L'article est un KG / AM complet ... Il a déjà été analysé à la fois au VIF-2NE et au forum de modélisation de Shumakov ... Malginov lui-même a écrit ce qui suit aux critiques:
Le même critique malveillant Malginov vous répond. Maintenant, je veux vous remercier. Vous m'avez fait plaisir en envoyant à peu près les mêmes retours que j'attendais. Vous n'êtes, hélas, pas original. Mais au point.
J'ai volontairement choisi le ton moqueur de l'article. Comme le dit le proverbe, vous voulez redresser le bâton - pliez-le de l'autre côté. Mais tous les faits qu'il contient sur le BMP sont vrais. En général, il est étrange que quelqu'un protège un véhicule blindé dans lequel les soldats montent à l'extérieur.
Les défauts du BMP-2 sont intolérables, car ils pouvaient être prédits avant même sa naissance.Quand j'ai dit que le blindage du BMP n'est pas pare-balles, je voulais dire qu'il ne contient pas de balle de fusil. Comme indiqué dans le rapport sur l'utilisation de véhicules blindés en Tchétchénie, "les véhicules blindés de combat d'infanterie et les véhicules blindés de transport de troupes ne résistent pas aux bombardements d'un PC". J'espère que vous reconnaissez qu'un peloton d'infanterie peut être armé d'une seule mitrailleuse et de fusils de sniper qui tirent de puissantes cartouches de fusil. Contrairement au canon a46, qui ne peut pas être levé par l'ensemble du peloton. Même avant la guerre, il était établi qu'un blindage de 15 mm protégeait d'une balle de fusil et de 30 mm d'une balle de gros calibre. Et 10 mm protège bien du pistolet PM.
Quant aux véhicules blindés de transport de troupes et aux véhicules de combat d'infanterie, je serais heureux que vous m'expliquiez en quoi ils diffèrent. Une excellente chose est la charte, seulement s'il s'avère que le BMP-2 peut soutenir des chars au combat, et le BTR-T ou "Azarit" ne convient que pour transporter de l'infanterie vers bord avant, alors excusez-moi, celui qui l'a écrit est un idiot. Lorsque j'ai demandé aux militaires de l'académie quelle était la différence entre le BTR-80A et le BMP-2, afin qu'ils puissent être attribués à différentes classes d'équipement militaire, ils se sont levés, m'ont regardé avec des yeux gentils et se sont tus.
À propos de Bast Shoe Russie, vous n'avez pas tout à fait raison non plus. Nos véhicules blindés de transport de troupes ont été créés régulièrement, mais pourquoi ils n'ont pas été mis en service n'est pas une question pour moi. Si le même TR-4 avait été adopté avant la guerre, nous aurions probablement perdu la moitié du nombre de personnes. Et à Kubinka, il y a de meilleures voitures que les BTR-60 et BMP-1, mais pourquoi n'ont-elles pas été acceptées ? Ce n'est probablement pas de ma faute ?
Maintenant à propos de la première et pour la première fois. Je m'intéresse peu à qui a fait avant, s'il a mal fait. A propos du tour du moteur, je voulais dire qu'il a été déployé pendant la guerre, mais le T-44 a échoué (arrêté avant le T-34-85). Le T-54 a pris beaucoup de temps à terminer et il est entré en production de masse après 1950. Comme vous pouvez le voir, il a fallu plus de 5 ans entre le moment du demi-tour et le moment où les troupes sont entrées dans les troupes d'un véhicule vraiment massif. C'est vrai, tu ne peux pas appeler ça le travail de Stakhanov ?
Quant à tomber du corps - je ne suis pas tombé. Mais, Rostislav, n'as-tu vraiment pas honte que les designers allemands prennent soin de leurs soldats (Leopard et Marder sont recouverts d'un composé antidérapant), et les nôtres s'en moquent. Un soldat bouche bée, glisse, se blesse - lui-même, du bétail, à blâmer, il n'y avait rien pour ouvrir la bouche ? Au fait, savez-vous pourquoi les canons T-64 et T-72 tournent dans des directions différentes pendant la marche ? Dans le T-64, le canon de la mitrailleuse regarde directement dans la tête du conducteur s'il sort de la trappe. Il y a eu plusieurs accidents dans lesquels des conducteurs ont été abattus. Kartsev n'était pas trop paresseux, a réorganisé le projecteur infrarouge sur le T-72 et a tourné le canon dans l'autre sens pendant la marche. Désormais, un accident est hors de question, même en théorie. Et Morozov a tout laissé tel quel. Alors, ne me parlez pas du remarquable concepteur de chars Morozov - il ne mérite pas ces mots.
Voici ce que je voulais dire à propos du canon. Ils ont assommé le BMP, tout le monde est sorti. Pensez-vous qu'à ce moment-là le tireur (s'il est vivant) pensera où le canon est dirigé et le relèvera s'il ferme la trappe ? Et pour certains, cela coûtera la vie.Un livre entier peut être écrit sur tout cela. Alors ne me grondez pas - j'avais des raisons d'écrire sur le BMP tout ce que j'ai écrit, et même bien plus. Pensez au fait qu'à cause des futurs concepteurs et des généraux qui ont mis ce monstre en service, tant de soldats sont morts en Afghanistan et continuent de mourir en Tchétchénie. Et ils ont été tués même alors, derrière la planche à dessin. Et puis quand le général a écrit - "Adoptez". Le général et le concepteur reçoivent des pensions, vivent et s'en moquent. Et ces gars sont allongés par terre...
Si mes excuses pouvaient les ramener, je m'excuserais pour mon article. Mais tu ne penses pas que je ne devrais pas m'excuser ?
Permettez-moi de m'incliner devant cela.
Malginov Victor.
Pour les curieux, je joins le texte d'un article avec les commentaires d'un militaire ayant subi un service urgent sur ce très "ATTSKI ATSTOINA" BMP-2...
De plus, voici une analyse des écritures de Malgin sur les doigts :
D'accord ... Commençons par le point sur l'équitation sur une armure ... Le sens de ceci est la peur des mines terrestres (et dans toutes les turbulences de type tchétchène, il s'agit principalement de divers engins explosifs improvisés avec une capacité qui dépasse les mines ordinaires, leurs propres et amis jurés) et l'envie de descendre rapidement de cheval. C'est là que les "blagues" commencent. Assis sur l'armure, l'équipe de débarquement subit des pertes lors de la détonation de divers amusements à fragmentation et des bombardements du tireur. Dans la "grande" guerre, des armes incendiaires et des tirs d'artillerie seront ajoutés, ainsi que de nombreux autres "divertissements". Monter sur une armure est un manque de discipline et une masse de pertes non liées au combat (chute, et souvent sous une voiture derrière). La vérité est que, que les forces armées russes soient armées d'un véhicule de transport de troupes blindé-T, ou d'un Akhzarit avec un Namera, elles rouleront toujours sur une armure. C'est irrationnel.
Le sujet de la protection blindée découle du paragraphe précédent... On se rappelle rapidement quand le BMP-1 a été développé. Sans regarder l'annuaire, le milieu des années 60. De quoi se protégeait-elle ? L'armure BMP protège contre ce qu'elle était censée protéger selon TZ-BP 20mm/100m front et BZT 7.62mm/100m. Le BMP-2 a une protection de blindage similaire. Voyons maintenant quelle année on est dans la cour ? Près de 40 (!) années ont passé. La nomenclature des munitions a changé, alors que voulons-nous d'un véhicule obsolète ? Plus loin, les écrans sur les BMP-1D / BMP-2D... Ah, ces "effrayants" "Lee-enfields"... Et le clone chinois RPG-7 dans le bochin, tu veux ? Différents groupes armés illégaux utilisent très abondamment et généreusement différents RPG... Ces mêmes écrans étaient très bons pour perturber les explosions régulières de tirs d'ogives développées dans les années 60. Bien sûr, la voiture a cessé de flotter, mais est-elle nécessaire sur le théâtre d'opérations afghan ?
