un obusier. Par conséquent, il était souvent nécessaire de tirer sur les fortifications ennemies avec un tir direct. Cela a conduit le "Sturmpanzer" vers des chars de ligne classiques. Peu de temps après, une commande a été faite pour créer 60 de ces machines. La commande a été achevée en mai 1943. Le châssis pour la création du nouveau "Sturmpanzers IV" a été repris des "Fours" réparés, cependant, il est arrivé qu'ils soient également créés à partir des nouveaux. Le réservoir a été testé sur des terrains d'essai. Les concepteurs ne s'attendaient pas à ce que la demande de commandes pour de nouveaux supertanks soit si importante. 
Comme pour toute arme d'assaut, les Allemands n'ont pas installé de mitrailleuse pour se défendre contre l'infanterie ennemie. Pourquoi je parle de ça ? Le fait est que les Allemands, à l'été 1943, se préparaient à la plus grande opération de chars offensive. Les Allemands ont rassemblé toutes les meilleures forces disponibles pour Koursk. Bataille de Koursk
:
La plus grande bataille de chars de l'histoire de l'humanité. Bataille de Koursk, qui a changé
et tout le cours de la guerre sur le front de l'Est
.
Le 5 juillet 1943, la Wehrmacht allait porter un coup dur aux directions Belgorod-Oboyan et Orel-Kursk, préservant ainsi l'initiative militaire sur le front de l'Est. La guerre a siphonné les dernières ressources de l'Allemagne. L'échec de l'opération a garanti des pertes colossales et la perte de l'initiative militaire dans la guerre.
Avec
L'URSS.
L'opération Citadelle était une sorte d'opération décisive sur le front de l'Est. L'issue de la bataille a décidé du sort de l'ensemble de l'Union soviétique et pas seulement. Si l'Armée rouge était vaincue, la route de la capitale de l'URSS serait ouverte.
Cependant, il y a eu de nombreuses déclarations sur la conduite d'une opération offensive majeure - "Citadelle"
.
Heinz Wilhelm Guderian (1888-1954) -
colonel général
Armée allemande (1940), inspecteur général des forces blindées (1943), chef d'état-major général des forces terrestres (1945), théoricien militaire, auteur du livre "Mémoires d'un général allemand. Forces blindées allemandes 1939-1945". Père de la Bundeswehr générale
Heinz Gunther Guderian.
L'un des pionniers de la guerre motorisée, le pionnier de la construction de chars en Allemagne et des armes de chars dans le monde. Avait des surnoms
Schneller Heinz - "Speedy Heinz",
Heinz Brausewind - L'ouragan Heinz.
Opinion de Guderian sur le plan de la citadelle :
« L'armée allemande vient d'achever la réorganisation et le réapprovisionnement des unités sur le front de l'Est après la catastrophe de Stalingrad. L'offensive entraînera inévitablement de lourdes pertes, qui ne pourront être reconstituées en 1943.
Otto Moritz Walter Model s'est également prononcé contre l'opération "Citadelle"
disant que l'ennemi connaît les plans du commandement, et c'est déjà une demi-perte.
Modèle Otto Moritz Walter (1891-1945).
Dans l'armée avec
1909, servi
fanen-junker
au 52e Régiment d'Infanterie. V
année 1910
promu au grade d'officier
lieutenant. Participant
Première Guerre mondiale
sur le
Front occidental. Pour mérite reçu
Croix de Fer
1er degré (1917) et un certain nombre d'autres ordres, promus au grade
capitaine
En novembre
1917 de l'année. Il a été blessé à plusieurs reprises. AVEC
année 1919
servi dans État-major général, était le chef du département de formation du personnel du ministère de la Guerre, le chef du département technique du ministère de la Guerre. Lieutenant-colonel (1932). V
année 1934
produit en
colonels, dans
1938 - en
généraux de division. A partir d'octobre
1938 - Chef d'état-major
4e corps d'armée. En tant que chef d'état-major du 4e corps d'armée, il entra
La Seconde Guerre mondiale
et a participé à
invasion de la Pologne. En octobre
1939
nommé chef de cabinet
16e armée
et à ce poste a participé à
campagne de France. A partir de novembre
1940 - commandant
3e Division Panzer. Cette division a été transférée à
Pologne
et inclus dans
2e groupe Panzer du général
Heinz Guderian.
Avant l'offensive, selon le plan, les chars d'assaut et de ligne devaient être soutenus par des panzergrenadiers, des fantassins, qui étaient unités de réservoir Wehrmacht. Pourquoi les Allemands n'ont-ils pas installé de mitrailleuse ? En effet, l'équipement qui avance doit être couvert et soutenu au combat par des panzergrenadiers ou de l'infanterie. Mais voici le problème. Les steppes de Koursk, ce n'est pas une ville pour vous. Partout est un espace ouvert. Comme dans la ville, un canon d'assaut pouvait détruire des points de tir en toute impunité, et les panzergrenadiers tiraient sur l'infanterie ennemie, qui se rapprochait du char d'assaut. Mais au milieu de la bataille de Koursk, nos mitrailleuses et nos canons ont littéralement tué la moitié des panzergrenadiers ennemis, et il n'y avait personne pour soutenir les chars d'assaut, comme le "Sturmpanzer IV". 
Grenadiers :
choisi
les pièces
infanterie
et/ou de cavalerie, destinés à l'origine à prendre d'assaut les fortifications ennemies, principalement lors d'opérations de siège. Les grenadiers étaient armés
grenades à main
et
armes à feu. Les grenades à main étaient autrefois appelées « grenades » ou « grenades » ; c'était une boule de fonte creuse remplie de poudre à canon avec une mèche ; ils ont été utilisés pour jeter la main sur les fortifications ennemies. Compte tenu de la courte portée de vol de la grenade, le combattant avait besoin d'un maximum de courage, d'ingéniosité, d'intrépidité et de dextérité pour atteindre la distance souhaitée. Le nom des unités utilisant ce type d'arme vient des grenades. Par la suite, des unités sélectionnées ont commencé à être appelées grenadiers.
infanterie de ligne.
Voici l'histoire qui se répète avec les " puissants " " Ferdinand ". Laissés sans couverture, les armes d'assaut comme le "Sturmpanzer" (de tout type) ou le même "Ferdinand" devinrent inutiles. Les chars d'assaut sont devenus une cible pour l'infanterie soviétique. Bien sûr, l'équipage du Sturmpanzer disposait d'une mitrailleuse MG-34, mais quiconque sort l'écoutille et tire sur l'infanterie ennemie est un suicide. La destruction de la piste a rendu le "Sturmpanzer" complètement immobilisé, car il s'agissait d'un char d'assaut téméraire. Par conséquent, les équipages des canons d'assaut ont simplement fait exploser l'équipement et se sont retirés dans le leur. Après la bataille de Koursk, une modification du Sturmpanzer IV est réalisée en octobre 1943. La mitrailleuse MG-34 a été installée dans la partie frontale du char et la coupole du commandant "Sturmpanzer IV" a été modifiée. 
9 mm
mitraillette
MG 34 a été développé
allemand
entreprise
Rheinmetall-Borsig AG
par ordre
Wehrmacht
... Le développement de la mitrailleuse a conduit
Louis Stange
, cependant, lors de la création d'une mitrailleuse, les développements ont été utilisés non seulement par Rheinmetall et ses filiales, mais aussi par d'autres sociétés, telles que
Mauser
... La mitrailleuse a été officiellement adoptée par la Wehrmacht en 1934 et jusqu'en 1942 était officiellement la principale mitrailleuse non seulement
infanterie
, mais aussi
Char
troupes d'Allemagne. En 1942, au lieu de la MG 34, une mitrailleuse plus avancée fut adoptée.
