L'arme est en constante évolution, grâce aux nouvelles technologies, des modèles améliorés apparaissent. Les couteaux ne font pas exception et ont résisté à l'épreuve du temps. L'histoire connaît de nombreuses formes différentes de couteaux, et beaucoup d'entre elles ne sont pas aussi simples qu'il y paraît à première vue.
"Kukri", le symbole du peuple népalais, est devenu célèbre grâce aux régiments Gurkha. Les guerres népalaises ont soutenu les Britanniques dans le processus de prise de contrôle de l'Inde pendant la rébellion indienne de 1857 avec un couteau, qui a été habilement manié au corps à corps. Les prouesses au combat des soldats Gurkha leur ont valu une réputation de guerriers redoutables et intrépides, et grâce à leur soutien des troupes britanniques dans l'armée britannique, ils ont formé des régiments népalais officiels. Les Gurkhas et leurs couteaux sont devenus si célèbres que les Britanniques ont utilisé des affiches de guerriers affûtant leurs célèbres couteaux comme propagande pour semer la peur dans l'armée argentine pendant le conflit des Malouines. Aujourd'hui, les soldats des régiments Gurkha continuent de porter le couteau "kukri" avec eux après leur retraite.
Les couteaux Kukri mesuraient généralement de 40 à 46 cm de long et ressemblaient plus à une machette, car ils remplissaient une fonction de coupe. D'un outil agricole ordinaire des himalayens, le couteau est devenu une arme. Une caractéristique intéressante est considérée comme la rainure près de la poignée, qui a dirigé le sang de la victime vers direction inverse, en conséquence, la main est restée sèche. Plus le couteau a été utilisé dans les sacrifices, plus il y aura de chance et de bonté dans le village. Si la tête de l'animal a été coupée en un seul mouvement, c'est un grand succès.
9. Dague pour bloquer les coups (Meng-gosh)
Aux XVIe et XVIIe siècles, lorsque les armes à feu ont commencé à apparaître, les armes froides sont devenues impraticables. Les épées légères, les rapières, remplaçaient les épées lourdes des chevaliers. Les boucliers sont également devenus inutiles et ont été remplacés par des poignards pour bloquer les coups (mon Dieu). Le combattant talentueux a habilement utilisé l'homme-dieu et le bouclier l'a gêné. De plus, le poignard non seulement protégeait, mais était lui-même une arme. Au fil du temps, les dagues elles-mêmes et l'habileté à les utiliser se sont améliorées et sont devenues plus compliquées.
Il existait de nombreux types de men-gosh, mais ils étaient tous conçus pour assurer la sécurité, bloquer les frappes ennemies et lancer des frappes surprises. Le manche était censé protéger la main du guerrier. Par exemple, un poignard « brise-épée » avait des dents le long de la lame qui pouvaient accrocher la rapière d'un adversaire et l'arracher de ses mains. Un autre type était le "trident", avec un mécanisme spécial, après avoir été pressé, la lame triplait.
Jambiya est un couteau large à double tranchant qui était porté comme symbole d'appartenance à une classe sociale particulière de la population du Yémen. Certains hommes ont dit qu'ils préféraient mourir plutôt que de laisser quiconque les voir sans poignard. Les adolescents reçoivent leur premier poignard s'ils sont circoncis. De nos jours, la jambia est davantage utilisée comme pièce d'exposition, mais dans les années 60, c'était une arme redoutable. Les guerres yéménites tenaient leurs poignards pointés vers le bas et visaient la base du cou de l'ennemi afin de lui déchirer la poitrine d'un seul mouvement.
Certains couteaux sont souvent décorés d'or. L'islam, principale religion du Yémen, interdit aux hommes de porter des bijoux en or, mais comme la jambiya est une arme, elle est considérée comme une exception. Les manches du poignard sont faits non seulement de métaux précieux, mais aussi de corne de rhinocéros, ce qui provoque le braconnage. Chaque année, 1 500 rhinocéros sont tués au Yémen. Les manches des couteaux sont fabriqués à partir de la corne et les restes partent à l'étranger vers les pays asiatiques en tant que matériaux pour la médecine non traditionnelle.
Bien que le sai soit associé à l'art martial japonais, il est apparu pendant la dynastie Ming et a été importé de Chine à Okinawa. Cette arme perçante ressemble à un stylet sans bords tranchants. La lame du sayya est ronde ou hexagonale avec une extrémité pointue. Ils l'ont utilisé comme coup de blocage avec l'arme européenne "men-gosh". Sai était utilisé pour bloquer les coups épée japonaise Katana. De plus, un maître Sayyutsu expérimenté pouvait facilement détourner l'attention de l'ennemi avec son aide et même le frapper. Quand Okinawa tomba sous l'influence du gouvernement japonais, une autorisation spéciale était requise pour les outils et les armes en métal. La maîtrise du sai a été interdite et s'est estompée dans l'arrière-plan. Même aujourd'hui, la pratique du sayyutsu n'aime pas le bruit autour d'eux, et l'utilisation d'armes en sparring est interdite.
Le couteau de tranchée était particulièrement courant pendant les Première et Seconde Guerres mondiales. Au corps à corps, les Allemands utilisaient le couteau de combat Nakampfmesser et les Britanniques utilisaient leurs couteaux domestiques. Les forces armées américaines ont produit plusieurs types de couteaux de tranchée. Mark 1 avait une surface plane avec une lame double face d'un manche en laiton ou en bronze avec des poings américains et des pointes, qui peuvent également blesser l'ennemi.Les couteaux étaient utilisés par les soldats qui n'avaient pas de baïonnette dans leur arsenal, mais pas seulement dans bataille, mais aussi dans la vie de tous les jours.
"Chris", un poignard javanais, ressemble à une arme et à une lame rituelle. On croyait qu'il avait des propriétés magiques. Plusieurs spécimens anciens ont été fabriqués à partir de météorites tombées sur le terrain du temple de Prambanan pendant 200 ans. Il n'est pas surprenant qu'il ait été considéré comme un sujet sacré. La lame incurvée du couteau ressemble à un serpent de la mythologie, et les motifs qui décorent le couteau étaient perçus comme un talisman. L'alliage du couteau ressemblait à de l'acier de Damas dans la composition, et les motifs appliqués par le forgeron protégeaient le couteau et son propriétaire de toutes sortes de problèmes.
4. Misericord ("Lame de Miséricorde")
Au 14ème siècle, la lame de miséricorde est devenue populaire parmi les chevaliers français - un long poignard mince qui passait facilement entre les plaques d'armure. Il était pratiquement inutile au combat, même pas équipé d'une protection spéciale sur la poignée. Il a été utilisé pour achever l'ennemi. Le nom du poignard vient des mots latins "acte de miséricorde". Quand un chevalier a été renversé d'un cheval et qu'il a été grièvement blessé, afin d'alléger ses souffrances, il a été achevé avec un tel poignard. Beaucoup ont utilisé le poignard pour intimider le chevalier blessé, pour le persuader de se rendre ou de demander une rançon.
Le couteau de poignet était utilisé par le peuple Turkana en Afrique. des locaux croyaient que les animaux domestiques, comme les vaches, sont un don de Dieu. Les troupeaux d'animaux sont souvent devenus la cause de conflits tribaux. De plus, chaque tribu a tenté d'étendre son territoire. Dans de telles conditions, les vaillants guerriers portaient des lances, des boucliers, divers types de couteaux, parmi lesquels un couteau de poignet. De plus, il était interdit de tuer un membre de la tribu avec une lance, de sorte que les différends internes ont été résolus avec cruauté à l'aide de couteaux de poignet.
Il était fait d'acier ou de fer, qui étaient chauffés, et ils étaient façonnés à coups de pierres. De tels couteaux étaient le plus souvent portés par les hommes turkans à la main droite, bien que dans d'autres tribus, ils étaient portés à la fois par des hommes et des femmes. En plus d'être une arme, le couteau était également utilisé à d'autres fins, par exemple pour abattre des arbres.
