En termes de revenus dans la société, on peut conditionnellement distinguer les couches supérieure, moyenne et inférieure. Dans la période de 1990 à 1999 en Biélorussie, il y a eu un creusement des inégalités sur cette base. Si en 1990 le rapport du revenu moyen de 10 % des familles les plus riches au revenu moyen de 10 % des familles les plus pauvres était de 3, alors en 1999, il était de 9,8. Avant l'effondrement de l'URSS, la pauvreté en Biélorussie ne dépassait pas 1% de la population, et en 1999, selon les données officielles, elle dépassait 36%.
Bien sûr, même des dictatures stables à long terme s'avèrent parfois complètement inattendues et inattendues. Et souhaiter au peuple biélorusse une vie de liberté, de démocratie et d'État de droit avec une économie prospère dans tous les cas - tant chez les voisins baltes que dans les pays baltes.
Mais à côté de Loukachenka, il y a quelqu'un d'autre qui n'autorisera pas les changements dans le pays voisin - Vladimir Poutine. Pour le souverain du Kremlin, la Biélorussie reste un État frère irremplaçable et une partie importante de sa sphère d'influence. Et la guerre, l'invasion de troupes russes, serait le plus grave mais improbable de tous les scénarios possibles. De ce point de vue, Loukachenka lui-même est le moindre mal. Vous devez également être presque sûr qu'il ne renoncera pas volontairement au pouvoir et que Ianoukovitch finira par tirer sur son peuple en Ukraine.
Structure sociale sociétés Est un ensemble stable de ses éléments, ainsi que des connexions et des relations que des groupes et des communautés de personnes établissent à propos des conditions de leur vie.
Mettez en surbrillance le principal(dominant au sein d'une certaine formation socio-économique) et classes mineures(dont l'existence est due au maintien dans une formation socio-économique donnée des vestiges de l'ancienne ou à l'émergence des rudiments de nouveaux rapports de production).
Les perspectives pour la Biélorussie sont donc petites, « printanières », mais plutôt sombres. Dans les semaines à venir, il sera montré si les protestations contre la « taxe parasitaire » et le désastre économique général se multiplient et plus de gens dans les rues. May a annoncé un autre rassemblement à Minsk. Les groupes de défense des droits de l'homme craignent que des arrestations massives ultérieures et une nouvelle escalade de la persécution gouvernementale à l'encontre d'autres penseurs ne suivent les derniers développements.
Si Loukachenko veut se soumettre politiquement et politiquement à la Russie, il dépend de la coopération économique et de l'aide de l'Occident. Les opposants et militants des droits de l'homme biélorusses critiquent à juste titre le fait que les autorités semblent disposer de suffisamment de ressources pour acheter des prisonniers de guerre modernes et des voitures de police, alors que de nombreuses personnes dans le pays vivent dans la pauvreté. C'est là que les donateurs occidentaux doivent surveiller de près ce qui est réellement financé par les prêts qui leur sont accordés.
Sur la base de statistiques et d'études sociologiques sur le statut de propriété des résidents du Bélarus, E. M. Babosov distingue les groupes suivants :
Riche (1,5 %).
Riche(5-6 %) qui s'autorisent des achats coûteux, des voyages, se reposent dans des sanatoriums coûteux.
Sécurisé(8-9%), se sentant limités dans l'achat de choses chères, en vacances à l'étranger, dans les restaurants.
Le message de Loukachenka en provenance de l'Occident doit être clair : Coopération économique et d'autres prêts uniquement en échange du respect des droits de l'homme. Vous n'avez plus à financer la police. Pour cela, Poutine serait le meilleur contact pour Loukachenka. Une chose est claire : à un moment donné, le printemps politique entrera également en Biélorussie. Cela ne pourra probablement se produire que lorsque le grand frère de la Russie réalisera un changement démocratique. D'ici là, nous devons nous engager envers l'opposition persécutée, les défenseurs des droits humains et les journalistes, ainsi que la libération des prisonniers politiques en Biélorussie.
