Le poisson-globe est considéré comme l'un des plus poisson venimeux sur la planète. A essayer qui est recherché par plus d'une dizaine de personnes. En quête de sensations fortes, nombreux sont ceux qui sont prêts à s'aménager grosse somme... Alors pourquoi ce petit poisson est-il dangereux ? Ce petit poisson fugu contient un poison mortel appelé tétrodotoxine. Ce poison est capable de bloquer les terminaisons nerveuses, provoquant une paralysie du système respiratoire, des convulsions, une immobilité complète. Une personne dans le corps dont le niveau de poison de fugu est dépassé semble très peu attrayante. Lèvres bleues, écume de la bouche dans les yeux, peur d'une mort inévitable et ne pas pouvoir bouger en général, le tableau n'est pas des meilleurs. Et le pire, c'est qu'il n'y a pas d'antidote. Dans de tels cas, il n'est possible de sauver le misérable que s'il est soumis à une ventilation artificielle des poumons et à une circulation sanguine forcée. Dans cette position, maintenez le petit homme jusqu'à ce que le poison cesse d'agir. Mais malgré une perspective aussi peu joyeuse, il y a plus qu'assez pour être dans la balance de la mort.
Le poison se trouve dans presque tous les poissons, de la peau aux arêtes. Afin de bien préparer une telle délicatesse, les chefs passent école spéciale et doit confirmer annuellement sa connaissance du droit de cuisiner du poisson-globe. Si vous savez comment cuisiner correctement un plat aussi dangereux, alors vous serez toujours, ou plutôt ne serez jamais laissé sans travail.
Alors, que mangent-ils là-bas, si tous les poissons sont pratiquement venimeux. Oui, sans aucun doute le poisson est venimeux, mais 
il y a des endroits où la concentration du poison n'est pas grande. Fondamentalement, la plus grande quantité de poison se trouve dans le foie, le caviar et la peau de ce poisson. Tout le reste peut être mangé. Dans les temps anciens, il y avait une telle tradition dans les restaurants au Japon que si un visiteur mourait d'un poisson Fugu mal cuit, le chef était obligé de manger également le même plat ou de se suicider rituellement. Telles sont les coutumes. Mais maintenant que nous vivons dans une société civilisée, les chefs ne se suicident pas et ne mangent plus de poisson empoisonné. Depuis 1958, tout chef cuisinier qui veut passer par une licence obligatoire a le droit de cuisiner du poisson-globe.
Interdiction totale de la pêche au ballon introduite
En raison du fait que les cas d'empoisonnement au Japon sont devenus plus fréquents en 2002, une interdiction a été introduite sur la capture de puffer. Mais encore aujourd'hui, on le trouve facilement sur les comptoirs des marchés aux poissons, ainsi que dans les menus des grands restaurants. grandes villes Japon.
Peut-être que maintenant je vais faire une découverte colossale pour vous, ou peut-être l'avez-vous déjà deviné vous-même. Il n'y a pas de poisson-globe dans les océans du monde, c'est juste le nom d'un plat. Et ils le cuisinent à partir de ce petit poisson appelé Skalozub ou Pufferfish. Ce poisson vit dans les eaux des océans Pacifique et Indien, dans la zone côtière. Pour la préparation du Fugu, on prend le plus souvent un puffer marron. Mais ce n'est pas le seul représentant de cette espèce de telles espèces, il y a environ 120 pièces.
Le puffer est parfois appelé roussette. Au fil des ans, ce petit poisson, et il est vraiment petit, jugez par vous-même, la longueur maximale de ce poisson n'a été enregistrée que de 60 cm, mais la plupart des individus ne dépassant pas 35-40 cm deviennent des proies pour les pêcheurs. a appris à vivre non seulement dans eau de mer... De plus en plus, ils ont commencé à le rencontrer dans les plans d'eau et les rivières dessalés. Et il n'y a pas si longtemps, on a appris que les scientifiques avaient appris à élever artificiellement ce poisson. Et le poisson cultivé dans un environnement artificiel ne contient aucun poison, mais reste toujours aussi savoureux. poisson de merélevé dans environnement naturel un habitat. Le poisson-globe accumule tout le poison au fil des ans, se nourrissant d'aliments toxiques, ce sont des étoiles de mer, des mollusques et de petits invertébrés.
Avant de préparer le fugu, le chef doit savoir pour qui il prépare le plat.