Et maintenant à propos de l'armure en général. 10mm 30s ne sont pas égaux à 10mm 60s. La durabilité de l'armure a augmenté de 30% au total, selon certaines sources. Ajoutez à cela l'utilisation d'angles d'inclinaison rationnels, la présence de PPO sur la voiture et nous obtenons une voiture normale jusqu'au milieu des années 80. Il faut aussi mentionner l'armure en aluminium. Les alliages d'aluminium laminés à haute résistance sont 5 fois plus chers que l'acier laminé ; l'armure d'aluminium n'a aucun avantage de poids par rapport à l'acier (uniquement à de très grands angles d'inclinaison); en plus, l'aluminium a une grande rigidité des structures.
Le passage à propos de la tour m'a juste fait tomber de ma chaise ... Eh bien, Malginov ne sait pas qu'une tour conique est optimale pour l'assemblage à partir de structures embouties et offre des caractéristiques de protection stables à de grands angles de tir, mais pour un véhicule léger, c'est critique...Parlons maintenant des armes. L'installation du canon Thunder de 73 mm sur le BMP-1 était une erreur, et cela est devenu évident pour les concepteurs de KMZ au début des années 70. Ils ont poursuivi, appelé à l'idée d'un pistolet à faible balistique pour le tir ARS, qui était à la mode dans les années 50-60 ... Naturellement, les travaux ont commencé sur l'installation d'un canon automatique. En 1974, une nouvelle tour de deux hommes avait été achevée. Voici seulement quelques nuances - le plan de sortie du BMP-1 KMZ n'a commencé à se réaliser qu'en 1973, si ma mémoire est bonne; et apporter des modifications à la conception de quelqu'un d'autre nécessitait de nombreuses approbations. Naturellement, le début de la production d'une nouvelle machine mettait en péril le réarmement de l'armée, et donc la sécurité du pays. Le GRAU s'est également opposé au canon automatique. Ainsi, la production en série du BMP-2 n'a été préparée que pour l'année 1978, et a commencé dans les années 1980. Celles. élémentaire tardivement, la voiture a été mise "en service" PASSÉE. Le temps est venu pour une nouvelle génération de BMP tels que "Bradley" et BMP-3 ...
Quel genre d'horreur nous racontent-ils à propos de l'ATGM ? Premièrement, pour faire exploser ou mettre le feu à l'ATGM sur le rail en tirant dessus, vous devez essayer TRÈS fort. Deuxièmement, pour installer un ATGM sur un lanceur, vous n'avez pas besoin de sortir des écoutilles - tout y est décidé très élégamment : le lanceur tourne à droite et on lui donne l'angle d'élévation maximum (plus précisément, un angle spécial pour chargement), le TPK avec l'ATGM glisse simplement sur le guide depuis la trappe. Maximum - les mains sortiront. Devant, permettez-moi de vous le rappeler, il y aura un hayon ouvert. Dans le troisième, l'ATGM du BMP-2 peut être converti en une version au sol, ce qui contribue clairement à augmenter la flexibilité tactique. Du côté négatif, quelque chose que Malginov ne sait pas (ou est silencieux) - tirer un canon avec un ATGM installé sur le lanceur n'est pas recommandé (c'est-à-dire que ce n'est pas interdit, mais pas recommandé).
Mobilité... Surtout les pistes "étroites". Pour une raison quelconque, Rezun vient immédiatement à l'esprit ... Tout ce qui est inférieur à 0,9 kg / cm2 est tout à fait acceptable. Traditionnellement, le BTT d'après-guerre à chenilles soviétique a plusieurs grandes valeurs pression spécifique au sol, mais personne ne se plaint de la capacité de cross-country - il ne s'agit pas de pression, mais de la structure du châssis en général, et en particulier des pistes ... 50. Ce dernier était à l'origine fait pour franchir d'importantes barrières d'eau à la nage... Le BMP a une palette de tâches légèrement différente. Malginov a également un peu menti sur l'AMX-10. Pour marines une modification spéciale est utilisée, qui présente des différences très importantes par rapport à la base ...
La comparaison avec le m113 est également assez amusante. Tsé avec BTR !
Au fait, en quoi le véhicule blindé de transport de troupes diffère-t-il du BMP ? Sinon, M. Malginov a du mal à comprendre... encyclopédie militaire"pour clarification... Et on lit :
"Le véhicule de combat d'infanterie (BMP) est un véhicule blindé de troupes de fusiliers motorisés (infanterie motorisée), conçu pour déplacer du personnel et mener des combats. Le BMP donne à l'infanterie motorisée la sécurité (des armes de destruction massive et des armes conventionnelles) et la maniabilité nécessaires dans combat moderne, améliore la puissance de feu et permet une interaction étroite avec les chars.Équipé de véhicules de combat d'infanterie unités de fusils motorisés peut agir au combat avec des chars, dans un seul ordre organisé et, si nécessaire, descendre de cheval. Le BMP soutient les actions des carabiniers motorisés par son tir. Dans le même temps, le BMP est chargé de tâches telles que la destruction de la main-d'œuvre ennemie, la défaite de véhicules légèrement blindés, la lutte contre des cibles aériennes volant à basse altitude et, si nécessaire, avec des chars ennemis. De plus, les sous-unités des BMP sont utilisées pour effectuer des actions finales dans une bataille - pour détruire les restes des troupes ennemies et s'emparer du territoire.<...>"Mais que dit-on du véhicule blindé de transport de troupes : " Véhicule blindé de transport de troupes - combat un véhicule tout-terrain blindé à roues ou à chenilles conçu pour transporter des fusiliers motorisés sur le champ de bataille, mener des combats à partir du véhicule et fournir un appui-feu pendant et après le débarquement. Il est également utilisé pour la reconnaissance, la sécurité, les patrouilles, les communications, les transports de troupes blindés spécialement équipés - pour livrer des armes, des munitions et d'autres cargaisons militaires sur le champ de bataille, et pour évacuer les blessés.
Sentez la différence et faites attention à la priorisation.Il est nécessaire de se tailler fermement le nez qu'il n'y a pas de fromage gratuit et d'échantillon la technologie est l'essence un ensemble de compromis.
À la fin des années 50 et au début des années 60, l'URSS était à la traîne des pays occidentaux dans la création de véhicules blindés de transport de troupes lourds à chenilles. Durant cette période, les armées de l'OTAN furent adoptées par les véhicules blindés de transport de troupes М113 (USA), « Trojan » (Grande-Bretagne), VTT М56 (France) et S-30 (Allemagne). Les neutres ne sont pas en reste - les Suédois ont adopté leur PbV302 et les Autrichiens - 4K3F. Tous ces véhicules avaient des coques scellées entièrement fermées et un armement suffisamment puissant - jusqu'à des canons automatiques de 20 mm. Un véhicule de transport de troupes blindé lourd à chenilles était également disponible en armée soviétique- BTR-50P (dans la version avec toit - BTR-50PK). Cependant, cet engin, par rapport à ses homologues occidentaux, avait des dimensions trop importantes et une disposition extrêmement malheureuse avec le compartiment aéroporté avant. Apparemment, pour cette raison, sa modernisation sérieuse (principalement en termes d'amélioration des armes) était considérée comme désespérée et allait dans le sens de la création d'un modèle complètement nouveau.
M113 1er division d'infanterie Les États-Unis en Irak, octobre 2004
Cheval de Troie FV432 (Royaume-Uni)
Le véhicule blindé de transport de troupes BTR-50 a été créé en 1952.
Le nouveau véhicule était censé avoir une configuration plus adaptée à un transport de troupes blindé avec un compartiment aéroporté arrière et, surtout, être adapté à la guerre dans une guerre atomique, c'est-à-dire avoir une coque blindée scellée avec un PAZ (anti -protection nucléaire). En termes d'armes, ils étaient guidés par les modèles occidentaux les plus puissants, mais il y avait alors un décalage. Le fait est que pendant le règne de NS Khrouchtchev, aucun travail n'a été effectué sur la création de canons automatiques de petit calibre pour les forces terrestres, et il n'y avait tout simplement rien pour équiper la nouvelle machine. Il n'y avait qu'une seule arme adaptée à cet usage - le canon à canon lisse sans recul de 73 mm 2A28 "Thunder", qui permettait de frapper véhicules blindés, y compris les chars, de cette période.