Le kuyan en forme de faucille de l'île de Java était considéré comme un cadeau divin, un symbole de l'harmonie du monde et était populaire parmi les rois en tant que gouverneurs de Dieu sur Terre. Kuyan était principalement utilisé comme outil agricole, mais le roi Kudo Lalin a déclaré qu'il avait vu un couteau dans une vision d'unir Java. Après la vision, il rassembla tous les forgerons et parla de la forme du couteau mystique. Le résultat était une arme en forme d'île de Java, avec trois trous qui symbolisaient les divinités de la religion hindoue. Après que l'Islam a commencé à dominer l'île, les armes ont subi un certain nombre de changements. Sa forme a été modifiée et est devenue similaire à la lettre "shin", et au lieu de trois, il y avait déjà cinq trous, symbole des cinq principes de l'Islam.
Le Qila est un poignard rituel originaire de l'Inde ancienne, puis devenu populaire au Tibet, où il s'appelait phurba. Chaque élément du couteau symbolise quelque chose, et tout cela symbolise l'incarnation du dieu bouddhiste Hayagriva, dont les trois visages sont représentés sur le manche. A cette époque, on croyait que le dieu Hayagriva aidait à faire face aux mauvais esprits.Le manche peut avoir différentes formes, avec l'image d'une divinité doit être obligatoire. La lame triangulaire symbolise l'ignorance, la cupidité et l'agressivité. Kila était considéré comme un objet sacré des chamans, et certains des spécimens étaient en bois. C'était une arme rituelle contre les forces du mal. Le chaman a piqué le riz avec un poignard devant le patient, récitant les sutras, expulsant la maladie et les mauvais esprits. Il n'est pas surprenant que les enchères valent de l'argent fabuleux.
Il y a environ deux millions d'années, un représentant particulièrement doué de l'espèce Homo habilis, Homo sapiens, avait besoin de couper quelque chose et il a inventé un couteau. Nous avons parcouru un long chemin depuis lors. Au cours des quarante dernières années, nous avons assisté à un véritable engouement autour de la fabrication de couteaux de plus en plus beaux et de qualité. Cet article contient les 20 plus meilleurs couteaux, au-delà de toute concurrence.
Maîtresse de bataille de bus
Battle Mistress n'a pas de design radicalement nouveau. C'est une lame de dix pouces de forme régulière, mais elle pèse près de 900 grammes et est littéralement acérée comme un rasoir. C'est la combinaison du poids, de la résistance et de l'extrême tranchant qui rend ce couteau unique. Vous voulez décapiter un rhinocéros ? Envie de couper un poteau téléphonique ? Ou peut-être avez-vous envie de couper du bois en morceaux ? Vous pouvez le faire si vous avez des bras forts et une maîtresse.
RusselcanadienCeintureCouteau
En 1958, Dean Russell, propriétaire d'un magasin de couteaux au Canada, a dessiné un couteau et a choisi l'atelier de Grohmann à Pictou, en Nouvelle-Écosse, pour le fabriquer. Sa création avait une lame ovale et un manche en bois de rose légèrement incurvé et gracieux. Il a nommé sa création ingénieuse le Canadian Belt Knife. Le couteau de Russell pourrait être éviscéré ou écorché. Il tient confortablement dans n'importe quelle main, il était à la mode de le tenir dans n'importe quelle position et il était également commodément porté dans une gaine de ceinture. Il existe de nombreuses copies du couteau de Russell, pour la plupart de mauvaises. Aucun d'entre eux ne surpasse l'original - un véritable génie de l'ingénierie.
D.E. Henri Bowie
Au début des années 1960, Daniel Edward Henry, comme d'autres forgerons, a commencé à fabriquer des répliques de bowie, de longs couteaux de chasse produits au milieu du XIXe siècle. La qualité du travail d'Henry était excellente. Il a des années-lumière d'avance sur ses pairs en matière d'affûtage, de ponçage, de revêtement et de lignes épurées. Aujourd'hui, seuls les collectionneurs de couteaux particulièrement ardents se souviennent de son nom, mais nous pouvons tous toucher à son invention.
Couteau de combat d'infanterie de marineKa- Bar
En 1943, le corps marines Les USA fournissent à leurs salariés des couteaux fabriqués dans l'atelier Camille et marqués de la marque Ka-Bar. Sa désignation numérique était 1219C2. Ce couteau avait une lame de style finca de 7 pouces, une lame rembourrée de cuir et une pointe en acier. Ce couteau est devenu l'une des pièces d'équipement militaire les plus réussies. Ont marine avait leur propre version, qui s'appelait MK-2, et les soldats envieux ont essayé de se procurer les deux.
Loèche
Un des couteaux traditionnels les gens de la tribu Sami qui vivent dans forêts du nord L'Europe . Il s'agit d'un outil avec lame large, conçu pour fonctionner comme une hache, une machette et un couteau de boucher. Son manche est toujours en bois de bouleau et le couteau rentre presque entièrement dans son fourreau. Depuis un millénaire, le couteau leuku n'a pas du tout changé. La version à lame en carbone de 7 pouces de Kellam Knives est plutôt bonne.
Vague de Leatherman
L'idée d'un multitool n'est plus nouvelle, mais tout au long de son existence, elle a consisté à combiner un couteau avec d'autres outils. Le résultat était généralement quelque chose avec une lame de mauvaise qualité et un ensemble d'outils médiocre. Tim Leatherman a changé cela il y a 25 ans lorsqu'il a utilisé des pinces pliantes comme base, plaçant le reste des outils dans leurs poignées, créant quelque chose de nouveau et d'excitant. Il existe de nombreux autres outils multifonctions Leatherman, mais Wave est considéré comme le meilleur. Il est même difficile d'imaginer ce qu'il ne peut pas faire.
sans amourTomberPoint
À la fin des années 1960, R.W. Loveless a mis toute la communauté des armes de mêlée sur la tête. Il gagne sa vie en fabriquant des couteaux depuis les années 1950 et a progressivement développé un modèle appelé le chasseur à point de chute. Ce petit couteau (sa lame ne mesure pas plus de quatre pouces) avec un petit manche et des contours gracieux a fait sensation. La crosse s'abaisse progressivement jusqu'à la pointe du couteau, ce qui facilite l'éviscération du gibier sans percer les organes internes. Avant cela, les couteliers utilisaient des métaux simples. Loveless a choisi un alliage appelé 154CM pour ses couteaux, qui a été développé pour être utilisé dans moteurs à réaction... Pratiquement sans rouille et très durable, il ne ternira pas pendant des siècles. Le point de chute réalisé par Bob Dozier (photo) est l'un des nombreux couteaux inspirés du couteau de Loveless.
RandallModèle 3
Randall Made Knives, fondé en 1937, est le plus grand et le plus célèbre atelier de coutellerie de créateur au monde. Il existe plus de 20 modèles Randall, mais W.D. Randall, qui a fondé l'entreprise, considère le modèle numéro 3 comme son meilleur design. Pendant le boom des couteaux de créateurs, tout forgeron ambitieux considérait qu'il était de son devoir de copier le modèle 3 pour deux raisons : parce qu'il est beaucoup plus amusant de copier quelque chose de beau que quelque chose d'ordinaire, et aussi parce que Randall a vendu beaucoup de ces copies. Ce n'est peut-être pas le couteau le plus copié au monde, mais il s'en rapproche.
Couteau pliant Ron Lake
Comparé à la fabrication d'un couteau pliant, la fabrication d'un couteau ordinaire revient à frapper un doigt. Les couteaux pliants sont un véritable test du savoir-faire d'un forgeron, tant en conception qu'en fabrication. Depuis plus de 30 ans, Ron Lake est resté l'un des principaux fabricants de couteaux pliants. Il a développé le concept Inter-Frame - des parties du manche en matériaux fragiles, comme la corne de bélier, sont insérées dans un cadre en acier, ce qui permet d'utiliser le couteau sans craindre de les endommager. Les couteaux Lake utilisent un Tail-Lock - un levier à l'arrière du manche maintient la lame en place puis la libère. Beaucoup de couteaux de Lake sont assez originaux, ils sont tous incroyablement durables et la qualité de leur fabrication ne peut être surpassée.