Avant de servir un plat de ce poisson à votre table, le chef doit d'abord rencontrer le client afin de prendre en compte votre teint, nationalité et votre état de santé, le chef prend toutes ces informations en compte lors de la préparation d'un plat appelé poisson-globe. En règle générale, ce plat se compose d'une série de plats où le poisson est préparé de différentes manières, il est servi frit, salé, sous forme de soupes ou servi avec une sauce spéciale. Parfois, les chefs professionnels prennent un petit risque et laissent une petite quantité de poison dans le plat. Mais pas grand-chose, de petite dose tes lèvres se mettent à picoter et de là l'adrénaline monte jusqu'à la chapelle.
Le poisson fugu est un plat très toxique
Au cours de la période 2004-2007, 15 décès ont été enregistrés sur la planète. Et 115 personnes ont été hospitalisées. En 2009, 7 personnes ont été mortellement empoisonnées dans la seule ville de Tsuruoka (Japon).
Photo de poisson-globe
Si après tout ce que vous avez lu, vous n'avez pas perdu l'envie de goûter le poisson fugu. Ensuite, je m'empresse de vous prévenir que tous les clients ne seront pas cuisinés par le chef du vrai poisson fugu. Vous devez être prêt pour ce plat à la fois mentalement et physiquement. Et ce plat ne vaut pas peu d'argent. Préparez-vous pour beaucoup d'argent avant d'essayer le poisson-globe. Comme le dit le classique, ce plat est pour les vrais amateurs de sensations fortes. Et n'essayez pas de cuisiner un tel plat pour vous-même, après avoir lu des recettes sur Internet, rappelez-vous qu'aujourd'hui l'humanité n'a pas encore été en mesure de développer un antidote, et vous aurez le temps de le prendre vryatli, car la dose mortelle de poison est si petit et la réaction est si fugace qu'il est temps de le faire, vous n'avez pas besoin d'appeler une ambulance.
Fugu - poisson de la famille des puffers (Tetraodontidae) contenant le poison tétrodotoxine. Nous avons un nom commun "fish-dog" ou "fish-ball". Ceux qui souhaitent attraper ce poisson devront lancer leur canne à pêche dans l'atlantique, indien ou océan Pacifique... Fugu préfère rester autour des îles et des récifs coralliens. Le poisson se déplace lentement dans l'eau et, s'il le souhaite, peut nager la queue en avant. En heurtant un objet inconnu ou en cas de danger, il aspire brutalement un grand volume d'eau, et de ce fait il devient 3 fois plus, prenant la forme d'une boule.
Le poisson-globe est " carte de visite»Cuisine japonaise extrême. Beaucoup de gens considèrent ce poisson comme très venimeux, et ils ont vraiment raison, car le poison est collecté sur un adulte ce poisson est capable de tuer 40 personnes. La tétrodotoxine est un poison nerveux qui est 1200 fois plus puissant que le cyanure de potassium. Le processus de cuisson du poisson pour l'alimentation est réduit à une diminution significative de la teneur en poison à une concentration acceptable. Cependant, il n'existe toujours pas d'antidote efficace en cas d'empoisonnement. La seule chance de salut est l'entretien artificiel des voies respiratoires et système circulatoire avant la cessation de l'action du poison, l'essentiel est d'appeler la réanimation à temps.
Les Japonais adorent manger du poisson-globe depuis longtemps. Pour préparer des plats de poisson-globe, le chef doit réussir deux examens (écrit et pratique) et obtenir une licence. En 1598, une loi a été adoptée au Japon obligeant tous les chefs qui préparent du fugu à obtenir une licence d'État pour cela. Le candidat doit bien connaître des dizaines de types de fugu et être capable d'appliquer dans la pratique plusieurs moyens de réduire la concentration de poison dans les poissons. Une licence pour cuisiner du poisson ne peut être obtenue qu'après avoir mangé ce que l'étudiant a pu cuisiner à l'examen.
Traitement du poisson-globe avant la cuisson
Le traitement du poisson avant la cuisson est un processus assez compliqué. La compétence principale est de couper rapidement le poisson sans l'endommager les organes internes dans lequel le poison est concentré. Ensuite, la chair de poisson est lavée à l'eau courante et servie magnifiquement sur un plateau. Les prix des plats de poisson-globe varient de 100 $ à 400 $. Aujourd'hui, dans n'importe quelle grande ville du Japon, vous pouvez trouver un grand nombre de restaurants proposant des spécialités « mortelles ». Malgré les statistiques de victimes d'avoir mangé ce poisson mystérieux Lors de l'achat d'un plat dans un restaurant cher et bien établi, le risque d'empoisonnement est minime. Mais il existe toujours ! C'est peut-être ce qui rend le poisson-globe si populaire. Une compétence particulière parmi les cuisiniers est la capacité de laisser une très petite quantité de poison dans le poisson, ce qui peut provoquer une légère intoxication narcotique.