MG 42
, cependant, la production de la MG 34 ne s'est arrêtée qu'à la fin
Deuxième Guerre mondiale
, car il a continué à être utilisé comme mitrailleuse de char en raison de sa plus grande adaptabilité à cela par rapport au MG 42.
De plus, le nom du char d'assaut est passé de classique à bestial - "Brummber". Traduit en grizzli. 
Modification tardive 
"Sturmpanzer
IV
", modification précoce.
En 1944-45, Broomber se retrouve à l'aise. Et le fait est qu'en 1944-1945, des batailles ont eu lieu sur le territoire de la Pologne et de l'Allemagne. Terrain urbain, c'est ce dont cette bête d'assaut a besoin. Ils se sont particulièrement bien comportés pendant Insurrection de Varsovie en Pologne (5 août 1944 - 28 août 1944). Lorsqu'un soulèvement rebelle antifasciste a éclaté, les Allemands ont sorti les canons d'assaut Broomber pour réprimer rapidement les rebelles, car ils occupaient une partie de la ville. Rien ne pouvait arrêter l'arme mortelle. Et le 28 août 1944, le soulèvement fut réprimé. De plus, les Allemands ont utilisé l'arme d'assaut la plus puissante de l'histoire, le Sturmtiger, qui a tiré des roquettes de 350 kg, comme je l'ai mentionné plus tôt. En outre, "Brummber" a été utilisé dans les batailles urbaines comme moyen de combattre les chars. Par conséquent, dans un véhicule de combat ennemi, "Brummber" a tiré un projectile cumulatif de 150 mm. Le pouvoir de pénétration a servi de gaz incandescents, qui ont percé l'armure d'une épaisseur de 16 cm (160 mm). Par conséquent, peu importe que le canon ressemble à un canon court et tire un projectile à basse vitesse. Après tout, les gaz chauds servaient de force de pénétration et non de vitesse du projectile. De mars 1943 à mars 1945, seuls quelque 300 Brummber furent produits. Une arme d'assaut telle que le Brummbert n'était pas très efficace dans les batailles près de Koursk, mais a été utilisée avec succès dans les zones urbaines. C'est juste une question. Mais cela a-t-il donné au moins un résultat ? En effet, en 1944-45, les Allemands n'ont même pas pensé à une offensive. 
Chasseurs de chars
Quel a été l'outil le plus efficace dans la lutte contre les chars pendant la Seconde Guerre mondiale ? Il est clair qu'il s'agissait d'armes antichars. Le calcul du canon a ouvert le feu sur les véhicules de combat ennemis sur la ligne dangereuse pour les chars, prenant ainsi l'ennemi par surprise. Mais il faut aussi éviter la riposte. Mais comment le faire? Après tout, un tracteur est nécessaire pour transporter un outil lourd. C'est ainsi que les chars de chasse sont apparus. Les Allemands ont simplement pris et installé le canon sur le châssis à chenilles. C'est ainsi qu'est apparu le premier chasseur de chars - "Panzerjager I". Le nouveau canon automoteur était équipé d'un canon antichar A-5 de 47 mm, de production tchèque. Le canon lui-même était monté sur le châssis d'un char de mitrailleuse allemand "Panzer I". Considérons le premier. Pourquoi exactement un canon de fabrication tchèque a-t-il été installé ? En 1938, l'Allemagne envahit la Tchécoslovaquie. Il est clair que la Wehrmacht a obtenu les armes tchèques. Sur le site d'essai, les Allemands ont appris que le meilleur canon allemand de 37 mm (à l'époque) était complètement inférieur à l'A-5. Le canon tchèque a pénétré le blindage de n'importe quel char allemand à une distance d'un kilomètre et demi. Oui, vous pouvez vous battre avec une telle arme, pensaient les Allemands. Et ils l'ont installé sur le châssis d'un char léger allemand. Création de nouveaux chasseurs de chars, tous de la même société "Alquette". "Panzeriager I", combat sur les fronts ouest et est (en France et en URSS). Certes, le canon de 47 mm ne pouvait pas pénétrer le blindage des chars lourds français, sans parler des derniers chars soviétiques KV-1 et T-34. Les Allemands étaient choqués. Inutile de dire que si le canon de 47 mm ne pouvait pas faire face, alors il n'y avait pas de place pour le canon antichar allemand de 37 mm et il n'y avait pas de place sur le champ de bataille. 
Tchécoslovaque 47 mm canon antichar A-5 modèle 1938.
"Panzeriager
je
"
C'est à ce moment-là que de nouveaux canons antichars allemands sont apparus sur le champ de bataille - Pak-40 et Pak-43 - ils sont devenus un grand danger pour les chars soviétiques et alliés. Pak-40
Pak-40
(
panzerjag
erkanone 40) -
Canon antichar allemand de 75 mm pendant la Seconde Guerre mondiale. En 1938-1939, la Direction de l'armement a confié une mission technique pour le développement d'un canon antichar aux firmes "Rheinmetall" et "Krupp".
"
Rheinmetall Ag
"
- Entreprise allemande, constituée le 13 avril 1889. Aujourd'hui, l'entreprise est l'un des plus grands fabricants d'équipements et d'armes militaires en Allemagne et en Europe.
"Krupp"
- la plus grande entreprise industrielle de l'histoire de l'Allemagne, fondée officiellement en 1860.
La production en série du canon antichar de 75 mm Pak-40 n'a repris qu'en février 1942. Pourquoi?
En 1940, la Wehrmacht rencontra des chars moyens et lourds tels que le Matilda britannique et le B-1 français.
Bis
.
MK II
/
IV
"Mathilde" -
moyenne
char d'infanterie
Armée britannique
point final
Deuxième Guerre mondiale
.
Utilisé activement et avec succès par l'armée britannique pendant
combats en Afrique
, également fourni en quantités importantes
armée australienne
et en
Union SS
AVEC
R
... Le seul modèle de char de l'histoire du monde portant le nom d'une femme.
Conçu en
1936
--
1938
ans, produit jusqu'en août
1943 année
et était l'un des
Majeur
chars moyens de Grande-Bretagne pour la première fois pendant la guerre. Également fourni en quantités importantes
armée australienne
et en
l'URSS
... "Matilda" se distinguait par une armure très puissante pour l'époque et avec la modification Mark IV de haute
fiabilité
, qui a assuré son utilisation plutôt efficace pour la première fois dans les années de guerre, avant qu'il ne soit remplacé par un char plus armé et blindé "
Churchill
". De plus, la réservation du char a permis au stade initial de la guerre d'ignorer la majorité
canons antichars
ennemi, et uniquement l'utilisation par les unités allemandes d'un canon anti-aérien de 88 mm
8,8 cm FlaK 18/36/37
, converti pour les besoins antichars, permit d'arrêter l'assaut du Mathilde, et cela continua jusqu'à ce que les Allemands disposent de nouveaux canons antichars de 50 mm et 75 mm.
français
B
-1
bis
-
français
lourd
Char
années 1930
ans. Développé avec
année 1921
... Mais il n'a été adopté qu'en mars.
année 1934
... Au cours de la production en série, s
1935
au
15 juin
1940 année
, a produit 403 chars B1 en différentes versions. B1 a été activement utilisé dans les batailles avec
allemand
troupes en mai - juin 1940, malgré le lourd archaïsme de la conception, faisant preuve d'une excellente sécurité. Près de la moitié des voitures produites après la capitulation de la France ont été capturées
la Wehrmacht
et a été utilisé par lui jusqu'à
1945 année
, servant également de base à la création d'automoteurs installations d'artillerie et
réservoirs de lance-flammes
sur leur base. Au total, les Allemands ont obtenu 161 chars - ils les ont renommés en
Pz. Kpfw. B2 740 (f). Parmi ceux-ci, 16 chars ont été convertis en canons automoteurs de 105 mm et environ 60 chars ont été convertis en chars lance-flammes.