BMP-1
Il a été installé sur la machine, qui a été adoptée en 1966 sous la désignation BMP-1, l'appelant fièrement "l'ancêtre d'une nouvelle classe d'équipement militaire - les véhicules de combat d'infanterie". Dans le même temps, tout concept cohérent de leur utilisation au combat était totalement absent, et la plupart des militaires adhèrent au point de vue que le BMP, comme le véhicule blindé de transport de troupes, n'est que véhicule, permettant, sous couvert de blindés, de livrer sur le champ de bataille de l'infanterie motorisée après des chars puis de l'utiliser pour occuper le territoire. Cependant, personne ne s'est opposé à une arme plus puissante que celle des véhicules blindés de transport de troupes de l'époque, bien que ses tâches n'aient pas non plus été clairement définies. Il est bien évident que l'armement du BMP-1 avait une orientation antichar prononcée : les munitions du canon Thunder ne comprenaient que des obus cumulatifs antichar, et comme armes supplémentaires ATGM "Malyutka" a été placé sur la voiture. Pour soutenir l'infanterie, le BMP ne disposait que d'une mitrailleuse PKT de 7,62 mm, ce qui n'était clairement pas suffisant (à titre de comparaison, le BTR-60PB en avait deux. 14,5 mm et 7,62 mm). Grenade à fragmentation Introduit dans la charge de munitions seulement en 1973, mais il a également donné peu à l'infanterie en raison de la trajectoire de vol plate. De plus, il convient de noter que le BMP-1 ne disposait pas d'un stabilisateur d'armement et qu'il était impossible de mener des tirs ciblés en mouvement avec tous les types de munitions.
En conséquence, dans les cercles militaro-industriels, une longue discussion s'est déroulée sur ce que devait être l'armement du BMP. Dans le cadre de cette discussion, prototype véhicules prometteurs avec deux directions de développement d'armes. Le premier fut l'augmentation de la puissance de feu du canon Thunder en allongeant le canon, ce qui a conduit à la création du canon de 73 mm Zarnitsa, installé sur les objets expérimentaux 768 et 681, fabriqués en 1974 et 1977. La seconde est la transition vers le canon automatique de 30 mm créé à cette époque, qui a été installé sur les objets 680 et 769 en 1972 et 1974. Dans le même temps, à l'objet 680, le canon et une mitrailleuse étaient montés sur un hors-bord. chariot rotatif, qui avait une bandoulière standard de la tourelle BMP-1, et une deuxième mitrailleuse sur le panneau d'écoutille du commandant. L'objet 769 avait une tourelle pour deux hommes et une coque allongée (le nombre de galets est passé à sept).
Il convient de noter que ces prototypes ont été créés à la fois à Tcheliabinsk et à Kourgan. Le fait est que la production en série du BMP-1 a été organisée à l'usine de construction de machines de Kurgan (Kurganmashzavod). Cette entreprise, construite en 1954, s'était auparavant spécialisée dans la production de tracteurs d'artillerie ATS-59 et sa modification ATS-59G. Depuis 1967, Kurganmashzavod est devenu l'entreprise principale pour la production de véhicules de combat d'infanterie. Le concepteur en chef de l'usine était A.A. Blagonravov.
La compétition entre les canons de 73 mm et de 30 mm s'est soldée par un quasi-nul. Kurganmashzavod a défendu son objet 675, armé d'un canon de 30 mm 2A42 du Tula Machine Building Design Bureau (concepteur principal V.P. Gryazev). En cela, il était soutenu par le concepteur général du KB G Shipunov et le chef de l'époque du GBTU, le maréchal en chef des forces de chars A.Kh. Babadzhanyan. Cependant, le canon de 30 mm pendant longtemps n'était pas perçu par la direction du GRAU comme sérieux. Et ce malgré le fait que des tests complets du canon de 30 mm ont montré une polyvalence suffisante du système lors du tir sur une variété de cibles, y compris des chars. Des essais comparatifs du canon Grom-M modernisé avec le canon 2A42 ont également été effectués avec la dépense d'une partie comparable de la charge de munitions, cependant, sur l'insistance du GRAU, avec un doublé pour le Grom. Après le tir d'un canon de 73 mm, le char tiré est resté opérationnel. Après le bombardement du 2A42, aucun accessoire n'est resté dessus (la mitrailleuse anti-aérienne, par exemple, a volé à 15 m), et les réservoirs de carburant se sont enflammés. Après inspection, il s'est avéré que la tourelle et le canon du char étaient coincés, le masque du canon avait un trou traversant, et tous les dispositifs d'observation et le viseur étaient cassés.
BMP-1 Taliban afghan
Malgré des résultats aussi convaincants, les doutes ont continué d'aiguiser le leadership du ministère de la Défense de l'URSS. Dans le système de commande de l'État, par exemple, la sortie d'un nouveau véhicule était prévue à hauteur d'environ 10 % de la production de BMP-1. Le point final de son destin a été posé par l'Afghanistan.
Un ordre du gouvernement sur le développement urgent de la production en série de l'objet 675 a été transmis à l'usine par téléphone dans la nuit d'avril 1980. La commande était catégorique - dans deux semaines le premier lot de voitures devrait être envoyé en Afghanistan ! Cette décision a été fortement influencée par le général de l'armée M.M. Zaitsev, qui, alors qu'il était en Afghanistan, a appelé le Comité central du PCUS et a expliqué que dans les conditions locales nouvelle voiture Kurganmashzavod est irremplaçable. Zaitsev connaissait la voiture même lorsqu'il était commandant du district militaire biélorusse, dans lequel nouveau BMP passé des tests militaires. Le lendemain, la production de Kurganmashzavod est passée en temps de guerre. En avril, les 25 premiers véhicules ont été envoyés en Afghanistan. Le décret du Conseil des ministres de l'URSS sur l'acceptation de l'objet 675 sous la désignation BMP-2 n'a été suivi qu'en août, et l'arrêté du ministre de la Défense en octobre 1980. A cette époque, plusieurs dizaines de BMP-2 combattaient déjà en Afghanistan.
BMP-2 (Infantry Combat Vehicle-2, objet 675)
Par conception et caractéristiques tactiques et techniques Le BMP-2 est à bien des égards similaire à son prédécesseur, le BMP-1. Le compartiment de commande est situé dans la partie avant gauche du corps de la machine. Il contient : le siège conducteur, les commandes, l'instrumentation, quatre dispositifs d'observation TNPO-170A, le gyrocompas GPK-59, l'appareil A-3 TPU, etc. Derrière le siège du conducteur se trouve le siège du parachutiste. Il est équipé d'une embrasure pour le tir d'armes personnelles (sur le côté gauche de la coque), de dispositifs d'observation TNP-165A et TNPO-170A, ainsi que d'appareils A-3 TPU.
A droite du département de gestion se trouve le MTO, clôturé de l'ensemble de la machine
cloison isolante thermique et phonique. Le moteur et la boîte de vitesses situés dans le MTO sont combinés dans un groupe motopropulseur, et les radiateurs du système de refroidissement, les systèmes de lubrification du moteur, les systèmes de lubrification et de commande hydraulique de la transmission de puissance, un éjecteur et un filtre à air sont intégrés dans un système de refroidissement et d'air. unité de nettoyage.
Le compartiment de combat est situé au milieu de la carrosserie du véhicule, directement derrière le MTO. Il comprend une tourelle et une partie de la caisse, délimitée par la cloison MTO à l'avant et les clôtures des sièges d'atterrissage à l'arrière.Le canon 2A42 et la mitrailleuse PKT qui lui est associée sont installés dans un masque oscillant dans la tour. Sur le sol rotatif, le magasin PKT et un système d'alimentation en bande du canon avec un traceur perforant et des projectiles à fragmentation hautement explosifs sont montés sur le sol rotatif. Le commandant est à droite du canon, le tireur-opérateur est à gauche.