Si nous parlons d'empoisonnement, alors selon les statistiques, environ 50 Japonais meurent chaque année en mangeant du fugu, bien qu'il soit correct de dire de l'incapacité de bien cuire ce poisson. Fondamentalement, les victimes sont des pêcheurs qui essaient de cuisiner du poisson à la maison, pris accidentellement dans leurs filets, ou des personnes trop riches et sûres d'elles qui, pour une récompense supplémentaire, persuadent les cuisiniers de cuisiner pour eux la partie la plus tendre du poisson - le foie de fugu. La concentration maximale de poison est concentrée dans le foie et en mangeant le foie, vous courez déjà un risque très grave.
Poisson-globe sans poison ?
On pense que si vous cultivez artificiellement du poisson-globe, vous pouvez éviter l'accumulation de poison dans son corps. Ceci est réalisé en changeant le régime d'alimentation. Des études ont confirmé que l'accumulation de poison tétrodotoxine se produit lorsque les poissons vivent dans leur environnement naturel. Cependant, les traditions japonaises et les intérêts commerciaux ce problème restent plus forts aujourd'hui.
Une parabole japonaise dit : "Celui qui mange du fugu est un imbécile, mais celui qui ne mange pas est aussi un imbécile." Mourir du poison du fugu est une mort belle et tout à fait digne pour un Japonais.
23 avr. 2010 Marina
Le poisson-globe est un plat national des Japonais avec une histoire millénaire et un dépaysement incroyable pour les touristes. La spécificité de cette délicatesse de la cuisine japonaise est qu'après avoir goûté un tel poisson, vous risquez de ne pas être à la hauteur du nouveau jour. Selon les statistiques, chaque année au Japon, jusqu'à 30 cas d'empoisonnement à ce plat exotique sont recensés, dont 60% finissent très mal. Le poisson lui-même n'est pas toxique, mais son intérieur contient du poison, qui est bien plus dangereux que de nombreuses autres substances vénéneuses. Une partie du poison, qui pourrait bien être fatal, est facile à obtenir même avec le contact habituel de l'intérieur de ce poisson, et un fugu est capable d'envoyer près de cinquante personnes dans l'autre monde.
Délice céleste égal à la mort
L'une des raisons de ce jeu particulier avec la mort est le goût exquis du plat de fugu. Les filets de poisson frais sont coupés en morceaux et consommés crus, trempés dans une sauce spécialement préparée, ce qui ajoute du piquant supplémentaire à ce plat. Des rayures de poisson qui ressemblent à leurs apparence des assiettes de bacon translucides, ont un goût plus proche de la viande de poulet que du poisson et fondent simplement dans la bouche. Mais pour ce plaisir céleste, la rétribution peut s'avérer excessivement élevée.
Le service du plat correspondra également à toutes les traditions exquises des Japonais, qui s'efforcent d'exprimer leur attitude envers la beauté en tout, y compris dans la conception des aliments. Le sashimi fugu sera disposé sur un plat rond en forme de composition symbolique ou de paysage. Cette soupe de poisson est ensuite censée être servie. Les ailerons de fugu sont frits jusqu'à ce qu'ils soient carbonisés et saupoudrés de saké, qui est servi avec le plat principal de ce poisson.
Mais un tel amour accru pour un repas qui ressemble davantage à la roulette russe n'est pas seulement conditionné par le goût. Le plat de poisson-globe est considéré comme une sorte de carte de visite, démontrant le prestige de son propriétaire à tout le monde, car il est très cher. Inviter les Japonais à dîner avec un tel plat est un geste large, car une portion de " mort probable ou le plaisir céleste " coûtera au moins 500-750 $. De plus, pendant longtemps, le plat traditionnel de poisson fugu pour les Japonais a servi de symbole d'intrépidité et d'une délicatesse qui n'est disponible que pour quelques privilégiés.
Un art culinaire qui ne pardonne pas les erreurs
Les prix exorbitants du fugu dans les restaurants japonais ne sont pas liés à la rareté de ce poisson (il y en a juste assez dans ces régions), mais à la complexité de sa préparation spécifique. La préparation du fugu ne peut être confiée qu'à un spécialiste certifié qui pendant longtemps apprend l'art de cuisiner ce plat national de la cuisine japonaise et passe des examens difficiles pour obtenir le droit de le cuisiner. Tout est si difficile, car le poisson doit être coupé de manière à ce que l'intérieur reste complètement intact et qu'aucune goutte de poison ne pénètre dans le plat préparé à partir de ce poisson difficile, car même le plus petit oubli peut coûter la vie à quelqu'un. Il faut environ 2 ans pour étudier, et à l'examen final, le futur maître de la cuisine fugu doit couper le poisson en 20 minutes et le servir à table.
