Le 1er juillet 1938, le nouveau véhicule a été accepté en service sous la désignation militaire LT vz.38 en tant que norme char léger armée tchécoslovaque. 150 chars furent commandés, dont les 20 premiers devaient être livrés à la fin de l'année, et les 130 restants à la fin mai 1939.
La mise en œuvre de ces plans a été fortement entravée par les livraisons à l'exportation, qui ont détourné l'entreprise ČKD de l'exécution d'une commande pour l'armée tchécoslovaque. On parle ici de la fabrication de lots de réservoirs pour le Pérou, la Suisse et la Lituanie. Les premiers véhicules de combat de l'armée péruvienne sont prêts le 8 août 1938. Après l'annonce de la mobilisation en septembre 1938, les chars sont réquisitionnés par l'armée tchécoslovaque, mais sont tout de même envoyés au Pérou. Ce pays a reçu 24 véhicules LTP.
Le premier char à arriver dans ce pays d'Amérique latine fut le Lima. Après l'assemblage et le réglage des composants et des assemblages, réalisés sous la direction de l'ingénieur tchèque Chevicki, la machine a été testée à une altitude de 3725, puis à 4500 m d'altitude.
Ils ont commencé leur service dans certaines parties de l'armée péruvienne LTP en participant à ... un coup d'État militaire. En 1946, le Pérou allait acheter 24 autres machines de ce type, car, selon les militaires, elles étaient meilleures que les "Stuarts" américaines. Il n'y avait pas de réservoirs prêts à l'emploi en Tchécoslovaquie à cette époque, mais l'approvisionnement en pièces de rechange s'est poursuivi jusqu'en 1950.
Étonnamment, les dernières références, bien que non confirmées, au service LTP dans l'armée péruvienne remontent à 1988 !
Le contrat avec la Suisse pour la fourniture des chars LTH est conclu le 16 décembre 1937. D'août 1938 à avril 1939, le ChKD produit 24 véhicules armés, contrairement au prototype tchécoslovaque, de canons Oerlikon de 20 mm.
Les mêmes canons devaient équiper 21 véhicules LTL pour la Lituanie, dont la production devait commencer en avril 1939. 
À la suite de tous ces efforts d'exportation, le 15 mars 1939 - le début de l'occupation de la République tchèque et de la Moravie par les troupes allemandes, seuls trois chars LT vz.38 ont été produits pour l'armée tchécoslovaque. Les neuf premières machines de la série zéro ont quitté les ateliers de l'usine BMM (les Allemands ont renommé le ČKD en bohème-morave
usine de construction de machines) le 22 mai 1939. L'intérêt manifesté par la direction de la Panzerwaffe pour le véhicule de combat tchécoslovaque n'était pas accidentel.
Avec une masse de 9,7 tonnes, le LT vz.38 était armé d'un canon Skoda A-7 de 37 mm avec une longueur de canon de 42 calibres et de deux mitrailleuses vz.35 de 7,92 mm. Les munitions se composaient de 72 cartouches et 2700 cartouches.
Le réservoir utilisait le moteur Prague EPA, six cylindres, à carburateur, en ligne, refroidi par liquide d'une puissance de 125 ch. à 2200 tr/min. Cela a permis au char d'atteindre des vitesses allant jusqu'à 48 km / h sur autoroute et environ 20 km / h sur terrain accidenté. La réserve de marche était de 230 km. Le char était équipé d'une boîte de vitesses planétaire à six vitesses (cinq vitesses avant et une arrière) et d'un embrayage principal à friction sèche multidisque.
Le train de roulement comprenait quatre roues de route revêtues de caoutchouc à bord, suspendues par paires sur des ressorts à lames semi-elliptiques, deux galets de support, une roue motrice avant et un volant. Chaque piste comprenait 93 pistes de 293 mm de large. La longueur de la surface d'appui était de 2900 mm et la pression au sol spécifique était de 0,57 kg/cm2.
L'épaisseur des plaques de blindage de la partie frontale de la coque a atteint 25, le côté - 15, la poupe - 12, le toit - 10, le fond - 8 mm. La protection blindée de la tour oscillait entre 15 et 25 mm.
Ainsi, en termes de performances, la lumière LT vz.38 n'était pas inférieure et dépassait même en partie l'allemand réservoir moyen Pz.III, produit à l'époque en très petite quantité. Les défauts évidents de la machine tchécoslovaque incluent la technologie de fabrication de la coque et de la tourelle, qui était obsolète à la fin des années 30 - rivetage sur un cadre composé de coins. L'équipage du char était composé de trois personnes, ce qui ne fournissait pas une division complète du travail.
Néanmoins, la direction de la société BMM a reçu l'ordre de terminer d'urgence le premier lot de 150 véhicules commandés pour l'armée tchécoslovaque. Ces chars ont reçu la désignation Pz.Kpfw.38(t) Ausf.A et ne différaient du LT vz.38 que par la présence d'une station de radio allemande. L'équipage a été porté à quatre personnes.
Ausf.B a été produit de janvier à mai 1940. Au total, 110 voitures ont été assemblées, ce qui présentait des différences mineures dans les détails par rapport à l'échantillon précédent.
La prochaine série de chars, désignée Ausf.C, comprenait également 110 véhicules. Il a été construit de mai à août 1940. Ces chars se distinguaient par la présence d'une antenne radio allemande et d'un agencement de silencieux modifié.
Sur 105 machines de modification D, une tôle de coque frontale droite a été introduite. Sur une partie des chars, le blindage frontal a été porté à 50 mm. L'armement, le moteur, le châssis sont restés inchangés.
De novembre 1940 à mai 1941, 275 chars de modification E ont été produits - variante D avec une épaisseur de blindage accrue (avant de la coque et de la tourelle - 50 mm, côtés de la coque et de la tourelle - 30 mm). Poids au combat atteint 9,87 tonnes.Une boîte à outils plus grande a été montée sur l'aile gauche. Le conducteur et le tireur ont reçu des dispositifs de surveillance plus avancés.
Le modèle F suivant, produit de mai à octobre 1941, ne différait pratiquement pas du précédent. Un peu plus tôt, une série de chars de la modification S d'un montant de 90 pièces a également été publiée. Destinés à la Suède, ces chars devaient être prêts en février 1940. Ils n'ont jamais atteint le client, car ils ont été réquisitionnés par la Wehrmacht.
N'ayant pas reçu les chars commandés, la Suède acquit néanmoins une licence pour leur production fin 1940, et en 1941-1943 la société suédoise Scania-Vabis en fabriqua 220 unités.
Les chars sous licence tchécoslovaque ont fonctionné en Suède jusqu'en 1957, après quoi ils ont été mis en réserve. En 1960-1963, le châssis des véhicules de combat a servi de base à la fabrication des véhicules blindés de transport de troupes Pbv 301, qui, à leur tour, ont été en service dans l'armée suédoise jusqu'au milieu des années 70. Les tours de chars démantelées sont toujours utilisées comme points de tir dans le système de défense suédois des côtes et des aérodromes à ce jour.
La dernière modification en série publiée sur le BMM était l'Ausf.G. Elle se distinguait de l'option E par l'absence d'une boîte de pièces détachées. 324 voitures ont été fabriquées. En juillet 1942, après la production de 1414 chars de toutes modifications, la production du Pz.38(t) est arrêtée.
En outre, BMM a produit 21 chars LT-40 pour l'armée slovaque, ainsi que 15 chars TNH n.A. en 1942. Ce dernier fut proposé à la Wehrmacht comme reconnaissance à grande vitesse ; il avait un canon de 37 mm et une vitesse de 60 km/h avec une protection blindée de 35 mm. Le véhicule de combat a été testé, mais n'est jamais entré en production. À l'avenir, BMM ne produisit que des canons automoteurs.
En plus des chars de ligne, le commandement Pz.Bef.Wg.38 (t) a également été produit pour l'armée allemande, dont le nombre était de 5% de nombre total machines produites. Leurs principales différences résidaient dans l'antenne cadre au-dessus du compartiment moteur et dans l'absence de mitrailleuse frontale dans la coque.
Les tourelles survivantes des chars détruits et inachevés ont été utilisées pour armer les casemates. Au total, de 1941 à 1944, 435 de ces tours avec des armes standard ont été utilisées.
Les chars Pz.38(t) ont reçu leur baptême du feu pendant la campagne de Pologne ; 59 véhicules du 67e bataillon de chars de la 3e division légère de la Wehrmacht y participèrent. Au début de l'offensive contre la France, ils étaient déjà dans les rangs de deux divisions de chars allemands : les 7e et 8e (respectivement 106 et 123 unités).
Le 22 juin 1941, cinq divisions de chars allemands de première ligne disposaient de 623 chars Pz.38 (t). Presque tous ont été perdus à la fin de l'année. Au début de 1942, les véhicules restants de ce type ont été regroupés dans la 22e Panzer Division nouvellement formée. Elle a combattu en Crimée, puis dans les steppes de la Volga. En novembre, lors des combats dans la région de Kalach-on-Don, la division est vaincue. En 1943-1944, les chars Pz.38(t) restants étaient principalement utilisés à des fins de police et d'entraînement. Une partie des chars mis hors service par la Panzerwaffe, les Allemands ont remis à leurs alliés - la Hongrie, la Bulgarie, la Roumanie et la Slovaquie.
Le LT vs.38 peut être considéré comme le char tchécoslovaque le plus utilisé, mais pas en Tchécoslovaquie même. Lancé en 1938, le LT-38 est né de l'expérience acquise dans le développement et la fabrication du char LT-35 pour devenir le plus réservoir réussi Industrie tchécoslovaque. Le LT-38 a été exporté en différentes versions dans différents pays et y a acquis une excellente réputation : Suède (THN Sv), Iran/Perse (TNH), Pérou (LTP), Suisse (LTH-Pz39) et Lettonie (LTL) .
En 1938-39, l'Allemagne a pris le contrôle de la Tchécoslovaquie et en mars 1939, 150 LT-38 inachevés ont été confisqués et remis à CKD à Prague pour que l'assemblage soit terminé. Tous furent inclus dans l'armée allemande sous le nom de PzKpfw 38(t) Ausf A - Sd.Kfz.140. Après la prise de la Tchécoslovaquie, le char LT-38 est devenu l'un des chars les plus importants utilisés par les unités de chars allemandes et a été produit en tant que char jusqu'en juin 1942. Pendant la guerre, le PzKpfw 38(t) est exporté et utilisé par les alliés de l'Allemagne : Roumanie (50), Slovaquie (90), Bulgarie (10) et Hongrie (102). Le PzKpfw 38(t) fut également utilisé par les troupes des pays de la coalition anti-allemande. Un char fut capturé par les troupes britanniques et françaises en mai-juin 1940, un autre exemplaire (n° 543 sur la tourelle) fut capturé plus tard, lors de la campagne d'Italie en 1943 ou en Normandie en 1944, et fut testé en Angleterre. Un certain nombre de PzKpfw 38 (t) ont été capturés par l'Armée rouge et ont été utilisés dans des opérations de combat. Enfin, en mai 1945, le PzKpfw 38(t) sous la désignation LT-38/37 retourna en Tchécoslovaquie et fut utilisé dans l'armée comme char d'entraînement jusqu'au début des années 1950.
Panzerkampfwagen 38(t) Production Statistiques Modèle Période Quantité
Ausf A 05-11/1939 150
Ausf B/C/D 01-11/1940 110/110/105
Ausf E/F 11/1940 - 10/1941 275/250
Ausf S 05-12/1941 90
Ausf G 10/1941 - 06/1942 321
Un châssis supplémentaire de 179 Ausf G a été assemblé, mais les réservoirs n'ont pas été terminés.