L'idéal du marbre
Webster Marble a présenté pour la première fois le couteau de chasse idéal - le couteau de chasse parfait - en 1899, et c'était sans doute le tout premier couteau conçu pour la chasse sportive. L'idéal de marbre était, comme son nom l'indique, parfait, fait d'un excellent acier. Il avait un creux profond dans la lame pour réduire le poids. Idéal a été libéré pendant longtemps, de 1899 à 1974. Puis il est momentanément oublié jusqu'en 2007, date à laquelle il est à nouveau présenté au public. Les vieux idéaux en bon état avec des étuis d'origine sont très chers, les collectionneurs sont prêts à débourser 10 000 $ pour certains exemplaires - pas mal pour des couteaux qui se vendaient à l'origine pour seulement 1,25 $ !
Ulu est un couteau forme inhabituelle utilisé par les Indiens d'Amérique du Nord. Avec l'aide de celui-ci, il est très pratique de déchiqueter, de gratter et d'écorcher les proies. La lame en forme de croissant mesure 3 à 4 pouces (7,5 à 10 cm) de long avec le manche juste au-dessus du tranchant. Une fois que vous vous y serez habitué, vous n'accepterez pas de vous en séparer, même pour toute l'huile de baleine de l'Alaska. La plupart des couteaux ulu mis en vente sont des souvenirs et ne peuvent pas être utilisés. Si vous voulez un vrai ulu, vous pouvez en trouver un chez Knives of Alaska.
Schrade oncle henry
La lignée Uncle Henry, du nom d'Henry Baer, chef de Schrade, remonte aux années 1960. De nombreux types de couteaux ont été produits, mais ce couteau pliant à trois lames a conquis le cœur de nombreux amateurs de couteaux. Il avait une lame de sabre, une lame à bout émoussé et une lame de spey. C'est l'un de ces outils incroyables qui vous serviront bien plus que ce à quoi vous vous attendriez en fonction de son prix et de sa taille. Jusqu'à la fermeture, Schrade a fourni une garantie pour la série Uncle Henry - si elle se brisait, ils en enverraient une nouvelle.
Champion de Suisse Victorinox
Ce couteau, dont le manche contient 30 outils, est le couronnement de l'évolution du couteau suisse (dans la version originale il n'y avait que 4 outils). Les gens se moquent généralement de ces choses multifonctionnelles - jusqu'à ce qu'on leur demande timidement de les utiliser.
GeorgeHerronModèle 6TomberPoint
George Herron a commencé sa carrière au début des années 1960 en copiant Randall, puis est passé au style de Loveless et a progressivement développé son propre style, qui est maintenant copié par beaucoup. En plus de l'aspect pratique, Herron possédait un savoir-faire impeccable et une attention incomparable aux lignes. Modèle 6 - La version Herron du point de chute de chasse. Des influences sans amour peuvent être vues, mais le modèle 6 est plus mince et plus élégant. La qualité du travail de Loveless a varié, mais les couteaux imparfaits de Herron n'existent pas.
DiamondBlade Goddard Chasseur Traditionnel
Sans la façon dont il a été forgé, ce couteau ne serait qu'un autre point de chute de chasse décent. Mais il n'est pas comme les autres. En 2007, Charles Allen, fondateur de DiamondBlade, a présenté au public une série de couteaux traités avec une méthode appelée forgeage par friction, qu'il a adaptée de la technologie de soudage à cet effet. Le procédé consiste à mettre l'acier sous haute pression et forte fièvre et le résultat est une lame qui est plus dure, plus tranchante et plus résistante que toute autre chose. Les couteaux se sont avérés si solides que le fourreau a dû être modifié pour que les lames ne les transpercent pas.
SeulLoupDes couteauxHarseyT3Ranger
Habituellement, les couteaux pliants ne sont pas utilisés pour la chasse. Très peu suffisent grande taille, de résistance suffisante, ils sont assez difficiles à nettoyer par rapport à un couteau classique. Mais ce couteau est différent d'eux. La lame à point de chute mesure près de 5 pouces (12,7 cm) de long et le manche est très large et confortable. De plus, il est livré dans le fourreau tactique le plus confortable au monde. Avec cela, un couteau ordinaire n'est plus nécessaire.
couteau Nessmuk
Nessmook est le pseudonyme de George Washington Sears, l'homme qui a pagayé dans la chaîne de montagnes Adirondack et a écrit un livre à ce sujet dans les années 1880. Il a peut-être été le premier écrivain à se concentrer sur le développement équipement léger, ce qui se reflétait dans les outils qu'il portait avec lui : une petite hache à lame double face, un couteau pliant à double tranchant et un couteau qu'il a lui-même développé, et qui a plus tard reçu son nom. Cette lame de 5" est un point de chute avec un manche en bois ou en corne. Si vous cherchez à en acheter un, le Bark River Lil 'Nessy (photo), qui peut être acheté via A.G. Russell Knives est un bel exemple du couteau Nessmook.
Bûcheron‘ sCopain
Cet étrange instrument est apparu en 1941 lorsque Fredrick Ersham l'a mis en vente après dix ans de travail dessus. L'original avait une poignée rembourrée de cuir et une garde en forme de D comme un poignard. La version moderne a une poignée en roches dures bois et sans garde, sinon il est resté inchangé. Vous pouvez l'utiliser comme un couteau de jardin tordu, une machette, juste un couteau, une pelle ou une hache. Il n'y a pratiquement rien qu'il ne supporte pas. Ce n'est pas très cher, assez léger et durable.
couteaux de l'alaska ours brun
En fait, Brown Bear est une hache de boucher, pas un couteau, mais d'accord. Il peut être utilisé comme un couteau, comme une hache de boucher ou simplement comme une hache. Sa lame de 6,5 pouces (16,5 cm) présente quelques caractéristiques distinctives : elle est arrondie et tranchante à l'avant, et un trou à la base pour l'index ce qui en fait un couteau à dépecer idéal.
Buck modèle 110
L'expert en couteaux Bernard Levine l'a parfaitement résumé : « Le 110 est l'idée qui a rendu le fabricant de couteaux Al Buck célèbre dans le monde entier, et le nom de Buck Knife est aussi familier (et souvent mal utilisé) qu'un copieur. Le modèle 110 est apparu en 1963 et a immédiatement fait sensation - ce couteau pliant avec un manche en laiton et en ébène était assez solide pour faire la même chose qu'un couteau ordinaire. Ils étaient vendus avec un fourreau de ceinture en cuir noir car ils étaient trop lourds pour être transportés dans une poche. Depuis ses débuts, des modifications lui ont été apportées pour le rendre plus solide, plus fin et plus confortable. Au cours des 45 dernières années, 14 millions d'exemplaires ont été vendus.
Le couteau de combat est conçu en tenant compte de sa fonction prioritaire - la destruction de l'ennemi.
La conception de cette arme change en fonction des exigences d'une unité spéciale particulière, mais, idéalement, un couteau de combat devrait répondre à plusieurs exigences principales qui permettent à un combattant de l'utiliser de la manière la plus efficace.
Dans cet article, nous présentons dix types de couteaux de combat les plus célèbres et les plus populaires qui sont encore en service dans certaines des armées du monde.
1.Navaja
Cette couteau espagnol est devenu un véritable symbole de vengeance - il a été utilisé par des gars du sud chauds pour expliquer à l'ennemi qui est vraiment ici. Navajo a été inventé par des paysans afin de contourner l'interdiction actuelle des longues lames. Le couteau est déplié à la main, il y a un verrou sur la crosse, qui est devenu le prototype du backlock moderne.
2. Couteau Bowie
Une arme typique du plouc moderne, inventée par le vétéran de la révolution texane, le colonel James Bowie. Cet énorme couperet, avec une garde en forme de croix, aimait trimballer Crocodile Dundee dans le film du même nom. Le couteau n'est pas très pratique à utiliser comme arme de combat - à moins que vous ne soyez soudainement transporté au Moyen Âge, où vous ne pouvez tout simplement pas vous passer d'une épée.
3.Machette
Et un autre cadeau de l'Espagne ensoleillée : une machette - un large et long couperet à affûtage unilatéral. Avec une telle chose, il est tout aussi pratique de se frayer un chemin dans les fourrés et de couper la tête des ennemis. Pendant la guerre du Vietnam, les machettes étaient largement utilisées par les soldats américains : les couperets de l'armée avaient un manche creux pour la NZ et dentelé.