Six tireurs sont situés à l'arrière du véhicule dans le compartiment des troupes faisant face aux côtés. A chaque point du tireur se trouve un dispositif TNPO-170A pour observer le terrain tout en se déplaçant "au combat", une embrasure avec une monture à boule pour tirer des mitrailleuses PK ou PKM (avant) et des fusils d'assaut AKM ou AK-74 ( le reste). Il y a deux portes à l'arrière de la voiture pour l'entrée et la sortie des tireurs. Chacun d'eux a un dispositif TNPO-170A, et dans la porte gauche il y a aussi une embrasure pour tirer à partir d'un AK-74. Dans le toit de la coque au-dessus des sièges, il y a des trappes pour la sortie des tireurs lorsque la voiture est à flot, tirant sur des cibles aériennes, observant le terrain en marche, évacuation d'urgence, etc. Le compartiment des troupes est divisé en deux parties (droite et gauche) par un réservoir de carburant moyen et un conteneur d'équipements électriques, qui abrite deux batteries, des équipements électriques et un radiateur pour le compartiment des troupes. Dans le compartiment des troupes, les appareils TPU A-3 et A-4 sont utilisés pour l'interphone. La station radio R-126 est située dans la niche de la porte de droite.
La coque et la tourelle conique du BMP-2 sont soudées à partir de plaques de blindage en acier laminé d'une épaisseur de 5 à 19 mm. La "tôle nervurée" recouvrant la trappe trapézoïdale de la tôle frontale supérieure est en alliage d'aluminium et a une épaisseur de 10 à 15 mm. L'avant de la tour est protégé par un blindage de 23 mm. Un revêtement anti-rayonnement est installé sur le toit de la coque dans le compartiment des troupes et sur tous les panneaux d'écoutille depuis l'intérieur. En général, l'armure protège contre les balles de calibre conventionnel et les petits fragments. Le blindage frontal du châssis et de la tourelle peut résister aux balles de gros calibre.
Installé dans la tourelle dans un masque oscillant, le canon automatique 2A42 de 30 mm est alimenté par deux bandes et tire avec des obus perforants, incendiaires hautement explosifs et traçants à fragmentation. Le pistolet a deux cadences de tir - petite (200 - 300 coups / min) et grande (au moins 550 coups / min). Portées de visée pour cibles au sol sont de 2000 m pour les perforants et de 4000 m pour les autres types d'obus. La zone de destruction réduite d'un projectile à fragmentation-traceur est de 25 - 30 m2, d'un projectile à fragmentation hautement explosif - 50 - 70 m2.
Des cibles aériennes volant à des vitesses subsoniques à des distances obliques allant jusqu'à 2000 - 2500 m peuvent être touchées. Les munitions pour le canon sont de 500 cartouches, dont 160 avec des obus traçants perforants. Associé au canon est une mitrailleuse PKT de 7,62 mm avec le plus grand portée de visée 2000 m et 2000 cartouches. Le canon et la mitrailleuse coaxiale sont stabilisés dans deux plans à l'aide du stabilisateur électromécanique 2E36-1. La visée des armes sur la cible est effectuée à partir des panneaux de commande de l'opérateur-tireur et du commandant. Le stabilisateur propose deux modes de fonctionnement principaux - automatique et semi-automatique. Le premier est destiné au tir depuis un endroit et en mouvement sur des cibles au sol. A un angle d'élévation d'environ 35°, commutation automatique stabilisateur en mode semi-automatique, qui est le principal lors du tir sur des cibles aériennes. Dans ce cas, un guidage stabilisé est également effectué dans les deux plans, mais avec moins de précision, mais la vitesse de transfert augmente. Un mode auxiliaire de désignation de cible est également prévu, conçu pour faire tourner la tourelle en direction de la cible sélectionnée par le commandant à une vitesse de 30 deg/s sur la distance la plus courte.
Le tireur-opérateur utilise un viseur périscopique combiné (canal jour et nuit actif-passif). Lors du fonctionnement en mode actif avec l'utilisation de l'illuminateur OU-5, la portée de vision d'une cible de type char est de 800 m. En plus du viseur BOD-1-2, le poste de travail du tireur dispose de trois dispositifs de visualisation périscopiques TNPO- 170A avec chauffage électrique et un appareil TNPT-1. Le commandant du véhicule dispose d'un viseur périscopique monoculaire de jour 1PZ-3, de deux dispositifs de visualisation TNPO-170A et d'un TNP-1. De plus, le commandant dispose d'un périscope binoculaire combiné (jour et nuit actif) TKN-ZB. Les cibles au sol peuvent être tirées depuis l'arrêt et en mouvement, et les cibles aériennes peuvent être tirées depuis l'arrêt.
Pour combattre les chars et autres armes ennemies lourdement blindées, le système de missile antichar Fagot-M ou Konkurs est conçu, qui peut être utilisé à la fois depuis le véhicule et depuis le sol (le complexe est transféré à la position de tir depuis le sol par les forces de deux membres d'équipage). Sur le toit de la tour entre les écoutilles du commandant et du tireur se trouve lanceur 9P135M (9P135M-1). Quatre ATGM sont transportés à l'intérieur du véhicule. trois - sur le côté tribord du véhicule et un - dans le compartiment de combat.
De plus, le compartiment des troupes contient deux MANPADS 9K32 ou 9K34 Strela (au lieu d'un MANPADS, un lance-grenades RPG-7 peut contenir) et 12 grenades F-1.
Le secteur de bombardement depuis l'embrasure du fusil d'assaut du compartiment des troupes - 35 - 40°, mitrailleuse - 23°. Chaque embrasure est équipée d'un système de ventilation par aspiration pour l'évacuation des gaz de poudre, de mitrailleuses - avec collecteurs à manches, et automatiques - avec réflecteurs à manches. Dans le même temps, la conduite de tirs dirigés par la force de débarquement depuis le véhicule est impossible en raison de la mauvaise visibilité et du manque de stabilisation des armes.
Le système de camouflage comprend plusieurs équipements de fumée thermique
action, prévoyant l'installation d'un écran de fumée d'une largeur de 100 à 150 m, et le système 902V "Tucha", six lance-grenades fumigènes de 81 mm, qui sont installés sur les côtés de la tour. Des rideaux de fumée sont placés à un distance de 200 à 300 m avec des grenades fumigènes ZD6.
La machine est équipée d'un moteur diesel 6 cylindres à refroidissement liquide avec décompresseur UTD-20S1 d'une capacité de 285 à 300 ch. (210 - 221 kW). La disposition des cylindres est en forme de V, à un angle de 120. La capacité totale des réservoirs de carburant est de 462 litres. La principale méthode de démarrage du moteur est à l'air comprimé, la méthode supplémentaire est avec un démarreur électrique.
Un mécanisme automatique de soupape est fourni pour protéger le moteur contre les infiltrations d'eau
La transmission se compose d'un embrayage principal multidisque à friction à sec, d'une boîte de vitesses à cinq vitesses avec des engrenages à engrènement constant et de synchroniseurs dans les deuxième, troisième, quatrième et cinquième vitesses, des mécanismes d'oscillation planétaire à deux étages, des freins d'arrêt à bande et à bord unique- réducteurs planétaires à étages. Entraînements de commande : l'embrayage principal - hydraulique (avec le moteur éteint - pneumatique), changement de vitesse - mécanique avec un servomoteur hydraulique dans les 2,3,4e et 5e vitesses ; PMP - hydraulique avec effet de suivi sur la friction et le freinage PMP ; freins d'arrêt - action servo hydraulique (lorsque le moteur est arrêté - pneumatique).