Environ 1400 PzKpfw 38(t) ont été produits en 8 versions (Ausf A/B/C/D/E/F/S/G) dans diverses modifications et avec une protection de blindage améliorée. Tous étaient armés de 37 mm tchèques. pistolets Skoda A7 vz.38 (marquage allemand 37mm KwK 38(t) L/48 (L/47.8)). La coque du premier PzKpfw 38 (t) était rivetée (un coup direct d'un projectile arrachait souvent la tête des rivets, ce qui infligeait des blessures (y compris mortelles) à l'équipage), tandis que les versions ultérieures étaient pour la plupart soudées. Plus tard, le blindage des premiers modèles PzKpfw 38(t) a été renforcé, et certains ont peut-être été réarmés avec le 37 mm allemand. pistolet KwK 35/36 L/46.5. Plusieurs réservoirs PzKpfw 38 (t) ont été convertis en réservoirs lance-flammes en remplaçant la mitrailleuse intégrée par un lance-flammes, et le carburant pour celui-ci a été fourni par des tuyaux à partir d'une remorque avec un réservoir (200 litres) situé derrière le réservoir. De plus, sur la base du PzKpfw 38 (t), un prototype du char amphibie AP-1 a été développé, mais il n'a jamais été mis en production. Par la suite, des versions améliorées du châssis Ausf H/K/L/M PzKpfw 38(t) ont été produites et utilisées comme base pour divers véhicules (tels que le Marder III Ausf H/M, le Bison/Grille Ausf H/K/M et Hetzer). De plus, les premiers modèles renvoyés pour rénovation ont souvent servi de base à diverses reconstructions.
Les PzKpfw 38(t) furent produits sous contrôle allemand et massivement utilisés dans la compagnie polonaise (3ème division légère), en Norvège (31ème corps d'armée), en France (6ème, 7ème et 8ème divisions de chars), dans les Balkans (8ème Panzer Division) et en URSS (6e, 7e, 8e, 12e, 19e et 20e Panzer Divisions). Lors des combats en URSS, le manque de puissance de feu et de blindage rendit le PzKpfw 38(t) inefficace et pratiquement inutile. Depuis 1942, il se voit confier des rôles secondaires : reconnaissance et entraînement des équipages. En septembre 1939, des plans furent élaborés pour développer un char de reconnaissance léger, et au début de 1942, 15 PzKpfw 38(t) nA (neuer Art) furent fabriqués par BMM (CKD/Praga), mais cette variante ne fut pas mise en production. En 1942, la pratique allemande habituelle consistant à adapter le châssis à différents véhicules a commencé avec le Marder III et le Flakpanzer 38 (t). En 1942 et 1943, après le retrait des tourelles, plusieurs PzKpfw 38(t) furent utilisés comme véhicules d'entraînement pour les conducteurs de chars. Ces véhicules d'entraînement ont reçu la désignation PzKpfw 38 (t) Schulfahrwanne et ont été utilisés dans les écoles de formation de la Wehrmacht et du NSKK (organisation paramilitaire). 351 tourelles PzKpfw 38(t) ont été utilisées dans les fortifications allemandes en Norvège (75), au Danemark (20), sur la côte ouest de l'Atlantique (9), en Europe du Sud-Ouest (150) et en Europe de l'Est/Front de l'Est (78). 
Tactique et technique caractéristiques Panzerkampfwagen 38(t)
Ausf A Ausf G
Poids : 9400kg 9850kg
Équipage : 4 personnes 4 personnes
Moteur : Praga EPA/6 cylindres/125cv Praga EPA/6 cylindres/125cv
Vitesse : Route : 42km/h
Hors route : 15 km/h Route : 42 km/h
Hors route : 15 km/h
Autonomie : Route : 250km
Hors route : 160 km Route : 250 km
Hors route : 160 km
Longueur : 4.60m 4.61m
Largeur : 2.12m 2.14m
Hauteur : 2.40m 2.40m
Armement : 37mm KwK 38(t) L/47.8
2 x 7.92mm MG37(t) 37mm KwK 38(t) L/47.8
2 x 7,92 mm MG37(t)
Munitions : 37mm - 72 coups
7,92 mm - 2400 prises de vue 37 mm - 72 prises de vue
7,92 mm - 2400 prises de vue
Armure : 8-25 mm 8-50 mm
L'une des modifications les plus intéressantes était l'Aufklarungspanzer 38(t) - Sd.Kfz.141/1. Ils étaient utilisés comme véhicules de reconnaissance et avaient une tourelle "Hangelafette" (les véhicules armés avaient un canon de 20 mm KwK 38 L/55 et une mitrailleuse MG42) ou une superstructure modifiée de 75 mm. pistolet KwK 37 L/24 et mitrailleuse MG42. En 1943-44, seuls 50 à 70 Aufklarungspanzer 38(t) armés de 20 mm furent construits. canon et seulement 2, armé de 75mm. fusil, en 1944. La refonte la plus réussie du PzKpfw 38 (t) était le Jagdpanzer 38 Hetzer (chasseur de chars). Une proposition intéressante fut faite par Krupp : installer une tourelle Panzer IV sur le châssis PzKpfw 38(t), mais il s'avéra que cela n'était techniquement pas faisable. Les concepteurs allemands ont commencé à développer leur propre version améliorée du châssis Panzerkampfwagen 38 (t) sous la désignation Panzerkampfwagen 38 (d), mais le projet n'avait atteint que le stade du prototype. Ils ont été utilisés pour plusieurs machines différentes, y compris la série "E" (Entwicklung).
Le 15 octobre 1943, Adolf Hitler accepta d'autoriser la production du Gepard comme option intermédiaire temporaire jusqu'à ce que le développement d'un véritable char anti-aérien sur le châssis du Panzer IV soit terminé. Il était armé de 20 mm. canon Flak 30 ou 20mm. Flak 38 L/112.5 (avec 1020 cartouches de munitions), et a été assemblé sur un châssis Ausf L/M modernisé. L'armement et la protection blindée du Gepard en conditions de combat s'avèrent inacceptables, et de novembre 1943 à février 1944, seuls 141 véhicules sont fabriqués par BMM (Praga/CKD) sur une commande de 150 pièces. Les 87 premiers Gepards apparaissent au front en janvier 1944 et forment des Flugabwehrzug (pelotons de défense aérienne) dans les divisions Panzer et Panzer Grenadier (parfois dans les divisions Waffen SS, par exemple dans la 12ème Waffen SS Panzer Division "Hitlerjugend" en Norvège en 1944). Le 1er décembre 1944, il n'y avait que 9 Gepard dans les unités de chars. 
Les véhicules blindés de dépannage basés sur Hetzer (Bergepanzer 38 (t) Hetzer) et basés sur PzKpfw 38 (t) (Bergepanzer 38 (t)) avaient une superstructure basse à toit ouvert et un équipage de 4 personnes. À l'intérieur se trouvait une mitrailleuse MG34 pour la défense locale. D'octobre 1944 à mai 1945, BMM (Praga/CKD) produisit 170 de ces machines. 64 d'entre eux étaient basés sur le châssis Hetzer, le reste - sur le châssis PzKpfw 38(t). Basé sur le Bergepanzer 38 (t) Hetzer, 150 mm ont été assemblés. obusiers automoteurs, dont 30 ont été produits en 1944. L'un des Bergepanzer 38(t) Hetzer a été équipé de 20 mm à titre expérimental. canon anti-aérien Flak 38. En 1945, un Bergepanzer 38(t) Hetzer modifié armé de 75mm fut testé. pistolet K51 L / 24 et avait la désignation Vollkettenaufklarer 38 (t).
Les véhicules de combat suivants ont été produits sur le châssis du char PzKpfw 38 (t):
Bison (Grille) Ausf H (Sd.Kfz.138/1) 150mm. obusier automoteur sIG33/1
Bison (Grille) Ausf K/M (Sd.Kfz.138/1) 150mm. obusier automoteur sIG 33/2
Bison (Grille) Ausf. H/M - 15cm s.IG. (Sd. Kfz. 138/1) - obusier automoteur
Munitionspanzer 38(t) Ausf M - porte-munitions
Schutzenpanzerwagen 38(t) Ausf M - véhicule blindé d'infanterie (projet)
Marder III (Sd. Kfz. 139) - Canon automoteur Pak 36 (soviétique) de 76,2 mm
Marder III Ausf. H/K/M (Sd. Kfz. 138) - 75 mm. Unité automotrice Pak 40
Befehlswagen 38(t) - char de commandement
Munitionsschlepper 38(t) - porte-munitions
Panzerjager 38(t) / Jagdpanzer 38(t) Hetzer
PzKpfw 38(t) nA - char de reconnaissance léger
Morsertrager 38(t) Ausf M - porte-munitions de mortier (prototype)
Flakpanzer 38(t) Gepard - (Sd. Kfz. 140) - char de défense aérienne
Bergepanzer 38(t) - véhicule de dépannage léger
Leichter Raupenschlepper Praga T-3 - tracteur léger / véhicule blindé d'infanterie
Schwerer Raupenschlepper Praga T-9 - tracteur lourd / véhicule blindé d'infanterie
Aufklarungspanzer 38(t) - (Sd. Kfz. 140/1) véhicule de reconnaissance
Flammpanzer 38(t) - char lance-flammes
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Au milieu des années 30, pendant la période de modernisation de l'armée tchèque, le département militaire a attiré des fonds importants pour augmenter le nombre de chars légers. Comme mentionné ci-dessus, la réputation "ternie" du réservoir LT vz 35, fabriqué par Skoda, a empêché une augmentation de la production de ce modèle. Par conséquent, le ministère de l'Armement a annoncé un concours de projets pour la création d'un nouveau char léger amélioré. Deux modèles ont été présentés par Skoda, quatre autres par ČKD. L'armée a préféré le modèle TNHP-S, fabriqué par ČKD. Initialement, l'entreprise avait prévu son char pour l'exportation, mais il s'est avéré qu'il était demandé par l'armée tchèque.
Le nouveau char a résisté avec honneur aux essais de trois mois, démontrant sa capacité à parcourir plus de 5584 km (dont 1553 km en tout-terrain) sans aucune panne grave. "De plus, le char s'est avéré très facile à entretenir, il ne nécessitait qu'une demi-heure d'entretien quotidien.Selon les résultats des tests en juillet 1938. 150 véhicules de combat de ce modèle furent commandés par l'armée tchèque, et nouveau réservoir a reçu le nom de LT vz 38. Les 20 premiers chars sont déjà nés à la fin de 1938. Cependant, la situation défavorable de la politique étrangère a conduit au fait que production supplémentaire LT vz 38 a été gelé. "Ce n'est que fin mai 1939, après l'occupation de la Tchécoslovaquie, que la production de ces chars pour les besoins de l'Allemagne nazie a repris. Le 22 mai 1939, neuf véhicules de série sont nés. Les nouveaux chars a fait une impression indélébile sur les Allemands.Ce sont tous les paramètres qui étaient supérieurs aux PzKpfw 1 et PzKpfw II allemands.
La direction de la Wehrmacht a exigé que la société BMM (Bohmisch-Mahrische-Maschinenfabrik - comme les Allemands appelaient le CKD) termine immédiatement la commande de 150 véhicules et commence la production de 325 autres unités. Sur le service allemand Réservoir tchèque a été nommé PzKpfw 38 (t).
Il convient de noter que le char PzKpfw 38 (t), à savoir le char léger tchèque LT vz 38, a été inventé par l'ingénieur de conception russe Aleksey Mikhailovich Surin (diplômé de l'Institut polytechnique de Kiev), qui a émigré en République tchèque après le mois d'octobre. Révolution, où il s'installe. En fait, Surin a inventé le char LT vz 38, qui a inventé le char russe qui a combattu la Russie.