Revenu intermédiaire(14 %) forcés de choisir entre appareils ménagers, des vêtements chers ou de la bonne nourriture.
Faible revenu(17 %) qui ne peuvent pas acheter appareils ménagers et ont des difficultés à acheter des vêtements et à organiser des activités de loisirs.
Pauvre(46%) qui n'ont qu'occasionnellement les moyens d'acheter de la viande, des fruits, des vêtements, sont incapables de payer les études de leurs enfants, ou d'organiser des loisirs culturels.
L'analyse de Karl Marx est basée sur une bipolarisation sociale controversée
Et il faut aller à la campagne pour rencontrer des gens - des aventuriers avec un train de nuit ou même sans visa dès le début de l'année dans les 5 jours qui suivent l'arrivée en avion. Marx, qui considérait que la société était fondamentalement structurée sur la base du travail et activité économique... multidimensionnel stratification sociale faisant de l'aspect économique un des éléments de cette stratification. Karl Marx est un philosophe allemand, également économiste, sociologue et historien. Son analyse du capitalisme l'amène à critiquer radicalement ce système et à s'engager à lutte politique contre le capitalisme.
Mendiants(7%) - sont sur le point de survivre, ont besoin de fonds supplémentaires pour assurer un niveau de vie décent.
La stratification immobilière correspond à la hiérarchie construite selon des critères de statut social, présentée dans la deuxième gradation septuple de Babosov :
Couche supérieure- le plus haut bureaucratie d'État et la nouvelle bourgeoisie.
Les sociétés sont des sociétés de classes : Marx, dans ses recherches d'historien, montre qu'il existe dans toutes les sociétés un système de classes, c'est-à-dire des relations entre groupes sociaux, dont l'un est dominant et l'autre dominant. Même si dans une société donnée il peut y avoir plus de deux classes à un moment donné, il n'y a toujours que deux classes principales : l'une domine l'autre, les autres classes appartenant à l'une ou l'autre de l'autre classe lors des conflits entre le groupe dominant et le groupe dominant.
Ce sont les conditions matérielles d'existence qui déterminent la vie en société, c'est-à-dire les relations sociales, les idées, les croyances. En d'autres termes, le mode de production matérielle détermine l'éducation sociale ; l'étude de la production est nécessaire pour comprendre la réalité sociale : « c'est dans la sphère de la production que se trouve la base cachée de toute structure sociale ».
Couche intermédiaire supérieure- les petits et moyens entrepreneurs, les directions, les artistes les plus réussis, les acteurs, les présentateurs de télévision, les scientifiques, les propriétaires d'institutions médicales privées.
Couche intermédiaire intermédiaire- Professeurs, médecins et avocats, chefs de départements d'entreprises prospères et grandes, cadres supérieurs.
Couche intermédiaire inférieure- les enseignants, les ingénieurs de base, les ouvriers des institutions culturelles, les sous-officiers, les ouvriers qualifiés.
Ainsi, l'économie capitaliste détermine la société bourgeoise industrielle, et le rapport de production capitaliste détermine le rapport des classes. Dans le mode de production capitaliste, ces rapports de production sont spécifiques : l'ouvrier n'a que sa propre force de travail, qu'il vend à un ouvrier non capitaliste qui a les moyens de travail, l'objet du travail et, finalement, le produit de travail et le profit reçu. A noter que ce profit provient du travail des ouvriers.
C'est en s'appropriant le travail de ses ouvriers et le produit de ce travail que le capitaliste les utilise : leurs intérêts sont absolument antagonistes. Par exemple, des salaires plus bas sont plus de profits et plus de revenus pour le capitaliste. Ainsi, les rapports de production capitaliste sont déterminés par la propriété privée des moyens de production et le rapport les salaires: le salarié est subordonné à son employeur.
Couche inférieure- ouvriers peu qualifiés, employés, sergents des Forces armées et OVD.
