Théorie et méthodologie de l'éducation environnementale pour les enfants - Didacticiel(Nikolaeva S.N.)
Applications
Annexe 1
Questionnaires d'examen constructif de l'enfant
Pourquoi un chat a-t-il besoin de pattes ?
Pourquoi un chat a-t-il besoin de griffes ?
Pourquoi un chat a-t-il besoin de dents ?
Pourquoi un pigeon a-t-il besoin d'un bec ?
Pourquoi un pigeon a-t-il besoin d'ailes ? 6. Pourquoi les pigeons ont-ils besoin de pattes ?
7. Pourquoi un pigeon a-t-il besoin d'une queue ?
" Grenouille
8. Pourquoi la grenouille saute-t-elle bien ? "" ■ : 9. Comment une grenouille attrape-t-elle des insectes ?
10. Pourquoi la grenouille nage-t-elle bien ?
V-, "", Papillon
11. Comment mange un papillon ?
12. Comment un papillon échappe-t-il aux ennemis ?
"." ... , Questionnaire 2
"" 1 * Renard
13. Pourquoi un renard a-t-il besoin de pattes ? 14. Pourquoi un renard a-t-il besoin de griffes ?
"." 15. Pourquoi le renard a-t-il des dents ?
6. Pourquoi un brochet a-t-il besoin de palmes ? 17. Pourquoi un brochet a-t-il besoin d'une queue ?
Lézard c tortue
Comment un lézard échappe-t-il aux ennemis ?
Comment une tortue échappe-t-elle aux ennemis ?
20. Pourquoi un lézard se déplace-t-il rapidement et une tortue lentement ?
appendice
Analyse des solutions des enfants aux problèmes d'adaptabilité des animaux à l'environnement
Les deux premières tâches sont consacrées aux animaux aquatiques et les autres aux animaux terrestres vivant dans des conditions différentes.
Les résultats de la résolution du premier problème, dans lequel il est nécessaire de répartir le poisson (épais et mince) dans l'habitat en Environnement aquatique(sous les pierres et dans la colonne d'eau) montrent : la grande majorité des enfants le font correctement, mais seulement environ la moitié d'entre eux peuvent expliquer leur choix. Lors de la distribution du poisson, ils disent: l'un est "mince", "petit", "long", "ressemble à un serpent", donc il doit vivre sous des pierres, et l'autre "épais", "gros", "court" - vit dans la colonne d'eau. Les enfants nomment correctement des caractéristiques telles que la longueur et l'épaisseur du corps du poisson, qui s'adaptent à leur habitat. Cependant, leurs explications sont quelque peu monosyllabiques, pauvres en contenu. Personne ne nomme deux ou trois traits adaptatifs en même temps, n'essaie pas d'expliquer en détail comment ces caractéristiques structurelles aident les animaux à mener un mode de vie approprié.
Dans la tâche suivante, les enfants d'âge préscolaire déterminent le lieu d'alimentation des poissons (à la surface de l'eau ou au fond), ce qui peut être fait en tenant compte des particularités de leur structure (forme du corps, emplacement des yeux, etc.). La tâche s'avère plus difficile que la précédente. Beaucoup moins d'enfants font le bon choix et encore moins l'expliquent correctement. La plupart des enfants donnent des explications correctes, indiquent l'emplacement supérieur ou inférieur des yeux sur la tête, la présence d'une moustache, ainsi qu'un dos plat ou convexe, un ventre plat ou convexe d'un poisson. Leurs explications sont les suivantes : « Ce poisson attrape des moucherons à la surface, il lève les yeux, il nage et regarde là où il y a des insectes ; et celle d'en bas regarde, ses yeux regardent dans le sable, elle peut manger des vers » ; « Celle-ci est au fond sous l'eau, elle est dessinée comme ça (montre l'arc convexe du dos avec sa main), et celle-ci attrape par la surface, elle est dessinée comme ça (montre avec sa main l'arc convexe de l'abdomen du poisson).
Les difficultés des enfants à résoudre ce problème peuvent s'expliquer par le fait que son contenu repose sur une dépendance particulière - l'adaptation à la nutrition de certains poissons, avec lesquels les enfants ne sont pas familiers et dont ils ne pourraient observer les manifestations nulle part. Néanmoins, sa solution correcte par une partie des enfants d'âge préscolaire, en particulier dans les cas où tous ou presque tous les signes adaptatifs importants de la structure des corps sont nommés, montre que les enfants d'âge préscolaire plus avancé sont capables de détecter et de réaliser indépendamment certaines formes de remise en forme des animaux. Les données montrent également que certains sont capables de comparer les caractéristiques de la structure, du comportement des animaux avec leur habitat et de tirer les bonnes conclusions.
Dans la troisième tâche, les enfants s'occupent des échassiers. La moitié d'entre eux expliquent correctement pourquoi ils ont longs becs et longues jambes: les oiseaux ont besoin de longues pattes « pour marcher dans le marais », « pour ne pas se noyer », « pour ne pas mouiller le corps dans l'eau » ; longs becs - "pour attraper du poisson", "pour sortir les grenouilles du marais, aussi courts
C'est gênant de le faire avec un bec." Les enfants associent les caractéristiques structurelles des oiseaux aux conditions dans lesquelles ils vivent : de longues pattes et de longs becs sont vraiment nécessaires pour se déplacer et se nourrir dans un marécage visqueux, en eau peu profonde.
La quatrième tâche (quatre questions liées à la taupe) intéresse vivement les enfants. La première question vise à identifier la capacité à distinguer, nommer et caractériser les caractéristiques structurelles d'un animal. Les enfants caractérisent la taille globale des pattes de la taupe, certains parlent de leur épaisseur. Environ la moitié des enfants désignent les griffes, mais aucun enfant ne décrit leur taille, leur forme ou leur couleur. L'écrasante majorité explique correctement pourquoi une taupe a de telles pattes : « pour qu'il soit plus pratique (plus rapide, mieux) de creuser des passages (vison, terre, etc.) ». Peu de gens considèrent les pattes de l'animal comme un moyen de protection fiable. Dans les deux cas, « les enfants n'expliquent pas en détail comment fonctionne la taupe, quelles caractéristiques des pattes l'aident à creuser le sol. vue générale: "Le nez est nécessaire pour renifler (nourriture, vers, nourriture)." Les enfants ignorent en fait les caractéristiques de la structure du nez de la taupe (long, pointu) indiquée dans la question. Seuls certains disent qu'un tel nez aide également l'animal à creuser le sol. Les enfants qui indiquent cette fonction du nez, dans une plus large mesure que ceux qui indiquent sa fonction olfactive, tiennent compte des spécificités des conditions de vie de l'animal. La quatrième question - sur les caractéristiques de la structure des yeux d'un grain de beauté pour les enfants s'avère la plus difficile. Seul un quart des personnes interrogées donne des réponses correctes, qui se résument principalement à signaler les petits yeux. Les réponses ne sont pas assez approfondies, car pour connaître leur fonction adaptative, il faut d'abord expliquer pourquoi elles sont petites. Une partie importante des enfants, en répondant à cette question, disent que l'animal ne voit pas bien, car il vit sous terre, et il fait sombre là-bas. À première vue, la réponse semble être correcte : la raison de la mauvaise vue de la taupe réside précisément dans le fait qu'elle vit constamment dans l'obscurité, où la vision ne peut pas jouer un grand rôle. Cependant, des explications plus détaillées d'enfants d'âge préscolaire individuels révèlent l'erreur de leurs jugements. Ainsi, un enfant du groupe préparatoire répond à la question comme ceci : « Il ne voit pas bien sous le sol - le sol est noir. Il est toujours sous terre, il fait noir là-bas. Il voit bien dans la lumière." L'enfant explique non pas la raison de la mauvaise vue de l'animal, mais la raison de la mauvaise visibilité, n'affectant ainsi pas l'aspect adaptatif de sa vision. Un autre enfant explique correctement la faiblesse de la vue de l'animal par les spécificités des conditions de sa vie : "Il est habitué à vivre dans l'obscurité et ne peut pas dans la lumière, donc ses yeux sont faibles."
Par conséquent, les résultats des expériences prouvent que dans la plupart des cas, il est difficile pour les enfants d'âge préscolaire plus âgés de relier les caractéristiques de la vision de la taupe aux conditions de vie dans l'obscurité constante, pour trouver les propriétés adaptatives de sa vision. Ils expliquent certaines caractéristiques de la structure de son corps par les spécificités des conditions de vie. Cela s'applique dans une plus grande mesure aux organes dynamiques (par exemple, les pattes) et dans une bien moindre mesure - aux organes non dynamiques (yeux) ou faiblement dynamiques (nez). Les enfants essaient seulement de prendre en compte la multifonctionnalité des organes individuels (pattes - creuser et défendre; nez - renifler et creuser).
Dans la cinquième tâche, les enfants d'âge préscolaire sont invités à choisir indépendamment leur habitat (à partir des biotopes représentés sur les images : marécages, déserts,
ni, forêt et sol) pour un animal inconnu (gerboise). Cette tâche permet de voir particulièrement clairement quels signes adaptatifs dans la structure et le comportement d'un animal sont guidés par les enfants, en le plaçant dans un environnement ou un autre.
Tout d'abord, il convient de noter que certains enfants dépassent de manière autonome les conditions qui leur sont proposées : ils placent l'animal dans la forêt, ce qui est visible en arrière-plan des images représentant un marais et un sol. Un cinquième des enfants ne terminent pas les devoirs. Le reste "place" la gerboise dans quatre biotopes. Seulement environ un tiers choisit le désert pour lui (la bonne décision) et fait face à l'explication du choix de l'environnement. L'analyse des jugements montre que les enfants d'âge préscolaire sont guidés par deux caractéristiques adaptatives - une coloration protectrice et la capacité de se déplacer rapidement. ("Il doit vivre dans le désert, car il a la couleur du sable. Si l'ennemi attaque, il se cachera, comme du sable"; "Dans le désert. Il a de longues jambes, et devant - petit. Il court vite" ; dans le désert. Parce que la couleur est la même, il peut se coucher, et ce ne sera pas visible ";" Il doit être dans le désert, là il peut courir vite. ")
Les enfants qui croient que la gerboise devrait vivre dans la forêt disent : « Il a besoin d'aller dans la forêt. Il peut vivre au sol et dans les arbres, il saute comme un écureuil, sa queue est longue, et au bout avec un gland » ; "Il peut vivre près d'un marécage parce qu'il a des jambes rapides et peut s'enfuir." Lorsque les enfants mettent une gerboise dans un marais ou un sol, ils ne peuvent pas expliquer correctement leurs actions. Et ce n'est pas surprenant : sa structure ne correspond pas à ces biotopes.
La nature de la solution au problème démontre clairement les particularités de la compréhension par les enfants d'âge préscolaire du lien entre l'animal et l'environnement. En règle générale, ils ne sont guidés que par une seule caractéristique de sa structure, par laquelle ils déterminent son habitat. Ils mettent en corrélation ce signe le plus important (selon les gars) de la structure du corps avec une certaine activité de l'animal : mouvement ou protection contre les ennemis. Le nombre de signes de la structure de la gerboise, mis en évidence par les enfants, est faible : couleur, permettant le masquage ; certaines caractéristiques de la structure des membres. Très peu ont nommé deux caractères morphologiques en même temps.
Ainsi, on peut affirmer que lors de l'établissement d'un lien entre un animal et un certain biotope, les enfants d'âge préscolaire plus âgés sont généralement guidés par un nombre limité de caractéristiques adaptatives de l'animal. L'importance de ce fait est particulièrement évidente lorsque le choix s'avère immédiatement erroné. Un enfant du groupe préparatoire, appelant l'habitat marécageux de la gerboise, n'a prêté attention qu'à ses longues pattes postérieures (il tire cette conclusion par analogie avec les échassiers). Un autre enfant du même âge, choisissant le sol pour la gerboise, explique : « Ses pattes avant sont courtes, comme celles d'une taupe. Cela signifie que l'incapacité à prendre en compte plusieurs signes à la fois et à mettre en évidence les plus importants d'entre eux conduit les enfants à de telles conclusions.