Laissons la parole au colonel à la retraite Iken: «Des officiers tchèques de Milovice nous ont parlé de la production en série gelée d'un nouveau char léger. Ce char, appelé plus tard le PzKpfw 38(t), avait un poids au combat de 9,7 tonnes et un armement similaire au PzKpfw 35(t). Le haut commandement de la Wehrmacht ne savait encore rien du nouveau char. A la fin de notre visite à Milovice, sans enlever nos uniformes et nos armes personnelles, nous avons visité l'usine de ČKD, le pionnier de l'industrie lourde bohème-morave. Depuis 1907, sous le nom d'Usine Automobile de Prague, cette entreprise : fabriquait diverses Véhicules- voitures, camions lourds et tracteurs. Soit dit en passant, c'est cette usine qui a donné l'impression d'une entreprise solide mais très ancienne.
Une image typique de la fin du soulèvement slovaque en 1944. Les routes sont jonchées de carcasses détruites de chars allemands, dont ce PzKpfw 38(t) slovaque. Il a fallu deux mois aux Allemands pour réprimer le soulèvement, les rebelles survivants en octobre 1944 sont partis pour les Tatras. Aujourd'hui, sur la place de la ville de Banska Bystrica, l'ancien centre du soulèvement armé, en mémoire des événements de 1944, se trouve un char PzKpfw 38 (t) S.
Le gardien nous a expliqué dans un allemand approximatif que l'usine était fermée et que tous les travaux avaient été arrêtés. Cependant, impressionné par nos exigences, il fait appel aux ingénieurs du bureau d'études. Malgré notre manque de documents pertinents, ces personnes ont gentiment accepté de nous montrer la plante. Pendant la tournée, ils ont parlé du nouveau char, qui venait tout juste d'être mis en production en série. J'ai tout de suite apprécié les avantages de ce char avec traction avant, une nouvelle transmission Wilson, quatre paires de roues de route, des ressorts à lames et un canon semi-automatique de 37 mm efficace. J'ai immédiatement signalé le nouveau char au major Thomal, expert char à l'OKH. Une commission OKH a été immédiatement créée, composée de membres des comités pour l'amélioration des armes WA Pruf 6 et la distribution des commandes militaires WAB6.
En avril 1939, la commission des armements décide de transférer la société ČKD sous sa juridiction. A partir de ce moment, la société a été renommée VMM. L'annexion s'est déroulée sans excès ni résistance de la part du personnel de l'entreprise. Au cours du même mois d'avril, les 100 premiers chars PzKpfw 38(1) ont quitté les chaînes de montage du VMM. Malgré les mérites évidents de ces véhicules simples et fiables, le comité de construction de chars WA Pruf 6 n'a pas fourni un soutien approprié à leur production, du moins jusqu'à ce qu'ils concentrent toutes les questions de leur utilisation au service de la Wehrmacht entre leurs mains.
Le chef de ce département, le colonel Wilhelm Philippe, qui prit plus tard le commandement du 2e régiment de chars, à partir de 1937, était responsable du développement de la construction de chars allemands. Il était de sa compétence d'assurer l'adaptation du char PzKpfw 35 (t) aux besoins de nos forces blindées. En un temps record, il a résolu ce problème, libérant de l'espace pour le quatrième membre d'équipage et dotant le char d'une nouvelle station de radio allemande, qui a également été utilisée avec succès sur les chars PzKpfw 38 (t).
Modifications du char PzKpfw 38(t)
Les 150 premiers chars PzKpfw 38(t) Ausf A furent produits par le VMM entre mai et novembre 1939. En général, ce char était identique au TNHP-S, mais il y avait quelques différences mineures. En réduisant la charge de munitions pour le canon de 18 obus - de 90 à 72, il a été possible de trouver une place pour le chargeur, augmentant ainsi l'équipage à quatre personnes. De janvier à novembre 1940, naissent encore 325 chars Ausf B, C et D. Du modèle précédent PzKpfw 38 (c) Ausf A, ces chars se distinguaient par la présence de fumigènes à l'arrière et l'absence de main courante de combat antenne sur le côté gauche, ce qui permettait à l'ennemi de déterminer facilement l'emplacement du char.
Entre novembre 1940 et octobre 1941, 525 chars des nouveaux Ausf E et E sont apparus.
25 mm (dans la partie frontale de la coque) et 15 mm (sur les côtés) Voir Panzer 38(t), History of Creation and Use, M. Vostochny Front, 1996, p.
Vient ensuite la série PzKpfw 38 (t) S - une version d'exportation, de conception identique à l'Ausf A -S.V. En 1939, avant même l'occupation de la Tchécoslovaquie, la Suède passa une commande de 90 véhicules TNHP-S dans le ČKD, mais les Allemands s'approprièrent les chars déjà produits. Ce n'est qu'en 1940 qu'ils acceptèrent de vendre aux Suédois une licence pour produire le PzKpfw 38(t). La dernière modification en série était le char PzKpfw 38 (t) G, qui pesait 9,5 tonnes. Lorsque la production du PzKpfw 38(t) fut achevée, le châssis non réclamé dernière modification utilisé pour créer des canons antichars automoteurs.
Au total, 1 411 chars PzKpfw 38(t) ont été produits (sans compter trois prototypes). Au début de 1942, plusieurs chars de reconnaissance de type PzKpfw 38 (t) Neuer Art (nouveau modèle) sont apparus avec un blindage renforcé (jusqu'à 35 mm) et un moteur Prague 8 cylindres. Ce char de 15 tonnes pouvait atteindre une vitesse de pointe d'environ 62 km/h. Cependant, la matière n'a pas atteint la production de masse, et même les chars déjà créés ne sont jamais apparus dans les troupes.
Description générale de la conception du réservoir PzKpfw 38 (t)
Le char PzKpfw 38 (t) Ausf A avait un poids au combat de 9,4 tonnes, était conçu pour un équipage de quatre hommes (commandant mitrailleur, opérateur radio, conducteur et mitrailleur chargeur). L'armement principal était un canon antichar semi-automatique Skoda de 37 mm (désignation allemande 37 mm KwK 37(t). L'armement supplémentaire consistait en deux mitrailleuses ZB-53 de 7,92 mm, dont l'une était située dans la tourelle indépendamment du canon, et le second, bien sûr, - dans la partie frontale de la coque. La mitrailleuse, située dans la tourelle, était desservie par le chargeur et pouvait tirer à la fois simultanément avec le canon et indépendamment. La deuxième mitrailleuse était affectée au opérateur radio, et dans des cas particuliers, le conducteur a tiré de Nero.
L'épaisseur du blindage était de 25 mm dans la partie frontale de la coque et de la tourelle, 15 mm à l'arrière et sur les côtés, 10 mm dans le toit du char. En tant que centrale électrique, le réservoir était équipé d'un moteur à carburateur Prague EPA 6 cylindres refroidi par liquide d'une puissance de 125 ch. à partir de. à 2200 tr/min, réducteur planétaire et mécanisme d'orientation à deux étages. Le char PzKpfw 38(t) avait une vitesse de pointe de 40 km/h avec une autonomie de 250 km.
Le train de roulement (d'un côté) se composait de quatre paires de roues caoutchoutées de grand diamètre, emboîtées par deux sur des ressorts à lames horizontaux avec amortisseurs mécaniques. Chaque rouleau avait une suspension indépendante sur des ressorts à lames semi-elliptiques. À l'avant de la coque se trouvaient les roues motrices et à l'arrière, la roue de tension des chenilles. Dans la partie supérieure de la suspension, il y avait deux autres petits rouleaux de support jumeaux. Des chenilles en acier d'une largeur de 293 mm étaient équipées de pointes supplémentaires pour donner au réservoir une stabilité supplémentaire dans des conditions de glace et de neige. Le contrôle du char était facilité par une pratique boîte de vitesses Prague-Wilson à cinq rapports.
La tourelle PzKpfw 38(t) n'avait pas d'entraînement électrique, donc le canon a été déplacé en position verticale, et la tourelle a été tournée manuellement. Pour contrôler le tir, le commandant de char disposait d'un périscope et d'une lunette de visée de type 2.6. La prise de vue a été réalisée avec des angles de déclinaison/élévation de - 10 gr. jusqu'à +25°. Le commandant de char avait également une coupole de commandant avec quatre fentes d'observation, le siège du commandant était équipé d'un périscope. La station de radio Fu 5 était située à gauche devant le boîtier. Étant donné que la conception du réservoir devait être adaptée pour accueillir un membre d'équipage supplémentaire, le compartiment de l'opérateur radio était extrêmement exigu et inconfortable. Le PzKpfw 38(t) Ausf A avait une antenne fouet de trois mètres, qui fournissait une communication radio stable à une distance de 5 km, et une antenne de main courante supplémentaire d'une portée de 1 km, montée sur le côté gauche de la coque. Le système d'interphone dans le char n'était pas fourni, le commandant devait donc communiquer avec le conducteur à l'aide de lumières colorées (rouge, vert et bleu) et des boutons correspondants. Par la suite, ces boutons ont été peints dans des couleurs de signalisation afin que la communication puisse s'effectuer dans l'obscurité.
PzKpfw 38 (t) en essai au Royaume-Uni
En 1939, la firme CKD, cherchant à pénétrer le marché de l'armement britannique, invite les Britanniques à évaluer les qualités de leur nouveau char TNHP-S. Le prototype, en acier doux, a été expédié en Angleterre pour y être testé. Au musée des chars de Bovington, j'ai trouvé un rapport détaillé sur les tests du char tchèque et je serai heureux d'en informer mes lecteurs avec des extraits. Pour l'avenir, je dirai qu'en général, les Britanniques n'aimaient pas le nouveau char. Malgré le fait que le TNHP-S était à bien des égards supérieur aux véhicules britanniques contemporains et ne pouvait être comparé qu'au dernier modèle du char de croisière A-9, les Britanniques ont trouvé de nombreux défauts dans sa conception. Mais regardons le document :
"Pendant la période d'essai - du 17 mars au 29 mars 1939 - le char a parcouru 291 km, dont 103 km en cross-country. La vue du commandant de char n'est pas satisfaisante, l'emplacement du périscope et quatre fentes de visualisation ne permettent pas une détermination précise de la distance à la cible. En général, la position du commandant est satisfaisante, même si l'emplacement de la gâchette rend difficile la prise d'une position confortable derrière le canon. L'emplacement de la radio est très dérangeant pour le mitrailleur assis dans la tour. La conception de la tour n'est pas satisfaisante. La position du conducteur est généralement satisfaisante, bien que lorsqu'il se déplace en marche, l'un des membres de l'équipage doit s'asseoir à l'arrière, faisant office de navigateur. Sinon, le siège du conducteur est bien équipé et situé.
La ventilation est mauvaise, lors de la conduite dans le réservoir, l'odeur des gaz d'échappement se fait fortement sentir. Le frein à main fonctionne très rapidement, il faut donc faire particulièrement attention lors de la conduite en convoi. DANS conditions normales le réservoir ne dérape presque pas, il est stable même lorsqu'il se déplace à grande vitesse. La voiture tourne facilement, recule normalement, mais lors de la descente d'obstacles, la conduite devient lourde et dure. La puissance du moteur est optimale.
La conception du châssis ne lui permet pas d'être utilisé comme plate-forme d'armes à feu. Des ressorts de très haute qualité permettent au réservoir de se déplacer en douceur sur des terrains accidentés. La douceur de roulement rappelle le mouvement de notre char de croisière A-9 I. La vitesse maximale du char sur l'autoroute n ° 12 était de 10 miles par heure. La capacité à surmonter les obstacles est assez élevée. Le char a traversé un ruisseau de 5 pieds de profondeur, a traversé une tranchée de 7 pieds avec des pentes abruptes, mais n'a pas pu gravir une colline de sable de 4 pieds de haut. Hauteur maximum l'obstacle que le char est capable de franchir sans difficulté est de 2 pieds 10 pouces. Les échappements ne sont pas bruyants. Lors de la conduite sur un terrain accidenté le réservoir arrive calme, mais sur la route les chenilles font un rugissement très fort. Les chenilles ne sont pas neuves, mais l'usure n'est pas terrible. En général, les chenilles sont de haute qualité, la tension est bonne, elles ne sautent pas lors du déplacement.