Rail BMP-2 - 300 mm de large, engagement à goupille avec charnières en caoutchouc-métal. Roues motrices - montées à l'avant, avec jantes dentées amovibles. Les roues folles sont installées dans la partie arrière sur les manivelles du mécanisme de tension des chenilles. Les galets de roulement et les galets de support sont soudés avec des jantes caoutchoutées. Suspension - barre de torsion indépendante avec amortisseurs hydrauliques télescopiques à double effet sur les premier, deuxième et sixième nœuds de suspension. Sur les deuxième et quatrième nœuds, des nœuds en caoutchouc sont installés, et sur les premier et sixième - butées à ressort-butées de course des rouleaux .
Moteur, transmission et châssis fournir une voiture de 14 tonnes à la circulation routière avec vitesse maximum pas moins de 65 km / h, et sur un chemin de terre sec avec une vitesse moyenne de 40 à 50 km / h. L'autonomie sur l'autoroute est de 550 à 600 km
Vitesse maximale à flot - au moins 7 km / h. Le mouvement à flot s'effectue en rembobinant les chenilles qui, avec leurs chenilles inférieures, créent un reflux d'eau, ce qui fait avancer la machine. Pour réduire l'effet néfaste du débit d'eau créé par la branche supérieure de la chenille, et pour augmenter la vitesse de la machine, la branche supérieure est recouverte d'ailes spéciales. Ces ailes sont réalisées de manière à ce que le flux d'eau créé par la branche supérieure de la chenille soit partiellement dirigé vers l'arrière en raison du bouclier dans la partie avant des ailes et des aubes directrices (aubes directrices) dans la partie arrière. Chaque aile se compose de trois parties de type caisson en tôles d'alliage d'aluminium et d'un flotteur en tôles d'acier. Pour préserver la flottabilité de la machine en cas d'endommagement ou de rupture des écoutes, cavités internes les ailes et les flotteurs sont remplis de matériau non absorbant.
Une petite précision s'impose ici. Le fait est que les angles d'entrée et de sortie de l'eau acceptables pour le BMP-2 vont de 15° à 30°, selon le terrain. Dans la plupart des cas, cette circonstance dicte la nécessité formation d'ingénieur traversées, et les deux rives Sans cela, même à faible vitesse de courant (plus de 0,2 m/s), le forçage est impossible - l'adhérence de la partie inclinée de la chenille à la côte est trop faible et l'engin se déploiera vers l'aval s'il ne touche pas le fond des surfaces d'appui des chenilles.
La production en série du BMP-2 s'est poursuivie jusqu'à la fin des années 1980. Malheureusement, l'auteur ne dispose pas de données sur le nombre de véhicules produits au fil des ans. Selon les données contenues dans les documents du Traité sur la limitation des forces armées et des armements en Europe, en 1990, il y avait 5996 BMP-2 BMP en la partie européenne de l'URSS.
Au cours de la production en série, des modifications ont été constamment apportées à la voiture. Ainsi, par exemple, depuis mars 1986, au lieu du viseur BPK-1-42, le viseur BPK-2-42 aux caractéristiques légèrement supérieures a été installé. Le stabilisateur de l'arme comprenait des gyrotachymètres avec amortisseurs à air, qui sont moins sensibles aux changements de température ambiante.
Compte tenu de l'expérience "afghane", le train de roulement a été modernisé, les roues folles et les roues motrices ont été renforcées, les joints d'huile des équilibreurs à galets et les bagues de roues folles ont été changés, la protection contre la poussière a été améliorée et le remplacement de l'amortisseur hydraulique pièces absorbantes a été rendue plus facile.
La conception du RMS a été améliorée afin de prolonger sa durée de vie. De plus, des aiguilles en acier y ont été insérées pour éliminer les charges électrostatiques qui brillaient dans les charnières et interféraient avec les communications. Des chenilles à crampons à chevrons ont été introduites, le réglage des bielles et des commandes a été facilité, l'indication sur le tableau de bord du conducteur a été complétée. Les stations de radio R-123M et TPU R-12 ont été remplacées par les stations de radio R-173 et TPU R-174. En 1981, un ensemble de gilets pare-balles articulés supplémentaires a été développé pour le BMP-2. Un véhicule équipé d'un tel kit a reçu la désignation BMP-2D (D-landing) et a été largement utilisé en Afghanistan dans les brigades d'assaut aéroporté des Forces aéroportées, où ils ont remplacé les véhicules de combat aéroportés BMD-1.
Le BMP-2 reste en service dans l'armée russe à ce jour. Pour ces machines, divers programmes de modernisation ont été développés, qui prévoient principalement le renforcement des armes, l'amélioration du système de conduite de tir et l'augmentation des capacités de reconnaissance des systèmes de visée et d'observation. Dans le même temps, cependant, la sécurité et les conditions du travail de combat de l'équipage, principalement la force de débarquement, restent inchangées.
BMP-2 - un véhicule de combat d'infanterie a été développé, sorti en URSS en 1977. Aujourd'hui, le BMP-2 est en service dans l'armée de Russie et d'autres pays du monde. Elle a participé avec succès à de nombreux conflits militaires dans différentes parties du monde.
Où et quand le BPM-2 a-t-il été conçu et fabriqué ? De quoi est-elle armée ? Est une machine développée dans les années 70 du 20ème siècle capable de conduire efficacement combat dans des conditions combat moderne? Quels changements et améliorations ont été proposés pour le véhicule de combat d'infanterie
Comment il a été créé et développé
Le BMP-2 est apparu grâce à l'amélioration du BMP-1. Pendant la guerre en Afghanistan, il est devenu évident que le BMP-1 ne répondait pas aux exigences du combat moderne. L'usine de construction de machines de Kurgan, à partir de 1974, a commencé à travailler à l'amélioration du modèle de base. Le BMP a dû être rééquipé, rendu plus protégé, y compris contre frappe nucléaire... L'usine de tracteurs de Chelyabinsk a également travaillé sur la modification, le modèle s'appelait objet 675.
En conséquence, la voiture a reçu une tourelle plus grande, a été remplacée et plus armes modernes... La variante de l'OJSC "Kurganmashzavod" est prise comme base. Le BMP-2 a commencé à peser de 13,8 tonnes à 14 tonnes, soit une tonne de plus que le BMP-1.
Lors du défilé de Moscou en 1982, le BMP-2 a été présenté au public. Elle s'est déroulée sur la Place Rouge de la capitale en novembre.
Armement BMP-2
Cadre de base l'armement est considéré comme un canon de 30 mm. Il est monté dans une tour qui peut tourner librement. De plus, il existe une mitrailleuse PKT de 7,62 mm, qui est combinée à un canon. La tourelle du BMP-2 est plus spacieuse que le BMP-1, le commandant et le tireur se trouvent juste ici. Le lanceur 9P135M (9P135M-1) est placé dans la partie supérieure de la tour.
Le canon automatique de petit calibre rayé de 30 mm a été conçu par A.G. Shipunov et V.P. Gryazev. De plus, le véhicule est équipé d'un lance-grenades RPG-7, pour lequel il y a 5 grenades PG-7V. Les parachutistes sont également munis d'armes, composées de 2 mitrailleuses, 6 fusils d'assaut, 12 grenades F-1. Munitions incluses. Il existe deux options de configuration : 2 complexe antiaérien 9K34, ou un et RPG-7.
BMP-2 peut frapper des hélicoptères, des chars, des effectifs ennemis, détruire diverses structures.
Moteur, châssis BMP-2
Le BMP-2 a un châssis similaire à celui du BMP-1. La voiture est capable de vitesses de 65 km/h sur asphalte, 40-45 km/h sur un chemin de terre ou autre surface rugueuse.
Le BMP-2 surmonte les obstacles d'eau à une vitesse ne dépassant pas 7 km/h. Lors de la conduite des hostilités, cela doit être pris en compte, surtout s'il s'agit de franchir un obstacle d'eau avec un fort courant. Le BMP-2 peut grimper à 35°.