4.Karambit
Le couteau est conçu pour résoudre une seule tâche - tuer l'ennemi. Le karambit est équipé d'une lame en croissant avec un affûtage interne. La prise correcte est inversée, surtout pour plus de commodité, il y a un anneau spécial pour l'index sur la poignée. La lame n'est pas longue, il est donc pratique de transporter cette arme du crime dans votre poche.
5 Balisong
Le fameux "couteau papillon", un attribut indispensable de tout type de chantier des années 90. Aux Philippines, le balisong est activement utilisé dans les écoles de combat au couteau. L'ouverture du couteau est une chanson distincte interprétée par certains artisans avec de véritables singeries de cirque.
6 bolos
Pendant la Révolution philippine, le couteau bolo a connu une véritable renaissance. Cet outil de nettoyage est devenu un horrible cauchemar pour l'armée américaine. Bolo a un affûtage inversé et une lame incurvée - extérieurement, c'est un croisement entre une machette et un kukri.
7.Kukri
Le célèbre kukri, l'arme de combat des Gurkhas népalais, ressemble plus à un instrument médiéval massacre... La lame a un affûtage interne et une courbure inversée, le propriétaire d'un véritable kukri essaie de ne jamais se séparer du couteau. Pour les Gurkha, le kukri est un certain symbole désignant l'appartenance du propriétaire à la caste des guerriers.
8 tantos
L'histoire de ce couteau remonte au début du Moyen Âge. Tanto restait le dernier argument du samouraï : une lame raccourcie, commodément cachée dans un étui en bambou, décidait souvent à elle seule du cours de la bataille. La longueur habituelle de la lame est de 30 centimètres, l'affûtage est à la fois unilatéral et bilatéral.
9 Quaiken
Le tranchant d'une lame de quaiken peut être comparé à une lame de rasoir. Quaiken était et est transporté avec eux pour l'autodéfense, le couteau est le mieux adapté pour le transport caché.
10 poignard couteau
Très probablement l'ancêtre du poignard à pousser, ou couteau bout à bout, était le Qatar indien. Cette arme est devenue populaire pendant la ruée vers l'or - le couteau était alors considéré comme la "dernière chance" du chercheur d'or. Il est difficile de l'utiliser pour autre chose que la légitime défense, mais il remplit parfaitement son rôle.
Comme l'a dit le personnage de l'acteur Okhlobystin dans un film russe: "Seul un couteau peut rendre une personne vraiment libre!", Passons donc en revue quelques exemples d'armes blanches qui n'ont pas eu beaucoup de chance avec le nom ou le design.
Un couteau de bonne qualité est le rêve de tout vrai homme, et une femme n'hésite parfois pas à montrer une lame sévère. Lors de la chasse et de la pêche, de la randonnée ou simplement en vacances, un petit morceau d'acier traité avec amour fera des merveilles, et des gens bien informés sera toujours en mesure d'évaluer en un coup d'œil vos goûts et votre niveau de connaissance dans le monde des lames. Grâce aux efforts des concepteurs et des armuriers, les artisans obtiennent généralement des copies très appropriées. Et ici, au stade de la production en série du modèle, entrent en jeu les commerçants, qui peuvent parfois casser du bois, faisant d'une lame complètement fonctionnelle un paria du consommateur. Voici quelques exemples.
Avec un nom - pruha ! Caressez votre oreille !
Le couteau tactique développé par Bastinelli, à en juger par son profil, convient parfaitement à une grande variété d'objectifs et de tâches. La poignée ergonomique est conçue pour fixer confortablement la lame dans votre main et vous permet de combattre en toute confiance un ennemi armé à courte portée. Apparemment, souhaitant mettre l'accent sur les qualités d'assaut du chef-d'œuvre de l'arme produit, la société a appelé la nouveauté l'Apocalypse d'assaut. Et puis, pour la commodité de la prononciation, le nom a été légèrement abrégé et ses deux mots fusionnés en un seul. Il s'est avéré Assaucalypse (agression - agression, apocalypse - fin du monde). Le nouveau nom sonne en anglais comme "ass-calyp", ce qui ne plaît pas du tout à l'oreille. Être l'objet de ridicule par le propriétaire armes similaires il est peu probable que l'on le veuille vraiment, peu importe à quel point le couteau peut sembler redoutable en réalité.
Courbure?
Comme un autre personnage, mais cette fois déjà un jeu informatique de l'univers des Elder Scrolls, a déclaré: «Et ils ont des épées tordues. Courbes! ". A en juger par la ligne, le PNJ fut impressionné cette fois non par le nom, mais par la géométrie des pales. C'est ce qui peut vraiment décevoir dans le prochain couteau. Bien que, si les étoiles sont allumées, alors quelqu'un en a besoin ! Peu importe à quel point l'ensemble de couteaux de survie a perdu en grâce, grâce à sa forme bizarre, la fonctionnalité de cette arme de mêlée est considérablement étendue - il s'agit d'une pelle et d'une hache de sapeur, d'une scie et d'un serrator.
Personne ne veut partir avec un tel ornement lors d'une randonnée ordinaire, mais si vous décidez de tenter votre chance dans les environs de l'Amazonie, en collectant les célèbres scarabées rhinocéros géants, un tel canif ne sera pas superflu. Le frère d'une telle arme à main - un couteau à pelle "Taupe" avec deux moitiés pliantes d'un manche en bois, peut se vanter d'un look non moins accrocheur. La lame de l'outil a une fente pour une clé universelle et un trou de visée pour lancer adroitement des rayons de soleil en direction de l'hélicoptère de recherche et de sauvetage. Les poignées pliantes ont les bords des pinces et les éponges des pinces improvisées, bien qu'un couteau aussi volumineux ne tire évidemment pas le titre d'un multitool - nous ferions mieux de le laisser accroché sur le tapis à la maison comme décoration thématique !
CHIP et DALE se dépêchent de...
Eh bien, comment mettre sous le couteau, excusez le jeu de mots, deux développements chics avec un design et une fonctionnalité attrayants à la fois ? Il s'avère qu'il y a des talents ! Les deux frères Slender Utility Knife et Fixed Utility Knife sont à la fois ergonomiques et de qualité en acier. Mais jetez simplement un œil sur le nom en anglais des lames et essayez d'ajouter des abréviations à partir de celles-ci. Cela ressemble-t-il à une mauvaise traduction des films d'action américains des années 90 ? Néanmoins, rien n'a confondu les commerçants et les noms abrégés SUK et FUK sont apparus dans les positions de prix. À l'oreille d'un utilisateur anglophone, cela semble assez obscène. Même si bien sûr une question de goût.
Le choléra t'emmène !
Peu de gens savent maintenant que la signification du mot "krala" en relation avec une femme au 19ème siècle était considérée comme un compliment important et provenait de la "princesse" polonaise. Et à notre époque, son sens a pris un sens quelque peu péjoratif. Mais la sémantique d'un mot est le lot des gens instruits. Mais qu'est-ce qui a poussé à appeler le couteau le nom de l'agent causal d'une maladie gastro-intestinale infectieuse aiguë? Rencontrez le couteau Predator Choléra ! D'accord, s'ils appelaient la peste - une maladie qui fauche les gens à droite et à gauche, mais le choléra ?? Un couteau qui fait chier tout le monde ? Original!
Cependant, si vous n'êtes pas confus par l'obscurantisme dans la tête des auteurs du projet, alors la lame a l'air délicieusement unitaire et modeste. Il est en parfaite harmonie avec l'uniforme militaire d'un kaki et dans l'enveloppe de cuisse. Le manche, résistant aux influences mécaniques avec un évidement pour un doigt - tout est comme il se doit.
Parce que glaïeul !
Imaginez qu'il y ait un ingénieur concept très doué dans l'équipe de développement et de conception, malheureusement atteint du syndrome de Tourette. Il s'agit d'une maladie génétique dont l'un des symptômes est le cri involontaire d'un ensemble de mots incohérents par le patient, souvent de nature offensante. Certes, il n'était pas nécessaire de prendre au sérieux de telles remarques de la part d'un membre de l'équipe de créateurs et d'attribuer un nom aussi absurde à une lame tout à fait appropriée ! Comment aimez-vous - Busse Nuclear Meltdown Special Forces Natural Outlaw, qui peut être interprété comme "Juste une rupture nucléaire d'un condamné des forces spéciales cool" - une telle révélation sur une foule de rappeurs connaisseurs de finnois et d'effusion de sang aurait pu faire sensation, mais dans l'évaluation des lames de l'armée professionnelle, un tel nom ne suscite clairement pas d'intérêt pour la lame. Bien que la lame en tant que couteau de chasse semble tout à fait appropriée et très décente.