La tour n'a pas d'entraînement électrique et est tournée manuellement par le tireur. Cependant, vu l'équilibrage de la tourelle, cela semble être très problématique et demande en tout cas d'énormes efforts musculaires... Il est extrêmement gênant pour le commandant de char de charger le canon ou de le nettoyer en cas d'encrassement, cependant, si cela le travail est effectué par un troisième membre d'équipage, il devra agir dans une position plus difficile. Parmi les munitions, seule une boîte avec des obus pour un canon de 37 mm est idéalement située. La ceinture de mitrailleuse pour une mitrailleuse à tourelle, lors du tir droit devant ou vers la gauche, interfère avec le conducteur.
En général, le concept de design et la qualité de son exécution peuvent être considérés comme assez élevés, mais pas exceptionnels. Les coûts de production de ce char devraient être inférieurs à ceux du A-9. Dans nos chars, les exigences en matière de confort de l'équipage et de capacité à évacuer rapidement les blessés sont beaucoup plus élevées. En conclusion, il convient de noter que ce véhicule est proche dans ses qualités de nos chars de croisière, mais présente des lacunes importantes dans l'organisation du compartiment de combat, l'emplacement des membres d'équipage et la capacité de combat globale.Voici des options approximatives pour résoudre le problème de placement optimal des membres d'équipage et d'augmentation de la capacité de combat du char.
Comme le montre le tableau, l'emplacement mal conçu de l'équipage conduit au fait que pendant le mouvement, le char est laissé sans appui-feu, et pendant l'arrêt, il perd la capacité de manœuvrer. Variantes proposées ci-dessous
Les solutions à ce problème ne sont réalisables qu'avec une augmentation significative de l'espace interne ou l'inclusion d'un quatrième pétrolier dans l'équipage du char. Si les roues motrices et le moteur sont placés à l'arrière, l'arbre de transmission peut être supprimé et ainsi le plancher tournant de la tour peut être abaissé. La conception réelle du sol offre une mauvaise prise en main pour le tireur et le chargeur ... Il est extrêmement gênant pour le tireur de charger le pistolet d'une seule main, de sorte que la cadence de tir ne dépasse pas 6 à 8 coups par minute. Le tireur n'est pas en mesure de charger la mitrailleuse coaxiale. Il est possible d'augmenter la cadence de tir en combinant les fonctions d'un chargeur et d'un tireur à partir d'une mitrailleuse à tourelle, mais dans ce cas, ce pétrolier devra prendre une position encore plus inconfortable. S'il y a un chargeur dans la niche arrière de la tour, vous n'aurez pas besoin d'avoir une charge de munitions aussi importante, ce qui vous permettra d'y installer une station de radio.
Le réservoir est facile à contrôler, a une conduite douce, mais rebondit sur un terrain accidenté. Il s'ensuit qu'en se déplaçant en territoire inconnu, l'équipage risque de se blesser gravement. La rigidité de la suspension provoque des secousses si violentes dans la tourelle qu'à des vitesses supérieures à 5 milles à l'heure, il est impossible de charger les canons. A cette vitesse, le tir est très faible. De plus, un certain nombre de facteurs réduisent la puissance de combat du char. Parmi eux: un mécanisme de tir infructueux d'un canon de char, un mauvais montage du canon, un télescope de mauvaise qualité, des systèmes de surveillance de tir faibles et un équilibre imparfait du canon. En général, combattre
la séparation du char est bien pire que celle de nos chars légers avec Km V pas de MK VI B.
Quand j'ai atteint ces lignes, le renard de la célèbre fable m'est venu à l'esprit. "Raisins verts" - je veux répéter après elle et rappeler aux lecteurs qu'à cette époque poumons anglais il n'y avait pas de chars canons de char(!!!), et ils n'étaient armés que de mitrailleuses !
Chronique de combat du char PzKpfw 38(t)
Les chars PzKpfw 38 (t) Ausf A ont reçu leur baptême du feu pendant la campagne de Pologne, faisant partie du 67e bataillon de chars de la 3e division légère. Sur les 59 véhicules PzKpfw 38 (t), 7 ont été mis hors de combat par les Polonais, mais ils ont ensuite été réparés. "Plusieurs PzKpfw 38 (t) en avril 1940 ont participé à l'opération Wesserubung - l'invasion de la Norvège. Cependant, très vite, ils ont été retirés du front norvégien et transférés à la hâte vers un nouveau - français.Au début de l'offensive contre la France, le PzKpfw 38 (0) était déjà dans les rangs des 7e et 8e divisions Panzer (229 unités au total ).
Cette fois, les pertes étaient beaucoup plus notables qu'en Pologne ("Selon des sources nationales, seule la 7e Panzer Division allemande a perdu des chars PzKpfw 38 (t) dans les batailles en France. Voir Panzer 38 (t).), mais comme la plupart des chars ont de nouveau réussi à réparer, les dégâts étaient minimes.
Un sort complètement différent attendait les chars tchèques en Russie. Charles K. Clement et Hilary L. Dole dans leur monographie rapportent la perte de 796 chars PzKpfw 38(t) au cours des six premiers mois des hostilités. Compte tenu du fait qu'à cette époque les chars tchèques représentaient plus d'un quart de tous les véhicules Panzerwaffe, on peut imaginer l'ampleur des dégâts. Les tout premiers mois de l'opération Barbarossa ont contraint le commandement allemand à tirer la conclusion décevante que le PzKpfw 38(t), tout comme le PzKpfw 35(t), était totalement inadapté à opérations de réservoir dans les conditions russes. J'ai dû chercher de toute urgence une nouvelle utilisation pour les machines et châssis restants. Un certain nombre de chars tchèques ont été transférés aux alliés de l'Allemagne ("Une partie des chars PzKpfw 38 (t) que l'Allemagne a vendus à la Bulgarie, à la Hongrie, à la Roumanie et à la Slovaquie. Voir op. cit., p. 33- - Éd. approx.), restant en service les PzKpfw 38(t) furent utilisés à des fins policières pour assurer l'ordre dans les territoires occupés, ainsi que pour combattre les partisans. Un grand nombre de chars de ce type, après le démantèlement des tours, servaient de châssis pour supports d'artillerie automoteurs.Les tours retirées des chars ont été utilisées comme éléments de fortifications côtières (par exemple, en Corse et en Italie).
Le colonel à la retraite Heinrich Wust rappelle manière de combattre PzKpfw 38 (t) dans ses mémoires "Marche des chars de Prague à Eisenach": "A l'automne 1939, lors de la campagne de Pologne, le bon vieux Krupp PzKpfw I a finalement pris sa retraite, et en retour nous avons reçu PzKpfw II, PzKpfw IV et complètement nouveaux véhicules tchèques PzKpfw 38 (t).
Canon d'infanterie lourde de 150 mm "Bizon". Il a été créé sur la base du châssis PzKpfw 38 (t) de deux Ausfs - N et M à la fois.
Ce "-Bison" a été capturé en Belgique par des soldats de la Première Armée américaine, lors de l'opposition à l'offensive fasciste dans les Ardennes.
Afin de mieux connaître les nouveaux réservoirs, nous avons décidé de les récupérer nous-mêmes à l'usine de Prague. Estimant qu'il nous faudrait 4-5 jours pour parcourir 350 km en vieilles voitures, nous avons réservé une semaine pour le voyage en cas d'imprévus. Une partie des équipages est allé chercher les chars, le reste a commencé à attendre avec impatience leur retour . Imaginez notre étonnement quand, moins de deux jours et demi après que les chars aient été expédiés des étages de l'usine, nous avons entendu le bruit des moteurs près de nos casernes ! La colonne PzKpfw 38(t) entre facilement dans les hangars et s'arrête. Le commandant de colonne a déclaré que les chars se déplaçaient si facilement et doucement qu'ils n'avaient pas à faire de longs arrêts et que le voyage s'était transformé en une courte marche. La division a accepté cette nouvelle avec enthousiasme et a été imprégnée d'un profond respect pour les performances de conduite des nouveaux chars. Les véhicules tchèques étaient bien inférieurs à nos PzKpfw II et PzKpfw IV en termes de protection blindée et d'armes. Mais en raison de la maniabilité accrue, il ne différait presque pas des autres véhicules légers. Lors des manœuvres d'essai, le char a montré des performances de conduite si élevées que même plus tard, lorsque la production du PzKpfw 38 (t) a été interrompue, des canons antichars automoteurs (Marder et Hetzer) ont été créés sur la base de son châssis. Cela a été facilité par la haute qualité des éléments de châssis individuels et la mobilité accrue du char. Le moteur, la direction et le train de roulement fonctionnaient sans problème dans l'ensemble. La grande fiabilité du PzKpfw 38(t) devrait également être vengée. Lors de son fonctionnement, nous n'avons pratiquement pas eu à faire face à des pannes graves.
Tempête de la Somme. Le 5 juin 1940, des unités de la 7e Panzer Division occupent une tête de pont à 3 km de profondeur sur la rive sud de la Somme. À 16 heures, les principales forces de la division, ainsi que le 25e régiment de chars, ont commencé à percer vers le sud. La descente en douceur vers la rivière s'est en fait avérée très visqueuse, il a donc fallu la surmonter obliquement. Les compagnies de chars légers PzKpfw 38(t) ont fait face à la descente sans difficulté, mais les compagnies de chars moyens PzKpfw IV ont eu du mal, la plupart ont laissé leurs traces dans la boue. Cet échec malheureux ralentit considérablement l'offensive. En général, il est difficile d'imaginer un terrain qui présenterait de sérieuses difficultés à surmonter pour le PzKpfw 38(t). Les chauffeurs ont même réussi à faire grimper le char dans les bacs à sable ! Cet avantage des véhicules tchèques se manifesta pleinement sur les bords de la Somme, lorsque les PzKpfw 38(t) suivirent aisément les lourds et rapides.
La "division fantôme" (comme la 7e Panzer Division était appelée en plaisantant), le 12 juin, perçant les lignes de Weygand, s'empara de la ville de Saint-Valery sur la 6e voie de la Manche. Au cours de la cérémonie de reddition, l'un des généraux français demanda au général (futur maréchal) Erwin Rommel quelle division les avait vaincus. "Septième char !" Rommel répondit fièrement. "Septième char !" - s'écria le Français, et maudit dans son cœur. "Maudite cette "division fantôme" ! Elle est partout ! D'abord en Belgique, puis sur la Somme, maintenant ici ! Cette division, comme un fantôme, apparaît en divers endroits de France !
Le seul prototype du châssis d'arme polyvalente légère leichter Einheitswaffentrager basé sur le PzKpfw 3H(t) a été créé au début de 1945. La première modification de l'ascenseur était armée d'un canon de 105 mm, la seconde - vous pouvez le voir dans l'image - 88 mm.
Depuis lors, la 7e Panzer portait fièrement le nom de "division fantôme". À bien des égards, la division doit sa gloire aux chars PzKpfw 38(t). Par exemple, le matin du 12 juin, immédiatement après le petit-déjeuner, le général Rommel et le colonel Rotenburg, commandant du 25e régiment de chars, sont montés à bord d'un PzKpfw 38(t) et sont partis en reconnaissance. Ils prenaient souvent
de telles sorties sur 20 à 30 km derrière la ligne de front, mais Rommel n'a jamais effectué de reconnaissance sur aucun PzKpfw III. pas même sur le PzKpfw IV. Pourquoi? Premièrement, ces chars étaient plus lents que les PzKpfw 38(t), et de plus, ils tombaient en panne beaucoup plus souvent. D'autre part, le PzKpfw 38(t) maniable, agile et fiable était comme s'il avait été spécialement créé pour des entreprises aussi dangereuses.