Le BMP-2 est équipé d'un moteur six cylindres à quatre temps UTD-20S1 fonctionnant au diesel.
Fournir un camouflage BMP-2
Le véhicule est équipé d'un équipement de camouflage. Il s'agit de 6 lance-grenades "Tucha" 902В, équipés d'obus fumigènes spéciaux de 81 mm. À l'aide de telles grenades, le camouflage est fourni dans une zone de 200 à 300 mètres carrés... Les premiers véhicules de l'Object 675 n'avaient pas de lance-grenades fumigènes.
De plus, le BMP-2 dispose d'un appareil TDA, qui peut être utilisé à plusieurs reprises. À l'aide d'une telle protection thermique contre la fumée, il est possible de fournir un rayon de masquage de 100 à 150 m. L'appareil est démarré à l'aide d'un interrupteur à bascule situé sur le lieu de travail du conducteur-mécanicien. Le TDA fonctionne sur le principe de l'atomisation diesel. Par conséquent, la densité de l'écran de fumée BMP dépendra de la chaleur du moteur.
Armure BMP-2
Le corps de la machine est soudé; pour sa fabrication, des tôles d'acier à armure laminées spéciales sont utilisées. Le gilet pare-balles a différentes épaisseurs, ce qui protège la voiture, la rend solide et rigide. Les coques BMP des premier et deuxième modèles ne sont pas très différentes. Les principales différences sont dans la tour. Une tourelle est installée dans le BMP-2 plus grande taille, qui accueille 2 personnes.
A ce jour, les caractéristiques techniques du BMP-2 sont jugées insuffisantes, notamment en termes de protection, puisque les pays de l'OTAN disposent de canons capables de pénétrer le blindage de ce véhicule. Son blindage ne résiste pas à un coup direct d'une mitrailleuse de 12,7 mm.
Blindage frontal BMP-2 de 19 mm d'épaisseur. Les tirs d'obus de 122 mm peuvent entraîner la mort du véhicule et de son équipage. Le lance-flammes Bumblebee est capable de brûler le BMP-2. Si une explosion se produit sur une mine, une mine terrestre, la plupart des membres de l'équipage mourront.
Le véhicule de combat d'infanterie est censé accueillir 10 personnes. Trois membres d'équipage remplissent la fonction principale : commandant, conducteur, tireur. L'équipage se compose de sept artilleurs parachutistes qui participent à la bataille, tirant de leurs armes directement en mouvement, en utilisant les embrasures du BMP-2.
Il y a une place pour un chauffeur-mécanicien dans la partie avant gauche de la machine. Derrière se trouve lieu de travail La Flèche.
Il est à noter que, contrairement au BMP-1, ce véhicule dispose d'une tourelle plus spacieuse. Le compartiment de combat avec le commandant et l'opérateur-tireur est situé dans l'espace tourelle et tourelle.
Le compartiment des troupes est situé dans la partie arrière du BMP-2. Il y a des sièges pour 6 tireurs. Il y a deux portes pour le chargement et le déchargement de l'équipe des tireurs. Il y a 2 trappes dans la partie supérieure de la coque, qui remplissent les fonctions suivantes :
- pour tirer sur des cibles aériennes;
- pour un aperçu des environs;
- pour l'évacuation;
- pour sortir, s'il est nécessaire de le faire lors de la conduite sur l'eau.
Le compartiment des troupes est équipé de 2 batteries, d'un système de chauffage et d'une station radio R-126.
Protection de l'équipage du BMP-2 contre les radiations
Pour protéger les personnes qui sont dans le BMP-2, plusieurs méthodes sont utilisées. Sur le toit de la coque dans le compartiment des troupes, sur les panneaux d'écoutille, un revêtement est installé à l'intérieur.
Tous les compartiments dans lesquels se trouve l'équipage sont pourvus d'un système de protection étanche. Cela permet d'économiser de la poussière radioactive, des agents bactériens, des substances toxiques. Si nécessaire, de l'air purifié sera fourni ici ; pour cela, une unité de filtrage est fournie. La machine est équipée de produits chimiques et reconnaissance radiologique... Le système de protection peut démarrer automatiquement ou manuellement.
Le BMP-2 dispose d'un équipement d'extinction d'incendie, conçu pour deux usages. Il s'agit de 2 cylindres de composition "Fréon" 114B2. La voiture a 4 capteurs. En outre, il existe également un extincteur manuel à dioxyde de carbone OU-2.
Modernisation de BMP-2 avec le module "Bakhcha-2"
Pendant la période de production en série, le BMP-2 a été modernisé. La voiture est toujours en service. armée russe des améliorations sont donc nécessaires.
Dans les années 90 du 20e siècle, il est devenu nécessaire de moderniser les caractéristiques de performance du BMP-2. Il fallait augmenter la puissance de feu nécessaire pour mener une attaque dans les conditions du combat moderne. Le bureau d'études de la ville de Tula a proposé de retirer la tourelle standard du BMP-2 et de la remplacer par le module Bakhcha-U.
"Bakhma-U" a un armement de canons et de missiles. Tous les éléments d'armes sont combinés en une seule unité. Il comprend une installation 2A70 de 10 mm. De plus, la mitrailleuse PKT a été ajoutée. "Bakhcha-U" a un canon automatique de 30 mm, qui est équipé de 34 cartouches, 4 missiles de l'ensemble 9K116 "Kustet".
La tour modernisée est entièrement tournante. Viseurs améliorés pour le commandant et le tireur. Il est devenu plus facile de contrôler le système d'armes, un système automatisé est utilisé.
En conséquence, les caractéristiques de performance du BMP-2 permettent d'attaquer des objets à une distance de 4 km. La zone de tir a augmenté à 5 km. Grâce aux obus à fragmentation hautement explosifs, il est devenu possible de toucher plus de main-d'œuvre ennemie et d'autres objets.
La modernisation a également entraîné d'autres changements. La nouvelle tour "Bakhcha-U" pèse jusqu'à 3,98 tonnes. Dans ce cas, la machine devient si lourde qu'elle perd sa flottabilité. De plus, l'équipage a dû être réduit de 2 parachutistes.
La version améliorée du BMP-2M a participé à l'exposition d'équipements militaires, mais un grand nombre de aucune commande n'a été reçue. Dans l'armée russe, le modèle de base du BMP-2 est davantage utilisé.
Lance-grenades automatique pour BMP-2
Dans les années 80 du 20ème siècle, il est devenu nécessaire d'augmenter la puissance de feu du BMP-2. Il fallait augmenter le nombre d'effectifs ennemis à toucher. À ces fins, il a été proposé d'installer un lance-grenades AG-17 "Flame" sur le BMP-2. Surtout, il n'était pas nécessaire de refaire le modèle de base. Par conséquent, vous pouvez installer un nouveau lance-grenades sur n'importe quel BMP.
Au début des années 90, les versions améliorées du BMP-2 sont entrées dans l'armée de notre pays. L'usine de construction de machines de Kurgan a produit plusieurs dizaines de modèles modernisés. À l'avenir, ces machines n'étaient plus produites.
BMP-2 avec le "Berezhk" modernisé
Dans les années 90, une autre version de la modernisation du véhicule de combat d'infanterie a été proposée. Les développeurs ont proposé B05Ya01 "Berezhok". Cette version modernisée est connue sous le nom de BMP-2M. Après avoir été présenté à l'exposition d'équipements militaires, il a commencé à être vendu dans différents pays du monde.
La nouvelle tourelle BMP-2 ressemblait au modèle de base. Le véhicule est équipé d'une mitrailleuse PKTM et d'un lance-grenades AG. installée missiles guidés complexe "Cornet". De plus, le complexe de combat BMP-2M a été augmenté.
En conséquence, le BMP-2 est capable de détruire une cible à une distance de 8 à 10 km. Dispositifs de visée améliorés pour les viseurs du commandant, tireur-opérateur.