Dans les temps anciens, les Japonais ne dédaignaient pas particulièrement d'envoyer aux ancêtres après les gens qui avaient goûté le poisson empoisonné et le cuisinier lui-même, qui s'était trompé. Désormais, les temps sont plus civilisés et la mort du chef n'est peut-être pas menacée, mais la fin de sa carrière culinaire est inévitable dans ce cas. Cependant, dans les restaurants modernes au Japon, vous pouvez déguster du poisson fugu sans craintes particulières, mais les cas d'empoisonnement ne sont pas rares lorsque des autodidactes qui souhaitent cuisiner ce poisson à la maison se chargent de la tâche.
En esprit meilleures traditions samouraï
L'attitude japonaise envers la mort est, en principe, différente de l'opinion des Européens en la matière. C'est peut-être pour cette raison qu'ils traitent les poissons-globes avec leur attitude philosophique... Un vrai samouraï ne devrait pas avoir peur de la mort, par conséquent, goûter au poisson fugu peut être considéré comme le devoir d'un vrai samouraï, dont l'esprit vit dans le sang de chaque Japonais. Et la mort d'un tel repas est souvent assimilée à la mort sur le champ de bataille, la considérant comme le plus grand honneur et la capacité de mourir magnifiquement, avec goût.
Le foie le plus toxique est le fugu, dont il est strictement interdit de servir dans les restaurants japonais, mais les chefs n'osent pas contredire les clients particulièrement exigeants. Un des plus cas connus l'empoisonnement au poisson-globe, qui s'est produit en 1975, est associé à acteur connu théâtre kabuki traditionnel japonais, qui s'est terminé fatalement. Le talentueux acteur s'est commandé trois fois un foie de fugu, et pour la quatrième fois (il est à noter que 4 pour les Japonais est similaire au fatal 13 pour les Européens), le jeu avec la mort s'est terminé en sa faveur.
Le goût de la vie et de la mort dans un seul plat
Quel que soit le soin avec lequel les cuisiniers japonais préparent le fugu, même avec le traitement le plus parfait, une certaine infime fraction du poison y reste, qui agit sur le mangeur comme une drogue, complétant ainsi l'effet de savourer le plat, l'amenant à une véritable euphorie . Les vrais gourmets qui ont goûté au goût du poisson-globe prétendent qu'au fur et à mesure qu'ils sont consommés, poisson exotique une sensation d'engourdissement progressif et complet se propage - des mains et des pieds à la langue, mais après un moment, toutes les sensations habituelles reviennent. Pour le plaisir de cet effet, beaucoup décident d'essayer le fugu, car l'intérêt de la roulette russe est inépuisable : soit un effet tueur temporaire, soit un véritable empoisonnement. Cette jeux d'argent entre la fine ligne de l'être et du non-être, qui va parfois exactement vers ce dernier.
Le fugu est une véritable légende de la cuisine japonaise qui suscite un vif intérêt, combiné à une bonne dose de peur et une montée d'adrénaline pour les Occidentaux moins philosophes sur la mort. Les Japonais, qui ont même immortalisé ce poisson dans un monument d'un des parcs de Tokyo, soutiennent que ceux qui n'ont jamais goûté de fugu sont des imbéciles, mais ceux qui en ont goûté sont aussi des imbéciles. Mangez un fugu - vous pouvez de manière inattendue aller chez les ancêtres, vous n'avez jamais mangé - vous ne savez pas ce que c'est que de marcher sur le fil du rasoir, ce qui signifie que vous n'êtes pas un vrai samouraï. C'est la philosophie controversée de la cuisine japonaise.
Un proverbe japonais bien connu dit : « Un idiot qui mange du poisson-globe, mais qui n'en mange pas, est encore plus idiot. Le poisson-globe a beaucoup d'autres noms - fahak, dioodonte, poisson-globe et chien. Non seulement les plats les plus délicieux et les plus chers de la cuisine japonaise en sont préparés, mais aussi des plats mortels.
Le poison de poisson-globe auquel il n'y a pas d'antidote
Un déjeuner complexe à base de poisson-globe coûte environ mille dollars. Pour ce montant, vous pouvez à la fois vous régaler de délices exquis et mourir douloureusement. Le fait est que ce poisson contient un poison mortel à action neuroparalytique - la tétradotoxine. Il est 400 fois plus toxique que la strychnine et 10 fois plus dangereux que le curare. Un seul poisson peut tuer plus de 35 personnes. Un empoisonnement mortel peut être obtenu même en touchant simplement les entrailles particulièrement venimeuses d'un poisson-globe. La tétradotoxine paralyse tous les muscles du corps humain, y compris les muscles respiratoires, entraînant un arrêt respiratoire et la mort. Il n'y a pas d'antidote à ce poison. Le seul moyen de sauver la victime est de l'hospitaliser rapidement en réanimation et de se connecter à un appareil de respiration artificielle.