Véhicules basés sur le char PzKpfw 38(t)
Chasseur de chars "Marder" III (Marder III). À la fin de 1941, il devint clair que tous les chars à la disposition de la Wehrmacht étaient impuissants face aux véhicules lourds soviétiques. La seule arme qui a réussi à écraser le blindage de ces chars était le canon divisionnaire soviétique F-22 de 7,62 cm capturé. Fin décembre 1941, l'Army Ordnance Department décida d'utiliser le châssis fiable PzKpfw 38(t) pour créer des supports d'artillerie automoteurs. Il a été ordonné d'utiliser un canon antichar F-22 soviétique modifié de 7,62 cm comme arme principale. C'est ainsi qu'est apparu le célèbre chasseur de chars automoteur antichar. 7,62 cm RAL36(t) sur Pz 38 (t) Marder III SdKfz 139.
La tourelle rotative du char a été remplacée par une tourelle de commandement fixe, dans laquelle était monté un chariot avec un berceau du canon soviétique F-22, recouvert d'un bouclier de 14,5 mm d'épaisseur. En 1942, la société pragoise VMM a fabriqué 344 canons automoteurs "Marder III" avec un canon de 76 mm.
Un autre chasseur de chars basé sur le châssis PzKpfw 38(t). est devenu un canon automoteur antichar armé d'un 75-mm Canon allemand RAK 40/3."
De plus, des canons antichars automoteurs sIG 33 avec un obusier de 150 mm 15 cm slG 33 auf PzKpfw 38 (t) ont été produits sur le châssis PzKpfw 38 (t) "Bizon" (SdKfz 138/1). Au début de 1943, environ 90 de ces canons ont été produits."
Dans les modifications ultérieures des canons automoteurs Marder III, le moteur était situé dans la partie centrale de la coque, ce qui permettait de déplacer l'équipage vers une timonerie blindée installée à l'arrière, et ainsi d'augmenter sa sécurité. De telles installations ont été réalisées en 1943-1944. et étaient une bonne porte de sortie jusqu'à ce que la Wehrmacht entre en service avec des moyens plus avancés pour combattre les chars lourds soviétiques (KV-1, KV-2).
Chasseur de chars "Hetzer" (Hetzer). Comme mentionné ci-dessus, le Marder III n'était rien de plus qu'une solution temporaire pour assurer la défense antichar des troupes allemandes sur le front soviétique, mais ce sont ces canons automoteurs qui ont été les précurseurs. combattants puissants chars entrés au service de la Wehrmacht au stade final de la guerre, le premier chasseur de chars allemand de 7,5 cm Panzerjager 38 (t) a été développé par Henschel and Son AG sur la base du châssis PzKpfw 38 (t).
Le nouveau canon automoteur, appelé Hetzer ("Hetzer" - un chasseur), avait une toute nouvelle coque basse large et une cabine spacieuse (avec de grands angles d'inclinaison des plaques de blindage) pour un équipage de quatre hommes. La réservation du front de la coque et de la cabine était de 60 mm, la planche et l'alimentation - 20 mm. Hetzer était armé d'un canon antichar PAK 39 L/48 de 75 mm et d'une mitrailleuse MG-34 de 7,92 mm montée sur le toit de la cabine. Les munitions se composaient de 41 projectiles perforants et de 1200 cartouches de mitrailleuses.
Les canons automoteurs ont été équipés d'une modification améliorée du moteur Prague AC / 2800, ce qui lui a permis d'atteindre des vitesses allant jusqu'à 42 km / h. Libérer unités automotrices a commencé en mai 1944 et s'est poursuivie jusqu'à la fin de la guerre. En mars 1945, VMM et Skoda avaient produit 2584 installations (Selon des sources nationales, 2840 chasseurs de chars Hetzer ont été fabriqués en 1944-1945.)
Sur la base du chasseur de chars Khetser, les véhicules blindés spéciaux suivants ont été développés:
- réservoir de réparation et de récupération (BREM) (Bergepanzer 38 (t) Hetzer);
- réservoir lance-flammes (flammpanzer 38 (t) Hetzer).
De plus, le châssis PzKpfw 38 (t) a été utilisé pour créer des chars de commandement, des tracteurs pour le transport de munitions. Mais, peut-être, l'option la plus exotique était un char d'entraînement dont le moteur, pour économiser de l'essence précieuse, fonctionnait au bois!
PS
La meilleure chose à propos de la place du tchèque PzKpfw 38 (t) dans l'histoire de l'allemand forces blindées dit le colonel à la retraite Helmut Ritgen. Sa déclaration ci-dessous est citée par l'auteur du livre de Walter Spielberg "Die Panzer-Kampfwagen 35(t) und 38(t) unc ibre Abarten". «Jusqu'au moment où on m'a proposé d'aider à écrire ce livre, je n'avais en quelque sorte pas réalisé que tous les régiments de chars qui avaient été créés au cours de la période 1940-1941. (c'est-à-dire les 29, 39, 27 et 21), étaient équipés de chars PzKpfw 38 (t). Cela signifie que sans l'industrie militaire tchèque et les chars tchèques, nous n'aurions pas quatre divisions de chars, ce qui rendrait impossible d'attaquer l'Union soviétique.
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Source des données : Magazine "Armored Collection" M. Bratinsky (1998. - N°3)
L'Allemagne hitlérienne, après l'occupation de la Tchécoslovaquie, a reçu à sa disposition une industrie de chars développée localement. Les chars tchèques LT vz.35 et 38 étaient nettement supérieurs à presque tous les véhicules de combat de la Wehrmacht.
Ils se distinguaient par de bons indicateurs de vitesse et de maniabilité, des canons de 37 mm, tandis que le char Pz II le plus massif à l'époque en Allemagne avait une mitrailleuse de 20 mm, et le Pz I n'avait qu'un armement de mitrailleuse. Comparable au LT vz.38 en termes de performances, le char allemand Pz. III était disponible en seulement 45 exemplaires.
Par conséquent, les Allemands ont immédiatement adopté les véhicules tchèques, obligeant l'industrie locale à produire des chars pour la Wehrmacht. Les premiers Panzer 38 (t) de l'armée allemande sont déjà sortis en mai de la trente-neuvième année. Au moment de l'invasion de l'URSS, les chars tchèques constituaient une part importante des cales de chars de l'armée allemande.
Les spécialistes du complexe historique et culturel "Ligne de Staline", où sont réalisées des reconstructions à grande échelle des batailles de la Seconde Guerre mondiale, ont entrepris d'assembler une copie exacte du Panzer 38 (t), surnommé "Prague" dans le Rouge Armée.
Était GT-MU, est devenu Panzer 38(t)
Comme base pour créer une copie du char tchèque, le véhicule de transport de troupes blindé aéroporté légèrement blindé à chenilles soviétique GT-MU a été choisi. Principalement en raison de rouleaux similaires et d'une taille de corps appropriée.
Coque blindée n° 1361 d'un des réservoirs de production dans les ateliers de l'usine. Photo: nnre.ru La carrosserie du véhicule à chenilles a dû être considérablement raccourcie, tandis que la partie arrière a été empruntée à un autre GT-s (transporteur de chenilles-neige et véhicule des marais).
Les travaux de restauration du Panzer 38(t) ont été menés par le chef mécanicien-restaurateur Vladimir Yakushev et le mécanicien-restaurateur Alexander Mikalutsky.
Alexandre Mikaloutski :
- Au début de la Seconde Guerre mondiale, c'était l'un des chars les plus modernes de la Wehrmacht, il surpassait le BT-7 soviétique en termes de protection blindée, de maniabilité et de puissance d'armement. Les dispositifs d'observation du char tchèque étaient également meilleurs. Mais l'armure est mauvaise. L'acier de blindage tchèque était fragile et, à cause de cela, il était impossible d'augmenter radicalement la sécurité. Lors du soudage de feuilles supplémentaires, il a tout simplement éclaté.
Nous construisons notre copie à partir d'acier ordinaire non trempé de 10 mm. Les rivets sur l'armure imiteront. Le plus dur est de fabriquer la tour. Pour ce faire, vous devez calculer correctement la longueur de la feuille, car nous travaillons sans autogène et la tour du réservoir a plusieurs faces.
Vladimir Iakouchev
- Pendant le travail dans l'équipe de recherche, il m'est arrivé de trouver plusieurs Panzer 38 (t) tchèques. En Biélorussie, ils étaient souvent utilisés dans des opérations de contre-guérilla, car dans la deuxième période de la guerre, ils ne pouvaient plus combattre les T-34-85 et IS soviétiques.
Au total, nous avons trouvé trois chars tchèques, tous dans la région de Vitebsk, où la résistance des partisans aux Allemands était particulièrement forte. Les voitures gisaient dans des marécages dans les districts de Gorodok et Rossony. Sur les trois chars, nous avons réussi à en assembler un - les Allemands ont fait exploser des véhicules militaires avant de les abandonner. Cet exemplaire est aujourd'hui exposé au musée de la ville de Togliatti.
En ce qui concerne le réservoir en cours d'assemblage, pour une similitude maximale, nous transférons le moteur vers la partie arrière - vers le GT-MU, il était situé à droite du mécanicien du conducteur. Avec un tel agencement, il serait impossible d'ériger une tour. Soit dit en passant, la tourelle aura un entraînement manuel, comme c'était le cas sur l'authentique Panzer 38(t) au début des années 40.
L'armure est fragile
A l'origine Panzer 38(t) Ausf. A, B, C avaient un blindage relativement faible: l'épaisseur des plaques de blindage de la partie frontale de la coque atteignait 25 mm, le côté - 15, la poupe - 12, le toit - 10, le fond - 8.
Après l'invasion de l'URSS, il est rapidement devenu clair que de tels millimètres ne suffisaient pas, l'armure de la machine tchèque a traversé le canon BT-7 de 45 mm à toutes les distances de combat. Seuls le meilleur entraînement de l'équipage et de bons dispositifs d'observation, qui permettaient de détecter l'ennemi plus tôt, ont permis de sortir vainqueur du Panzer 38(t).
Avant le début de la campagne soviétique, les concepteurs tchèques ont augmenté le blindage frontal du char à 50 mm (blindage latéral à 30 mm). Cette protection a été accordée à certains des véhicules de la version D et à tous les réservoirs de modification E produits de novembre 1941 à mai 1941.
Mais une telle augmentation de la protection n'a pas trop aidé les équipages du Panzer 38 (t), le blindage fragile, lorsque les obus l'ont touché, a donné beaucoup de fragments à l'arrière, ce qui a blessé les pétroliers.
Cette qualité du blindage rendit également fatale l'affrontement de l'artillerie régimentaire, dont les obus explosifs, explosant sur le blindage, le transpercèrent. Le même effet a été donné par des grenades antichars.
De plus, il y avait de nombreuses zones affaiblies dans la feuille frontale - de grands dispositifs de visualisation et des supports à billes pour mitrailleuses étaient simplement enfoncés vers l'intérieur lorsqu'un projectile de 45 mm les frappait.
Le Panzer 38(t) avait également des avantages. Tout d'abord, un excellent armement de mitrailleuses avec de bons angles de visée verticaux, qui ne permettaient pas de s'approcher du char. Deuxièmement, la plupart des écoutilles étaient scellées avec du cuir, ce qui rendait beaucoup plus difficile de frapper le réservoir avec un cocktail Molotov. Troisièmement, une excellente maniabilité, faisant du Panzer 38(t) une cible difficile.
Les réservoirs de carburant étaient équipés de boîtes blindées, entre les compartiments de combat et moteur, il y avait une cloison recouverte d'amiante.
Armement
Le canon A-7 de 37 mm de la société Skoda de la fin des années 30 avait de bonnes caractéristiques: un projectile perforant de 850 g (remplissant 8 g d'explosifs), ayant une vitesse initiale de 741 m / s, a percé un 28 mm situé à un angle de 30 degrés plaque de blindage à une distance de 600 m.