Néanmoins, l'expérience confirme que les enfants d'âge préscolaire plus âgés peuvent s'appuyer sur des traits adaptatifs importants qui reflètent le lien le plus général entre l'animal et l'environnement. Ceux-ci inclus peinture de camouflage et les caractéristiques de la structure des jambes, qui fournissent
survie à un moment particulièrement important de la vie - au moment de la collision avec les prédateurs. Cependant, les enfants ne caractérisent pas correctement et clairement les signes de la structure de l'animal ou les caractéristiques de l'habitat. Par exemple, lorsqu'ils appellent les pattes d'une gerboise "rapides", ils n'essaient pas de révéler ce qui assure exactement la vitesse de déplacement. En parlant d'environnement, ils notent la tonalité de couleur du sol désertique, son ouverture, mais ne tiennent pas compte de la fluidité du sable, ainsi que de la viscosité du marais, de la densité des terres forestières. Certains enfants d'âge préscolaire plus avancé - sans éducation préalable - ont une idée de la relation des animaux (aquatiques, terrestres) avec l'habitat, l'adaptabilité à celui-ci, certaines formes liées aux plus zones importantes vie des animaux (nourriture, mouvement, protection contre les ennemis), et sur les principaux composants de la structure de connexion adaptative, comportement animal, habitat).
Les matériaux de cette enquête montrent que les enfants d'âge préscolaire plus âgés sont capables de corréler les signes individuels de la structure des animaux avec une forme spécifique de leur comportement et avec l'une des propriétés de l'habitat. Cette compétence ne se manifeste cependant qu'à la condition que toutes les composantes du complexe animal-environnement soient présentées à l'enfant sous une forme illustrative et descriptive.
Progression de la formation. Lors de la familiarisation avec les animaux, en particulier avec certaines formes de leur adaptation à l'environnement, les enfants (à quelques exceptions près) sont privés de la possibilité d'effectuer des actions pratiques avec eux. Le rôle principal l'observation et la parole jouent dans ce processus. Pour développer l'activité mentale d'un enfant d'âge préscolaire, nous recherchons des techniques qui fournissent la formation initiale des connaissances et des compétences de manière pratique. La place centrale est donnée à la modélisation d'actions et de jeux, au cours desquels les enfants, d'abord pratiquement, puis visuellement, puis en termes de représentations, acquièrent les compétences pour distinguer, corréler, apprendre les dépendances de l'adaptation des animaux et apprendre à appliquer les connaissances dans de nouvelles situations. Une grande attention est accordée à l'observation des animaux, à l'expression et à la formalisation des connaissances par la parole. Cependant, dans le même temps, la tâche d'entraînement spécial des compétences individuelles de la parole n'est pas posée.
Les six premières leçons expérimentales sont consacrées à la formation chez les enfants de la capacité d'identifier et de caractériser correctement les caractéristiques structurelles des animaux, leur comportement et les propriétés des biotopes. Les enfants apprennent à trouver et à nommer les différentes parties du corps de l'animal, à déterminer leur forme, leur taille relative, leur couleur; définir taille globale animal contre humain. Pour cela, en classe, diverses techniques et types d'activités sont utilisés : mise en place d'images d'animaux en carton le long du contour et sous dictée ; examen et description des animaux représentés dans les peintures; travailler avec des normes de formes et de tailles; observation d'animaux; inventer des énigmes et jouer à des jeux pour meilleure description animaux.
Le développement réussi de la capacité à distinguer les caractéristiques structurelles des animaux est confirmé par le fait que les enfants effectuent presque avec précision un certain nombre de tâches dans les cours 3e et 5e : ils gèrent la disposition des animaux en carton sous dictée, devinent correctement les animaux selon la description , et inventent des énigmes eux-mêmes. Dans les mêmes classes
les enfants apprennent à déterminer la taille totale d'un animal à l'aide d'une mesure humaine à l'aide d'un manuel spécialement préparé (décrit ci-dessous). Au cours des six premières leçons, les enfants développent la capacité d'analyser le comportement des animaux en train de les observer. Et ils apprennent à remarquer, à nommer tous les mouvements et actions des animaux, puis à expliquer leur signification: par exemple, l'animal se familiarise avec un nouvel environnement, joue, a peur.
La tâche suivante, qui est résolue dans les leçons 4e - 6e, est la formation de compétences pour analyser les caractéristiques de l'habitat animal, pour mettre en évidence ses composants constitutifs. Par exemple, pour les oiseaux vivant dans une volière, un espace aérien, un arbre avec des branches, une maison, du sable, de la nourriture, de l'eau, une certaine température est vitale ; la longueur du poisson dans l'aquarium - espace aquatique, plantes, sol sablonneux, nourriture, une certaine température. Les enfants commencent à comprendre non seulement que les conditions de vie des animaux se composent d'un certain nombre d'éléments, mais aussi que chaque animal a besoin de ses propres conditions strictement définies, et comment sa vie en dépend.
Au 6e cours, en parlant et en regardant des images, les enfants se familiarisent avec les biotopes de la forêt, du marais et du désert. Au cours de travaux expérimentaux et pratiques, ils apprennent les propriétés des sols : denses (gazon), visqueux (argile), meubles (sable), qui correspondent à une forêt, un marécage, un désert.
Dans les trois leçons suivantes (7-9), les enfants développent un concept de dépendances adaptatives associées à la couleur des animaux. Ils apprennent que la couleur de la couverture peut servir à diverses fins. Dans certains cas, cela coïncide avec la couleur du lieu où vit l'animal, et alors c'est un déguisement. Dans d'autres cas, la couleur ne coïncide pas ou même diffère fortement de l'arrière-plan naturel: il existe ici une coloration distinctive ou d'avertissement (chez les animaux dangereux, par exemple les animaux venimeux). Les enfants d'âge préscolaire apprennent que le coloriage est vital rôle important pour les animaux : camouflage - les sauve des ennemis, aide les prédateurs à se faufiler sur leurs proies ; avertissement - effraie les ennemis, et distinctif - aide les animaux à se reconnaître (les leurs et les autres). Les enfants apprennent également que la coloration aide l'animal s'il se comporte en conséquence: par exemple, se déguiser, se cacher, s'arrête de bouger. Les enfants découvrent que la couleur de la couverture correspond au comportement et forme avec lui un complexe adaptatif unique.
La formation d'idées sur les différentes significations fonctionnelles de la couleur des animaux dans les leçons expérimentales se fait à l'aide de diverses méthodes: observation, conversation, jeux, travail avec des modèles.
Dans ces leçons, pour la première fois, les enfants apprennent la capacité de corréler des objets en fonction de la couleur. Concrètement, cela se traduit par un enchaînement de certaines actions et raisonnements. Pour tirer une conclusion sur la nature de la couleur d'un animal inconnu, les enfants d'âge préscolaire découvrent où il vit : ils comparent la couleur de l'animal avec la couleur de l'endroit où il se trouve ; conclure sur la présence ou l'absence d'une coloration de camouflage, en cas d'absence, poursuivre le raisonnement et savoir si cet animal est venimeux ou non, puis conclure qu'il a une coloration distinctive ou d'avertissement. La comparaison se fait pratiquement (l'enfant apporte et applique l'image de l'animal à l'image)
biotope et compare la coloration) ou visuellement (compare la coloration sans rapprocher les objets). Dans certains cas, les enfants réalisent cette opération en termes de représentations, s'ils connaissent bien la couleur de l'animal et la couleur de l'environnement.
Les leçons montrent que les enfants maîtrisent progressivement la capacité de comparer la couleur d'un animal avec la couleur de son habitat, accompagné d'un raisonnement approprié. Le raisonnement indépendant des enfants est dans la plupart des cas laconique, tronqué, et les conclusions sont courtes et n'incluent pas tous les liens de raisonnement sur lesquels ils s'appuient réellement (cela est révélé à l'aide de questions supplémentaires). Parfois, les conclusions sont de la nature d'une hypothèse. La formation de cette compétence dépend dans une large mesure de la manière dont l'éducateur oriente le raisonnement des enfants, de la rapidité avec laquelle il clarifie leurs déclarations. Les leçons données avec les enfants d'âge préscolaire, les observations des changements de couleur et les jeux montrent qu'avec une orientation appropriée, la plupart des enfants du groupe préparatoire à l'école ont besoin de peu de formation pour maîtriser la capacité de comparer et de tirer des conclusions sur la base des résultats de la comparaison. .
À la fin du travail décrit, les enfants se voient proposer deux tâches pour un accomplissement indépendant: l'observation des moineaux et la détermination de la nature de leur couleur; peinture de l'album "Hide Me" de L. Yakhnin (les enfants doivent choisir avec soin les couleurs des animaux et des environs). Les deux emplois réussissent. Résultat global: la plupart des enfants acquièrent non seulement des connaissances sur la signification adaptative de la couleur des animaux, mais l'utilisent également avec succès dans différentes formes Activités. Les enfants maîtrisent la technique de corrélation d'objets basée sur la couleur dans en termes pratiques, visuellement, et certains des enfants - et en termes de performances.
Les leçons suivantes (10, 11, 12) sont consacrées à la formation d'idées chez les enfants au cours de diverses activités pratiques et ludiques, sur les dépendances, reflétant l'adaptabilité des animaux au mouvement sur un certain substrat. Dans la première dépendance, deux points importants sont mis en évidence : la valeur de la longueur des membres et la valeur d'une petite zone d'appui pour un mouvement rapide. La représentation est formée en travaillant avec un modèle de jambes longues et courtes. La représentation en situation de jeu « la compétition des animaux en course » se concrétise. Les enfants déterminent qui gagne la course dans chaque paire d'animaux. Leurs explications en témoignent : une idée généralisée de la valeur de la longueur des membres pour la vitesse de déplacement s'est formée, et elle est correctement utilisée pour expliquer le comportement des animaux. Voici un fragment de la leçon de 12 minutes.
Educateur : Enfants, regardez ce couple d'animaux (montre un chien et un raton laveur). De qui vient ; la course gagnera-t-elle ? Qui viendra courir en premier ?
Aliosha M. : Le chien courra plus vite.
Éducateur : Pourquoi ?
Sveta U. : Je pense aussi que le chien va dépasser le raton laveur, car il a de grandes pattes.
Oleg G. : Le chien a de longues pattes, bien sûr, il va le rattraper.
Éducateur : Exact. Il y a un gagnant. Maintenant, regardez, voici une autre paire d'animaux (montrant un zèbre et un chien).
Seryozha K.: Zèbre. Elle a un pas plus large, de longues pattes et le chien a des pattes courtes.
Éducateur : Voici une autre paire. Regardez (expose un chat et un hérisson). Lequel remportera la course ?
Natasha B. : Le chat dépassera très facilement le hérisson. Les chats courent vite parce que leurs pattes sont longues et un hérisson ne peut pas courir comme ça.
Le deuxième point important - l'importance d'une petite zone d'appui pour un mouvement rapide - s'avère plus difficile à comprendre pour les enfants. La formation d'une idée à ce sujet se fait à l'aide d'activités pratiques de modélisation. Des enfants font des expériences en immergeant un clou dans un sol de densité différente et découvrent qu'il différemment s'enfonce dans le sable, l'argile liquide et le gazon. Un clou avec la tête tournée vers le bas (forme de pied avec une faible empreinte) et un clou avec une gomme sur son extrémité pointue (forme de pied avec une empreinte importante) donnent des résultats complètement différents d'immersion dans le sol. Les enfants le remarquent rapidement. De plus, dans une situation de jeu où des animaux (mouton, oie, flamants roses, zèbre, etc.) marchent dans un marais visqueux, ils consolident les idées reçues. Choisissez des animaux capables de surmonter un sol collant (aigrette, flamant rose, oie). Sous l'image de chaque animal, ses traces sont représentées - tout le monde n'a pas un large support, sa forme est différente. Les enfants apprennent que chez les oiseaux, un large support est créé par de longs orteils étalés (avec ou sans membranes), chez d'autres animaux - en raison de l'expansion du pied, de l'affaissement de la patte.