La responsabilité du cuisinier
En allant au restaurant et en projetant de vous régaler de poisson-globe, vous devez comprendre que vous abandonnez complètement votre vie à l'habileté du cuisinier. Pendant longtemps, même la pêche de ce poisson a été interdite au Japon. Ce n'est que depuis 1958 que le gouvernement a autorisé son service dans les restaurants, à condition que seuls des chefs spécialement formés et titulaires d'une licence spéciale soient engagés dans la préparation du poisson-globe. Pour obtenir ce permis, ils passent par une formation assez longue, puis passent un examen au cours duquel ils doivent eux-mêmes manger le poisson qu'ils ont préparé. Auparavant, au Japon, il existait même une loi non écrite selon laquelle en cas de décès d'un client du restaurant, le chef était obligé de se suicider rituellement (seppuku).
Poisson fugue : cuisine
Le boucher de ce poisson est un véritable art. D'un mouvement très rapide, il faut séparer les nageoires, couper l'appareil buccal, puis ouvrir le ventre. Après cela, retirez très soigneusement tous les intérieurs, qui sont les parties les plus toxiques du poisson-globe.
Les filets sont coupés en tranches les plus fines et soigneusement lavés à l'eau courante, en éliminant les restes de poison et les traces de sang.
Pour la cuisson de sashimi de poisson-globe (Fugusashi) pour les grands et beau plat disposez des tranches de poisson cru en créant un paysage de couleur nacrée ou une image de papillon, d'oiseau. Les tranches de filet de fugu se mangent en les trempant dans une sauce au vinaigre (ponzu) ou un mélange de poivron rouge et de radis râpé (momiji-oroshi).
Le fugusushi n'est que le tout premier plat d'un déjeuner « fixe ». Ensuite, une soupe à base de poisson-globe et de riz est servie, assaisonnée de Oeuf cru(fugu-zosui). Et pour le deuxième plat - du poisson-globe frit.
Les morceaux de poisson doivent être servis par le chef aux convives dans un ordre strictement défini. Ils commencent par la partie dorsale la moins toxique et la plus savoureuse. Plus la partie abdominale est proche, plus la viande contient de poison. L'une des tâches principales du chef est de surveiller l'état des clients du restaurant afin de ne pas leur permettre de manger plus qu'une dose sûre.
Lors de la cuisson du poisson fugu, un cuisinier expérimenté y laisse suffisamment de poison pour provoquer une intoxication légère chez les mangeurs, qui se manifeste par une légère euphorie narcotique. Selon les gourmets qui ont goûté au poisson fugu, lorsqu'ils en consomment des plats, ils ont une vague paralysante. Elle réside dans le fait que les gens perdent la capacité de bouger leurs jambes, puis leurs bras et, au tout dernier moment, leurs mâchoires. La capacité de mouvement n'est conservée que par globes oculaires... Mais après quelques instants, le tonus musculaire commence à récupérer dans l'ordre inverse. On croit que les gens prennent des risques mortels précisément pour survivre à ce moment de « résurrection ».
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Certains plats de poisson traditionnels japonais ne sont plus surprenants. Sashimi, petits pains, sushis se sont fermement ancrés dans le menu des gourmets locaux. La seule menace qu'ils représentent est la suralimentation. Mais certains plats orientaux sont préparés à partir de la mortelle poisson dangereux... Tout d'abord, il s'agit du puffer brun, plus connu sous le nom de poisson-globe ou poisson-chien. C'est le plat mortel qui a rendu le poisson-globe célèbre dans le monde entier, mais il n'est pas seulement intéressant pour cela.
L'histoire de l'émergence du poisson-globe
Le poisson-globe est l'un des poissons les plus anciens.
L'heure exacte de l'apparition du plat hautement toxique sur le menu est inconnue, mais il a au moins 2300 ans. C'est l'âge du plus ancien des restes de puffers trouvés lors de fouilles historiques au Japon. La première information historique se réfèrent aux XVIIe et XIXe siècles et concernent une interdiction totale de la préparation de nourriture à base de fugu sur tout le territoire contrôlé par le shogunat Tokugawa.
Les Japonais ont pris l'interdiction à leur manière - au lieu d'abandonner complètement le produit, ils ont simplement commencé à le traiter plus soigneusement. C'est ainsi que se sont formées des méthodes de découpe et de préparation d'un puffer avec des risques minimes d'empoisonnement. Les mêmes technologies persistent aujourd'hui. Dans les régions occidentales du pays, le contrôle du shogunat était le moins important, et c'est là que les chefs réussissaient particulièrement à préparer le fugu.