Il est important que le BO5Ya01 "Berezhok" ne pèse pas plus de 3 250 tonnes, c'est-à-dire que la tour n'a pas augmenté de manière significative le poids du modèle d'origine. Ainsi, le BMP-2M n'est pas inférieur en flottabilité et en performances de conduite au BMP-2.
Autres options de mise à niveau
De plus, plusieurs modifications du modèle de base sont connues. Le BMP-2K est considéré comme un véhicule de commandement équipé de moyens modernes la communication. Une petite version est disponible.
Pour les opérations militaires en Afghanistan, le BMP-2D, plus connu sous le nom de « version afghane », était plus adapté. La version modernisée a été proposée par les designers en 1981. Le modèle de base avait une armure supplémentaire, ce qui a augmenté le poids et la voiture a cessé de flotter.
Le véhicule de combat d'infanterie a régulièrement participé à des conflits militaires au Moyen-Orient, en Afrique, sur le territoire l'ex-URSS.
Pendant la guerre d'Afghanistan, qui a eu lieu en 1979-1989, les caractéristiques techniques du BMP-2 ont été testées, qui ont été testées dans des conditions de combat réelles. Ainsi, en 1982, les machines sont entrées en service. troupes soviétiques en Afghanistan. Le plus grand nombre de pertes d'un véhicule de combat d'infanterie de ce type se réfère précisément à cette époque.
BMP-2 a participé à de nombreux conflits militaires sur le territoire de l'ex-URSS. Ce sont des guerres en Abkhazie, au Tadjikistan, Ossétie du Sud... Dans la période 2014-2016. des conflits armés ont eu lieu dans l'est de l'Ukraine. Caractéristiques BMP-2 a permis d'utiliser la voiture dans conditions différentes et terrain. Pendant les première et deuxième guerres de Tchétchénie, ces machines ont été activement utilisées. Les pertes de matériel militaire dans ces affrontements militaires sont très importantes.
En Afrique et au Moyen-Orient, le BMP-2 a été utilisé par les armées de différents pays. Le véhicule a pris part aux guerres dans le golfe Persique, en Angola, en Syrie, au Yémen, à la guerre d'Irak et à d'autres conflits graves.
Ainsi, le BMP-2 a été utilisé dans 16 des plus grands affrontements militaires qui ont eu lieu à la fin du 20e et au début du 21e siècle.
BMP-2 en service avec les pays étrangers
Dès le début de la production du BMP-2, de nombreux pays ont manifesté leur intérêt pour ce type d'arme. Maintenant, la voiture est en service dans 35 pays du monde. Le modèle de base a été produit en Tchécoslovaquie, en Inde, en Finlande.
BMP-2 est disponible dans presque tous les pays de l'ex-URSS, tels que : Ukraine, Turkménistan, Tadjikistan, Kirghizistan, Kazakhstan, Géorgie, Biélorussie, Arménie, Azerbaïdjan, Abkhazie, Ossétie.
La plupart de tous les BMP de diverses modifications sont en service dans les armées de la Syrie (environ 2450 unités), de l'Inde (980 unités), de l'Iran (400 unités).
De 100 à 300 véhicules sont en service dans les armées d'Algérie, du Vietnam, d'Angola, du Yémen, de République Tchèque, de Finlande.
Moins de 100 unités sont présentes dans les armées du Sri Lanka, de l'Ouganda, du Soudan, du Koweït, de la Jordanie, de l'Indonésie, de la Slovaquie, de la Macédoine.
Les experts pensent que le BMP-2 est le meilleur véhicule parmi ses analogues. Les avantages sont appelés simplicité, fiabilité, simplicité et qualités de combat élevées.
Monuments BMP-2
Il y a plusieurs monuments sur le territoire de la Russie dans différentes villes. Ils se trouvent à l'OJSC "Kurganmashzavod", dans les villes de Belovo, Kurgan, Novosibirsk, Simferopol, dans le district de Naro-Fominsk de la région de Moscou.
À ce jour, l'armée russe exploite environ 3,5 mille BMP-2. En outre, 1,5 mille sont dans un état de mise en veilleuse. Environ 16 BMP-2M avec de nouveaux moteurs et tourelles devraient entrer en service dans l'armée dans un proche avenir. Dans l'article on voit que malgré son âge, le BMP-2 ne cesse de perdre en popularité, et pas seulement en Russie.
Le véhicule de combat d'infanterie à chenilles amphibie BMP-2 a été créé sur la base du BMP-1 par le bureau d'études de JSC "Kurganmashzavod" par opposition à blindé léger des machines telles que le véhicule blindé de transport de troupes sud-américain M113. Le BMP-2 a été adopté en mille neuf cent quatre vingt deux, la machine est conçue pour équiper les unités et unités de fusiliers motorisés et d'infanterie motorisée afin d'offrir au personnel mobilité, armement, sécurité sur le champ de bataille lorsque l'ennemi utilise des moyens et des armes ordinaires destruction massive.
BMP-2 - vidéo
Le montage de cette machine est similaire au BMP-1 : la partie avant est donnée au compartiment moteur et au compartiment de commande, partie centrale et la tour est occupée par un compartiment de combat biplace, tandis que la tour arrière est occupée par un compartiment aéroporté pour 7 fusiliers. La coque et la tourelle du véhicule sont constituées d'un blindage pare-balles. De plus, pour protéger le personnel, le BMP-2 est armé d'un système de protection contre les armes de destruction massive. Le déguisement de la machine se fait au moyen de écrans de fumée, pourquoi est-il équipé d'équipements thermiques fumigènes et d'un système de lancement de grenades fumigènes de type 902B.
Le BMP-2 est armé d'un moteur diesel 6 cylindres UTD-20, dont la puissance atteint trois cents litres. Avec. La boîte de vitesses mécanique et la servocommande hydraulique sont combinées avec le moteur en une seule unité de puissance. La voiture développe la vitesse moyenne la plus élevée grâce au châssis, qui comprend une suspension à barre de torsion avec amortisseurs hydrauliques. Barrières d'eau BMP-2 surmonte au moyen de pistes de rembobinage, tandis que la préparation préparatoire n'est pas du tout requise. Il est également confortable dans la mesure où il peut être transporté aussi bien par avion cargo que par voie maritime et de débarquement.
Le BMP-2 dispose d'un armement assez massif : un canon automatique de 30 mm 2A42 à alimentation par deux courroies, stabilisé dans deux plans. Le canon est capable de tirer sur des cibles terrestres et aériennes, tandis que l'angle de tir vertical atteint + 75 ° et horizontalement - rond. Les munitions des armes à feu sont de 500 cartouches. Il est associé à une mitrailleuse de 7,62 mm, dont les munitions comprennent deux mille cartouches. Le complexe Konkurs ATGM est installé sur le toit de la tour. Le guidage de l'arme est effectué à l'aide du dispositif passif-actif du tireur-opérateur 1K13-2, du viseur actif-passif BPK-1-42 (pour ATGM) et du 1PZ-3 du commandant.
Au fil du temps, le BMP-2 est constamment amélioré, ce qui se traduit par le remplacement de pièces existantes et l'installation de pièces supplémentaires, y compris le montage module de combat tapez « Cleaver » au lieu de la tour. Une protection de blindage supplémentaire, comprenant l'installation d'écrans de blindage sur le côté de la caisse, à l'arrière de la tourelle et au bas, protège le véhicule de la balle perforante B-32 de calibre 12,7 mm.
Un lance-grenades automatique AG-17 a été installé sur le BMP-2, ce qui lui a permis de détruire des cibles dangereuses pour les chars, ainsi que des lance-grenades, des opérateurs de complexes ATGM, des équipages de combat systèmes d'artillerie et d'autres. Avec l'aide d'une nouvelle arme, il est devenu possible d'ouvrir immédiatement le feu sur des cibles situées à une distance allant jusqu'à mille sept cent 30. Le lance-grenades est contrôlé de compartiment de combat commandant ou tireur. Nouvelle vue Le VPK 3-42, ou un complexe de visée avec un viseur de type PNK, augmente les capacités de recherche du tireur. Il est devenu possible de détecter des cibles à une distance de huit cents à mille trois cents mètres, et de suivre l'illuminateur laser derrière la ligne de mire de la mire. Equiper le véhicule d'un complexe de visée de type PNK avec télémètre laser intégré et module d'imagerie thermique a permis d'augmenter la portée de vision nocturne du tireur.