Avec des armes - à la cuisine !
Que sommes-nous tous au sujet des conceptions qui n'ont pas de chance ? De plus, dans Vie courante nous utilisons banalement ce moyen d'intimider les ennemis récalcitrants dans la cuisine, coupant avec diligence les légumes en salade et grillant les viandes. Alors faisons plaisir aux ménagères avec la sophistication des formes et le design pratique !
Jetez un œil à cet ensemble de couteaux Deglon Meeting, qui a remporté un prix pour son design original au salon de la coutellerie de Paris - l'ensemble se replie en support en bois avec des pattes antidérapantes comme une poupée gigogne, de sorte que chaque couteau est extraordinairement léger et organique.
À quel point il est pratique de manier chaque section est une question de goût, mais l'ensemble a l'air assez original. La seule raison, selon lequel ces lames ne peuvent pas non plus devenir des succès commerciaux - le prix est de 50 000 roubles par jeu, ce qui coupe sans couteau!
V Dernièrement il y a une augmentation significative de l'intérêt pour les armes de mêlée, y compris les couteaux de combat (). Cette tendance se développe non seulement en Russie, mais aussi dans d'autres pays du monde. Il est devenu à la mode de collectionner les armes blanches, de les fabriquer elles-mêmes.
Presque toutes les écoles de combat au corps à corps qui se respectent ont dans leur arsenal des techniques pour travailler avec des armes de mêlée, y compris des couteaux de combat. Une énorme quantité de littérature est apparue, qui décrit les célèbres couteaux de combat du passé, ainsi que des exemples de ces armes utilisées aujourd'hui. Les manuels d'auto-instruction sur les combats au couteau ne sont pas rares, bien qu'en réalité de tels combats sortent de l'ordinaire.
Il convient de noter que les couteaux de combat modernes comme armes silencieuses sont de plus en plus rarement utilisés : de nos jours, les unités spéciales pour effectuer de telles tâches utilisent de plus en plus divers types de silencieux armes à feu... Aujourd'hui, un couteau militaire devient de plus en plus un outil dont un soldat a besoin pour couper des cordes, préparer une position de tir ou fabriquer des chevilles pour l'étirement. Et même pour ouvrir une boîte de conserve (une fonction très importante).
Même un nouveau type d'arme froide est apparu (d'abord dans la littérature étrangère) : les couteaux dits tactiques, qui peuvent être utilisés à la fois comme outil et comme arme militaire. La tendance principale dans le développement des couteaux de combat modernes, qui a été bien suivie au cours des dernières décennies, est l'introduction dans leur conception des éléments les plus réussis tirés des couteaux pour la survie.
Les développeurs recherchent la polyvalence, ils essaient de transformer le couteau non seulement en une arme mortelle, mais aussi en un outil pratique et efficace qui peut être utilisé pour résoudre nombre maximal Tâches. Les couteaux tactiques ne sont pas seulement utilisés par les forces de l'ordre, ils sont très populaires parmi les fans civils d'armes blanches.
Un peu sur l'histoire des couteaux
Pendant la majeure partie de l'histoire de l'humanité, ce sont les armes blanches qui ont décidé de l'issue des conflits armés. Et, bien que le couteau servait généralement d'arme secondaire, on en trouve mention dans des dizaines de chroniques et de chroniques historiques.
L'homme a appris à fabriquer des couteaux à l'âge de pierre, et depuis lors, cet outil a été son compagnon constant et fidèle.
Le début de l'utilisation des métaux par l'homme et le développement de la métallurgie ont conduit à la création d'armes encore plus efficaces, dont les couteaux. Il est à noter qu'au début de l'âge du bronze, l'homme a tout d'abord commencé à fabriquer des pointes de flèches et des fers de lance en métal, ainsi que des couteaux en bronze. Les épées ne sont pas venues tout de suite : ils ont appris à fabriquer des armes en métal de haute qualité avec une longue lame bien plus tard.
Les technologies de fonte du fer et d'obtention d'acier de haute qualité convenant à la fabrication d'armes blanches se sont développées plus rapidement au Moyen-Orient et en Inde. C'est là qu'ils ont été les premiers à apprendre à faire du damas et à forger l'acier damas.
Il est à noter que contrairement au stéréotype dominant (principalement dû au cinéma) dans l'Antiquité et au Moyen Âge, la majeure partie de l'armée était armée de lances, d'arcs, de haches et d'armes de jet. Une arme de mêlée de haute qualité avec une longue lame n'était pas facile à fabriquer et coûtait très cher. De plus, travailler avec l'épée nécessitait une grande habileté, qui a pris des années à acquérir.
Il faut dire que lors d'un affrontement avec l'utilisation de formations de combat denses, la lance et la fléchette étaient bien plus efficaces que les armes tranchantes (épée, hache). Même la célèbre épée romaine courte (gladius) était rarement utilisée. Et il était très rare que des couteaux de combat soient utilisés dans de telles batailles.
Les couteaux de combat étaient rarement considérés comme une arme par les professionnels en général. Beaucoup plus souvent, ils étaient armés d'une milice paysanne (ou autre), ainsi que d'autres types d'outils agricoles. De plus, l'utilisation d'armures massives rendait l'utilisation de couteaux de combat peu efficace.
Le monde des armes blanches anciennes et médiévales est étonnamment riche et intéressant. Outre les armes européennes plus ou moins familières, il y a aussi le Moyen-Orient, l'Inde, la Chine et le Japon, qui ont les traditions les plus riches en la matière. Mais le but de notre article n'inclut pas une étude détaillée de cette question ; pour ce faire, vous devez écrire plus d'une douzaine de livres. Cependant, plusieurs importants moments historiques, qui a sérieusement influencé le développement ultérieur des couteaux de combat, il faut le souligner.
Le plus important a été l'émergence des armes à feu, qui ont rendu les armures solides inefficaces. Cela a conduit au développement rapide des armes blanches, y compris divers types de couteaux de combat. De plus, c'est durant cette période qu'apparaissent les premières armées régulières de masse européennes. Un soldat avec un mousquet ou un étranglement lourd et inconfortable devait être armé d'armes de mêlée, de préférence avec une lame courte plus pratique. Au 17ème siècle, divers types de couperets étaient largement utilisés, qui étaient utilisés à la fois par les mousquetaires et les artilleurs.
En plus des combattants armés d'armes à feu, une partie importante des troupes étaient des piquiers, dont l'une des tâches était de se protéger contre les attaques de la cavalerie. Le rechargement des premiers échantillons d'armes à feu n'a pas été facile et assez long. Au 17ème siècle, l'infanterie a commencé à utiliser des poignards de chasse ou des baguettes, qui, après avoir été tirés, pouvaient être insérés directement dans le canon de l'arme. Ainsi, les premières baïonnettes sont apparues sur le champ de bataille et un fantassin ordinaire pouvait effectuer le travail d'un piquier et résister efficacement aux attaques de cavalerie. A la fin du même siècle, la baguette a reçu une nouvelle méthode d'attache, qui permet de recharger les armes même avec une baïonnette attachée.
Les baïonnettes sont toujours en service dans presque toutes les armées du monde, bien que, bien sûr, leur rôle soit aujourd'hui pratiquement égalisé. L'apogée des combats à la baïonnette était les 18e et 19e siècles. Il existe un grand nombre de modèles de baïonnette, ils diffèrent par la longueur, la forme de la lame, la méthode de fixation aux armes. Pendant plusieurs siècles, les concepteurs ont essayé de transformer la baïonnette en un couteau de combat efficace et d'en faire un outil pratique. Malheureusement, il est assez difficile de combiner toutes ces fonctions dans une seule arme.