Dans les mêmes cours, la formation se poursuit dans la capacité de corréler les caractéristiques structurelles d'un animal avec les propriétés de son habitat. On montre aux enfants qu'il existe des membres de structure différente : longs avec un petit support, longs avec un grand support. On leur apprend à tirer des conclusions sur la nature et les caractéristiques du mouvement des animaux uniquement après avoir corrélé les caractéristiques de la structure (longueur et support) des membres avec les propriétés du substrat le long duquel ils se déplacent dans des conditions naturelles. L'action corrélative dans ce cas est réalisée en termes de présentation. Ainsi, les enfants voient que les longs membres du héron ne sont pas adaptés à une course rapide : le support de ses pattes est large, et les pattes elles-mêmes sont fines (faibles) ; mais de tels membres permettent un mouvement libre dans les marais et les eaux peu profondes. Les enfants voient également que de nombreux animaux des steppes ont des membres longs et forts avec peu de soutien.
Dans les quatre leçons suivantes, les enfants se forgent des idées sur les dépendances adaptatives associées à la structure différente des griffes des animaux menant un mode de vie arboricole et souterraine (écureuil et taupe). Des travaux expérimentaux et pratiques sont menés pour identifier les propriétés d'un arbre. Les enfants utilisent un clou pour déterminer la dureté d'un morceau de bois (avec et sans écorce) par rapport à une pierre, et en touchant la nature de la surface de l'écorce. Ensuite, les caractéristiques de la structure des pattes, des doigts et des griffes de l'écureuil sont clarifiées. On explique aux enfants à quoi correspond leur structure arboricole la vie de l'animal, permet une libre circulation à travers les arbres à la recherche de nourriture, tout en se protégeant des ennemis, etc. Les enfants d'âge préscolaire découvriront également d'autres caractéristiques adaptatives de l'écureuil : une queue duveteuse, qui aide à se déplacer dans les arbres, à moudre
dents, grands yeux, capacité de stocker de la nourriture pour l'hiver. Les enfants comprennent que ces caractéristiques d'un écureuil correspondent aux conditions dans lesquelles il vit dans la nature. Pour les besoins de l'exercice, la question suivante est proposée : qu'adviendra-t-il de l'écureuil s'il se retrouve dans un pré, loin de la forêt ? Les réponses indiquent : les enfants d'âge préscolaire ont correctement compris et maîtrisé les connaissances sur le lien entre les protéines et les conditions naturelles, sur son adaptabilité à eux. Ceci est également démontré par les résultats des devoirs, dans lesquels les enfants sont invités à regarder un poteau de lampadaire (en béton) et à décider si un écureuil peut y grimper. Tous les enfants donnent des réponses et des explications correctes. Ensuite, ils sont initiés à la vie d'une taupe. Ils apprennent que ses griffes (grandes, fortes, plates, comme des pelles) et tout son corps sont parfaitement adaptés au mode de vie souterrain : petits yeux, pas d'oreilles décollées, poils courts et épais qui peuvent s'allonger dans tous les sens, museau pointu allongé.
Ainsi, les enfants se familiarisent avec deux des dépendances adaptatives les plus prononcées dues aux différentes fonctions des griffes des animaux vivant dans des conditions fondamentalement différentes. Le matériel permet aux enfants d'âge préscolaire de montrer comment les caractéristiques structurelles des pattes et des griffes sont en corrélation avec le comportement des animaux et avec les propriétés des composants individuels de l'habitat. Les enfants sont convaincus que non seulement les organes de locomotion qui sont en contact direct avec l'environnement, mais aussi d'autres parties du corps sont adaptés à des conditions de vie spécifiques.
Lors de la dernière leçon, les enfants sont invités à dessiner indépendamment une gerboise selon une description verbale basée sur un certain nombre d'images représentant d'autres animaux, mais un peu similaire à une gerboise. L'enseignante invite les enfants à dessiner un animal mystérieux, qui a un corps comme une souris, des oreilles comme un lièvre, des pattes comme un kangourou, et une queue comme un lion*. Des images en couleurs de ces animaux sont affichées devant les enfants. Le caractère mystérieux du problème proposé augmente l'intérêt des enfants pour la leçon. Cette tâche vise à déterminer si les enfants, au stade final de l'apprentissage expérimental, seront capables d'analyser correctement les caractéristiques des animaux et de mettre en évidence les caractéristiques essentielles de la structure des différentes parties de leur corps. Dans ce cas, l'image correcte de la gerboise dépend en grande partie de la précision avec laquelle l'enfant perçoit la forme, la taille et la relation proportionnelle des différentes parties du corps de l'animal. Signes caractéristiques les structures des animaux prennent un sens essentiel à l'image de la gerboise. Les résultats de croquis réussis des enfants montrent qu'ils ont maîtrisé la capacité de mettre en évidence signes extérieurs animaux. Ainsi, la structure du corps a été correctement véhiculée dans le dessin de la gerboise - 100% des enfants; pattes - 82,1; queue - 96,4; oreilles - 92,8% (total des enfants - 28).
Une fois que les enfants ont terminé le dessin, on leur a montré un tableau représentant une gerboise et le désert - son habitat. Le degré d'activité des enfants dans la conversation et le contenu des réponses le confirment : la majorité maîtrise les connaissances de diverses dépendances adaptatives et les applique avec succès pour analyser la situation avec un nouvel animal.
La description de la gerboise avec de légères modifications est tirée du livre : Sladkov N. Land of solar fire. - M., 1971.
Diagnostic de l'apprentissage. L'effet de l'apprentissage expérimental, son influence sur le développement mental des enfants est révélé par une technique de contrôle spéciale, consistant en un certain nombre de tâches visuo-verbales. Avec leur aide, il est censé révéler les particularités de l'assimilation par les enfants des connaissances sur les dépendances adaptatives des animaux, la capacité de les appliquer de manière indépendante pour analyser de nouvelles situations, ainsi que le degré de formation des compétences intellectuelles pour distinguer et corréler les plus signes importants de la structure, du comportement des animaux et de l'environnement.
Les résultats comparatifs d'un double examen des enfants des groupes expérimentaux et témoins utilisant cette technique sont présentés dans la Fig. 10. Il montre que les enfants des deux groupes donnent un pourcentage plus élevé de réponses correctes au deuxième test sur presque toutes les questions qu'au premier test. Le diagramme montre également que les enfants du groupe expérimental obtiennent de meilleurs résultats que les enfants du groupe témoin : leur augmentation moyenne de bonnes réponses est de 67 %, alors que dans le groupe témoin elle n'est que de 10 %. Arrêtons-nous sur les caractéristiques des résultats de l'exécution des tâches individuelles par les enfants.
Les idées des enfants sur la dépendance adaptative des membres longs sont testées par des problèmes sur les oiseaux, les coléoptères et d'autres animaux. En tenant compte du matériel visuel (animaux en peluche, collections, peintures), les enfants d'âge préscolaire déterminent lequel des animaux fuit, lequel vole ou court plus vite, et expliquent également pourquoi ils le pensent. On le voit sur le schéma : les résultats les plus élevés se retrouvent chez les enfants du groupe expérimental de la deuxième enquête (ils comprennent bien les dépendances). De plus, la variété du contenu des tâches couvrant différentes classes animaux, donne raison de dire : la matière a été maîtrisée sous une forme généralisée. Ceci est confirmé par les réponses des enfants du groupe expérimental, qui se distinguent par un raisonnement détaillé. Par exemple, les enfants accompagnaient l'examen des oiseaux empaillés du raisonnement suivant : « La mésange a de petites ailes, mais cet oiseau a des ailes très longues. Il vole donc plus vite. La mésange, au contraire, a une longue queue » ; "Bien sûr, celui-ci vole plus vite (montre le martinet; prend les deux oiseaux dans ses mains, les examine de tous les côtés, les retourne dans ses mains, compare visuellement). Je l'ai examinée, elle a de très grandes ailes, plus grandes que cette petite. Et elle-même est plus grande, plus forte." En règle générale, les réponses correctes des enfants des groupes de contrôle sont courtes et ne s'accompagnent pas d'un examen minutieux et complet de l'objet. Les mêmes différences sont observées lors de la résolution d'autres problèmes. Choisissant le coureur le plus rapide parmi les coléoptères, l'enfant du groupe expérimental désigne d'abord le coléoptère de mai, puis le coléoptère (« Ce coléoptère (de mai) a de longues pattes, il est grand, il court vite. Mais ce (le sol) scarabée) court plus vite, il a un peu - légèrement plus long que la jambe "). Les enfants des groupes témoins n'ont pas donné de réponses aussi détaillées.
Les résultats de la résolution des problèmes présentés montrent que les enfants non seulement distinguent la longueur des membres des animaux comme un trait adaptatif essentiel pour le mouvement, mais comprennent également que les possibilités de leur fonctionnement adéquat dépendent des conditions environnementales spécifiques. Déterminer la nature du comportement de l'animal, la caractéristique morphologique (caractéristiques de la longueur des membres) est corrélée avec ces conditions
fosses dans lesquelles les animaux doivent agir. Le raisonnement des enfants du groupe expérimental pour résoudre le problème des chiens est la preuve de leur capacité à corréler les signes essentiels de la situation. Ils doivent choisir un chien (teckel ou lévrier) avec lequel chasser lièvres et blaireaux. Voici quelques exemples : « Le lièvre n'a pas de terrier, il saute bien. Ce chien (montrant le lévrier) a de longues pattes, il rattrapera le lièvre. Et ce chien (désigne un teckel) peut grimper dans un trou, il est plus fin, petit ; et elle court mal, pas comme un lièvre et un autre chien (désigne un lévrier), elle a des pattes courtes » ; « Le lévrier a de longues pattes, il court plus vite. Si le chasseur prend un teckel, il hachera et ne rattrapera pas le lièvre. Et il ira attraper un blaireau avec un teckel. Elle est petite, et ses pattes sont petites, elle rampe dans le trou, et elle est longue, elle peut l'attraper s'il rampe » ; « Le lévrier a un petit pied et une longue queue... Le teckel a des pattes courtes et peut chasser les souris. Le lévrier a de longues pattes, épaisses au sommet, il court vite, rattrapant le lièvre. Un gros chien ne peut pas ramper dans un trou, mais un teckel est bas, il le peut." On peut voir que les enfants, en résolvant un problème, utilisent non seulement des connaissances sur le rôle de la longueur des membres, mais également la capacité de distinguer les signes d'objets importants pour une situation et de les relier. Ils mettent en valeur la longueur des pattes et la croissance générale des chiens ; tenir compte de l'état du problème (l'un des animaux vit dans un trou, l'autre non et s'enfuit); prendre en compte petite taille les terriers et les corréler avec la croissance du chien, après quoi ils tirent une conclusion sur la possibilité de sa pénétration dans le refuge de l'animal, c'est-à-dire sur la nature du comportement.
Annexe 3
Progrès et diagnostics de l'enseignement expérimental des enfants
Lors de la résolution d'un certain nombre d'autres problèmes, les particularités de l'assimilation et de l'utilisation par les enfants d'idées sur la coloration protectrice des animaux ont été révélées. La fonction de camouflage de la coloration est la plus accessible à leur compréhension. L'une des tâches contient la soi-disant erreur d'artiste (le lien entre l'animal et l'environnement basé sur la couleur est voilé par de nombreux autres signes). Les enfants d'âge préscolaire ont des difficultés à l'exécuter. La bonne décision n'est possible que pour les enfants qui connaissent la méthode de corrélation. L'utiliser pour analyser le contenu de trois images, dans deux desquelles les animaux sont représentés dans le bon rapport de couleurs avec l'environnement naturel, et dans la troisième * - dans la mauvaise, donne des résultats positifs. Dans l'écrasante majorité des cas, seuls les enfants spécialement formés aux techniques d'isolement et de corrélation des attributs des objets peuvent faire face à cette tâche.