Pendant l'ère Meiji, l'interdiction est devenue plus stricte, mais a de nouveau été violée. À la fin du 19e et au début du 20e siècle, seul l'empereur ne pouvait pas goûter le plat interdit, tandis que les citoyens ordinaires le cuisinaient en secret et le consommaient obstinément.
En 1958, la question est enfin réglée. Une solution de compromis exige que le chef ait une licence distincte pour préparer le poisson-globe. Maintenant, pour obtenir cette autorisation, vous devez étudier dans des cours spéciaux et réussir un examen pendant plusieurs années. Ce dernier comprend une partie théorique et pratique : le chef identifie, prépare et mange lui-même le fugu. Seul un tiers des candidats réussissent le test. Le reste des étudiants, bien sûr, ne reste pas sans vie dans la salle d'examen. C'est juste que la commission est très, très stricte et ne manque aucune trace d'erreur. Grâce à ces précautions, dans les restaurants japonais, vous pouvez commander des repas soufflés avec peu ou pas de risque.
Apparence
La longue espérance de vie des poissons s'explique par le fait que les prédateurs s'y intéressent rarement, pour eux c'est dangereux
Le puffer brun est un poisson de la famille des puffer. Fait référence à l'espèce à nageoires rayonnées, le genre Takifugu (traduit par « cochon de rivière »). Le corps est grand, fortement épaissi dans la partie antérieure, en moyenne jusqu'à 50 cm de long ; on trouve des individus jusqu'à 80 cm et plus. Le dos du poisson est étroit, la queue est petite. La couleur du corps est brune, derrière les nageoires sur les côtés il y a des taches noires avec des bords blancs.
Les dents sont épissées, d'en bas et d'en haut elles ressemblent à de puissantes incisives. Il n'y a presque pas d'os dans le corps, pas même les côtes.
De base signe extérieur tous les fugu n'ont pas d'écailles. Au lieu de cela, la peau est parsemée d'épines acérées. Dans un état calme, ils sont lissés et au moment du danger, ils offrent une protection presque absolue contre les prédateurs. En cas de danger, les cavités dans la région de l'estomac sont instantanément remplies d'air ou d'eau, gonflant le poisson comme Ballon... Il devient trois fois plus gros. Des aiguilles pointues dépassent dans toutes les directions et personne ne peut avaler une telle créature. Si cela se produit, alors le prédateur mourra très vite : le poison reste le principal mécanisme de défense du fugu.
Habitat
Le fugu appartient aux poissons de fond, on le trouve jusqu'à 100 m de profondeur dans un climat subtropical. Espèce asiatique basse-boréale. Habitats principaux :
- Asie du sud est;
- Nord-ouest pacifique;
- Extrême-Orient (eaux océaniques et fluviaux);
- Mer d'Okhotsk.
V grandes quantités trouvé dans les mers jaune, sud de la Chine, Japon (principalement dans la partie occidentale). Vit dans les eaux du lac Tchad, dans les fleuves Nil, Amazone, Congo, Niger.
En été, on le trouve même dans la partie russe de la mer du Japon.
La croyance populaire selon laquelle le fugu est un mets exclusivement japonais n'est pas tout à fait vraie. Il est également consommé dans d'autres pays : Chine, Thaïlande, Corée. Dans certaines régions, un puffer non toxique est élevé, mais la plupart des vrais admirateurs du plat refusent cette option. Souvent, c'est le frisson du danger qui est plus précieux à l'utilisation du fugu que son goût.
Le poisson n'est pas migrateur, les adultes restent souvent dans les baies, font frire dans les eaux saumâtres de l'embouchure de la rivière. Plus l'individu est âgé, plus son habitat est loin dans la mer. Avant la tempête, le puffer se rapproche de la côte.
Durée et mode de vie
Le poisson-globe est encore mal connu, il n'y a donc pas beaucoup d'informations concernant son mode de vie.
Les tentatives des scientifiques pour mieux comprendre le mode de vie du fugu ont rencontré peu de succès. Les chercheurs ont découvert que le puffer ne peut pas nager à grande vitesse - les caractéristiques aérodynamiques du corps ne le permettent pas. Mais il y a une bonne maniabilité : ils avancent et reculent, nagent de côté, tournent vite.
Malgré petits yeux, voit bien le puffer. Possède un excellent odorat grâce à un grand nombre récepteurs situés sur les tentacules avec les narines sous les yeux.
La durée de vie moyenne d'un puffer brun en conditions naturelles- 10-12 ans.