L'entreprise polonaise a montré que de telles caractéristiques ne suffisaient manifestement pas. Par conséquent, dans le nouveau projectile Pzgr. La charge du Patr 37(t) a été augmentée - jusqu'à 13 g explosifà l'intérieur - et mettre un nouveau capuchon balistique. L'utilisation de ce dernier a permis d'augmenter la vitesse initiale du projectile à 750 m / s, tandis que la pénétration du blindage a également augmenté. À partir de 100 m, le projectile a pénétré 41 mm de blindage et 33 mm à partir de 500 m, le tout à un angle de 30 degrés.
Les cassettes en acier isolées réduisaient considérablement le risque de détonation des munitions. Photo: worldwarphotos.info Il y avait aussi un Pzgr. Patr 37 40/37 (t) avec noyau en carbure de tungstène et palpeur de fond. Il développa une vitesse initiale de 1020 m/s et perça des plaques de blindage de 64 mm à partir de 100 m. Mais il était inutile de tirer à plus de 400 m.
Performances de conduite
Le moteur Praga Typ TNHPS / II de 125 chevaux fournissait au réservoir une puissance spécifique de 13 litres. à partir de. par tonne. La capacité du réservoir de 220 litres était suffisante pour parcourir 250 km sur route ou 160 km hors route. Sur un terrain accidenté, le char a accéléré à 15 km / h, sur l'autoroute - jusqu'à 42 km / h.
Conduire le char était assez confortable, sinon pour un "mais" - la boîte de vitesses. Les Allemands ont décidé de ne pas mettre de servocommande sur le Panzer 38 (t) pour des raisons de fiabilité et d'économie de conception. Par conséquent, pour changer de vitesse sur une boîte de vitesses froide ou «non rodée», il fallait beaucoup d'efforts - environ 60 kg (pour le T-34, ce chiffre était la moitié).
La suspension du réservoir s'est avérée sans prétention et fiable. Et plus souvent, il a échoué à cause des tirs antichars que des conditions routières. La perméabilité de la voiture était à la hauteur, il est à noter que des pattes supplémentaires étaient prévues pour la conduite sur de la glace boueuse, qui étaient rarement utilisées dans la pratique.
En résumé, notez que le Panzer 38(t) était l'un des meilleurs véhicules au début de la Seconde Guerre mondiale. Une excellente maniabilité et maniabilité (selon ces indicateurs, le char tchèque était complètement supérieur au T-34 soviétique), ainsi que la simplicité de conception et la fiabilité ont rendu ce char simple et outil efficace faire la guerre.
Malgré des matériaux de qualité médiocre, de nombreux dispositifs d'observation permettaient au char de remarquer l'ennemi plus tôt et d'ouvrir le feu à l'avance ou de battre en retraite si un KV soviétique se profilait à l'horizon.
C'est le Panzer 38(t) qui est devenu bourreau de travail Wehrmacht, qui subit de plein fouet les combats de la compagnie française et la première période de la campagne soviétique. Mais même avec la fin de la guerre, ces chars n'ont pas mis fin à leur carrière, servant dans l'armée suisse jusqu'en 1957.
Le char de reconnaissance allemand adopté Pz.Kpfw.II n.A., mieux connu sous le nom de Luchs, avait un concurrent incarné en métal, qui a été développé par BMM (l'ancien ČKD tchécoslovaque). Réservoir Pz.Kpfw.38(t) n.A. a dépassé son rival au moins en termes de fiabilité et d'armement - mais Luchs est quand même entré dans la série. Pourquoi cela s'est-il produit et qu'est-ce qu'un char de reconnaissance léger développé pour la Wehrmacht en Tchécoslovaquie occupée?
La demande dicte l'offre
Sur la base des résultats de l'utilisation du char léger Pz.Kpfw.II Ausf.D dans la campagne de Pologne, il est devenu clair que la Wehrmacht avait besoin d'un nouveau véhicule de combat de classe légère. À la mi-septembre 1939, avant la fin des hostilités, le ministère allemand de l'armement et des munitions reçoit l'ordre de développer un char de reconnaissance rapide.
Au départ, MAN et Daimler-Benz y ont travaillé : la première société a développé le châssis, la deuxième tourelle et le caisson de la tourelle. Le projet a reçu l'indice VK 13.01 (machine expérimentale, classe 13 tonnes, premier échantillon). Le nouveau véhicule devait atteindre des vitesses allant jusqu'à 70 km/h, avoir une double tourelle, un blindage jusqu'à 30 mm et un poids au combat de 11 tonnes.
Le premier prototype Pz.Kpfw.38(t) n.A. lors d'une démonstration de nouvelles armes au quartier général d'Hitler "Wolf's Lair" le 4 janvier 1943. Extrême droite - Hitler, à côté de lui se tient Albert Speer
De nouveaux concurrents
En juillet 1940, la situation du projet a radicalement changé. Deux concurrents sont apparus, auxquels MAN et Daimler-Benz n'avaient même pas pensé il y a un an. En mars 1939, l'Allemagne occupa la Tchécoslovaquie et les entreprises industrielles tchèques tombèrent sous contrôle allemand. Parmi eux se trouvaient ŠKODA et Českomoravská Kolben-Daněk (ČKD), les principaux fabricants de véhicules blindés tchécoslovaques. Après l'occupation, les usines ont continué à produire des chars, mais pour de nouveaux propriétaires. Les bureaux d'études d'usine ont également été préservés, poursuivant le développement de nouveaux types de véhicules de combat.
ŠKODA et ČKD (qui a changé son signe en BMM sous les nouveaux propriétaires) avaient beaucoup d'expérience dans la création de chars légers, et en termes de caractéristiques, ils étaient nettement supérieurs à leurs homologues allemands. Il n'est pas surprenant que les deux entreprises aient été impliquées dans le concours pour la création d'un nouveau char de reconnaissance. Selon la mission, les entreprises tchèques étaient tenues de créer véhicule de combat avec un poids au combat de 12-13 tonnes et avec vitesse maximum 50–60 km/h. Il a été supposé que chaque entreprise produira cinq prototypes.
Première prototype char de reconnaissance BMM déployé en décembre 1941. C'était presque six mois plus tard que la machine MAN (son Pz.Kpfw.II n.A. est né en juillet 1941), mais l'écart a été comblé par l'évolution des exigences du client. Au cours de la seule année 1941, de sérieuses modifications ont été apportées au mandat à plusieurs reprises. Les plans napoléoniens pour la production de 250 VK 1303 et plus légers VK 903 ont dû être sérieusement ajustés. Ni à l'automne ni à l'hiver 1941, MAN n'a lancé la production de nouveaux chars. De plus, la charge de travail importante de MAN pour la production de chars moyens Pz.Kpfw.III - Second Guerre mondiale battait son plein. Cela a donné aux entreprises tchèques une grande longueur d'avance, et elles ont fini par rattraper le concurrent.
Le troisième prototype Pz.Kpfw.38(t) n.A. lors des essais du moteur Tatra Typ 103. Comme le premier prototype, la coque et la tourelle sont rivetées, mais le kit carrosserie est très différent
Différences avec la série Pz.Kpfw.38(t)
Le projet BMM, qui portait à l'origine l'indice TNH n.A. (n.A - "neuer Art", c'est-à-dire "nouveau type"), n'a pas été créé à partir de zéro. L'équipe de l'usine a tiré le meilleur parti de l'expérience du développement du réservoir TNH, mieux connu sous le nom de LT vz.38 et Pz.Kpfw.38(t). L'agencement général de la machine, ainsi qu'une partie importante de la coque, ont migré du réservoir maîtrisé en production. La centrale électrique était à l'arrière, la transmission et les roues motrices étaient à l'avant. Dans le même temps, il est impossible d'appeler la nouvelle voiture une modification de surface du LT vz.38.
Pendant plus de deux ans, le bureau d'études n'est pas resté les bras croisés et les exigences d'un nouveau char de reconnaissance l'ont obligé à procéder à une modification sérieuse. En tant que centrale électrique TNH n.A. un moteur Praha NR1 8 cylindres en V a été choisi, développant une puissance de 220 ch. Nouvelle Power Pointétait plus long que le «six» Praha TNHPS / II en ligne (version sous licence du moteur suédois Scania-Vabis typ 1664) utilisé sur le LT vz.38, le compartiment moteur a donc dû être allongé. Le châssis, à première vue, était très similaire, mais l'impression est trompeuse. Le poids au combat, qui a augmenté de plus d'une tonne, a exigé de le refaire. Le diamètre des roues est passé de 775 à 810 mm et la largeur de la voie est passée de 293 à 305 mm. La roue motrice a également changé.
Le quatrième ou le cinquième prototype du char, les véhicules de production auraient dû se ressembler
Des modifications importantes ont dû être apportées à la conception de la coque. En plus d'allonger le compartiment moteur, de nombreuses modifications ont dû être apportées à la conception de la partie frontale. La mitrailleuse de cours a dû être abandonnée, au lieu de cela, le conducteur adjoint a reçu un grand dispositif de visualisation, dont la conception ressemble au dispositif de visualisation du conducteur d'un char moyen Pz.Kpfw.III. Le chauffeur-mécanicien a reçu exactement le même appareil. La tourelle a été repensée de manière plus significative, il ne restait presque rien de la conception originale du LT vz.38. En tant qu'armement principal de TNH n.A. a reçu un canon Škoda A-19 de 37 mm, avec lequel la mitrailleuse MG-34 a été jumelée. Les créateurs du nouveau char ont abandonné la tourelle du commandant, et à sa place, un rebord commun est apparu, équipé de dispositifs de visualisation autour du périmètre.
Caractéristiques de conception
Séparément, il convient de mentionner la technologie de fabrication des coques et des tours TNH n.A. Presque tous les chars produits par Škoda et BMM avaient une coque et une tourelle rivetées. Cette conception présente un certain nombre d'inconvénients, dont l'un est les fragments secondaires qui forment verso bâtons après que les obus ennemis aient touché le char. En conséquence, TNH n.A. est devenu le premier char BMM à utiliser le soudage. Selon les informations disponibles, le premier prototype était en acier riveté et non blindé, le second en acier non blindé et avec une coque soudée, le troisième était riveté et en acier blindé, et les deux derniers réservoirs étaient construits soudés et en acier blindé. Selon le plan, BMM a publié un prototype chaque mois, qui a reçu l'indice Pz.Kpfw.38 (t) n.A. Le dernier char a été fabriqué en avril 1942. Il convient de noter qu'aucun des prototypes n'avait une structure entièrement soudée. La poupe et les portes du compartiment moteur étaient encore réalisées à l'aide de rivets.
A noter que les prototypes du Pz.Kpfw.38(t) n.A. différaient les uns des autres non seulement par la conception de la coque et des tours. Le premier prototype était différent en ce que les ailes installées dessus provenaient du Pz.Kpfw.38(t) de production sans modifications. Les dispositifs de visualisation réguliers n'ont jamais été installés, leur place était occupée par des pare-brise avec des essuie-glaces. Deux lampes Notek ont été placées sur les étagères et un klaxon de voiture a été fixé sur le côté droit de la tôle de coque frontale. Le deuxième prototype comportait une coque et une tourelle soudées, et il a également reçu des ailes redessinées. Le troisième prototype était de conception plus similaire au premier, mais a reçu des ailes modifiées et un projecteur sur le toit de la tourelle. De plus, plus tard, un moteur diesel 12 cylindres Tatra Typ 103 refroidi par air d'une puissance de 220 ch a été installé sur la voiture. Le troisième prototype, comme le premier Pz.Kpfw.38 (t) n.A., n'a pas reçu de dispositifs de visualisation. Le char n'a acquis son apparence familière que sur les quatrième et cinquième prototypes. Les mêmes machines ont reçu des ensembles complets de dispositifs de visualisation.