Les affirmations ci-dessus indiquent que les jugements des enfants sont basés sur la capacité de comparer des objets : « En été, cet animal est blanc. Il doit être vert ou gris. C'est un animal d'hiver, comme ici »(indique une image sur laquelle un lagopède est représenté dans la neige); « Il est blanc. Il devrait être dans la neige, et il devrait être en été
La photo montre une martre albinos sur fond de verdure.
Blanc. Tout le monde peut le remarquer : l'herbe est verte et tout est vert » ; «L'animal est peint en blanc et tout est vert là-bas (il montre l'animal) - il devrait être gris, comme une souche. La colombe (perdrix) est aussi blanche comme neige. Ils peuvent le manger (montre la martre) parce qu'ils peuvent le voir."
Cependant, tous les enfants ne distinguent pas la couleur comme la seule caractéristique significative. Certaines personnes disent que les animaux, les arbres ou les objets ne sont pas correctement dessinés. Dans ce cas, on explique à l'enfant que l'erreur réside dans la couleur ("Regardez comment l'artiste a peint les tableaux. L'un d'eux a une erreur"). Après une telle invite, les enfants du groupe expérimental, contrairement aux enfants du groupe témoin, trouvent généralement un écart et donnent la bonne réponse. Un enfant du groupe expérimental n'a pas pu répondre correctement après y avoir été invité. Néanmoins, la réponse est intéressante dans la mesure où il fonde ses jugements sur la connaissance de la dépendance de la coloration de camouflage. En regardant la martre blanche parmi l'herbe verte, il a dit qu'elle se cachait dans des marguerites.
La capacité des enfants à envisager de nouvelles situations sur la base des connaissances acquises se manifeste également dans la résolution d'autres problèmes. En déterminant l'habitat de la musaraigne dans le problème 7, de nombreux enfants, ainsi que d'autres signes, prennent en compte les particularités de sa couleur : « Cet animal est jaune et le sable est jaune, il est donc imperceptible » ; "C'est la couleur de la terre, grise"; « La couleur de la peinture est comme du sable », et ainsi de suite. En résolvant le problème des coléoptères, ils montrent une compréhension de la fonction de masquage non seulement de la couleur, mais aussi de la forme du corps de l'animal : ils recherchent correctement coléoptère de l'eau: "On dirait un caillou, le haut du dos est vert, on pourrait penser que c'est une pierre dans l'eau"; « Il peut se déguiser en pierre noire », et ainsi de suite.
Ainsi, les résultats de l'enquête réalisée montrent : les enfants ont maîtrisé les connaissances sur la signification de la couleur des animaux, appris à considérer la couleur comme un signe qui détermine la nature de la relation entre l'animal et l'environnement. L'écrasante majorité au cours de la formation a maîtrisé la capacité de comparer des objets en fonction de la couleur et de tirer des conclusions sur la base de cette compétence.
Les enfants ne réussissent pas moins à résoudre des problèmes dans lesquels, selon la structure des griffes, il est nécessaire de déterminer quel mode de vie - arboricole ou souterrain - mène l'animal, s'il peut se déplacer dans les arbres ou dans le sol. Par exemple, en désignant un rat sacculaire, l'enfant dit : « Elle a des griffes droites, elle ne peut pas grimper aux arbres, mais ceux-ci (montre un écureuil volant et une martre) ont des griffes recourbées ; ils creusent dans l'écorce et grimpent » ; « Elle (le rat sacculaire) a des griffes aussi grosses que des pelles et acérées ; elle brisera la terre et cherchera des vers » ; "Il (la taupe dorée) peut creuser le sol - les griffes sont plates, les pattes sont retournées comme des pelles." Tous les enfants donnent des explications similaires. Dans le groupe témoin, la plupart des enfants ne différencient pas les caractéristiques des griffes des différents animaux. À leur avis, tout animal avec des griffes suffisamment visibles peut grimper aux arbres.
Les enfants du groupe expérimental obtiennent un succès notable dans la détermination de l'habitat des animaux. Une orientation vers un complexe de leurs caractéristiques adaptatives est typique. Les enfants distinguent diverses caractéristiques structurelles du tronc, des membres (taille, forme, zone d'appui), la nature et la couleur du tégument. Les caractéristiques sélectionnées sont corrélées avec un habitat spécifique, puis une conclusion est tirée.
L'opération de corrélations, en règle générale, est effectuée en termes de représentations. Sa présence ne peut être jugée que par la nature de la réponse, qui reflète indirectement le processus de comparaison. Ce n'est que dans certains cas que la comparaison est évidente : visuelle ou pratique. Dans les deux cas, l'enfant trouve correctement le coléoptère d'eau, mais ses explications diffèrent considérablement. Dans le premier cas, il dit: "Probablement celui-ci, j'ai vu de telles personnes dans l'eau", dans le second - "Les pattes de ce scarabée ne sont pas du tout visibles. Il peut se déguiser en pierre noire, il est tout noir. Sur ses pattes - il ne peut pas courir, elles sont très petites ». Un autre exemple. Ayant choisi le bon nageur, l'enfant se réfère à son expérience : « Papa et moi avons vu un tel nageur quand nous pêchions du poisson. Après l'entraînement, il donne une analyse des caractéristiques adaptatives du coléoptère : « Il est adapté à l'eau avec les jambes et le corps. Il peut se cacher des prédateurs : il a un dos comme une pierre. Et les jambes sont comme des rames."
Déterminer l'habitat des musaraignes, des hérons et chercher un habitant souterrain, les enfants s'appuient sur un grand nombre de traits adaptatifs. Ainsi, les enfants du groupe témoin et du groupe expérimental identifient très facilement le héron ; ils disent sans hésiter que le héron vit dans un marais, mais il y a une différence fondamentale dans les explications. Les enfants du groupe témoin se réfèrent uniquement au fait que l'oiseau trouve des grenouilles dans le marais. Les enfants du groupe expérimental justifient les réponses sur la base d'un complexe de signes adaptatifs qui caractérisent la structure corporelle du héron et déterminent, en conséquence, son comportement. Voici l'une des réponses typiques : « Elle, bien sûr, vit dans un marécage. C'est un héron. Elle mange des grenouilles. Le bec est long : il va se baisser et s'agripper. Le cou est long, ça aide aussi, il va se baisser et atteindre le bas. Les jambes aident également à se tenir dans l'eau, car elles sont longues, elles ne tombent pas. Plus de doigts : ils sont écartés. S'ils étaient comme un renard, elle échouerait."
Les enfants ne parlent pas moins à fond de la musaraigne, en règle générale, en la plaçant dans le désert: «Ses pattes sont adaptées pour creuser, elles sont larges, il y a des griffes et le nez sent bon. Je ne comprends tout simplement pas pourquoi les yeux ?! Ah... Pour ne pas heurter une pierre, de l'herbe. Elle, bien sûr, vit dans le désert, elle a une couleur camouflage » ; l'enfant applique l'image "musaraigne" aux images "désert", "terre" et explique : "Maintenant je vais regarder les pattes. ! L'animal a un très gros yeux! Et ceux qui vivent sous terre n'ont pas besoin de grands yeux. Les pattes sont larges, les griffes sont grandes. A-t-il des sangles ? (L'expérimentateur répond : « Non »). Il peut creuser un trou la nuit. La couleur est un peu comme du sable. Il vit dans le désert."
En mettant en évidence certaines caractéristiques structurelles de l'animal et en les comparant avec les propriétés spécifiques de l'environnement, l'enfant semble tâtonner pour la bonne direction de son raisonnement. Chaque caractéristique mise en évidence de la structure de l'animal, il entre mentalement dans un biotope spécifique et sur cette base arrive à une chaîne de conclusions qui l'aident à trouver la bonne solution. Dès le début, l'enfant se fixe un objectif: découvrir les caractéristiques de la structure des pattes ("Maintenant, je vais regarder les pattes"), mais il remarque les grands yeux de l'animal et tire immédiatement la bonne conclusion: un tel l'animal ne peut pas vivre sous terre. En même temps, sans aucun doute, sa conclusion générale (« et ceux qui vivent sous terre n'ont pas besoin de grands yeux ») s'applique à la musaraigne. En évaluant les caractéristiques des pattes, l'enfant
Nok découvre comme s'il découvre avec désinvolture s'il y a des membranes et conclut que l'animal n'est pas un marais. Ayant établi par la structure des pattes la capacité de l'animal à creuser le sol et comparant sa couleur avec la couleur du sable, il arrive à la bonne conclusion finale : l'animal vit dans le désert.
Ainsi, la mise en œuvre séquentielle et pas à pas des opérations d'identification et de comparaison des caractéristiques des objets remplit la fonction d'orientation dans une nouvelle situation et crée des conditions favorables à l'utilisation des connaissances existantes et à la construction de jugements logiques. Ceci est d'une importance fondamentale pour le développement du processus cognitif chez les enfants d'âge préscolaire.
Les résultats de l'enquête montrent que les enfants maîtrisent bien le matériel des classes, maîtrisent les connaissances qui permettent d'identifier les dépendances de l'adaptation des animaux aux conditions d'existence, les compétences intellectuelles pour déterminer et corréler les signes des objets entre lequel il y a un lien dans la nature. Le matériel assimilé a eu un effet positif sur leur développement mental (visuel-figuratif et pensée logique dans leur unité). Le développement de la pensée dans le processus d'apprentissage est principalement dû au contenu des connaissances qui reflète les liens naturels entre la structure et le comportement des animaux et l'environnement. Dans le même temps, une maîtrise particulière des opérations d'isolement et de corrélation des attributs des objets était d'une importance significative : d'une part, elle développait directement l'une des fonctions centrales de la pensée visuo-figurative - la représentation dynamique, d'autre part -
goy - a servi de matériau pour la formation d'un acte logique d'inférence basé sur la corrélation.
Une place importante dans le développement de la pensée chez les enfants d'âge préscolaire a été jouée par le côté verbal du processus d'apprentissage. Le discours d'un adulte et d'enfants servait non seulement à déterminer et à exprimer les caractéristiques spécifiques des objets et les particularités de leur fonctionnement dans certaines conditions, mais reflétait également directement les résultats du fonctionnement avec les caractéristiques sélectionnées, c'est-à-dire le processus de construction des jugements, et sur leur base et leurs inférences.
Les données de l'enquête de contrôle ont montré que la maîtrise de la capacité à distinguer et à corréler les caractéristiques des objets a également un sens différent dans le développement de l'activité cognitive des enfants d'âge préscolaire ! Les compétences intellectuelles permettent à l'enfant de naviguer correctement dans une nouvelle situation et d'appliquer les connaissances existantes pour l'analyser. Ainsi, ces compétences jouent le rôle d'outil d'orientation et servent de moyen de diffusion des connaissances.
Annexe 4
Idées d'enfants sur la croissance et le développement d'objets vivants (analyse de l'expérience de vérification)
Après avoir écouté la tâche, les enfants ont regardé les aides visuelles, effectué les actions nécessaires (par exemple, ils ont choisi un stand pour un chiot à partir des images, ont disposé les cartes dans un certain ordre, indiquant la séquence de croissance et de développement de un animal ou une plante, etc.), ainsi que des réponses aux questions, fournies par la tâche.
L'enquête, qui a été menée sur une base individuelle, a porté sur des enfants d'âges différents (du deuxième cycle au groupe préparatoire à l'école), vivant dans des conditions différentes. Ainsi, T.V. Khristovskaya et L.S. Ignatkina ont examiné des enfants d'âge préscolaire à Moscou et à Magnitogorsk; T.N. Druzhinina travaillait avec des enfants des zones rurales (jardin d'enfants de la ferme collective du nom de S. M. Kirov, région de Moscou), qui pouvaient observer la naissance de poulets, chiots, veaux, etc.