Couches marginales- mendiants, réfugiés, déplacés internes, adolescents sans domicile fixe, etc.
14 Communautés sociales
Communauté sociale est un ensemble de personnes, qui se caractérise par les conditions de leur vie (économique, statut socio-économique, niveau formation professionnelle et éducation, intérêts et besoins, etc.) communs à un groupe donné d'individus en interaction (classes nationales, groupes sociaux et professionnels, collectifs de travail, etc.) ; appartenance à des entités territoriales historiquement établies (ville, village, région), appartenance du groupe étudié d'individus en interaction à l'un ou l'autre institutions sociales(famille, éducation, science, politique, religion, etc.).
Ainsi, les rapports de production déterminent les rapports sociaux, à savoir les conditions d'existence et le mode de vie des personnes, c'est en ce sens que le capital de Marx est avant tout un rapport social. Les relations dans l'entreprise capitaliste déterminent les relations dans la société industrielle.
Extensions modernes
L'homogénéisation de la société au Ve siècle met à mal la vision marxiste des classes sociales
Les modes de vie convergent, réduisant les inégalité sociale... Si l'on prend l'ensemble du 20e siècle, on ne peut nier la réduction des inégalités économiques : les bas revenus ont augmenté beaucoup plus vite que les hauts revenus, la consommation a fortement augmenté pour toutes les catégories sociales, l'accès aux biens de consommation durables. Dans le même temps, la sécurité face aux aléas de la vie a progressé pour tous grâce au développement de l'Etat providence : la sécurité sociale a permis à tous les Français de bien prendre en charge et de bénéficier de retraites leur permettant de vivre une partie digne de leur vie lorsqu'une personne ne peut plus travailler, ce qui était très loin de ce qu'elle était avant. Le très haut niveau de sécurité de l'emploi durant les années trente glorieuses a également permis à de nombreux ménages de faire des projets et de contracter des emprunts pour acheter leur logement. Enfin, la scolarisation de tous les enfants s'est accrue, et il en résulte que les modes de vie se ressemblent de plus en plus, quel que soit le groupe social auquel ils appartiennent. Ainsi, les vêtements sont beaucoup moins typés socialement qu'ils ne l'étaient, de plus en plus de Français sont attirés par les congés, on retrouve sur les bancs du lycée des enfants de toutes les couches sociales, qui ont donc lieu commun socialisation, etc... dans le monde du travail, les écarts se sont aussi sensiblement atténués : de moins en moins d'agriculteurs et leurs tâches managériales deviennent de plus en plus leurs artisans ou industriels. Les ouvriers travaillent de plus en moins directement sur la matière, ils ont tendance à avoir des fonctions de contrôle sur des opérations de production de plus en plus automatisées, et de plus en plus ils travaillent de plus en plus dans le secteur tertiaire comme les chauffeurs routiers. Certains managers doivent se débrouiller sans secrétaire et imprimez vos propres rapports ou courriers, et gérez votre propre agenda. L'autonomie au travail est plus grande à tous les niveaux de la hiérarchie. De plus, pendant la majeure partie du vingtième siècle, les droits des travailleurs et des employés en général ont été élargis : en plus de la protection sociale susmentionnée, le statut du travail, les droits syndicaux, les conditions de travail, etc. bref, le statut de salarié est devenu un statut protecteur. Nous comprenons le déclin de la conscience de classe et les conflits de classe. augmenter leur consommation et donner la priorité à l'amélioration de leur situation personnelle et de leurs enfants pour protéger leur groupe social. Création d'une classe moyenne nombreuse, comprenant des professions intermédiaires, quelques cadres, ouvriers qualifiés et un grand nombre salariés, serait le résultat d'une telle réduction des inégalités, ainsi que de l'uniformisation des modes de vie.Liens sociaux... Le fonctionnement et le développement d'une communauté sociale se font sur la base de liens sociaux et l'interaction de ses éléments individuels.