Baïonnettes et couteaux de combat de la Première et de la Seconde Guerre mondiale
Il existe de nombreux modèles célèbres de baïonnettes. L'un des plus célèbres est Baïonnette carrée pour fusil Mosin... Il est apparu au service de l'armée russe à la fin du XIXe siècle, a traversé la Première Guerre mondiale avec elle, et a participé aux batailles de la guerre civile. Les soldats soviétiques de la Grande Guerre patriotique ont également participé à des attaques à la baïonnette, la baïonnette "à trois lignes" a beaucoup contribué au nettoyage de notre terre des envahisseurs nazis.
Et qu'en est-il des couteaux de combat ? La première Guerre mondiale, en fait, est devenu le temps de la deuxième naissance de cette arme. Après la fin de l'étape de la guerre mobile, les troupes des camps opposés se sont enlisées dans la guerre des tranchées et des milliers de kilomètres de tranchées ont couvert le continent européen. Les affrontements se terminaient souvent par des combats au corps à corps entre des cratères et dans un dédale de tranchées. La baïonnette à long fusil n'était absolument pas adaptée à de telles batailles.
La plupart des couteaux à baïonnette étaient d'une longueur considérable et étaient bien adaptés à une utilisation en extérieur. Ils pouvaient poignarder l'ennemi depuis le parapet de la tranchée, se défendre contre le cavalier, porter des coups de hache et de poignard, mais ils étaient mal adaptés aux actions dans un espace confiné.
C'est pour cette raison que les Allemands allaient souvent au corps à corps avec une pelle et un revolver de sapeur affûtés, les couteaux de tranchée de fabrication française (ils ressemblaient aux couteaux que les bouchers utilisent pour boucher la viande) et les Autrichiens se sont armés de massues à pointes. Les plastuns russes préféraient les poignards caucasiens.
Les soldats des camps opposés ont commencé en masse à fabriquer indépendamment des couteaux de combat de tranchées.
Pour cela, soit les lames des baïonnettes ont été raccourcies, soit des tiges de métal ont été traitées et affûtées à la taille requise (clou français). Certains des pays impliqués dans le conflit ont commencé la production industrielle de couteaux de tranchée. Tous ces échantillons d'armes blanches avaient des caractéristiques similaires : une longueur de lame d'environ 15 cm, un repose-main sur le manche, un affûtage double ou un et demi, des coussinets de préhension confortables.
L'un des couteaux de combat les plus célèbres de cette période est American Stiletto (Knuckle Knife), sur le manche duquel étaient attachés des poings américains. Il était parfait pour poignarder, avait une prise confortable qui protégeait parfaitement les doigts, les poings américains servaient arme supplémentaire Combat rapproché. Cependant, de tels couteaux de combat n'étaient pas adaptés pour infliger des coups tranchants et tranchants; ils ne pouvaient pas du tout être utilisés comme outil. Un peu plus tard, la lame stylet est abandonnée et remplacée par une lame de type poignard à affûtage double face.
Un autre couteau de combat célèbre du siècle dernier est le poignard des commandos anglais. Fairbain-sykes... La lame de ce couteau avait la forme d'un stylet, d'une longueur de 175 mm, la longueur totale du couteau était de 185 mm. Ces couteaux de combat, longs et étroits, étaient principalement destinés à poignarder. Le Fairbain-Sykes avait une petite garde et une poignée en forme de fuseau. Le couteau pouvait pénétrer le corps de la victime à une profondeur considérable et s'enlevait facilement. Cependant, l'utiliser pour couper ou hacher des coups était problématique. C'était encore moins approprié comme outil. Le fourreau pouvait être attaché aux éléments de l'équipement du combattant. Malgré sa faible polyvalence, ce couteau était très populaire, il était utilisé dans les unités et autres armées. Il existe des répliques modernes de Fairbain-Sykes, comme le couteau MARK II de Gerber.
Un autre couteau célèbre du siècle dernier est le finnois couteau puukko, qui était en service dans l'armée finlandaise. Bien que ce couteau ait été considéré comme un couteau économique et de combat, il s'est avéré excellent au cours d'opérations de combat réelles. De plus, le couteau est parfaitement équilibré, ce qui a permis aux Finlandais de le lancer avec précision, généralement ils visaient la gorge de l'ennemi. Pendant la guerre soviéto-finlandaise, on a appris à l'Armée rouge que si un Finlandais agitait brusquement la main, il fallait alors incliner la tête: dans ce cas, le couteau tomberait dans le casque. Puucco est idéal pour couper et poignarder. Dans le même temps, les couteaux de combat finlandais présentent également de nombreux inconvénients: la conception du manche ne protège pas la main, il est peu pratique pour eux de travailler avec une prise directe, le couteau n'est pratiquement pas adapté pour hacher les coups.
L'expérience a été prise en compte en URSS Guerre d'hiver, et en 1940 les troupes ont commencé à recevoir NR-40 ("couteau d'éclaireur")... Il ressemblait fortement à un Finlandais traditionnel, même s'il présentait quelques différences dans sa conception. Les unités de reconnaissance et d'assaut de l'Armée rouge étaient armées de ce couteau.
Le couteau avait une lame étroite avec un affûtage unilatéral, une crosse biseautée et une petite garde. Le manche était en bois. Le couteau d'éclaireur s'est avéré très réussi, il a été utilisé avec succès tout au long de la guerre, aujourd'hui des copies sont produites à l'aide de matériaux modernes.
Pendant la guerre, l'URSS a sorti plusieurs modèles à succès de couteaux de combat, dans chacun d'eux on peut facilement voir des "motifs scandinaves". Séparément, il faut dire à propos du couteau de combat "Cerise" (NR-43) qui parut en 1943. En fait, il s'agissait d'une modification améliorée du HP-40. "Cherry" a reçu une poignée en plastique solide, une garde droite et un dessus en métal. La conception s'est avérée si réussie qu'elle est toujours utilisée par les forces spéciales russes.
En 1942, l'US Navy a reçu un couteau MK II fabriqué par KA-BAR. Il était principalement utilisé par le Corps des Marines. La lame de ce couteau de combat a la forme des couteaux Bowie américains traditionnels et est toujours en service aujourd'hui. Le Mk II est bon pour sa polyvalence, il peut être facilement utilisé à la fois comme arme et comme outil. Les Américains pensent que le Mk II est le meilleur couteau de combat au monde.
Couteaux à baïonnette et couteaux de combat de l'après-guerre
Déjà à la fin du 20ème siècle, il est devenu clair que le couteau à baïonnette était une arme rudimentaire, dont la signification pratique était presque complètement perdue. Cependant, en même temps, pas une seule armée du monde n'ose l'abandonner complètement. Eh bien, l'armée s'est toujours distinguée par un certain degré de conservatisme. Après avoir armé la plupart des armées du monde fusils automatiques(mitrailleuses) le poids et les dimensions du couteau à baïonnette ont considérablement diminué. Mais il a reçu des appareils supplémentaires (scies, coupe-fil) - les concepteurs ont essayé de transformer le couteau à baïonnette en un outil de soldat universel.
Plusieurs versions de couteaux à baïonnette ont été fabriquées pour le fusil d'assaut soviétique AK. Il ne reçut le premier d'entre eux qu'en 1953. Cette baïonnette n'avait aucun dispositif supplémentaire, sa lame répétait complètement la lame du couteau à baïonnette pour le fusil SVT-40. a obtenu une nouvelle forme empruntée à un couteau de plongée, un manche en plastique et une scie sur la crosse. Le couteau, avec le fourreau, peut être utilisé pour couper le fil; pour cela, un trou spécial a été fait sur la lame.
Les critiques du couteau à baïonnette pour l'AK-74 sont souvent négatives. Son manche est peu pratique, on peut peu scier avec une scie et avec une lame on peut couper. Cependant, installé sur le canon d'un fusil d'assaut, il remplit parfaitement ses fonctions et peut infliger des blessures profondes. Les développeurs ont dû combiner trois fonctions dans une seule arme à la fois : une baïonnette, un couteau de combat et un outil - le résultat pouvait difficilement être parfait.
En 1989, un autre échantillon du couteau à baïonnette pour l'AK-74 et le fusil d'assaut Nikonov a été adopté. Il corrige en grande partie les principaux défauts de ses prédécesseurs. Il a reçu une forme différente de la lame et du manche, ainsi que le matériau à partir duquel le fourreau et le manche sont fabriqués.