Que savent les enfants d'âge préscolaire sur la croissance et le développement des plantes et des animaux ? Les chercheurs notent que la plupart des gens savent que les oiseaux naissent d'un œuf et que la naissance vivante des mammifères leur est moins familière. Comme le note T. V. Khristovskaya, de nombreux enfants d'âge préscolaire plus avancé comprennent que les plantes sont cultivées à partir de graines et que seuls quelques-uns appellent des méthodes végétatives de leur reproduction (à partir de pousses, de feuilles).
Les enfants déterminent la croissance et le développement de nouveaux organismes selon différents critères. Il est plus facile pour les enfants d'âge préscolaire d'identifier un animal adulte et un veau si les deux sont présentés clairement et que la différence d'âge est significative. Les enfants l'établissent par divers critères : taille, présence ou absence d'organes individuels, leur nombre, comportement, mais le signe dominant est la taille. LS Ignatkina note que les enfants de la 4e année de vie, en regardant le livre d'images "Mamans et enfants", sans hésitation, ont indiqué où se trouvait le chien adulte et où se trouvait son petit. Et lorsqu'on leur a demandé comment grandit un chiot et devient un chien, la plupart ont résolu le problème très simplement. "C'est comme ça qu'il grandit", ont-ils dit en désignant d'abord le chiot, puis le chien adulte. D'autres faits suggèrent également que la taille, en tant que signe d'un animal en croissance, domine dans l'imagination des enfants. Les enfants ne distinguent guère entre un adulte et un jeune animal, lorsque ce dernier est à l'adolescence et en termes de taille corporelle globale ne diffère pas beaucoup d'un adulte. Les chercheurs notent que la plupart des enfants font des erreurs lors de la mise en page des cartes représentant les différents stades d'âge dans les derniers maillons. Dans ce cas, d'autres signes (comportement, proportions corporelles) acquièrent une importance primordiale, mais les enfants ne les remarquent pas toujours et se trompent donc dans leurs réponses.
Une conclusion intéressante a été faite par T.V. Khristovskaya, qui a suggéré que les enfants montrent où se trouve le poussin et où se trouve l'oiseau adulte dans l'image représentant l'alimentation d'un coucou (c'est-à-dire un grand oiseau) avec un petit (mais adulte) oiseau forestier. Le chercheur note que quel que soit leur âge, de nombreux enfants n'étaient guidés que par la taille absolue des oiseaux et donnaient donc les mauvaises réponses. Cependant, certains enfants ont remarqué une contradiction visible entre la taille des oiseaux et leur comportement (le petit nourrit le grand), ce qui les a poussés à des raisonnements intéressants.
Les changements avec l'âge dans les proportions du corps chez les animaux (c'est-à-dire le rapport entre les tailles de ses parties individuelles) les enfants d'âge préscolaire ne le remarquent guère. Dans ce plus grande valeur, apparemment, a une inexpérience enfantine. Les psychologues ont constaté que le changement dans les proportions d'un objet est généralement distingué par les enfants d'âge préscolaire avec difficulté. Cependant, lorsqu'on leur a demandé d'identifier l'adulte et l'enfant sur la photo, où la hauteur des personnages était la même, les enfants ont facilement fait face à la tâche. T. V. Khristovskaya note que même les plus petits ont correctement indiqué le père et l'enfant.
L'âge des arbres pour la plupart des enfants était déterminé par l'épaisseur du tronc et le nombre de branches, c'est-à-dire par les seuls signes fiables dans des conditions où la hauteur des arbres est la même. Cependant, certains se sont trompés, peut-être sous la même pression de la perception de l'âge des gens : ils ont pris un jeune arbre avec un petit nombre de branches pour un vieux, croyant que c'était de la vieillesse, et non à cause de la jeunesse.
Un facteur important pour permettre aux enfants de déterminer quel animal se trouve devant eux - un adulte ou un petit, est leur comportement. Tous les chercheurs soulignent que les enfants d'âge préscolaire, même les plus jeunes, distinguent différentes caractéristiques comportementales des animaux, les considèrent comme une fonction appartenant à un certain âge. Le comportement de jeu, de l'avis des enfants, n'est caractéristique que des petits. Ils ne savent pas comment se nourrir seuls, se déplacer (par exemple, les poussins - voler), se défendre et vice versa. Ce sont les caractéristiques comportementales qui ont aidé certains à comprendre l'exemple ci-dessus avec un coucou.
Comment les enfants comprennent-ils la croissance et le développement des êtres vivants ? Associent-ils ces processus à des conditions ? Les chercheurs constatent que les nourrissons de 4 ans, et encore plus les enfants plus âgés, associent la croissance des jeunes animaux à la nutrition : « Ils grandissent lorsqu'ils mangent ou lorsqu'ils sont nourris. De plus, comme le montre LS Ignatkina, les enfants jugent la croissance des animaux par analogie avec eux-mêmes (ils mangent et grandissent, ce qui veut dire qu'il en va de même chez les animaux). Cependant, tous les enfants ne savent pas que les mammifères nourrissent leurs petits avec leur lait. T.N.Druzhinina a posé aux enfants d'âge préscolaire plus âgés la question « Un chiot nouveau-né peut-il vivre seul dans la forêt ? » Tous les enfants ont répondu correctement (ne peuvent pas), mais les raisons étaient différentes. La plupart ont attribué cela au manque de nourriture, qui, comme il s'est avéré plus tard, ne signifiait que de la viande et des os, et non du lait maternel. Entre autres raisons, certains ont pointé le manque d'eau, de foyer, de chaleur, de mère, la présence d'ennemis, ainsi que le fait que le chiot va avoir peur ou s'ennuyer. De plus, chaque enfant a cité non pas une, mais plusieurs raisons. Ceci confirme que les enfants sont capables de considérer les conditions d'existence d'un jeune animal comme un ensemble de facteurs assurant sa survie. C'est cette approche qui est importante pour une compréhension correcte de la relation entre un organisme en croissance et l'environnement extérieur. Il convient également de noter que les enfants sont peu familiarisés avec le rôle de formation de l'environnement de la mère, qui, surtout au début, fournit pleinement au bébé sécurité, chaleur, nutrition et soins.
Selon L.S.Ignatkina, qui a mené la recherche 10 ans plus tard que T.N. Druzhinina, les enfants ont commencé à mieux comprendre le sens de la mère. D'après son enquête, il est clair que certains des enfants ont déjà été en mesure de nommer les fonctions les plus importantes de leurs parents. Plus d'un tiers des enfants du groupe intermédiaire et plus de la moitié du groupe plus âgé ont déclaré que les animaux adultes sont nécessaires pour que les jeunes se nourrissent, se protègent, jouent et apprennent. Il a également été révélé que les enfants en savent peu sur le rôle des personnes qui s'occupent des jeunes animaux. Seuls ceux d'entre eux qui ont participé avec des adultes aux soins des chatons, des chiots, des poulets et des veaux ont pu le décrire complètement et correctement. Par conséquent, le rôle de l'homme dans la formation de l'environnement dans la vie des animaux domestiques est réalisé par les enfants d'âge préscolaire principalement à travers l'expérience de leur propre participation à l'élevage de jeunes animaux.
La plupart des enfants, comme le montre T.V. Khristovskaya, associent également la croissance et le développement des plantes à la nutrition, principalement à l'arrosage : "Ils sont arrosés et ils grandissent". Les enfants d'âge préscolaire nomment à peine d'autres conditions nécessaires à la plante. Lorsqu'on leur demande comment savoir qu'il grandit, de nombreux enfants d'âge préscolaire plus âgés parlent d'augmenter sa taille. Certains enfants signalent l'apparition de nouveaux organes : racines, pousses, fleurs. Les enfants parlent de la même manière quand il s'agit d'animaux. L'apparition de nouveaux organes (un peigne et une barbe - chez un coq, des cornes - chez une chèvre, etc.), selon les enfants, indique la croissance des animaux.
Un aspect important pour comprendre les changements chez les êtres vivants est la caractéristique du paramètre temporel de leur croissance et de leur développement. On sait qu'il est difficile pour les enfants d'âge préscolaire de se faire une idée du temps. L'étendue temporelle strictement définie des processus biologiques est mal comprise par les enfants d'âge préscolaire, ce qui est noté par tous les chercheurs. Au mieux, les enfants disent qu'il faut beaucoup de temps pour transformer un ourson en adulte. Ils peuvent plus facilement chronométrer l'apparition des juvéniles dans le monde (en particulier chez les oiseaux), en attribuant cela à la présence de conditions nécessaires(chaleur au printemps). T.N. Druzhinina a demandé aux enfants du village d'âge préscolaire supérieur combien de temps une poule couve les œufs lorsque les poussins apparaissent. Les enfants, qui ont été témoins à plusieurs reprises de ce processus, ont répondu de manière incohérente : un jour, trois jours, un mois, longtemps, je ne sais pas.
La méthode de T. V. Khristovskaya contenait la tâche suivante: les enfants devaient indiquer combien de temps il fallait pour qu'une plante avec des concombres pousse à partir d'une graine. Pour cela, plusieurs bandes spéciales d'échelles différentes ont été réalisées : sur une divisions égales heures dénotées, les autres - jours, les troisièmes - semaines. Pour les enfants d'âge préscolaire des groupes senior et préparatoire à l'école, l'expérimentateur a d'abord expliqué ce qui était représenté sur les bandes et comment les utiliser. Ensuite, les enfants ont été invités à déplacer alternativement les cartes représentant les différents stades de croissance et de développement d'un concombre le long de la bande de temps sélectionnée, déterminant ainsi combien d'heures, de jours ou de semaines sont nécessaires pour qu'une telle plante pousse. Selon les observations du chercheur, de nombreux enfants du groupe plus âgé n'ont pas compris la tâche : ils ont choisi une horloge à bande et l'ont manipulée. Comme il s'est avéré plus tard, le mot "horloge" (le concept de temps) ils ont associé à l'objet qu'ils connaissaient - l'horloge. Les enfants du groupe préparatoire à l'école ont mieux géré la tâche, qui ont choisi consciemment des jours ou des semaines de strip-tease, leur ont montré combien de temps s'écoulerait avant que les feuilles, les fleurs et les fruits n'apparaissent. Ainsi, un enfant a compté 12 semaines et a expliqué: dans trois semaines, il y aura des feuilles, dans quatre - fleurs, dans cinq - un petit concombre et dans 12 - il deviendra grand. Le chercheur note que, malgré le large éventail de réponses, néanmoins, dans un certain nombre de cas, les idées spontanément formées des enfants sur le moment de la croissance et du développement d'une plante annuelle particulière approchaient l'évaluation réelle de la durée du processus. Dans l'ensemble, l'expérience a confirmé que le paramètre temporel des changements réguliers de la nature est difficilement réalisé par les enfants d'âge préscolaire et nécessite la recherche de techniques spéciales pour un apprentissage ciblé.