Les canons antichars de 37 mm ne pouvaient pas pénétrer dans le blindage du "Matilda" et
B
-1
... Le même canon antichar 50-mm Pak-38 n'a pénétré le blindage de ces chars qu'avec le tir d'un projectile sous-calibré avec un noyau de tungstène.
Un projectile sous-calibré est une munition qui est le plus souvent utilisée pour pénétrer des cibles blindées. Pour la fabrication du cœur, du tungstène et de l'uranium appauvri sont utilisés.
Mais après la guerre avec la France, le canon antichar de 75 mm n'était plus nécessaire. Le Pak-40 n'a jamais été adopté par la Wehrmacht, uniquement parce que le nouveau canon ne correspondait pas au concept Blitzkrieg.
"Guerre éclair"
-
la théorie de la guerre à court terme, selon laquelle la victoire est obtenue en quelques jours, semaines ou mois avant que l'ennemi puisse mobiliser et déployer ses principales forces militaires. Créé au début du XXe siècle
Alfred von Schlieffen
.
Il était très lourd et ne convenait pas aux tactiques de guerre mobile. Et puis les Allemands n'ont pas rencontré de tels chars capables de résister aux tirs de leurs canons. La situation s'est compliquée au début de la guerre avec l'URSS (la Grande Guerre patriotique - 22 juin 1941). Canons antichars allemands de 37 mm et 50 mm (Pak-35/36 et Pak-38)
Pak-35/36
Pak-38
Ils n'ont pas pénétré le blindage anti-canon des nouveaux chars soviétiques T-34/76 et KV-1.
Uniquement en tirant obus sous-calibrés, Pak-38 pourrait frapper T-34 et KV-1 (50%).
Ce n'est qu'en février 1942 que des canons antichars de 75 mm, capables de pénétrer un blindage de 134 mm, ont commencé à être livrés.
Ils étaient capables de pénétrer les blindages et les lourds KV et T-34. Mais voici le problème. Si le Pak-40 pesait une tonne et demie, le canon antichar de 88 mm, également connu sous le nom de "Eight-Eight", a tiré les quatre tonnes. Le transport avec de telles armes n'était pas facile du tout. Par conséquent, nous avons décidé d'installer le pistolet sur le châssis mobile de n'importe quel char ou tracteur. Étant donné que le canon de 47 mm monté sur le châssis du char de mitrailleuse légère TI n'était pas capable de combattre les véhicules blindés soviétiques, il a été décidé d'installer des canons plus puissants sur le châssis des chars T-II et sur le châssis du Tchécoslovaque. Char LT-38, ou en allemand Pz.38 (T). Il y avait donc "Marder", traduit par martre. Mais ils ont nom célèbre qu'en février 1944, avant qu'ils ne s'appellent simplement « Panzeriager » (chasseur de chars). Sur les "Marders", ils ont installé un canon PAK-40 de 75 mm ou capturé des canons soviétiques de 76,2 mm - F-22. Il est clair qu'à l'été 1941, la Wehrmacht a capturé de nombreuses armes - il s'agit principalement de canons antichars, d'obus pour eux et de chars. Mais les véhicules de combat, comme le T-34 et le KV, n'ont pas été donnés en grand nombre aux Allemands, uniquement parce que les équipages soviétiques ont fait exploser le char s'il tombait en panne. 
Canon divisionnaire de 76 mm, modèle 1936
(F-22,
Indice GAU -
52-P-363A) -
soviétique
divisionnaire
pistolet semi-universel d'époque
Deuxième Guerre mondiale. A été la première arme développée
bureau d'études
sous la direction d'un concepteur exceptionnel de systèmes d'artillerie
V.G. Grabin, et l'un des premiers canons entièrement développés en URSS (et ne représentant pas la modernisation des canons de l'armée
Empire russe
ou développement à l'étranger). Créé dans le cadre du concept injustifié d'un canon universel (divisionnaire anti-aérien), le F-22 présentait un certain nombre de défauts, à propos desquels il a été retiré de
production en série
trois ans après son lancement. Les armes produites ont participé activement aux conflits d'avant-guerre et à la Grande Guerre patriotique. Beaucoup d'armes à feu de ce type d'acier
trophées
Allemand,
finlandais
et
roumain
armées. En Allemagne, les canons capturés ont été modernisés et ont été activement utilisés comme
canons antichars, aussi bien en remorqué qu'en
auto-propulsé
option.
Les Allemands, en 1941, s'emparèrent d'un nombre considérable de canons F-22 (GAU - 52-P-363A). Eh bien, que faire avec eux? Ils ont donc pris et installé le canon divisionnaire F-22 du modèle 1936 de l'année sur le châssis des chars tchécoslovaques LT-38. 
LT
-38
C'est ainsi qu'apparaissent les "Marder", modèles 132 et 139. Dans la Wehrmacht, le F-22 était désigné par l'indice Pak 36 (r), traduit par canon antichar modèle 1936 (russe). C'est vrai, et les obus pour ces armes ne sont pas sans fin. Le F-22 ne pouvait pas tirer d'obus de 75 mm. Par conséquent, les Allemands ont pris et réaffûté les culasses de ces canons pour le tir de leurs obus de 75 mm. Les Marders ont également combattu en Afrique du Nord. La puissance des bataillons soviétiques a été ressentie par les troupes alliées. La "Matilda" anglaise qui avançait, n'était auparavant touchée que par un canon anti-aérien allemand de 88 mm, converti pour les besoins des chars de combat (Flak 18/36/37). Mais lorsque les canons divisionnaires capturés par les Soviétiques installés sur les Marders sont apparus sur le champ de bataille, la situation a changé en direction de l'artillerie allemande. bataillons soviétiques, pilonné les Matildas britanniques comme des noix. Les historiens et généraux militaires, participants aux échecs de la 8e armée britannique, se souvenaient moins de Rommel que des canons soviétiques - le F-22. 
"Marder
II
"modèle 131 sur un châssis de char
Panzerkampfwagen
II
.
Ausf
C
... Le chasseur de chars avait un canon antichar de 75 mm -
Paquet
40.
"Marder
II
"modèle 132 sur un châssis de char
Panzerkampfwagen
II
.
Ausf
ré
... Le chasseur de chars avait un canon antichar divisionnaire de 75 mm (76,2 mm) - F-22 (
Paquet
36
r
).
Au combat, "Marder" était très vulnérable. Pour certains modèles, l'armure mesurait 3 cm sur le front et 1 cm sur les côtés ; pour des modèles tels que le Marder III 138H et le Marder III 138M, elle faisait 5 cm sur le front et 3 cm sur les côtés. 
"Marder
II
je
"modèle 139 sur le châssis d'un char tchécoslovaque
LT
-38 (
Pz
38
T
)
.
Le chasseur de chars avait un canon antichar divisionnaire de 75 mm (76,2 mm) - F-22 (
Paquet
36
r
).