En 1964, l'armée américaine a été adoptée, destinée principalement à vaincre l'ennemi et non à être utilisée comme un outil. Il avait une lame de poignard symétrique avec une longueur d'affûtage d'environ 170 mm.
En 1984, un nouveau couteau à baïonnette a remplacé le M7 Bayonet - Ontario M9, qui est plus un outil qu'un couteau de combat. Il est produit avec succès par plusieurs entreprises et a connu un succès commercial important. Ce couteau à baïonnette a une lame de la forme traditionnelle américaine "Bowie", il y a une scie à métal sur la crosse, la partie supérieure de la garde est utilisée pour la fixation au canon de l'arme. La poignée est en forme de fuseau et en plastique spécial. Comme la baïonnette de l'AK-74, le M9 peut couper du fil avec un fourreau.
Couteaux de combat et tactiques modernes de la Russie
Si nous parlons du développement des couteaux de combat modernes, nous pouvons alors distinguer deux tendances clairement visibles. Le premier d'entre eux est de les croiser avec des couteaux de survie, et le second est la simplification maximale de ces armes. Certaines des lames modernes ont un manche dit squelettique ou un manche fait de corde enroulée en plusieurs couches. Les fabricants de couteaux de combat modernes accordent de moins en moins d'attention aux coups de couteau, car l'utilisation massive de gilets pare-balles les rendait inefficaces. L'accent est mis principalement sur le coup de coupe, qui entraîne une diminution de la longueur de la lame, une augmentation de la largeur de la lame et une diminution de la taille de la garde.
Vous trouverez ci-dessous les exemples les plus célèbres de couteaux de combat créés ces dernières années pour les besoins de divers services spéciaux Russie.
"Lynx"... Il a été fabriqué à Zlatoust - dans la ville où les meilleures armes blanches de Russie ont été fabriquées pendant des siècles d'affilée. Le client du "Lynx" était le SOBR de la ville de Moscou, le couteau était fabriqué en trois versions à la fois: au combat, premium et civil. La forme de la lame de ce couteau est poignard, il a un aiguisage et demi. La poignée est en forme de fuseau, avec une petite garde et un dessus en métal. La forme premium de l'arme est réalisée avec de la dorure, le couteau civil a une garde et un dos légèrement différents.
DV-1 et DV-2... Ces couteaux de combat sont fabriqués sur ordre des forces spéciales d'Extrême-Orient, ils ne diffèrent que par la longueur de la lame. DV signifie "Extrême-Orient". DV-1 et DV-2 peuvent être utilisés non seulement comme une arme, mais aussi comme un outil, ils sont capables de supporter de lourdes charges. La lame est en forme de lance et affûtée sur la crosse, la garde et le pommeau sont en acier. Le manche du couteau a une section transversale ovale et est en bois de noyer. Pour protéger contre l'éblouissement et la corrosion, un revêtement spécial est appliqué sur l'acier de la lame et d'autres pièces métalliques. Ces couteaux ont une encoche spéciale devant la garde qui vous permet d'intercepter les armes et de retirer un couteau coincé. Le fourreau est en cuir véritable.
"Le punisseur"... Ces couteaux tactiques ont été fabriqués pour des unités spéciales du FSB de Russie par Melita-K, spécialisée dans la production d'acier froid depuis le milieu des années 90. Il existe plusieurs modifications de ce couteau de combat: "VZMAKH-1" et "Maestro", qui diffèrent par l'emplacement de l'affûtage dentelé. En outre, les couteaux diffèrent par le type de traitement de surface du fourreau et de la lame. De plus, les couteaux "Punisher" peuvent différer par le matériau du manche (cuir, plastique, caoutchouc).
Le couteau est doté d'une protection double face pratique et la surface de coupe est équipée d'une dépression en forme de croissant, ce qui augmente considérablement sa longueur. La lame est puissante et large, elle peut être utilisée comme outil ou utilisée comme support supplémentaire, il est tout à fait possible de creuser. Le fourreau permet d'attacher le « Punisher » à un bras, une jambe, une ceinture ou un équipement.
Il faut dire à propos d'un autre type de "Punisher" - le couteau "VZMAKH-3", spécialement conçu pour les sapeurs. Ce couteau, en plus d'une lame de guerre, contient un coupe-élingue, une scie à métal et à bois, une pince avec pince, une règle, trois tournevis, un arrache-clou, un poinçon, une pince à dénuder. De tels couteaux ont été utilisés par les sapeurs russes pour neutraliser les engins explosifs lors de l'attaque terroriste contre Dubrovka.
Couteaux de combat "Vityaz"... Ce sont des couteaux spetsnaz typiques, fabriqués sur ordre de Lysyuk, président de BKB Vityaz.
Les couteaux se distinguent par une lame massive et lourde, d'une largeur plutôt réduite, qui pénètre facilement dans le corps à une profondeur considérable. Le couteau a une poignée confortable, ce qui facilite le travail avec cette arme. La modification du couteau par l'officier a une cavité en forme de croissant et un manche de forme plus ergonomique, qui permet l'utilisation d'une prise inversée.
"Anti-terreur"... Ceci est un autre couteau créé pour les unités spéciales du FSB de Russie. Sa lame est en forme de feuille, ce qui lui confère d'excellentes propriétés de coupe. Le tranchant a une dépression en forme de croissant, ce qui permet d'augmenter sa longueur tout en maintenant la taille de la lame. Sur la crosse du couteau il y a un affûtage dentelé, le manche et la garde sont confortables pour le travail et ne permettent pas à la main de glisser.
"Katran"... Ce couteau a plusieurs modifications et l'une d'entre elles peut être utilisée comme couteau sous-marin.
Quelques mots doivent être dits séparément sur les couteaux sous-marins. Ils jouent très rôle important dans le travail des plongeurs, parfois la vie d'un plongeur dépend de la qualité du couteau. Certes, il n'y a pas de cas documentés de combats sous-marins au couteau, mais il y a déjà beaucoup de travail pour cet outil sous l'eau.
Un couteau de nageur de combat doit répondre à de nombreuses exigences à la fois. Il doit être long pour pouvoir couper des cordes, des ceintures, des câbles et combattre l'un des principaux ennemis des plongeurs - avec des filets. Aux mêmes fins, le couteau de plongée est nécessairement équipé d'un aiguisage en forme de vague. Un tel couteau ne doit pas éblouir, ce qui pourrait donner un nageur. Les avis divergent concernant la scie sur la lame : certains auteurs pensent que c'est nécessaire, tandis que d'autres soutiennent que l'affûtage en forme de vague est suffisant. La situation est similaire en ce qui concerne le crochet de rupture, certains experts le considèrent comme une pièce absolument inutile.
Un couteau sous-marin doit tenir confortablement dans la main, même avec un gant spécial, et être doté d'une sangle de sécurité fiable. Le couteau sous-marin doit pouvoir être attaché à différentes parties du corps du plongeur : sur les jambes, les bras, la ceinture. De plus, gros problème représente la corrosion causée par l'eau de mer. Pour le combattre, les fabricants utilisent divers additifs dans l'acier, un revêtement spécial de la lame, ainsi que la fabrication de couteaux en alliages de titane.
Le couteau de combat sous-marin "Katran-1" a un affûtage et demi et une scie en forme de vague sur la crosse. Sur la partie racine de la lame en dessous se trouve un crochet de rupture, ainsi qu'un affûtage dentelé. La lame a une petite garde et un manche en caoutchouc. Toutes les pièces métalliques sont chromées.
"Katran-1C"- un couteau de combat terrestre, il diffère de la modification sous-marine par l'acier dont est faite la lame et sa forme. Toutes les parties métalliques du couteau sont antireflet.
Il y a aussi version civile ce couteau.
"Shaitan"... Il a été développé en 2001 par ordre du ministère de l'Intérieur de la Russie. Il existe deux modifications de ce couteau de combat, qui diffèrent par la conception de leur manche. Il s'agit d'un poignard avec une lame étroite en forme de feuille et un affûtage double face. L'affûtage dentelé est situé à la racine de la lame des deux côtés. La poignée est en cuir spécialement traité. "Shaitan" est parfaitement équilibré et peut être utilisé pour le lancer, le couteau peut supporter jusqu'à 3 000 lancers. Les parties métalliques du couteau sont antireflet.