L'essence du lien social se manifeste dans le contenu et la nature des actions des personnes qui composent une communauté sociale donnée. Il est possible de distinguer des liens d'interaction, de contrôle, de relations, ainsi que des liens institutionnels.
Ainsi, la structure sociale se déforme et prend la forme du sommet : la société française « la prend sur le ventre » en multipliant les catégories intermédiaires, notamment, l'éducation, la santé à l'image des infirmières, position parmi les décideurs, médecins et exécuteurs testamentaires. , gardiens.
Ainsi, la triple approche, classes supérieures, classes moyennes et classes populaires, est remplacée par la double approche de Marx. Cette sociologie développe des analyses qui mobilisent le concept de stratification au sens restreint du terme : expression classes sociales utilisé dans le sens de couches sociales, s'opposant à la définition marxiste des classes sociales. Ce concept théorique fait de la société une simple superposition de strates ou de couches sociales, et les individus se différencient les uns des autres selon de nombreux critères, tels que le revenu, le diplôme, le prestige, le pouvoir, la naissance de plusieurs groupes.
Interaction sociale. Le point de départ de la formation d'un lien social peut être l'interaction d'individus ou de groupes qui forment une communauté sociale pour répondre à certains besoins.
L'interaction sociale a un côté objectif et un côté subjectif. Le côté objectif de l'interaction sont des connexions qui sont indépendantes des individus, mais qui médiatisent et contrôlent le contenu et la nature de leur interaction. Le côté subjectif est compris comme l'attitude consciente des individus les uns envers les autres, basée sur des attentes mutuelles du comportement correspondant du temps.
Son but ici est de répartir tous les habitants comme une mini-société, pas d'étudier les rapports de pouvoir entre les groupes. Il y a un déclin constant des positions allant des plus riches en ressources économiques, sociales et politiques aux plus pauvres, bien tolérées par les classes moyennes. Enfin, ces positions peuvent changer.
Pierre Bourdieu construit un espace social fondé sur une participation en capital
Comme on le voit, cette sociologie envisage une approche nominaliste des classes sociales selon Weber : les classes ne sont pas des reproductions de réelles, mais des créations d'observateurs, des constructions intellectuelles conduites par un sociologue, tout en conservant les critères de classification pour saisir le réel. Ce sociologue français emprunte autant à Weber qu'à Marx. Premièrement, il considère l'approche multidimensionnelle de la structure sociale, en particulier la hiérarchie du prestige, qui se traduit par un mode de vie particulier ; dans le second, des rapports de classe fondés sur la domination.
Relations sociales, structure sociale et systèmes sociaux. L'interaction conduit généralement à la formation de nouvelles relations sociales... Ces derniers peuvent être considérés comme des liens relativement stables et indépendants entre les individus et les groupes sociaux.
Système social est un ensemble de phénomènes et de processus sociaux qui sont en relations et en connexion les uns avec les autres et forment une sorte d'objet social intégral.
La position des personnes dans l'espace social dépend de la quantité et du type de capital qui appartient à chacun : capital économique, social et social. Cette approche sera explorée dans l'étude des facteurs de mobilité sociale dans la partie 2 de ce chapitre.
Alors que le capital économique joue un rôle traditionnel dans l'allocation des individus, Bourdieu insiste sur le rôle déterminant du capital culturel et minimise le capital social. Trois classes sociales se positionnent : la classe dominante, les classes moyennes, les classes populaires et l'espace des positions sociales coïncident avec la dominance du mode de vie. Les variables explicatives de la diversification des pratiques sociales sont nombreuses, mais le capital culturel est la variable initiale sur laquelle Pierre Bourdieu insiste.
La structure sociale signifie la division objective de la société en couches distinctes, en groupes, différents dans leur statut social, dans leur relation avec le mode de production. Il s'agit d'une connexion stable d'éléments dans système social... Les principaux éléments de la structure sociale sont des communautés sociales telles que des classes et des groupes apparentés, des groupes ethniques, professionnels, socio-démographiques, des communautés socio-territoriales (ville, village, région) ..