Le système de conduite de tir a également subi certaines configurations au fil du temps. Puissance de feu augmente en raison de l'installation systèmes antichars modernes 9M113M "Concours" et "Cornet". De plus, la fiabilité de la mesure de distance, la qualité de stabilisation du champ de vision et l'élimination de la cible grâce à l'utilisation du complexe de visée du tireur avec un viseur de type PNK avec un télémètre laser intégré et un canal de contrôle ATGM par un faisceau laser, augmente. Lors du remplacement du moteur UTD-20 par une centrale électrique surpuissante UTD-23 vitesse moyenne le mouvement augmente.
De plus, le véhicule est équipé d'un système d'extinction d'incendie à grande vitesse "Hoarfrost", qui détecte et éteint automatiquement les incendies dans le compartiment habité du véhicule. Avec tout cela, 90% de la composition d'extinction est émise à environ 100-50 m/s. De plus, la présence du climatiseur KBM-2 améliore considérablement le climat local dans le BMP-2 et permet à l'équipage et à la force d'atterrissage d'être dans les critères applicables même à des températures ambiantes allant jusqu'à 50°.
Sur la base du BMP-2, plusieurs autres variantes de cette machine ont été créées :
- BMP-2D, caractérisé par une protection renforcée de l'armure et l'incapacité de nager ;
- BMP-2K, qui est l'option de commande et équipé d'équipements de communication supplémentaires ;
- BMP-2M, équipé d'un module incendie "Bakhcha-U", etc.
Les propriétés tactiques et techniques du BMP-2
Poids de combat, t ....................... 14,0
Disposition ........................ compartiment moteur à l'avant, combat au centre, atterrissage à l'arrière
Equipage, personnes ....................... 3
Cavaliers, gens ....................... 7
dimensions
Longueur du corps, mm ........................ 6735
Largeur du boîtier, mm ....................... 3150
Hauteur, mm ........................ 2450 (selon l'illuminateur) ; deux mille deux cent 50 (par viseurs)
Base, mm ........................ 3600
Voie, mm ....................... 2550
Jeu, mm ....................... 420
Réservation
Type d'armure ....................... fer laminé homogène (pare-balles, pare-éclats)
Armement BMP-2
Calibre et marque de l'arme ....................... 30 mm 2A42
Type de canon ........................ canon automatique rayé de petit calibre
Munitions d'armes à feu ...................... 500 (perforation de blindage, fragmentation hautement explosive)
Portée de tir, km ........................ jusqu'à quatre au sol; jusqu'à 2,5 air
Mires ........................ BPK-2-42 (BPK-1-42) - binoculaire diurne et active-passive nuit et antiaérien 1PZ-3
Mitrailleuses ....................... 1 × 7,62 mm PKT
Autres armes ........................ ATGM 9K111 ou 9K113
Mobilité
Type de moteur ........................UTD-20S1
Puissance du moteur, ch s ....................... 300
Vitesse sur autoroute, km/h ....................... 65
Vitesse sur terrain accidenté, km/h ....................... 40-50 sur un chemin de terre ; sept à flot
Réserve de déplacement sur autoroute, km ....................... 550-600
Puissance spécifique, l. s./t ........................ 20.3-21.74
Pression au sol spécifique, kg / cm² ........................ 0.64-0.66
La montée vaincu, la grêle ....................... 35°
Le mur surmonté, m ....................... 0,7
Franchir les douves, m ....................... 2,5
Surmonter le gué, m ........................ nage
Photo BMP-2
Les véhicules blindés de la Russie et du monde de la photo et de la vidéo en ligne étaient très différents de tous leurs prédécesseurs. Pour une grande marge de flottabilité, la hauteur de la coque a été considérablement augmentée, et pour améliorer la stabilité, on lui a donné une forme trapézoïdale en coupe transversale. La résistance aux balles requise de la coque était assurée par une armure cimentée roulée avec une couche extérieure durcie supplémentaire de la marque KO ("Kulebaki-OGPU"). Dans la fabrication de la coque, le soudage des plaques de blindage du côté intérieur souple a été utilisé ; pour faciliter l'assemblage, des cales spéciales ont été utilisées. Pour simplifier l'installation des unités, les plaques de blindage supérieures de la coque ont été rendues amovibles avec un joint sur des joints en tissu lubrifiés au plomb rouge.
Véhicules blindés de la Seconde Guerre mondiale dans lesquels l'équipage de deux personnes était placé près de l'axe longitudinal à l'arrière l'un de l'autre, mais la tour avec des armes était décalée de 250 mm vers la gauche. Le groupe motopropulseur est déplacé à tribord de manière à ce que l'accès pour les réparations du moteur soit possible depuis l'intérieur du compartiment de combat du réservoir après le retrait de la cloison de sécurité. À l'arrière du réservoir, sur les côtés, il y avait deux réservoirs de gaz d'une capacité de 100 litres et directement derrière le moteur - un radiateur et un échangeur de chaleur, lavés par l'eau de mer lorsqu'ils sont à flot. A l'arrière, dans une niche spéciale, il y avait une hélice avec des gouvernails navigables. L'équilibre du réservoir a été choisi de telle manière qu'à flot, il avait une légère assiette à l'arrière. L'hélice était entraînée par un arbre à cardan à partir d'une prise de force montée sur le carter de la boîte de vitesses.
Véhicules blindés de l'URSS en janvier 1938, à la demande du chef de l'ABTU D. Pavlov, l'armement du char devait être renforcé en installant un canon semi-automatique de 45 mm ou un canon automatique de 37 mm, et en dans le cas d'un semi-automatique, l'équipage a dû être porté à trois personnes. Les munitions du char devaient se composer de 61 cartouches pour un canon de 45 mm et de 1 300 cartouches pour une mitrailleuse. Le bureau d'études de l'usine n°185 a réalisé deux projets sur le thème "Château", le char suédois "Landswerk-30" étant utilisé comme prototype.
Les blindés de la Wehrmacht n'ont pas échappé aux ennuis en forçant le moteur. A ce qui a été dit, on peut seulement ajouter que cette crise n'a été réellement surmontée qu'en 1938, pour laquelle le char n'a pas reçu qu'un moteur forcé. Afin de renforcer la suspension, des ressorts à lames plus épais ont été utilisés. Nous avons commencé à utiliser des bandages en caoutchouc en néoprène, un caoutchouc synthétique domestique, avons commencé à fabriquer des chenilles en acier Hartfield par estampage à chaud et avons introduit des doigts durcis à haute fréquence. Mais tous ces changements sur le char n'ont pas été introduits en même temps. Il n'a pas été possible de fabriquer à temps la coque du char avec des plaques de blindage inclinées. Cependant, la tourelle conique de protection améliorée a été livrée à temps, et le char avec la coque précédente, une suspension renforcée (en raison de l'installation de ressorts à lames plus épais), un moteur survolté et une nouvelle tourelle est entré en essai au polygone NIBT.
Les véhicules blindés modernes sont passés sous l'indice conditionnel T-51. Il a conservé le processus de transition des chenilles aux roues, comme dans le prototype, en abaissant des leviers spéciaux avec des roues sans que personne ne descende. Cependant, après avoir ajusté les exigences du char, qui en faisait un triplace (il a été décidé de garder le contrôle en double du chargeur), et renforcé son armement au niveau du BT, il n'était plus possible de mettre en œuvre un type Landsverk roues motrices. De plus, la transmission des roues motrices du char était trop complexe. Par conséquent, bientôt des travaux sur le thème "Château" ont déjà été effectués sur le char T-116, dans lequel le "changement de chaussures" a été effectué selon le type BT - en supprimant les chaînes de chenilles.