Et le dernier objectif de nos expérimentations est d'établir la nature des idées sur la croissance et le développement des êtres vivants qui émergent spontanément chez les enfants d'âge préscolaire, le degré de leur dynamisme. Comment les enfants imaginent-ils la transformation des plantes et des animaux à mesure qu'ils grandissent : sous la forme d'un changement brusque d'états individuels ou sous la forme d'un processus de changement graduel et fluide ? Cela a été révélé dans une large mesure par le matériel visuel présenté aux enfants dans les devoirs. Tous les chercheurs leur ont demandé d'organiser dans la séquence nécessaire des images illustrant les étapes de développement d'animaux et de plantes individuels. L'expérience a été réalisée sur l'exemple d'un chien, d'un poulet, d'une volaille. Dans une tâche, TN Druzhinina, examinant des enfants ruraux dans une expérience individuelle, les a invités à écouter une courte histoire : « Un chiot est né du chien Zhuchki, il s'appelait Druzhok. L'artiste a peint en images comment Druzhok a grandi et est devenu un chien adulte. L'artiste nous a donné ces images. Mais voici le problème ! Nous avions beaucoup plus de photos avec des images de chiens, et maintenant nous ne pouvons pas trouver Druzhka parmi eux. Aidez-moi à le trouver. Retrouvez toutes les images montrant comment Druzhok a grandi et mettez-les en ordre. " Ainsi, les enfants ont dû résoudre deux problèmes : séparer les images avec l'image de Druzhok des images avec l'image d'autres chiens et les mettre dans le bon ordre (transformer le chiot en chien adulte). Le matériel le montre : les enfants des groupes supérieurs et préparatoires à l'école ont facilement fait face à la tâche. Séparer les images de Druzhok du reste des chiens était simple. Lors de la mise en place d'une rangée séquentielle, composée de cinq stades de croissance et de développement d'un chien (chiot nouveau-né, un mois, trois mois, six mois, chien adulte), la difficulté était causée uniquement par le stade adolescent (six mois vieux chiot). Sur les 50 enfants, cette étape a été manquée. 10 enfants de 5 ans et 3 enfants de 6 ans
La tâche avec les poulets s'est avérée plus difficile: 10 images montraient le cycle de développement deux fois - d'un œuf à une poule adulte (stades intermédiaires - un poussin éclos, âgé d'une semaine et un adolescent). Les enfants du groupe préparatoire à l'école ont accompli la tâche (disposer deux rangées - d'un œuf à une poule adulte) bien mieux que les plus âgés. Chez 5 enfants, la difficulté a été causée par la détermination du stade de l'adolescent (il a été confondu avec un poulet adulte) et l'aménagement du deuxième rang. Du groupe des seniors, seuls deux ont pu accomplir correctement l'ensemble de la tâche. Les plus grandes difficultés, ainsi que pour les enfants de 5 ans, sont survenues avec l'identification d'un poulet adolescent (12 enfants) et l'aménagement du deuxième rang. Cependant, certains ont fait des erreurs dans toutes les autres étapes.
L. S. Ignatkina a proposé aux enfants une version légèrement différente de la présentation d'images sur le développement d'un oiseau: nid, œufs dans le nid, poussins dans le nid, oisillons. Les plus jeunes enfants d'âge préscolaire n'ont fait que des tentatives pour tracer une rangée. Le moyen le plus simple pour eux d'identifier l'oiseau adulte et le poussin. Partant de groupe intermédiaire, et plus encore : dans le groupe plus âgé, les enfants s'avèrent capables de voir non seulement les étapes initiales et finales du développement de l'animal, mais aussi les étapes de transition. Des résultats similaires ont été obtenus par T. V. Khristovskaya. Dans son expérience, des enfants d'âge préscolaire plus âgés ont présenté une série séquentielle de croissance et de développement d'une herbe (par exemple, un coquelicot). Séparer les enfants de l'aîné et préparer
les groupes éducatifs ont exécuté la tâche correctement, la plupart ont confondu les étapes intermédiaires ou les ont sautées.
Ainsi, le matériel montre: à l'âge préscolaire, les enfants commencent à comprendre que la croissance et le développement des êtres vivants se déroulent en douceur et progressivement. Les enfants de la 4e année de vie sont bien orientés dans les étapes initiales et finales de développement, mais ne comprennent pas comment une étape passe à une autre. On peut dire que chez les enfants tout le processus de développement animal s'exprime en deux phases : où il commence et comment il se termine.Un certain dynamisme de représentation apparaît chez les enfants du groupe moyen. Ils s'avèrent capables, bien que de manière amorphe, de transmettre dans l'histoire la durée du processus dans le temps. Dans un certain nombre de cas, les enfants de sept ans ont déjà une idée de la façon dont le nouveau est apparu. créature atteint l'âge adulte. Les enfants d'âge préscolaire peuvent comprendre à la fois la répétition du processus et la nature cyclique des actes de la vie.
On peut dire qu'à l'âge préscolaire il y a une tendance à l'émergence de représentations dynamiques reflétant la séquence de transformation d'un objet vivant à mesure qu'il grandit et se développe. Néanmoins, il ressort de la recherche que chez la plupart des enfants, dans la caractérisation des représentations, les images statiques prévalent, une tendance à décrire non pas l'ensemble du processus, mais ses étapes individuelles, qui peuvent être affichées par le contraste des signes de structure ou de comportement. (chez les animaux). Ceci est confirmé par les résultats de l'achèvement de la mission selon la méthode de T.V. des tailles différentes entrée : petite, moyenne, grande. Tous les enfants savaient que le chiot allait grandir et devenir un gros chien. Cependant, seuls quelques-uns ont été guidés par cette circonstance et ont choisi un stand « pour la croissance ». Une partie importante des enfants, même après avoir été invités, n'a pas voulu prendre une maison avec une grande entrée, mais a choisi celle qui ce moment convient à un chiot. Par conséquent, ce n'était pas le dynamisme des idées sur les transformations ultérieures de l'animal qui prévalait, mais la nature statique de son image visuelle. C'est pourquoi nous sommes d'accord avec l'auteur lorsqu'il donne une description collective des représentations enfantines, où dominent les images statiques (le chiot est faible, sans défense, ne sait pas se déplacer, comme un adulte, se nourrir, inexpérimenté, joueur ; un l'animal adulte est fort, peut se déplacer rapidement, obtenir j'écris, s'occuper du bébé (nourrir, protéger des ennemis, enseigner).
Annexe 5
Familiarisation des enfants avec la croissance et le développement des animaux (expérience d'apprentissage exploratoire)
L'expérience de recherche frontale a été réalisée par T.N. Druzhinina avec notre participation au jardin d'enfants de ferme collective mentionné précédemment. L'enseignement expérimental était basé sur des observations à court terme de poulets, menées avec des enfants des groupes plus âgés et préparatoires à l'école. La série d'observations développée couvrait les périodes d'incubation.
œufs, croissance et développement des poulets jusqu'à l'âge de trois mois. Il comprenait une variété de moments significatifs : 1) le comportement de la poule pendant l'incubation des œufs et la croissance des poulets ; 2) caractéristiques de l'apparence et du comportement des poulets éclos; leurs changements dans le processus de croissance ; 3) particularités de la nutrition, comportement protecteur des poules et des poulets au cours de la même période ; 4) créer les conditions nécessaires à la croissance et au développement des poulets, les soins humains pour eux. Simultanément à l'expérience, un calendrier d'observations était régulièrement rempli, dans lequel, dans un strict respect du temps, les caractéristiques du comportement et de l'apparence des poulets et des poules en croissance étaient enregistrées. À certains stades de la formation, des cours ont été organisés au cours desquels les enfants se sont familiarisés avec la vie des poulets en tant qu'animaux de compagnie, ont généralisé les connaissances sur la croissance et le développement des poulets dans des conditions de maintien à domicile.
Au début de l'expérience pédagogique, afin de raviver dans la mémoire des enfants les idées sur la composition de la famille des poulets, sa vie sous la garde d'une personne et aussi donner les connaissances les plus générales sur l'élevage des poulets, le tableau "Coq avec une famille" a été considérée dans la leçon. Le matériel n'a posé de difficultés ni dans les groupes plus âgés ni dans les groupes préparatoires à l'école et a été maîtrisé par les enfants. Leurs réponses ont montré qu'ils trouvaient incontestablement des signes d'un coq et d'une poule par structure, mais en même temps, ils ne se fiaient pas aux caractéristiques de leur comportement. Tous les enfants plus âgés savent que les poules sortent d'un œuf, mais ils ont eu du mal à dire combien de jours une poule a besoin de s'asseoir sur un nid pour que les poussins apparaissent. Les enfants ont bien compris le rôle de l'homme et ses soins pour la poule couveuse, ont noté quelques moments du comportement de la mère poule : « Un homme fait un nid pour une poule. Les gens nourrissent le poulet "( groupe de personnes âgées); « Un homme lui construit un nid, il faut y mettre du foin pour que l'œuf ne se brise pas. Et ils ont construit une grange pour qu'elle se réchauffe » (groupe préparatoire à l'école).
Suite à la leçon, une série d'observations d'une poule couveuse a été réalisée. L'observation 1 visait à montrer aux enfants comment une poule couve des œufs, quelles conditions elle doit créer pour cela. En observant la poule assise sur les œufs, les enfants, lors d'une conversation avec l'enseignant, ont précisé comment une personne s'occupe des poules : « Un homme a construit un nid de poule. L'homme lui a apporté de la nourriture. Une poule ne peut pas se construire un nid, elle n'y est pas habituée, mais les oiseaux sauvages construisent des nids »(groupe plus âgé); « Le poulet est fait maison. Les gens lui font tout. Il ne faut pas la déranger, il faut marcher sur la pointe des pieds, parler en chuchotant, sinon les testicules n'écloront pas"( groupe préparatoire). Les enfants ont eu du mal à répondre à la question sur la durée d'incubation des œufs : ils ne pouvaient même pas nommer l'heure approximativement correcte.
L'observation 2 poursuit un objectif différent : montrer aux enfants que les œufs sont réchauffés par la chaleur d'une poule couveuse, et que sous son influence, les poussins peuvent sortir des œufs en trois semaines. Lors de l'observation (la poule était absente à ce moment-là), les enfants ont regardé les œufs avec intérêt, ont constaté qu'ils étaient chauds par rapport à ceux qu'ils avaient apportés avec eux. Cependant, lorsqu'on leur a demandé pourquoi ils avaient chaud, ils ont répondu différemment : « Le soleil les réchauffe », « Il fait chaud ici » (groupe plus âgé) ; « Le poulet les tient au chaud » (groupe préparatoire à l'école). Et lorsqu'on a demandé à chacun de comparer l'œuf du nid et celui apporté, les plus grands ont dit : « Cet œuf est froid, il est inanimé », « Ce sont des poules.
Rubriques sur cette page :
Le monde animal est grand et varié. Les animaux habitent la terre, les mers, les rivières, les océans. Ils maîtrisent tous les habitats : sol-air, eau et sol.
Similitudes et différences entre les animaux et les plantes
Les animaux, comme les plantes, sont des organismes vivants. Comme les plantes, elles ont une structure cellulaire, se nourrissent, respirent, grandissent, se reproduisent. C'est la similitude entre les plantes et les animaux. Cependant, malgré les similitudes, il existe de grandes différences entre les deux.
La différence la plus significative est la façon de manger. Des plantes qui captent l'énergie lumière du soleil synthétisent eux-mêmes les nutriments organiques à partir du dioxyde de carbone et de l'eau. Les animaux se nourrissent de plantes et d'autres animaux. Il y a des animaux qui ne se nourrissent que de végétation, on les appelle herbivores ; il y a ceux qui ne mangent que des insectes, ce sont des insectivores. Il existe de nombreux animaux qui se nourrissent exclusivement d'autres animaux ; ils sont appelés prédateurs. Il y a souvent des animaux qui mangent à la fois des plantes et d'autres animaux, ce sont des omnivores. (Vous pouvez vous-même donner des exemples d'animaux de ces groupes.)
Il existe d'autres différences entre les animaux et les plantes. La membrane cellulaire végétale contient des fibres - une substance spéciale qui donne cellules végétales fermeté et forme constante. Dans les cellules animales, la coquille dure est absente.
La durée de croissance des plantes et des animaux est également différente. En règle générale, les organismes végétaux se développent tout au long de leur vie. Les animaux (à l'exception de certains crustacés, poissons, tortues, crocodiles) ne grandissent que jusqu'à ce qu'ils atteignent une certaine taille.
Presque tous les animaux se déplacent activement et la grande majorité des plantes (à l'exception des algues unicellulaires) sont dans un état attaché, bien qu'elles puissent tourner des organes individuels vers la source de lumière.
Animaux sauvages et domestiques
Tous les animaux illustrés à la figure 105 sont sauvages. La vie des animaux sauvages dépend entièrement des conditions de leur environnement. Mais une personne dans des moments difficiles pour les animaux peut les aider à survivre (Fig. 106).
Riz. 105. Animaux sauvages
Riz. 106. Aider les animaux sauvages
Il existe aussi de tels animaux, dont la vie dépend entièrement de l'homme, puisque c'est lui qui crée les conditions de leur existence. Ces animaux sont appelés animaux de compagnie. Une place particulière parmi eux est occupée par agricole animaux qui sont élevés pour répondre aux besoins humains en nourriture, vêtements.