Les principaux types de communautés sociales. Le fonctionnement des relations sociales, des institutions de contrôle et des organisations génère un système complexe de liens sociaux qui régit les besoins, les intérêts et les objectifs des personnes. Ce système unit les individus et leurs groupes en un seul tout - une communauté sociale et à travers elle - en un système social Fonctionnellement, les communautés sociales dirigent les actions de leurs membres pour atteindre les objectifs du groupe.
Les raisons de la désorganisation des communautés sociales.
Processus sociaux(démographique, migration, urbanisation, industrialisation) en tant que résultat indésirable peut avoir un effet destructeur et désorganisé sur les communautés sociales.
Groupes sociaux
Groupe social est un ensemble d'individus interagissant d'une certaine manière en fonction des attentes partagées de chaque membre du groupe par rapport aux autres.
En analysant cette définition, on peut distinguer deux conditions nécessaires pour qu'une population soit considérée comme un groupe :
1 la présence d'interactions entre ses membres ;
2 l'émergence d'attentes partagées de chaque membre du groupe vis-à-vis des autres membres du groupe.
les principales caractéristiques des groupes :
1 un certain mode d'interaction entre leurs membres. Observé différentes façons interactions au sein des groupes, y compris comme les fraternités, les clubs, les organisations de femmes, etc.
2 l'appartenance, un sentiment d'appartenance à un groupe donné.
3 identité du point de vue des étrangers. L'identité de groupe est nettement plus stable qu'on ne le pense. Si nous rencontrons une personne et découvrons qu'elle est membre d'un groupe religieux (par exemple, des chrétiens juifs), nous supposons généralement que le groupe l'influence et pensons que ses actions sont menées sous la pression d'autres membres du groupe. .
Considérez de tels types de groupes sociaux , à la fois primaire et secondaire :
Groupes primaires. Se compose d'un petit nombre de personnes entre lesquelles des relations sont établies en fonction de leurs caractéristiques individuelles... Les groupes primaires ne sont pas grands, car sinon il est difficile d'établir des relations personnelles directes entre tous les membres.. Ils se forment sur la base de l'émergence de contacts plus ou moins constants et étroits entre plusieurs personnes ou à la suite de l'effondrement tout groupe social secondaire.
Groupe secondaire. Il est formé de personnes entre lesquelles il n'y a presque pas de relations affectives, leur interaction est due au désir d'atteindre certains objectifs. Dans ces groupes, l'importance principale est attachée à ne pas qualités personnelles, mais la capacité d'accomplir certaines fonctions. Un exemple de groupe secondaire est entreprise industrielle... Dans le groupe secondaire, les rôles sont clairement définis, ses membres se connaissent souvent très peu.
Considérez le rôle d'un groupe social dans le développement de la société et la formation d'une personnalité :
1 Socialisation. Le groupe est le principal facteur contribuant à la survie d'une personne dans la société
2 Le rôle instrumental du groupe... De nombreux groupes sont formés pour faire un travail spécifique. Ces groupes sont nécessaires pour réaliser des activités difficiles ou impossibles à réaliser pour une seule personne (groupes professionnels).
3 expressif aspect dans la formation du groupe. Certains types de groupes sont appelés expressifs. Ils visent à satisfaire le désir des membres du groupe d'approbation sociale, de respect et de confiance.
4 Rôle d'accompagnement du groupe... Les gens se réunissent non seulement pour mener des activités communes et satisfaire des besoins sociaux, mais aussi pour atténuer des sentiments désagréables. exposition aux émotions des autres membres du groupe.
Les dyades. Composé de deux personnes (par exemple, des amoureux). Il est très fragile et se décompose si l'un des membres quitte le groupe, nécessitant une interaction plus étroite, ordonnée et positive entre ses membres.
Triades. Des groupes de trois, qui s'additionnent généralement relation compliquée... Tôt ou tard, il y aura un rapprochement entre deux membres du groupe et l'exclusion d'un troisième de celui-ci.