Compartiment moteur grand ouvert. On peut voir que le toit du compartiment moteur et la poupe du réservoir sont restés rivetés
Procès et concurrence déloyale à la IIIe Reich
La charge principale sous forme d'essais en mer est tombée sur le premier prototype. Fin janvier 1942, le char est livré au terrain d'entraînement de Kummersdorf, où il subit une série d'essais conjoints avec le Pz.Kpfw.II n.A. et Skoda T-15. Pendant plusieurs mois, le prototype s'est élancé de 3866 km sans pannes importantes, ce qui se compare favorablement aux concurrents. Il semblait que la voiture tchèque contournait l'allemande, mais tout a été décidé lors de la deuxième étape des essais, qui s'est déroulée comme en mai-juin 1942. Blame Pz.Kpf.38(t) n.A. et les T-15 offraient une garde au sol plus faible et une consommation de carburant accrue. En outre, il a été souligné que l'utilisation d'armes sous la forme d'un canon de 37 mm réduisait le volume utile de la tour, tandis que sur le Pz.Kpfw.II allemand n.A. il y avait un pistolet automatique plus compact de 20 mm.
Les commentaires sur le rapport permettent de dire que la société MAN a probablement utilisé la ressource administrative. Cela est particulièrement vrai de la question des armes. Ceux qui ont écrit des commentaires sur l'armement ne pouvaient que savoir que déjà en mars 1942, le canon 20-mm en tant qu'armement d'un char de reconnaissance ne convenait pas à l'armée allemande. Au printemps 1942, une spécification est apparue, selon laquelle le Pz.Kpfw.II n.A., désigné comme Pz.Spw.Wg II Ausf. MAN, devait recevoir une tourelle biplace Daimler-Benz avec un canon de 50 mm. Il s'agit d'une tourelle pour le char de reconnaissance VK 16.02, connu sous le nom de Gefechts Aufklärer Leopard (char de reconnaissance de combat Leopard). Quelque chose d'autre est encore plus intéressant. Outre les spécifications du Pz.Spw.Wg II Ausf.MAN, il y avait des données pour un autre véhicule - le Pz.Spw.Wg II Ausf.BMM, c'est-à-dire le "véhicule blindé de reconnaissance développé par BMM". Et là aussi, le canon de 50 mm est répertorié comme l'armement principal de la tourelle Daimler-Benz. Une simple superposition du Pz.Kpfw.38(t) n.A. et cette tour suggère que son installation sur une machine VMM était théoriquement tout à fait possible. Cependant, même dans le cas du char alternatif allemand, les choses n'ont pas progressé au-delà de la correspondance papier et des croquis.
Voici à quoi pourrait ressembler le Pz.Spw.Wg II Ausf.BMM avec une tourelle Daimler-Benz montée dessus
La victoire du char allemand Pz.Kpfw.II n.A., mieux connu sous le nom de Luchs, s'est finalement révélée à la Pyrrhus. La charge de travail de MAN a conduit au fait que seuls 100 de ces chars de reconnaissance ont été produits. Obtenez BMM une commande pour la production de Pz.Kpf.38(t) n.A., la situation pourrait être différente. D'une manière ou d'une autre, l'affaire était limitée à seulement cinq prototypes. Sans laisser de trace, l'expérience de la création de Pz.Kpf.38 (t) n.A. n'a pas réussi: le train d'atterrissage modernisé développé pour ce char a été utilisé sur le chasseur de chars Jagdpanzer 38 (t) ("Hetzer").
Survivre à la guerre Pz.Kpf.38(t) n.A., qui a été utilisé comme laboratoire d'essai
Le destin des prototypes était différent. Le troisième prototype, par exemple, a servi de laboratoire d'essai pour le fonctionnement du moteur diesel Tatra Typ 103 et les solutions prévues pour une utilisation sur char léger 57–900 TNH. Le sort ultérieur du reste des véhicules reste inconnu, mais au moins un de ces chars a survécu à la guerre. Basé sur la configuration des ailes, il s'agissait soit du deuxième, soit du troisième prototype. La qualité des images ne permet pas de déterminer si la carrosserie de la voiture ayant survécu à la guerre était soudée ou rivetée.
Sources:
- V. Francev, C.K. Kliment. Praga LT vz.38. MBI, 1997
- T.L. Jentz, H.L. Doyle. Panzer Tracts #18 : Panzerkampfwagen 38(t) Ausf. A à G et S Production, modification et historique de fonctionnement de 1939 à 1942.
- BAMA (Archives fédérales)
Chars de combat modernes de la Russie et du monde photos, vidéos, images à regarder en ligne. Cet article donne une idée de la flotte de chars modernes. Il est basé sur le principe de classification utilisé dans le livre de référence le plus faisant autorité à ce jour, mais sous une forme légèrement modifiée et améliorée. Et si ce dernier sous sa forme originale se trouve encore dans les armées de plusieurs pays, d'autres sont déjà devenus une exposition de musée. Et tout cela pendant 10 ans ! Pour suivre les traces du guide de Jane et ne pas considérer ce véhicule de combat (d'ailleurs curieux de conception et âprement discuté à l'époque), qui a constitué la base de la flotte de chars du dernier quart du XXe siècle, le auteurs l'ont jugé injuste.
Des films sur les chars où il n'y a toujours pas d'alternative à ce type d'armement des forces terrestres. Le char était et restera probablement une arme moderne pendant longtemps en raison de sa capacité à combiner des qualités apparemment contradictoires telles qu'une grande mobilité, des armes puissantes et une protection fiable de l'équipage. Ces qualités uniques des chars continuent d'être constamment améliorées, et l'expérience et les technologies accumulées au fil des décennies prédéterminent de nouvelles frontières des propriétés de combat et des réalisations militaro-techniques. Dans la confrontation séculaire "projectile - armure", comme le montre la pratique, la protection contre un projectile s'améliore de plus en plus, acquérant de nouvelles qualités: activité, multicouche, autodéfense. Dans le même temps, le projectile devient plus précis et puissant.
Les chars russes sont spécifiques en ce sens qu'ils vous permettent de détruire l'ennemi à distance de sécurité, ont la capacité d'effectuer des manœuvres rapides sur des routes impraticables, des terrains contaminés, peuvent «marcher» à travers le territoire occupé par l'ennemi, saisir une tête de pont décisive, induire paniquez à l'arrière et réprimez l'ennemi avec le feu et les chenilles. La guerre de 1939-1945 est devenue l'épreuve la plus difficile pour toute l'humanité, puisque presque tous les pays du monde y ont été impliqués. C'était la bataille des titans - la période la plus unique sur laquelle les théoriciens se sont disputés au début des années 1930 et au cours de laquelle les chars ont été utilisés en grand nombre par presque toutes les parties belligérantes. A cette époque, un "contrôle des poux" et une profonde réforme des premières théories de l'utilisation des troupes de chars ont eu lieu. Et ce sont les troupes de chars soviétiques qui sont les plus touchées par tout cela.
Des chars au combat devenus un symbole de la guerre passée, l'épine dorsale des forces blindées soviétiques ? Qui les a créés et dans quelles conditions ? Comment l'URSS, ayant perdu la plupart de ses territoires européens et ayant du mal à recruter des chars pour la défense de Moscou, a-t-elle pu lancer de puissantes formations de chars sur le champ de bataille dès 1943 ? Ce livre, qui raconte le développement des chars soviétiques "en les jours des essais ", de 1937 au début de 1943. Lors de la rédaction du livre, des matériaux provenant des archives de la Russie et des collections privées de constructeurs de chars ont été utilisés. Il y a eu une période de notre histoire qui a été déposée dans ma mémoire avec un sentiment déprimant. Cela a commencé avec le retour de nos premiers conseillers militaires d'Espagne, et ne s'est arrêté qu'au début du quarante-troisième, - a déclaré l'ancien concepteur général des canons automoteurs L. Gorlitsky, - il y avait une sorte d'état pré-orageux.
Chars de la Seconde Guerre mondiale, c'est M. Koshkin, presque clandestin (mais, bien sûr, avec le soutien de "le plus sage du chef sage de tous les peuples"), qui a pu créer ce char qui, quelques années plus tard plus tard, choquerait les généraux de chars allemands. Et en plus, il ne s'est pas contenté de le créer, le concepteur a réussi à prouver à ces stupides militaires que c'était son T-34 dont ils avaient besoin, et pas juste une autre "autoroute" à chenilles à roues. positions qu'il a formées après avoir rencontré les documents d'avant-guerre du RGVA et du RGAE.Par conséquent, en travaillant sur ce segment de l'histoire du char soviétique, l'auteur contredira inévitablement quelque chose de "généralement accepté".Cet ouvrage décrit l'histoire du char soviétique construction de chars dans les années les plus difficiles - depuis le début d'une restructuration radicale de toutes les activités des bureaux d'études et des commissariats populaires en général, lors d'une course effrénée pour équiper de nouvelles formations de chars de l'Armée rouge, le transfert de l'industrie vers les rails de guerre et évacuation.
Tanks Wikipedia l'auteur tient à exprimer sa gratitude particulière pour l'aide à la sélection et au traitement des matériaux à M. Kolomiyets, ainsi qu'à remercier A. Solyankin, I. Zheltov et M. Pavlov, les auteurs de la publication de référence "Domestic armored véhicules. XX siècle. 1905 - 1941" car ce livre a permis de comprendre le sort de certains projets, peu clairs auparavant. Je voudrais également rappeler avec gratitude ces conversations avec Lev Izraelevich Gorlitsky, l'ancien concepteur en chef de l'UZTM, qui ont permis de jeter un regard neuf sur toute l'histoire du char soviétique pendant la Grande Guerre patriotique de l'Union soviétique. Aujourd'hui, pour une raison quelconque, il est d'usage de parler de 1937-1938 dans notre pays. uniquement du point de vue des répressions, mais peu de gens se souviennent que c'est pendant cette période que sont nés ces chars qui sont devenus des légendes de la guerre ... "D'après les mémoires de L.I. Gorlinkogo.
Les chars soviétiques, une évaluation détaillée de ceux-ci à l'époque sonnaient de nombreuses lèvres. De nombreuses personnes âgées ont rappelé que c'était à partir des événements d'Espagne qu'il était devenu clair pour tout le monde que la guerre se rapprochait du seuil et que c'était Hitler qui devait se battre. En 1937, des purges et des répressions massives ont commencé en URSS, et dans le contexte de ces événements difficiles, le char soviétique a commencé à passer d'une "cavalerie mécanisée" (dans laquelle l'une de ses qualités de combat dépassait en réduisant les autres) à un combat équilibré véhicule, qui avait simultanément des armes puissantes, suffisantes pour supprimer la plupart des cibles, une bonne capacité de cross-country et une mobilité avec une protection blindée, capable de maintenir sa capacité de combat lors du bombardement d'un ennemi potentiel avec les armes antichars les plus massives.
Les grands réservoirs ont été recommandés pour être ajoutés à la composition uniquement réservoirs spéciaux- flottant, chimique. La brigade comptait désormais 4 bataillons distincts de 54 chars chacun et a été renforcée par le passage de pelotons de trois chars à des pelotons de cinq chars. De plus, D. Pavlov a justifié le refus de former en 1938 aux quatre corps mécanisés existants trois autres supplémentaires, estimant que ces formations sont immobiles et difficiles à contrôler, et surtout, qu'elles nécessitent une organisation différente de l'arrière. Les exigences tactiques et techniques pour les chars prometteurs, comme prévu, ont été ajustées. Notamment, dans une lettre datée du 23 décembre au chef du bureau d'études de l'usine n° 185 nommée d'après. CM. Kirov, le nouveau chef, a exigé de renforcer le blindage des nouveaux chars afin qu'ils se trouvent à une distance de 600 à 800 mètres (portée effective).