Nutrition
Fugu appartient aux prédateurs, son régime alimentaire se compose des habitants les plus étranges et les plus peu appétissants du monde sous-marin. Ce sont des vers de mer, des crustacés, étoiles de mer et les hérissons. Mange des coraux. Un certain nombre de scientifiques soutiennent que l'extrême toxicité du puffer est une conséquence de ce régime. Jusqu'à présent, les chercheurs n'ont pas été en mesure d'expliquer le phénomène de non-perception du poison de fugu lui-même, malgré le fait que les toxines s'accumulent en quantités énormes dans le caviar, les intestins, le foie et d'autres parties du corps. Il n'y a pas de poison dans le filet et la peau.
la reproduction
Dans la famille Fugu, le parent le plus responsable est le père. Pendant la période de ponte, le mâle veille en encerclant la femelle. Avec une danse spéciale, il l'invite à couler au fond. Si la dame est également intéressée, les deux nagent le long du fond pendant un moment jusqu'à ce qu'ils décrochent pierre appropriée... La femelle y pond des œufs que le mâle féconde immédiatement.
Après avoir pondu, la femelle s'éloigne, laissant le mâle protéger la progéniture. Il se tient debout sur une pierre et couvre la maçonnerie de son propre corps afin d'éviter de manger la progéniture par beaucoup qui le souhaitent.
Après l'apparition des têtards, le père prépare une dépression au fond, y transfère les alevins, puis il reste à les protéger. Ce n'est que lorsque la progéniture commence à se nourrir d'elle-même que le mâle le quitte, ayant complètement rempli son devoir parental.
Danger de poisson-globe
Le fugu est le plat le plus dangereux et le plus cher de la cuisine japonaise.
Il est difficile de trouver un plat plus dangereux et plus cher dans toute la cuisine japonaise. Un poisson coûte environ 300 $ et un repas fixe avec ce composant peut coûter 1000 $ ou plus.
La toxicité extrême est due à l'énorme quantité de tétrodoxine dans les tissus du fugu. Un seul individu peut provoquer l'empoisonnement mortel de 30 personnes.
La tétrodoxine est 400 fois plus toxique que la strychnine, 160 000 fois plus toxique que la cocaïne et un ordre de grandeur plus toxique que le poison au curare.
Les premiers symptômes d'empoisonnement apparaissent après 10-15 minutes. Les lèvres et la langue s'engourdissent, la salivation apparaît, la coordination des mouvements est altérée. Le premier jour, plus de la moitié des personnes empoisonnées meurent, 24 heures et est considérée comme une période critique. Des diarrhées et des vomissements peuvent survenir, douleur sévère... Une personne meurt d'un arrêt respiratoire dû à une paralysie des muscles impliqués dans l'acte respiratoire.
La tétrodoxine n'est pas une protéine, elle agit en arrêtant l'apport d'influx nerveux. Bloque le passage des ions sodium à travers les membranes cellulaires, sans interférer avec le passage des ions potassium. C'est cette interaction très spécifique avec les structures cellulaires qui a fait de la tétrodoxine un excellent analgésique déjà dans les pharmacies japonaises.
Il n'y a pas d'antidote, mais la tragédie peut être évitée. Pour ce faire, il est nécessaire de faciliter en urgence la respiration et la circulation sanguine en connectant la victime à un appareil de support artificiel.
Tu peux mourir sans manger de poisson, mais seulement en touchant main nue aux entrailles imbibées de poison.
Il est difficile de se plaindre du coût élevé du fugu, compte tenu de tous les risques. Vendre l'un des dix plus plats vénéneux monde selon le magazine Time, la nourriture à bas prix est inacceptable. Pas la rareté relative du fugu, mais la complexité de sa préparation est la principale composante du coût.
Pour faire un puffer, un chef licencié sort le foie, le caviar et tous les entrailles. Une certaine quantité de poison reste à la surface du filet - et il devrait y en avoir juste assez pour qu'une personne ressente les signes d'empoisonnement, mais pas pour mourir. Un engourdissement du palais, de la langue, des membres, une légère sensation d'euphorie est le signe de l'habileté particulière du cuisinier. Cet état s'apparente à une petite intoxication médicamenteuse.
Les tétraodons d'aquarium peuvent être toxiques, mais leur venin n'est pas mortel
Les tétraodons d'aquarium sont une gamme de queues d'aiguilles marines et d'eau douce. Les aquariophiles les plus désespérés contiennent du puffer toxique, mais le poisson boule non toxique ornera n'importe quel aquarium. Les poissons d'élevage ne seront pas mortels, et pourtant ils peuvent tous être toxiques.
Pour éviter les intoxications, les tétraodons d'aquarium ne doivent pas être nourris à la main, et encore plus pris à mains nues !