Des groupes plus importants. Plus productif que les dyades et les triades. Les membres de groupes plus importants ont tendance à fournir des suggestions plus utiles.
Considérez spécifique facteurs inhérents au fonctionnement du groupe :
1 Dynamique de groupe- interaction des membres d'un groupe social entre eux. Les processus de dynamique de groupe comprennent : le leadership et le leadership ; formation d'une opinion de groupe; cohésion de groupe; la pression du groupe et d'autres moyens de réguler le comportement des membres du groupe. Un groupe peut être subordonné à un ou deux de ses membres, mais tous ses membres peuvent être inclus dans le processus de gestion.
2 Communication dans le groupe... A révélé que les schémas de communication lors de l'exécution d'une tâche de groupe affectent de manière significative les résultats des actions du groupe.
Toute société a toujours une structure sociale, qui s'entend comme l'ensemble des classes, des couches, des groupes sociaux, etc. La structure sociale d'une société est toujours déterminée par le mode de production et change en conséquence à mesure que les relations sociales changent.
Les communautés sociales sont des groupes de personnes relativement stables, différant par des conditions et des modes de vie plus ou moins similaires, des intérêts plus ou moins similaires. Société différents types- formes de vie en commun.
Approches de la formation de la structure de groupe social de la société
* sous-structure démographique (sexe, âge)
* sous-structure ethnique (tribu, nationalité, nation)
* sous-structure territoriale (population urbaine et rurale, région)
* sous-structure de classe (classes et groupes sociaux)
* sous-structure familiale
Dans les années 90, la structure sociale est devenue plus mobile, la variété des statuts sociaux s'est accrue, l'importance des composantes du statut social a également changé - le poids social des personnes est de plus en plus déterminé par la quantité de capital, les limites de la pauvreté et la misère se sont étendues.
Allouer cinq postes principaux Société biélorusse :
la strate inférieure - les salariés sans spécialité, les ouvriers peu qualifiés, les retraités, les personnes handicapées, les femmes au foyer, les chômeurs ;
la strate de base - spécialistes des professions de masse, retraités, travailleurs de qualification moyenne;
la strate moyenne - spécialistes hautement qualifiés, travailleurs hautement qualifiés, entrepreneurs de taille moyenne;
couche supérieure - spécialistes très demandés, entrepreneurs à succès, les ouvriers les plus qualifiés ;
élite - employés bien rémunérés, entrepreneurs.
Le concept de « composition sociale » de la population du pays dans son contenu est proche du concept de structure sociale de la société. Il reflète non seulement la présence de certains groupes dans la société, mais aussi leur nombre.
Dans la structure sociale de toute société, les groupes de personnes se distinguent principalement par leur lieu de résidence - la population d'une ville ou d'un village. Dans la composition sociale de la population, les groupes qui se sont développés historiquement - ethniques sont nécessairement distingués. Les communautés religieuses se distinguent également (catholiques, chrétiens orthodoxes, baptistes, musulmans). Les groupes de personnes sont toujours distingués sur la base de leur attitude envers la propriété, les groupes professionnels, en groupes séparés les gens s'unissent selon leur place dans la gestion de la société, selon le montant des revenus, etc.
Selon recensement de 2009, des représentants de plus de 130 nations et nationalités vivaient sur le territoire de la Biélorussie. Parmi eux, les groupes ethniques les plus représentés sont les Biélorusses (7 957 252), les Russes (785 084), les Polonais (294 549), les Ukrainiens (158 723), les Juifs (12 926), les Arméniens (8 512), les Tatars (7 316), les Roms (7 079), les Azerbaïdjanais (5 567), Lituaniens (5 087). 1 - 3,5 mille personnes il y a des Moldaves, des Turkmènes, des Allemands, des Géorgiens, des Chinois, des Ouzbeks, des Lettons, des Kazakhs, des Arabes, des Tchouvach.
La population de la Biélorussie au 1er juin 2011 s'élevait à 9469 000 personnes et par rapport au début année actuelle diminué de 12,2 mille personnes.