J'ai envie de dire que "Marder", à la fois avait de bonnes et de mauvaises qualités. C'est que le "Marder" (selon le modèle) avait un compartiment de combat ouvert à l'arrière et sur le dessus. Imaginez à quel point il est difficile d'entretenir le pistolet dans toutes les conditions météorologiques. Sous la pluie, sous le vent, etc. Par conséquent, en cas de pluie ou de neige, les Allemands tiraient une bâche sur le compartiment de combat. Ou ils ont simplement construit quelque chose comme une tente ou un mini-toit. De plus, un obus qui a explosé à proximité pouvait non seulement choquer l'équipage en raison du fait que le compartiment de combat ouvert se trouvait derrière et au-dessus, mais aussi renverser complètement le véhicule de combat. Mais les bonnes qualités de combat des canons antichars Panzeriager portaient toujours leurs fruits. Les "Panzerjagery" différaient également les uns des autres par l'apparence de la tourelle. Et ils ont été créés sur la base de différents chars et tracteurs. En février 1944, "Panzerjagery" a reçu un nom général - "Marder", traduit par martre. Le premier représentant est un chasseur de chars basé sur des tracteurs Lorrian capturés. Véhicule blindé de transport de troupes français "Lorrian"
Le transport de troupes blindé français Lorraine 37L de série a été développé en 1937. Le véhicule était destiné à fournir des unités blindées et mobiles de tous niveaux, ainsi qu'à transporter de l'infanterie motorisée. Le Lorraine 37L et le Lorraine 38L étaient des transports de troupes blindés à chenilles non armés avec un compartiment blindé pour l'équipage et un compartiment semi-blindé à toit ouvert pour les troupes et le fret. Les machines ont été produites en série en France de 1938 à 1940. Au total, 618 véhicules blindés de transport de troupes ont été assemblés en quatre modifications principales.
Le chasseur de chars, créé sur la base des véhicules blindés de transport de troupes français capturés "Lorrian", s'appelait "Marder I". Le chasseur de chars était équipé d'un canon antichar de 75 mm PAK-40. 
Chasseur de chars allemand - "Marder
je
".
"Panzeriager", armé d'un canon antichar de 75 mm - Pak-40.
Les représentants suivants des "Panzerjagers" étaient - "Marder II" modèle 131 et "Marder II" modèle 132. Ils ont été créés sur la base des chars légers "Panzer II". Mais ils différaient également en apparence, car le "Panzer II" a été produit sous différentes modifications. Les deux modèles ont été créés sur la base des chars Panzer II des modèles C et D. En outre "Marder III" modèle 139 et "Marder III 138M", et "Marder III 138H". Les trois modèles ont été créés sur la base du char tchécoslovaque LT-38. 
lieutenant
vz
.38
- Char léger tchécoslovaque de la fin des années 30, créé par la société ČKD. Mieux connu sous l'appellation germanique
Pz
.
Kpfw
.38 (
t
)
... Après l'occupation de la Tchécoslovaquie (1938), tous les chars ont été adoptés par la Wehrmacht. était considéré comme l'un des meilleurs poumons chars de la Wehrmacht.
"Marder 138M" et "Marder III 138H", comme le modèle 139, avaient le châssis d'un char léger LT-38. À « Marder 138H », la timonerie a avancé, le moteur était donc à l'arrière. Sur le "Marder 138M", la timonerie recule, le moteur étant situé au milieu de la voiture. 
"Marder
III
138M
".
"Marder
III
138
H
"
Chasseurs de chars, utilisés jusqu'à l'apparition de nouveaux canons automoteurs légers, basés sur le char LT-38 - "Hetzer". Cependant, les "Marders" ont été utilisés jusqu'à la capitulation allemande. Et au total d'avril 1942 à mai 1944, l'industrie allemande a produit 2800 chasseurs de chars de la série "Marder". Bien sûr, ils n'avaient pas une bonne armure, mais, d'un autre côté, ils n'ont pas grimpé sous le tir de l'ennemi, mais se sont assis dans une embuscade et ont ouvert le feu à l'improviste pour l'ennemi. Parfois, les "Marders" rampaient dans un endroit où le char de combat ("Jagdpanzer") ne pouvait pas atteindre, mais une bonne position est déjà un avantage sur l'ennemi. De plus, les chars destroyers avaient un secteur de tir bas. Le canon n'a tourné que de 10 à 14 degrés. La culasse reposait contre parois latérales... Par conséquent, comme "Sturmgeshutz", "Jagdpanzer", devait tourner tout le corps, ce qui bien sûr réduisait la mobilité de cette machine. Chez "Marder", c'était l'inverse. Le canon F-22 monté sur le Marder II pivotait de 25 degrés vers la gauche et la droite. Le PAK-40 allemand, installé sur le modèle 131 "Marder II", tournait de 25 degrés vers la gauche et de 32 degrés vers la droite. Cependant, les "Marders" ne pesaient que 10 tonnes et étaient peu coûteux à fabriquer. Les anciens chars, tracteurs, ont été radiés, mais la création de tels chasseurs de chars a permis de donner une seconde vie à l'ancienne technologie. 
Lequel des chasseurs de chars et des canons d'assaut est devenu le plus efficace sur le champ de bataille ?
Les concepteurs ont expérimenté à plusieurs reprises la création d'un prototype en série de chasseurs de chars. Ce qu'ils n'ont tout simplement pas fait : ils ont installé le canon sur des tracteurs, sur des véhicules blindés de transport de troupes à chenilles et semi-chenillés. Mais rien n'a mené au succès. Ou ils ne sont pas devenus en série. Par exemple, le Bn-9, le camion sur lequel étaient installés les canons divisionnaires capturés par les Soviétiques, n'est jamais devenu une série. 
Voiture blindée
Dakota du Sud
.
Kfz
.234
armé d'un canon antichar de 75 mm
Paquet
40/2
L
/46
, a également servi de chasseur de chars.
Prenez cet intéressant chasseur de chars armé d'un canon Pak-40 de 75 mm. Le chasseur de chars a été créé sur le châssis du tracteur allemand RS "OST". Chasseur de chars très douteux, il a été créé par l'industrie autrichienne. Le nouveau chasseur de chars a également été désigné comme suit : 7,5 cm Pak-40/4 auf Raupenschlepper "Ost". Au total, 60 de ces véhicules de combat ont été construits, conçus pour un combat silencieux contre les chars. 
7,5
Avec
m
Paquet
-40/ 4
auf
Raupenschlepper
"
Est
".
Mais voici le problème. Si cette unité d'artillerie automotrice commence à tirer sur les chars ennemis, comment éviter de riposter ? Après tout, l'épaisseur de l'armure frontale n'était que de 5 mm, ce qui ne protégerait que des pierres et des balles de pistolet. Ce canon automoteur peut plutôt être qualifié de jetable. En ouvrant le feu, l'équipage s'expose à la destruction. Les Allemands ont réfléchi. Tout au long de la guerre, le 88 mm PAK-43 ou Flak 18/36/37 était considéré comme le meilleur canon antichar de l'époque. Auparavant utilisés pour combattre les avions ennemis, mais ont été transférés aux besoins de la lutte contre les chars ennemis, en particulier contre les chars britanniques "Matilda" et soviétiques KV-1. Aucune armure d'aucun char au monde ne pourrait résister à un tir du puissant canon antichar de 88 mm, également connu sous le nom de "Eight-Eight". Toujours rien si le poids de ce canon n'était pas de 4 tonnes. Tous les tracteurs ne pouvaient pas résister à cette arme tractée. Et encore une fois, la création d'un nouveau chasseur de chars a été entreprise non sans une entreprise bien connue - "Alquette". Cependant, il y avait un choix - installer le T-III ou le T-IV sur le châssis du char. Le nouveau canon automoteur a été construit sur le châssis d'un char moyen T-IV, l'armement, qui était le canon antichar 88-mm Pak-43. ACS, a reçu le nom "Horrias", traduit par un bourdon. Mais un peu de maniabilité n'a pas permis au nom de prendre racine. Par conséquent, ils ont changé pour "Nashorn" - un rhinocéros. 