"Akela"... Développé sur ordre du SOBR russe, destiné à être utilisé dans des conditions urbaines. La lame étroite a un affûtage double face et une forme de poignard. Il y a une petite garde, la poignée est en caoutchouc. Toutes les parties métalliques du couteau sont antireflet.
"Smersh-5"... Il s'agit d'un couteau de combat créé pour les unités de renseignement (GRU du ministère russe de la Défense) de l'armée russe. Le célèbre couteau HP-40 est devenu son prototype. La lame a une forme traditionnelle couteau finlandais, qui offre une pénétration élevée et de bonnes propriétés de coupe. Il y a une petite garde qui empêche la main de glisser pendant le coup de couteau.
"Gyurza"... Ce couteau de combat a été créé pour les forces spéciales du FSB de Russie. Il a une lame en forme de poignard et un affûtage d'un an et demi. Il y a un dentelé sur la crosse.
"Cobra"... Ce couteau a été développé sur ordre du SOBR russe. La lame est étroite, en forme de poignard avec un affûtage double face, avec une garde et une poignée confortables. La forme de la lame permet à ce couteau de donner non seulement des coups de couteau, mais aussi des coups tranchants.
"Technicien d'explosifs"... Ce couteau a été créé spécifiquement pour les unités de sapeurs du FSB de Russie. Il a une longue lame (180 mm) et peut être utilisé comme arme et outil militaire pour travailler avec des objets explosifs. L'affûtage des couteaux est double face, d'un côté il y a un petit denteleur. Le manche est en bois et a un dessus en métal.
Couteau de combat "Elfe"... Il a été développé à Klimovsk à TsNIITochmash spécifiquement pour les unités GRU MO. Le couteau a une lame assez étroite avec un affûtage unilatéral et une fausse lame sur le devant de la crosse. Immédiatement derrière elle se trouve une section avec un affûtage en forme de vague, qui augmente considérablement efficacité au combat"Elfe". Les parties métalliques du couteau sont plaquées de chrome noir ; il y a une cavité dans la poignée, qui contient des articles NAZ.
couteau Basurmanin... Il a été fabriqué pour les unités GRU MO au début des années 90. C'est votre couteau de survie typique. Il a une lame droite en forme de dague avec un affûtage unilatéral et une lame bleuie. Le manche du couteau est également en acier avec une encoche appliquée dessus. À l'intérieur de la poignée se trouve une cavité dans laquelle sont placés les objets essentiels. Le fourreau de Basurmanin a des dispositifs pour couper le fil, une scie pour le bois et le métal, un tournevis et une clé.
"Loup-garou"... C'est un couteau pliant qui peut être utilisé comme arme de combat et outil. Deux poignées de couteaux pliants se cachent ensemble complet outils : deux scies, un ouvre-porte, un tournevis et un arrache-clou. Le couteau peut être utilisé comme coupe-fil. Ce couteau pliant est plus un outil qu'une arme de guerre.
Couteaux de combat étrangers
Les pays européens ont une longue et riche tradition de développement et de fabrication d'armes blanches, y compris des couteaux de combat. Aujourd'hui, aux États-Unis et en Europe, des dizaines d'entreprises privées sont engagées dans la fabrication d'armes blanches sur commande des agences de sécurité de l'État, ainsi que dans la vente commerciale à des particuliers, parmi lesquels les couteaux de combat sont particulièrement populaires. Nous ne considérerons que quelques exemples de couteaux de combat et tactiques (les plus connus). production étrangère, parce que leur assortiment est vraiment énorme.
Au cours de l'histoire des couteaux de combat de la Seconde Guerre mondiale, nous avons déjà parlé du célèbre couteau américain Mk II KA-BAR, le couteau Next Generation Fighter est, en fait, une réplique moderne armes légendaires créé en utilisant les derniers matériaux et technologies. Le nom se traduit par « Next Generation Fighter ». Ce couteau a une lame massive, un affûtage unilatéral, une garde confortable et un manche en thermoplastique.
Depuis 1957, le Camillus est le principal couteau de combat des pilotes américains. Il a souvent sauvé la vie de pilotes dans les jungles d'Indochine et les sables du Moyen-Orient. C'est plus un couteau de survie qu'une arme de combat. En 2003, une modification moderne de cette arme est apparue - A.S.E.K. Système de couteau de survie (Ontario)... Ce couteau est fabriqué en utilisant les technologies et les matériaux les plus avancés et basé sur un demi-siècle d'expérience avec le couteau Camillus.
Lame A.S.E.K. Le système de couteaux de survie est fabriqué en acier peu sensible à la corrosion, le manche est en plastique durable et pratique. Sur le bout du couteau, il y a une scie qui peut manipuler à la fois le bois et l'aluminium de qualité aéronautique. Un rebord est fait sur le dessus pour casser le verre et le plastique. Il y a un trou sur la garde qui vous permet de transformer le couteau en fer de lance.
Ce couteau de combat est fabriqué pour l'US Navy et le Marine Corps. Son prédécesseur est le même Mk.1 Ka-Bar, mais la forme du couteau et les matériaux à partir desquels il est fabriqué sont très différents. Le biseau de la crosse est affûté, sur sa partie supérieure se trouve une scie avec des dents assez grandes. La garde est droite et la poignée est en plastique confortable, le fourreau est fait du même matériau. Le pommeau peut être utilisé comme marteau ou pour frapper au combat. Ce couteau de combat est extrêmement efficace pour poignarder.
Ce couteau de combat rappelle davantage les célèbres dagues de la Seconde Guerre mondiale. Contrairement à la plupart des poignards, le SP15 peut être utilisé pour des coups tranchants, la forme de sa lame est asymétrique et convient parfaitement à cet usage. Une partie importante de la crosse de la lame est occupée par un grand dentelé, le manche est en plastique, il y a un gros pommeau en métal et une petite garde.
Ce couteau, créé par Eickhorn-Solingen Ltd., a été adopté par la Bundeswehr en 2001. La forme de la lame de ce couteau est curieuse, elle ressemble aux couteaux de combat traditionnels japonais. En plus de la forme "japonaise", le couteau a un affûtage unilatéral, des pentes atteignant près du tiers de la largeur de la lame, un affûtage dentelé, qui occupe la moitié du tranchant. L'épaisseur considérable de la lame permet d'utiliser le couteau comme un outil sans craindre de le casser. Il y a une garde, le manche est en plastique, avec un pommeau puissant.
Le couteau est en acier inoxydable de haute qualité, le fourreau est en plastique, ils ont un ressort spécial pour maintenir la lame. Un morceau d'abrasif est attaché au fourreau pour affûter la lame.
L'un des couteaux de combat italiens les plus reconnaissables, la lame a la forme d'un poignard tanto japonais. Ce couteau de combat est capable de supporter une charge de 150 kg. La forme de la lame permet non seulement de poignarder et de couper les coups, mais aussi de les couper. Il y a un denteleur sur la surface de coupe à la racine de la lame. La modification de combat du couteau est équipée d'une garde, le manche est en plastique.
Il est considéré comme l'un des couteaux de combat les plus prometteurs au monde. Les développeurs d'un seul produit ont réussi à combiner des armes de combat et des outils de survie dans un environnement hostile. Le couteau a une lame en forme de poignard avec un affûtage aux 2/3 de la crosse. Il y a un serrator sur la racine de la crosse. La longueur de la lame est de 171 mm, sa forme bien pensée permet des coups de couteau et de coupe efficaces. Le tranchant a une forme alternative, ce qui augmente considérablement son efficacité. La lame est recouverte de carbure de tungstène et d'un film de carbone, ce qui offre un haut degré de protection contre la corrosion. La couleur de la lame est sombre. Le couteau a une garde importante, qui non seulement donne à l'arme un aspect "prédateur", mais peut également être utilisé comme ouvreur ou même comme pied de biche. La poignée est en fibre de verre et a des inserts spéciaux qui augmentent l'adhérence avec la paume. Il y a un pommeau puissant qui peut être utilisé comme marteau ou comme arme. Le fourreau est rigide, en plastique, de couleur sombre, avec un mécanisme fiable pour fixer le couteau. Le système de fixation du fourreau offre plusieurs options pour leur position, parmi lesquelles le combattant peut choisir la meilleure.