Les derniers chars au monde lors de la conception de nouveaux chars, il est nécessaire de prévoir la possibilité d'augmenter le niveau de protection du blindage lors de la modernisation d'au moins une étape ... "Ce problème pourrait être résolu de deux manières: premièrement, en augmentant l'épaisseur des plaques de blindage et, deuxièmement, "en utilisant une résistance de blindage accrue". Il est facile de deviner que la deuxième voie était considérée comme plus prometteuse, car l'utilisation de plaques de blindage spécialement durcies, voire d'une armure à deux couches, pourrait, tout en conservant la même épaisseur (et la masse du char dans son ensemble), augmentez sa résistance de 1,2-1,5. C'est cette voie (l'utilisation d'un blindage spécialement durci) qui a été choisie à ce moment-là pour créer de nouveaux types de chars.
Chars de l'URSS à l'aube production de réservoir l'armure a été utilisée le plus massivement, dont les propriétés étaient identiques dans toutes les directions. Une telle armure était appelée homogène (homogène), et dès le début de l'activité des armures, les artisans se sont efforcés de créer une telle armure, car l'uniformité assurait la stabilité des caractéristiques et un traitement simplifié. Cependant, à la fin du XIXe siècle, on a remarqué que lorsque la surface de la plaque de blindage était saturée (sur une profondeur de plusieurs dixièmes à plusieurs millimètres) de carbone et de silicium, sa résistance de surface augmentait fortement, tandis que le reste de la la plaque est restée visqueuse. Une armure hétérogène (hétérogène) a donc été utilisée.
Dans les chars militaires, l'utilisation d'armures hétérogènes était très importante, car une augmentation de la dureté de toute l'épaisseur de la plaque de blindage entraînait une diminution de son élasticité et (par conséquent) une augmentation de la fragilité. Ainsi, l'armure la plus durable, ceteris paribus, s'est avérée très fragile et souvent piquée même par des ruptures. projectiles à fragmentation hautement explosifs. Par conséquent, à l'aube de la production d'armures dans la fabrication de tôles homogènes, la tâche du métallurgiste était d'atteindre la dureté la plus élevée possible de l'armure, mais en même temps de ne pas perdre son élasticité. La surface durcie par saturation avec une armure de carbone et de silicium était appelée cimentée (cimentée) et était considérée à l'époque comme une panacée pour de nombreux maux. Mais la cémentation est un procédé complexe, nocif (par exemple, traitement d'une plaque chauffante avec un jet de gaz d'éclairage) et relativement coûteux, et donc son développement en série a nécessité des coûts élevés et une augmentation de la culture de production.
Réservoir des années de guerre, même en fonctionnement, ces coques avaient moins de succès que les coques homogènes, car sans raison apparente des fissures s'y formaient (principalement dans les coutures chargées), et il était très difficile de mettre des patchs sur les trous des dalles cimentées lors des réparations . Mais on s'attendait toujours à ce qu'un char protégé par un blindage cimenté de 15-20 mm soit équivalent en termes de protection au même, mais recouvert de tôles de 22-30 mm, sans augmentation significative de la masse.
De plus, au milieu des années 1930, dans la construction de chars, ils ont appris à durcir la surface de plaques de blindage relativement minces par un durcissement inégal, connu depuis la fin du 19e siècle dans la construction navale sous le nom de "méthode Krupp". Le durcissement superficiel a entraîné une augmentation significative de la dureté de la face avant de la feuille, laissant l'épaisseur principale de l'armure visqueuse.
Comment les chars filment des vidéos jusqu'à la moitié de l'épaisseur de la plaque, ce qui, bien sûr, était pire que la carburation, car malgré le fait que la dureté de la couche de surface était plus élevée que lors de la carburation, l'élasticité des feuilles de coque était considérablement réduite. Ainsi, la "méthode Krupp" dans la construction de chars a permis d'augmenter la résistance de l'armure encore un peu plus que la carburation. Mais la technologie de durcissement qui était utilisée pour les blindages marins de grandes épaisseurs n'était plus adaptée aux blindages de chars relativement minces. Avant la guerre, cette méthode n'était presque jamais utilisée dans notre construction de chars en série en raison de difficultés technologiques et d'un coût relativement élevé.
Utilisation au combat des chars Le plus développé pour les chars était le canon de char de 45 mm mod 1932/34. (20K), et avant l'événement en Espagne, on pensait que sa puissance était suffisante pour effectuer la plupart des tâches de char. Mais les batailles en Espagne ont montré que le canon de 45 mm ne pouvait satisfaire que la tâche de combattre les chars ennemis, car même le bombardement de la main-d'œuvre dans les montagnes et les forêts s'est avéré inefficace, et il était possible de désactiver un ennemi enfoui pas de tir uniquement en cas de coup direct. Le tir sur les abris et les bunkers était inefficace en raison de la petite action hautement explosive d'un projectile ne pesant qu'environ deux kg.
Types de chars photo de sorte que même un coup de projectile désactive de manière fiable un canon antichar ou une mitrailleuse; et troisièmement, afin d'augmenter l'effet pénétrant d'un canon de char sur le blindage d'un ennemi potentiel, puisque, en prenant l'exemple des chars français (ayant déjà une épaisseur de blindage de l'ordre de 40-42 mm), il est devenu clair que la protection blindée des véhicules de combat étrangers a tendance à être considérablement augmentée. Pour cela, il y avait une bonne voie - une augmentation du calibre des canons de chars et une augmentation simultanée de la longueur de leur canon, car arme d'épaule un plus gros calibre tire des projectiles plus lourds à une vitesse initiale plus élevée sur une plus grande distance sans correction de visée.
Les meilleurs chars du monde avaient un canon de gros calibre, a également grandes tailles culasse, beaucoup plus de poids et une réaction de recul accrue. Et cela nécessitait une augmentation de la masse de l'ensemble du réservoir dans son ensemble. De plus, le placement de gros coups dans le volume fermé du char a entraîné une diminution de la charge de munitions.
La situation a été aggravée par le fait qu'au début de 1938, il s'est soudainement avéré qu'il n'y avait tout simplement personne pour donner l'ordre de concevoir un nouveau canon de char plus puissant. P. Syachintov et toute son équipe de conception ont été réprimés, ainsi que le noyau du bureau de conception bolchevique sous la direction de G. Magdesiev. Seul le groupe de S. Makhanov est resté en liberté, qui dès le début de 1935 a essayé d'apporter son nouveau pistolet simple semi-automatique L-10 de 76,2 mm, et l'équipe de l'usine n ° 8 a lentement apporté le "quarante-cinq" .
Photos de chars avec des noms Le nombre de développements est important, mais en production de masse dans la période 1933-1937. pas un seul n'a été accepté ... "En fait, aucun des cinq moteurs diesel à réservoir refroidis par air, qui ont été travaillés en 1933-1937 dans le département des moteurs de l'usine n ° 185, n'a été apporté à la série. De plus, malgré les décisions prises aux niveaux les plus élevés de la transition de la construction de réservoirs exclusivement vers des moteurs diesel, ce processus a été freiné par un certain nombre de facteurs. Bien sûr, le diesel avait une efficacité significative. Il consommait moins de carburant par unité de puissance par heure. Carburant diesel est moins susceptible de s'enflammer, car le point d'éclair de ses vapeurs était très élevé.
Même le plus avancé d'entre eux, le moteur de char MT-5, a nécessité une réorganisation de la production de moteurs pour la production en série, ce qui s'est traduit par la construction de nouveaux ateliers, la fourniture d'équipements étrangers avancés (il n'y avait pas encore de machines-outils de la précision requise ), investissements financiers et renforcement du personnel. Il était prévu qu'en 1939 ce moteur diesel d'une capacité de 180 ch. ira aux chars et aux tracteurs d'artillerie produits en série, mais en raison d'un travail d'enquête pour découvrir les causes des accidents de moteurs de chars, qui ont duré d'avril à novembre 1938, ces plans n'ont pas été réalisés. Le développement d'un moteur à essence à six cylindres légèrement augmenté n ° 745 d'une puissance de 130 à 150 ch a également été lancé.
Des marques de réservoirs avec des indicateurs spécifiques qui convenaient assez bien aux constructeurs de réservoirs. Des tests de chars ont été effectués selon une nouvelle méthodologie, spécialement développée sur l'insistance du nouveau chef de l'ABTU D. Pavlov en ce qui concerne le service de combat en temps de guerre. La base des tests était une course de 3-4 jours (au moins 10-12 heures de trafic quotidien sans escale) avec une pause d'une journée pour l'inspection technique et les travaux de restauration. De plus, les réparations ne pouvaient être effectuées que par des ateliers sur le terrain sans l'intervention de spécialistes d'usine. Cela a été suivi d'une "plate-forme" avec des obstacles, "baignant" dans l'eau avec une charge supplémentaire, simulant un débarquement d'infanterie, après quoi le char a été envoyé pour examen.
Les super chars en ligne après les travaux d'amélioration semblaient supprimer toutes les réclamations des chars. Et le déroulement général des tests a confirmé l'exactitude fondamentale des principales modifications de conception - une augmentation de la cylindrée de 450 à 600 kg, l'utilisation du moteur GAZ-M1, ainsi que la transmission et la suspension Komsomolets. Mais lors des tests, de nombreux défauts mineurs sont à nouveau apparus dans les réservoirs. Chef designer N. Astrov a été suspendu de ses fonctions et a été détenu et sous enquête pendant plusieurs mois. De plus, le char a reçu une nouvelle tourelle de protection améliorée. La disposition modifiée a permis de placer sur le char une charge de munitions plus importante pour une mitrailleuse et deux petits extincteurs (avant, il n'y avait pas d'extincteurs sur les petits chars de l'Armée rouge).
Chars américains dans le cadre des travaux de modernisation, sur un modèle de série du char en 1938-1939. la suspension à barre de torsion développée par le concepteur du bureau d'études de l'usine n ° 185 V. Kulikov a été testée. Il se distinguait par la conception d'une barre de torsion coaxiale courte composite (les longues barres de monotorsion ne pouvaient pas être utilisées de manière coaxiale). Cependant, une barre de torsion aussi courte lors des tests n'a pas montré suffisamment de beaux résultats, et par conséquent, la suspension à barre de torsion n'a pas immédiatement ouvert la voie au cours de travaux ultérieurs. Obstacles à surmonter : montées d'au moins 40 degrés, paroi verticale de 0,7 m, fossé de chevauchement de 2 à 2,5 m.
YouTube sur les travaux de chars sur la production de prototypes de moteurs D-180 et D-200 pour chars de reconnaissance n'est pas en cours, mettant en péril la production de prototypes. "Justifiant son choix, N. Astrov a déclaré qu'un non-flottant à chenilles à roues les avions de reconnaissance (désignation d'usine 101 10-1), ainsi que la version char amphibie (désignation d'usine 102 ou 10-2), sont une solution de compromis, car il n'est pas possible de répondre pleinement aux exigences de l'ABTU. La variante 101 était un char de 7,5 tonnes avec une coque selon le type de coque, mais avec des tôles latérales verticales de blindage cémenté de 10-13 mm d'épaisseur, car: "Les côtés inclinés, provoquant un alourdissement important de la suspension et de la coque, nécessitent un important ( jusqu'à 300 mm) élargissement de la coque, sans oublier la complication du réservoir.
Revues vidéo de réservoirs dans lesquels l'unité motrice du réservoir devait être basée sur le moteur d'avion MG-31F de 250 chevaux, qui était maîtrisé par l'industrie des avions agricoles et des autogires. L'essence de 1ère année a été placée dans un réservoir sous le plancher du compartiment de combat et dans des réservoirs d'essence supplémentaires à bord. L'armement remplissait pleinement la tâche et se composait de mitrailleuses coaxiales de calibre DK 12,7 mm et DT (dans la deuxième version du projet, même ShKAS apparaît) de calibre 7,62 mm. Le poids au combat d'un char avec une suspension à barre de torsion était de 5,2 tonnes, avec une suspension à ressort - 5,26 tonnes.Les tests ont été effectués du 9 juillet au 21 août selon la méthodologie approuvée en 1938, et Attention particulière donnée aux chars.