Sd.Kfz.164
"Nashorn".
Mais encore une fois, le problème demeurait. Réservation. Le chasseur de chars "Nashorn" avait un puissant canon antichar de 88 mm. Mais l'armure n'était que de 1 cm (10 mm). Encore une fois, ouvrir le feu sur l'ennemi garantissait des tirs en retour, ce qui pouvait entraîner la destruction de l'équipage. De plus, il mesurait trois mètres ! "Nashorn", n'a pas été retiré du service, car ce canon automoteur avait des armes puissantes et était efficace en défense. Également à l'offensive, le Nashorn était un bon support de combat pour les chars de ligne qui avançaient. Au total, 500 unités ont été produites. Le canon 88-mm PAK-43 a également été installé sur des chars : "Tiger", "Ferdinand" (canons automoteurs), etc. Mais il y en avait peu, par exemple, "Ferdinands", 70 pièces ont été construites, "Tigres", 1354 pièces. 
Panzerkampfwagen
VI
"Tigre".
Installation d'artillerie automotrice "Ferdinand"
Le canon antichar allemand le plus puissant était le canon antichar 128-mm Pak-44, qui était installé sur le canon automoteur super-lourd Jagdtiger et sur le char super-lourd expérimental Maus. Il est impossible de considérer le type de chasseur de chars, qui était armé d'un puissant canon de 128 mm. Canon automoteur, avait la désignation : 12,8 cm Sfi L / 61. Cependant, les Allemands n'ont pas donné le nom de l'animal uniquement parce que deux d'entre eux ont été construits, dont l'un est allé aux soldats soviétiques. Le chasseur de chars est apparu comme ça. Lors de la création du char "Tiger", deux châssis ont été créés par des sociétés différentes : "Henschel" et "Porsche". En conséquence, le châssis de la société "Henschel" a été consacré à la création non sans les célèbres "Tigres", mais le châssis "Porsche" pour la création des "Ferdinands". Le châssis expérimenté du VK.3001 est resté inactif. Le Pak-44 pesait jusqu'à 7 tonnes, et donc ce canon n'était pas installé sur un châssis de char en mouvement, encore moins un châssis de tracteur ou un véhicule blindé de transport de troupes. Les Allemands prirent et installèrent sur deux châssis expérimentaux, un canon Pak-44 de 128 mm. 
Réception des canons automoteurs à l'usine
SPG
12,8
cm
Sfi
L
/61
capturé par l'Armée rouge à l'hiver 1943.
Au premier plan, il y a un chasseur de chars - Panzerjager
je
"
Maintenant la question. - Alors, quel est devenu le moyen le plus efficace de combattre les chars ? Bien sûr, "Sturmgeshutz". Un char d'assaut qui n'était pas du tout en troupes de chars Allemagne. Et il était uniquement destiné à soutenir l'infanterie sur le champ de bataille. Par la suite, "Sturmgeshutz", est devenu l'exemple le plus massif de véhicules blindés de la Wehrmacht. 11 500 unités ont été construites. Ce sont eux qui ont abattu le plus grand nombre de chars. Par conséquent, c'est le "Sturmgeshutz" qui peut être considéré comme le moyen le plus efficace de combattre les chars. L'histoire a été écrite à partir du 01/12/201
7
jusqu'au 26.03.2017
.
auteur
:
Betigov Denis, 14 ans.
Fin de la 1ère partie.
Armes d'assaut
En plus des chars, le commandement de la Wehrmacht souhaitait disposer d'artillerie mobile pour les opérations directement dans les formations de combat d'infanterie. Il s'agissait d'un suivi, complètement véhicules blindés conception simplifiée sans tour. Cela a permis d'économiser de l'argent, car dans ce cas, le coût de production a été considérablement réduit.
Les installations mobiles, appelées canons d'assaut (obusiers), en raison de leur faible portée de tir, étaient principalement destinées au tir direct. Ils voulaient les utiliser principalement pour l'appui-feu de l'infanterie lors d'une offensive ou pour des contre-attaques en défense. Se déplaçant sur le champ de bataille en première ligne, ils étaient censés supprimer les mitrailleuses et autres points de tir ennemis qui entravent le mouvement vers l'avant.
Des considérations ont également été exprimées selon lesquelles ces armes au front deviendraient presque le principal facteur de soutien moral du personnel des sous-unités de combat d'infanterie. Néanmoins, en raison de leur forte vulnérabilité au corps à corps (les premiers échantillons n'avaient même pas de mitrailleuse), ils avaient eux-mêmes toujours besoin d'une coopération étroite avec l'infanterie ou les chars, c'est-à-dire qu'ils avaient besoin d'une couverture directe fiable. Pour cette raison, ils n'étaient pas souvent utilisés indépendamment.
ARMES D'ASSAUT BASÉES SUR Pz Kpfw III
En 1936, la société Daimler-Benz se voit confier une tâche importante : concevoir un support d'artillerie mobile pour les opérations en formation de combat d'infanterie. Après de longues élaborations, nous nous sommes arrêtés sur un échantillon, qui est une sorte de symbiose de deux types de machines. La base a été prise du Pz Kpfw III, et l'armement principal (en calibre et en longueur de canon) est le même. comme sur le Pz Kpfw IV.
Le canon était placé directement dans la caisse, tandis que les angles de tir horizontaux étaient de 12° dans les deux sens, élévation - 20°, descente - 10°.
Un lot expérimental est apparu au début de 1940. En mai-juin, les unités participent à la prise de la France. Après un contrôle complet des conditions de combat, un ordre a été émis pour la production de quarante Gepanzerte Selbstfahrlaette fur Sturmgeschutz : 7,5 cm Kanone ou StuG III (Sd Kfz 142) par mois. En 1940, 184 ont été produites, et en 1941 - 548 voitures de modifications de A à E
Les premiers mois de la campagne contre l'URSS ont fortement posé la question de la modernisation des canons d'assaut. Sans changer l'objectif principal, il était nécessaire de leur donner la possibilité de toucher non seulement des points de tir dans les fortifications, mais également des chars. Début 1942, nouvelle série 7,5 cm Sturmgeschutz 40 ou
StuG IIIG
StuG IIIG au terrain d'essai de Kummersdorf
Schéma d'implantation StuG 40 Ausf F
Pistolet d'assaut StuG III Ausf A
Pistolet d'assaut StuG III de la première série
Pistolet d'assaut StuG III Ausf B
Pistolet d'assaut StuG 40 Ays! F
StuG 33B
StuH 42 Ausf G
Pistolet d'assaut StuG IIIG capturé utilisé par les forces américaines. La voiture utilise des écrans latéraux d'origine
Pistolet d'assaut StuG 40 Ausf F/8
Pistolet d'assaut StuG 40 Ausf G avec rouleaux porteurs tout en métal
Pistolet d'assaut StuG 40 Ausf G avec écrans articulés
Pistolet d'assaut StuG III. frappé et abandonné sur la péninsule de Zemland.