Les poissons sont très beaux et inhabituels, mais en prendre soin est extrêmement difficile, tout comme la nature du poisson balle lui-même. Après avoir décidé d'élever de tels animaux de compagnie, vous devez immédiatement penser à leur régime alimentaire. Il doit contenir une cochlée avec une coque dure pour meuler les plaques dentaires à croissance rapide.
Comme pour l'élevage d'autres habitants d'aquarium, les principaux facteurs de succès seront :
- récipient de la bonne taille;
- régime équilibré;
- voisins compatibles.
Leur durée de vie dans un aquarium est la moitié de celle de conditions naturelles... Votre poisson-globe peut vivre de 5 à 10 ans. La longueur moyenne d'un habitant d'aquarium adulte est de 15 cm.
Aquarium
Les juvéniles peuvent être conservés dans des conteneurs d'environ 50 litres, avec une augmentation de la taille des poissons, ils doivent être déplacés dans un aquarium de 150 litres ou plus. Si plus de 5 adultes sont gardés en même temps, le volume doit être augmenté. Si les adultes -une paire et il y a quelques alevins, une contenance de 100 litres sera suffisante. Grand groupe Les tétraodons se sentiront à l'aise dans un aquarium de 300 litres.
L'eau a besoin d'aération et de filtration. Eau fraiche salé avec du sel de table : 1 c. l. pour 20 litres d'eau. Les jeunes animaux tolèrent également bien la teneur en eau douce, mais des maladies peuvent survenir par la suite.
Le fond doit être large pour qu'un poisson de fond aussi gros puisse nager librement. Les tétraodons aiment l'ombre ; pour la créer, des pierres de différentes tailles sont disposées sur le sable et le reste de la zone est densément semé de plantes aquatiques.
Soins et alimentation
La plage de température de l'eau confortable est de 25 à 28 degrés.
- aération et filtration obligatoires;
- remplacement quotidien de 1/10 de l'eau de l'aquarium par de l'eau douce ;
- séparation des tétraodons d'eau douce et marins dans différents conteneurs ;
- isolement des alevins dans un récipient séparé.
Nourriture utile pour les adultes:
- vers de vase, vers;
- crustacés et alevins;
- crustacés à carapace dure;
- fabricants de tuyaux;
- corsets.
Convient à ces prédateurs et émincé de boeuf, foie, coeur. La nourriture verte n'est pas intéressante pour les tétraodons, et la nourriture sèche est contre-indiquée.
Régime pour les frites :
- ciliés;
- daphnie;
- crevettes de saumure nauplie;
- Cyclope;
- jaune d'œuf.
Voisins
Plus le tétraodon est ancien, plus le risque que d'autres habitants de l'aquarium lui semblera très appétissant. Par conséquent, la question de la compatibilité de ces grands prédateurs avec les voisins doit être décidé à l'avance. Option idéale il y aura un aquarium séparé pour les poissons-globes. Si cela n'est pas possible, les cichlidés africains ou malawites deviendront des voisins optimaux. Il est conseillé de sélectionner des voisins de même taille et de ne pas installer de poissons avec de longues nageoires et queues aux tétraodons. Dans ce dernier cas, il y a un risque que les prédateurs adultes grignotent ce luxe.
Reproduction en aquarium
À l'âge de 1 à 3 ans, les poissons sont prêts à se reproduire. Pour ce faire, une paire de tétraodons ou un mâle avec plusieurs femelles est installé dans un aquarium séparé. La femelle diffère du mâle par des points moins brillants et des tailles plus petites. La ponte la plus réussie sera fournie avec une végétation dense, le plus souvent utilisée Cryptocoryne et hornwort.
Au cours de la période préparatoire, la température de l'eau doit être augmentée, nourrie de manière intensive avec des crustacés et des produits à base de viande. La parade nuptiale est bien perceptible, cela ressemble à une poursuite insistante d'une femelle par un mâle et même à un grignotage s'il est ignoré pendant longtemps. Si le couple coule au fond, la réponse de la femelle est positive et ensemble, ils se retrouveront dans des buissons plus épais. En 1 minute, les œufs sont pondus, restant parfois en nage libre. Il est conseillé de ramasser tous les œufs et de les déplacer dans un autre récipient, mais avec la même composition d'eau. Les œufs laiteux doivent être retirés immédiatement, ils ne sont pas viables.
Après 8-9 jours, des alevins apparaissent, qui doivent être nourris avec du jaune d'œuf pendant 2-3 jours, après quoi ils peuvent être transférés vers régime normal pour les enfants.
Malgré les précautions sans précédent dans la préparation des plats soufflés, une moyenne de 20 personnes en meurent chaque année.
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Dans les temps anciens, il existait une loi officieuse : si une personne dans un restaurant mourait d'un plat de fugu, le cuisinier devait également se suicider - seppuku.
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