Option 1
Complétez le schéma.
Animaux
royaumes de la faune
champignons ____________
Quelle est la signification d'une fleur dans la vie végétale? Entoure la lettre de la réponse :
a) évapore l'eau b) forme un fruit
c) absorbe l'eau d) protège les graines des dommages
Quelles plantes ont tous les organes ? Entoure la lettre de la réponse.
d) conifères e) floraison
La déclaration est-elle vraie ? Si faux, veuillez apporter des corrections.
Distribué par groupes d'animaux : cygne, requin, corbeau, dauphin, perche, tigre. Remplissez le tableau : ajoutez les noms des groupes et les noms des animaux.
Comment se développe un poisson ? Remplir les mots manquants:Larve ______________ poisson adulte
Lorsque les plantes se nourrissent, elles absorbent l'oxygène de l'air et y libèrent du dioxyde de carbone.
Quel oiseau est granivore, lequel est prédateur et lequel est insectivore ? Insérez des mots dans la phrase.
Un étourneau est un oiseau _______________, un moineau est _________________ et un aigle est ______________.
Écrivez caractéristique essentielle oiseau granivore.
Dans la forêt où vivent les souris, les renards ont disparu. Comment cela affectera-t-il la vie des souris? Entoure la lettre de la bonne réponse :
c) il y aura moins de souris d) les souris disparaîtront aussi
Trouvez l'erreur :
Les insectes comprennent : les papillons, les abeilles, les araignées, les coléoptères, les fourmis.
Réponse:________________________________________________________________
Quelle est la signification des animaux dans la nature ?
FI. _______________________________________________________________
Travail de vérification sur le thème : « Les royaumes de la faune sauvage »
Option 2
Complétez le schéma.
les plantes ___________
royaumes de la faune
Bactéries
Quelle est l'importance de la racine dans la vie végétale? Entoure la lettre de la réponse :
a) met en lumière les feuilles b) forme un fruit
c) absorbe l'eau d) évapore l'eau
Quelles plantes n'ont pas d'organes ? Entoure la lettre de la réponse.
a) les algues b) les mousses c) les fougères
d) conifères e) floraison
Distribué par groupes d'animaux : aigle, brochet, autruche, baleine, carassin, cerf. Remplissez le tableau : ajoutez les noms des groupes et les noms des animaux.
Comment se développe un papillon ? Remplir les mots manquants:Larve ______________ papillon adulte
Lorsque les plantes respirent, elles absorbent le dioxyde de carbone de l'air et y libèrent de l'oxygène.
Lequel des animaux court le plus souvent, lequel saute et lequel nage ? Insérez des mots dans la phrase.
Le phoque est _______________, la sauterelle est _________________ et l'autruche est _________.
Notez la caractéristique essentielle d'un animal qui court.
Réponse: _______________________________________________________________
Il y a plus de chouettes dans la forêt. Comment cela affectera-t-il la vie des souris? Entoure la lettre de la bonne réponse :
a) ne sera reflété en aucune façon b) il y aura plus de souris
c) il y aura moins de souris d) les souris chasseront les hiboux
Choisissez la bonne réponse:
Poulets, oies, canards, dindes, pigeons sont...
a) les oiseaux b) les animaux
c) animaux sauvages d) volaille
Comment une personne affecte-t-elle les animaux sauvages?
1) ________________________________________________________________
2)__________________________________________________________________
3)____________________________________________________________________
(42,2 Mo)
Attention! Les aperçus des diapositives sont à titre informatif uniquement et peuvent ne pas représenter toutes les options de présentation. Si tu es interessé par ce travail veuillez télécharger la version complète.
Le but de la leçon : clarifier, développer et systématiser les idées des enfants sur les caractéristiques et les caractéristiques des oiseaux.
Objectifs de la leçon:
- Éducatif:
- analyser les caractéristiques distinctives d'un groupe d'oiseaux;
- répéter caractéristiques distinctives groupes de mammifères;
- appliquer la capacité de faire des observations, de faire des généralisations et des conclusions ;
- appliquer la capacité de regrouper les animaux selon leurs caractéristiques essentielles,
- mettre en évidence les caractéristiques des groupes d'animaux;
- continuer à développer la capacité de travailler en paires et en groupes;
- élargir le vocabulaire des élèves et développer un discours cohérent;
- pour former des connaissances sur l'intégrité écologique de la nature.
- Développement:
- développer la pensée logique, l'imagination, l'observation.
- Éducatif:
- faire monter respecterà la nature, le monde animal.
Formulaire de cours : leçon d'expédition
Équipement: costume d'ornithologue, jumelles, présentation, écran, projecteur, dictionnaire explicatif, énigmes, images-devinettes, test, chapeaux au nom d'oiseaux, filword, images découpées d'un oiseau, enveloppes avec cartes de traits distinctifs différents groupes animaux, enregistrement du chant des oiseaux, plumes d'oiseaux (moineau, canard, coq, corbeau, paon, autruche), nid avec oeufs de caille et un œuf de coucou, des drapeaux, un souvenir (signets à l'effigie d'oiseaux).
PENDANT LES COURS
I. Moment d'organisation
Connaissance des invités. L'enseignant est vêtu d'un costume d'ornithologue (lunettes, chapeau, jumelles, plaque).
II. Répétition du matériel couvert
Travailler en équipe de deux.
Prof: Aujourd'hui, nous partons en expédition avec vous. Diapositive 1.
Mais dans quel but et ce que nous allons étudier, nous le saurons un peu plus tard. Avec nous en expédition, nous emportons un journal d'expédition (manuel), un kit de recherche (enveloppes avec des tâches).
- Alors, prenons la route. Et lequel des animaux peut être trouvé sur l'expédition, nous le découvrirons en devinant des énigmes. Asseyez-vous par paires.
- Vous avez des énigmes sur le bord de votre bureau. ( Annexe 1
). Vous devez deviner des énigmes, trouver une image-réponse parmi les images de différents animaux et la placer à côté de l'énigme. ( Annexe 2
). 2 minutes sont accordées pour le travail. Mettons-nous au travail.
Groupe 1 - énigmes sur les insectes.
Groupe 2 - énigmes sur les poissons.
Groupe 3 - énigmes sur les reptiles.
Groupe 4 - énigmes sur les amphibiens.
Groupe 5 - énigmes sur les animaux.
Prof: Voyons comment vous avez terminé le devoir.
- Quelles réponses le 1er groupe (colonne) a-t-il choisi ? (Papillon, sauterelle, fourmi) Ces animaux peuvent-ils être combinés en un seul groupe ? Comment appellerons-nous ce groupe ? (Insectes)
- Quelles réponses le 2ème groupe (colonne) a-t-il choisi ? (Silure, fraise, brochet) Est-il possible de combiner ces animaux en un seul groupe ? Comment appellerons-nous ce groupe ? (Des poissons)
- Quelles réponses le 3ème groupe (colonne) a-t-il choisi ? (lézard, crocodile, serpent) Ces animaux peuvent-ils être combinés en un seul groupe ? Comment appellerons-nous ce groupe ? Sinon, comment pouvez-vous appeler un groupe de reptiles ? (Reptile)
- Quelles réponses le 4ème groupe (colonne) a-t-il choisi ? (grenouille, crapaud, triton) Ces animaux peuvent-ils être combinés en un seul groupe ? Comment appellerons-nous ce groupe ? Sinon, comment pouvez-vous appeler un groupe d'amphibiens ? (Amphibiens)
- Quelles réponses le 5ème groupe (colonne) a-t-il choisi ? (Écureuil, loup, ours) Ces animaux peuvent-ils être combinés en un seul groupe ? Comment appellerons-nous ce groupe ? Comment peut-on appeler cet animal autrement ? (Mammifères) Quelles sont les caractéristiques distinctives d'un groupe de mammifères? (2 pattes, corps couvert de poils, nourrissant les petits avec du lait)
- Merci. Asseyez-vous dans vos sièges. Regardez le bureau. L'ensemble du monde animal est divisé en plusieurs groupes : insectes, animaux, reptiles, amphibiens, poissons. Diapositive 1... Ne pensez-vous pas qu'il manque quelqu'un ? (Des oiseaux.) Diapositive 2.
III. Fixation des objectifs de la leçon
Prof: Aujourd'hui, dans la leçon, nous continuerons à parler des animaux et à connaître un autre groupe.
Affichage d'un clip vidéo. Diapositive 2
Le professeur éteint le projecteur.
Prof: Nous partons donc en expédition pour étudier les secrets des oiseaux. N'oubliez pas que vous ne pouvez pas jeter de détritus, faire du bruit et effrayer les animaux dans la forêt. Et je vais vous conduire dans cette expédition - l'ornithologue Natalya Valerievna. Savez-vous qui est un ornithologue ? dictionnaire nous dit qu'un ornithologue est un spécialiste qui étudie les oiseaux et leur répartition. Oh, je pense que des oiseaux sont apparus à l'horizon. Ce seront nos objets de recherche. Quel genre d'oiseaux sont-ils?
IV. Compréhension du matériel
Les enfants préparés vont au tableau avec des chapeaux d'oiseaux et parlent de l'oiseau, et les autres devinent quel oiseau Dans la question. (Annexe 3- chapeaux d'oiseaux). Au cours de l'histoire, l'enseignant montre des images de ces oiseaux.
1 enfant : Ils me voient en ville toute l'année. Quand il n'y avait pas de service postal, je livrais des lettres. On m'appelle aussi l'oiseau du monde. (Pigeon.)
2 Enfant : Je suis un oiseau noir, un peu plus qu'une colombe. J'arrive alors qu'il y a encore de la neige dans les champs. Je suis considéré comme le héraut du printemps. De nombreux artistes me peignent dans leurs tableaux. (Tour.)
3 Enfant : Je suis un petit oiseau brun - l'un des oiseaux les plus célèbres de Russie. Je me nourris souvent de pigeons et n'ai pas peur de voler près d'une personne. (Moineau.)
4 Enfant : Je suis un petit oiseau, un peu plus qu'un moineau. Chaque année, je viens chez vous pour l'hiver. Tout le monde me reconnaît à la poitrine rouge. (Bouvreuil.)
5 Enfant : JE SUIS sauvagine... Je passe souvent l'hiver en ville. Beaucoup de gens me considèrent comme une volaille et se reproduisent dans leur foyer. (Canard.)
6 Enfant : Je suis un noble oiseau blanc avec un long cou arqué. On me voit flotter dans les lacs. Je suis considéré comme un symbole de loyauté. (Cygne.)
Prof: Prouvez que les oiseaux font partie de la nature. (Respirer, nourrir, grandir, naître, se reproduire, mourir.) Jetez un autre regard sur nos oiseaux. Où rencontrer un moineau et une colombe ? Bouvreuil? Un canard et un cygne ? Tour? (En ville, au village, en forêt, au lac, au zoo.)
- Merci à nos oiseaux, et il est temps pour nous de commencer nos recherches.
Travail de groupe.
- Des groupes expéditionnaires se rassemblent au drapeau. Nous commençons à étudier les oiseaux. Et l'image nous aidera, qui doit d'abord être assemblée à partir des pièces. ( Annexe 4 ). Vous avez 1 minute pour ce travail. Commençons la recherche.
Prof: Quel genre d'image as-tu eu ? (Oiseau.) Considérez attentivement cette image. Maintenant, asseyez-vous sur vos sièges. Chacun d'eux a des cartes dans une enveloppe. Choisissez des cartes avec des caractéristiques distinctives que seuls les oiseaux ont. ( Annexe 5 ). (4 pattes, nourrir les jeunes avec du lait, 2 pattes, bec, corps couvert de poils, branchies, ailes, corps couvert de plumes, corps couvert d'écailles.) Vous disposez de 2 minutes pour ce travail de recherche.