Pistolet d'assaut StuG III Ausf C avec un canon à long canon. Péninsule de Zemland, printemps 1945
StuG 40 (Sd Kfz 142/1) modification F avec un canon L/43, offrant une vitesse initiale élevée. Le poids de l'installation est passé à 21,6 tonnes.
Au milieu de la même année, il a été décidé d'augmenter l'épaisseur du blindage frontal à 80 mm, ce qui a rendu la voiture encore plus lourde et a affecté sa capacité de cross-country (modification F/8). Bientôt, un canon plus puissant de 7,5 cm L/48 y fut installé. et le poids de combat atteint 23,9 tonnes (modification G). Depuis 1943, les canons d'assaut, comme les chars, sont équipés d'écrans blindés de 5 mm contre les obus HEAT. Et enfin, une mitrailleuse de mêlée est installée.
En 1942, un petit (24 unités) est apparu, très probablement un lot expérimental de machines Sturminfanteriegcshiitz 33В ou StuG 33В. La coque de base du Pz Kpfw III Ausf F a été complétée par une toute nouvelle timonerie spacieuse avec un toit et des ailes. Un canon à canon court StulG33, une variante du canon d'infanterie lourde de 15 cm SIG33, a été installé dans un masque coulissant avec un décalage à droite de la ligne médiane.
A sa droite se trouvait une mitrailleuse de cours dans une plaque de blindage frontale de 50 (ou 50 + 30) mm d'épaisseur, inclinée d'un angle de 10° par rapport à la verticale.
Ces armes d'assaut ont été conçues pour détruire les structures permanentes et les bâtiments de la ville. Deux sociétés ont été formées à partir d'eux. Le premier fut envoyé à Stalingrad en novembre, et le second, faisant partie du 201e régiment de la 23e Panzer Division, participa à une tentative de déblocage de la 6e armée allemande encerclée là-bas. Leur sort ultérieur est inconnu.
Avant même que les combats ne commencent le front de l'est l'expérience des combats a montré que la puissance d'un projectile hautement explosif de 7,5 cm n'était pas toujours suffisante pour détruire de nombreuses cibles.
À l'été 1941, une commande a suivi pour un échantillon avec l'obusier léger de campagne leFH18 de 10,5 cm. Le prototype était prêt en mars de l'année suivante, et en octobre la production en série a commencé à l'usine d'Alquette.
À l'été 1943, ils ont réussi à construire et à envoyer 6 8 unités d'équipement militaire aux groupes d'armées se préparant à l'offensive décisive près de Koursk. En février 1945, 1212 obusiers d'assaut Sturmhaubitze 42 ou StuH 42 (Sd Kfz 142/2) furent produits.
La coque et la superstructure sont les mêmes que celles du StuG 40 Ausf F (F/8). La seule différence était le schéma d'installation du canon et la disposition du râtelier à munitions pour le chargement séparé des obus d'artillerie.
Il existe des modifications connues du StuG III dans d'autres variantes d'équipement militaire. Par exemple, en 1943, juste à temps pour l'offensive d'été, 10 StuG III Ausf G (Flamm) sont entrés dans une unité de chars de première ligne. Sur les canons d'assaut, ils ont simplement remplacé l'armement principal par un lance-flammes.
ARMES D'ASSAUT BASÉES SUR Pz Kpfw IV
La série d'armes lourdes d'assaut pour la destruction de structures et de bâtiments défensifs à long terme en septembre 1942 a été poursuivie par les firmes Krupp Gruzon et Alquette. Leur projet commun, dans lequel le premier représentait la base Pz Kpfw IV et le second - la timonerie, a été approuvé. Depuis avril de l'année suivante, la production du char d'assaut "Brummbar" - Sturmpanzer IV "Brummbar" (Sd Kfz 166) a commencé à l'usine de la société Deutsche Eisenwerke. Jusqu'en mars 1945, 298 véhicules ont été produits et huit autres ont été convertis à partir de chars de ligne.
Char d'assaut "Brummber" de la série tardive
Char d'assaut Slurmpanzer IV "Brummbar" série tardive
Capturé par les troupes américaines Sturmpanzer IV "Brummbar" dans une rue de Rome
Char d'assaut Slurmpanzer IV "Brummbar". Italie, 1944
Char d'assaut Sturmpanzer IV "Brummbar" premières séries
Char d'assaut Sturmpanzer IV "Brummbar" série tardive
Un obusier StuH43 de 15 cm à canon court présentant les caractéristiques du canon SIG33 a été installé dans le vantail frontal de la cabine spacieuse dans un masque à boule. Angle d'élévation 30°, angles de guidage horizontaux 10° gauche-droite. Les véhicules ultérieurs étaient équipés d'une mitrailleuse.
Au cours de toute la période de son existence, les "Brummbers" ont été modernisés à trois reprises. Sur les modifications du Pz Kpfw IV Ausf E et F, ainsi que les 52 premières installations, le blindage frontal de 50 mm de la timonerie (avec une inclinaison de 40° par rapport à la verticale) a été renforcé par une plaque supplémentaire de même épaisseur sur boulons . Ensuite, le conducteur a reçu un périscope au lieu d'une fente d'observation avec des volets blindés (le même que sur les Tigres). L'obusier a également été remplacé par le modèle plus avancé StuH43 / 1. Et, enfin, à partir de juin 1944, la timonerie avec une mitrailleuse montée sur boule dans la feuille frontale de droite à haut a été quelque peu modifiée. Une coupole de commandant unifiée et une mitrailleuse anti-aérienne sur un pivot sont apparues sur son toit.
Comme prévu, les Brummbers entrèrent dans leur première bataille au Kursk Bulge. En juillet, sur 45 véhicules, 17 sont perdus.En phase défensive (pour les Allemands) de la bataille, leur utilisation est injustifiée, et les canons automoteurs sont retirés de ce secteur du front.
Un peu plus tard (en octobre), ils sont apparus près de Zaporozhye, puis ont finalement été transférés sur d'autres théâtres de guerre en Europe, en particulier en Italie.
Parallèlement, la question de savoir comment installer la timonerie et la superstructure du StuG III sur le châssis du Pz Kpfw IV était en cours d'élaboration. Après des essais réussis en décembre 1943, il est décidé de confier la production de ce type de canons d'assaut à la société Krupp-Gruzon qui, à partir de janvier 1944, bascule complètement vers la construction d'unités uniquement automotrices. Jusqu'à la fin de la guerre, 1108 Siurmgeschutz IV (Sd Kfz 167) ou StuG IV (7,5 cm StuK 40 L / 40) ont été produits, et 31 autres ont été convertis à partir de chars.
Le châssis Pz Kpfw IV et la superstructure StuG III étant complètement préservés, le conducteur était placé dans une petite timonerie blindée séparée avec un toit ouvrant et deux dispositifs périscopiques. Devant lui et devant la partie frontale de la timonerie principale, une plaque de protection en béton de 15 cm d'épaisseur a été en outre installée. Depuis l'été 1944, le SPG était équipé d'une mitrailleuse télécommandée et d'une arme de mêlée S. sur le toit de la timonerie. En général, ces canons automoteurs devraient plutôt être considérés comme une arme antichar pour les unités d'infanterie.
Mortier automoteur d'assaut "Sturmtiger"
Mortier automoteur d'assaut "Sturmtiger"
MORTIER TEMPÊTE BASÉ SUR Pz Kpfw VI
Pour combattre dans les conditions spécifiques de la ville, 18 Tigres de ligne d'août à décembre 1944 ont été convertis en mortiers automoteurs d'assaut assez originaux 38cm RW61 auf Sturmmorser "Tiger" ou simplement "Sturmtiger". La désignation le long de la ligne de contrôle des armements n'a pas été attribuée.