Près de 70% de la population de notre pays vit dans les villes, et par conséquent 30% est la population rurale. La population urbaine est concentrée dans 104 villes et 108 agglomérations de type urbain. 15 villes ont une population de plus de 100 mille personnes, elles abritent 67% de la population urbaine. La capitale de notre pays, Minsk, abrite environ 1 million 700 000 citoyens, soit environ 24% de la population urbaine totale. Selon le dernier recensement, il y avait 1129 femmes pour 1000 hommes, et ce chiffre augmente dans les groupes de plus de 50.
La structure sociale de la société biélorusse moderne répond à la les tendances, qui sont caractéristiques des États industriels développés modernes (augmentation de la part de la population urbaine, augmentation du niveau d'éducation de la population, augmentation de la part des travailleurs qualifiés, formation d'une classe moyenne, etc.). Mais en même temps, il convient de souligner que de nombreux indicateurs de la structure sociale de notre société sont le résultat de politique publique.
L'orientation la plus importante de la politique de l'État dans notre pays est la poursuite de améliorer le niveau et la qualité de vie de la population... L'État dans ses activités vise avant tout à assurer la croissance des revenus monétaires réels comme base pour améliorer la vie de la population, vaincre la pauvreté, prévenir les manifestations d'injustice sociale et de tension sociale dans la société. Dans notre pays en dernières années il y avait une dynamique positive de croissance des revenus de la population. La part de la population à faible revenu est passée de 42 % en 2000 à 6,1 % en 2008. C'est l'un des meilleurs indicateurs parmi les pays de la CEI.
Actuellement, pratiquement dans tous les pays, il existe une différenciation sociale et une inégalité sociale. Un des indicateurs critiques, sur la base duquel le niveau d'inégalité est mesuré est le rapport entre les revenus des 10 % les plus riches et les plus pauvres de la société(Les scientifiques appellent ce rapport le "rapport des déciles"). Dans notre pays, c'est 5,6 fois (en Russie 16,8 fois).
Au cours des dernières années précédant la crise, environ 60 %. budget de l'Etat de la République de Biélorussie a été dépensé en besoins sociaux... Ce chiffre témoigne de la haute orientation sociale de la politique d'État de la République de Biélorussie. Les experts de la Banque mondiale ont évalué le soutien social de l'État à la population du Bélarus comme le plus élevé parmi les pays à économie en transition.
Actuellement, environ 2,4 millions de retraités, dont 1,9 million de personnes sont des vétérans du travail, environ 70 000 personnes sont des vétérans de la Grande Guerre patriotique.
Dans la république, une attention particulière est portée à la protection sociale anciens combattants La Grande Guerre Patriotique. Étant donné que la principale source de leurs revenus sont les pensions, des allocations spéciales ont été établies pour leurs pensions de travail.
Protection sociale désactivée- une des directions prioritaires de l'état la politique sociale... Dans la république, le nombre de personnes handicapées dépasse 500 000 personnes, dont environ 30 000 enfants handicapés. Un réseau d'institutions de réadaptation a été créé et fonctionne dans le pays. Ces institutions mènent des activités dans le cadre de la réinsertion médicale, professionnelle et sociale des personnes handicapées.
En janvier 2002, une loi très importante a été adoptée dans notre pays - la loi « Sur la sécurité démographique de la République du Bélarus ». Dans cette loi, la notion de « sécurité démographique » a été formulée. La "sécurité démographique" est un état de protection sociale - développement économique l'État et la société contre les menaces démographiques. La sécurité démographique assure le développement du pays conformément à ses intérêts démographiques nationaux.
Les menaces démographiques sont les phénomènes et tendances dont les conséquences socio-économiques ont impact négatif sur le le développement durable La République de Biélorussie.
Les menaces démographiques sont nombreuses dans notre pays : la menace du dépeuplement, la structure par âge défavorable de la population, associée tout d'abord au vieillissement de la population.