Prof: Vérifions quelles cartes vous avez choisies. (2 pattes, ailes, bec, corps couvert de plumes.) Pourquoi les oiseaux ont-ils besoin d'ailes, de plumes ? Tous les oiseaux ont-ils les mêmes ailes ? Pourquoi les oiseaux ont-ils besoin d'un bec ? Tous les oiseaux ont-ils le même bec ? Vérifions nos données avec les entrées du journal d'expédition et tirons des conclusions. Ouvrons notre journal d'expédition (manuel) à la page 41.
- Répétons les conclusions que nous avons tirées de nos recherches ? (Les oiseaux ont 2 pattes, des ailes, un bec, un corps couvert de plumes.)
V. Physiothérapie des yeux
Nous avons vu un aigle
Et ils ont fermé les yeux.
cligna des yeux, regarda.
Nos oiseaux se sont envolés.
Pour recevoir la connaissance,
Cherchons encore des oiseaux.
Un - à gauche, deux - à droite,
Trois - vers le haut, quatre - vers le bas.
Et maintenant nous regardons en cercle,
Pour mieux voir le monde.
Vi. Sécurisation du nouveau matériel.
Le professeur allume le projecteur.
Prof: Nos yeux sont reposés et prêts à partir. Rappelons les traits distinctifs d'un groupe d'oiseaux. Diapositive 3.
Travail de groupe.
- Voyons maintenant en quoi les oiseaux diffèrent les uns des autres. Pour ce faire, vous devez trouver les noms des oiseaux parmi les lettres du mot de fichier. ( Annexe 6 ). Les mots ne peuvent être disposés que de haut en bas ou de gauche à droite. Les groupes expéditionnaires se rassemblent au drapeau. Vous disposez de 3 minutes pour ce travail.
Prof: Nous nous sommes assis. Voyons comment vous avez terminé le devoir. Combien d'oiseaux 1 groupe a-t-il trouvé ? 2 ? 3 ? 4 ? 5?. Vérification. Nous nommerons d'abord les mots horizontalement (de gauche à droite). Puis verticalement (de haut en bas). Diapositive 4... Bien joué! Regardez dans le journal de l'expédition à la page 42 pour des photographies de ces oiseaux. Quelles caractéristiques des oiseaux avez-vous vues ? Pourquoi un organe a-t-il besoin d'un tel bec ? Quel genre d'oiseau et à quoi servent les griffes ? Pourquoi les flamants roses ont-ils de longues pattes ?
- Pourquoi les oiseaux sont-ils si différents ? Vérifions si nous avons tiré les bonnes conclusions. Regardez dans le journal d'expédition (manuel) à la page 43. Je lis et vous suivez attentivement le texte. Alors pourquoi les oiseaux sont-ils si différents ?
- Regardez la plume d'un moineau, canard, coq, corbeau, paon, autruche. Tous les oiseaux ont des plumes différentes, mais tous sont si beaux.
Prof: Comment les gens connaissaient-ils ces caractéristiques des oiseaux ? Par exemple, comme tous les ornithologues, je peux reconnaître de nombreux oiseaux à leur voix. Écoutons les oiseaux chanter et essayons de deviner quel oiseau fait ces sons.
Entendre le chant des oiseaux. Diapositive 5
Allons vérifier.
qui afflue ? Rossignol
qui ricane ? OIE
Qui caque ? poule
qui cancane ? canard
qui pleure ? grue
qui gazouille ? pie
qui hulule ? hibou
qui gazouille ? moineau
qui ombre? mésange
qui kukuet ? coucou
Prof: Où vivent nos oiseaux ? Diapositive 6 Regardez le bureau. Comment s'appellent ces habitations et quels oiseaux peuvent y vivre ?
Prof: Regarde ce que j'ai trouvé! Nid! (L'enseignant tient un nid avec des testicules dans ses mains.) Diapositive 7. Et qui sait pourquoi tous les testicules du nid sont petits et un est grand ? Quel oiseau jette ses œufs dans les nids des autres ? Voyez à quoi ressemble cet oiseau. Pourquoi fait-elle ça ? (Le coucou arrive tard chez nous et s'envole tôt. Elle n'a pas le temps de faire éclore les poussins elle-même, alors elle les donne à la famille de quelqu'un d'autre.)
VII. Résumer
Travailler en équipe de deux.
Prof: Bien joué! Mais notre expédition touche à sa fin. Et maintenant nous allons voir comment tu te souviens nouveau matériel... Faisons un compte rendu de nos observations. Asseyez-vous par paires. Passer le concours. ( Annexe 7 ). Vous devrez lire la question, choisir la bonne réponse et la souligner. Nous commençons à remplir le rapport sur les résultats de l'expédition. Vous disposez de 2 minutes pour travailler. Le professeur éteint le projecteur.
Test:
1. Les oiseaux font partie de la nature...
- morte
- inanimé
- vivant
2. Quel oiseau peut être appelé domestique ?
- Moineau
- cigogne
- canard
3. Quel oiseau est sauvage ?
- poule
- faucon
- OIE
4. De quoi est recouvert le corps des oiseaux ?
- la laine
- des échelles
- plumes
5. Combien de pattes les oiseaux ont-ils ?
- deux
- quatre
- six
6. Quels oiseaux n'ont pas ?
- le bec
- ailes
- branchies
7. Trouvez un mot supplémentaire.
- faucon
- manchot
- castor
8. Quel est le nom d'un spécialiste des oiseaux ?
- biologiste
- zoologiste
- ornithologue
Vérification collective.
Prof: Nous avons terminé le travail. Vérifions vos réponses : vivant, canard, faucon, plumes, deux, branchies, castor, ornithologue.
Levez la main pour ceux qui ont rempli le rapport sans erreurs. Bien joué! Qui a fait une erreur ? Bien aussi. Ceux qui ont fait plusieurs erreurs reliront attentivement les conclusions du manuel à la maison.
VIII. Évaluation
Prof: Merci pour le travail dans la leçon. En souvenir de notre cours, vous recevrez un marque-page avec une photo des plus beaux oiseaux... Et de quel genre d'oiseaux s'agit-il, nous en discuterons dans la prochaine leçon.
Dans cet article, nous examinerons les caractéristiques du règne animal. Les représentants de cette unité systématique sont de nature très diverse et répandue. Il s'agit de plus de 5 millions d'espèces, dont les humains.
Le règne animal : caractéristiques générales et diversité
Par quels signes peut-on déterminer si un organisme appartient aux animaux ? Tout d'abord, c'est un mode d'alimentation hétérotrophe, un mouvement actif dans l'espace, développé système nerveux, une réaction prononcée à un stimulus. Ce sont les principales caractéristiques du règne animal.
Le nombre d'espèces de ces représentants monde bio plusieurs fois plus élevé que les plantes et champignons combinés. Parmi les animaux, il existe à la fois des organismes unicellulaires microscopiques et de véritables géants. Par exemple, une baleine à bosse, dont la longueur du corps approche les 15 mètres.
Habitat
Dans la nature, on trouve des animaux absolument partout. Leur habitat principal est sol-air. Ils courent sur le sol, volent, rampent le plus conditions variées: des déserts chauds à la toundra froide. Un grand nombre de les animaux vivent dans des réservoirs. Ce sont des dauphins. Chez certaines espèces, la vie avec l'eau n'est que partiellement liée : morses, phoques, des Lions de mer, scellés. Habitants du sol de nombreux types de vers sont traditionnellement considérés. Mais les rats-taupes et les taupes vivent aussi ici. Leurs organes de vision sont sous-développés en raison de leur adaptation au manque de soleil.
Nutrition
La consommation de matière organique toute prête est une caractéristique fondamentale du règne animal. Cette caractéristique est déterminante dans les problèmes de classification. Par exemple, l'organisme unicellulaire de Chlamydomonas se déplace activement à l'aide de flagelles et d'un œil sensible à la lumière. Mais c'est un représentant flore car il est capable de photosynthèse.
Le mouvement actif du corps dans l'espace est une autre caractéristique importante du règne animal. Les espèces unicellulaires le réalisent à l'aide de structures spéciales. On les appelle organites de mouvement. Chez les ciliés, ce sont de nombreux cils, en euglène vert, un flagelle. Mais il n'a pas une forme de corps constante. Son cytoplasme forme constamment des protubérances temporaires - des pseudopodes ou pseudopodes.
Le mouvement est effectué par des structures plus complexes. Ainsi, les coelentérés ont des cellules musculaires de la peau. En se contractant, ils modifient la forme et la position du corps dans l'espace. Les téguments des vers sont représentés par le sac cutanéo-musculaire. Il se compose de l'épithélium tégumentaire et d'une ou plusieurs couches de muscle. Les animaux très organisés ont système musculo-squelettique... C'est une combinaison du squelette et des muscles. La différenciation de ces derniers permet aux animaux d'effectuer les mouvements les plus complexes.
Croissance
L'augmentation de la taille du corps de la plupart des animaux ne se produit que pendant un certain temps de leur vie. Cette croissance est dite limitée. Par exemple, la formation d'une personne s'arrête vers l'âge de 25 ans. La croissance illimitée est également une caractéristique de certains membres du règne animal. Il est typique des crocodiles, des tortues et de certaines espèces de poissons.
Chez les insectes, les crustacés et les reptiles, la croissance s'accompagne d'une mue. Le fait est que leurs téguments ne sont pas capables de s'étirer. Et seule la chute de la cuticule et de la chitine permet au corps de grossir.
Méthodes d'élevage et développement
Pour la plupart des animaux, la reproduction sexuée est caractéristique. Il se produit avec la participation de cellules germinales - ovules et spermatozoïdes. Le processus de leur fusion s'appelle la fécondation. La fécondation peut être externe ou interne, selon l'endroit où elle se produit.
Dans le premier cas, les cellules germinales fusionnent à l'extérieur du corps de la femelle. Cette caractéristique est typique des amphibiens et des poissons. Étant donné que les œufs fécondés ne sont pas protégés des conditions environnementales défavorables, les femelles jettent des milliers d'œufs dans l'eau. Dans le second cas, la fécondation et le développement ultérieur sont effectués à l'intérieur du corps féminin. Par conséquent, ces individus ont plus de chances de survivre et leur nombre est moindre.
Dans de rares cas, les animaux peuvent se reproduire par bourgeonnement. Par example, hydre d'eau douce... Tout d'abord, une petite protubérance se forme sur son corps, sa taille augmente, acquiert les caractéristiques d'un organisme adulte, puis passe à une existence indépendante. Certaines espèces de crustacés se reproduisent par parthénogénétique. C'est le développement d'un organisme à partir d'un œuf non fécondé.
Chemin développement individuel est une autre caractéristique du règne animal. Ce sont des changements qualitatifs dans les organismes. À développement direct un animal est né, qui est une copie d'un organisme adulte. Il est typique des oiseaux, des reptiles, des mammifères.
Si un individu est né qui est significativement différent d'un adulte, alors cette méthode de développement est appelée indirecte. Par exemple, les larves de grenouilles ressemblent à des alevins de poisson et nagent activement dans l'eau. La même chose peut être dite pour les papillons. Leurs larves, appelées chenilles, mangent les feuilles des plantes et les adultes mangent le nectar des fleurs.
Le meilleur des meilleurs
Une brève description du règne animal serait incomplète sans la connaissance des plus insolites d'entre eux. Le détenteur du record en taille est baleine bleue, atteignant une longueur de plus de 30 mètres. Le poids de ce géant est également impressionnant - 190 tonnes. Et même un écolier répondra que c'est une girafe. Le plus surprenant est le fait qu'avec une croissance d'environ 6 mètres dans son rachis cervical seulement 7 vertèbres. Le même nombre de souris des champs, et le chinchilla.
Le titre de plus rapide de la planète revient à juste titre au guépard, à l'antilope, à l'épaulard et au voilier. Dans leur habitat, personne ne les suivra. Parmi les hommes forts, le scarabée rhinocéros est en tête, capable de soulever 850 fois sa propre masse.
Ainsi, les principales caractéristiques des représentants du règne animal sont:
- répartition dans tous les habitats;
- nutrition hétérotrophe;
- mouvement actif dans l'espace;
- développement du système musculo-squelettique et nerveux;
- croissance limitée.