Ayant presque tout conservé du véhicule de base, au lieu d'une tourelle, ils reçurent une timonerie fixe constituée de plaques de blindage de différentes épaisseurs et inclinaisons : 150 mm (45°) dans la partie frontale et 80 mm (30°) le long des côtés. La poupe était également recouverte d'un blindage de 80 mm.
L'embrasure, décalée à droite de la ligne médiane, abritait un mortier de 38 cm, et en fait, un lance-roquettes. À droite de celui-ci se trouvait une mitrailleuse MG34 dans un support à boule, à gauche se trouvait la fente d'observation du conducteur.
Le mortier avait un angle d'élévation allant jusqu'à 85 °. Le "Shturmtiger" s'est approché de la cible avec un mortier dans une position telle que les obus ou fragments ennemis aléatoires ne tomberaient pas dans un énorme museau et n'endommageraient pas le missile ou le boulon. La charge de munitions était de 14 missiles, placés sur des racks des deux côtés du lanceur. La portée de vol d'un projectile de fusée pesant 345 kg (y compris la charge explosive représentait 125 kg) atteignait 4600 m (selon d'autres sources - 5600 m).
Fabrication de véhicules blindés. Armes d'assaut
| Nom de l'échantillon | 1910 | 1941 | 1942 | 1943 | 1914 | 1945 | Le total: |
| StuG III avec canon de 7,5 cm L / 24 | 184 | 548 | 90 | 822 | |||
| StuG III avec canon 7,5 cm U43 ou L/48 | 99 | 2011 | 3840 | 864 | 7814 | ||
| StuG IV | 31 | 1006 | 102 | 1138 | |||
| StuG M42 (i) et M43 (i) | 244 | 22 | 260 | ||||
| StuG 33B | 24 | 24 | |||||
| StuH 42 | 10 | 204 | 903 | 95 | 1212 | ||
| Stupz IV | 66 | 215 | 17 | 296 | |||
| LE TOTAL | 184 | 448 | 223 | 3312 | 6208 | 1100 | 11 575 |
StuG III Ausf F/B
StuG IIIG capturé par les Alliés en Italie.
StuG III Ausf B
SluG IIIG.
StuG IIIG
CARACTÉRISTIQUES DE COMBAT ET TECHNIQUES DES UNITÉS D'ASSAUT ALLEMANDES
| StuG III Ausf B | StuG III Ausf G | StuH 42 | StuG 33B | StuG IV | StuPz "Brummbar" | |
| Année d'émission | 1940 | 1942 | 1912 | 1941 | 1913 | 1913 |
| Poids de combat, kg | 20200 | 23900 | 24000 | 21000 | 23000 | 28200 |
| L'équipage, les gens | 4 | 4 | 4 | 5 | 4 | 5 |
| DIMENSIONS DE BASE | ||||||
| Longueur du corps, mm | 5400 | 5490 | 5590 | 5400 | 5930 | 5890 |
| Longueur avec pistolet vers l'avant, mm | - | 6770 | 6140 | - | 6700 | - |
| Largeur, mm | 2930 | 2950 | 2950 | 2X0 | 2950 | 2880 |
| Hauteur, mm | 2980 | 2160 | 2160 | 2390 | 2200 | 2520 |
| PROTECTION : Epaisseur des plaques de blindage, mm (angle d'inclinaison par rapport à la verticale, deg.) | ||||||
| Partie frontale du corps | 50(21) | 50+30(21) | 80(21) | 50+30(21) | 80(14) | 80(12) |
| Côtés de coque | 30(0) | 30(0) | 30(0) | 25(0) | 30(0) | 30 et 50 (0 et 15) |
| Front de coupe | 50(10) | 50+30(10) | 80(10) | 80(10) | 80(10) | 100(40) |
| Toit et fond de coque | 17 et 16 | 17 et 16 | 17 et 16 | 17 et 16 | 17 et 10 | 20 et 10 |
| ARME | ||||||
| Marque de pistolet | StuK37 | StuK40 | StuH42 | StulG33 | StuK40 | StuH43 |
| Calibre en mm (longueur du canon en clb) | 75(24) | 75(48) | 105(28) | 150(11) | 75(48) | 150(12) |
| Fourniture de munitions, coups de feu, pcs. | 44 | 51 | 36 | 30 | 63 | 38 |
| Le nombre de mitrailleuses et leur calibre, mm | - | 1-7,92 | 1-7,92 | 1-7.92 | 1-7,92 | 1-7.92 |
| Munitions, cartouches, pcs. | - | 600 | 600 | 600 | 600 | 600 |
| MOBILITÉ | ||||||
| Moteur, type, marque | Maybach HL120TRM | Maybach HL120TRM | Maybach HL120TRM | Maybach HL120TRM | Maybach HL120TRM | Maybach HL120TRM |
| Puissance du moteur, ch Avec. | 00 | 00 | 300 | 00 | 300 | 300 |
| Vitesse maximale sur autoroute, km/h | 40 | 40 | 40 | 20 | 38 | 40 |
| Capacité de carburant, l | 310 | 310 | 310 | 310 | 430 | 470 |
| Croisière sur l'autoroute, km | 160 | 155 | 155 | 110 | 210 | 210 |
| Pression moyenne par lb, kg / cm 2 | 0.93 | 0.93 | 0.94 | 0,93 | 0.80 | 1,00 |
Armes capturées Avril est arrivé; Poursuivant l'offensive dans la région de Kirovograd, nous avons traversé Ingul, le Bug du Sud, chassé les nazis de la gare de Vesely Kut et nous sommes précipités vers le Dniestr. L'ennemi a laissé une ligne de défense après l'autre. Et maintenant, sous notre pression, les Allemands sont partis
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En juin 1936, le haut commandement allemand décide de lancer la production de véhicules blindés mobiles de soutien armés d'un canon de 75 mm. La société Daimler-Benz était engagée dans la fabrication du châssis et des boîtes blindées, et Krupp a fourni le canon à canon court de 75 mm avec un masque.
Le premier lot de pré-production de 5 véhicules a quitté l'atelier déjà en 1937. Ils ont utilisé un châssis légèrement modifié comme base. char PzKpfw III modification B. La tourelle de commandement fixe et blindée à profil bas et non rotative abritait un canon StuK 37 L / 24 de 75 mm avec 40 cartouches. Moteur Maybach HL 108TR, 250 ch a permis à l'ACS de développer une vitesse de 20 ... 25 km/h.
Ces canons d'assaut n'étaient pas utilisés au combat, car leur coque blindée était en acier ordinaire. Après des essais sur le site d'essai de Kumersdorf, ils sont transférés à l'École d'artillerie, où ils sont utilisés comme véhicules d'entraînement jusqu'au début de 1941.
Sturmgeschutz III Ausf A-B
En février 1940, le premier lot de 30 canons d'assaut quitte les portes de Daimler-Benz. Les canons automoteurs de série différaient principalement des prototypes châssis et le moteur.
Ils étaient fabriqués sur la base du char PzKpfw III Ausf E / F et emportaient un moteur Maybach HL 120 TR et un blindage frontal jusqu'à 50 mm d'épaisseur. Depuis le 28 mars 1940, ces canons automoteurs portaient le nom de "Gepanzerte Selbstfahrlafette fur Sturmgeschutz 7,5 cm Kanone (SdKfz 142)", ou "7,5 cm-Sturmgeschutz III (en abrégé - StuG III) Ausf A" Quatre batteries de ces Les canons automoteurs ont pris part aux combats en France et ont reçu une réponse positive du commandement et de la base de la Wehrmacht.
Bientôt, la production en série de l'ACS a été transférée de la société Daimler-Benz à l'Almerkish Kettenfabrik (Alkett) et le canon d'assaut a été soumis à des modifications constructives, entraînant la modification Ausf B. Les 8 premiers véhicules qui ont émergé des portes d'Alkett ont été construit sur le châssis non transformé des réservoirs linéaires et conservé les trappes d'évacuation latérales. Cependant, la série est allée aux véhicules de combat avec une base convertie. Cette modification ne différait pas beaucoup de l'Ausf A, tout aussi peu différaient par leurs capacités de combat.
Le Stug III Ausf B a participé à un petit nombre d'affrontements militaires dans les Balkans, mais de graves batailles les attendaient à l'été 1941. Les derniers combats avec la participation de StuG III Ausf A et Ausf B ont eu lieu en 1942-43. pendant l'opération de Stalingrad. A l'école d'artillerie, plusieurs canons d'assaut « ont survécu » jusqu'en 1944.
Sturmgeschutz III Ausf C-D
Au début de 1941, la Wehrmacht est entrée en service avec un nouveau modèle - StuG III Ausf C, qui différait du nouveau design précédent de l'avant de la timonerie. Dans ce modèle, la lunette de visée à canon télescopique, pour le retrait de l'objectif dont une embrasure spéciale était requise, qui fragilisait le vantail frontal de la cabine, a été supprimée au profit du périscope, dont l'objectif était affiché à travers le toit. Cela a amélioré la résistance du blindage frontal et rendu la coque plus facile à fabriquer.
La modification a été effectuée pendant une courte période - jusqu'en mai 1941 et a été rapidement remplacée par la suivante - Ausf D, extérieurement presque identique, mais portant les unités du PzKpfw III Ausf H. Soit dit en passant, même dans les documents officiels allemands sur la production et l'utilisation de canons d'assaut, ces modèles sont souvent appelés StuG III Ausf C / D.
Ces machines reçurent le baptême du feu lors des batailles de l'été 1941, mais en hiver elles étaient très peu nombreuses. Avec le début de la production de canons d'assaut armés d'un canon à long canon, l'Ausf C-D réparé a également subi un réarmement et a été utilisé dans une mesure limitée dans des batailles défensives jusqu'en 1945.
Sturmgeschutz III Ausf E
La dernière modification du StuG III, armée d'un canon court de 75 mm, est apparue à l'automne 1941. Sa création n'a pas été causée par le désir d'améliorer les capacités de combat des canons d'assaut. Simplement, de l'avis du commandement allemand, un véhicule de combat spécial des commandants des divisions d'assaut avait un besoin urgent. Pour loger l'équipement nécessaire au commandant de l'ACS, les biseaux de blindage supplémentaire le long des côtés de la timonerie ont été supprimés, la boîte blindée de l'aile gauche, destinée à l'installation d'une station radio standard, a été considérablement augmentée, et pour une station radiotélégraphique supplémentaire, la même caisse blindée apparaissait symétriquement sur le côté droit du véhicule.
Cependant, il s'est avéré qu'après quelques simplifications technologiques de la coque, le coût de l'Ausf E est devenu inférieur à celui de ses prédécesseurs et que le volume accru du compartiment de combat a permis d'emporter "à bord" plus de munitions. La machine a été lancée dans la production de masse en tant que machine linéaire. Contrairement à l'Ausf C-D, avec l'avènement des canons à canon long StuK 40, ces canons automoteurs n'ont pas été "retirés" et ont été utilisés comme véhicules de commandement et de reconnaissance jusqu'à la fin de la guerre.
Sturmgeschutz 40 Ausf F
Les batailles sur le territoire de l'URSS ont montré la faible efficacité des canons à canon court contre le blindage des chars soviétiques. Seule la tactique illettrée d'utilisation de chars par l'Armée rouge au début de la guerre a permis à la Wehrmacht de garder longtemps l'initiative dans la confrontation des chars. Mais déjà en 1942, la situation a changé et les troupes allemandes ont été confrontées à la question aiguë de l'efficacité insuffisante des armes antichars.
Le 28 septembre 1941, Hitler, par ordre spécial, demanda d'augmenter la puissance des armes des chars et de créer des canons automoteurs antichars. Le StuG III bien maîtrisé était le mieux adapté pour une conversion en chasseurs de chars. Retour en 1940-41. plusieurs échantillons de canons longs ont été fabriqués pour lui par la société Krupp, mais ils n'ont pas été acceptés en service. Ce n'est qu'avec l'apparition du pistolet Rheinmetall StuK 40 L / 43 en décembre 1941 que ce processus est arrivé à une conclusion logique. La production en série du StuG III Ausf F né de cette manière a déjà commencé en mars 1942. Ensuite, ils ont reçu une nouvelle désignation "Sturmgeschutz 40 Ausf F (SdKfz 142/1)".
Sturmgeschutz 40 Ausf G
Le modèle final - "Sturmgeschutz 40, Ausf G", est sorti en 1943 et a été produit en série jusqu'à la fin de la guerre. Portant un canon d'une longueur de canon de 48 klb, il différait de ses prédécesseurs par une tourelle de commandement plus simple, la présence d'une coupole de commandant, des munitions accrues et un certain nombre d'autres améliorations conçues pour simplifier le processus de production en série. Les premiers véhicules de la série portaient encore un blindage frontal de 50 mm, mais à l'été 1943, il était renforcé par des plaques articulées de 30 mm d'épaisseur. De nombreux véhicules ont également reçu des écrans latéraux à charnière comme moyen de protection contre les obus HEAT et les balles de fusil antichar. Depuis l'été 1943, les StuG 40 Ausf G de série sont recouverts d'un revêtement antimagnétique - "zimmerite".
En 1944, les troupes ont commencé à recevoir le StuG 40 avec un nouveau masque de canon simplifié. Pour ses contours caractéristiques, ce masque a été nommé "Saukopfblende" (buse - museau de porc).
Sturmgeschutz IV
A l'automne 1943, lorsque, après le bombardement massif des usines d'Alquette en Allemagne, la question se posa sur l'impossibilité de produire le nombre requis de canons d'assaut, le StuG III / StuG 40 avait un parent, le StuG IV.
Lors du développement de l'ACS, réalisé par des spécialistes des entreprises Krupp et Eisenwerke, une tourelle de commandement StuG 40 Ausf G avec une cabine de conduite nouvellement conçue a été installée sur le châssis du char PzKpfw IV Ausf G. Ainsi, il a été possible de réduire le développement d'un nouveau système d'artillerie automotrice et de le lancer en production de masse. Nouvelle voiture reçu le nom de "Sturmgeschutz IV (SdKfz 163)". La taille de l'équipage est restée la même que celle de l'ancien modèle - 4 personnes, mais la charge de munitions du canon est passée à 63 cartouches. Le StuG IV était en production de masse de l'automne 1943 à l'automne 1944, date à laquelle il fut remplacé par le SPG antichar Jagdpanzer IV.
La voiture s'est avérée avoir moins de succès que la StuG 40 en raison du prix nettement plus élevé et de l'intensité de la main-d'œuvre de fabrication. De plus, ceux qui se sont battus dessus ont noté la pire douceur, mais avec une plus grande réserve de marche.